Le faucheur n’a pas fini de roder autour de la famille Ndour, ou devrait-on dire à celles liées d’une manière ou d’une autre à cette célèbre fraterie. Alors qu’on faisait état de la nécrologie de Ségui Camaraqui n’est personne d’autre que l’ex-beau père de Youssou Ndour, on apprend que le mari de Ngoné Ndour a tourné l’arme à gauche pour ne pas dire qu’il vient de rendre l’âme. L’information est de la Radio Futurs médias. Une douloureuse nouvelle pour la sœur de Youssou Ndour d’autant qu’elle était éprise de Matar Kouyaté avec qui elle a fêté 20 ans de mariage cette année. De leur union est né un garçon qui a soufflé sa 15e bougie.
Dans une interview accordée à Rewmi en 2014, la boss du label Prince’art se réjouissait du fait que son couples fasse partie de ceux qui ont bravé le temps. Elle ne s’encombrait pas trop de protocole pour revenir sur sa rencontre avec l’homme qui allait changer sa vie et qui vient de le quitter en pleines noces de porcelaines.
Elle disait: “J’ai connu mon mari tout à fait par hasard, alors que j’accompagnais une de mes cousines qui lui rendait visite. Quand il a ouvert la porte et que je l’ai vu, je jure, j’ai su de suite qu’il sera mon mari. J’étais tombée sous son charme (rire). Mais je lui avais aussi tapé dans l’œil. Quand ma cousine m’a dit que je lui plaisais, je lui ai demandé de lui faire croire que je n’étais pas intéressée. Aujourd’hui, encore mon mari me chambre avec cette histoire. A mon grand dam, ce jour, (elle éclate de rire), j’avais porté un grand, mais très grand tee-shirt à l’effigie de Youssou Ndour. Pourtant, c’est bien plus tard dans notre relation qu’on lui a dit que j’étais la sœur de Youssou. Mon mari est quelqu’un de très discret qui évolue loin du showbiz”.
Que Macky Sall se le tienne pour dit, Karim Wade doit être libéré le 20 août prochain avant que les choses ne dégénère. C’est la mise en garde faite par Mamadou Diop Decroix au chef de l’Etat. Le coordonnateur du Front patriotique pour la défense de la république (Fpdr), se veut menaçant.
“Cette campagne que nous venons de démarrer prendra fin en juillet 2017. C’est en ce moment que nous ferons l’évaluation de ce programme qui a été déroulé pour faire face au régime. Karim Wade et les autres prisonniers politiques vont humer l’air de la liberté après le 20 août, j’espère. J’exhorte la famille de Macky Sall à le faire revenir à la raison. En tout cas, le 20 août, il a intérêt à libérer Karim Wade, sinon nous allons rendre ce pays ingouvernable”, tonne-t-il selon la Tribune.
“Il y a beaucoup de problèmes qui doivent nous pousser à combattre Macky Sall et son système. Les Sénégalais souffrent. Aujourd’hui, face à l’arbitraire, je ne peux pas rester les bras croisés. Qu’on arrête cette hypocrisie pour l’intérêt des Sénégalais. J’interpelle les autorités religieuses de ce pays. Que les citoyens épris de justice signent cette pétition pour réclamer la libération de Karim Wade”.
Les personnes inculpées dans l’affaire de la démolition de la cité Tobago vont être entendues dans le fond du dossier par le juge du deuxième cabinet d’instruction le 25 août prochain. Ils ont été incarcérés pour association de malfaiteurs, occupation et vente de terrain appartenant à l’Etat et destruction de biens appartenant à autrui et à l’Etat, suite à la démolition de la cité Tobago.
Parmi les inculpés, renseigne L’Enquête, il y a le chef du département génie civil de l’Agence des Aéroports du Sénégal (ADS), Alioune Badara Seck, ainsi que le responsable du contrôle de gestion des ADS, Saliou Kébé, et l’agent de direction technique. Outre la machine judiciaire qui a été enclenchée, des sanctions administratives ont été prises après l’éclatement de cette affaire.
Plusieurs limogeages étaient intervenus au niveau de l’administration publique avec des changements à la tête de plusieurs directions, comme la Direction de la Surveillance et de la conservation des Sols (DSCOS), la direction de l’Urbanisme et de l’Architecture.
Le maire de la commune de Yoff, Abdoulaye Diouf Sarr, préside cet après midi, la réunion de validation du plan architectural du futur stade omnisports de Yoff.
La cérémonie aura lieu dans les locaux de Keur Apecsy de Yoff. Cet édifice sera construit par l’Agetip avec un budget de 300 millions de Francs CFA.
Le Front Républicain sous la conduite de son président Me Ousmane Sèye demande avec insistance au président de la République, responsable de la politique étrangère, de veiller davantage à l’harmonisation de la mise en œuvre de notre politique étrangère entre le ministère des Affaires Etrangères, la direction des Sénégalais de l’extérieur et le secrétariat d’Etat aux Sénégalais de l’extérieur. Le Front Républicain s’émouvait en bureau politique des décès mystérieux de beaucoup de nos compatriotes à l’étranger. Notamment au Maroc et en Espagne et du retour forcé des Sénégalais du Gabon. Le Front Républicain rappelle que cette politique est déléguée au ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’extérieur. Le Front Républicain demande au président de la République et à son gouvernement de veiller davantage à la protection et à la sécurité des Sénégalais établis à l’extérieur. Et de faire diligenter rapidement une enquête pour déterminer la cause des décès suspects de nos compatriotes notamment au Maroc et en Espagne. Appréciant la visite du président de la Guinée Alpha Condé pendant 3 jours au Sénégal, le Front Républicain s’est félicité de cette initiative importante pour le renforcement de la coopération sous régionale et régionale en vue de l’intégration Africaine.
