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« Macky Sall derrière le masque » : Madiambal Diagne raconte les coulisses et anecdotes des 12 ans de Macky

« Macky Sall derrière le masque » : Madiambal Diagne
« Macky Sall derrière le masque » : Madiambal Diagne

Les coulisses et anecdotes des 12 années de gouvernance du Président Macky Sall racontées dans un livre. « Macky Sall derrière le masque », c’est la nouvelle production du journaliste et ami du chef de l’Etat, Madiambal Diagne.

Le journaliste a décidé de dévoiler la face cachée du Président Macky Sall dans un livre. Madiambal Diagne, président de l’Union internationale de la presse francophone était l’invité de TV5 Monde.

Vidéo :

Présidentielle : Dieynaba Goudiaby, responsable APR/Oussouye collecte 18.220 parrains pour Amadou Ba

Dieynaba Goudiaby, responsable APR/Oussouye collecte 18.220 parrains pour Amadou Ba
Dieynaba Goudiaby, responsable APR/Oussouye collecte 18.220 parrains pour Amadou Ba

Au-delà des attentes,  la Lionne du KASSA,  l’honorable Dieynaba GOUDIABY (Responsable à Oussouye), à elle seule, vient de montrer, encore une fois, son leadership dans le département d’Oussouye pour le compte de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) en élevant la barre très haute.

Elle a, en effet, pu collecté, en un temps record, un premier lot de 18.220 parrains répartis comme suit : Département d’Oussouye = 4.690 parrains; Elle se distingue, en outre, brillamment, en recueillant des parrains hors de son département avec un total de 13.530 parrains:

– SEDHIOU : 470 parrains;
-THIES : 1.010 parrains;
– DIOURBEL : 1.200 parrains;
– DAKAR : 5.190 parrains;
– SAINT LOUIS : 4.700 parrains;
– FATICK : 390 parrains;
– KAFRINE : 70 parrains;
– COMMUNAUTÉ PEULE à DAKAR : 500 parrains; Total des signatures = 18.220 signatures (parrains).

Par ce premier lot de parrains, la 1ère secrétaire élue du HCCT rassure de son engagement aux côtés du candidat Amadou BA, par ailleurs, Premier Ministre et candidat choisi de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) pour l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Au moins une nomination pour Oussouye
Ces partisans ont profité de cette occasion pour demander un poste de responsabilité pour leur responsable, Dieynaba Goudiaby. Pour rappel le département d’Oussouye n’a pas encore bénéficié de nomination depuis l’avénement de Macky Sall . Pas de : (Ministre, DG, PCA…)

Lamb : La publication de Modou Lo sur Ama Baldé à travers les réseaux sociaux (photo)

Modou Lo
Modou Lo

Dimanche, Modou Los ‘est imposé face à Ama Baldé et a gardé sa cournne. Ce mardi, il a rendu hommage à son adversaire.

Sur sa page Facebook officielle, Modou Lo a partagé une photo du fils de Falaye Baldé, qu’il a rendu hommage en le qualifiant de « champion ». Il a également salué le courage et la détermination de son adversaire.

La publication est accompagnée du message : « Respect champion Ama Baldé. Le Sénégal et le sport qui gagnent ». Cette publication témoigne du fair-play de Modou Lo, démontrant ainsi qu’il respecte son adversaire.

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Presidentielle de 2024 : Adama Bèye president du NGSM veut la victoire de Amadou Ba premier tour

Adama Bèye
Adama Bèye

Avec son mouvement « Nouvelle Génération Sénégalaise en Marche » (NGSM), Adama Bèye compte accompagner le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar lors de l’élection présidentielle. Le premier acte pour s’acheminer vers ce scrutin, est la mise en place de cellules de jeunes dans toute la région de Dakar. « Pour le moment, nous avons ouvert à Dakar six cellules. Le travail se poursuit et aujourd’hui, l’option que nous avons choisie est de mailler toute la région de Dakar en invitant les jeunes à découvrir ce que le Premier ministre Amadou Bâ leur offre en terme d’emplois et d’opportunités de réussite », a confirmé le président du mouvement NGSM à l’occasion du lancement du mouvement « And Nguir Euleuk » à Fann-Amitié-Point-E et piloté par le jeune Baye Fara. 
 
Le président de AB Corporation lors de cette rencontre avec les jeunes qui s’engagent à soutenir le Premier ministre Amadou Bâ, a annoncé qu’il va s’investir pour que la cellule de la commune visitée, dispose de 10 emplois dans le cadre de « Xëyu Ndaw Ñi », des bourses de formation à travers l’intervention de l’ONFP et 1 million de francs CFA qui sera versée dans la calebasse des femmes pour un départ de leurs activités. 
 
Le président du mouvement « Nouvelle Génération Sénégalaise en Marche » s’entretenant avec les jeunes de la commune, rappelle l’attachement du Premier ministre Amadou Bâ aux jeunes. « Amadou Bâ, que je connais bien, est très sensible au statut des jeunes. Au moment où on parle d’immigration irrégulière, il demeure plus que jamais engagé à trouver des solutions pour que les jeunes prennent conscience des opportunités de leur pays. Nous savons bien ce qui existe au delà de nos frontières. Mais nous communiquerons avec tous les jeunes et les invitons à faire le bon choix », indique Adama Bèye qui lance un appel aux militants et souteneurs de la candidature d’Amadou Bâ : « L’objectif, c’est de faire venir un électorat qui est hors de Benno. Convaincre l’électorat indécis ou celui de l’opposition en leur expliquant l’impact du programme et de l’ambition du candidat de la majorité. Mais il ne s’agit pas de faire pêcher dans les eaux de la majorité » a-t-il conclu…

Triste nouvelle : La communauté musulmane et Medina Baye en deuil (photo)

La cité religieuse de Medina Baye est en deuil. En effet, SeneNews vient d’apprendre auprès de sources proches de la famille le rappel à Dieu de Cheikh Akhibou Ibrahima Niass. Le fils de Baye Niass fut imam à la grande mosquée.

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Qui était Cheikh Akhibou Niass ? (source : faydatidianiya.com)

L’illustre Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass naquit en 1945 à Kaolack. Il porte comme tous les fils de Cheikh Ibrahim le nom du prophète Mouhammad (saws).

1945 étant l’année de l’espoir et de la délivrance, une telle naissance ne peut être plus révélatrice. Un conflit mondial de six (6) ans vient de se terminer, avec la venue au monde de Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass.

Comme tous les fils de Cheikh Ibrahim, il mémorisa le coran auprès de lui. C’est après avoir maîtrisé le saint-coran qu’il se rendit au Maroc puis au Caire et ensuite en Égypte pour poursuivre et approfondir ses connaissances qui seront sanctionnées d’une licence en 1976.

