Des buts d Angel Di Maria (4e) et d Edinson Cavani (64e) ont permis au PSG de débuter sa campagne de Ligue des champions par une victoire contre Malmö (2-0) mardi. Dans le même groupe, le Real Madrid a surclassé le Chakhtior (4-0). Le match: 2-0 Deux jolis buts marqués, aucun encaissé, une réelle emprise sur le match (75% de possession du ballon)… le PSG a parfaitement négocié son entrée dans la Ligue des champions 2015-2016 face à Malmö (2-0). La performance individuelle d’Angel Di Maria et la nouvelle réalisation d’Edinson Cavani, ont également de quoi satisfaire Laurent Blanc. C’est d’ailleurs Di Maria qui a ouvert la marque dès la 4e minute. Revenu de blessure, Zlatan Ibrahimovic, qui retrouvait le club où il a été formé, a ensuite eu plusieurs occasions de creuser l’écart. Mais il a soit buté sur Wiland (17e, 20e), soit raté le cadre (15e, 42e). Le gardien suédois s’est également mis en valeur dans le second acte sur des tentatives de Di Maria (52e), Maxwell (59e), Cavani (64e) et David Luiz (68e). Wiland a toutefois dû s’incliner sur une tête piquée de Cavani trouvé par Ibrahimovic. En face, Kevin Trapp, qui restait sur deux erreurs contre les Girondins de Bordeaux (2-2), n’a pas eu beaucoup à s’employer. Il a seulement vu Djurdjic (34e) manquer de peu le cadre. En fin de partie, Lavezzi a cru offrir un troisième but aux spectateurs du Parc des Princes mais il a été refusé pour un hors-jeu de Cavani. Grâce à ce succès, le PSG se classe deuxième du groupe A avec le même nombre de points que le Real Madrid – tombeur du Chakhtior (4-0) – mais avec une moins bonne différence de buts. Le joueur: Angel Di Maria déjà à l aise Angel Di Maria n’avait plus marqué en club depuis 254 jours et un match de Cup avec Manchester United contre Yeovil le 4 janvier. Ce mardi, l’Argentin a retrouvé ses sensations et le chemin des filets au Parc des Princes. Dès la 4e minute, l’ancien joueur du Real, trouvé en profondeur par Marco Verratti, a trompé le Wiland d’un plat du pied en lucarne. Il a ensuite été omniprésent dans le jeu parisien, enchaînant les accélérations et les débordements. Ses frappes à la 33e et 52e auraient pu embellir un peu plus sa performance d’ensemble. Le public parisien l’a ovationné lors de son remplacement par Lavezzi à la 84e.
Amy Sène et Gnima Faye ont sauvé la face de l’athlétisme sénégalais lundi en obtenant respectivement une médaille d’argent et une qualification en finale des 100 m haies.
Amy Sène, la spécialiste du lancer du marteau a terminé deuxième avec un jet 63,64 mètres, derrière la burkinabé Laetitia Bambara (66.91mètres). Détentrice du recordwoman d’Afrique au marteau, Amy Sène a manqué de fraîcheur durant la compétition. En 100 mètres haies dames, Gnima Faye avec un chrono 13’55 a terminé première de sa série. Elle a obtenu le deuxième meilleur temps des qualifications. La nigerianne Oliva Tabiloliba a fait le meilleur chrono en 13’11.
La finale des 100 m haies est prévue mardi dans l’après-midi au stade de l’unité de Kintélé. Les autres athlètes sénégalais ont obtenu des fortunes diverses. Au 400 mètres dames, Fatoumata Diop n’a pas obtenu la qualification. Elle a terminé cinquième de sa série avec un chrono 52’79. Sur la même distance chez les hommes, Mamadou Guèye avec un temps de 47’26 a terminé dernier de sa série. En saut en hauteur, Ndèye Diamé Diop n’a pas franchi la corde à 1,80 mètre. Mardi, le sauteur Ndiss Kaba Badji va disputer la qualification.
La deuxième journée des compétitions, d’athlétisme a été dominée par les sprinteurs ivoiriens. La Côte d’Ivoire a décroché deux médailles d’or et une en bronze. En dames, Marie José Talou a survolé les 100 mètres avec un chrono de 10’3. Son compatriote, Ben Yousseph Meïté a dominé le sprint masculin et un autre ivoirien a terminé troisième.
William Henry Gates III, dit Bill Gates, est connu à travers le monde. Il est un informaticien et un entrepreneur américain de renommée internationale, pionnier dans le domaine de la micro-informatique. Né le 28 octobre 1955 à Seattle, dans l’État de Washington, aux États-Unis, le patron de Microsoft explique que l’école n’enseigne pas toutes les choses essentielles de la vie. Invité à prononcer un discours dans une école secondaire, il a édicté 10 règles qui mènent au succès.
Règle 1 : La vie est injuste?!
La vie n’est jamais comme on aimerait qu’elle soit. Elle est une quête perpétuelle. Des mille routes que le monde met à notre disposition, chacun de nous en prendra une. La carrière des uns sera brillante. Celle des autres obscure. Que ceux qui auront la plus modeste part ne se plaignent pas, car nul ne peut contre la volonté de Dieu. Nul ne peut échapper à son destin. La persévérance, l’ardeur au travail, sont donc des conditions du succès, donc sachons prolonger nos efforts.
Règle 2 : Le monde se fout de notre amour-propre
Les gens n’aiment pas ceux qui se prennent pour le nombril du monde. Ceux qui ont une estime démesurée de leurs modestes personnes.
Le monde s’attend avant tout que nous accomplissions quelque chose avant que nous ne nous félicitions nous-mêmes, que nous ne nous vantiez d’être meilleurs que les autres.
Règle 3 : Ce n’est pas l’école qui nous fera devenir milliardaire
Fréquenter une école ne nous donne pas une garantie de réussite. Nous ne pouvons pas sortir aujourd’hui de l’école pour prétendre être millionnaires. Nous ne serons pas vice-présidents d’une multinationale en débutant, avec cellulaire, crédit de téléphone illimité, compte bancaire fourni et voiture de fonction. Nous devons d’abord trimer dur et mériter tous ces privilèges.
