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Vidéo – Sonko jugé le 12, Me Moussa Diop: La Journaliste Ngoné Saliou révèle les dernières infos fraîches ..

Malicounda: Maguet Sene lance les travaux de deux axes routiers de la commune

La Commune de Malicounda démarre un programme de construction de routes sur une durée de 3 ans. Ce programme triennal débute ce mercredi 13 décembre 2022 à 15H lors d’une petite cérémonie prévue devant l’école de Takhoum 1 où doivent débuter les travaux. Deux axes sont prévus pour le compte des années 2023 et 2024, il s’agit de relier: Takhoum à Keur Meissa et Mbouleme à la Ville de Mbour. Ce programme financé sur le budget municipal concernera en plus des 2 villages cités Malicounda Ngogom, Fandane, Roff, Sinthiou Mbadane et Gagnabougou. A Malicounda, l’émergence se construit secteur par secteur !

Procès de réintégration de Sonko : Une « émission de Ismaila Madior Fall à la TV » refait surface au tribunal

Le Tribunal de Grande Instance de Dakar se penche aujourd’hui sur la réintégration de l’opposant Ousmane Sonko dans les listes électorales, un enjeu majeur pour sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. Me Ndoumé Wone, avocate de Sonko, a soulevé des questions sur la légitimité de l’agent judiciaire de l’État dans cette affaire, remettant en cause la procédure de notification de la radiation de son client.

Les avocats de Ousmane Sonko ont plaidé en faveur de la réintégration de leur client, arguant que la radiation de ce dernier était illégale. Ils ont notamment mis en avant le fait que la notification de la condamnation de Sonko n’avait pas été effectuée conformément à la loi.

« Il n’y a jamais eu d’acte de notification mais plutôt une signification », a déclaré Me Ndoumé Wone, l’une des avocates de Sonko. « Il est illégale que l’Etat du Sénégal occulte la loi et agit autrement. »

Les avocats de Sonko ont également soutenu que la théorie de la connaissance acquise, qui stipule que Sonko serait réputé avoir eu connaissance de sa radiation en suivant une émission de télévision, ne pouvait être retenue.

« L’Etat n’a pas présenté de preuves pour dire que Ousmane Sonko a appris sa radiation en suivant l’émission de Ismaila Madior Fall », a déclaré Me Ndoumé Wone, selon nos confères de Dakaractu

Réintégration de Ousmane Sonko sur les listes électorales : Mimi Touré espère la confirmation du tribunal de Ziguinchor

« J’espère qu’aujourd’hui, la Cour d’Appel dira le Droit et rien que le Droit en confirmant la décision du juge de Ziguinchor » , a posté Aminata Touré.

Avant d’ajouter: « ça va remettre définitivement Ousmane Sonko dans la compétition pour l’élection présidentielle de 2024 »

« Ce serait un bon pas dans le processus de réconciliation de la Justice avec le Peuple sénégalais » , lance la présidente de la coalition Mimi2024.

Pour rappel, un tribunal de Dakar examine ce mardi 12 décembre la réintégration ou non de Ousmane Sonko sur les listes électorales, dont dépend sa candidature à la présidentielle de 2024.

La Cour suprême a cassé le 17 novembre un jugement rendu en octobre, qui avait remis M. Sonko dans la course à la présidentielle en annulant sa radiation des listes électorales prononcée à la suite d’une condamnation dans l’affaire Adji Sarr.

Réintégration sur les listes électorales : Mardi crucial pour Ousmane Sonko!

Il y a deux mois, Ousmane Sonko réintégrait le fichier électoral après sa radiation par le juge du Tribunal de Ziguinchor, Sabassy Faye. Le 17 novembre, la cour Suprême casse et annule la décision ce dernier et renvoie l’affaire au Tribunal Hors classe de Dakar. Ce mardi 12 décembre 2023, le Tribunal de Dakar va se pencher sur le recours déposé par les avocats de l’opposant, par ailleurs leader du Pari ex-Pastef pour contester sa radiation des listes électorales.

La machine judiciaire

Ousmane Sonko enchaîne les procédures judiciaires devant les tribunaux Sénégalais depuis qu’il a été placé en détention le 30 juillet dernier. Ce, pour jouir de ses droits civiques et politiques qu’une condamnation par contumace est venue saper. Tout est possible ce mardi au Tribunal de Grande Instance de Dakar. C’est un mardi important et déterminant sur la carrière politique du maire de Ziguinchor qui espère toujours participer à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

L’enjeu est simple

Ousmane Sonko veut Obtenir sa réintégration sur les listes électorales pour pouvoir déposer son dossier de candidature en bonne et due forme d’ici le 26 décembre au greffe du Conseil constitutionnel. Mais, pour ce faire, il faut attendre de voir la suite des évènements de ce mardi 12 décembre 2023.

A quand la fin!

Cette affaire est loin de terminer. Quelle que soit la décision du juge, ce mardi, l’une des parties (Sonko et État du Sénégal) aura la possibilité de se pourvoir encore en cassation devant la Cour suprême. Laquelle Cour doit, par ailleurs, se pencher également sur le Rabat d’arrêt introduit par les conseils du maire de Ziguinchor pour casser la décision rendue en sa défaveur le 17 novembre dernier.

Sûreté urbaine : Me Moussa Diop placé en garde à vue

L’ancien directeur général de Dakar Dem Dikk, non moins candidat à la présidentielle de 2024 vient de payer les frais de ses récentes accusations. Convoqué et entendu à la sûreté urbaine de Dakar ce lundi, Me Moussa Diop vient d’être placé en garde à vue après une notification qui lui a été servie. Lors d’un point de presse tenu en fin de semaine, le président du mouvement AG Jotna a brandi des documents accusant l’ancien ministre de l’énergie, des mines et de l’industrie, d’avoir délivré une autorisation d’exploration et d’exploitation d’une mine dans le Nord du Sénégal ». Ce dernier, après « ces accusations », a intenté une action judiciaire en déposant une plainte de même que le procureur de la République qui s’auto-saisit de l’affaire. À rappeler que l’ancien directeur général de Dakar Dem Dikk a également cité d’autres supposés protagonistes notamment l’homme d’affaires Jean Claude Mimran, Mamadou Diagne Ndiaye du Cnoss et même le président de la République. 

