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Macky Sall : « Nous ne pouvons continuer à regarder l’horreur de ces enfants qui meurent dans…

Le président de la République est à Kédougou dans le cadre d’une tournée économique dans la région orientale, à Kaolack, Kaffrine et Fatick du 13 au 17 novembre. Lors du Conseil présidentiel, le chef de l’Etat a abordé la question de l’émigration clandestine. Macky Sall estime que c’est une hémorragie qu’il faut arrêter, tout en proposant un programme spécial.

Un programme spécial

« Le volet jeunesse doit nécessiter une prise en charge particulière », a constaté le président de la République du Sénégal, avant de s’expliquer : « Cela se justifie d’autant plus que depuis l’avènement de la pandémie Covid-19, j’ai donné une orientation sociale aux allocations budgétaires avec un accent particulier pour les secteurs sociaux, tels que l’éducation, la santé, et la protection sociale.«

Macky Sall semble vouloir prendre en urgence la question de la jeunesse. « Je fais un appel national à l’État, surtout aux entreprises privées pour la mise en place d’un plan pour la jeunesse. Un plan spécial qui devra être pour la formation professionnelle, un plan pour les stages des jeunes dans les entreprises, mais également un plan pour les grands travaux nationaux, notamment le chantier d’assainissement, la voirie, les chantiers de lutte contre les inondations, de l’hygiène publique, mais également les chantiers de lutte contre la désertification pour le reboisement« , a-t-il dit.

Un bon plan

Le chef de l’Etat a invité le Premier ministre, Amadou Bâ, à mettre en oeuvre ce plan « sans délai » Dans ce cadre, il a appelé les entreprises à « augmenter les recrutements de jeunes dans leurs effectifs. »

Pour le reste, a-t-il confié, il faut « voir dans les premiers temps les modalités de ce recrutement ainsi que les rémunérations d’abord des stages de courtes durées puis des embauches. »

Emigration clandestine

« C’est un effort national que l’État doit engager mais également que l’ensemble des entreprises du secteur privé doivent accompagner, a-t-il plaidé. Nous pourrons dans les semaines à venir à l’occasion d’un Conseil présidentiel spécialement consacré à l’emploi des jeunes, à leur employabilité, pour dégager des moyens substantiels. Nous savons que la jeunesse est l’avenir de notre pays. Son avenir doit être assuré chez nous. Nous ne pouvons pas continuer à regarder ces scènes d’une horreur exceptionnelle d’enfants qui meurent dans le désert et dans la mer sans agir. Il faut un programme spécial pour lutter contre cet émigration » visant à « offrir des perspectives de formation professionnelle mais également des perspectives d’entrepreneuriat, et d’emploi de façon à arrêter cet hémorragie qui constitue un véritable fléau pour notre pays, et pour toute l’Afrique ».

« Pas question de repousser la Présidentielle de 2026 », Mamadou Lamine Diallo

Il se susurre sur certains toits marron-beige de reporter la Présidentielle de février 2025. Après Boubacar Camara Kamah, leader de PCS/ Jengu Tabax, Souleymane Jules Diop de la majorité présidentielle, Apr/Bby, lui emboite le pas. Mamadou Lamine Diallo les foudroie sans ménagement, écartant toute idée de changer le calendrier républicain.

« Soyons définitivement clair. Le calendrier républicain est au dessus de la classe politique. Il doit être respecté.
« Pas question de repousser l’élection présidentielle en 2026 ou autres dates en tripatouillant encore notre constitution.
Il ne prend pas plus d’une heure pour rétablir Ousmane SONKO dans ses droits et lui permettre de participer à l’élection présidentielle de février 2024 ».

17 Novembre décisif?“Sonko sera radié définitivement sur les listes électorales si”PMS met en garde

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Urgent-Pape SANE placé en garde à vue

e chroniqueur de Wal Fadjri va passer la nuit en détention. Cueilli ce lundi 13 novembre 23, après son émission « Keppar Gui » sur WalfFM, Pape SANE a fait face aux enquêteurs de la Section de recherches de la Gendarmerie qui, après l’avoir auditionné, lui ont notifié son placement en garde à vue. Sauf revirement, il sera déféré devant le procureur de la République ce mardi 14 novembre.

Pape SANE est poursuivi pour « diffusion de fausses nouvelles ». Il lui est reproché une publication qu’il a faite sur sa page Facebook intitulée : « les Sénégalais ne vous oublieront jamais ». Un texte dans lequel, le chroniqueur de Wal Fadjri rend un vibrant hommage au général Jean Baptiste TINE.

Pape Sané convoqué à la section de recherches, Pa Moussa Sow lâche les dernières infos“Ay 17h lagn k

Pape Sané convoqué à la section de recherches, Pa Moussa Sow lâche les dernières infos“Ay 17h lagn k

Refus de la DGE de remettre à Sonko ses fiches de parrainage: Matar Ba réagit : « Je trouve cela juste parce que… »

Matar Ba
Matar Ba

Le débat autour du refus de la Direction générale des élections (DGE) de donner au mandataire de Ousmane Sonko ses fiches de parrainage continue toujours de susciter la polémique.

Cette fois-ci, c’est l’ancien Ministre des Sports, Matar Ba, par ailleurs chef de Cabinet du président Macky Sall, qui a donné son avis sur cette décision de l’administration électorale. « Je trouve cela juste parce que je respecte les intitutions de ce pays », a déclaré Matar Ba dans une interview accordée à nos confrères de Igfm

« Si ce qui a été fait est fondé sur des textes, si ça doit changer, ce sont des textes qui doivent le faire. Même si notre arsenal a des failles, avant de jeter à la poubelle, il faut respecter ce qui est ici », a-t-il ajouté. « Des Sénégalais ne respectent pas les décisions de justice. Pourtant quand ils sont offensés, ils la saisissent. C’est la même justice pour tous. On peut être d’accord ou pas, mais c’est notre justice », a rappelé Matar Ba.

Tournée politique: Aminata Touré s’en prend à Macky Sall : « Il faut que le président arrête cette.. »

En périple économique dans la région de Kédougou, le président Macky Sall reçoit une invitation de son ancienne collaboratrice, Aminata Touré, à orienter le reste de son temps au pouvoir vers la résolution des problèmes cruciaux affectant les Sénégalais.

Selon Aminata Touré, la problématique des habitants de Kédougou ne peut être résolue au cours d’une tournée. « Le président Macky Sall doit arrêter cette campagne électorale déguisée pour consacrer le reste de son temps au pouvoir à lutter contre la spirale incontrôlable des prix et à lutter contre l’émigration clandestine qui tue de nombreux jeunes Sénégalais », avance-t-elle.

« Ce n’est pas à quelques semaines de son départ qu’il va régler la situation catastrophique de la région de Kédougou. Qu’il économise nos maigres deniers. L’argent de ses déplacements peut servir à aider les très nombreuses familles qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts », constate Aminata Touré

Exclusif! Père Birahim décortique la défaite de Emeu Séne “ Erreur Bimou def..Lokho Tapha Tine….