Règle 4 : Si nous croyons que notre professeur est dur avec nous, attendons d’avoir un patron
Beaucoup de jeunes, étant à l’école, pensent que les études sont dures et les professeurs des rustres. Mais, c’est lorsqu’ils commenceront à travailler qu’ils comprendront que leurs professeurs étaient des enfants de choeur, comparé à leurs patrons qui, la plupart, sont des négriers des temps modernes, des capitalistes nés, obnubilés par la rentabilité de leurs entreprises. Le professeur s’inquiète de ton bien-être. Le patron cherche une force ouvrière.
Règle 5 : Travailler dans une friterie n’est pas s’abaisser
Une manière de dire qu’il n’y a pas de sot métier. Qu’importe ce qu’on parvient à décrocher comme travail, soyons reconnaissants d’avoir obtenu un boulot au moment où d’autres personnes chôment. Considérons notre travail comme une opportunité et non comme une corvée.
Règle 6 : Si nous gaffons, ce n’est pas la faute des autres
On a tendance, lorsque nous fautons, à essayer de nous donner bonne conscience en rejetant la faute sur les autres. Nous devons, pour réussir dans la vie, arrêter de chialer et d’apprendre de nos erreurs.
Règle 7 : Avant que nous ne naissions, nos parents n’étaient pas aussi « ennuyants » qu’ils le sont maintenant?!
Nos parents sont souvent nos souffre-douleur. Nous les trouvons bavards, trop regardants sur ce que nous faisons, très présents dans notre vie, bref trop ennuyants.
N’avons nous pas pensé que nos parents sont devenus comme nous les décrivons parce qu’ils paient nos factures pour nous permettre d’avoir de l’eau courante et de l’électricité. Ils sont comme nous les décrivons en nettoyant (ou faisant nettoyer) nos vêtements. Avant de vouer nos parents aux gémonies, commençons donc par faire le ménage dans notre propre chambre et tout ce qui s’y trouve.
Règle 8 : L’école peut donner une 3e chance, pas la vie?!
Dans certaines écoles, il a été aboli les notes de passage. On donne maintenant aux élèves autant de chances qu’ils veulent pour obtenir les bonnes notes. Ceci n’existe pas dans la vraie vie?! La vie offre rarement une deuxième chance. Une troisième chance, n’en pensons pas.
Règle 9 : La vie n’est pas divisée en semestres
L’école est divisée en semestres. On peut obtenir une mauvaise note en premier semestre et se réajuster en 2e semestre. Et il y a une période de congé (les vacances). Dans la vie, ces opportunités n’existent pas. La vie ne connaît pas de repos ni de congés. Il faut nous assumer quotidiennement, faire face à nos responsabilités.
Règle 10 : La télévision n’est pas la « vraie vie »
On ne peut pas construire sa vie sur des chimères, sur de la science-fiction. Ne jamais penser que la vie est toujours parfaite et idyllique comme dans les films. Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler. Ceux qui n’ont rien à faire de leur vie sont considérés comme des parias, des loques humaines.
Suite à la parution de l’interview de M. SEYDOU DIOUF, Conseiller du Chef de l’Etat, Son Excellence M. MAcky SALL, sur les financements des collectivités locales, dans l’Observateur n 3593 du 14 Septembre 2015 ; il est de mon devoir en tant que Spécialiste en Droit et Administration des Collectivités Locales de contribuer à la Réflexion sur la question des financements innovants et intelligents des Collectivités Locales ou Territoriales dans l’Espace UEMOA.
Je suis d’avis M. le Conseiller, en ce sens qu’on ne peut seulement baser le financement sur la fiscalité locale. En effet, vous avez raison de souligner et qu’en l’espèce, il y a toujours un gap entre les prévisions du budget primitif et les recettes ou ressources réellement recouvrées (voir le budget primitif et le compte administratif) pour s’en convaincre.
Ainsi, poursuivant la Réflexion, je suis de ceux croient que pour connaitre la puissance d’un Etat, on n’a pas besoin de regarder son Armée, sa Gendarmerie encore moins sa Police, il suffit juste de brandir le Budget ; par ricochet le Développement durable à la Base aujourd’hui ne peut se faire qu’ à travers des financements innovants et intelligents c’est à dire efficaces et efficients :
D’abord par la Prévision et l’affectation de Fonds suffisants mobilisables pour booster le développement socio- économique de base.
A ce titre, l’Etat, au nom de la presque Homogénéité de l’Administration : centralisée, déconcentrée et décentralisée, doit inscrire son action en parfaite cohérence et harmonie dans les différentes échelles de Gouvernance territoriale. Ainsi, le Gouvernement qui poursuit une Mission d’intérêt général, doit intervenir à travers des grappes de convergence par Pole Territoire de Développement, le tout soutenu par un Management rapproché dans la territorialisation des politiques publiques.
Ensuite la Gestion par des personnes privées à titre principale à travers le mécanisme
Délégation du Service public (loi 65-51 du 19 juillet 1965 portant COA, modifiée par la loi 2006-16 du 30 Juin 2006)
Le développement des Partenariats publics privés à vocation communale, municipale et départementale sera un cadre intéressant de financement. A titre d’exemple, on peut citer le cas de la concession de service public, la régie intéressée, le contrat de partenariat à dimension locale dans les domaines de compétences transférés.
Enfin la RSE et l’Emprunt obligataire doivent aussi être des leviers à fort impact de développement durable à la base. S’agissant de la RSE, les collectivités doivent bénéficier des retombées en termes d’investissement et d’accompagnement divers. Et quant à l’Emprunt obligataire, les Pays membres de l’Uemoa doivent bénéficier du concours financier et de l’accompagnement technique pour capter et lever des fonds. A cet effet l’Instruction 36-2009/CREMPF et la Directive n 01-2011/Uemoa sur le régime financier des collectivités locales doivent être des instruments juridiques communautaires permettant ainsi l’atteinte des objectifs de performance en la matière.