Dakaractu

Me Saïd Larifou (Avocat de Sonko) : « L’audience de demain a certes une dimension essentiellement juridique mais… »

Après avoir plaidé pour son « petit frère » , Tadjidine, alors détenu depuis février dernier pour faux et usage des faux, Me Saïd Larifou s’est appesanti sur le procès de demain opposant Ousmane Sonko à l’Etat du Sénégal.

la robe noire Me Saïd Larifou a annoncé qu’il se rendra cette nuit au Sénégal pour défendre, ce mardi 12 décembre 2023, devant le tribunal d’instance de Dakar, « le bien fondé de la requête introduite par notre client Monsieur Ousmane Sonko » .

Pour l’avocat, « L’audience de demain a certes une dimension essentiellement juridique mais sa portée politique , historique et panafricanisme est indéniable. On ne lâche rien. J’y crois et m’engage pour faire gagner le Droit et l’Afrique. »

A rappeler que l’audience spéciale concernant l’affaire Ousmane Sonko se tiendra, demain, mardi. Ce, après que la Cour suprême a cassé et annulé la décision du juge Sabassy Faye qui avait demandé la réintégration de Ousmane Sonko dans les listes électorales.

Le préfet de Dakar confine les motocyclettes et cyclomoteurs

La circulation des motocyclettes et cyclomoteurs est interdite sur toute l’étendue du département de Dakar. Cette interdiction prend effet ce mardi 12 décembre 2023, de 6 h à 00 h.
Seuls les motocyclettes et cyclomoteurs des personnels des forces de défense et de sécurité ainsi que ceux mobilisés par les autorités sanitaires ne sont pas concernés par cet arrêté.
Pour rappel, ce 12 décembre le tribunal de Dakar va examiner la réintégration ou non d’Ousmane Sonko sur les listes électorales, dont dépend sa candidature à la Présidentielle de février 2024.   

Les Plus Importantes Réalisations de l’Équipe Nationale de Football Française

L’équipe nationale de football française, surnommée « Les Bleus », a marqué l’histoire du football mondial par ses performances exceptionnelles comme Instant Roulette et ses exploits inoubliables. Cette équipe emblématique incarne une grandeur sportive qui transcende les frontières nationales. Des joueurs talentueux tels que Zinedine Zidane et Kylian Mbappé ont porté fièrement le maillot bleu, captivant les supporteurs avec leur jeu flamboyant. Les Bleus ne sont pas simplement une équipe de football, mais une légende vivante du sport mondial, inspirant des générations avec leur unité, leur respect et leur camaraderie.

La Coupe du Monde de la FIFA : 1998 et 2018

L’épopée victorieuse de l’équipe nationale de football français lors de la Coupe du Monde de la FIFA en 1998 demeure un chapitre légendaire de l’histoire sportive du pays. Dirigée par l’entraîneur Aimé Jacquet, l’équipe comprenait des icônes du football telles que Zinedine Zidane, Didier Deschamps et Emmanuel Petit. La victoire en finale contre le Brésil au Stade de France a été bien plus qu’une simple célébration nationale ; elle a marqué la consécration de la France en tant que championne du monde pour la première fois de son histoire. Deux décennies plus tard, en 2018, l’équipe dirigée par Didier Deschamps a réitéré cet exploit en remportant une seconde Coupe du Monde en Russie. La France a triomphé face à la Croatie, solidifiant ainsi sa position parmi les nations les plus titrées de l’histoire de la Coupe du Monde.

L’Euro : 1984 et 2000

Les conquêtes européennes de l’équipe nationale française lors de l’UEFA Euro en 1984 et 2000 ont laissé une empreinte indélébile dans les annales du football continental. Sous la houlette de l’entraîneur Michel Hidalgo, la France a accueilli l’Euro 1984 et s’est imposée en finale contre l’Espagne au Parc des Princes, offrant ainsi une victoire inoubliable à ses supporteurs. Seize ans plus tard, en l’an 2000, l’équipe dirigée par Roger Lemerre a réitéré cet exploit en remportant l’Euro organisé conjointement par la Belgique et les Pays-Bas. La finale contre l’Italie, conclue par le but en or de David Trezeguet, reste gravée dans les mémoires comme un moment d’une intensité émotionnelle exceptionnelle, élevant une fois de plus le football français au sommet du continent.

La Ligue des Nations de l’UEFAh : 2021

La conquête récente de la Ligue des Nations de l’UEFA en 2021 a été une nouvelle étape triomphale pour l’équipe nationale française, confirmant sa place en tant que force dominante sur la scène internationale. Placée sous la houlette stratégique de Didier Deschamps, les Bleus ont démontré une fois de plus leur excellence en remportant le titre dans un tournoi hautement compétitif, scellant leur réputation en tant que parmi les meilleures équipes de football au monde.

La finale, qui a eu lieu au stade de Milan, s’est avérée être une vitrine de la puissance footballistique de la France. Les Bleus ont fait preuve d’une maîtrise tactique remarquable, combinant habilement la défense solide, le milieu de terrain dynamique et l’attaque incisive pour surmonter l’Espagne dans un affrontement passionnant. Cette victoire a souligné la constance de l’équipe nationale française, montrant qu’elle peut exceller non seulement dans les compétitions traditionnelles mais aussi dans les formats innovants et relevés tels que la Ligue des Nations.

La Ligue des Nations de l’UEFA, devenue une compétition de premier plan, a ajouté une nouvelle étoile scintillante au palmarès déjà impressionnant de l’équipe nationale française. Cette victoire témoigne de la détermination, de la cohésion d’équipe et de la vision stratégique de Didier Deschamps et de ses joueurs. En remportant ce titre, les Bleus ont non seulement prouvé leur excellence actuelle mais ont également consolidé leur position en tant que force à compter dans les compétitions à venir.