Mais Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass est plus connu pour sa sérénité. Homme ne peut être plus serein que lui. Papa Akhibou comme l’appellent les intimes voue un culte du respect et de la considération particulière à l’humain.

Un jour Cheikh Ibrahima Niass demanda qu’on lui donne une tasse de thé non sucré. Il la but sans même faire la remarque. Cet acte montre à quel point, il est serein, respectueux, patient et plein de politesse.

Imam à la grande mosquée Medina Baye, Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass, captive tous les esprits quand il est sur le podium (minbar) par la douceur de sa voix. On ne peut puiser ses qualités qui sont aussi recherchées que fabuleuses.

Dernière minute – Affaire des fiches de parrainage pour Sonko : Ayib Daffé obtient une très bonne nouvelle

Ayib Daffé
Ayib Daffé

La question des fiches de parrainage nécessaires à la candidature d’Ousmane Sonko pour l’élection présidentielle de 2024 demeure en suspens. La Direction Générale des Élections (DGE) a, jusqu’à présent, retenu les documents essentiels à la collecte des soutiens requis, une démarche qui suscite de vives réactions parmi les observateurs et partisans de Sonko.

Ayib Daffé, représentant de Sonko, s’est rendu à la CENA pour discuter de cette question épineuse. Le président de la CENA, n’a pas pu assister à la rencontre, reportant ainsi les pourparlers à une date ultérieure.

Devant les journalistes M. Dafé a tenu à faire des précision et afficher son inquiétude : « Nous avons observé qu’ils ont renforcé le dispositif policier autour de la CENA. La CENA doit pouvoir travailler sereinement ; personne ne doit l’inquiéter ni l’intimider. Ici, il est question de pouvoir travailler tranquillement. En toute logique, si le code électoral est appliqué, Ousmane Sonko devrait normalement recevoir ses fiches de parrainage. Le code électoral prévaut sur tous, du président de la République au ministre de l’Intérieur ; chacun se doit de le respecter. Inch’Allah, nous avons pris rendez-vous avec le président de la CENA, Monsieur Doudou Ndir. Nous vous tiendrons informés des résultats de cette rencontre. »

Alors que les spéculations vont bon train, aucun détail concret n’a émergé concernant le contenu du rendez-vous prévu pour demain mercredi. Les attentes sont diverses : remise des fiches de parrainage ou explications supplémentaires sur les raisons du blocage actuel.

Cette situation intervient dans un contexte déjà chargé pour Ousmane Sonko, actuellement détenu sur des accusations graves, dont appel à l’insurrection. Ses partisans dénoncent une manœuvre politique visant à entraver sa participation aux prochaines élections, où il est considéré comme un concurrent sérieux.

À rappeler que le président actuel, Doudou Ndir, fait partie de l’ancienne équipe, la nouvelle n’ayant pas encore prêté serment pour assumer les fonctions CENA. Les activités de la CENA se poursuivent normalement tant que les nouveaux membres n’ont pas pris leurs fonctions. Pour l’instant, aucune date de prestation de serment n’est prévue pour les membres récemment nommés par le Président de la République par décret.

Après sa grosse déconvenue, Ama Baldé à Ndindi, chez serigne Abdou Karim Mbacké…

Ama Baldé à Ndindi, chez serigne Abdou Karim Mbacké
Ama Baldé à Ndindi, chez serigne Abdou Karim Mbacké

48 heures après sa cuisante défaite face au roi des arènes, Modou Lo, son vis-à-vis, Ama Baldé s’est rendu à Touba pour se recueillir et se ressourcer auprès de son mentor et guide religieux. C’est précisément dans la localité de Ndindi (département de Diourbel, région de Diourbel) chez Serigne Abdou Karim Mbacké que la délégation du lutteur Pikinois a été repérée par les radars de dakaractu.

D’après une source très proche du fils de Falaye Baldé, il se trouve actuellement au à la résidence privée de vénéré guide avec qui il entretient d’excellentes relations en plus d’être un de ses dévoués fidèles depuis de longues années. Apres son revers face à Xaragne Lo, Ama aura certainement besoin de retrouver de la sérénité et une mentalité de champion, avant d’essayer de relancer sa carrière lors de sa prochaine sortie face au troisième tigre de Fass, Gris Bordeaux dans quelques mois…

L’élève de terminale vole à sa mère des bijoux en or d’une valeur de 30 millions F CFA pour faire… du social

Modou Babou, 18 ans, a été jugé ce lundi devant le tribunal d’instance de Dakar pour vol de bijoux en or. Avec lui, le bijoutier Massamba Dieng comparaissait pour recel. Le procureur de la République a requis 1 an de prison dont six mois ferme contre ce dernier et déclaré qu’aucune charge ne peut être retenue contre le principal accusé, qui bénéficie de l’immunité familiale. Le délibéré est fixé à jeudi prochain.

Modou Babou est élève en classe de terminale. Il est accusé d’avoir volé les bijoux de sa mère, Sagar Diagne, pour une valeur de 30 millions de francs CFA et la somme de 4 millions de francs CFA. Il est tombé à son cinquième vol.

D’après L’Observateur, qui a couvert le procès, Modou Babou se rendait chaque fois auprès de Massamba Dieng pour écouler à vils prix les bijoux volés. La première fois, il s’est présenté avec des boucles d’oreilles valant 700 000 francs CFA, mais cédées à 100 000 F CFA.

Chaque fois, il servait au receleur présumé une histoire bien fabriquée. «La première fois, j’avais dit au bijoutier que ma sœur est malade et que c’est ma mère qui m’a envoyé vendre ses bijoux. Et la dernière fois, je lui ai dit que ma mère est décédée», confesse l’élève de terminale à la barre.

En dépouillant sa mère, Modou Babou ne savait manifestement pas qu’il compromettait les plans de cette dernière pour sa famille. En effet, rapporte L’Observateur, Sagar Diagne a confié au tribunal que les bijoux constituaient un investissement pour l’avenir de ses enfants et les 4 millions F CFA devaient couvrir les frais d’inscription de l’accusé pour des études à l’étranger. «J’ai entamé les démarches pour sa préinscription depuis la seconde. Je suis surprise de son acte car, je pense l’avoir bien éduqué», soupire la dame.

En plus de reconnaître les faits, Modou Babou a déclaré avoir utilisé l’argent récolté des vols pour faire du «social». Sans davantage de précision. Massamba Dieng, pour sa part, a juré qu’il ne savait pas que les bijoux étaient volés.

