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Du nouveau dans l’affaire Bassirou Diomaye Faye, Cheikh Ou­mar Diagne et Karim Xrum Xax

Maitre Moussa Sarr a déposé une nouvelle demande de mise en liberté provisoire pour Bassirou Diomaye Faye, Pr. Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye dit « Karim Xrum Xax », a appris Seneweb.

Pour rappel, la Chambre d’accusation de la cour d’appel de Dakar avait maintenu en détention ces détenus, suite à l’appel interjeté par la défense.

Affaire Cheikh Bara Ndiaye et Nit Doff : Me Moussa Sarr pose un nouvel acte

Du nouveau dans l’affaire Cheikh Bara Ndiaye et Mor Talla Guèye alias « Nit Doff ». L’avocat Moussa Sarr a déposé une nouvelle demande de mise en liberté provisoire pour le chroniqueur de Walf TV et le rappeur, a appris Seneweb auprès de leur avocat.

Pour rappel, la chambre d’accusation a infirmé récemment l’ordonnance de mise en liberté provisoire de Cheikh Bara Ndiaye.

Le préfet de Dakar interdit le rassemblement du Frapp prévu demain samedi

Le préfet de Dakar, Mor Talla Tine, a publié ce mercredi un arrêté interdisant le rassemblement prévu demain samedi par le Front pour la révolution anti-impérialiste, populaire et panafricaine (Frapp).

Monsieur Tine a invoqué des « risques de troubles à l’ordre public’ » et d’ »entrave à la libre circulation des personnes et des biens ».

La manifestation devait avoir lieu au terrain des HLM Grand-Yoff en face du stade Léopold Sédar Senghor, de 15 h à 19 h.

3eme candidature : Après Macky, Marième prend une décision

C’est une page qui se tourne dans la famille présidentielle, après que Macky Sall a renoncé à briguer une troisième candidature pour la Présidentielle de 2024. La décision de dissoudre la Fondation Servir le Sénégal a été actée le 11 août dernier.
Chez les Sall, on se prépare à l’après-pouvoir, relate le journal le Quotidien . La décision du Président Macky Sall de ne pas présenter une troisième candidature à la Présidentielle de 2024 entraîne plusieurs conséquences. La première : le 11 août dernier, la Première Dame a réuni les administrateurs de Servir le Sénégal pour annoncer sa dissolution. Une fin logique de l’existence de cette fondation créée en même temps que l’accession de Macky Sall au pouvoir. Elle l’aidait dans les actions humanitaires durant ses deux mandats présidentiels : promotion économique et sociale des Sénégalais, soutien médical, renforcement des équipements des établissements hospitaliers ou sanitaires pour un meilleur accès aux soins, accès à l’eau potable, construction, rénovation et entretien des lieux de culte et des écoles.

«La création de la Fondation Servir le Sénégal s’explique par une ambition simple : améliorer le quotidien de mes compatriotes les plus défavorisés», explique Mme Marème Faye Sall dans la lettre de mission de la structure. Après 12 ans d’existence, c’est la fin de mission de la Fss de Marème Faye Sall, qui a été au cœur du régime Sall en assumant cette mission sociale et humanitaire.

Coupe du Sénégal : Le chef de l’État attendu au stade Abdoulaye Wade ce dimanche…

Le président Macky Sall pourrait assister à la finale de la Coupe du Sénégal ce dimanche au Stade Abdoulaye Wade de Diamniadio avec l’affiche Jaraaf versus Stade de Mbour (17h00 gmt.)

Ce serait la concrétisation d’une très vieille doléance du monde sportif. Depuis plus de 30 ans, précisément lors de l’édition de 1991, la finale de la Coupe du Sénégal s’est toujours déroulée en l’absence du principal parrain, le président du Sénégal.

Actuellement en déplacement à Johannesburg pour le Sommet des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) qui prend fin ce jeudi, le président Sall est fortement pressenti pour prendre part à cette grande fête du football sénégalais.

Rappelons que le Jaraaf est le recordman absolu de la Coupe du Sénégal avec 21 finales jouées dont 15 remportées et 05 perdues. Un véritable exploit pour le club de la Médina qui va tenter de sauver sa saison blanche face au stade de Mbour qui n’a disputé que deux finales de coupe du Sénégal perdues en 2008 et en 2017.

Affaire Juan Branco : Le lutteur « Usine Doolé »et un contrôleur des impôts et domaine ont été arrêtés

Après Ndiogou Lô suspecté d’avoir hébergé Juan Branco avant de solliciter Pape Sow, maire de Sangalkam pour prendre le relais et ensuite organiser l’exfiltration de l’avocat français d’Ousmane Sonko à partir d’une pirogue qui a pris le départ au quai de pêche de Rufisque, deux nouvelles arrestations ont été discrètement effectuées par la Section recherches (Sr) de Colobane. Selon les informations de Libération la Sûreté Urbaine a interpellé le lutteur Alioune Diomaye Diouf dit « Usine doolé » et Mamadou Diop, un contrôleur des impôts et Domaines.

Le premier assurait la sécurité de Juan Branco comme on l’a vu lorsque l’avocat avait débarqué par surprise au Relais lors de la conférence des conseils de Sonko avant de disparaître dans la nature. Quant à Mamadou Diop, il a récupéré Juan Branco chez Djamil Sané, le maire des Parcelles déjà écroué pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, participation à un mouvement insurrectionnel, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à causer les troubles politiques graves mais aussi provocation directe d’attroupement armé.

D’après l’enquête, Mamadou Diop a ensuite « confié » Juan Branco à Ndiogou Lô avant l’entrée en scène du maire de Sangalkam Papa Sow placé sous mandat de dépôt, dans le cadre de cette procédure, pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste mais aussi actes et manœuvres de nature à troubler l’ordre public. À noter que le maire des Parcelles a été extrait de prison, puis entendu par la Sr dans le cadre de cette procédure. Selon le journal Libé, Djamil Sané a d’ailleurs été déféré pour «recel et transport de malfaiteurs » en même temps que Ndiogou Lô, «Usine doolé » et Mamadou Diop. Ils étaient tous hier en retour de parquet.