L’équipe nationale de football française continue ainsi d’inspirer les amateurs de football à travers le monde. Son talent, sa détermination et ses moments inoubliables sont autant de sources d’inspiration pour les générations actuelles et futures. Ces réalisations emblématiques demeurent gravées dans l’histoire du football, faisant de l’équipe nationale française non seulement respectée mais également admirée pour son impact indélébile sur le monde du sport.

Anta Babacar Ngom sort l’artillerie lourde pour l’artisanat

Anta Babacar Ngom Diack, présidente du mouvement ARC, Alternative pour la Relève Citoyenne, est en tournée dans le nord du pays depuis trois jours.

À Ngaye Mékhé Anta Babacar Ngom Diack s’est adressée aux travailleurs de l’artisanat. L’artisanat qu’elle souhaite transformer en « première entreprise du Sénégal ». L’artisanat doit jouer un rôle important dans l’économie nationale raison pour laquelle elle portera également le budget qui lui sera dédié de 8.9 milliards actuellement à 50 milliards de fcfa.

Présidentielle 2024: Le Conseil constitutionnel entre en action, ce lundi

C’est ce 11 décembre que va débuter le dépôt des dossiers de candidature au Greffe du Conseil constitutionnel en perspective de la présidentielle de février 2024. C’est du moins ce qu’a prévu la Constitution sénégalaise, notamment dans son article 29, qui stipule que les candidatures sont déposées 60 jours francs au moins et 75 jours francs au plus avant le premier tour du scrutin. De ce fait, pour cette élection, le temps imparti court de ce lundi à 00 heure au mardi 26 décembre 2023 à minuit, aux jours ouvrables de 8 heures à 17 heures. Au dernier jour du dépôt, une permanence est assurée au greffe du Conseil constitutionnel jusqu’à minuit.

À l’expiration du délai de dépôt des dossiers de déclaration de candidature, la Commission de contrôle des parrainages, installée au siège du Conseil constitutionnel, procède à la vérification des listes des parrainages suivant un ordre de passage déterminé par un tirage au sort, précise le guide pratique pour les mandataires des candidats. Le tirage au sort est prévu par le Conseil constitutionnel à la date du jeudi 28 décembre 2023 et le contrôle des parrainages se fera du 29 décembre 2023 au 18 janvier 2024. Toutefois, ces dates peuvent évoluer selon l’agenda retenu par les  »Sept sages », si l’on en croit le Directeur de la Formation et de la Communication (Dfc) de la Direction générale des élections (Dge), Biram Sène.

A noter, par ailleurs, qu’au plus tard 35 jours avant le scrutin, le Conseil constitutionnel procèdera à la publication de la liste des candidats, soit le samedi 20 janvier 2024. Ainsi, à l’issue de l’instruction des dossiers de parrainage, la juridiction procède, au plus tard 43 jours avant le premier tour du scrutin, soit au plus tard le vendredi 12 janvier 2024, à la notification écrite au mandataire ou au représentant du candidat indépendant, de l’invalidité de son dossier pour cause de présence de parrains sur plus d’une liste (doublons externes), si ce fait a entraîné la non-obtention du minimum de parrains requis.

Cette notification écrite indique au mandataire ou au représentant du candidat que ce dernier dispose d’un délai de 48 heures pour régulariser son dossier par le remplacement des parrainages invalidés pour cause de présence de parrains sur plus d’une liste.

Guédiawaye FC : Lat Diop prend une décision radicale

Mbaye Badji n’est plus l’entraîneur du Guédiawaye Football Club (GFC). Il a été remercié après la défaite (0-2) de son équipe contre l’US Ouakam, ce dimanche 10 décembre, pour le compte de la 7e journée. L’ancien international sénégalais s’en va ainsi après deux mois et 13 jours de service.

D’après Record, qui donne l’information, le GFC, avec à sa tête son président, Lat Diop, actuel ministre des Sports, est à la recherche d’un nouvel entraîneur. «Des noms circulent déjà, annonce le quotidien spécialisé. Il y a, notamment, Lamine Diagne, qui avait été contacté après le départ de Souleymane Diallo, et Ansou Diadhiou, l’ancien coach du Casa Sports.»

Accusations de Me Moussa Diop : La réplique d’Aly Ngouille Ndiaye

Des documents “compromettants” ont été dévoilés par Me Moussa Diop lors d’une conférence de presse en fin de semaine. Ces documents, majoritairement des courriers “confidentiels” échangés entre le 1er décembre 2016 et le 8 février 2018, impliqueraient Aly Ngouille Ndiaye en tant que ministre des Mines et des Énergies, Jean Claude Mimran, homme d’affaires, et le président Macky Sall, selon Me Diop.

La première lettre mise en avant par Me Moussa Diop prétend qu’Aly Ngouille Ndiaye aurait assuré à Mimran la “délivrance d’une autorisation d’exploration d’une mine dans le nord du pays”.

En réponse, la Coalition Alyngouille2024 a émis un communiqué pour réfuter vigoureusement ces allégations. La note précise : “Il est important de rappeler que je suis devenu Ministre de l’Industrie et des Mines en septembre 2013, quittant ainsi mes fonctions antérieures de Ministre de l’Énergie et des Mines. Par conséquent, je ne peux être l’auteur d’une lettre datée du 1er décembre 2016, car ce poste ministériel n’existait plus depuis 2013”.

Le communiqué met également en avant que la terminologie utilisée dans la prétendue lettre, “autorisation d’exploration”, n’est pas conforme au Code minier du Sénégal de 2003 et de 2016. La Coalition Alyngouille2024 insiste sur la distinction entre “Autorisation de prospection” et “permis de recherche”, arguant que ces titres ne confèrent pas le droit d’exploiter des substances minérales.

Pour étayer leur position, la cellule de communication se réfère aux rapports de l’ITIE (Initiative pour la Transparence des Industries Extractives) pour les années 2016, 2017 et 2018. Ce document indique qu’un seul permis de recherche de diamant a été accordé en 2016 à la société 2SH Saly Software et Hardware.