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Sonko, la rencontre de la Volonte et de la Nécessité (Par Siré Sy)

Sire Sy
Sire Sy

Du point de vue philosophique, à l’analyse de la conjoncture politique nationale, de son évolution et de son inscription dans le temps, on ne peut pas pour et sur le cas Ousmane Sonko que j’appelle volontiers ‘’Boy diiwtiir’’, de parler de l’idée de la Volonté de puissance si chère au philosophe Nietzsche d’une part, et d’autre part du principe de la Nécessité si chère à Aristote.
Ils, le camp des André Pathé, des Benoit Pathé, des Martin Pathé, ont tout fait et continuent à tout faire pour l’écarter de la course à la présidentielle de février 2024.
Mais, à chaque fois, Ousmane Sonko les oppose une volonté supérieure à la leur.
Tantôt ce fut sur le plan de la violence physique. Tantôt sur le plan de la violence verbale. Tantôt sur le plan de la violence symbolique. Tantôt sur le plan de la puissance du Droit et de la légalité.
Pour autant Sonko ‘’Boy diiwtiir’’ sait donner des coups, pour autant il sait aussi les accepter, les encaisser et les intégrer. En effet, Sonko a su apprendre à vivre avec les injustices multiformes que le régime de ‘’Sall ngari lam toro bourou guede’’ lui fait.
C’est aussi une capacite pour Sonko ‘’Boy diiwtiir’’, d’éviter sans cesse les remords.
Et la tournure des derniers évènements, (la décision du Juge Sabassy Faye et la décision de la CENA qui aurait peut-être certainement valu au limogeage du président Doudou Ndir et sans compter l’acte et l’attitude de la DAF ‘’Direction de l’automatisation du fichier’’), en disent long que Sonko est de retour dans la course à la présidentielle de 2024, en force et en puissance. Et il reste à ce jour, l’ultra favori pour devenir le prochain président de la République du Sénégal, devant les
candidats Amadou BA de la coalition Benno Bokk Yakkar et Serigne Mboup de la coalition And Nawle Goorgoorlu.
Du point de vue de la Nécessité, Ousmane Sonko ‘’Boy diiwtiir’’ est devenu presque une sorte d’impératif nécessaire, de la nécessité de ce qui ne peut pas ne pas être, ou ce dont le contraire ne peut se concevoir. En science politique, on dira alors, qu’Ousmane Sonko est une demande sociale et nationale.
D’ailleurs quand la Sonkomania déclenchait et que le ‘’Diiwtiir’’ se mit à ruisseler, c’était avant tout, avec les Sénégalais à l’étranger et non les Sénégalais de l’étranger (la diaspora sénégalaise s’est mutée d’une diaspora des Sénégalais de l’étranger à une diaspora des Sénégalais à l’étranger, avec l’arrivée de Ousmane Sonko sur la scène politique).
Ensuite ce fut avec la jeunesse sénégalaise (les moins de 30 ans), toutes catégories sociales confondues et toutes catégories professionnelles confondues, des villes, des campagnes et de l’entre deux, c’est-à-dire les péri-urbains.
Après cela, ce sont les Femmes sénégalaises de tous les âges qui vont se reconnaitre dans son combat et le porter.
Ensuite, ce sont des pans entiers de l’intelligentsia sénégalaise (des universitaires, des chercheurs, des experts) qui vont s’enivrer du ‘’diiwtiir’’ Ousmane Sonko.
Ensuite, ce sont les ‘’Domou Darra’’ sous l’impulsion du chroniqueur socio-politique Serigne Cheikh Bara Ndiaye de Walf TV qui est le symbole le plus achevé de l’entrée des Domou Daara dans la co-construction du bien commun, au-delà de la chose publique.
Et comme si cela ne suffisait pas, voici les Maggi Pastef avec les Doyens Alla Kane, Mayabe Mbaye, Niamby Sonko et autres….
Eh oui, Ousmane Sonko ‘’Boy Diiwtiir’ est une manifestation concrète de la rencontre entre la Volonté et de la Nécessité, qui comme un rouleau compresseur, risque de tout ravager sur son passage. A l’image de la salvinia molesta.
Mais, attention, Ousmane Sonko, Serigne Mboup rode tout autour et il sera pour toi et pour le camp de Pastef, votre plus grand challenger qui pourrait vous amener au ballotage, c’est-à-dire au second tour.
Siré SY
Président du Think Tank Africa WorldWide Group
www.africaworldwidegroup.org

France, Belgique, Espagne,… : Guy Marius Sagna fait le résumé de sa tournée dans la diaspora

Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna

En tournée depuis plus de deux mois dans la diaspora, le député Guy Marius Sagna est rentré, ce lundi 13 novembre 2023, au Sénégal. Ainsi, le parlementaire a jugé nécessaire de faire le résumé de sa tournée. Voici l’intégralité de sa publication !

« Je viens d’arriver sur notre terre africaine du Sénégal. En deux mois et 6 jours passés hors du Sénégal, j’ai été invité dans 10 pays:
Belgique, Espagne, Suisse, France, Suède, Luxembourg, Italie, Maroc, Afrique du Sud, Hollande.
Je suis allé dans 26 villes:
– Ostende et Bruxelles (Belgique)
– Barcelone, Madrid, Saragosse, Bilbao, Ténérife, Las Palmas, Malaga, Roquetas de Mar, Valencia, Majorque (Espagne)
– Genève (Suisse)
– Luxembourg
– Brescia, Bergamo (Italie)
– Stockholm (Suède)
– Marrakech, Rabat, Casablanca (Maroc)
– Johannesburg (Afrique du Sud)
– Amsterdam (Hollande)
– Lille, Paris, Lyon, Marseille (France)

Nous avons fait 54.786 kilomètres. En réalité plus. Autrement dit plus que la circonférence de la Terre (40.075 kilomètres).
PASTEF est la seule force politique Sénégalaise à pouvoir faire cela sans avoir volé l’argent des sénégalais.

C’est pourquoi je félicite et remercie les coordinations de PASTEF des 10 pays et les sections de PASTEF des 26 villes qui m’ont invité. Je suis surtout rassuré que dans la diaspora comme au Sénégal, Ousmane Sonko a déjà gagné l’élection présidentielle de février 2024.
Pendant ces deux mois et 6 jours nous avons participé à :
– 28 conférences
– 09 rencontres avec des élus de 09 villes (maires, députés provinciaux et nationaux et députés de l’Union Européenne) et une institution (Union Interparlementaire)
– 11 rencontres avec des associations, des personnalités
– 03 émissions TV
– 02 manifestations

J’ai rencontré des milliers de Sénégalais. Ils sont tous focus sur l’élection de Ousmane Sonko comme 5e président de la République du Sénégal. 
Je suis de retour pour terminer avec vous notre mission : libérer Ousmane Sonko et les plus de mille détenus politiques, élire Ousmane Sonko 5e président de la République du Sénégal, libérer le Sénégal et l’Afrique.
Sonko 5e président !
GMS, »

Éliminatoires Coupe du monde 2026 : 14 Lions présents au premier galop, voici la liste

coach des lions
coach des lions

Quatorze Lions ont déjà répondu, ce lundi 13 novembre 2023, présent pour le premier galop d’entraînement de l’équipe nationale du Sénégal, au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio.