Le Président de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, S.E. Macky Sall a suivi de très près les événements politiques qui ont eu lieu en Guinée-Bissau et a exprimé ses préoccupations à la suite de la dissolution du gouvernement du Premier Ministre, Domingos Simoēs PEREIRA, le 12 Aout 2015, par le Président Jose Mario Vaz. Le Président en exercice de la CEDEAO exprime le souhait que, conformément aux appels de la CEDEAO et de la Communauté internationale, aux acteurs politiques de la Guinée-Bissau, l’esprit de dialogue et de consensus prévaudra pour résoudre la crise actuelle, en application des dispositions constitutionnelles existantes. La CEDEAO rappelle l’engagement pris par les acteurs politiques de la Guinée-Bissau en mars 2015 au cours de la Conférence des donateurs, notamment l’engagement pris par le Président et le Premier Ministre de travailler en synergie dans une vision commune pour le développement politique et économique et la promotion de la sécurité humaine des citoyens de la Guinée-Bissau. La CEDEAO réaffirme que la consolidation de la paix et la stabilité en Guinée-Bissau ne peuvent se réaliser que dans un processus inclusif, ayant un ancrage national où le respect de l’ordre constitutionnel, l’intérêt et le bien-être du peuple de la Guinée-Bissau doivent être au cœur des discussions pour renforcer la réconciliation nationale, la démocratie, la bonne gouvernance et le développement. À cet égard, le Président en exercice de la CEDEAO se félicite du calme et de la serenite observés jusqu’à présent dans le pays et appelle les dirigeants politiques à continuer à explorer des voies pacifiques pour surmonter les différends. Le Président en exercice de la CEDEAO reste confiant et croit qu’une solution pacifique et durable de la crise est possible et peut être réalisée à travers un dialogue concerté impliquant tous les acteurs politiques de la Guinée-Bissau, en étroite collaboration avec les partenaires régionaux, continentaux et internationaux. Fait à Dakar, le 15 août 2015. Le Président Macky Sall, Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat de la CEDEAO.
Un politicien Mbacké Mbacké, habitant de Touba-Norong a choisi le jour du rassemblement de Me Nafissatou Diop pour tenir des ’thiant’ dans le même endroit. Un acte perçu comme une provocation dans l’entourage de la notaire Nafissatou Diop.
En effet, cette dernière avait organisé une cérémonie de ralliement et d’animation du parti à la base, dans le quartier Gawane à Kaolack. Laquelle manifestation a été émaillée d’incidents lorsque, vers 18-19h, des talibés du marabout ont ouvert les hostilités. Il a fallu de peu pour qu’il y ait mort d’homme après cet accrochage entre partisans de la notaire et ceux du Mbacké Mbacké originaire de Touba Ndorong où il avait été laminé pendant les locales de juin 2014.
Suite à ces incidents, une enquête a été ouverte et des personnes mises en cause ont commencé à défiler devant la police. Le marabout quant à lui, soutient qu’un de ses ‘Baye-fall’ a reçu une balle à la tête, ce que des témoins ont formellement démenti.
Djibo Kâ a démissionné du Front de l’opposition qui, jusqu’ici, était composé de 7 leaders de partis que sont Oumar Sarr, le coordonnateur du Pds, Djibo Leyti Kâ, patron de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd), Idrissa Seck de Rewmi, Pape Diop de “Bokk Gis Gis”, Abdoulaye Baldé de l’Ucs, et Cheikh Bamba Dièye, du Fsd/Bj. Selon “La tribune”, après être venu en retard à la réunion convoquée par les leaders, prétextant avoir été retenu par une séance d’entrainement au… golf, il a finalement lâché le morceau : “Je viens vous annoncer que j’ai reçu mandat de mon parti pour aller discuter avec qui de droit”. En clair, Djibo Kâ a décidé de répondre à l’appel lancé par Macky Sall lors de la cérémonie d’inauguration du siège de la Sonatel sur la Vdn. Le président de la République était ensuite allé le rencontrer chez lui pour formaliser son appel.
Après l’annonce de Djibo Kâ, l’ancien maire de Saint-Louis et patron du Fsd-Bj a fait savoir au patron de l’Urd qu’il ne peut pas être avec le pouvoir et avec l’opposition en même temps. Et le leader de l’Urd de lui répondre : “Je sais que je ne peux plus assister aux réunion. D’ailleurs, j’étais juste passé pour vous dire au revoir
Les propos du Président Guinéen Alpha Condé qui lors de son séjour au Sénégal accusait Abdoulaye Wade, d’avoir soutenu les putschistes et travaillé à ce qu’ils se maintiennent au pouvoir sont confortés par d’anciens diplomates et ministres membres du gouvernement d’Abdoulaye Wade. Selon le Populaire qui donne l’information, ces anciens diplomates et ministres membres soutiennent que “Alpha Condé a mille fois raison. Abdoulaye Wade a roulé à fond pour les militaires en Guinée”.
Selon eux, “l’ex-chef de l’Etat a soutenu le coup d’Etat de Dadis et a même assuré sa promotion auprès des chefs d’Etat africains pour la reconnaissance du régime de transition militaire qui s’était accaparé le pouvoir. Il avait affrété l’avion de commandement du Sénégal mis à la disposition de Dadis pour aller faire le tour de certains chefs d’Etat de la sous-région afin de plaider la cause du régime militaire. Donc il a dévoyé l’argent du contribuable sénégalais pour gérer les putschistes guinéens”.
D’ailleurs, notent les interlocuteurs du journal Le Populaire, “le Palais et le ministère des Affaires étrangères étaient en positions diamétralement opposées. Gadio n’était pas d’accord avec les positions de Wade. “Est-ce que cette divergence de vue n’a pas, entre autres questions, précipité le départ de Gadio ?», s’interrogent-ils. En tout cas, révèlent-ils, Gadio a quitté son poste le 1er octobre 2009, jour où il a raccompagné Dalein (Cellou responsable politique) à l’aéroport pour aller se soigner à Paris”.
Ce jeudi 1er octobre d’ailleurs, jour de Conseil des ministres, la rencontre présidée par le chef de l’Etat d’alors (Abdoulaye Wade) a été particulièrement chaude à cause de ces positions divergentes entre le président et son ministre des Affaires étrangères qui sera par la suite démis de ses fonctions.