Enfin, la Coalition Alyngouille2024 rejette catégoriquement les allégations de correspondances entre Mimran et Aly Nouille Ndiaye, qualifiant ces affirmations de “pure imagination” et dénonçant ces accusations comme des “sorties fallacieuses et maladroites”. La cellule de communication conclut en regrettant ces attaques, “qui reflètent le degré d’ignorance et de légèreté d’un homme qui aspire à diriger un pays”.

Me Doudou Ndoye : « Il est impossible de créer 23.000 emplois au Sénégal… »

« Le pôle industriel de Diamniadio est une erreur historique…« , d’après Me Doudou Ndoye. Invité de l’émission JDD sur IRadio, ce dimanche 10 décembre 2023, l’avocat a donné son avis sur l’industrialisation du Sénégal à travers ladite sphère. Mais aussi la politique d’emploi au Sénégal.

Diamniadio était une zone agroéconomique…

« Je n’ai jamais été d’accord pour ce qui existe aujourd’hui, mais ça existe. C’est une grosse erreur historique… Diamniadio n’était pas faite pour être une ville. Diamniadio, c’est la frontière naturelle entre la région de Dakar et la région de Thiès. C’était une zone agroéconomique… C’est fait pour les arbres, c’est pour la forêt, c’est pour l’élevage. Diamniadio devait nourrir, en tant que zone écologique, les régions de Thiès et de Dakar… On ne peut pas vouloir concevoir une ville sur Diamniadio et prendre une autoroute au milieu qui coupe cette route en deux« , a regretté Me Ndoye repris par Seneweb.

200.000 demandeurs d’emplois par an…

Il estime que « créer 23.000 emplois n’est pas possible au Sénégal. S’il y a 23.000 emplois, il y a 200.000 demandeurs d’emplois par an de plus. Contrairement à ce que pensent beaucoup de candidats à l’élection Présidentielle, l’industrialisation n’est pas la solution du Sénégal… Le Sénégal n’a pas un marché suffisant pour acheter. Le pays est constitué de pauvres. Le marché sénégalais ne peut pas acheter ce qu’une industrie produit« .

Ucad fermée : 168 enseignants-chercheurs invitent les étudiants à reprendre les cours en présentiel

Les propos du ministre de l’Enseignement supérieur, refusant toujours la réouverture de l’Université Cheikh Anta Diop, invitant à un enseignement « bi-modal », ont été battus en brèche par plus de 168 professeurs, maîtres de conférence, professeurs assimilés de toutes les facultés. Ils exigent illico presto la réouverture immédiate du temple du savoir, insistant, dans une tribune rendue publique dimanche, sur quatre points essentiels.

Les signataires de cette tribune appellent :
Les collègues à reprendre leurs emplois du temps et à se présenter aux heures et jours indiqués dans les salles et Amphithéâtres où leurs enseignements sont programmés ;

Les étudiants à regagner l’UCAD et à y recevoir en présentiel les enseignements qui leur sont destinés ;

Les établissements autonomes à entrer en défiance contre l’unilatéralisme de l’autorité et de sa majorité mécanique au Conseil académique, à recouvrer la plénitude de leurs prérogatives pédagogiques et scientifiques et à décider souverainement de la reprise immédiate des cours en présentiel au sein du campus pédagogique de l’UCAD ;

La communauté à faire constater toute entrave au travail des PER et à porter éventuellement plainte contre l’autorité et l’Etat du Sénégal.

Pour mémoire, l’Ucad, victime collatérale des émeutes politiques de juin dernier, est fermée depuis 6 mois. Des manifestants l’avaient mise à sac suite à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko.

Les propos du ministre de l’Enseignement supérieur, refusant toujours la réouverture de l’Université Cheikh Anta Diop,  invitant à un enseignement « bi-modal », ont été battus en brèche par plus de 168 professeurs, maîtres de conférence, professeurs assimilés de toutes les facultés. Ils exigent illico presto la réouverture immédiate du temple du savoir,  insistant, dans une tribune rendue publique dimanche, sur quatre points essentiels.

Les signataires de cette tribune appellent :
Les collègues à reprendre leurs emplois du temps et à se présenter aux heures et jours indiqués dans les salles et Amphithéâtres où leurs enseignements sont programmés ;

Les étudiants à regagner l’UCAD et à y recevoir en présentiel les enseignements qui leur sont destinés ;

Les établissements autonomes à entrer en défiance contre l’unilatéralisme de l’autorité et de sa majorité mécanique au Conseil académique, à recouvrer la plénitude de leurs prérogatives pédagogiques et scientifiques et à décider souverainement de la reprise immédiate des cours en présentiel au sein du campus pédagogique de l’UCAD ;

La communauté à faire constater toute entrave au travail des PER et à porter éventuellement plainte contre l’autorité et l’Etat du Sénégal.

Pour mémoire, l’Ucad,  victime collatérale des émeutes politiques de juin dernier, est fermée depuis 6 mois.  Des manifestants l’avaient mise à sac suite à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko.

Nouveau Sanctuaire Marial de Popenguine : Découvrez les détails de ce joyau estimé à 3 milliards de FCFA

L’inauguration du nouveau sanctuaire marial de Popenguine, ce samedi 09 décembre et présidée par le secrétaire d’État du Vatican, le Cardinal Pietro Parolin, suscite un vif intérêt.

Selon un document du Bureau d’architecture et de conservation des palais nationaux, cet édifice imposant s’étend sur une superficie de 20 800 mètres carrés, pour un coût global dépassant les trois milliards de FCFA.

Le projet, divisé en quatre tranches, fait partie intégrante du Programme spécial pour les sites religieux du gouvernement sénégalais. Il se dresse sur l’emplacement actuel du village des marcheurs, offrant une vue panoramique sur la mer malgré quelques obstructions causées par des constructions individuelles, rapporte Lesoleil.

La capacité d’accueil totale du sanctuaire atteindra, à terme, 30 500 places assises, indique le document du Bureau d’architecture et de conservation des palais nationaux.

Le village côtier de Popenguine, déjà renommé pour son complexe religieux historique, est particulièrement célèbre pour son pèlerinage marial annuel qui a lieu chaque Lundi de Pentecôte.