Vidéo : Les Assises de la Presse dévoilent les défis du secteur médiatique

Les Assises de la Presse, évènement majeur dans le monde des médias, ont débuté ce matin en mettant en lumière les problématiques auxquelles le secteur doit faire face. Ce rassemblement, occasion précieuse pour les acteurs de la presse, a permis de dresser un bilan sans concession de l’état actuel de l’industrie.

Plusieurs défis majeurs ont été identifiés lors de cette première journée. Parmi eux, le déficit de confiance dont souffrent les médias, un problème qui semble peser lourdement sur l’industrie. La question de la transition vers le numérique a également été mise en avant, soulignant l’importance de l’adaptation à cette nouvelle ère pour la survie des médias.

Ces Assises de la Presse apparaissent donc comme une occasion pour les acteurs de la presse de faire face à leurs problématiques, de chercher des solutions et de se préparer aux défis à venir. Il ne reste plus qu’à espérer que les discussions constructives de cette journée se traduiront par des actions concrètes pour l’avenir de l’industrie.

L’État du Sénégal va réclamer des dédommagements financiers au leader de l’ex parti Pastef

Lors d’un point de presse tenu ce jeudi 24 août, le pool d’avocats en charge de la défense des intérêts de l’État du Sénégal a exposé ses arguments contre une campagne de dénigrement internationale. La conférence avait un double objectif : informer l’opinion publique nationale et internationale sur les développements judiciaires actuels tout en rétablissant la vérité légale.

Le communiqué, lu par Me Ndeye Anta Mbaye, a pointé du doigt des « individus » se tenant en dehors des limites légales et s’attaquant à l’État du Sénégal ainsi qu’à ses institutions démocratiques. Cette initiative visait à mettre en lumière « une campagne internationale de dénigrement de l’État du Sénégal, de son système démocratique et de ses institutions par des individus qui se sont mis en marge de la légalité. »

Dans cette optique, des extraits de déclarations d’Ousmane Sonko ont été cités, révélant des appels à la révolte et à l’insurrection. Une déclaration notait : « Le combat s’annonce mortel, le mot n’est pas de trop, c’est le prix qu’il faut payer aujourd’hui. » Un autre appelait les jeunes à « prendre les armes » pour déloger le Président de la République, évoquant des parallèles avec des événements passés.

3e mandat: Arona Coumba Ndoffène Diouf parle de ce qui a fait « reculer » Macky…

Arona Coumba Ndoffène Diouf est revenu sur la décision du Président Macky Sall de ne pas se présenter en 2024. Un décision qui a d’ailleurs surpris l’ancien conseiller de l’actuel chef de l’Etat qui, révèle-t-il, avait bel et bien l’intention de « briguer un 3e mandat« .

Parce que « contraint »…

D’après le candidat déclaré à la présidentielle de 2024, dans un entretien avec le quotidien « le Témoin », « le Président Macky Sall voulait briguer un troisième mandat » et qu’il a reculé « parce qu’il a été contraint… Moi-même j’étais surpris car, au cours de notre rencontre en 2011, il m’avait fait savoir qu’il allait quitter le pouvoir au terme de deux mandats et qu’après, si moi je voulais me présenter, j’étais libre d’en exprimer le besoin. Donc, en termes de sincérité, je ne l’ai pas trahi ».

Avant de poursuivre : « Mais c’est à partir de 2021 que j’ai assisté dans son cabinet à la naissance d’un courant qui militait pour son maintien au pouvoir. Je ne veux pas citer de noms mais quand ces personnes sont venues me voir, je leur ai dit que cette idée ne peut pas prospérer au Sénégal et qu’il ne faut pas compter sur mon soutien… C’est une volte-face. Il y a des signes qui montrent que tel n’était pas son souhait. D’abord il a laissé un courant de ministres, directeurs généraux, maires, députés faire des plateaux dans les médias, organiser des meetings pour soutenir sa candidature. Et jamais il n’a cherché à les arrêter. Donc, c’était avec sa volonté qu’ils le faisaient d’autant plus que tous ceux qui étaient contre ont été virés de leurs postes. Et n’eut été la pression internationale portée par des chefs d’État africains d’abord puis des puissances étrangères comme la France et les Etats-Unis, il allait forcer le barrage« .

L’État du Sénégal va réclamer des dédommagements financiers au leader de l’ex parti Pastef

Lors d’un point de presse tenu ce jeudi 24 août, le pool d’avocats en charge de la défense des intérêts de l’État du Sénégal a exposé ses arguments contre une campagne de dénigrement internationale. La conférence avait un double objectif : informer l’opinion publique nationale et internationale sur les développements judiciaires actuels tout en rétablissant la vérité légale.

Le communiqué, lu par Me Ndeye Anta Mbaye, a pointé du doigt des « individus » se tenant en dehors des limites légales et s’attaquant à l’État du Sénégal ainsi qu’à ses institutions démocratiques. Cette initiative visait à mettre en lumière « une campagne internationale de dénigrement de l’État du Sénégal, de son système démocratique et de ses institutions par des individus qui se sont mis en marge de la légalité. »

Dans cette optique, des extraits de déclarations d’Ousmane Sonko ont été cités, révélant des appels à la révolte et à l’insurrection. Une déclaration notait : « Le combat s’annonce mortel, le mot n’est pas de trop, c’est le prix qu’il faut payer aujourd’hui. » Un autre appelait les jeunes à « prendre les armes » pour déloger le Président de la République, évoquant des parallèles avec des événements passés.