La sécurité présidentielle est endeuillée. En effet, renseigne Le Populaire, un des gardes du corps de Macky Sall est décédé, hier, des suites d’une longue maladie. Selon les sources du journal, Omar Diatta, puisque c’est de lui qu’il s’agit, souffrait depuis longtemps et avait été hospitalisé à Dakar avant d’être évacué en Turquie et au Maroc puis à Ziguinchor où il a rendu l’âme. Après la levée du corps à l’hôpital principal de Dakar, marquée par la présence du Gouverneur du Palais, du Directeur de cabinet de Macky Sall, Me Oumar Youm, du Secrétaire général du ministère de l’Intérieur, entre autres, la dépouille a été acheminée à Mbour pour inhumation.
Dans l’après-midi, nos confrères rapportent que le président de la République a effectué le déplacement à Mbour, plus précisément au « Quartier 11 novembre », pour présenter ses condoléances à la famille éplorée. Sur place, le chef de l’Etat a loué les qualités de l’homme. Selon lui, Oumar Diatta est un homme calme, discipliné et un croyant qui faisait son travail. « C’était un bon musulman, un homme pieux. Et j’ai bon espoir que Dieu l’accueillera dans Son Paradis » a dit Macky Sall. Le porte-parole de la famille a remercié le Président pour avoir pris en charge les frais médicaux de leur fils. Les responsables de l’Apr de Mbour, avec à leur tête Sira Ndiaye, ont aussi fait le déplacement pour présenter leurs condoléances à la famille du disparu.
Au cours des embouteillages survenus le dimanche 09 août 2015 sur la route nationale numéro 1 après les fortes pluies qui se sont abattues sur le pays, des conducteurs de taxi ont emprunté la passerelle piétonne à hauteur du rond-point de Cambérène, pour enjamber l’autoroute à péage. Des passants ont immortalisé cet acte d’incivisme notoire et les photos ont fait le tour des réseaux sociaux.
“Face à cet acte d’incivisme et d’indiscipline qui a terni l’image du Sénégal”, le Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement a engagé une procédure de retrait du livret de conducteur de ces chauffeurs de taxi, conformément à l’article 21du décret n°67-149 du 10 février 1967 fixant les règles applicables à l’exploitation et à la conduite des taxis urbains. Dans un communiqué, le Ministère dit avoir déjà saisi le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, ainsi que le Ministre de l’Intérieur et la Sécurité publique en vue de l’ouverture de poursuites judiciaires contre les auteurs dudit comportement “infractionnel”.
L’Agence des Travaux et de Gestion des Routes (Ageroute) se réservera le droit de se porter partie civile pour préserver et veiller à l’utilisation judicieuse des infrastructures routières. Ayant constaté que plus de 92% des accidents de la route sont dus au facteur humain, notamment l’indiscipline et l’incivisme sur les routes, le Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement dit être très avancé dans son projet de mise en service du permis de conduire à points, pour endiguer ce mal.
Artiste à la discographie raisonnée, Cheikh Lô, au meilleur de sa forme. Selon le quotidien l’enquête, l’artiste pense que la musique sénégalaise est n’est pas exportable et que les jeunes font du folklore.
« Pape Diouf, c’est un peu Youssou Ndour. De ce que j’ai entendu de ses chansons, je n’y retrouve pas un timbre propre Pape Diouf. Quand Pape chante, j’entends un peu des mélodies de Youssou Ndour et de Maiga. Je sais de je parle parce que je connais leur registre. Waly c’est vraiment l’incarnation de l’adage ‘’ tel père, tel fils’’. Cela va de soi. Il chante comme son papa. Et vous savez ce qui est intéressant avec son père, c’est qu’il ne se limite pas au mbalax pur et dur. Il est passé à l’orchestra baobab qui est sa première école. Apres il a fait de la musique traditionnelle avant de mettre sur pied le Raam Dann. Ces univers dans les lesquels il a baigné lui ont permis d’avoir une certaine ouverture ».
« Quand on me parle de Waly ou de Pape Diouf, je trouve qu’ils font da la musique folklorique. Et c’est à cela qu’ils doivent leur notoriété. Parce que la masse folklorique est plus importante que les intellectuels musicaux (sis). Ces derniers sont minoritaires. Vous savez, quand on célèbre un mariage par exemple. Les gens ne vont pas mettre ma musique. Ils se disent que c’est une musique d’écoute alors qu’eux ont besoin d’une musique endiablée. Pour cela, il leur faut du Waly, du Pape Diouf ou ceux qui font du kebetu ». ajoute l’artiste
Les partisans de Me Abdoulaye Wade n’ont pas encore fini avec le président guinéen, Alpha Condé qui, lors de son séjour à Dakar, a accusé Me Abdoulaye Wade d’avoir encouragé le chef de la junte militaire, Moussa Daddis Camara à rester au pouvoir.
C’est le cas de Papae Samba Mboup. Ce n’est pas l’attitude d’un chef d’Etat. Je trouve que certains de nos chefs d’Etat sont ingrats et amnésiques à l’endroit de Me Wade. Parce quand ils ont des problèmes, ils vous tendent la main et vous les aidez, mais, lors qu’ils sont bien, ils … », fustige le Libéral.
Visiblement dégouté par les propos du président guinéen, l’ancien chef de cabinet du président Wade, témoin de ses fréquentes visites auprès de Wade, affiche sa surprise avant de déballer. «Quand nous étions dans l’opposition et à chaque fois qu’il était dans le creux de la vague, Condé venait à Dakar pour voir Abdoulaye Wade et c’est moi qui l’introduisait », révèle Pape Samba Mboup. Selon lui, « Me Wade, connu pour sa générosité mettait toujours la main à la poche pour venir en aide à l’opposant guinéen aux poches trouées ».
Sur la même lancée, il ajoute « que lors d’une élection à laquelle il a participé, c’est Wade qui a confectionné les t-shirts à son effigie pour lui permettre de faire la campagne électorale. Il avait envoyé deux émissaires pour rencontre Wade pour dire à Wade qu’il voulait aller en campagne mais qu’il n’avait pas de moyens. Et il leur a donné de l’argent pour confectionner des tee-shirts…. », confie M. Mboup dans «L’As ».