AL HASSANE SANE, Spécialiste en Droit et Administration des Collectivités Locales
C’est le site Lateranga.info qui avait décrié en premier la transformation du Pont de l’émergent en construction à Grand Yoff à un dépotoir sauvage d’ordures ménagères et autres débris de maisons. Ce site qui a été aussi un abris pour les « boudjmanes » n’a pas laissé indifférent notre canard préféré qui avait récemment porté la situation à la connaissance des autorités compétentes.
En effet, cet acte de civisme et de patriotisme de Lateranga.Info n’a pas aussi laissé le gouvernement indifférent. Car, depuis quelques jours les forces de l’ordre sont positionnées en encerclant le site qui s’est vidé de ses intrus malpropres (« boudjmanes »: ndrl).
En tout cas cette prompte réaction des autorités pour nettoyer et sécuriser le Pont de l’émergent peut également rapidement dissiper la peur qui habitait les usagers et les habitants de Grand Yoff, des Parcelles Assainies, de Grand Médine, etc, déjà inquiets de la recrudescence des agressions violentes et mortelles à Dakar.
Au cours d’un long entretien accordé à L’Équipe, Thiago Silva a clamé son bonheur d’être le capitaine de ce Paris SG.
Deux buts encaissés seulement en six matches toutes compétitions confondues : la défense du Paris SG est en place en ce début de saison. Thiago Silva (30 ans) n’y est pas étranger. Le capitaine du club de la capitale est revenu de la Copa América le couteau entre les dents, affichant son meilleur visage lors des cinq premières journées de Ligue 1.« J’ai trente ans, je me sens serein. J’ai beaucoup réfléchi ces derniers temps et j’ai pris conscience que j’avais encore des rêves à réaliser. Je veux quitter un jour le PSG en ayant remporté la Ligue des Champions. C’est mon plus grand rêve. Pour le réaliser, tu sais que tu as besoin d’être concentré, de travailler. Tu sais que si tu arrêtes de travailler, tu vas commencer à plonger. J’avais besoin d’être tranquille dans ma tête, car il s’est dit beaucoup de choses sur la Seleção », a-t-il confié à L’Équipe pour expliquer son très bon départ.
Pour le défenseur central, de retour au top, la C1 vire même à l’obsession. « En gagnant quatre titres la saison dernière, on a réalisé quelque chose que personne n’avait jamais fait en France. Pour le club, pour nous, c’était très important. Mais le premier objectif a toujours été la Ligue des Champions », a-t-il lâché avant d’insister. « Depuis la première fois que j’ai parlé avec le président, le projet a toujours été de la Ligue des Champions. On a beaucoup progressé, mais on a besoin de travailler tous ensemble », a-t-il lancé. L’international auriverde (59 sélections, 4 buts) considère que son équipe a les moyens d’aller au bout de ses ambitions. « Comme je l’ai dit à mes coéquipiers, quand on joue ensemble, c’est toujours difficile pour nos adversaires. La saison dernière, contre Chelsea, on a joué plus de quarante cinq minutes avec un joueur en moins et on a réussi une grande performance. Cette saison, on a fait la même chose à Lille pour le premier match de championnat. Quand tu es capable de faire ça, tu regardes tes coéquipiers et tu te dis : « C’est bon, on est là » », a-t-il indiqué.
Le PSG est plus fort
Le natif de Rio de Janeiro paraît même impressionné par le groupe qu’il côtoie au quotidien. « Le club a beaucoup changé. Quand je suis arrivé, c’est vrai, ce n’était pas ma volonté à 100%. J’étais dans un état d’esprit qui me disait : vas-y, tu verras bien. Aujourd’hui, quand je regarde mon équipe, je me dis (il bombe le torse) : « C’est une grande équipe. Je pense que c’est la meilleure équipe dans laquelle j’ai jamais joué, il y a tellement de qualité » », a-t-il osé, lui qui a évolué avec de nombreuses stars à l’AC Milan et en sélection du Brésil.« Nous sommes plus forts que la saison dernière, oui. Si vous prenez l’effectif, tous les postes sont doublés. On pourrait faire deux bonnes équipes, une pour jouer la Coupe d’Europe et une pour la L1 ! Les grandes équipes ont besoin d’avoir des joueurs de qualité sur le banc, cela permet de faire tourner. Si vous regardez les équipes européennes, sur le papier, le PSG a l’effectif qui compte le plus de joueurs de qualité », a-t-il insisté.
Pour autant, o Monstro assure que les pensionnaires du Parc des Princes ont encore une marge de progression. « Physiquement, on n’est pas encore à 100%, mais techniquement et tactiquement, on est déjà en place, le groupe n’a pas beaucoup changé », a-t-il commenté, situant le PSG dans la hiérarchie européenne. « On fait partie des bonnes équipes. Pour moi, Barcelone est au-dessus, derrière il y a le Bayern Munich et le Real Madrid, et après Manchester City, Chelsea et nous. Voilà où on en est. Cette saison, on doit montrer qu’on vaut encore mieux. Ca fait déjà trois fois qu’on est éliminés en quarts de finale, maintenant, on veut atteindre les demi-finales, voire la finale », a-t-il conclu. La mission de Thiago Silva et les siens commence dès ce mardi, avec la réception de Malmö. À eux de jouer.
Le défunt Mor Sèye, qui a passé 25 ans en Italie et avait même obtenu sa carte de séjour « interminado », menait, selon ses proches, une vie très saine, tout à l’opposé de ces rumeurs qui veulent lui coller une fausse tenue de trafiquant de drogue. « Nous somme issus d’une bonne famille de marabouts de Coki. Mor n’a jamais vendu de la drogue. Cela ne l’a jamais tenté. Il a toujours gagné honnêtement et licitement sa vie, à la sueur de son front. En tout cas, on ne lui connait pas ce vice et ce penchant ». Et brandissant pour preuve le casier judiciaire du défunt émigré, la famille de renchérir : « Mor était une personne calme, très facile à vivre, sans histoire, et un musulman pieux qui avait le sens de l’honneur et de la dignité. Mais aussi qui travaillait dur pour venir en aide à sa famille établie à Touba ».