Affaire Sonko – Verdict Cour suprême : Ce à quoi l’on peut s’attendre

Le 17 novembre, la chambre administrative de la Cour suprême va examiner le pourvoi de l’Agent judiciaire de l’État (AJE) contre l’ordonnance du juge du tribunal d’instance de Ziguinchor qui exigeait la réinscription de Ousmane Sonko sur les listes électorales.

Bien que sa mission principale soit de juger de la légalité des décisions précédentes soumises à son autorité, la chambre administrative de la Haute juridiction va statuer sur les faits en matière électorale.

Cette procédure est différente car, en cas de confirmation, elle prend le dispositif de l’ordonnance tandis qu’en cas d’infirmité, elle examine à nouveau les faits comme un nouveau procès.

La Cour suprême est considérée comme une forme de double degré de juridiction en matière électorale car les délais sont très courts.

Contrairement aux recours ordinaires qui passent par la Cour d’appel avant d’arriver en cassation, le requérant doit passer directement par la Cour suprême pour éviter toute perte de temps.

Sédhiou : Les populations de Tanaff réclament un lycée

L’établissement avait subi d’énormes dégâts lors des évènements du 1er juin dernier. Les salles de classe en palissades de tiges de bambous avaient été brûlées ou saccagées. Les tables bancs avaient subi le même sort. Ce qui, à l’ouverture des classes, a posé d’énormes difficultés.

Mais par anticipation, l’autorité municipale avait formulé une demande de table bancs auprès du ministre de l’Éducation nationale.

Le maire de la commune, Léonce Nzaly a réceptionné hier lundi un lot de 500 tables bancs destinés aux écoles qui avaient subi des dommages, selon nos confrère de seneweb.

L’édile de la ville a profité de l’occasion pour demander avec instance la construction du lycée de Tanaff, un ancien collège érigé en établissement secondaire sans accompagnement.

Pour accueillir les nouveaux brevetés des collèges riverains que sont Sare Tening, Niagha, Dioudoubou les acteurs n’ont d’autres solutions que de construire des abris en attente de la main généreuse de l’État.

Journée des Armées : Macky Sall fait le procès de la “violence inouïe” qui sévit dans les “réseaux virtuels”

C’est devenu une habitude. À chacune de ses sorties publiques, le Président Macky Sall fait une critique implacable des réseaux sociaux. Lors de la célébration de la Journée des Armée, le chef de l’État n’a pas dérogé à la règle.

Il a dénoncé la “violence inouïe : violence physique, violence verbale, violence morale, portée et amplifiée à grands débits par les réseaux virtuels”. “Autant de facteurs déstabilisants et blessants à plus d’un titre. Ils sapent les fondements de l’Etat et de la République, portent atteinte à la cohésion nationale et nuisent à l’honorabilité d’honnêtes citoyens”, a-t-il dit.

Face à ce phénomène, Macky Sall estime que “liberté et responsabilité doivent aller de pair, afin que nul ne puisse se croire au-dessus ou en marge de l’État, de la Nation et de la République”. “C’est ainsi que l’œuvre de construction nationale se fortifie”.

Dans cette dynamique de cohésion nationale, M. Sall a salué le rôle de l’armée, “réceptacle harmonieux de toutes nos diversités socio-culturelles, dans le culte du devoir, de l’excellence et du mérite”, a-t-il observé.

Bloqués au Maroc depuis 25 jours, des jeunes du Djoloff réclament leur rapatriement

Des candidats à l’émigration originaires du Djoloff, bloqués au Royaume chérifien depuis plus de vingt-cinq jours , ne savent plus où donner de la tête.

Ces jeunes, originaires la ville de Dahra pour la plupart, interpellent les autorités étatiques en premier chef le ministre maire de Dahra Samba Ndiobéne Ka pour leur rapatriement au bercail

Ces candidats malheureux à l’émigration, qui tentaient de rallier l’Europe par la voie terrestre, ont vécu le calvaire durant le trajet.

Leur seul vœu est de retourner au pays.

Départs de pirogues de migrants : Macky Sall demande des comptes au chef de l’Armée

Le Président Macky Sall s’est montré préoccupé par les départs massifs de pirogues de migrants des côtes sénégalaises vers l’Europe. En effet, révèle Le Quotidien, le chef de l’État a interpellé en ce sens, ce lundi, le Chef d’état-major général des armées (CEMGA), le général Mbaye Cissé, ainsi que plusieurs autres officiers supérieurs des chefs des Forces de défense et de sécurité.

Le journal rapporte que Macky Sall ne comprend pas que, malgré les moyens mis à la disposition de la Marine nationale, de la gendarmerie et des Renseignements généraux, des pirogues remplies de migrants continuent de partir par vagues du Sénégal pour accoster en Europe.

«Le Président voudrait comprendre s’il y a négligence ou incompétence de la part des Forces de défense et de sécurité ou, encore pire, de la complicité de la part de certains éléments», souffle Le Quotidien.

Lors de l’inauguration du nouvel état-major de la gendarmerie, Macky Sall avait déclaré que des mesures drastiques seront prises pour lutter contre le phénomène.

Première réaction de Falla fleur à sa sortie prison

Elle hume enfin l’air de la liberté. C’est avec un large sourire que Ndeye Fatou Fall Falla fleur a retrouvé les siens. A sa sortie de prison , elle a été accueillie avec joie par Oumy Ndour, ses compagnons « patriotes » et sa famille. Sur son visage se lit le sentiment de bonheur d’une liberté recouvrée.

Elle a tenu à remercier tous ses camarades pour le soutien. Elle n’a pas manqué d’exhiber son brassard de l’ex Pastef et son fameux slogan « maintien rek ».

Louga: L’ancien DG de Dakar Dem Dikk brise le silence

L’ancien directeur général de Dakar Dem Dikk sort de son mutisme, un an et demi après son départ à la tête de la société de transport public. Oumar Ben Khatab Sylla est revenu sur ses « relations heurtées » avec le chef de l’État Macky Sall, sa supposée gestion gabegique à la tête de Dakar Dem Dikk, entre autres.

«C’est une cabale contre ma personne qui a été montée par des acteurs politiques de Louga et au niveau national, pour me mettre en mal avec le président Macky Sall », informe-t-il.

Oumar Ben Khatab Sylla dément formellement l’existence d’un audit qui l’aurait épinglé dans sa gestion de DDD. « J’ai quitté Dakar Dem Dikk la tête haute. Aucun audit ne m’a épinglé, contrairement à certaines déclarations fallacieuses parues dans la presse sur commande de mes adversaires politiques ».