Ce, en prélude des deux premières journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, contre le Soudan du Sud le 18 novembre 2023 à Dakar et le Togo 3 jours après à Lomé.  Quatorze joueurs se sont entraînés, aujourd’hui, avec l’équipe nationale du Sénégal.

Il s’agit de Abdoulaye Seck, de Lamine Camara, de Seny Dieng, de Dion Lopy, de Ismael Jackobs, de Pathé Ciss, de Habib Diallo, de Abdoulaye Niakhaté Ndiaye, de Pape Matar Sarr, de Edouard Mendy, de Koulibaly, de Sadio Mané, de Abdou Diallo et de Idrissa Gana Gueye.

A souligner que le groupe a effectué deux tours de terrain, avant d’entrer dans le vif du sujet. Mais Sadio Mané et Lamine Camara ont, quant à eux, continué leur footing sous la direction du kiné de l’équipe nationale.

Très bonne nouvelle pour Ama Baldé et Modou Lo, le CNG décide de leur restituer leur… (vidéo)

Ama Baldé et Modou Lo
Ama Baldé et Modou Lo

Le CNG a pris la décision de restituer à Modou Lo et Ama Baldé l’argent qui leur avait été retiré. Ama Baldé avait été délesté de 3 670 000 FCFA, tandis que Modou Lô avait perdu 700 000 FCFA. Les reproches faits à ces deux lutteurs concernaient la destruction des sièges des tribunes et le dépassement du nombre d’accompagnateurs autorisés. Bien que défaits dans leurs affrontements, Ama Baldé a également été critiqué par le CNG pour avoir pris trop de temps dans sa préparation mystique face au Roi des Arènes.

Pape Sané de Walfadjri actuellement à la Section de recherches de Colobane

Section de recherches de Colobane
Section de recherches de Colobane

La série de convocations des chroniqueurs de Walfadjri devant les enquêteurs se poursuit.

Après Pape Ndiaye et Serigne Bara Ndiaye, c’est désormais au tour de Pape Sané d’être convoqué. Ce lundi 13 novembre, le chroniqueur a reçu une convocation l’invitant à se présenter à la Section de recherches de la Gendarmerie située à Colobane.

À l’heure actuelle, les motifs de sa convocation demeurent inconnus, mais au moment de la rédaction de ces lignes, le chroniqueur de Walfadjri est à Colobane. Nous y reviendrons…

(Clip officiel) – Pape Bilal émerveille ses fans avec ce magnifique clip, « Ndaga ».

C’est un magnifique clip que le chanteur Pape Bilal vient de dévoiler. « Ndaga » est le nom. En effet, l’artiste a confirmé tout son talent avec cette production artistique qui émerveille ses fans et les mélomanes de la musique sénégalaise. Rythme, ambiance, images, Pape Bilal a tapé trop fort.

Écoutez !

Madiambal Diagne : « Piloter le Cos-Petrogaz, la mission prédestinée de Macky Sall »

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne

On a de bonnes raisons d’être content et même fier pour le Président Macky Sall, qui se voit offrir la future position d’Envoyé spécial pour la toute nouvelle organisation, portée sur les fonts baptismaux, le Paris Pact for Peace and Climate (4P). Cette organisation, qui préconise un nouveau pacte financier mondial, travaillera à changer les paradigmes de la coopération internationale, avec notamment la redéfinition des actions de développement. Elle s’annonce si importante, pour ne pas dire essentielle, que déjà plus de cent pays, des organisations internationales, des partenaires du secteur privé et autres philanthropes, et des coalitions d’Ong la soutiennent. L’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde), qui en assure le secrétariat, a annoncé l’accueil en son sein du comité de mise en œuvre du 4P. Le chef de l’Etat sénégalais, qui prendra ses fonctions au terme de son magistère dans son pays en avril 2024, est attendu pour «la mobilisation de tous les acteurs de bonne volonté et des signataires du 4P», indique un communiqué conjoint de la présidence de la République française et de l’Ocde.

Cette offre d’emploi, acceptée de bon gré par Macky Sall, constitue non seulement une véritable consécration personnelle, mais aussi lui donne une belle et bonne opportunité de pouvoir continuer à être utile à son pays, à l’Afrique et au monde. Combien d’anciens chefs d’Etat ou de personnalités du monde auraient aimé être sollicités pour le «job» ? Nombre d’entre eux ne sont plus mêlés à rien dans la marche du monde ! Il n’y a aucune raison pour faire une faveur ou une fleur à Macky Sall. Il est simplement méritant. C’est dire qu’on ne peut que sourire devant une certaine inanité de réactions qui se sont voulues réductrices, pour cette importante mission concernant le devenir de la planète. On a voulu croire que Macky Sall est ainsi l’employé de son homologue Emmanuel Macron. Sans doute, mais il sera tout aussi celui du Sénégal, de l’Allemagne, de la Belgique, de l’Afrique du Sud, de l’Inde, de la Côte d’Ivoire, de l’Irlande, du Kenya, du Ghana, du Nigeria, de la Jordanie, de la Roumanie, de l’Egypte, de la Croatie, de la Guinée, du Fmi, de l’Union européenne, de la Banque mondiale, de l’Ocde, entre autres pays et organismes internationaux. Il est à noter que la Communauté internationale salue à l’unanimité ce choix porté sur la personne de Macky Sall. Les honneurs lui sont encore faits cette semaine en Arabie Saoudite, à l’occasion d’un Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (Oci). Le meilleur reste à venir assurément ! Les avis négatifs ne sont exprimés que par certains de ses compatriotes qui n’arrivent, sans doute toujours pas, à distinguer l’essentiel de l’anecdotique ! C’est ainsi qu’on a entendu certains s’offusquer du titre d’Envoyé spécial qui ne serait pas assez pompeux à leur goût ! C’est d’abord méconnaître que Macky Sall est très détaché du faste et du snobisme. Aussi, quel autre titre plus prestigieux, plus valorisant ou même équivalant pourrait-on donner à un ancien chef d’Etat ? A moins qu’on ne décide qu’un ancien chef d’Etat devrait rester à se tourner les pouces ! A-t-on besoin de rappeler que l’ancien Président Abdou Diouf a occupé, avec fierté et dévouement, les fonctions de Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif), pour passer la main à Michaëlle Jean, ancienne Gouverneure générale du Canada ? Mary Robinson, ancienne Présidente de l’Irlande, a été nommée par Koffi Annan, au poste de Haut-commissaire des Nations unies pour les droits de l’Homme. Michelle Bachelet, ancienne présidente de la République du Chili, n’a-t-elle pas été Secrétaire générale adjointe de l’Onu, chargée de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes, entre autres fonctions internationales ? Les exemples ne se comptent plus. Alpha Oumar Konaré du Mali, après ses fonctions de chef d’Etat, n’a-t-il pas dirigé la Commission de l’Union africaine ? L’ancien Président français, Jacques Chirac, n’avait-il pas lancé une initiative mondiale pour lutter contre le trafic des faux médicaments ? Quelles fonctions «subalternes» les anciens présidents Valéry Giscard d’Estaing ou Barack Obama n’ont-ils pas remplies après celles de chef d’Etat ? La Brésilienne Dilma Roussef, parrainée par son mentor Lula Inacio Da Silva, s’est casée à la nouvelle banque des Brics. Dites-moi si ces anciens chefs d’Etat ont éprouvé de la honte pour leurs nouvelles occupations ? Ou bien serait-il plus valorisant de tourner des documentaires pour Netflix comme le fait Barack Obama ou de devenir comédienne comme l’ancienne Présidente croate Kolinda Grabar Kitarovic, ou de diriger des missions d’observation d’élections comme Olusegun Obasanjo (Nigeria), Pedro Pires ou Jorge Carlos Fonseca (Cap-Vert ?) Peut-être que si Mahamadou Issoufou (Niger) était moins oisif, il ne finirait pas par passer pour le parrain de putschistes contre son successeur Mohamed Bazoum ?