La lauréate du prix découverte RFI est célibataire, et son cœur encore à conquérir. L’aveu est sorti de sa propre bouche, suffisant pour constituer un signal… !
C’est en toute discrétion que la première dame du Sénégal, madame Marième Faye Sall, s’est rendue dimanche soir vers 17h30 mn et en délégation très restreinte, au domicile familial du Dr Yahya Diop, où elle a présenté ses condoléances à la mère du médecin disparu. Elle a d’ailleurs trouvé sur place Innocence N’tap N’diaye, présidente du haut conseil du dialogue social, dont les parents du disparu sont ses voisins.
Serine Modou Kara avait vu Ibou, le fils de Bagan Ndoye, un homme aimé dans son Louga natal, ajouter son nom au sien. C’était suite à son mariage avec Mme Khady Bâ, qui est la mère de Ibou Ndoye devenu « Ibou Kara ». Mais, il a fini par divorcer avec la grande dame. Ibou pourrait, comme sa mère, enlever son « Kara », parce que même sa Léa a fini par le quitter. Le Fils a divorcé après sa mère. Il ne peut qu’en être secoué. « Quand le cœur parle, la raison s’en va ». Secoué, il ne peut que l’être, parce que Léa, qui lui a donné un enfant, ne lui servira plus du « Kinkéliba ». Le nom de l’émission matinale de la Rts, qui a fait connaître cette belle et raffinée journaliste.
Nos antennes placées dans les grandes artères de Dakar sont formelles : la journaliste Aïssatou Diop Fall a bien mis la croix sur celui qui fut son Alioune Bare. Ils avaient divorcé avec fracas. Depuis, Bare s’est barré. On ne le voit et n’entend plus. Par la suite, on prêta à l’ex-directrice des programmes de Walf Tv puis de Dunya une aventure avec un ancien Pm, grâce auquel elle s’était retrouvée en France, pour la première fois. Elle s’était débarrassée de ses rastas et de son teint noir. Dépigmentée, maintenant, qu’Adf est à Tfm, elle roucoule avec un sexagénaire plein aux as. Seulement, ils le font en cachette. Est-ce à cause de leur différence d’âge et de style ? Adf craint-elle plutôt la « Diègue » de son nouveau Alhadji ? Elle est la seule et nous à savoir.
Que ça menace, que ça râle, que ça chauffe, que ça craint ou que ça brûle, le Président de la République a le droit de se rendre dans n’importe quelle localité du pays. Qu’il neige, qu’il pleuve ou qu’il vente, le gardien de la constitution et chef suprême des armées a le devoir de se déplacer où le besoin l’appelle et à n’importe quelle heure dans une sécurité parfaite. Si Macky Sall n’est plus libre et n’est plus en sécurité alors qui peut l’être au Sénégal? Un état qui se respecte doit être fort car force doit rester à la loi. Macky doit savoir qu’une vie sans difficulté, sans affrontement, sans souffrance, sans souci, sans contrainte n’est plus une vie. Une fois de plus Macky vient de trembler et ce n’est pas normal car le Sénégal n’est pas une jungle mais une République. La conquête perpétuelle de la liberté et le sel de la vie. Pour gérer les souffrances des sénégalaises, il faut de la vision, du courage, de l’abnégation, de l’audace mais surtout un discours de vérité et des actions concrètes. Finalement le face à face entre Macky, son gourmand griot Youssou Ndour et la banlieue n’a pas eu. Depuis le caillassage de son cortège par les étudiants, le Président Macky Sall peine à mettre le nez dehors. Macky Sall a-t-il tiré les leçons de sa visite le 31 juillet dernier à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar? Annoncé samedi dans la banlieue de Dakar, plus précisément à Pikine où il devait présider la cérémonie de clôture des vacances citoyennes, le chef de l’Etat et son conseiller Youssou Ndour ont préféré plier leur queue sous la menace des populations qui les ont vomi et qui ne souhaitent plus apercevoir leur silhouette, même pas en photo. Pour la première fois dans l’histoire politique du Sénégal un Président est interdit de mettre les pieds dans un lieu et il se plie. Un chef d’état terrorisé par des populations voilà le masque que porte le Président Macky Sall. Quant au jadis chouchou du peuple sénégalais Youssou Ndour, le peuple en a marre de le voir inventer et chanter des louanges imaginaires pour le Président le plus nul que le Sénégal n’ait jamais connu. L’artiste en qui les jeunes avaient placé leur espoir pour qu’il soit leur interlocuteur auprès du chef de l’état est considéré aujourd’hui comme un » dorkate » (profiteur qui dorlote Macky pour mieux s’en mettre plein les poches). Après avoir été le plus grand mange mil de 2012 à nos jours, Youssou qui sent le pognon à des milliers de kilomètres trahira-t-il Macky avant la présidentielle de 2017 ? Le concert de l’artiste planétaire dans la banlieue a ainsi finalement été annulé par Yousous picsous lui-même par peur de se voir caillassé la nuque. Heureusement pour lui car la situation de désolation qui règne dans la banlieue n’est pas compatible avec des applaudissements et des pas de danse. En résumé, il a fui comme son patron Macky. Les RG seraient passés par là et les auraient formellement avertis du danger qu’ils encourent. En tout cas pour un sondage et pour jauger son impopularité le Président Macky Sall n’a plus besoin de cabinet ou d’expert pour connaître son poids électoral et à quel point les populations l’ont vomi. La réalité est que quand on se fout de se son peuple, on finit par se créer des zones interdites et le cas de la banlieue suffit largement comme exemple. C’est intolérable, triste, dommage, irresponsable, dangereux, catastrophique et chaotique lorsque les populations imposent au Chef suprême des armées des lignes rouges à ne pas franchir, Çà devient grave. Au fait, où sont le Président de l’Assemblée Nationale et sa bande de députés mal élevés pendant que les populations sont envahies par les eaux des inondations?