Grève de faim, S Modou Astou Mbacke prend la défense de Sonko « amna ci droit yoon maynako ko… »

Greve de faim, S Modou Astou Mbacke prend la défense de Sonko « amna ci droit yoon maynako ko… »

Ndigueul S.Mountakha, La surprenante analyse de S Modou Astou Mbacke « xamoon na né dougnouko gis… »

Ndigueul S.Mountakha, La surprenante analyse de S Modou Astou Mbacke « xamoon na né dougnouko gis… »

Serigne Modou Astou Mbacke « Tandarma yi Serigne Mountakha yonnéé Sonko ay comprimé la, def ci wara »

Serigne Modou Astou Mbacke « Tandarma yi Serigne Mountakha yonnéé Sonko ay comprimé la, def ci wara »

Incroyable! Cet ex proche de Macky défend «Li Dafa Eup acharnement la , Dafa Wara Bokk.. »

Incroyable! Cet ex proche de Macky défend «Li Dafa Eup acharnement la , Dafa Wara Bokk.. »

Dernière minute- Encore une mauvaise nouvelle pour Ousmane Sonko

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Lors d’un point de presse tenu ce jeudi 24 août, le pool d’avocats en charge de la défense des intérêts de l’État du Sénégal a exposé ses arguments contre une campagne de dénigrement internationale. La conférence avait un double objectif : informer l’opinion publique nationale et internationale sur les développements judiciaires actuels tout en rétablissant la vérité légale.

Le communiqué, lu par Me Ndeye Anta Mbaye, a pointé du doigt des « individus » se tenant en dehors des limites légales et s’attaquant à l’État du Sénégal ainsi qu’à ses institutions démocratiques. Cette initiative visait à mettre en lumière « une campagne internationale de dénigrement de l’État du Sénégal, de son système démocratique et de ses institutions par des individus qui se sont mis en marge de la légalité. »
Dans cette optique, des extraits de déclarations d’Ousmane Sonko ont été cités, révélant des appels à la révolte et à l’insurrection. Une déclaration notait : « Le combat s’annonce mortel, le mot n’est pas de trop, c’est le prix qu’il faut payer aujourd’hui. » Un autre appelait les jeunes à « prendre les armes » pour déloger le Président de la République, évoquant des parallèles avec des événements passés.
Les développements judiciaires en cours ont également été abordés. Suite à un mandat d’arrêt international lancé par le juge d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Dakar, Me Juan Branco a été inculpé de divers chefs d’accusation, notamment de complot contre l’autorité de l’État et de diffusion de fausses nouvelles. Ousmane Sonko, quant à lui, a fait face à une série d’accusations graves, allant de financement du terrorisme à provocation directe à un attroupement armé.
Pour réclamer réparation des dommages subis en raison de ces actes illégaux, l’État du Sénégal s’est constitué partie civile. Le communiqué explique « qu’un pool d’avocats chargé de défendre les intérêts de l’État du Sénégal a également été mis sur pied pour se constituer dans ces procédures et dans toutes autres concernant les dégradations, pertes et préjudices infligés à l’État du Sénégal dans ce contexte. »
Le communiqué a mis en avant le respect de la présomption d’innocence et la nécessité de préserver la séparation des pouvoirs, tout en soulignant l’importance de parvenir à la vérité judiciaire et à un procès équitable. Il a également émis des réserves quant à certains appels en faveur de l’ingérence dans les attributions légales du juge d’instruction.
Pour conclure, le pool d’avocats a réaffirmé son engagement à œuvrer pour que « justice soit faite ». Il a souligné que « l’État du Sénégal dans sa mission de préservation des intérêts publics et privés entend se défendre devant toutes les juridictions pour obtenir réparation des dommages et préjudices découlant de ces infractions et permettre la défense de toutes victimes de ces exactions et actes terroristes. »

🔴Dernière minute, Intervention de S Cheikh Saliou sur l’affaire Sonko «privé» des dattes S.Mountakha?

🔴Dernière minute, Intervention de S Cheikh Saliou sur l’affaire Sonko «privé» des datte S.Mountakha?

Nécrologie : Terrible nouvelle, la communauté musulmane endeuillée (Photo)

Nécrologie
Nécrologie

La communauté musulmane du Sénégal, en particulier la communauté Khadriya du Sénégal est endeuillée suite au rappel à Dieu de Badjane Sokhna Ndamba Kounta.

La fille de Cheikh Bou Mouhamed Kounta « Borom Ndiassane » , vient de nous quitter, selon la page Facebook Cheikh Bou Diop fan’s. Une disparition qui constitue une grosse perte pour la Ummah islamique du Sénégal.

La rédaction de Sanslimitesn présente ses sincères condoléances à toute la famille éplorée et prie pour le repos éternel de son âme.

img 20230824 wa0067 - Senenews - Actualité au Sénégal, Politique, Économie, Sport

Me Moussa Diop sur Karim Wade : “Il n’a pas les Qualités pour Être Président”

Me Moussa Diop sur Karim Wade
Me Moussa Diop sur Karim Wade

Me Moussa Diop, invité mercredi de Faram Facce, sur la tfm, a passé au peigne-fin le dossier de candidature de Karim Wade investi par le Pds.  Le leader de la coalition And Gor Yi Jotna /la majorité silencieuse de dire on ne peut plus clairement que Wade-fils n’a pas les qualités pour être Président.

Karim Wade ne peut pas être Président, c’est un bébé encore, parce qu’il a la double nationalité, ce n’est pas la peine d’aller au Conseil constitutionnel, selon Me Diop.

Et l’avocat, brandissant, preuve à l’appui,  le passeport français de Karim Wade, un document publié au Sénégal, s’interroge en ces termes :

« Pourquoi contourner les textes, parce que c’est le fils de ? Oui, c’est le fils de Me Wade, raison pour laquelle, on lui a tout confié, ciel, mer, terre et tout, respectons les lois.

Quid du renoncement par Karim à sa nationalité criée sur tous les toits ?

« Le droit français stipule que la nationalité française ne peut pas être perdue à travers une déclaration. Pour la perte de la nationalité française, poursuit-il, il faut une décision des autorités françaises ».

S’y ajoute que pour être candidat, avance Me Moussa Diop, « il faut aussi ne rien devoir à l’Etat sénégalais. Karim Wade doit payer les 138 milliards, pourquoi vouloir être candidat faisant du forcing ».