Saluant la loyauté du président ivoirien, Ouattara, Samba Mboup menace. «Les gens n’ont qu’à faire très attention parce que je sais beaucoup de choses et j’ai géré beaucoup de dossiers. Qu’ils ne me poussent pas à bout… », prévient le proche collaborateur de Me Wade.
L’affaire du caillassage du cortège présidentiel n’a pas encore fini de révéler tous ses secrets. Un étudiant frondeur de Rewmi accuse un haut responsable de Rewmi de lui avoir demandé de mouiller le député Thierno Bocoum.
«J’ai été personnellement interpelé pour accuser un responsable de Rewmi, en l’occurrence Thierno Bocoum d’avoir commandité ce qui s’est passé à l’Université », a-t-il dit. Et de poursuivre : «c’est au cours d’une conférence de presse que je devais d’abord disculper mon camarade, Bara Ndiaye, en soutenant qu’il a été manipulé par des responsables de Rewmi».
Pour sa part, le député Thierno Bocoum ne souhaite «aucun mal à mon détracteur». « J’ai été mis au courant qu’un ancien responsable de Rewmi a invité un étudiant à tenir une conférence de presse pour m’accuser d’avoir commandité le caillassage du cortège présidentiel. C’est une chose qui nous a plus ou moins surpris car, en politique on doit s’attendre à tout… », a-t-il noté.
Le coordonnateur du Front patriotique pour la défense de la République (FPDR), Mamadou Diop Decroix, avertit le président de la République que les nombreux ralliements et transhumances ne l’empêcheront pas d’être bouté hors du pouvoir à la prochaine élection présidentielle.
En tournée dans la région de Dakar, avec les leaders des partis membres du FPDR, Mamadou Diop Decroix n’est pas ébranlé par la main tendue du président Macky Sall à l’ancien ministre, Me Ousmane Ngom. La conviction du chef de file d’AJ/PADS est que «même si toute l’opposition le rallie, son régime va tomber». Le président de la République avait déjà rendu visite à Djibo Leyti Kâ après avoir demandé de rejoindre son régime pour travailler pour le Sénégal. Mamadou Diop Decroix est d’autant plus optimiste que les populations lui auraient confié qu’elles sont pressées de voir la fin du régime de Macky Sall. Mardi, Decroix et ses camarades étaient à Pikine pour visiter les sites inondés. Dans ce département, le FPDR a installé des coordinations communales dans les 16 collectivités locales. A leur tour, elles mettront sur pied des comités de quartier pour prendre en charge les préoccupations des populations.
L’affaire Aïda Ndiongue est loin de connaître son épilogue. Après la polémique sur la libération d’Aïda Ndiongue, son dossier continue de défrayer la chronique.
Dans sa parution du jour, «le quotidien « Libération » raporte que «deux colonels du service national d’hygiène ont été inculpés par le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf, pour complicité de détournement de deniers publics dans l’affaire des produits phytosanitaires».
A en croire le journal, «ils ont été placés sous contrôle judiciaire.». Toutefois, le « Procureur avait requis leur placement sous mandat de dépôt». Le journal précise que «ces mêmes colonels sont entendus comme témoins par la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei)». Selon le journal, ces colonels sont inquiétés dans le cadre d’une affaire d’un montant de 5 milliards de FCFA.
(Francetv info avec AFP) Dévaluer sa monnaie, pour mieux relancer son commerce extérieur. La Chine a abaissé de nouveau fortement mercredi 12 août le taux de référence du yuan face au dollar pour le deuxième jour consécutif, de 1,62%. Une décision qui accentue la dévaluation de facto de la monnaie chinoise.
La banque centrale chinoise (PBOC) a abaissé à 6,3306 yuans pour un dollar, contre 6,2298 yuans mardi, le taux-pivot autour duquel le renminbi (autre nom du yuan) est autorisé à fluctuer, au sein d’une fourchette quotidienne de 2% de part et d’autre. L’institution avait déjà réduit de presque 2% ce taux de référence mardi – la plus brutale dépréciation depuis 2005 et la fin de l’arrimage du yuan au billet vert.
Devenir l’une des monnaies de référence De l’avis général, cette décision est destinée à enrayer le ralentissement de l’activité économique du géant asiatique, en relançant son commerce extérieur en difficulté. Notamment pénalisées par le niveau élevé du renminbi (en particulier face à l’euro et au yen), les exportations chinoises s’étaient effondrées de plus de 8% sur un an en juillet.
De fait, pour les analystes, la décision chinoise pourrait également être liée à la volonté de Pékin de voir le yuan rejoindre le club fermé des grandes monnaies mondiales de référence. Pékin ambitionne ainsi d’élargir l’usage de sa monnaie hors de ses frontières en obtenant son inclusion dans les Droits de tirage spéciaux (DTS), l’unité de compte du Fonds monétaire international actuellement composé de quatre devises (dollar, euro, livre et yen).
Mais le Fonds, qui prendra sa décision en novembre, a récemment posé ses conditions : la monnaie chinoise, étroitement contrôlée pour le moment, doit ainsi évoluer en fonction des fluctuations du marché et doit être « librement utilisable ». De leur côté, les Etats-Unis ont réagi mardi avec la plus grande prudence à la dévaluation, qui risque de plomber leurs exportations, mais qui répond en partie à leurs exigences sur la convertibilité du yuan.