La 1ère édition de la finale du Tournoi « Petit Pelé » opposait la Zone 7 (Ouakam Ngor Yoff » à la Zone 3 (HLM Marsistes Grand Daakr). Et pour applaudir et soutenir les deux équipes, les organisateurs de la manifestation ont pu compter sur un premier rang très sportif : El Hadji Ousseynou Diouf et Gorgui Sy Dieng
Quelqu’un qui mérite une lourde peine, c’est bien Serigne Guèye. Depuis quelques jours, le gars croupit à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel. Et c’est d’ailleurs demain, mercredi, qu’il sera jugé devant le tribunal des flagrants délits.
Que reproche-t-on à Serigne Guèye ? Le gars n’a rien trouvé de mieux à faire que violer à plusieurs reprises un talibé âgé de 13 ans. Sans blague alors ! Les faits se sont déroulés au niveau du “garage” de Diourbel. Serigne Guèye, 25 ans, a réussi à faire croire au jeune talibé qui avait fugué, qu’il allait le ramener à ses parents.
Après avoir amadoué le gosse, le gars l’a invité dans un bâtiment en chantier où il vivait et c’est là qu’il est passé à l’acte à plusieurs reprises. On ne sait pas trop comment, mais Serigne Guèye a été alpagué par la police avant d’être déféré pour acte contre nature et viol sur mineur.
Célébrant son anniversaire hier au Barramundi, Aida Samb a pu compter sur la présence de son ami et frère Pape Diouf. Elle témoigne une complicité assez particulière avec son collègue artiste du Label Prince Arts.
Comme à l’accoutumé, la Télévision Futurs Médias a toujours récupéré tout ce qui brille au niveau des autres petits écrans, surtout la Sen TV. L’on se rappelle le cas Pape Cheikh DIALLO, Fama Thioune et Le Caméraman Nar DIOP . Cette fois-ci, vue la performance remarquable de Safia Diatta, à travers ses émissions telles que « Entre Nous » et « GUISS-GUISS », qu’elle partage avec Mbaye NGONE, le Groupe Futurs Médias risque de déclencher son arsenal pour l’épingler. En tout cas, cela ne doit pas surprendre le grand public, qui toujours attend que les choses se passent comme l’a établi la loi du marché concurrentiel.
Après un bras de fer qui avait fini d’installer un malaise entre la présidente de l’Office national de la lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), Nafi N’gom et certains ministres de Macky Sall, la situation s’est finalement décantée, avec les déclarations de patrimoine enregistrées des ministres, en attendant celle des directeurs généraux et autres chefs de services. L’annonce a été faite par la présidente de l’Ofnac, en marge d’une session de formation dans le cadre du 13ème programme mondial sur la lutte anti corruption, la criminalité financière et le recouvrement des avoirs. « Les déclarations de patrimoine se passent très bien maintenant. Tous les ministres ont déclaré leur patrimoine et les dépôts se poursuivent à l’Ofnac par les autres assujettis, à savoir les Directeurs généraux, les Dage, les chefs de services et toutes les personnes administratrices de crédits, ordonnateurs, comptables qui gèrent des opérations qui atteignent ou dépassent un milliard de francs, a renseigné Nafi N’gom. Revenant sur les obstacles et difficultés rencontrées dans le cadre des déclarations de patrimoine, Nafi N’gom a expliqué les raisons des réticences des ministres : « c’est parce que la déclaration de patrimoine est une mesure nouvelle que les ministres ont fait montre de réticences et de craintes. Mais ils ont finalement tous déclaré leurs patrimoines, au même titre que le président de l’Assemblée nationale, la présidente du Conseil économique, social et environnemental »,a soutenu la présidente de l’Ofnac. Interpellée sur les résultats déjà enregistrés dans le cadre de ces déclarations, Nafi N’gom a indiqué sur les colonnes de La Tribune ne pas pouvoir en parler : « je suis désolée, je ne peux pas parler de mon travail », a-t-elle sèchement indiqué…
Bien que retiré en France, Abdoulaye Wade n’en délaisse pas pour autant son parti, encore moins la bataille pour la libération de son fils Karim. Pour donner un coup de fouet à ses ouailles libérales, il a décidé de mettre la main à la poche. L’on se rappelle qu’après que la Cour suprême a rendu son verdict définitif sur l’affaire Karim Wade, le pape du sopi affirmait, depuis sa résidence de Versailles, que le PDS et ses alliés allaient continuer la bataille pour freiner la progression de l’injustice dans notre pays. Abdoulaye Wade promettait de conduire lui-même le volet politique de ce combat et de procéder au préalable à une réadaptation des stratégies en fonction des nouvelles donnes politico-judiciaires. Comme pour joindre l’acte à la parole, le secrétaire général du PDS a enjoint les responsables de son parti et quelques membres de son entourage restés à Dakar, de procéder au listing des besoins financiers et matériels pour une bonne préparation des batailles de remobilisation et d’occupation de l’espace politique sur plusieurs mois, et de lui faire parvenir un projet de budget dans ce sens, dans les meilleurs délais, renseigne L’Obs. Le coordinateur Oumar Sarr et Cie ont ainsi entrepris de dresser l’esquisse de ce qui devrait être l’expression chiffrée de l’arsenal de guerre pour le PDS et ses alliés du Front pour la défense de la République. Selon une source proche des responsables chargés de la vie, de la propagande et de l’animation du parti, le secrétaire général du PDS ambitionne de mettre armes et munitions politiques à la disposition de ses lieutenants afin que la guerre pour la libération de leurs responsables emprisonnés prenne une autre dimension en cette période de ferveur politique et de quasi-campagne électorale. Les fonds mobilisés, précise-t-on, sont exclusivement propres à Abdoulaye Wade, lequel a déploré le peu d’engouement de certains responsables élus au nom du parti à mettre la main à la poche lorsqu’il s’agit de l’intérêt du parti en pareilles circonstances
L’année 2015 est lourd de par son funeste bilan des sénégalais expatriés. soit sauvagement battus par balles soit tués lors d’une détention dans un commissariat ou poste de police, le diaspora sénégalais soufre le martyr. Des morts ou tueries ignobles et inhumaines. En voici une liste de 10 (dix) Tout débute en janvier.