Le financement du projet s’articule autour de quatre tranches distinctes. La première, couvrant une surface de 6 800 mètres carrés, constitue le cœur du sanctuaire, abritant toutes les sacralités du lieu, notamment l’autel, la sacristie, et une imposante croix surplombante.

Cette phase initiale, comprenant les tranches 1 et 2, a été achevée, ouvrant ses portes à plus de 16 000 fidèles lors de la messe du Lundi de Pentecôte le 11 février 2023.

Nomination polémique des membres de la Cena: La Cedeao a tranché

Le décret polémique de nomination de nouveaux membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena) a été abordé par la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) lors de la 51e session du conseil de médiation et de sécurité tenu, le 6 décembre dernier. 

Selon le rapport de ladite rencontre, la Commission a informé le Conseil que le 3 novembre 2023, le Président Macky Sall a remplacé par décret l’ensemble des 12 membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena), après que celle-ci a demandé à la Direction générale des élections (DGE) de réintégrer M. Ousmane Sonko comme candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024.Selon toujours le document parcouru par Seneweb, il a, par ailleurs, informé « le Conseil que le remplacement des membres de la Cena, moins de quatre mois avant l’élection présidentielle, pourrait être contraire au Protocole additionnel de la Cedeao sur la démocratie et la bonne gouvernance qui stipule, en son Article 2 (1) que: «Aucune réforme substantielle de la loi électorale ne doit intervenir dans les six (6) mois précédant les élections, sans le consentement d’une large majorité des acteurs politiques. ».Cette décision, lit-on dans ledit texte, « peut également être contraire à l’esprit de l’Article 3 du Protocole qui stipule que les organes chargés d’organiser les élections doivent être indépendants et/ou neutres et avoir la confiance de tous les acteurs et protagonistes de la vie politique ».Le Conseil a, cependant, noté que, lors de la visite de la mission d’information préélectorale de la Cedeao au Sénégal en fin novembre 2023, les autorités sénégalaises avaient expliqué qu’aucune loi électorale n’avait été modifiée par la nomination d’un nouveau membre de la Cena et que le mandat des membres remplacés avait expiré depuis longtemps.« Par conséquent, le Sénégal a soutenu que les articles 2 (1) et 3 du Protocole de la Cedeao sur la démocratie et la bonne gouvernance n’ont pas fait l’objet de violation. Cette position a été réaffirmée par le Ministre des Affaires étrangères du Sénégal, lors de la 51ème session ordinaire du Conseil de Médiation et de Sécurité au niveau ministériel », indique la Commission de la Cedeao.    

Me Moussa Diop dit détenir des documents confidentiels : « Je peux recevoir une balle en sortant d’ici »

L’ancien Directeur général de Dakar Dem Dikk, Me Moussa Diop, a fait des révélations choquantes impliquant des personnalités politiques de premier plan dans un présumé scandale de corruption et d’exploitation minière. Lors d’une conférence de presse, Diop a exposé des preuves sous forme de correspondances confidentielles, suggérant l’implication du Président Macky Sall et d’autres figures dans des transactions opaques autour des « diamants québécois ».

Le Déballage d’un Scandale : L’Enquête de Me Moussa Diop

Des Risques Personnels au Grand Jour : Me Moussa Diop, ex-Directeur de Dakar Dem Dikk et ancien allié du Président Sall, a révélé avoir fait face à des menaces et à des actes d’intimidation lors de son enquête sur l’affaire. « Je suis parti vérifier moi-même, j’ai envoyé des individus et ces individus ont été reçus avec des armes… je peux recevoir une balle en sortant d’ici, car on peut toujours de quelque chose » a-t-il déclaré, soulignant la gravité et les risques liés à ses investigations.

La Lumière sur les « Diamants Québécois » :

Dans ce qu’il nomme l’affaire des « diamants québécois à Anvers », Diop a tenté de démontrer l’ampleur de la situation en montrant des photos des personnes impliquées, mettant en évidence les liens présumés entre divers acteurs politiques et économiques.

Devant les journalistes, Me Diop a présenté des courriers confidentiels échangés entre des personnalités de haut rang, dont Aly Ngouille Ndiaye, ancien ministre des Mines et des Énergies, l’homme d’affaires Jean Claude Mimran, et le président Macky Sall. Ces documents couvrent la période du 1er décembre 2016 au 8 février 2018.

La Correspondance Révélatrice :

La première lettre, présumée écrite par Aly Ngouille Ndiaye, révèle une promesse d’autorisation d’exploration minière, accordée par décret présidentiel. La réponse de Mimran, datée du 03 décembre 2016, remercie le ministre pour son compte rendu via son émissaire Mamadou Diagne Ndiaye.

Rencontre Secrète à Paris et Pourcentages en Jeu :

Une autre présumée lettre d’invitation de Macky Sall à Diagne Ndiaye, datée du 08 février 2018, mentionne une réunion à Paris pour définir les pourcentages sur l’exploitation minière. Me Diop insiste sur l’accord de partenariat qui aurait dû impliquer l’État du Sénégal, conformément à l’Article 25.1 de la Constitution, qui stipule que les ressources naturelles appartiennent au peuple.

En attendant de mettre la main sur ces courriers confidentiels, cette révélation appelle à une enquête plus approfondie pour établir la véracité des allégations et comprendre une éventuelle ampleur des implications politiques et économiques.

résumé financement « occulte » – Me Doudou Ndoye : « Aucun parti ne vit de cotisations de ses membres… »

« Depuis que j’ai commencé à faire de la politique, je n’ai pas souvenance d’un parti politique dont l’argent ne vient pas de la poche de quelqu’un« , a fait savoir Me Doudou Ndoye dans l’émission JDD sur Iradio, ce dimanche. Une entretien lors duquel le débat sur le présumé financement « occulte » de Sonko a été soulevé. Occasion pour lui de revenir sur le débat sur financement des partis politiques au Sénégal…

D’après le président de l’Union pour la République (Upr), « aucun parti ne vit de cotisations de ses membres… L’argent des partis politiques, depuis les indépendances, vient en général d’une personne au Sénégal et d’autres à l’étranger et d’institutions publiques et privées à l’étranger… »