En mobilisation dans la banlieue dakaroise, précisément à Djidah Thiaroye Kao, le Parti démocratique sénégalais a annoncé une série de manifestations pour fustiger « la détention arbitraire » de Karim Wade. En réunion d’information à Pikine, Oumar Sarr, coordinateur du Pds, va annoncer aux militants la tenus de deux grandes manifestations prévues les 19 et 21 août…
Les relations entre Eumeu Sène et le président Gambien, Yaya Jammeh se sont détériorées, à cause d un…cheval blanc. “Enquête” rapporte qu après que Yaya Jammeh l’a reçu en grande pompe en Gambie suite à sa victoire sur Balla Gaye II, a organisé une cérémonie et une parade en son honneur et lui a offert deux véhicules neufs (un pour lui et autre pour son épouse), Eumeu Sène a voulu lui rendre la politesse. C est ainsi que le 25 mai dernier, jour d anniversaire du président Gambien, Eumeu Sène a débarqué à Banjul avec un magnifique cheval blanc qu il voulait offrir à son “ami”.
Il ignorait que le cadeau était mal choisi, car Jammeh est un as de la superstition et du mysticisme qui fait tout pour ne pas croiser un cheval blanc sur sa route. Donc, lorsqu Eumeu est arrivé avec son cheval, note “Enquête”, Jammeh y a vu un stratagème qui serait de mauvaise augure pour lui. Non seulement il a refusé le cadeau, mais aussi il a ordonné que le cheval et le lutteur soient éloignés de son champs de vision. Malgré les supplications du patron de l écurie “Tay shinger”, Jammeh n a même pas voulu lui adresser un bonjour. C est finalement le Secrétaire général de la Présidence Gambienne, Lamin Nyabally, exécutant les ordres de Jammeh, qui a discuté avec Eumeu Sène pour le congédier poliment avec son cheval.
Abdoulaye Wade est fâché contre Modou Diagne Fada. Tous les libéraux et même les libéraux qui se disent réformateurs ont pensé que le « vieux » cautionnait les activités de Modou Diagne Fada qui faisait dans la confusion en allant rendre visite à Karim Wade chaque lundi. Ce dernier voulait sans doute masquer le profond malaise qui existe entre lui et le père du candidat du parti. Mais Wade a été très clair et ferme sur ses relations avec celui qu’il considère désormais comme un traître et surtout comme un IMBECILE…Eh oui le Pape du Sopi a sorti le mot qui a réjoui les libéraux qu’il recevait à Versailles… Recevant une délégation assez restreinte de libéraux à son domicile Versaillais, le président Wade a traité avec colère le député libéral, Modou Diagne Fada, d’imbécile. Très remonté contre les dernières sorties de l’ancien ministre et député libéral qui a tout eu avec le parti sans jamais contribuer financièrement, Abdoulaye Wade n’a pas pris de gants pour expliquer pourquoi Fada est un « IMBECILE »… Il s’explique ainsi : « Ceux qui ne mettent pas leurs moyens dans le parti et qui ne financent pas le parti, ceux qui veulent prendre le parti pour d’autres raisons, et qui reçoivent de l’argent du Palais sont des imbéciles. Fada est un imbécile, mais il me trouvera sur son chemin, moi je dépense 14 millions de francs CFA par mois pour le fonctionnement du PDS, Fada ne donne même pas 10.000 francs CFA par mois dans ce parti »… C’est clair, le Pape du Sopi a compris le jeu sournois d’un homme payé par le Palais pour endormir son fils et diviser son parti… Il promet des sanctions dans les prochains jours…Et c’est imminent ! Penda Sow pour xibaaru.com
Macky Sall est à Popenguine pour revoir l’attelage gouvernemental car de source sûre, il vient de recevoir les conditions de l’Union pour le Renouveau Démocratique (URD) de Djibo Leyti KA qui s’apprête à rejoindre la coalition présidentielle.
Proposition Lors de l’inauguration du nouveau siège de la Sonatel, sur la Vdn le 11 juin dernier, Macky Sall avait tendu la main à Djibo Leyti Ka en ces termes : « Je suis heureux de constater votre présence, je sais que présentement vous faites partie de l’opposition, mais je viendrai vous voir, car nous avons besoin de vous pour l’avancement du pays ».
Et dans la foulée, Macky Sall, en compagnie de son griot député Farba Ngom, avait rendu visite a Djibo 15 jours plus tard. Et ce jour-là, Macky avait été plus explicite dans sas propositions envers le leader de l’URD…Il avait besoin de Djibo pour l’aider dans sa conquête de la Basse Casamance, Dakar et Thiès, ces trois zones qui lui créent énormément de problèmes.
Négociations Djibo Leyti Ka pose le problème au niveau de son parti mais les jeunes opposent un niet catégorique. Alors il entreprend de démarcher les jeunes de son parti en leur demandant de proposer un plan de négociation. Les jeunes s’y mettent et proposent à la direction de l’URD des conditions que Macky doit au préalable accepter. Djibo accepte.
Alors le bureau politique de l’URD se réunit et entérine le plan de négociation. Djibo accepte de rejoindre Macky. Il fait parvenir le message à Macky avec toutes les conditions de l’URD
Les conditions Macky Sall reçoit l’émissaire de Djibo Ka et se retire à Poponguine pour étudier les conditions de Djibo qui vont officialiser l’entrée de l’URD dans la coalition gouvernementale. Et xibaaru vous donne en exclusivité les conditions posées par Djibo et ses partisans.
1/ Djibo devient ministre d’Etat auprès du président de la République 2/ Diégane Sène devient ministre du gouvernement 3/ Fatou Gassama devient Ministre conseiller à la Présidence 4/ Vieux Cissé devient DG d’une société nationale (on tait le nom) 5/ Mbaye Sène devient PCA d’une grosse boîte (on tait le nom) 6/ Omar Seck sur la liste majoritaire de Benno aux législatives de 2017
Et ce sont ces propositions que Macky est en, train d’étudier en ce moment à Poponguine. Et selon les dernières infos, Macky Sall va convoquer incessamment le PM pour un gouvernement d’ouverture vers l’opposition avec l’entrée de plusieurs opposants… Selon notre ARI (Agent de renseignement infiltré), Ousmane Ngom, Serigne Mbacké Ndiaye serait aussi nommé comme… (À suivre mercredi 12 aout : Des libéraux dans le nouveau gouvernement de Macky Sall).