Aux Etats Unis , un jeune homme âgé de 38 ans a été froidement battu à son lieu de travail. Le 28 janvier le jamaïcain Calvin Esdaile sous la rage d’être viré par son superviseur revient sur les lieux de travail. Fusil à la main, c’est ainsi qu’il ôta la vie à Moctar Sy . Et dire qu’il revenait fraichement d’un séjour en France où sont domiciliées son épouse et sa fille. Laissant ainsi une veuve et une orpheline déplorées.
En France dans la nuit du 05 au 06 mars un autre compatriote du nom de Amadou Koumé aurait succombé dans les locaux du commissariat du 10ème suite à des sévices corporelles. Des sévices que lui aurait infligé la police française. Il s’en est allé ainsi à l’âge de 33 ans. Ce n’est qu’au moi d’avril que la presse s’est enquéri de ce dossier. Ce fut jusqu’alors un secret bien gardé.
L’on se souvient toujours du triple meurtre de jeunes sénégalaises au quartier Firdaousse à Casablanca (Maroc). Le 07 avril, deux sœurs Adja Arame et Sophie Guèye ainsi que leur cousine Seynabou Ndoye décèdent asphyxiées dans leur chambre. On ignore jusque là l’élément déclencheur de cette flamme nocturne qui a emporter nos jeunes sœurs.
Le 15 juillet au Gabon, Moustapha Kébé rend l’âme à sa 30ème année de vie dans des circonstances nébuleuses. La déplorable scène s’est déroulée dans un camps où il aurait subi toute sorte de violences ayant conduit à sa mort. La victime a été épinglé par les flics gabonais pour infraction routière. Il était un chauffeur de car de transport en commun communément appelé «sirouman» qui avait l’habitude de suppléer un de ses compatriotes.
Le mois d’août reste un mois émaillé de choc, d’amertume et frustration pour nos sénégalais de la diaspora. Des manifestations par ci et par là à l’endroit des compatriotes tués par la police de leur pays d’accueil. L’on assista ce genre de scénario suite à la mort de Mor Sylla, tué par les policiers de Saragosse (Espagne). Poursuivi par les limiers, Mor tombe du balcon de son appartement alors qu’il n’avait que 35 ans.
La liste est loin d’être épuisée. Les assassinats se multiplient de fort cruelle manière. Le 19 Aout, le Sénégal perd deux de ses fils à l»étranger. Le premier meurtre s’est produit en Côte d’Ivoire précisément à la police du 4ème arrondissement de Treichville. Alors qu’il était en détention Souleymane Diallo a été froidement battu par balle.
Le second drame est survenu en Grèce où en tentant d’échapper aux policiers municipaux, Cheikh Ndiaye aurait trébuché sur les rails ou électrocuté à la station de métro Thisseio. Agé de 37 ans, il laisse derrière lui deux mômes.
En voulant séparer deux individus qui se bagarraient dans les rues des Etats Unis, Abdou Salam Cissé s’en est allé à jamais. Il a reçu sur la nuque, titube et tombe par terre. Le coup lui a valu la vie.
Le corps sans vie de la sénégalaise retrouvé dans le fleuve français la Seine n’a pas encore fini de livrer ses secrets. Tuée puis jetée dans ledit fleuve, Aminata Dia (34 ans) était maman d’un enfant de deux ans.
Alors qu’on ne s’est pas remis du décès de Aminata, l’on apprend l’inqualifiable meurtre de Mor Sèye en Italie. Ce vendredi 11 Septembre, la victime a reçu 4 balles de calibre 22 qui l’ont atteint au cou et à la poitrine. Selon un site italien Mor Sèye a été tué alors qu’il était assis sur une planche à roulette. Et était entrain de manger des fruits sur le tronçons de la plage située à côté du terrain de tennis de la localité.
A peine fini de parler de ce drame, un autre cas presque identique vient encore s’ajouter à la série macabre. Lamine Senghor, basé à Paris et résidant à Grand-Yoff, a été mortellement poignardé.
La diplomatie a peut être ses propres réalités et fonctionnements. Mais, force est de reconnaître que celle du Sénégal peine à accomplir son devoir qui est avant tout de garantir la sécurité de nos compatriotes vivant à l’extérieur. Il est temps de venir en aide nos ressortissants que l’on abat incessamment à l’extérieur. Paix à vos âmes, les trentagénaires qui nous ont brutalement quitté.
Une femme de 80 ans en couple avec un jeune Sénégalais est tombée dans les pommes lors de leurs ébats sexuels. Elle l’aura cherché.
Elles sont nombreuses les Européennes qui débarquent au Sénégal à la quête d’une nouvelle jeunesse. Dans leur viseur, de jeunes Sénégalais au corps bien bâti et capable de leur donner ce qu’elles n’ont jamais eues dans leur pays d’origine. Mais c’est non sans courir de gros risques car il arrive que ces jeunes à la fleur de l’âge dont elles louent les services y aillent trop fort.
Dans sa livraison du mardi 15 septembre, l’Observateur rapporte cette histoire qui a eu lieu à Saly Portudal entre une vieille de 80 ans et un jeune de 23 ans. Ib. Nd qui a quitté son patelin pour Saly a été abordé en ruelle par une vieille qui cherchait quelqu’un pour se débarrasser d’un chat trop encombrant. Le jeune homme qui n’y voyait pas d’inconvénient accepte d’aider la vieilledame qui une fois chez elle, invite Ib. Nd à partager son repas.
Vous n’allez pas en croire vos yeux mais cette opération déguerpissement de chat se finira par une partie de jambes en l’air dans le canapé. Seulement, l’octogénaire n’était pas capable de suivre le rythme de son visiteur très balèze. Résultat des courses, la dame tombe dans les vapes. Paniqué, le jeune homme appelle à l’aide et sera tiré d’affaire par un passant qui a entendu ses cris de détresse. Ainsi, la dame sera « réanimée ».
Malgré tout, elle n’a pas renoncé à cette relation très risquée pour son cœur. L’Obs révèle que la mémé a gardé son jeune Sénégalais jusqu’à son départ pour la France pour cause de maladie. Et des histoires pareilles sont légion dans la petite côte où des européennes abandonnées à leur sort dans leurs pays d’origines se retapent une nouvelle vie, aux côtés de jeunes Sénégalais qui rêvent de lendemains meilleurs.