« Depuis que j’ai commencé à faire de la politique…

Me Ndoye souligne qu’au Sénégal, « aucun parti politique n’est régulier au regard de l’article interdisant les financements hors des cotisations des membres. Car la notion de cotisation et de responsabilité individuelle n’existe pas dans la société sénégalaise. Depuis que j’ai commencé à faire de la politique, je n’ai pas souvenance d’un parti politique dont l’argent ne vient pas de la poche de quelqu’un. La conséquence c’est que le parti doit être dissous. Quel est le parti qui a été dissous pour cette raison ? Aucun ! »

Eviter aux pays étrangères…

« Ce qui pourrait être interdit et dont j’accepterais l’interdiction est qu’un parti politique soit financé par des pays étrangers ou des institutions privées ou publiques étrangères au Sénégal pour conditionner l’électorat. Il faut refuser que des pays étrangers puissent s’infiltrer dans notre vie publique et payer nos hommes d’Etat pour nous gouverner sous leurs ordres. Cela existe sous d’autres formes d’ailleurs, même à l’égard d’homme politique qui sont en fonction« , soutient-il.

Financement du Qatar et Sonko : Tariq Ramadan dément Yérim Seck et annonce des plaintes (vidéo)

Tariq Ramadan réagit sur le supposé financement des Qataris pour Ousmane Sonko. L’islamologue estime que ces allégations sont mensongères car le Qatar, allié de la France, ne rentre jamais en contradiction avec les intérêts de la France, qui ne soutient pas la candidature du leader de l’ex-Pastef.

Contrairement aux allégations du député Matar Diop, de Madiambal Diagne et de Cheikh Yerim Seck, qui a même précisé un montant de 20 millions de dollars, l’article du « Canarad Enchainé », n’a jamais mentionné qu’Ousmane Sonko a reçu des financements du Qatar, explique Tariq Ramadan.

L’islamologue dit avoir été cité dans cette affaire comme celui par qui cet argent transite, ce qu’il dément formellement. Mieux, il annonce des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces affirmations.

« J’attaquerai en justice parce que ce qui se passe au Sénégal est quelque chose d’assez pervers politiquement. Quand on ne sait pas gérer la transparence démocratique, on crée la rumeur et on fait courir des bruits, qui ne sont fondés sur rien. On m’a même dit, occupez-vous de vos affaires… les mêmes qui sont très contents quand je m’intéresse aux affaires de la Palestine, de l’injustice partout dans le monde », a fait savoir Tariq Ramadan.

Le professeur estime qu’il défend des positions de principes. « Moi, mon affaire c’est l’être humain et partout où il y a une injustice, je le dénonce. Au Sénégal, je n’ai pas pris partie pour un candidat, mais j’ai pris partie pour des principes, c’est qu’il doit y avoir une transparence, une alternance politique, ne pas jouer avec loi pour un agenda politique. Et, ça je l’ai dit dans tous les pays du monde… », a-t-il ajouté entre autres.

Ndiaga Sylla : « Si la candidature de Bassirou Diomaye passe, personne ne peut l’empêcher de battre campagne »

La candidature de Bassirou Diomaye Faye ne souffre d’aucune ambiguïté et le matraquage médiatique n’y peut absolument rien. C’est la conviction de l’expert électoral, Ndiaga Sylla. Se prononçant sur les dernières sorties des partisans du pouvoir tentant de faire prospérer une hypothèse selon laquelle le plan B de Ousmane Sonko serait hors course, M. Sylla botte en touche.
« A priori on peut penser que Bassirou Diomaye Faye étant entre les liens de la détention pourrait ne pas faire acte de candidature. Mais il faut préciser que le code électoral, même pour ceux qui ont fait l’objet d’une condamnation, considère que tant que la condamnation n’est pas définitive on ne peut pas s’y fonder pour écarter sa candidature. Encore que d’autres établissent un lien avec la dissolution de leur parti politique, Pastef. Là aussi je dois préciser que le parti dissous, il est évident qu’il ne peut pas porter une candidature, mais par contre les responsables de l’association dissoute, on ne peut pas les empêcher de candidater », explique Ndiaga Sylla à l’émission Objection de ce dimanche sur Sud Fm.
A l’en croire, la loi de 1981 modifiée qui encadre la dissolution de parti politique, n’a pas prévu comme conséquence l’impossibilité de ses responsables à candidater. D’ailleurs, souligne-t-il confirmant ses dires, « le directeur de la communication et de la formation (administration électorale) l’a rappelé il y a trois jours : le code électoral ne dit en aucun moment que quelqu’un qui est issu d’un parti dissous ne peut pas être candidat ».
Donc, conclut-il : « Ousmane Sonko comme Bassirou Diomaye Faye peuvent bel et bien être candidat. Je dirai même mieux, demain si leurs candidatures passent, si on applique la loi, personne ne peut les empêcher de battre campagne ».
Selon lui, il s’agit d’un droit que leur confère les dispositions de l’article 32 de la Constitution qui prévoient que « les Cours et Tribunaux puissent garantir de l’égalité de la campagne électorale et de l’équité entre les candidats. On ne peut pas empêcher quelqu’un de battre campagne parce qu’il est en détention. Cela violerait cette disposition constitutionnelle ».

Audience du 12 décembre : Un retour à la case départ pour Ousmane Sonko

Et rebelote ! Ousmane Sonko et l’État du Sénégal vont encore solder leurs comptes cette fois-ci devant le tribunal d’instance hors classe de Dakar après une décision favorable à l’opposant rendue par le juge Sabassy Faye (de Ziguinchor) puis cassée par la Cour Suprême sur saisine de l’agent judiciaire de l’État. Il s’agit d’un retour à la case départ, estime l’expert électoral Ndiaga Sylla. Invité de l’émission Objection de ce dimanche sur Sud Fm, il a souligné que l’audience de ce mardi 12 décembre, constitue un retour au point de départ de la procédure.