Selon le président du mouvement Valeurs, le président Macky Sall s’est rendu compte aujourd’hui que des personnes malintentionnées ont abusé de sa confiance pour raconter des contrevérités sur sa personne.

s’exprimait en marge de l’assemblée générale de son mouvement politique Valeurs tenue ce week-end à Louga, pour se prononcer sur la situation du pays et la Présidentielle de 2024. Le mouvement n’a pas encore trouvé de candidat à soutenir, affirme-t-il.

Mais M. Sylla et ses camarades se disent ouverts à tous les candidats et vont engager des discussions avec tout le monde et promettent de revenir pour dévoiler leur candidat à la magistrature suprême .

Plainte de Viviane : Après son audition, Aby Ndour crie la victoire

La reine du Djoloof band, Viviane Chidid a déposé une plainte contre son ex-belle-sœur, Aby Ndour, pour ne pas la nommer. Celle-ci a déféré à sa convocation à la gendarmerie Faidherbe, lundi matin, avec sa fille, Binou.

Après une heure d’audition et d’interrogatoire, la sœur de Youssou Ndour est repartie libre comme elle était venue, en compagnie de sa fille, a appris kawtef.com.

Sur le compte snap de sa fille, Binou, l’interprète de Djiguen crie déjà victoire.

Migration irrégulière : Une pirogue avec prés de 300 migrants échoue à Gadaye, 03 mørts enregistrés et des disparus

Une pirogue remplie de migrants a échoué dans la nuit du lundi 06 au mardi 07 novembre 2023 sur la plage de Gadaye à Guédiawaye. 03 morts sont dénombrés dans cette embarcation qui avait à son bord plus de 280 candidats. L’affaire est prise en charge par la police de Wakhinane Nimzatt.

Encore de la peine

Une pirogue avec prés de 300 candidats s’est échouée à la plage de Gadaye. Ces candidats à la migration irrégulière voulaient rallier l’Espagne par voie maritime. Malheureusement, leur rêve se brise à Guédiawaye, sur la banlieue Dakaroise.

Les chiffres

La police et les Sapeurs pompiers se sont vite transporter sur place pour secourir ces migrants malheureux à l’émigration clandestine. Malheureusement 03 morts ont été enregistrés. Il s’agit de deux femmes et un garçon. On parle aussi de plusieurs disparus dont le nombre exact n’est pas connu.

Embarcation

Selon nos informations, l’embarcation qui avait quitté Bargny samedi dernier a fait 03 jours en mer sans franchir les eaux territoriales du Sénégal.

Les rescapés ont été acheminés au commissariat de Wakhinane Nimzatt.

Déclaration de Modou Lô lendemain de sa victoire sur Ama Baldé

(Photos) Voici les images exclusives de la cérémonie de lancement du plan « Aksina » de la SONAGED S.A

cérémonie de lancement du plan "Aksina" de la SONAGED S.A
cérémonie de lancement du plan "Aksina" de la SONAGED S.A

Note d’information portant sur le lancement du plan stratégique de
développement de la SONAGED S.A dénommé « EKSINA » sur l’horizon
2023-2028
La SONAGED a organisé, ce lundi 06 novembre 2023 à 11h à l’hôtel Terrou-bi à Dakar,
la cérémonie de lancement institutionnel de son plan stratégique de développement
dénommé «EKSINA» sur l’horizon 2023-2028.
Cet évènement a vu la participation des autorités administratives et territoriales, des
parties prenantes du secteur de la gestion des déchets et des partenaires techniques
et financiers.
Le Plan « EKSINA » a été élaboré pour asseoir les piliers de développement et de
professionnalisation du secteur des déchets
Il traduit une vision claire à l’horizon 2028 et ambitionne de positionner la SONAGED
comme « l’acteur de référence pour la gestion intégrée des déchets et
l’économie circulaire au Sénégal ».
Le Plan EKSINA est articulé autour de cinquante-cinq (55) projets structurants, quinze
(15) leviers prioritaires déclinés dans quatre (04) axes principaux :
▪ Axe 1 : Régulation et planification ;
▪ Axe 2 : Développement durable et économie circulaire ;
▪ Axe 3 : Performance organisationnelle ;
▪ Axe 4 : Capital humain.
L’objectif recherché à l’horizon 2028 est d’impulser l’économie circulaire et solidaire à
travers la mise en place d’un écosystème industriel robuste et la promotion d’une
nouvelle cuture de la propreté.

Affaire Sonko devant la Cour de Justice de la CEDEAO : Le communiqué de Me Ciré Cledor Ly

La Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) s’est penchée, ce lundi 6 novembre 2023, sur les trois requêtes déposées, le 19 septembre dernier, par Ousmane Sonko, maire de Ziguinchor et leader du parti Pastef. Les recours portent sur la dissolution de Pastef, le parti politique du leader de l’opposition, sa radiation du fichier électoral et d’autres litiges.

Au terme de cette audience, le juge ivoirien par ailleurs Vice-président de la Cour de justice de la Cedeao, a mis en délibéré sa décision le 17 novembre prochain. Mais avant, Me Ciré Cledor, avocat de Ousmane Sonko, s’est fendu d’un communiqué pour revenir sur cette question.

« La Cour de Justice de la Ecowas – Cedeao a vidé ce matin le contentieux relatif à la constitution de Maîtres Juan Branco du barreau de Paris et de Said Larifou du barreau des Comores.

La Cour, après avoir vérifié son dossier, a admis la constitution de Juan Branco qui est régulière et a dit et jugé qu’il est habilité à plaider devant elle.

Cependant, la constitution de l’honorable confrère Saïd Larifou a été rejetée par la Cour au motif qu’il n’y a aucune convention judiciaire entre le Sénégal et la République du Comores, et qu’elle n’a pas trouvé de documents lui permettant de se convaincre de ce que le confrère Saïd Larifou était habilité à plaider devant les juridictions Sénégalaises.

A ce titre, je précise que tout avait été fait pour que le bâtonnier nous délivre un document, vainement, alors que le nom de ce dernier figure dans toutes les décisions judiciaires rendues au Sénégal, ce qui, de mon avis vaut habilitation judiciaire.

La Cour a ensuite joint l’ensemble des procédures accélérées, de fond et de référé, permettant aussi de plaider sur la recevabilité de la procédure, la qualité et l’intérêt de Monsieur Ousmane Sonko à agir pour le compte du parti les Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité; ainsi que sur sa propre compétence à connaître des faits alléguées de violations des droits civils et politiques, des droits et libertés démocratiques, du droit d’avoir accès à ses avocats et à un procès équitable.