Selon les informations de Libération, le doyen des juges a clôturé l’instruction du dossier dit des commissions présumées qu’aurait versé Sudatel pour l’obtention de la troisième licence de téléphonie. La balle est désormais dans le camp du ministère public.
Il aura fallu deux ans au juge instructeur pour cerner tous les contours de l’affaire dite des commissions qu’aurait versé l’opérateur de téléphonie Sudatel pour décrocher la troisième licence de téléphonie. Ce, compte tenu surtout de toute la bataille procédurale qui a entouré cette affaire. Des sources autorisées renseignent que le doyen des juges a clôturé le dossier transmis au parquet de Dakar qui doit faire parvenir ses réquisitions. C’est dire que, dans les prochains jours, Thierno Ousmane Sy, l’ancien conseiller en Ntic du Président Wade, et le financier Kéba Keindé, seront édifiés sur leur sort.
En effet, Thierno Ousmane Sy avait été inculpé et placé sous mandat de dépôt pour détournement de deniers publics portant sur 10,9 milliards de francs Cfa, corruption passive portant sur 3,5 milliards de francs Cfa et association de malfaiteurs. Au même moment, le doyen des juges avait visé X et Kéba Keindé pour les mêmes délits avant de lancer un mandat d’arrêt international contre ce dernier. Thierno Ousmane Sy est sorti de prison à la suite d’un long bras de fer judiciaire alors que Kéba Keindé a tout récemment gagné une bataille judiciaire. La Cour suprême avait confirmé la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar qui avait prononcé l’annulation du mandat d’arrêt international visant l’homme d’affaires sénégalais retranché à Dubaï depuis l’éclatement de cette affaire.
Les conseillers de Kéba Keindé avaient introduit, d’après le journal, une requête auprès de la Chambre d’accusation avait émis un avis favorable mais le parquet général avait fait un pourvoi en Cassation pour faire casser la décision auprès de la Cour suprême. Mais, cette instance ne l’avait finalement pas suivi. Mahwa Sémou Diouf, à qui le dossier a été retourné, avait en ce moment deux choix : prendre acte de la décision de la Cour suprême ou émettre un nouveau mandat d’arrêt. Le magistrat a opté pour le premier choix en clôturant son instruction, sans émettre un mandat d’arrêt contre Kéba Keindé.
Les lignes bouges dans le maquis de la rébellion du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC). Certaines sensibilités qui ont été jusqu’ici fermées à toutes tentatives de rapprochement entre factions rebelles deviennent de plus en plus réceptives aux démarches de conciliations, même si l’on est encore très loin de mettre le chef Atoute Badiate, Ibrahima Compass Diatta et Salif Sadio autour d’une même table. Là où les choses semblent beaucoup évoluer dans « le processus de paix en Casamance », ce que les multiples démarcheurs de la paix commencent à se parler timidement après qu’ils en sont arrivés à des blocages tels que les marges de progrès devenues quasi inexistantes. Une situation née du fait que seuls quelques-uns de ces démarcheurs entretiennent de très rares contacts directes avec les différentes branches armée ou encore celles estampillées politiques.
La situation a été très tendue après les affrontements d’Emaye entre l’armée et des hommes de Cesar Atoute Badiate. De son côté Ibrahima Compass Diatta, pourtant ouvert au processus, s’est subitement refermé pour refuser tout retour des populations dans son secteur où le déminage est au point mort. Salif Sadio dont les progrès avec Sant Egidio étaient scrutés avec attention a lui aussi haussé le ton pour s’opposer à l’exploitation du Zircon dans son pré-carré.
Selon nos confrères du journal « Enquête », certains parrains de la paix commencent à se parler pour mutualiser leurs efforts. Du côté de la MFDC, des personnes âgées de la rébellion, ont tenté de recoller les morceaux en se retrouvant discrètement en juin dernier à Ziguinchor pour trouver les moyens de pousser les chefs des différentes sensibilités du mouvement indépendantiste à ouvrir le dialogue en vue de parvenir à une unité.
Les travailleurs de la Suneor de Diourbel ont une nouvelle fois interpellé les autorités étatiques sur la situation dramatique qu’ils vivent à cause de la gestion catastrophique menée par Abass Jaber et son équipe. En assemblée générale extraordinaire, ils appellent l’Etat à reprendre la direction de la boite.
Très remontés contre le repreneur Abass Jaber. C’est ce qu’on peut retenir de la sortie des travailleurs de la Suneor de Diourbel qui le jugent responsable de la crise qui secoue l’entreprise. Face à la presse les travailleurs ont listé une longue litanie de doléances. Des doléances qui ont pour noms: non paiement des salaires et une situation dramatique de l’entreprise. En effet, le porte-parole des travailleurs, Thié Mbaye Ndiaye, a déclaré que «le responsable de leur cauchemar n’est autre que Abass Jaber ». En effet les travailleurs ne comprennent toujours pas cette longue attente dans le traitement des dossiers en dépit de la réaction des autorités étatiques qui sont en phase avec eux dans le combat pour sauver la Suneor.
Au nombre d’une cinquantaine, ces travailleurs exigent la nomination par l’Etat d’un administrateur provisoire pour arrêter la saignée de leur outil de travail. Car, selon ces derniers la bande à Abass Jaber «ont opté pour la politique de la terre brulée ».
Ces travailleurs, qui se disent conscients de la volonté de Jaber et de son équipe de rendre la Suneor «irrécupérable pour de potentiels repreneurs», ont décidé de déclarer Abass Jaber persona non grata dans toutes les usines Suneor du Sénégal.
La jeune femme, âgée de 20 ans, est morte noyée alors qu’elle aurait pu être secourue. Mais son père en a décidé autrement, refusant que les sauveteurs n’interviennent pour la sauver, alors qu’elle était en train de se noyer, près d’une plage de Dubai (Emirats arabes unis), rapporte le site Emirates 24/7, dimanche 9 août. Deux sauveteurs présents sur la plage au moment de la noyade ont accouru pour sauver la jeune femme, mais le père les en a empêchés, arguant que « si ces hommes touchaient sa fille, cela la déshonorerait », a raconté le directeur adjoint de la section de recherches et de sauvetage de la police de Dubai.