« C’est un retour à la case départ. Lorsque le juge compétent de Ziguinchor avait rendu son ordonnance qui consistait à exiger des services centraux du ministère de l’Intérieur la réinscription de Ousmane Sonko sur les listes électorales, l’administration n’avait pas appliqué la décision du juge. Ceci, alors que l’article L47 en son dernier alinéa énonce que les décisions rendues par le juge du tribunal d’instance sont exécutoires », a rappelé Ndiaga Sylla. Selon lui, cette situation n’est pas sans conséquence pour Ousmane Sonko puisque les délais compromettent davantage ses chances de participer à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024.  

En effet, d’ici le 20 janvier 2024, date de proclamation des candidats par le conseil constitutionnel, souligne M. Sylla, « on risque de ne pas vider ce contentieux ». Ce qui va à l’encontre de la protection de la liberté de candidature, estime le spécialiste des questions électorales qui pense que les conseils de Ousmane Sonko auraient pu saisir le Conseil constitutionnel dès le départ. « Même si c’est un contentieux prématuré, cela aurait pu permettre au Conseil Constitutionnel de nous dire est-ce que ce contentieux est détachable de la candidature à laquelle il a compétence. Je pense que de toute manière le conseil va statuer », confie-t-il.

Une affaire inédite !

Revenant aux péripéties de ce dossier, Ndiaga Sylla a relevé le caractère « inédit » de cette affaire qui constitue un précédent dangereux pour la démocratie sénégalaise. « Quand le juge de Ziguinchor a jugé illégale la mesure de radiation, il a demandé la réinscription de Ousmane Sonko sur les listes électorales. On a constaté un refus de l’administration. Ce qui est inédit. C’est la première fois que je vois l’administration refuser d’exécuter une décision de justice dans le cadre du contentieux. Pour la première fois, on a vu l’agent judiciaire de l’État tenter de récuser un juge », souligne-t-il.  

Pire encore, poursuit-il, « pour la première fois de l’histoire, l’État a fait un pourvoi devant la Cour Suprême pour contester le droit fondamental d’un citoyen à être électeur. Pour la première, la Cena a été intégralement renouvelée en violation de la loi pour avoir donné injonction à l’administration électorale de donner à Sonko ses fiches ».

21ème Forum de Doha : Rencontre entre Macky Sall et l’Emir du Qatar

Le Chef de l’Etat Macky Sall a participé au 21ème Forum  de Doha sur invitation de son Altesse Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, l’Emir de l’Etat du Qatar. Un moment pour les deux leaders d’aborder des sujets  importants d’intérêt commun touchant la coopération bilatérale entre le Qatar et le Sénégal ainsi que  l’actualité internationale.C’est Via un tweet, Macky Sall a remercié son homologue Qatari pour cette  aimable invitation.

Vidéo – Sonko financé par des forces occultes? Siré démonte par pièce les arguments de Yerim“limou wax Qatar

Vidéo – Sonko financé par des l*bb!es? Thierno Diop répond sévèrement à Yérim Seck“ il n’est pas crédible

Mobilisation exceptionnelle au Meeting du candidat Amadou Ba à Paris :

Le Pm fait Un grand discours devant la diaspora
La grande mobilisation de Paris ,a été réussite ptotale sur tous les plans.La salle du Reddy Rinner Arena était trop petite pour accueillir le grand meeting du candidat Amadou Ba et sa délégation composée d’imminents représentants de l’état et de la mouvance présidentielle.Du point organisationnel,animation,tout a été une véritable réussite.Le candidat unique de la grande coalition Benno Bokk Yallar ,sort revigoré par une telle prouesse de la diaspora sénégalaise établie en france.Visiblement impressionné par foule,le premier ministre a réaffirmé sa volonté de poursuivre la politique d’intégration de la diaspora sénégalaise qu’il a qualifié de 10% de l’économie sénégalaise.Il a promis de beaucoup plus les appuyer.C’est sur cette déclaration que le meeting a été clôturé en apothéose sous un salve d’applaudissements.

Audience du 12, financement occulte: Siré Sy fait de grosses révélations devant Djibril Beye et C. O.

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Transport urbain : Les tarifs dévoilés, nouvelle annonce importante pour le BRT

Dans une initiative audacieuse visant à remédier aux problèmes de congestion routière, de pollution atmosphérique et d’émissions de gaz à effet de serre, Dakar se tourne vers un système de bus à haut niveau de service (BRT) alimenté à 100% à l’électricité.

« Dakar Mobilité », à la tête de cette transformation, a réussi à lever 135 millions d’euros, soit plus de 88 milliards de francs CFA, pour concrétiser ce projet visionnaire. Le programme, dirigé par le Conseil exécutif pour le transport urbain durable (Cetud), vise à reconfigurer en profondeur le réseau de transports urbains de la capitale sénégalaise. À son lancement, le BRT reliera la gare routière Petersen sur le plateau de Dakar à la préfecture de Guédiawaye, couvrant 18,3 km et desservant 23 gares ainsi que 14 quartiers densément peuplés de la ville.

Ce système révolutionnaire, composé d’une flotte de 121 bus entièrement électriques, représente une première en Afrique subsaharienne. Pour financer cet ambitieux projet, un prêt de 85,4 millions d’euros a été octroyé à parts égales par Proparco, la filiale privée de l’Agence française de développement, et le Fonds pour les infrastructures en Afrique émergente (EAIF), agissant à travers sa société de gestion Ninety-One.

Le financement est complété par des subventions de l’Union Européenne et du PIDG TA, apportant respectivement 7 millions d’euros et environ 9 millions d’euros. Ces fonds s’inscrivent dans le cadre de la stratégie européenne Global Gateway, axée sur le renforcement des connexions intelligentes et durables dans les domaines du numérique, de l’énergie et des transports.

La mise en service du BRT est prévue pour janvier 2024, avec une disponibilité complète du système avant l’été de la même année. Les responsabilités opérationnelles, telles que l’acquisition, la maintenance des véhicules et des systèmes associés, ainsi que l’exploitation du BRT, ont été déléguées à Dakar Mobilité, une société privée sénégalaise détenue à 70% par Meridiam et à 30% par Fonsis, le Fonds souverain du Sénégal.