Après les plaidoiries orales complétant ou précisant les écritures et pièces déjà déposées, la Haute Cour de Justice a mis l’affaire en délibéré et rendra sa décision sur le tout en son audience du 17 Novembre 2023 » .

4 femmes, 7 retraités… : les noms et professions des 12 nouveaux membres de la CENA

Voici la composition de l’organe chargé de superviser les élections. Le décret nommant les cooptés a été pris par le Président Macky Sall, vendredi 3 novembre. Leur mandat est de six ans.

Abdoulaye Sylla (Inspecteur général d’État à la retraite), président

Ndary Touré (Magistrat à la retraite), vice-président

Cheikh Awa Balla Fall (Inspecteur général d’État à la retraite)

Serigne Amadou Ndiaye (Professeur des Universités à la retraite)

Aminata Fall Niang (Professeur des Universités)

Ndèye Rokhaya Mbodji (Journaliste)

Cheikh Tidiane Ndoye (Administrateur civil à la retraite)

Léopold Wade (Administrateur civil à la retraite)

Mamadou Marème Diallo (Commissaire de Police à la retraite)

Mamadou Bocar Niane (Enseignant)

Aïssatou Sow (Notaire)

Fatou Kiné Diop (Conseillère en Décentralisation)

Le coup de balai de Macky Sall à la Cena : Entre violations et irrégularités (Analyse de Daouda Mine)

Le coup de balai de Macky Sall à la Cena : Entre violations et irrégularités (Analyse de Daouda Mine)

Première réaction de Falla fleur à sa sortie prison

Falla Fleur
Falla Fleur

Elle hume enfin l’air de la liberté. C’est avec un large sourire que Ndeye Fatou Fall Falla fleur a retrouvé les siens. A sa sortie de prison , elle a été accueillie avec joie par Oumy Ndour, ses compagnons « patriotes » et sa famille. 

Sur son visage se lit le sentiment de bonheur d’une liberté recouvrée.Elle a tenu à remercier tous ses camarades pour le soutien. Elle n’a pas manqué d’exhiber son brassard de l’ex Pastef et son fameux slogan « maintien rek ». 

@africaqueencess1

Première réaction Falla fleur a sa sortie de prison ! #maintien rek#mamendiayesavon

♬ son original – african queen

Le Sénégal décroche encore un vrai talent : « La France était là mais finalement.. » (photo)

Sénégal
Sénégal

Le Sénégal se prépare activement pour les championnats du monde de handball féminin qui auront lieu au Danemark, en Suède et en Norvège du 29 novembre au 17 décembre 2023.

Cette participation marque la deuxième pour les Lionnes, ayant déjà concouru en 2019 au Japon. Elles comptent sur la présence de la talentueuse demi-centre Soukeyna Sagna, qui a fait le choix de représenter le Sénégal malgré la possibilité de jouer pour l’équipe de France, le pays de son père. C’est une opportunité en or pour les Lionnes, qui rêvent de créer la surprise en Scandinavie et de détrôner l’Angola lors de la CAN 2024.

Après avoir remporté le titre à l’Euro U20, les Françaises avaient pour ambition de décrocher l’or mondial en 2018. Cependant, en juin de cette année-là, Soukeyna Sagna a appris qu’elle était enceinte de 4 mois en plein stage de l’équipe de France U20 en préparation pour les championnats du monde de cette catégorie. Ce précieux événement a nécessité qu’elle prenne du recul pendant un an. Malgré les incertitudes concernant la suite de sa carrière après la naissance de son bébé Keylan Sagna le 27 octobre 2018, elle a été prolongée de deux saisons par son club. En mars 2020, elle a même été appelée en équipe de France A par Olivier Krumbholz lors d’une large revue d’effectif. À ce moment-là, une carrière au sein des championnes olympiques de 2021 semblait être sur le point de s’ouvrir devant elle.

Cependant, Soukeyna Sagna a fait un choix inattendu en optant pour le Sénégal, le pays de sa mère. Frédéric Bougeant, ancien sélectionneur de l’équipe féminine du Sénégal et actuellement à la tête de la sélection masculine du pays, a déclaré : « C’est une joueuse extrêmement talentueuse. Certainement une joueuse qui aurait pu être la demi-centre titulaire de l’équipe de France. Elle a choisi le Sénégal et tant mieux pour le Sénégal ».

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En 2016, Doungou Camara a également été confrontée au même dilemme. « Elle avait de bonnes chances d’intégrer l’équipe de France. Il aurait peut-être fallu un peu de patience. Elle a fait le choix de défendre les couleurs du Sénégal. C’est un choix que j’ai moi-même fait et qui a été l’un des meilleurs de toute ma carrière. Elle est consciente que jouer pour le Sénégal est une grande fierté », a déclaré l’ancienne capitaine des Lionnes.

Présidentielle 2024 : Voici ce que Ousmane Sonko pourrait faire pour se présenter

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Avec la Commission électorale nationale autonome (Cena) étant hors service depuis vendredi dernier, la question de réintégrer Ousmane Sonko dans la course à la Présidentielle de février 2024 suscite plusieurs scénarios quant à l’avenir politique immédiat du maire de Ziguinchor.

L’espoir de voir la Cena remplacer la Direction générale des élections (Dge) et permettre au leader de l’ex-Pastef d’obtenir les fiches de parrainage n’est plus d’actualité, du moins pour le moment. Cela est dû au remplacement des douze membres de la Cena, y compris son président Doudou Ndir, par un décret présidentiel vendredi. Les nouveaux membres doivent prêter serment avant de pouvoir traiter la demande des avocats d’Ousmane Sonko.

Selon l’article L13 du Code Électoral, la Cena a pour rôle de veiller à l’application de la loi électorale par les autorités administratives, les partis politiques, les candidats et les électeurs. En cas de non-respect de ces dispositions, la Cena a le pouvoir de prendre des mesures de correction, voire de dessaisissement et de substitution d’action à l’égard de l’agent responsable. Cependant, avec la vacance contestée au sein de la Cena, il semble impossible pour l’organe de jouer ce rôle.

L’autre option pour Ousmane Sonko, ainsi que pour l’État, réside dans la Cour suprême. Cette juridiction examinera le 17 novembre le pourvoi en cassation de l’Agent judiciaire de l’État (Aje), qui demande l’annulation de la décision du président du Tribunal d’instance de Ziguinchor ordonnant la réintégration de Ousmane Sonko. Si la Cour suprême confirme la décision du juge de Ziguinchor, Ousmane Sonko pourra obtenir les fiches de parrainage, et l’État devra attendre la décision du Conseil constitutionnel. En cas de décision contraire, le maire de Ziguinchor devra envisager un plan B, ce qu’il semble avoir anticipé, avec au moins 5 de ses proches ayant retiré des fiches de parrainage.