Est-ce un problème personnel  avec Karim Wade ? : « Je n’ai rien de personnel contre les gens, je suis sur des principes, si on me confie le pays, je ne décevrai personne »

Point Presse avocats Etat sur Branco et Sonko : Réaction de l’avocat franco-espagnol

Branco et Sonko
Branco et Sonko

Les « avocats de l’Etat du Sénégal » annoncent une conférence de presse au sujet de « mon affaire » ainsi que de celle de mon client, à Dakar. C’est trop d’égards ».

Ainsi rétorqua Me Juan Branco aux avocats de l’Etat du Sénégal qui organisent, à Dakar ce jeudi 24 août, un point de presse, portant sur les affaires Ousmane Sonko et Juan Branco.

Mais l’avocat de Ousmane Sonko, trouvant que la priorité est ailleurs, « les invite plutôt à nous parler des 1600 à 1800 prisonniers politiques détenus arbitrairement dans les 37 prisons du territoire. De la situation sanitaire de M. Sonko, principal opposant détenu arbitrairement, en grève de la faim depuis 25 jours, et de son hospitalisation en réanimation. De la dissolution récente du PASTEF, principal parti d’opposition ».

Mais aussi, poursuit l’avocat franco-espagnol, « de l’interdiction de toute manifestation, des soixante manifestants tués par balle réelle depuis mars 2021,des milliers de civils blessés », et autres « 3.000 prisonniers entassés au cœur de Dakar, à Rebeuss ».

Alioune Tine à Macky : « Il n’est jamais trop tard pour bien faire, corriger et changer… »

Alioune Tine à Macky
Alioune Tine ,Macky

Le fondateur d’Afrikajom Center interpelle encore le président de la République, Macky Sall pour la libération de Ousmane Sonko et les détenus politiques ».

« Nous vivons sans doute une des séquences les plus tragiques de notre histoire politique, celle qui renvoie à la criminalisation de l’opposant pendant la période coloniale. L’opposant souvent considéré comme un terroriste et son traitement était la prison, l’exil ou la mort », dénonce Alioune Tine.

Selon M. Tine, il nous faut toujours nous interroger quand on est au pouvoir en Afrique quel message nous donnons aux futures générations, aux africains et au monde quand on fait de la politique. Et la démocratie est structurellement imparfaite et appelle de nous tous des ressorts puissants de notre imaginaire pour la réinventer chaque fois qu’elle est en panne.

« Le meilleur moyen, c’est la palabre africaine, parce que la démocratie c’est toujours et partout « une assemblée de paroles » pour reprendre la merveilleuse formule d’Alain Supiot. Les moment de panne démocratique sont des opportunités, pour des actes absolus de sublimation, des moments pour rebondir, des moments où il faut faire montre de capacité de résilience », estime Alioune Tine.

« Macky Sall, il n’est jamais trop tard pour bien faire, jamais trop tard pour corriger et changer de trajectoire: libérez Sonko pour lui sauver la vie contre lui-même, libérez les détenus politiques, convoquer la grande palabre pour soigner le Sénégal. Partout on voit que le Sénégal est malade sauf nous. Le temps file, arrêtons-nous, parlons-nous », demande Alioune Tine.

Les avocats de l’État du Sénégal annonce encore une mauvaise nouvelle contre Ousmane Sonko

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Lors d’un point de presse tenu ce jeudi 24 août, le pool d’avocats en charge de la défense des intérêts de l’État du Sénégal a exposé ses arguments contre une campagne de dénigrement internationale. La conférence avait un double objectif : informer l’opinion publique nationale et internationale sur les développements judiciaires actuels tout en rétablissant la vérité légale.

Le communiqué, lu par Me Ndeye Anta Mbaye, a pointé du doigt des « individus » se tenant en dehors des limites légales et s’attaquant à l’État du Sénégal ainsi qu’à ses institutions démocratiques. Cette initiative visait à mettre en lumière « une campagne internationale de dénigrement de l’État du Sénégal, de son système démocratique et de ses institutions par des individus qui se sont mis en marge de la légalité. »
Dans cette optique, des extraits de déclarations d’Ousmane Sonko ont été cités, révélant des appels à la révolte et à l’insurrection. Une déclaration notait : « Le combat s’annonce mortel, le mot n’est pas de trop, c’est le prix qu’il faut payer aujourd’hui. » Un autre appelait les jeunes à « prendre les armes » pour déloger le Président de la République, évoquant des parallèles avec des événements passés.
Les développements judiciaires en cours ont également été abordés. Suite à un mandat d’arrêt international lancé par le juge d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Dakar, Me Juan Branco a été inculpé de divers chefs d’accusation, notamment de complot contre l’autorité de l’État et de diffusion de fausses nouvelles. Ousmane Sonko, quant à lui, a fait face à une série d’accusations graves, allant de financement du terrorisme à provocation directe à un attroupement armé.
Pour réclamer réparation des dommages subis en raison de ces actes illégaux, l’État du Sénégal s’est constitué partie civile. Le communiqué explique « qu’un pool d’avocats chargé de défendre les intérêts de l’État du Sénégal a également été mis sur pied pour se constituer dans ces procédures et dans toutes autres concernant les dégradations, pertes et préjudices infligés à l’État du Sénégal dans ce contexte. »
Le communiqué a mis en avant le respect de la présomption d’innocence et la nécessité de préserver la séparation des pouvoirs, tout en soulignant l’importance de parvenir à la vérité judiciaire et à un procès équitable. Il a également émis des réserves quant à certains appels en faveur de l’ingérence dans les attributions légales du juge d’instruction.
Pour conclure, le pool d’avocats a réaffirmé son engagement à œuvrer pour que « justice soit faite ». Il a souligné que « l’État du Sénégal dans sa mission de préservation des intérêts publics et privés entend se défendre devant toutes les juridictions pour obtenir réparation des dommages et préjudices découlant de ces infractions et permettre la défense de toutes victimes de ces exactions et actes terroristes. »