Rencontre avec Elisabeth Borne : Amadou Ba répond aux attaques de Aminata Touré

L’ancienne Premier ministre Aminata Touré a critiqué le candidat de Benno Bokk Yakkar, Amadou Ba, en mission à Paris dans le cadre de la coopération en cours avec le 5e séminaire intergouvernemental franco-sénégalais.

Aminata Touré a même évoqué une « confusion diplomatique » et a appelé les pays amis et partenaires du Sénégal à « pratiquer une équidistance entre tous les candidats à l’élection présidentielle de 2024 ». Amadou Ba a répondu rapidement pour justifier sa présence sur le sol français en cette période pré-électorale, affirmant que « le contexte pré-électoral, électoral ou le contexte d’une élection ne doivent pas être des obstacles quant à la continuité de l’État. Je pense qu’il est vital et impératif que le gouvernement puisse assurer la continuité de l’État. Nous travaillons pour les Sénégalais, et donc, un projet qu’on a démarré, il faudra en assurer le suivi pour l’intérêt du Sénégal ».

Le chef du gouvernement sénégalais s’est également réjoui de la réunion interministérielle qu’il a eue avec son homologue française, Elisabeth Borne. « Je suis satisfait de ce que nous avons entamé avec la France depuis le début de notre coopération. Nous entendons poursuivre cette coopération dans tous les domaines, notamment celui des infrastructures, de l’agriculture, mais aussi la préparation prochaine des Jeux olympiques de la jeunesse », dit-il.

Vidéo – Binta Diallo, mise au frigo par Bouba Ndour? Aïssatou Diop Fall balance“Sonko mo..man ci congélateur la nék

Macky Sall honoré : La CAF lui décerne le prix d’Excellence 2023 …

D’après un communiqué de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF), la Confédération Africaine de Football (CAF) a attribué le prix d’Excellence du Président de la CAF 2023 au Président de la République du Sénégal, Macky Sall.

Cette distinction honore la contribution exceptionnelle du Président Macky Sall à l’essor et au développement du football national, notamment son soutien déterminé aux différentes catégories et son engagement total dans la construction d’infrastructures sportives telles que le stade Président Abdoulaye Wade à Diamniadio.

Les actions de Macky Sall ont joué un rôle crucial dans le renforcement de la position prééminente qu’occupe actuellement le football sénégalais en Afrique et dans le monde, selon le communiqué de la FSF.

Il est également précisé que les Présidents Macky Sall du Sénégal et Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire sont les deux lauréats du prix d’Excellence du Président de la CAF 2023.

La remise des prix aura lieu lors de la cérémonie des CAF Awards, programmée pour le 11 décembre 2023 à Marrakech, au Maroc, comme l’a ajouté l’instance du football sénégalais.

Découvrez pourquoi Macky Sall va être récompensé lors de la cérémonie des CAF Awards

C’est la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) qui a annoncé une nouvelle : le Chef de l’Etat, Macky Sall, a été honoré par la Confédération Africaine de Football (CAF) avec le prestigieux prix d’Excellence du Président de la CAF pour l’année 2023.

Ce prix prestigieux vient reconnaître l’engagement exceptionnel du Président Sall dans le développement du football au Sénégal. Selon le communiqué de la FSF, ce soutien s’est manifesté à travers l’appui aux différentes catégories de joueurs et la construction d’infrastructures de pointe, dont le stade Président Abdoulaye Wade à Diamniadio. Ces efforts ont joué un rôle crucial dans l’établissement du Sénégal comme une force majeure dans le football africain et mondial.

Le Président Sall n’est pas le seul à être honoré. Le communiqué mentionne également que le Président Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire est l’autre lauréat de cette distinction pour l’année 2023. Ce partage du prix souligne l’importance de la coopération et de la solidarité entre les nations africaines dans la promotion du sport.

La remise officielle du prix aura lieu lors de la cérémonie des CAF Awards, prévue le 11 décembre 2023 à Marrakech, au Maroc. Toutefois, en raison de ses engagements internationaux, le Président Macky Sall sera représenté par Monsieur Lat Diop, Ministre des Sports du Sénégal.

Aida Mbodj : « Les permis de visite pour aller voir Sonko sont bloqués », (Vidéo)

Lors de l’émission « Autour du micro » avec le journaliste Pape Alé Niang, Aida Mbodj, présidente de l’Alliance Nationale pour la Démocratie/And Saxal Liggeey, a exprimé ses inquiétudes au sujet des « restrictions » de visite à la prison du Cap Manuel, où est actuellement détenu le leader politique Ousmane Sonko.

Selon la présidente de l’Alliance Nationale pour la Démocratie/And Saxal Liggeey, Aida Mbodj, les permis de visite destinés à ceux qui souhaitent rendre visite à Sonko sont actuellement bloqués.

Regardez !

Vidéo – Mame Coumba réagit sur la vidéo de Djiby Dramé : «Émission bi Defna 1 an kheuyna dagn siy doga diot… »

Lamb : Le combat Ama Baldé – Gris Bordeaux finalement reporté !

Pressenti depuis le dépôt d’un certificat médical pour blessure de Ama Baldé, le combat du fils de Falaye Baldé face à Gris Bordeaux n’aura finalement pas lieu. L’information a été confirmée par le quotidien spécialisé, Sunu Lamb.

A Pikine, les nombreux supporters qui attendaient le retour d’Ama Baldé dans l’arène le 7 janvier prochain après sa douloureuse défaite face à Modou Lo vont déchanter. En effet, selon Sunu Lamb, le combat entre Ama Baldé et Gris Bordeaux a été reporté.

En effet, mardi dernier, le fils de Falaye Baldé avait déposé un certificat médical, annonçant au CNG sa blessure et son indisponibilité pour 30 jours. Ce qui rend donc impossible son combat avec Gris Bordeaux le 7 janvier prochain, pile dans un mois.

C’est la 3e fois que ce combat est reporté. D’abord prévu le 5 mars dernier, ama Baldé avait déposé un certificat médical pour blessure. Lors de son rétablissement, c’est Gris Bordeaux qui , à son tour, avait déposé un certificat médical.

Pour l’instant, aucune nouvelle date n’est annoncée.