La dernière option pour l’édile de Ziguinchor est de faire appel à la Cour de justice de la CEDEAO, qui doit rendre son verdict sur la radiation et la dissolution de Pastef le 17 novembre prochain. Si l’État du Sénégal exécute la décision, il pourra ainsi récupérer ses fiches de parrainage. C’est l’a première étape avant que la validité de sa candidature ne soit dernièrement examinée par le Conseil constitutionnel. Un long chemin à parcourir….

Enquête de l’IGAJ sur Sabassy Faye : Le ministre de la Justice, Aissata Tall Sall, réagit

Sabassy Faye : Le ministre de la Justice, Aissata Tall Sall
Sabassy Faye : Le ministre de la Justice, Aissata Tall Sall

Quelques jours après avoir rendu sa décision en faveur de la réintégration de Ousmane Sonko sur les listes électorales, le juge Sabassy Faye a été auditionné par l’Inspection générale de l’administration de la justice (Igaj). Une situation qui a fait réagir le désormais nouveau ministre de la Justice Aissata Tall Sall.

En effet, dans les colonnes du journal LeSoleil, l’ancien Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, s’est appesantie, sur l’audience du 12 octobre dernier au Tribunal d’instance de Ziguinchor. Mais également sur les accusations de parenté entre le Juge et un adjoint au maire de Ziguinchor, et la décision du magistrat Sabassy Faye.

« Je sais seulement que cette audience (non pas la décision en elle-même sur laquelle je ne ferai aucun commentaire) a soulevé beaucoup de polémiques et de supputations, de part et d’autre » , a déclaré Me Aïssata Tall Sall.

« Nous avons commis l’Inspection générale de l’administration de la justice dite Igaj pour en être bien et objectivement informés. Nous attendons que les conclusions et le rapport nous soient soumis pour avis » , ajoute la Garde des Sceaux

Budget du Sénégal : Les «vrais» chiffres !

Dans le cadre du projet pour le renforcement de la justice fiscale au Sénégal du Forum civil, un atelier de renforcement de capacités des journalistes sur l’examen de la loi de finances de l’année 2024 : dépenses et recettes, a été organisé, ce samedi, en partenariat avec la Convention des jeunes reporters du Sénégal (Cjrs).

Deux experts du secteur, en l’occurrence Abdou Karim Sock, planificateur expert en Gestion des Finances publiques et Mady Cissé, économiste en analyse financière ont, à cet effet, retracé le processus budgétaire, avant de revenir sur les axes essentiels de la loi de finances 2024, notamment en son volet dépenses. Un exposé qui a permis de faire la différence sur le montant annoncé du budget 2024 qui s’élèverait à 7003 milliards et le chiffre réel du budget 2024 de la loi de finances.

En effet, repris par Les Echos et Senenews, le calcul pour arriver à ce chiffre a été fait sur la base de l’ancienne méthode comptable qui n’est plus en vigueur et en violation de la loi qui régit la loi de finances. Comme énoncé dans le projet de loi de finances 2024 du ministère des Finances et du Budget : « en comparaison de l’ancienne méthode comptable, les chiffres de la loi de finances de 2024 seraient de l’ordre de 7003,6 milliards si on y ajoute l’amortissement de la dette d’un montant de 1248,21 milliards ».

En réalité, le budget réel du Sénégal en 2024 est de 5755 milliards si on enlève l’amortissement de la dette. Et, ce montant représente les dépenses totales du budget qui sont projetées à 5755,4 milliards en 2024 contre 5141,9 milliards en 2023, soit une hausse de 613,5 milliards et 11,9% en valeur relative. Ces dépenses sont ainsi réparties : les dépenses sur ressources internes représentent 4832,3 milliards ; les dépenses sur ressources extérieures 701,6 milliards et les dépenses des comptes spéciaux du Trésor (Cst) 221,5 milliards.

(15 Photos) Remise de kits scolaires et des table-bancs en présence des autorités : Pape Demba Biteye gâte les élèves à Kaolack

Pape Demba Biteye gâte les élèves à Kaolack
Pape Demba Biteye gâte les élèves à Kaolack

Le Directeur Général de Senelec Papa Mademba Bitèye, a procédé ce samedi 4 novembre 2023 à Kabatoki, à la remise de kits scolaires aux élèves de Kaolack et des table-bancs. La cérémonie s’est déroulée en présence du président du Conseil Départemental de Kaolack Ahmed Youssouf Bengeloum, des maires du département, de l’Inspection d’Académie (IA) de Kaolack, de l’Inspection de l’Education et de la Formation (IEF) départementale et communale de Kaolack, ainsi que des autorités administratives, religieuses et politiques de la région de Kaolack. L’occasion a été saisie pour fédérer les forces vives de la région et des maires du département, autour du président du KREM Papa Mademba Bitèye.

Le Directeur Général de Senelec et président du mouvement KREM Papa Mademba Bitèye, a remis 2500 kits scolaires et 2000 table-bancs aux établissements scolaires de Kaolack. Il a également attribué 2500 livres coraniques et des centaines de nattes à 45 écoles coraniques de la banlieue de Kaolack. Pour la quatrième fois depuis 2020, le président du mouvement KREM s’engage aux côtés des acteurs de l’éducation, des parents et des élèves, pour relever le niveau du système éducatif et permettre aux élèves de Kaolack de passer l’année scolaire dans d’excellentes conditions.

Le Directeur Général de Senelec a rendu un vibrant hommage aux acteurs du système éducatif de Kaolack et s’est engagé à « pérenniser cette action, vu que les apprenants des cycles confondus excellent de plus en plus à l’école avec des résultats probants, depuis la première édition de 2020. » Le président du mouvement KREM invite donc les acteurs de l’école, « à augmenter le taux de réussite à 100% ».

Dans son discours, l’inspecteur d’académie de Kaolack a remercié le Directeur Général de Senelec au nom de toute la communauté éducative de Kaolack, pour la mise à disposition chaque année, de matériels didactiques, informatiques et des kits scolaires.

Ainsi, depuis 2020, le Directeur Général de Senelec s’est investi à travers la mise à disposition de milliers de table-bancs et des reprographies à l’Inspection d’Académie de Kaolack, la réfection de la toiture du CEM de Kabatoki, la réfection des salles de classe du CEM Valdiodio Ndiaye, la mise en place d’une salle multimédia au CEM Moustapha Ndiaye, en plus d’autres actions au lycée Valdiodio Ndiaye et au Nouveau Lycée.