Pétition pour la libération de Sonko : La réponse ferme des avocats de l’Etat du Sénégal

avocats de l'Etat du Sénégal
avocats de l'Etat du Sénégal

La grève de la faim entamée par Ousmane Sonko, pour protester contre son arrestation, continue de susciter des réactions passionnées et des débats acharnés. 
Dans un geste significatif, 142 personnalités du pays, parmi lesquelles des défenseurs des Droits de l’homme, ont apposé leur signature sur une pétition exhortant le chef de l’État à libérer l’opposant incarcéré et à annuler la dissolution de son parti politique Pastef.
Cette démarche n’a pas tardé de provoquer une réplique vigoureuse de la part du pool d’avocats mandatés pour représenter les intérêts de l’État du Sénégal. 
Lors d’une conférence de presse convoquée ce jeudi, ces avocats ont adressé une réponse cinglante à cette initiative et se sont évertués à rétablir les faits et les principes juridiques fondamentaux.
Le communiqué émanant de ce groupe d’avocats évoque avec fermeté les inquiétudes quant aux conséquences potentiellement graves de l’appel lancé par ce qu’ils qualifient de « coalition des défenseurs des droits humains ». Ils soulignent la préoccupation majeure que soulève ce type d’initiative, mettant en lumière les risques inhérents à une telle démarche qui, selon eux, outrepasse les limites de la loi en appelant à la « violation de ses règles fondamentales ».
Les avocats ont vivement dénoncé les « manœuvres » et la « désinformation » qui pourraient résulter de ce genre d’appel, qu’ils estiment encourager une ingérence du pouvoir Exécutif dans les prérogatives légales du juge d’instruction. 
Le pool d’avocats déclare que « ces manœuvres et désinformations sont à dénoncer, car elles encouragent une immixtion du pouvoir Exécutif dans les attributions légales du juge d’instruction et lui imposent une parodie de « solutions judiciaires ».
Un rappel sans équivoque est adressé aux signataires de la pétition, les enjoignant à considérer les événements passés comme des leçons à assimiler. Les avocats de l’État du Sénégal font allusion au principe d’État de droit, pierre angulaire de la société, insistant sur son caractère inaltérable et son application uniforme à tous les citoyens. 
Ils fustigent ainsi les actes qu’ils qualifient de « profanation sauvage du sanctuaire universitaire » ainsi que l’incendie criminel qui a ravagé la faculté de Droit.
Loin de se restreindre à la critique, les avocats du pool rappellent également la complexité des enjeux sous-jacents. Ils insistent sur le fait qu’indépendamment de toute considération humanitaire ou sanitaire, la notion de l’autorité, même si elle émane de la plus haute instance de l’État, ne peut se substituer aux prérogatives du procureur de la République. La demande de libération provisoire, même en dépit de l’implication du juge d’instruction, est catégoriquement qualifiée de « catastrophe juridique », d' »aberration démocratique » et de « magouille politique ».

AFFECTATION DÉFINITIVE DES LOGEMENTS DE LA CITÉ BALLABEY : Le président Macky Sall réalise le rêve des familles des cheminots

Macky Sall
Macky Sall

Le président de la République Macky Sall a tenu à sa promesse. Les habitants de la cité Ibrahima Sarr (ex-Ballabey) possèdent désormais leurs maisons. La cérémonie officielle de remise des titres des logements aux cheminots s’est tenue ce jeudi à la direction de la Société nationale Les Chemins de fer du Sénégal, sous l’égide du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement. Un événement historique découlant de la volonté du chef de l’État d’honorer toute une communauté après plusieurs années au service du transport ferroviaire aujourd’hui en profonde mutation.

«Depuis plusieurs décennies, vous avez demandé l’affectation définitive des logements occupés, dans cette cité Ballabey, par des travailleurs et d’anciens travailleurs de la Société nationale des chemins de fer du Sénégal. Je décide que cette affectation devienne définitive à l’endroit des populations concernées», avait indiqué Macky Sall, après avoir entendu la doléance des anciens cheminots, le vendredi 10 février 2023, lors du lancement des travaux de réhabilitation de la voie ferrée Thiès – Tambacounda sur financement exclusif de l’État, à hauteur de 17,8 milliards pour l’exercice budgétaire 2023.
 Une occasion pour le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, venu présider la cérémonie, d’annoncer qu’il est prévu pour l’année 2024 de poursuivre cet effort de l’État à travers le budget consolidé d’investissement.
Mansour Faye rappelle qu’au mois de février dernier, à Thiès, « le chef de l’État, fidèle à son sacerdoce de service des populations sénégalaises de tous bords, avait répondu favorablement à l’appel des travailleurs de Dakar-Bamako ferroviaire pour leur reversement dans la nouvelle société nationale des chemins de fer du Sénégal chargée de la mise en œuvre de la nouvelle politique ferroviaire de l’État».
Selon lui, «les instructions données en ce sens ont été immédiatement exécutées par le directeur général de CFS, à la satisfaction des travailleurs, et ceci  nonobstant les diligences que  le chef de l’État a pu apporter pour le paiement d’une partie des indemnités différentielles dues dans le cadre du contentieux social de l’ex-RCFS pour un montant de 814 000 000 F CFA concernant 547 agents et plus récemment, en 2022, de la somme de 971 381 966 F CFA pour 820 agents ex-temporaires».
Assurément, se réjouit le ministre Faye, «cette journée du vendredi 10 février 2023 sera gravée dans les mémoires des cheminots, puisqu’en plus de son engagement ferme et résolu à relancer les chemins de fer du Sénégal, pour en faire un puissant levier de notre développement économique et social, le chef de l’État a accédé aux vœux des habitants de la cité Ibrahima Sarr en leur cédant les logements afin qu’ils puissent en devenir propriétaires».
Aussi de féliciter le gouverneur de Thiès et son équipe qui, souligne-t-il, «ont pu très rapidement prendre en charge le dossier et diligenter toutes les procédures administratives pour nous permettre de vous remettre à titre symbolique un lot de 20 attestations de propriété». Il a félicité le directeur général de la CFS qui, dit-il, a «pu trouver avec l’association des habitants de la cité la bonne synergie nécessaire au traitement de ce dossier».
D’après le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, «l’espoir renaît au chemin de fer grâce aux efforts conjugués de la CFS et des partenaires, grâce aussi et surtout au dynamisme des cheminots dont la détermination dans les chantiers et l’esprit d’abnégation ont permis depuis quelque temps d’enregistrer des résultats performants et d’envisager l’avenir avec sérénité ».
Il n’a pas manqué d’encourager Les Grands Trains du Sénégal (GTS SA) à persévérer dans l’effort pour redémarrer le transport voyageur et marchandise sur les lignes ferroviaires réhabilitées».