Par contre, on est passé du sourire aux rires aux éclats jusqu’à applaudir à tout rompre, quand on voit Alioune Tine revendiquer que Emmanuel Macron ne saurait aimer Macky Sall plus que les Sénégalais, dont lui-même. On peut bien croire Alioune Tine qui met en garde Macky Sall contre ses proches car le zèle excessif des nouveaux convertis est une caractéristique évidente. «Rien n’égale le zèle d’un converti. On dirait qu’il ne peut pas accepter que vous résistiez là où il a succombé», (Albert Brie). Quels procès d’intention n’a-t-il pas fait à Macky Sall ? Ne l’a-t-il pas vilipendé ? Ne lui a-t-il pas prêté les plus lugubres intentions et ne l’a-t-il pas voué aux gémonies et lui avoir promis la pire des fins ? Macky Sall peut toujours le croire car «les esprits faux changent toujours de maxime» (Vauvenargues).

Piloter le Cos-Petrogaz, la mission prédestinée de Macky Sall
La vie a ses parts de malices, de facéties, mais aussi de destinée immuable. La vie de Macky Sall est liée au pétrole et au gaz dont regorge le sous-sol sénégalais. Lui-même a pu être ému de recevoir, de la part d’un de ses anciens collaborateurs, une vieille coupure de presse, une page de l’édition du journal Le Soleil, du numéro 8705 du 10 mai 1999. On voit sur la photo, le Premier ministre Mamadou Lamine Loum, en compagnie du ministre de l’Energie, des mines et de l’industrie, Magued Diouf, écoutant attentivement des explications d’un technicien de Petrosen. Ce technicien en question, qui était chef de la division des données de la Société nationale Petrosen, se nomme Macky Sall. Avec la foi du charbonnier, ce jeune technicien tenait à expliquer à ses interlocuteurs, le fabuleux potentiel en hydrocarbures que devraient renfermer les entrailles du Sénégal. Il considérait que le bassin sédimentaire est sous-exploré et préconisait déjà des investissements adéquats pour trouver le sésame. En effet, «des secteurs entiers de ce bassin n’en sont qu’au stade de la reconnaissance de base, par exemple le bassin paléozoïque on shore et l’off-shore profond, nouvel espoir de l’exploration». Macky Sall était persuadé des prochaines découvertes. Le hasard lui a souri, car devenu président de la République du Sénégal, en 2012, il aura la main heureuse avec de fabuleuses découvertes en hydrocarbures au Sénégal. Il a sans doute davantage réfléchi sur la gestion de la manne pétrolière et gazière que sur la gestion d’un Etat. C’est ainsi qu’il n’a pas tardé à mettre en place des outils et autres mécanismes pour permettre à son pays de tirer le meilleur profit de ses ressources en hydrocarbures. Ainsi, on retiendra que suite à la découverte d’importants gisements de pétrole et de gaz au large de nos côtes, le Président Macky Sall a entrepris une série de réformes dont l’adhésion à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie) en 2013, mais surtout la création du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz (Cos-Petrogaz) à travers le décret 2016-1542 du 3 octobre 2016. Le rôle principal de cet organe est d’assister le chef de l’Etat et son gouvernement dans la définition et la mise en œuvre de la politique en matière de gestion de nos ressources pétrolières et gazières. Les missions fondamentales du Cos-Petrogaz sont donc : «Assister le président de la République dans la définition, la supervision, l’évaluation et le contrôle de la mise en œuvre de la politique nationale en matière de développement de projets pétroliers et gaziers ; assister le gouvernement dans la mise en œuvre des stratégies, programmes et projets pour la promotion et le développement de projets pétroliers et gaziers ; valider, en dernier ressort, toutes les études relatives aux réserves de gaz et de pétrole, ainsi que des gisements à développer ; valider, en relation avec les opérateurs publics et privés du secteur, tous les documents stratégiques, programmes et plans d’action pour la création de structures de formation professionnelle et de recherche afin d’assurer la promotion de l’emploi à travers les projets pétroliers et gaziers en réalisation ; assurer le suivi et l’évaluation des réserves stratégiques et de la commercialisation des hydrocarbures ; impulser, en rapport avec les ministères et structures publiques impliqués, ainsi que les partenaires techniques et financiers nationaux, bilatéraux, multilatéraux et privés, la mobilisation de l’assistance technique et des financements des programmes et projets de promotion des sous-secteurs pétroliers et gaziers ; assurer le suivi de la bonne gestion du sous-secteur des hydrocarbures.»

Qui, mieux que Macky Sall, qui a conçu cet outil, pourrait traduire et mettre en œuvre sa vision au grand bénéficie du Sénégal ? Il est nanti de compétences, d’une expertise et d’une légitimité incontestables dans ce domaine. Il pourrait ainsi travailler bénévolement pour impulser ce secteur et rester encore utile à son pays. Une telle occupation ne devrait certainement pas l’empêcher de faire des «piges» à l’international. D’aucuns lui suggéreraient de mettre en place une fondation pour contribuer au développement économique et social de son pays, mais je reste à croire que faire profiter le Sénégal de son expérience et de sa baraka dans le secteur des hydrocarbures devrait être la meilleure chose à faire. Le temps a fait son œuvre de vérité. Ceux qui l’accusaient de faire main basse sur les ressources en pétrole et en gaz ont fini par réaliser la stupidité de leurs affirmations.
Par Madiambal DIAGNE 

Entretien téléphonique avec Vladimir Poutine:  » Nous avons échangé sur des sujets… »

Mack Sall avec le Président Poutine
Mack Sall avec le Président Poutine

Sur son compte X( ex-Twitter), le Président Macky Sall a déclaré avoir eu  » un entretien téléphonique ce 12 novembre 2023 avec le Président Vladimir Poutine ».