En le citant nommément dans son livre «My Story» parlant de lui comme la pire recrue de Liverpool Steven Gerrard savait qu’ El Hadji Diouf allait lui apporter la réplique. Du tic au tac l’ex capitaine des Lions a réagi aux attaques de l’ex capitaine emblématique des Reds de Liverpool qui fut son coéquipier? Dans le style virulent qu’on lui connait Dioufy n’a pas porté de gants pour «remettre à sa place» le milieu de terrain anglais. «Gerrard est juste jaloux. Ce que j’ai réalisé en football, il ne l’a pas fait. Quand je suis venu à Liverpool, je suis venu avec le statut de boss et lui, il y habite. Moi, je suis respecté dans le football mondial, les plus grands experts du foot m’ont désigné parmi les 7 meilleurs joueurs d’une coupe du monde, parmi les 100 meilleurs joueurs du siècle. Il y a plusieurs grands joueurs qui n’en faisaient pas partie. Partout où je vais, hors de mon pays, on m’adule et lui partout où il ira en dehors de sa ville de Liverpool, il sera insulté », a déclaré Diouf sur les ondes de la Rfm, Et de pousser encore le bouchon. Selon lui Steven Gerrad s’en prend à lui simplement parce qu’il est raciste: «c’est lui qui a fait éliminer l’Angleterre de la dernière Coupe du monde. Si Liverpool n’a pas gagné la Premier League, c’est de sa faute. On a tous vu comment il a rendu la vie difficile à Mario Balotelli à Liverpool. Je l’avais prévenu. Liverpool n’est pas une équipe qui accueille les noirs à moins qu’ils ne soient des Anglais. Sinon, tu n’as aucune chance. C’est de notoriété publique, Gerrard n’a jamais aimé les Blacks. Quand j’étais à Liverpool, je lui montrais que j’étais noir, je ne suis pas Anglais, mais je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Tout le temps que j’y ai passé, il n’a jamais osé me regarder dans les yeux! »
Le président brésilien Dilma Rousseff, a aussitôt condamné “toutes les formes de violence, d’intolérance et de la haine” après la mort de Cheikh Oumar Foutyou Diba, un sénégalais, qui a blessé et brûlé vif alors qu’il dormait dans la municipalité de Santa Maria, dans l’état de Rio Grande Sud.
Le président brésilien Dilma Rousseff a condamné lundi « tout type de violence, l’intolérance, la haine ou, » en référence au crime haineux commis contre un citoyen sénégalais Cheikh Diba.
“Je regrette profondément l’incident dans lequel sénégalais Cheikh Diba, qui a été brûlé pendant le sommeil sur le trottoir à Santa Maria (RS)”, a déclaré Mme Rousseff, via son compte twitter :
Dilma Rousseff @dilmabr Lamento profundamente o incidente envolvendo o senegalês Cheikh Diba, q foi incendiado enquanto dormia na calçada, em Santa Maria (RS).
Elle a également dit que cet «acte criminel» sera étudié avec la plus grande célérité et que les responsables seront “sévèrement punis”.
Trois assaillants ont mis le feu à son matelas samedi alors qu’il dormait dans les rues de Santa Maria, dans l’Etat méridional de Rio Grande del Sur – une ville habitée principalement par des immigrés.
«Je déplore profondément l’incident », a déclaré le président sur Twitter, informant le crime sera étudiée par la police fédérale et le coupable « sévèrement punis. » Elle condamne sévèrement les attaques xénophobes contre les immigrés d’origine africaine.
Elle a souligné que la population du Brésil est principalement composé par des descendants d’immigrés, par conséquent, la tradition historique du Brésil est l’accueil et le respect des étrangers qui ont choisi de venir au Brésil « pour construire leur vie. »
Rappelons que le mois dernier, sept immigrants haïtiens ont été grièvement blessés dans des attaques d’armes à feu, et le maire de Sao Paulo a condamné l’agression comme un acte de xénophobie dans la plus grande ville du Brésil.
Ils ont été abattus par les assaillants qui criaient«Les Haïtiens, volent nos emplois! »
Signalons que le statut de réfugié a été refusé à Cheikh Oumar Foutyou Diba lorsqu’il l’avait sollicité après son entrée au Brésil en Décembre 2013. Il avait fait appel de la décision, et il était actuellement en cours de traitement par le ministère de la justice brésilienne.
Selon l’estimation officielle, le nombre de demandes de réfugiés a doublé au Brésil au cours des quatre dernières années, à partir de 4218 en 2012 à 8400 en Juin à 2015.
Dakar abrite depuis hier une rencontre internationale de 5 jours (du 14 au 18) qui va regrouper plusieurs pays africains, à savoir : le Cameroun, le Togo, le Bénin, le Niger, le Nigéria, la Guinée et la Côte d’Ivoire et le Sénégal.
Il s’agit du 3ème Programme mondial sur la lutte contre la corruption, la criminalité financière et le recouvrement d’avoirs, une session de formation autour d’une problématique qui semble actuellement au centre de toutes les politiques gouvernementales.
Les participants à ce programme de formation vont travailler, sous l’égide d’Interpol, sur le cadre légal en matière de lutte contre la corruption, les instruments légaux dans la lutte contre la corruption, les meilleures pratiques pour sécuriser et présenter des preuves, l’entraide judiciaire officielle et aux prescriptions en la matière.
L’objectif de cette session: Partager le savoir-faire et les meilleures pratiques en matière de prévention et de lutte contre la fraude, la corruption et les autres crimes financiers.
Ce Programme de formation vise aussi à revisiter les approches doctrinales, stratégiques et opérationnelles pour une meilleure sécurité des espaces de la vie socioéconomique. Les participants vont travailler, entre autres, sous l’égide de Interpol sur le cadre légal en matière de lutte contre la corruption, les instruments légaux dans la lutte contre la corruption, les meilleures pratiques pour sécuriser et présenter des preuves, ou l’entraide judiciaire officielle et aux prescriptions en la matière.