Effondrement d’un bâtiment à Rufisque : La Sipres brise le silence

Hier, cinq personnes ont perdu la vie dans l’effondrement d’un immeuble, à la cité Sipres à Rufisque. Un écroulement qui découle d’une modification du bâtiment en souterrain, alors que la construction date de 2015.
Réagissant, Anna Dia Ba dégage toute responsabilité de la Sipres sur le drame. 
En effet, la patronne de la Sipres précise que toutes les normes ont été respectées durant la construction, et que ce sont les acquéreurs qui procèdent à des modifications sans au préalable prendre l’avis technique de la société.
« J’ai appris avec beaucoup de consternation le drame survenu hier dans la villa 191 du lotissement d’Al Azhar que nous avons livré depuis le 29 juin 2015. Nous n’étions pas au courant de ces travaux entrepris par le propriétaire. Traditionnellement, nos clients se rapprochent de nous quand ils veulent faire des modifications dans leurs villas et nous leur donnons les plans de béton armé visés par le bureau de contrôle. Mais là, nous sommes très, très surpris par les photos qu’on a vues sur les travaux entrepris tout autour de l’édifice principal. Nous ne comprenons pas », explique Anna Dia Ba sur RFM.
Dans la foulée, elle se pose plusieurs questions avant de présenter ses condoléances aux familles des victimes. « Je me demande si le propriétaire s’est entouré des compétences d’un architecte et d’un bureau de contrôle. Est-ce que l’immeuble qui était contigu, en cours de construction sur l’assiette de la villa, avait été autorisé ? Vraiment, nous ne comprenons pas comment tout cela est arrivé. Nous réitérons nos condoléances aux familles éplorées ».

Mame Boye Diao avertit Macky Sall pour 2024 « Son intérêt c’est que… »

Mame Boye DIAO 7TV
Mame Boye DIAO 7TV

Vidéo – La vérité sur Sonko et les dattes de Serigne Mountakha: Mamadou Lamine Dianté raconte les coulisses…

Abass Hassan,le boss du BTP, inconnu du grand public

btp au sénégal
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S’il est reconnu dans le monde des affaires comme étant un des plus grands dans le domaine, le cas de l’homme d’affaire d’origine libanaise demeure très troublant.

Comment ca se fait qu’il soit inconnu par la majorité des acteurs du milieu des bâtiments et travaux publics? Mystère et boule de gomme! En tout cas la plupart des personnes ,contacté par Sanslimitesn préfèrent ne pas se prononcer sur lui ,comme pour dire que l’homme tient à sa discrétion? Cependant la question pertinente qui mérite d’être posée est la suivante ; Comment un homme d’affaire de sa trempe peut-il resté fantomatique? Pourquoi l’homme tient -il autant à sa discrétion?

Est -il réellement propriétaire ou se cache derrière lui un homme publique? Nous y reviendrons…

Listes électorales : « Nul ne peut radier une personne dont l’état de contumace est dépassé », (Ngouda Mboup)

L’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Mouhamadou Ngouda Mboup est formel : Nul ne peut radier une personne dont l’état de contumace est dépassé.

D’après l’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Mouhamadou Ngouda Mboup, Ousmane Sonko, leader des patriotes, conserve l’intégralité de ses droits.

« Ousmane Sonko sera candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024, in sha Allah… Ousmane Sonko est persécuté, ses droits constitutionnels confisqués. Ousmane Sonko est un citoyen honorable, un patriote convaincu, il doit être libéré », déclare-t-il.

Ousmane Sonko opposant à Macky Sall, incarcéré depuis le 31 juillet pour sept chefs d’accusation dont « appel à insurrection », a été radié des listes électorales et ne pourra donc plus prétendre à une candidature à la présidentielle du 25 février 2024.

Lettre protestation : « Ce que Le Chemin de la Libération a dit à Antoine Diome

« Le Chemin de la Libération a parlé ce jeudi 24 août au ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, via une lettre de protestation contre les interdictions arbitraires et systématiques des manifestations pacifiques.

Les organisateurs des 19 manifestations dans différents départements du pays, ce samedi 26 août, ont exprimé avec véhémence, leur protestation contre les interdictions systématiques de manifestations au Sénégal.

« »La plateforme « Le chemin de la Libération » appelle votre Gouvernement et votre régime à respecter les principes constitutionnels, à cesser immédiatement les interdictions systématiques de manifestations et à garantir le droit fondamental des citoyens d’exprimer leurs opinions pacifiquement ».

Tous déterminés à lutter pour la libération des détenus politiques, la défense de la démocratie et de l’Etat de droit au Sénégal, les manifestants disent constater dans leur lettre une restriction et répression de toutes les manifs pacifiques, soulignant que « les mesures d’interdiction très légères souffrent d’un défaut de base légale ».

Les fervents défenseurs des principes fondamentaux de la démocratie et de la liberté d’expression, qui ont choisi une manifestation planifiée pour un samedi veulent démontrer aux autorités leur « sincérité à éviter les perturbations de la circulation des personnes et des biens ».