Poursuivant le chef de l’État de revenir sur l’objet de cet entretien.  » Nous avons échangé sur des sujets d’intérêt commun touchant à la coopération bilatérale entre nos deux pays, au suivi du 2e Sommet Russie-Afrique et à l’actualité internationale », a-t-il informé.

Yankhouba Seydi : « La fermeture de l’université est une grosse erreur » (vidéo)

Yankhouba Seydi
Yankhouba Seydi

« L’université a été fermée non pas pour des mesures de sécurité, mais à cause de la politique… », a fait savoir Yankhouba Seydi.

L’un des membres du conseil académique de l’Ucad de soutenir que ce n’est pas normal. Même en temps de guerre, les étudiants vont à l’université qui est le rempart et le foyer de la science d’un pays.

« C’est la plus grosse erreur que personne ne comprend… » laisse-t-il entendre.

Report de la Présidentielle: « Juridiquement difficile à envisager, sauf.. » (Ismaïla Madior Fall)

Ismaïla Madior Fall
Ismaïla Madior Fall

Le débat sur le report de l’élection présidentielle sénégalaise prévue pour le 25 février 2024 s’intensifie. Récemment, des personnalités politiques telles que Boubacar Camara Kamâh et Souleymane Jules Diop ont évoqué la possibilité d’un report, citant des difficultés pour certains candidats et le risque de troubles. Cependant, cette suggestion a été fermement rejetée par le Professeur Ismaïla Madior Fall, actuel ministre des Affaires étrangères et ancien ministre de la Justice.

Opposition Ferme du Ministre Ismaïla Madior Fall

Dans une série de tweets, le Professeur Fall a clarifié la position du gouvernement concernant le report de l’élection. Il souligne plusieurs points :

  1. Aspect Juridique: Il explique que le report de l’élection présidentielle est juridiquement complexe, nécessitant une révision de la Constitution. Cela diffère des reports de législatives ou locales, qui ont des précédents, « Juridiquement difficile à envisager, sauf à réviser la Constitution qui fixe l’intervalle temporel de tenue de celle-ci. Ce qui explique les cas de report de législatives et de locales, mais jamais d’une présidentielle »
  2. Contexte Historique: Historiquement, les élections présidentielles au Sénégal ont respecté leur calendrier, à l’exception de quelques ajustements mineurs de dates au fil des ans.
  3. Réalité Matérielle: Selon M. Fall, les circonstances actuelles ne justifient pas un report, « matériellement, les causes, raisons ou motifs justifiant un report ne sont pas en présence ».
  4. Perspective du Président Macky Sall: Il souligne que le Président Sall, connu pour son enthousiasme envers les compétitions électorales, ne cherche pas à prolonger son mandat sans une raison valable liée à l’intérêt supérieur de la nation. « Subjectivement, l’idée n’intéresse pas l’intéressé, en l’occurrence le Président Macky Sall »
  5. Avis des Autres Candidats: Pr Fall note également que d’autres candidats majeurs n’ont pas demandé de report.

Le ministre Fall conclut que le pays, le président et les candidats sont prêts pour cet événement historique et appelle à écouter la voix du peuple le 25 février.

[Casting présidentiel 7/8] Babacar Diop, Pape Djibril Fall, Déthié Fall, Abdourahmane Diouf: les seconds rôles !

Babacar Diop, Pape Djibril Fall, Déthié Fall, Abdourahmane Diouf
Babacar Diop, Pape Djibril Fall, Déthié Fall, Abdourahmane Diouf

Même s’ils sont parvenus à se faire un nom d’une manière ou d’une autre, dans l’opposition, nombreux sont les candidats déclarés à la présidentielle de février 2024 qui risquent de jouer les seconds rôles. On peut citer Pape Djibril Fall, Babacar Diop, Abdourahmane Diouf, Déthié Fall, entre autres.

Ouverte depuis fin septembre dernier, la campagne de collectes de parrainages se poursuit. Pour passer cette étape fatidique et obligée pour les candidats, ces derniers ont presque tous investi le terrain à la recherche de potentiels signataires. Mais dans ce lot, il y en a qui, même s’ils parviennent à franchir le cap de parrainages, risqueront de se contenter à jouer les seconds rôles et ce, pour des raisons diverses.

Pour l’opposition, il y a Abdourahmane Diouf. Le leader de Awalé devra batailler dur pour déconstruire l’étiquette qui lui a été collée, celle d’être un « opposant doux », qui peut être de « connivence avec le pouvoir selon les circonstances ». Pourtant, ce juriste de formation semble constant dans sa démarche. Et pour preuve, il n’a pas suivi son ex-mentor Idrissa Seck dans sa démarche « suicidaire » de rejoindre la mouvance présidentielle, alors qu’il était sorti deuxième lors des échéances électorales de février 2019.Mais du fait de ses positions tranchées, il est tout de même considéré par certains, notamment membres de l’ex-Pastef, comme étant un pur produit du système. Au-delà de ces accusations portées à son encontre, à tort ou à raison, l’ancien directeur général de la Sones manque de base politique solide.

C’est le cas de son ancien camarade de parti Déthié Fall. Mais contrairement à l’ancien porte-parole du candidat Idrissa Seck lors de la dernière présidentielle, le discours de l’ex-député et membre fondateur de Yewwi Askan wi, principale coalition de l’opposition, ne semble souffrir d’aucun doute. M. Fall a su, très rapidement, se démarquer et s’engager dans l’aile dure de l’opposition incarnée par Ousmane Sonko, adulé par une bonne partie de la jeunesse sénégalaise. Grâce à sa « proximité » avec le maire de Ziguinchor, celui que l’on considérait comme « le technicien » de Yewwi Askan wi a pu engager une certaine sympathie au sein des anti-systèmes. Seulement, l’ancien numéro 2 de Rewmi, qui a longuement cheminé dans l’ombre d’Idrissa Seck, ne parvient pas encore à avoir une assise politique solide à 4 mois de l’élection présidentielle. Conséquence : Déthié Fall peut bien faire partie des faiseurs de roi si, toutefois, il parvenait à passer l’étape des parrainages.