Le père arrêté et poursuivi Le père, décrit comme un Asiatique, « était grand et fort », selon le responsable de la police. Menaçant avec les sauveteurs, « il leur a dit qu’il préférait voir sa fille mourir plutôt qu’elle soit touchée par un inconnu ». Selon la police, les précieuses minutes perdues à parlementer avec le père ont coûté la vie à la jeune femme, qui a fini par se noyer. « Elle est malheureusement morte alors qu’elle avait une chance de survivre, d’autant que les sauveteurs étaient proches d’elle et auraient pu l’extraire de l’eau », a commenté le responsable. Le père de la victime a été arrêté et poursuivi pour entrave aux opérations de secours. Source: France tv
Le gouvernement du Sénégal compte mettre sur pied un important mécanisme en vue de financier les études des étudiants cela grâce au projet dénommé prêt-bourse en partenariat avec la BNDE. La déclaration a été faite hier par le ministre de l’enseignement supérieur Mary Teuw Niane.
Le projet prêt-bourse va permettre au nouveau bachelier de pouvoir financier leurs études. Ce projet en maturation va être réalisé en partenariat avec la BNDE. Et selon le ministre de l’enseignement supérieur le professeur Mary Teuw Niane, «un tel projet est un parchemin vers la réussite parce qu’ils vont avoir de meilleures conditions d’études».
Et, une fois la réussite et l’insertion assurée l’étudiant va rembourser son prêt. Et, pour sa réalisation la banque nationale pour le développement va abriter le fonds de garantie. Pour lancer ce programme, la phase pilote va prendre en charge d’abord 100 étudiants de niveau masters dont 50 pour le public et 50 pour le privé pour la rentrée prochaine (2015-2016). Et en (2016-2017) ce programme va concerner prés de 1000 étudiants.
Ce nouveau projet permettra à tout bachelier de postuler à ce financement parce que c’est l’Etat qui assure la garantie a déclaré le ministre de l’enseignement supérieur. De son côté le directeur de la BNDE Thierno Seydou Nourou Sy a qualifié le projet d’innovant. L’annonce a été fait par le ministre Mary Teuw Niane lors de la cérémonie de graduation des étudiants du public orientés dans le privé.
Le Chef de l’Etat Macky Sall a envoyé une forte délégation au domicile de l’ancien ministre de l’Intérieur Ousmane N’gom pour lui présenter ses condoléances à la suite du décès de son cousin germain, El Hadj Mass Guèye, ancien cadre du PNUD. La délégation était conduite par le ministre d’Etat M’baye N’diaye, accompagné du ministre porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye, de Pape Maël Diop, Directeur des Aéroports du Sénégal ainsi que de Youssou Touré et Ahmet Suzanne Camara du réseau des enseignants de l’Apr. Les ministres conseillers Dame Diop et Cheick Mbacké Sakho étaient aussi de la partie. La délégation a été reçue, selon les information reçues, par Ahmed Bachir Kounta qui leur a souhaité la bienvenue, avant de rappeler les liens qui unissaient les deux hommes. Sur la même lancée, le ministre M’baye N’diaye a rappelé le compagnonnage entre le Président et l’ancien ministre de l’Intérieur, ainsi que les moments partagés dans le Gouvernement. Il a poursuivi en indiquant que le Chef de l’Etat connaissait les qualités et aptitudes du ministre Ousmane N’gom, considérant par ailleurs que le pays avait besoin d’hommes de sa trempe. « Le Président a besoin de toi, il faut donc arrêter de te mettre sur la touche et mettre la main à l’édifice », lui aurait tenu le ministre d’Etat. Toujours d’après notre source, M’baye N’diaye signifiera à son interlocuteur que dans la mission du président, aucun bras n’est de trop pour relever les défis et qu’il souhaiterait qu’Ousmane N’gom accepte de lui apporter son concours. Une interpellation à laquelle répondra Ousmane N’gom qui s’est dit d’abord sensible à ce geste du Chef de l’Etat, d’autant plus que ce dernier pouvait se limiter au coup de fil qu’il lui avait donné quelques minutes auparavant. S’agissant du message porté par le ministre M’baye N’diaye, Ousmane N’gom a d’emblée relevé que la présence du chef de l’Etat à la tête du pays procédait de la volonté divine. Il aurait aussi affirmé que son engagement politique est fondé sur sa foi inébranlable et « qu’on ne peut pas s’opposer à la volonté divine et qu’il faut avoir cette conviction profonde. » Il s’en réjouit d’autant plus « que Macky Sall était de la famille libérale. » Ousmane N’gom a donc manifesté son ouverture et sa disponibilité, « car le Sénégal a besoin de la mobilisation de toutes les compétences » dira-t-il, pour faire face aux grands défis. Et si cette union sacrée a pu se faire dans le passé dans l’intérêt du pays entre des formations politiques et des hommes appartenant à des familles idéologiquement différentes comme Abdou Diouf et Me Abdoulaye Wade, pourquoi pas « lorsqu’il s’agirait d’hommes et de femmes appartenant à la même famille politique? » L’ancien ministre, avant le départ de ses hôtes, leur a fait savoir que son engagement n’était pas pour une promotion, « mais j’avais senti le besoin et la conviction de m’engager et de servir mon pays », relevant qu’il aurait pu se contenter de son métier d’avocat ou alors être enseignant à l’Université.
Ahmed Khalifa Niass s’est prêté à la rubrique “En chiffres et en lettres” de l’Observateur. Le marabout, homme politique y détaille les chiffres et les lettre qui comptent pour lui. Et sur la liste assez longue d’ailleurs, la fortune de Khalifa Niass se distingue. Le religieux doublé de politicien estime sa richesse à 50 milliards de F Cfa. Ahmed Khalifa Niass dispose également de 3 comptes bancaires.
Parmi les chiffres qui sont importants pour Ahmed Khalifa Niass, il y a 50. C’est le nombres de fois (au moins) qu’il est allé à la Mecque. Pour ce qui est des appartements, il en possède 10 au Sénégal et 20 à l’étranger.