Même en cas de risques de troubles à l’ordre public, avancent-ils, il revient aux autorités de mettre à disposition des manifestants les forces de l’ordre.

Les camarades de Guy Marius Sagna ont aussi signifié au ministre de l’Intérieur qu’il ne manque jamais de forces de l’ordre pour réprimer les manifestations interdites et pour maintenir un blocus de plusieurs mois sur la cité Keur Gorgui, lieu de résidence de Ousmane Sonko« . Des mesures, disent-ils, qui portent atteinte aux libertés.

LETTRE DE PROTESTATION « LE CHEMIN DE LA LIBERATION »

Pape Alé Niang : La situation d’Ousmane Sonko est désormais entrée dans une phase critique

La situation d’Ousmane Sonko est désormais entrée dans une phase critique et dans l’indifférence totale de Macky Sall. Macky Sall a décidé de fermer toutes les portes et de n’accorder aucune considération ni respect à une quelconque intervention.

Le vénéré guide Serigne Mountakha Mbacké n’a pas été la première personnalité à intervenir dans ce dossier. Le trés effacé Serigne Cheikh Saliou Mbacké khalif de la famille de Serigne Saliou Mbacké très respecté dans la hiérarchie mouride a été le premier à intervenir dans ce dossier pour un dénouement heureux. Le fils du président de Macky Sall en sait quelque chose. Car ces temps ci il fréquentait de manière assidue la maison du khalif Serigne Cheikh Saliou Mbacké.Il croyait qu’Ousmane y bénéficier d’un soutien politique.

Or tel n’est pas le cas. Pendant sa traversée du désert Macky Sall fréquentait régulièrement cette maison. Amadou Sall a été commissionné auprès de son père. Le Khalif n’a même pas eu l’elegance d’une réponse. Macky Sall n’a même pas voulu parler au marabout.

Et pourtant Antoine Diom et Général Moussa Fall se disent talibés dans cette maison. Juste pour dire que le dossier Sonko Macky en a fait une affaire d’honneur. Un règlement de compte personnel avec le leader de Pastef. Même s’il décide de le placer en résidence surveillée Sonko sera une loque humaine qui passera son temps à s’occuper de sa santé. Sa mort serait l’idéale pour le régime. Mais Dieu est au contrôle de tout. Que Dieu veille et préserve le Sénégal

Quand Ahmed Aïdara chassait Bougane de Yewwi : « si tu n’es pas d’accord, tu prends la porte »

SANSLIMITESN.COM – « L’invité MNF » a été exubérant ce mercredi. Moussa Taye de Taxawu Sénégal pour le nommer a fait des révélations croustillantes sur des messes basses dans les coursives de Yewwi Askan Wi, notamment en direction des locales de 2022.

Au cours de son face à face avec Maïmouna Ndour Faye, le fondateur de « Vision socialiste » est revenu sur les raisons pour lesquelles « Gueum sa bop » n’est pas restée dans Yewwi.

Selon ce membre de l’entourage de premier cercle de Khalifa Sall, aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, c’est Ahmed Aïdara qui a chassé de cette coalition son ancien patron à D-Media, Bougane Gueye Dani.

« Lors d’une réunion des leaders au siège de Taxawu Sénégal, Bougane a émis des réserves sur les couleurs (qui ressemblaient à celles de l’ex-parti Pastef. Ahmed Aïdara lui dit + si tu n’es pas d’accord, tu prends la porte+. Ahmed Aïdara n’ose pas démentir».

Sur un autre registre, M. Taye doute de l’authenticité du communiqué mettant, prétendument, fin au compagnonnage entre Yewwi Askan Wi et Taxawu Dakar. Selon Moussa, ce document ne comporte pas la signature des différends leaders de ce cadre unitaire pour être valable.

Ainsi, l’invité de la 7 Tv déplore le mutisme de Habib Sy, président de la Conférence des leaders de Yewwi Askan Wi, qui n’aurait pas pris toutes ses responsabilités.

Moussa Taye de se demander : « A quoi sert le président de la Conférence des leaders de Yewwi Askan Wi ? Si réellement il est le président de la conférence des leaders comment peut-on prendre une décision aussi importante qui ne revête sa signature ni un communiqué lu par ses soins pour informer les Sénégalais via une conférence de presse ? Le problème de Yewwi Askan Wi est un problème de management ».

Conséquemment, déduit Moussa Taye : « le président Habib Sy n’a pas assez de poigne pour être à la tête de Yewwi Askan Wi, pour gérer Yewwi Askan Wi… C’est pourquoi tout le monde fait ce qu’il veut ».

« Habib Sy devrait convoquer Khalifa Sall pour une discussion franche. Je vous révèle qu’au plan personnel, c’est Khalifa Sall qui a demandé à Habib Sy d’adhérer à Yewwi. Rien que ses rapports d’amitié avec Khalifa Sall devaient amener Habib Sy à discuter avec ce dernier pour arrondir les angles », confie, pour terminer, l’invité de la 7 Tv, dont les propos ont été reproduits par « Sanslimitesn.com ».

Seydi Gassama : « Abdou Diouf ne prenait pas ses adversaires politiques pour des ennemis qu’il faut laisser… »

Seydi Gassama, directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal estime que le président Abdou Diouf, père du multipartisme intégral au Sénégal, avait une haute idée de l’Etat et de la démocratie.

« Abdou Diouf ne prenait pas ses adversaires politiques pour des ennemis qu’il faut laisser languir et mourir d’une grève de la faim en prison », déclare Seydi Gassama.

D’après le directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal, le président Abdou Diouf a toujours eu le courage d’affronter ses opposants lors des compétitions électorales.

« Même lorsqu’ils ont été condamnés à des peines qui les en écartaient, il a pris des mesures pour les réhabiliter et les ramener dans le jeu électoral », ajoute-t-il.

QUITUS A KHALIFA SALL – « L’Etat du Sénégal lui doit de l’argent »

SANSLIMITESN.COM– Alea jacta est ! Khalifa Sall et Karim Wade sont de nouveau électeurs et éligibles, après la révision des lois L29, L30 et L57 du Code électoral, conformément à une recommandation-phare du dialogue politique. 