Le Dr Babacar Diop est dans ce cas de figure, même si les trajectoires diffèrent. Élu maire de Thiès, en 2022, sous la bannière de Yewwi Askan wi, le professeur de philosophie s’est très vite démarqué de ladite coalition pour mettre en avant son parti Fds/Les Guelwaar. Mais celui-ci n’a pas encore étendu ses tentacules dans les coins les plus reculés du Sénégal. Une fois le nombre requis de parrains rassemblés, l’enseignant-chercheur aura la lourde tâche de gagner son fief, la capitale du Rail, réputée ville rebelle avec une dizaine de candidats à la candidature.

« Petits candidats » de l’opposition

C’est pareil pour le journaliste Pape Djibril Fall. Même s’il est parvenu à entrer dans au sein de l’hémicycle par la magie du système du plus fort reste, le jeune leader de « Les Serviteurs » traîne, lui aussi, une tare : absence d’une base affective. En effet, très en vue grâce ses interventions sur le plateau de « Jakarloo » à la Tfm, l’ancien chroniqueur est, aujourd’hui, frappé du fait de son statut de « non aligné » à l’Assemblée nationale. Ce qui a commencé à jouer contre lui si l’on sait que la présidentielle, c’est généralement le candidat officiel du pouvoir en place et les autres prétendants, en tout cas pour le premier tour du scrutin.

En vertu d’une loi adoptée en juillet dernier par l’Assemblée nationale, tout candidat à l’élection présidentielle sénégalaise doit obtenir les signatures de 0,6 à 0,8 % – soit 44.231 à 58.975 électeurs – du nombre d’électeurs inscrits sur le fichier électoral. Une partie de ces signatures doit provenir au moins de sept régions, à raison de 2.000 pour chacune. Mais il y a une innovation majeure qui peut être bénéfique pour les « grands » candidats de l’opposition comme Khalifa Sall,  Karim Wade et celui de l’ex-Pastef: il est loisible au candidat à la candidature aussi de recourir au parrainage parlementaire, pour lequel il doit collecter au moins 13 signatures, soit 8 % de l’effectif des députés, tout comme il a la possibilité de collecter des signatures ou parrainages auprès des présidents des conseils municipaux (les maires) et départementaux.Pour cette dernière option, tout prétendant au mandat présidentiel qui y recourt doit réunir 120 signatures au moins, soit 20 % de l’effectif des présidents des conseils municipaux et départementaux.

N’ayant pas le nombre d’élus requis, Pape Djibril Fall, Babacar Diop, Abdourahmane Diouf, Déthié Fall, de « petits candidats », vont tous devoir faire recours au parrainage citoyen. Une option très risquée.

Urgent – Cas Sonko: Le nouveau Président de la CENA brise le silence

Abdoulaye Sylla, nouveau Président de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA)
Abdoulaye Sylla, nouveau Président de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA)

Abdoulaye Sylla, nouveau Président de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA), a prêté serment ce lundi devant les membres du Conseil constitutionnel.
Il a été interpellé sur le cas Ousmane Sonko au cœur d’un véritable imbroglio entre l’institution qu’il dirige et la Direction générale des Élections (DGE), M. Sylla a botté en touche estimant vouloir attendre la fin de la passation de son service avec son prédécesseur, Doudou Ndir. “Une fois que la passation de service sera faite, je vais examiner le dossier  avec l’ensemble des membres de la CENA pour voir quelle réponse donner”, a–t-il dit. 
La commission électorale demandait que l’opposant, radié après sa condamnation judiciaire, puisse de nouveau figurer sur les listes électorales. Le ministère de l’intérieur, à travers la DGE, a refusé, ce qui empêche M. Sonko d’être candidat à la présidentielle de 2024.
Abdoulaye Sylla semble conscient de l’ampleur de la tâche et évoque une  « lourde mission ».
“Ce travail ne sera pas facile, mais je compte faire de mon mieux pour donner une égalité de chances à tous les citoyens électeurs de pouvoir exprimer leurs choix, mais aussi une égalité de chances à tous les candidats qui sont dans le droit chemin”, a-t-il déclaré. 

Les membres en charge de la régulation des loyers confrontés à des arriérés de salaires

La Commission nationale de la régularisation des loyers (Conarel), établie par le président Macky Sall pour réguler les loyers au Sénégal, fait face à d’importantes difficultés financières. Après neuf mois d’activité, la commission n’a pas reçu le budget nécessaire pour fonctionner efficacement et ses membres n’ont pas été payés depuis sa création.

Le président de la Conarel, Momar Ndao, a révélé dans une interview avec L’Observateur que ni lui ni le Secrétaire exécutif n’ont perçu leurs salaires depuis la création de la commission. Ils sont contraints d’utiliser les ressources du ministère du Commerce pour mener à bien leurs activités. La commission a traité plus de 3.000 plaintes malgré ces contraintes.

La commission a été dotée d’une avance budgétaire de 300 millions FCFA, insuffisante selon Ndao, qui estime qu’un budget d’au moins un milliard de FCFA est nécessaire pour équiper chaque région et recruter du personnel. Jusqu’à présent, les décrets fixant les rémunérations n’ont pas été signés, ce qui empêche la commission de recevoir des fonds.

Des commissions départementales comme celles de Keur Massar et Guediawaye ont été créées, mais elles manquent également de moyens pour opérer efficacement. La majorité des plaintes sont traitées à Dakar, et il y a un besoin criant de ressources pour étendre les activités au niveau national.

Inquiétudes au sein de l’APR concernant Amadou Bâ : Trois personnalités prennent la parole

Des voix s’élèvent au sein de la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY) et du parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (Apr), exprimant des inquiétudes quant à la dynamique de campagne du Premier ministre et candidat désigné, Amadou Bâ. Des figures politiques de premier plan, dont Souleymane Jules Diop, Abdoulaye Bibi Baldé, et Lamine Bara Gaye, ont publiquement exprimé leurs réserves sur la capacité d’Amadou Bâ à mener une campagne efficace et à rassurer les rangs de leur mouvement en vue des présidentielles de 2024.

Souleymane Jules Diop, responsable politique de l’APR, a critiqué ouvertement Amadou Bâ lors d’une intervention médiatique sur la RFM le trouvant « amorphe » et manquant de l’assurance nécessaire pour convaincre tant les Sénégalais que sa propre majorité. Il a souligné l’urgence pour Amadou Bâ de se montrer plus proactif et rassurant. « Je m’impatiente de voir Amadou Bâ s’affranchir, se lever et dire aux sénégalais : c’est moi, » a-t-il déclaré, soulignant la nécessité pour le candidat de rassurer son camp.

Abdoulaye Bibi Baldé, ancien maire de Kolda, a partagé ses inquiétudes similaires, invitant Amadou Ba à modifier son approche pour éviter une défaite potentielle. Il a souligné l’importance de ne pas perdre les acquis du président Macky Sall, mettant en garde contre la gravité de la situation à Kolda.