Cissé Lô est en effet resté constant sur ses propos à l’encontre de Cheikh Kanté. Le vice-président de l’Assemblée n’enlève aucune virgule de sa déclaration. Il maintient tout ce qu’il a dit sur Cheikh Kanté. Il l’a répété dans un entretien accordé à l’Observateur. Selon lui la plainte de Cheikh Kanté ne lui fait pas peur.
“J’attends qu’il m’envoie une citation directe. Je persiste et signe qu’il est venu, avec sa femme, pleurer devant moi, pour être nommé à la direction du Port de Dakar. Qu’ils prennent l’avocat du diable. Je l’ai aidé pour qu’il soit là où il est aujourd’hui, il me doit une fière chandelle. C’est cela, la vérité. Il est venu me voir au café de Rome, je l’ai foutu dehors. Je l’ai renvoyé comme un malpropre, il courait. Il y avait au moins dix témoins. je demande l’audit de la gestion du Port autonome de Dakar de Cheikh Kanté. Parce qu’il ne peut pas continuer à distribuer, au quotidien, des dizaines de millions de francs CFA, sans qu’on en sache d’où il tire sa fortune. Ça doit être clair dans la tête des Sénégalais”, martèle t-il
La Tabaski 2015 n’échappe pas à l’exception sénégalaise : célébrer les fêtes religieuses dans la division. La commission nationale de concertation du croissant lunaire qui s’est réunie dans les locaux de la RTS fixe la date de la fête de Tabaski le 25 septembre prochain. Aïd el Kébir, fête de Tabaski sera célébrée 24 heures avant par la coordination des musulmans de Dakar. La Commission nationale de concertation du croissant lunaire réunie en début de la soirée dans les locaux de la RTS affirme que la lune n’est pas aperçue dans aucune localité du Sénégal et considère mercredi 16 septembre comme le premier jour du mois lunaire et fixe la fête de la Tabaski le vendredi 25 septembre prochain. La coordination des musulmans de Dakar, elle, célébrera la Tabaski le 24 septembre prochain. Pour elle, c’est demain mardi qui est considéré comme premier jour du mois lunaire. seneweb.com
Une pèlerine sénégalaise a été arrêtée et placée entre les mains des forces de sécurité royales à la suite de son arrestation à l’aéroport de Djeddah. Elle détenait par alors qu’elle était en possession d’une manette remplie de gris-gris.
La révélation de ce qui est considéré comme un sacrilège en terre sainte d’Islam a été faite par l’envoyé spécial de la radio Zik Fm.La détention de gris-gris est une chose interdite en Arabie Saoudite, royaume islamique qui applique la Charia.
La dame en question est toujours en garde à vue dans les locaux du commissariat de Djeddah. Les autorités saoudiennes tentent actuellement de mettre la main sur ses complices éventuels qui pourraient être sénégalais, mais aussi arabes, selon la Tribune et notre compatriote qui risque une très lourde peine d’emprisonnement.
Ne souhaitant pas commenter sa plainte contre Moustapha Cissé Lô pour « diffamations, injures publiques et diffusion de fausses nouvelles », le directeur général du Port autonome de Dakar, le Pr Cheikh Kanté a quand même tenu, par le biais de son chargé de communication, à confirmer la plainte contre le Vice-président de l’Assemblée nationale. « Le directeur général du Port autonome de Dakar, Cheikh Kanté, m’a confirmé qu’il a bel et bien porté plainte (contre Moustapha Cissé Lô, NDLR) », a rapporté Hamid Sy dans des propos relayés par le quotidien « L’Observateur ».
Le Sénégal va s’enrichir d’une nouvelle institution qui occupera une place importante dans la nomenclature étatique.
Même si ses contours ne sont pas encore définis, toujours est-il que l’institution figure dans la première mouture que le président de la République Macky Sall compte soumettre au peuple sénégalais au référendum de mai 2016.
Il s’agit d’un haut conseil des collectivités locales (HCCL) Selon le journal « L’As », cet organe qui constituer le couronnement de la réforme qu’est l’Acte 3 de la décentralisation qui tient à cœur le président de République. D’autant que l’axe stratégique du chef de l’Etat reste territorialisation.
Ce Haut conseil sera composé d’élus locaux issus des différentes collectivités locales du pays. Ils seront élus au suffrage universel indirect, c’est-à-dire qu’ils seront élus par leurs pairs. Et le président de cette institution aura une bonne place dans l’ordre protocolaire du fait de l’importance que le président de la République accorde aux collectivités locales qui doivent être à ses yeux des vecteurs de développement.
Gora Thiam était un jeune transitaire. Il a trouvé la mort à la fin du mois d’août dernier. C’était sur l’autoroute à péage. Sur ce tronçon construit par l’entreprise Eiffage Sénégal du français Gérard Sénac, dont le coût a été surfacturé selon les experts, la moto que conduisait M. Thiam a heurté une vache ! Et, l’irréparable s’est produit sur une autoroute non éclairée ! Plus jamais ça, a juré l’avocat Me Cheikh Khoureyssi Bâ. Parce que l’entreprise de Sénac gagne 70 millions de francs Cfa par jour. Comment dès lors n’a-t-elle pas pris des dispositions sécuritaires pour clôturer les limites de l’autoroute afin que des vaches n’y divaguent pas. Comment avec cette manne financière Eiffage n’a-t-elle pas pris des dispositions sécuritaires pour que l’autoroute soit éclairée, comme c’est la norme partout. Une faute qui a fait que 4 véhicules ont roulé sur le corps du jeune Gora. Plus jamais ça, a juré Me Bâ. Ainsi a-t-il introduit une procédure pour traduire Gérard Sénac devant les tribunaux pour homicide, découlant de « négligences technique graves ». Xibar a d’ailleurs appris que des proches du défunt transitaire vont appuyer l’avocat, en se constituant partie civile. M. Senac aura fort à faire pour ne pas être condamné, car Me Cheikh Khoureyssi Bâ est un avocat teigneux et que la société française qui a trouvé au Sénégal un Eldorado a fait plus que fauter. L’accident de Gora est un crime. Xibar y reviendra.
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