Toutefois, d’aucuns croient savoir que ces deux recalés de la présidentielle de 2019 doivent franchir d’autres obstacles pour pouvoir compétir à la prochaine présidentielle. 

En clair, il se dit que Karim Wade et Khalifa Sall doivent payer l’amende ou s’acquitter de  leurs impôts avant de se présenter. 

Proche de l’ancien maire de Dakar, Moussa Taye bat ces allégations en brèche. Le fondateur de Vision socialiste, qui est par ailleurs juriste, parle « d’amalgame ».

« On a une collègue, Dr Soukèye Guèye, expert en Droit fiscal. Elle a fait un excellent article sur ça. Elle distingue le quitus fiscal de l’amende. Au Sénégal, y a des profanes qui passent tout leur temps à interpréter le Droit », a déclaré Moussa Taye, mercredi, à l’émission « L’invité MNF ».

Cuisinée par Maïmouna Ndour Faye qui lui rappelle que parmi ceux qui soulèvent cette polémique y a des universitaires, M. Taye répond : « Moi-même je suis universitaire. En tout cas nous, nous estimons que Khalifa est en conformité avec le fisc. Quand il sera question de disposer un dossier de candidature sur la table du Conseil constitutionnel, nous allons déposer tous les documents requis. A notre niveau, cela ne mérite pas un débat…En ce moment, nous faisons des réunions en ligne pour reprendre les tournées de Taxawu Sénégal et monter le directoire de campagne. On laisse ce débat aux journalistes et aux experts. La question principale pour nous c’est que Khalifa recouvre ses droits politiques. C’est pourquoi nous avons dit amnistie ou modification du Code électoral l’essentiel pour nous est que Khalifa retrouve ses droits».  

Précisant sa pensée, Moussa Taye explique que l’Etat doit Sénégal doit de l’argent à Khalifa Fall suite à une décision rendue par la Cour de justice de la CEDEAO.

Auparavant, ce juriste a déclaré que Khalifa Sall était bel et bien électeur et éligible lors de la présidentielle de 2019. « En Droit pénal l’accusé est présumé innocent jusqu’à la fin du procès. En 2019, lorsque le Conseil constitutionnel statuait sur les candidatures, Khalifa Sall était encore présumé innocent puisque le procès n’était pas encore bouclé. Pour preuve : l’élection s’est déroulée en février 2019. Le 28 mai 2019, se tenait la cérémonie d’ouverture du dialogue national. Soham Wardini alors maire de Dakar a prié le président Macky Sall de faire libérer Khalifa Sall. Macky Sall a répondu en déclarant que le procès n’était pas encore bouclé car il restait le rabat d’arrêt », rappelle le directeur de cabinet du maire de Dakar Barthelemy Dias. 

« Le rabat d’arrêt a été introduit au niveau de la Cour Suprême le 3 janvier 2019. Les deux parties avaient alors des délais. Aussi bien la défense que la partie civile avaient chacune deux mois. Le procès s’est terminé le 16 juillet 2019 », conclut Moussa Taye, non sans rappeler que Khalifa Sall jouissait de l’immunité parlementaire alors que ses droits étaient « injustement » bafoués. 

!nsulte contre les guides religieux : Abass Fall s’en prend à « Akhenaton »

Ousseynou Seck alias Akhenaton continue ses attaques contre les guides religieux. Abass Fall du Pastef de déplorer cette attitude.

Mieux le coordonnateur de Pastef qui s’en prend à l’insulteur, de préciser que Le Pastef n’est à rien mêlé à ses insultes.

Rappelons que «Akhenaton» est présenté comme un des financiers ou le financier de l’affaire dite des «Forces spéciales». Il a été localisé en France, d’où il fait des sorties incendiaires contre le régime de Macky Sall, s’attaquant au guide religieux.

Message et dattes du khalife : La délégation de YAW n’a pas accès à Sonko à l’hôpital Principal

De retour de Touba, la délégation de Yewwi Askan Wi s’est rendue hier mercredi à l’hôpital Principal pour transmettre le message et les dattes du khalife Serigne Mountakha à Ousmane Sonko. Ils sont rentrés bredouille.

Habib Sy, Birame Soulèye Diop, Abass Fall, Cheikh Tidiane Youm, Aïda Mbodji et Maïmouna Bousso. n’ont pu rencontrer le leader de Pastef. «Le médecin traitant (du leader des Patriotes) aurait donné des instructions pour qu’on laisse Ousmane Sonko se reposer», rapporte le journal Les Echos, ajoutant que le médecin a indiqué que «l’état de santé (de son patient) ne permet pas de le voir».

Rappelons que Serigne Mountakha avait demandé à la délégation de Yaw de dire à Ousmane Sonko d’arrêter sa grève de la faim. Le khalife leur avait remis symboliquement des dattes à remettre au leader de Pastef, pour transmettre son message.

La délégation a finalement quitté l’hôpital sans avoir eu la possibilité de transmettre à Sonko le message du khalife des mourides, qui lui a demandé de mettre fin à sa grève de la faim et d’adopter «d’autres moyens de lutte».

Malicounda: La Municipalité organise un camp de vacances pour les meilleurs élèves

Dans sa vision de faire de Malicounda, une COMMUNE VERTE, PROPRE ET SÛRE d’ici 2030, Maguette SENE, Maire de Malicounda compte s’appuyer sur les jeunes générations par une éducation à la citoyenneté et à la participation responsable.

Ce camp de vacances organisé du 18 au 28 août en partenariat avec l’académie de basket NIANING BASKET CLUB permettra de faire participer les enfants à des activités citoyennes telles que:

  • des travaux d’intérêt publics (Participation à la construction du Foyer des jeunes et de la maternité d’un village),
  • des campagnes de reboisement,
  • des séances de sensibilisation et d’éducation à la citoyenneté. Etc.