Quant aux dates phares il y a 1992, l’année à laquelle il a reçu à l’aéroport Jean Paul II en compagnie de Abdou Diouf.
Le quotidien l’Observateur lu pour vous par sans Limites, rapporte que Macky Sall s’est confié à ses proches au sujet de l’humiliation qu’il a vécue à l’université le 31 juillet dernier. Et, selon nos confrères, c’est pour afficher la fermeté à l’endroit des “coupables”. En effet, le chef de l’Etat n’apprécie guère les thèses voulant traiter ces troubles à l’ordre public commis dans l’enceinte de l’Ucad, “d’incidents mineurs sporadiques”.
Au contraire, il trouve que cela est l’expression politique d’une frange de jeunes de certains partis de l’opposition aux options irresponsables, que les faits incriminés aient été spontanés ou commandités. Par ailleurs, certains proches du Président Sall et non moins membre de l’Apr envisagent, parallèlement à l’action judiciaire intentée contre les présumés fautifs, d’apporter la riposte aux prétendues formations politiques instigatrices de jets de pierres et de projectiles sur le convoi du chef de l’Etat.
Ils comptent ainsi apporter la réponse nécessaire pour laver l’affront subi par leur mentor. Les responsables apéristes s’activent déjà autour des formes de manifestations à tenir pour non seulement fustiger l’attitude de leurs homologues de l’opposition, mais aussi exiger des poursuites à l’endroit des mis en cause.
Dans un communiqué largement diffusé hier, les libéraux du Parti démocratique sénégalais ont tenu à laver l’affront fait à leur patron Abdoulaye Wade par le président guinéen Alpha Condé. Ce dernier avait accusé le Pape du Sopi d’avoir été le parrain du putschiste Dadis Camara et de l’avoir encouragé à garder le pouvoir. Le communiqué du Pds a pris des allures de rafales sur Condé traité de goujat, d’oppresseur sans finesse et sans noblesse. sans Limites publie in extenso le communiqué signé du secrétaire général national adjoint Oumar Sarr
“Lors de sa visite à Dakar, faisant face à la presse, Alpha Condé, Président de la République de Guinée, a pris beaucoup de liberté dans ses propos face à la nation sénégalaise. En effet dans les annales des relations entre Etats, un Chef d’Etat, en visite dans un autre pays, quelques soient les griefs qu’il peut avoir vis-à-vis de ses hôtes, ne se comporte jamais comme Alpha Condé l’a fait à Dakar. Le pouvoir a une portée divine, et gare à ceux qui, lorsqu’ils en sont investis veulent l’exercer avec démesure !
Que ce soit dans le discours, que ce soit dans le comportement –regardez-le le samedi soir au palais gesticuler en présence du Président Bissau Guinéen – Alpha Condé n’a fait que projeter l’image d’un goujat parvenu au pouvoir par un tour de passe que seuls les Occidentaux pouvaient imaginer. Les spécialistes de l’histoire contemporaine de Guinée ont encore la responsabilité de nous expliquer comment ce Monsieur a pu être élu au deuxième tour des dernières élections présidentielles en Guinée.
En tout cas, ce que nous retenons, aujourd’hui, c’est qu’il est sans projet pour la Guinée, car depuis qu’il est là, son programme politique, à l’image de celui de Macky Sall, se résume à casser de l’opposition pour vivre heureux. En un mot, Mr Alpha Condé est un personnage incapable de prendre de la hauteur, car il a toujours manqué un brin de noblesse quelque part chez lui.
Lorsqu’il s’en prend publiquement, le vendredi 7 août 2015 à Abdoulaye Wade, ancien Président de la République, il sait, au fond de lui-même, qu’il verse dans la vindicte à l’endroit de celui, qui, même si ce n’était qu’une fois, lui a manifesté sa solidarité. En effet dans la crise qu’a traversée la Guinée, la position constante du Président Wade a été de préserver ce qui restait de l’Etat, pour éviter le chaos, comme ce fut le cas en Somalie et plus tard en Côte d’Ivoire sous son ami Gbagbo ! Quand il fut arrêté et emprisonné, Abdoulaye Wade a déployé tout son savoir-faire, usé de son influence pour le sauver ! Combien de fois, durant les douze années où Wade était au pouvoir, Alpha Condé est venu séjourner au Sénégal au frais de la Présidence de la République.
Sa « prise en charge » était dans l’ordre normal du fonctionnement du protocole présidentiel à tel point que Monsieur Alpha Condé pouvait revendiquer l’affectation d’une suite dans n’importe quel palace de Dakar, et il ne s’en privait pas ! Il s’y ajoute que le Président Wade ne manquait jamais de lui venir en aide financièrement comme il avait l’habitude de le faire d’ailleurs avec ses visiteurs.
Tout le monde se souvient encore de l’imagination créatrice et de la capacité de persuasion du président Abdoulaye WADE pour obtenir du candidat Cellou Dalein DIALLO qu’il accepte les résultats du deuxième tour de l’élection présidentielle guinéenne pour éviter le chaos dans ce pays frère. Pourtant Alpha CONDE sait mieux que quiconque que rien de crédible ne pouvait justifier son élection.
Que ce Monsieur vienne aujourd’hui accuser le Président Wade d’avoir encouragé les militaires à garder le pouvoir, voilà qui montre que même investi des plus hautes charges de son pays, dans la douleur et la confusion, Alpha Conde manquera toujours de panache et de noblesse à tel point qu’on se peut se poser la question « qui est-il réellement ? ».
Le Parti Démocratique Sénégalais, dans son combat pour l’intégration africaine et la constitution des Etats Unis d’Afrique, sera toujours aux côtés du peuple guinéen dans sa lutte pour le respect des libertés et de la démocratie. Il salue la détermination de l’opposition guinéenne, toutes tendances confondues, à faire face à la politique d’oppression du pouvoir en place.
Dakar, le 10 août 2015 Pour le Comité Directeur Oumar SARR S.G. Adjoint
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