Lamine Bara Gaye, responsable politique du parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (Apr) dans le département de Mbacké, de son côté, a mis en lumière les risques que la candidature d’Amadou Ba fait courir à la coalition, notamment à cause de la frustration parmi les responsables locaux. Il a suggéré qu’Amadou Ba devrait prendre le temps de rencontrer les cadres locaux dans chaque région pour apaiser les tensions et consolider son soutien.

Ces déclarations reflètent un climat d’incertitude au sein de la coalition au pouvoir, soulignant la nécessité pour Amadou Bâ de renforcer sa campagne et de s’engager davantage avec les responsables et militants locaux pour maintenir l’unité et la force de la coalition avant les élections présidentielles.

Bécaye Mbaye : « Le combat Balla Gaye2-Eumeu Séne n’aura plus lieu… » (vidéo)

L’information vient de Becaye Mbaye. La revanche qui devait opposer Balla Gaye2 et Eumeu Sene n’aura plus lieu. « Meneutoul nék. »

Selon le chroniqueur de lutte, Gaston Mbengue lui a fait savoir qu’il a même libéré Eumeu Sene.
Sur ce, il a conseillé au lutteur de Pikine de donner la chance à Sa-Thiès, et à Balla Gaye de prendre Tapha Tine.

Sidiki Kaba, ministre de l’Intérieur, élogieux face à la modernisation du Camp Abdou Diassé

Le ministre de l’Intérieur, Sidiki Kaba, a effectué une visite au Camp Abdou Diassé, où il a été impressionné par les moyens d’intervention installés au niveau du cantonnement des éléments de la police. Le ministre a déclaré, durant sa visite avec le Directeur général de la Police nationale, «Il m’a été donné, ce matin, l’occasion de visiter, le Camp Abdou Diassé, un camp célèbre érigé depuis 1979, qui abrite un certain nombre de matériels permettant à la Police nationale d’agir au niveau de l’intervention, du maintien et du rétablissement de l’ordre. J’ai pu vérifier l’état du matériel en place, et cela me semble satisfaisant».

Le ministre a mis l’accent sur la Brigade d’intervention polyvalente (Bip), une unité d’élite de la police qui peut agir dans les moments d’urgence, et assurer la protection des personnalités ici et qui viennent en visite, et se déployer dans les frontières. Kaba a également souligné le processus de modernisation et de montée en puissance de la police, initié par le président de la République.

Un autre point de cette visite a été la vérification des conditions de logement des policiers au sein du Camp Abdou Diassé. La construction de deux bâtiments R+8 et R+2 est en cours, permettant de loger près de 2000 éléments. Sidiki Kaba a également fait remarquer la construction du logement R+2 du personnel féminin, ce qui, selon lui, répare une certaine injustice à l’endroit des femmes.

Le Camp Abdou Diassé dispose également d’une infirmerie qui, selon le ministre de l’Intérieur, profite plus aux civils qu’aux policiers. «80% des gens qui sont traités ici sont de la population civile. Ce qui montre que la police est ouverte et qu’elle participe aussi à la bonne santé des populations», a déclaré M. Kaba.

Enfin, le ministre de l’Intérieur a fait un tour du Centre de tir du Camp Abdou Diassé et de la Brigade canine, soulignant leur efficacité et leur importance dans le dispositif de la police.

Menaces de troubles le 17 novembre : Le discours ferme de Abdou Karim Fofana

Le Ministre Porte-parole du Gouvernement, Abdou Karim Fofana, n’a pas pris de gants pour s’attaquer aux “perturbateurs qui menacent de saper la quiétude des Dakarois”, à quelques jours de l’annonce du verdict de la Cour Suprême, attendu le 17 novembre prochain, dans l’affaire opposant l’État du Sénégal à l’ex parti Pastef et son leader Ousmane Sonko rayé des listes électorales.

En effet, des informations, relayées sur les réseaux sociaux font état de menaces de troubles et saccages proférés à Dakar au cas où le verdict de la haute juridiction serait en défaveur des plaignants. « L’État du Sénégal fera face aux fossoyeurs et les Dakarois se dresseront comme un seul homme pour préserver leur quiétude » a lancé, le Ministre du Commerce en marge du Rassemblement politique qui s’est tenu ce dimanche 12 novembre 2023 à Colobane, dans le cadre de la campagne de collecte des parrainages pour le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Ba, à Dakar.

“L’État et particulièrement les Dakarois n’accepteront ni les troubles à l’ordre public, ni la destruction des biens et services par des perturbateurs”, a martelé, le Ministre.

Engagé à fond dans la collecte des parrainages dans le département de Dakar, Abdou Karim Fogana a initié depuis plus d’un mois, des tournées dans les communes. Un engagement qui a fini d’asseoir son leadership, salué par les responsables de la Commune de Fass – Gueule Tapée – Colobane sous la direction de Thierno Ndiaye, qui a remis au Ministre Fofana plus de cinq mille cinq cents parrains (5500).

Assemblée nationale : la semaine sera décisive

Les députés bouclent ce lundi l’examen en commissions du budget 2024. Les deux semaines de discussions seront ainsi clôturées ce jour. L’Assemblée nationale observera une courte pause pour reprendre service avant la fin de la semaine avec le démarrage de la plénière. Selon Les Échos, qui donne l’information, avec la présidentielle en vue, les travaux se dérouleront tambour battant.

Arrêté par la DIC : Le PDG du site Allô Sénégal présente ses excuses à Mame Mbaye Niang

Le président-directeur général du site Allo Sénégal, Maniane Lô, et cinq de ses employés en garde à vue à la Dic ont présenté leurs excuses au ministre Mame Mbaye Niang.

Ils ont avoué avoir commis une faute professionnelle, avant de solliciter la clémence du ministre du Tourisme, a appris Seneweb.

Sauf changement de programme, les six membres du site Allo Sénégal seront déférés au parquet ce lundi, d’après nos sources.

Pour avoir été cité dans une affaire de mœurs, Mame Mbaye Niang avait déposé une plainte par le biais de son avocat sur la table du procureur. Le parquet avait transmis le dossier au chef de la DIC pour enquête et arrestation de toute personne impliquée, selon une source de Seneweb.

À cet effet, les policiers ont interpellé hier samedi le personnel du site Allo Sénégal. Il s’agit du technicien Moussa Diop, du PDG Maniane Lô, du cameraman Daouda, du présentateur Pape Yally ainsi que des journalistes Ndèye Astou Ba et Lamine Dièye.

Allô Sénégal avait déclaré dans une émission que Mame Mbaye Niang est impliqué dans une affaire de mœurs.

Fongip : comment Néné Fatoumata Tall a appris sa nomination

Avec l’entrée au gouvernement de Thérèse Faye, son poste d’administratrice du Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip) était brièvement vacant. Le Président Macky Sall n’a pas mis longtemps pour lui trouver un titulaire. Le chef de l’État a choisit Néné Fatoumata Tall.