Il a accompagné le mouvement sportif dans leurs projets éducatifs à travers les zones et l’ODCAV pour des Olympiades en concours de mathématiques, la distribution de prix et les journées de Valdiodio Ndiaye.

Au nombre des actions faites en faveur de l’éducation, il y a l’équipement en matériels informatiques du Centre académique de l’Orientation scolaire et professionnelle de Kaolack (CAOSP), la prise en charge de la formation de plusieurs jeunes dans les structures professionnelles de Kaolack et l’enrôlement de milliers d’élèves dans le programme national de la Couverture Maladie Universel (CMU), de même que la mise à disposition d’un bus flambant neuf aux lycéens et collégiens de Kabatoki et environs.

Pour la promotion de l’enseignement supérieur, le président du mouvement KREM Papa Mademba Bitèye a mis à la disposition des étudiants de la banlieue de Kaolack, des logements sociaux et des milliers de tickets de restauration.

Le mystérieux PDG d’Ecotra, Abdoulaye Sylla en eaux troubles

Ecotra, Abdoulaye Sylla
Ecotra, Abdoulaye Sylla

La famille de Serigne Fallou Mbacké est très remontée contre l’homme d’affaires Abdoulaye Sylla. Président directeur général d’Eoctra, Abdoulaye Sylla s’était engagé à prendre en charge l’intégralité des travaux de réfection du Mausolée de Serigne Fallou Mbacké, 2e Khalife Général des Mourides (1945- 1968). Mais, il y a un retard énorme dans la livraison de l’ouvrage. Ce qui n’est pas du goût de la famille de «Borom» Ndindy. D’après Ibrahima Ngom, l’homme d’affaires est aujourd’hui rongé par des difficultés financières, l’empêchant de faire face à ses obligations. Réunis récemment, des membres de la famille de Serigne Fallou Mbacké, avec à leur tête Serigne Abo Mbacké, le Khalife de Serigne Fallou, ont décidé de prendre les choses en main. C’est ainsi que les talibés et autres homonymes de Serigne Fallou Mbacké sont entrés dans la danse pour achever le mausolée sis à l’est de la Grande Mosquée de Touba.

Supposé soutien de Mamoudou Ibra Kane à Amadou Bâ : Le président de « Demain, c’est Maintenant »brise le silence

Mamoudou Ibra Kane à Amadou Bâ
Mamoudou Ibra Kane à Amadou Bâ

Après sa déclaration renonçant à sa candidature à l’élection présidentielle de février 2024, le président du mouvement « Demain, c’est Maintenant » est présenté comme un soutien du régime de Macky Sall. « Mamoudou Ibra Kane s’engage à soutenir le « candidat unique de Benno Bokk Yaakar » lisait-on sur des affiches qui circulent sur les réseaux sociaux depuis hier. 

Mais la réponse du concerné n’a pas tardé. Joint au téléphone, Mamoudou Ibra Kane reste formel: « C’est une information qui n’est pas fondée. Je m’en tiens juste à ma déclaration d’hier. Ni plus ni moins » nous fait-il savoir même si, ajoute-t-il, « lui et son mouvement demeurent ouverts à toutes discussions… »

Audience devant la cour de justice de la CEDEAO/ L’AJE : « Nous demandons l’annulation de la saisine »

L’agent judiciaire de l’Etat, après son confrère Juan Branco, a regretté la procédure déjà entreprise en faisant une « plaidoirie politique ». « Cette Cour n’est pas une tribune politique. Je précise que Me Branco commence par dire qu’il sollicite la libération de Sonko qui aurait été détenu injustement. Ousmane Sonko a été emprisonné pour des faits criminels, graves. Il a été déféré, ses avocats ont placé des arguments et le juge l’a condamné. Il n’y a pas de détenu politique au Sénégal. Nous sommes un État de droits. Au Sénégal, toutes les procédures sont respectées. L’Etat de droits, c’est d’abord la soumission des citoyens au droit » rappelle Me Yoro Moussa Diallo qui est assisté par Me Samba Bitèye et Me Félix Moussa Sow devant la Cour qui statue ce lundi sur la requête des avocats de Sonko sur la radiation des listes et l’annulation de la dissolution du parti Pastef. 

Sur la réintégration de Sonko sur les listes électorales, l’agent judiciaire de l’Etat rappelle que les membres de la CENA ont été simplement remplacés car, ils ont épuisé leur mandat. Aussi, ajoute l’avocat de l’Etat, « la CENA n’a pas donné des injonctions à la DGE ».

Concernant la dissolution du parti Pastef, Me Yoro Moussa Sow indique que nous sommes dans un Etat démocratique et il faut respecter les institutions. « Un parti qui autorise les formes de violences, n’a pas sa place dans un Etat droit ». Pour finir, l’avocat estime qu’au Sénégal, « les voies de recours sont bien respectées. Toutefois, Ousmane Sonko s’est mis lui-même dans cet état dans lequel il se trouve actuellement. Bref, dira l’avocat, « les motifs de l’urgence ne sont pas établis ».

Moundiaye Cissé : « Cheikh Awa Balla Fall n’a pas sa place à la CENA »

Moundiaye Cissé
Moundiaye Cissé

Moundiaye Cissé, le président de l’ONG 3D, n’approuve pas la révocation des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA) ainsi que le  choix que le président de la République Macky Sall a porté sur certaines personnalités au sein de la CENA, à moins de six mois de la Présidentielle. 

Selon lui, le débat ne situe pas au niveau de la modification de la loi. Il pointe du doigt plutôt sur les violations de la loi sur le choix des personnalités non neutres.
« Ce n’est pas la peine d’aller loin en cherchant le Protocole additionnel de la CEDEAO qui parle de modification de la loi dans cette affaire. Je précise qu’aucune loi n’est modifiée ici. Il s’agit plutôt de violation de la loi. Pas de modification d’une loi sans consentement. Il y a une violation de l’article L04 du Code électoral, parce qu’on a choisi des personnalités qui ne sont pas neutres. Le fait d’avoir choisi un membre de la CENA qui a été un soutien politique pour le président de la République est une première violation et pose un grand problème. Monsieur Cheikh Awa Balla Fall n’est pas neutre. Encore une deuxième violation de l’article L07 qui dit que les membres de la CENA doivent être renouvelés au tiers. Ce qui n’ a pas été respecté, parce qu’on a renouvelé les 12 membres. L’autre aspect flagrant reste également le moment choisi qui n’est pas propice, car c’est un moment pendant lequel il y avait une sorte de bras de fer entre la CENA et la DGE », explique le patron de l’ONG 3D sur RFM.
Poursuivant, Moundiaye Cissé dit ne pas comprendre ce choix du chef de l’État qu’il compare à une sanction à l’endroit de la CENA. « Ce renouvellement semble être une sanction à l’encontre de la CENA. Pourtant, il n’y a pas mal de personnes neutres et indépendantes au Sénégal, qui sont capables d’intégrer la CENA pour remplir cette tâche. Pourquoi aller chercher une personnalité bien connue du public pour son militantisme politique et son appartenance à un parti politique ? Le président Macky Sall doit se ressaisir et revoir les nominations par rapport à la CENA, car ce monsieur, Cheikh Awa Balla Fall, n’a pas sa place à la CENA », peste-t-il.