L’ancienne ministre de la Jeunesse a été surprise par sa promotion. D’après Les Échos elle a appris sa nomination alors qu’elle était à Ryad, en Arabie saoudite.

Jusque-là, Néné Fatoumata Tall dirigeait le Programme de développement de la microfinance islamique (Promise).

17 novembre : Les Alliés de Sonko annoncent une mobilisation générale

« Une mobilisation générale », à l’initiative des Leaders Alliés du Candidat Ousmane Sonko (Lacos), est prévu ce vendredi 17 dans les 46 départements et dans la diaspora…. Afin que Ousmane Sonko recouvre ses droits civils…

Les Leaders Alliés du Candidat Ousmane Sonko (Lacos) lancent un appel aux Sénégalais pour une « mobilisation générale » vendredi prochain, à partir de 15h dans les 46 départements, dans les communes et dans la diaspora.

Dame Mbodj et Cie demandent aux représentants communaux de déposer des lettres d’information, dès aujourd’hui lundi, dans les préfectures et sous-préfectures pour une marche ou un rassemblement pacifique.

Ainsi, ces alliés exigent l’application des décisions du tribunal d’instance de Ziguinchor et de la Cena, pour la réintégration de Ousmane Sonko dans le fichier électoral et la délivrance de ses fiches de parrainage.
Ils exigent aussi la fin des dérives du régime de Macky Sall. Et la participation effective du Président Ousmane Sonko à l’élection Présidentielle du 25 février 2024.

Mouhamed Ndiaye sur l’émigration clandestine : « Je ne connais aucun milliardaire Modou-Modou »

Le phénomène de l’émigration clandestine prend de plus en plus des proportions inquiétantes. Ce weekend, le ministre conseiller Mohamed Ndiaye, qui a pris part à la cérémonie de remise de financement de Amadou Diallo (Attak) à Kaolack, a proposé sa recette contre ce fléau.

Le Coordonnateur de la Coalition présidentielle Benno Bokk Yaakar de Kaolack invite les jeunes à croire à eux-mêmes et à investir dans des créneaux porteurs.

Pour lui, il n’a jamais connu un milliardaire émigré dans notre pays.

Alioune Tine à Macky Sall : « Macron ne peut pas t’aimer mieux que nous »

Macky Sall qui vient de voir son leadership et ses compétences en matière de plaidoyer consacrés au plan international sur les questions d’actualité de la planète est obligé politiquement et moralement de soigner son image nationale, en engageant sans délai une politique de concorde de réconciliation nationale.

Pour qui sait lire et interpréter, cette nomination, alors qu’il traverse une fin de mandat particulièrement difficile, est une injonction implicite a agir dans ce sens.
C’est la toute la finesse de l’initiative de Macron.
Macky Sall a désormais une image, un prestige et une posture à défendre.

Il est condamné désormais à réussir sa sortie et tout le monde doit le soutenir. Son parti et sa coalition doivent désormais surveiller et neutraliser l’action des faucons et des prédateurs, qui peuvent par leur zèle et leur méchanceté entacher l’image du PR.

Pour réconcilier les Sénégalais avec la démocratie qui fait partie de leur valeur, le PR doit inscrire désormais son action dans le respect strict de la loi et du bon fonctionnement des institutions de régulation politique, surtout dans cette période électorale particulièrement sensible où le Sénégal fait l’objet d’une surveillance mondiale.

Il faut engager le dialogue de la dernière chance, avec l’ensemble des acteurs dans la sérénité, toute la société civile ainsi que tous les chefs religieux vont vous soutenir et vous accompagner pour une bonne fin de mission, pour réaliser une belle jonction entre le leadership international, panafricain et surtout national.

L’apothéose PR Macky Sall , c’est désormais à votre portée. Macron ne peut pas t’aimer mieux que nous.

Par Alioune Tine

Tournée économique : Macky Sall et son Gouvernement débarquent à Kédougou

Le Président de la République, Macky Sall, et son gouvernement effectuent une tournée économique aujourd’hui lundi dans la régions de Kédougou. Conseil interministériel, conseil des ministres, visite de chantier, inauguration…, chargent l’agenda des hôtes.

Les Kédovins vont dérouler le tapis rouge au Président Macky Sall et son Gouvernement, à l’occasion de cette tournée économique.

Le Président Macky Sall et son Gouvernement ont multiplié les efforts et investi plusieurs centaines de milliards pour doter la localité d’infrastructures structurantes dans des domaines aussi stratégiques que la santé, la sécurité, l’approvisionnement en eau, l’équité sociale et territoriale, etc. Ce, sans compter les importantes infrastructures routières qui ont changé le visage de la région.

De manière concrète, les populations égrènent, entre autres, l’Hôpital régional Amath Dansokho (plus de 20 milliards FCFA), Route Kédougou-Salémata (85 km)

S’y ajoute la station de traitement et d’alimentation en eau de Kédougou, deux nouvelles brigades de Gendarmerie de proximité à Khossanto et Fongolimbi, le Stade régional de Kédougou, le Programme de Reconstruction des Aéroports du Sénégal (PRAS), le recasement des impactés des zones minières de Kédougou…

Incroyable – Une foule immense accueille Tapha Tine à la Médina “Modou Lo lagn soxla

Incroyable – Une foule immense accueille Tapha Tine à la Médina “Modou Lo lagn soxla

Lutte (Lamb) : Tapha Tine bat Eumeu Sène

Tapha Tine (écurie Baol) a battu ce dimanche à l’arène nationale Eumeu Sène de l’écurie Ty Shinger. Malgré une blessure à l’œil droit au début du combat, le  géant du Baol est sorti vainqueur.  
Après une minute de balancement de bras, Eumeu Sène démarre une bagarre qui a failli mettre Ko Tapha Tine. Ce dernier va chez Ardo (le soigneur) à cause d’une blessure après un coup reçu au visage. 
Les deux lutteurs reviennent dans l’arène. Après de nouveaux balancements de bras, Eumeu déclenche à nouveau une bagarre avant de se saisir de la jambe de Tapha Tine, mais n’arrive pas à manœuvrer le géant du Baol. Ce dernier use de son poids pour contrer l’action d’Eumeu Sène et de pousser au sol. 

Tapha Tine, qui est considéré comme l’un des plus grands cogneurs de l’arène, est sur une dynamique cinq victoires d’affilée. Ce succès face Eumeu Sène lui permet de prétendre au titre de Roi des arènes. Il totalise ainsi 16 victoires en 21 combats, contre 5 défaites.  

Arrêté par la DIC : Le PDG du site Allô Sénégal présente ses excuses à Mame Mbaye Niang

Le président-directeur général du site Allo Sénégal, Maniane Lô, et cinq de ses employés en garde à vue à la Dic ont présenté leurs excuses au ministre Mame Mbaye Niang.

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La première réaction de Balla Gaye après la défaite de Ama Baldé contre Modou Lo

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