Modou Lô vs Ama Baldé : Décryptage de l’échec du mboot par l’expert Abdou Badji

Abdou Badji, l’ancien Directeur technique national du sport sénégalais avec une expertise reconnue en lutte, nous livre son analyse de la rencontre du 5 novembre 2023 entre Ama Baldé et Modou Lô. L’échec du mboot tenté par Ama Baldé est au cœur de ses commentaires.

Selon Abdou Badji, « Ama n’était visiblement pas prêt pour ce combat, à tous les niveaux. Il était en manque de confiance comme le témoigne sa précipitation pour aller chercher son adversaire avec des jambes très écartées le mettant en déséquilibre avant, sans aucun contrôle véritable sur Modou Lô. »

Il souligne l’importance de la différence entre la saisie et le contrôle en sport de combat. « Saisir, c’est tenir ; alors que contrôler, c’est : saisir, mettre l’adversaire en difficulté et se protéger. Mettre l’adversaire en difficulté signifie le déséquilibrer avant toute action. Se protéger soi-même signifie ôter toute possibilité de contre-attaque à l’adversaire. »

Abdou Badji note également que « Une attaque réelle et efficace est la somme de : déséquilibre, pénétration et enfin projection. Aucune de ces trois notions n’existait dans la tentative de hancher (mboot) de Ama. La bonne lecture de Modou Lô lui a permis d’exploiter cette grosse faille. Et la suite tout le monde a vu… »

Enfin, il rappelle que « J’avais déjà dit qu’une mauvaise préparation conduit inévitablement au doute. Ama a rendu le combat trop facile à un Modou Lô serein et imperturbable. Chapeau tout de même à Ama qui a accepté sa défaite avec une très grande sportivité. »

Réouverture de l’UCAD : Les professeurs engagent le combat en soutien aux étudiants

L’union fait la force. Les professeurs de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) soutiennent leurs étudiants dans leur lutte pour la réouverture du campus social de l’université. Ces professeurs membres du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) réclament la reprise immédiate des cours en présentiel. Ils estiment que les motifs avancés par les autorités administratives ne sont pas valables.

Ainsi, les professeurs ont décrété une grève de 48 heures à partir de ce lundi 6 novembre pour exiger la réouverture immédiate de l’université. Ils incitent toutes les autres universités à se joindre à leur mouvement pour obtenir gain de cause.

« Nous avons décrété une grève de 48 heures ce lundi et mardi pour dénoncer ce qui se passe dans les universités. Nous appelons tous les collègues des autres universités à se joindre à nous, parce que les motifs avancés dans la fermeture de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar ne sont pas valables. Ce qui est impardonnable, c’est que les autorités administratives ont aussitôt fermé le campus juste après le saccage. Ce qui veut dire qu’ils avaient largement le temps pour réparer les dégâts, chose qu’ils n’ont pas faite. Ils ont attendu jusqu’au dernier moment pour priver les étudiants de leurs études et ce n’est pas normal. La seule raison qui les a poussées à fermer l’université reste la politique et ça, tout le monde le sait déjà », fait savoir David Célestin Faye, le secrétaire général de SAES sur RFM.

Selon,le syndicaliste,les nouveaux bacheliers risquent de payer les pots cassés de cette décision de fermeture de l’UCAD. «On n’a rien appris au courant de l’année 2022-2023. On a pratiquement rien fait et les conséquences risquent d’être trop lourdes sur les nouveaux bacheliers. Ils risquent de se confronter à un retard, car les étudiants n’ont pas encore terminé l’année 2022-2023 et les enseignements à distance n’ont rien réglé ici. En plus de cela, il y a des enseignants à qui l’on n’a pas encore payé leur salaire. Et c’est comme si ces doléances que nous posons sur la table ne préoccupent pas le ministère de l’Enseignement supérieur. Il continue de faire la sourde oreille. Il ne nous considère pas. Il n’est préoccupé que par la politique. Mais nous allons mener le mouvement si toutefois les autorités décident de continuer la fermeture de l’université sans raison », ajoute-t-il.

Sonko-Etat du Sénégal : La cour de la Cedeao met l’affaire en délibéré…

Pour la requête de Ousmane Sonko, la Cour de Justice de la Communauté des États économiques de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a décidé ce lundi 6 novembre de mettre l’affaire en délibéré au…

L’opposant Sénégalais Ousmane Sonko, a saisi en septembre dernier la cour de la Cedeao aux fins de mettre fin à sa détention provisoire, de le réintégrer sur les listes électorales, d’ordonner la suspension par l’État du Sénégal de la mesure de dissolution du parti Pastef…

« Vous avez bien servi la cour , que ce soit les mémoires ou les documents, La cour va essayer de faire un effort pour travailler », a souligné Juge Gberi-Gbè Ouattara.

Ainsi, le juge communautaire, après avoir écouté les avocats de l’Etat et ceux de Ousmane Sonko, pendant plus d’un tour d’horloge, a mis l’affaire en délibéré au 17 novembre 2023.

Koalack : Le ministre Mouhamed Ndiaye invite à faire voter tous ceux qui ont parrainé Amadou BA

A Kaolack, le ministre conseiller Mohamed Ndiaye est sur le terrain pour un large parrainage de la liste 117 du candidat Amadou BA. Il multiplie les sorties et, surtout, en cette période de collecte de parrainage.

Ainsi, il a présidé, ce dimanche, une cérémonie de remise de parrainages de ses femmes qui sont derrière Thiama Omar Tall. La rencontre qui avait comme invité d’honneur El Hadji Alassane Wade, Président de l’ADEKA a permis au Coordonnateur de la Coalition présidentielle, BBY de Kaolack de lancer une boutique aux autres leaders politiques de la région : « Aujourd’hui, les forces ne sont pas les mêmes » par la formule wolof « Dolé Yémoul ».

Ces premiers dépôts de parrainages en attendant d’autres montrent que la majorité est dans notre camp. Restons mobilisés et traduisons tous ces parrains en électeurs potentiels. Qu’ils votent pour nous ».