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Le député El hadji Diouf veut faire «auditer» tous les milliardaires, de Senghor à nos jours



L a tâche n’est as aussi difficile, à en croire le député El Hadji Diouf, qui estime que la traque des biens mal acquis ne doit pas s’arrêter après le procès Karim Wade. Pour lui, il faut aller au-delà et auditer tous les milliardaires que compte le Sénégal, de Senghor à nos jours. Une manière pour lui de lever toute équivoque sur l’origine licite de leurs fortunes, et éviter ainsi aux personnes poursuivies, toute discrimination qui pourrait être liée à l’appartenance politique ou autre.

L’international danseur de la génération consciente Papa Ndiaye Thiou dans ses œuvres. No comment!

 L'international danseur de la génération consciente Papa Ndiaye Thiou dans ses œuvres. No coment!

Pape Diouf et sa Bébé Basse : Une vraie histoire d’amour.

Pape Diouf et bébé basse

Quand les deux regards se croisent le sourire est au rendez -vous du bonheur. Pape Diouf et sa douce moitié de Bébé Basse, c’est une longue et belle histoire d’amour.

Affaire Paganon-Le min. de l’Intérieur au Pds: « Vous semblez assez contradictoire dans vos démarches »

abdoulaye -daouda-diallo

Le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne, et son Gouvernement étaient à l’Assemblée nationale, ce jeudi à 16 heures, pour répondre aux questions d’actualité.

Et l’ingérence de l’ambassadeur de la France au Sénégal a retenu, entre autres, l’attention des députés.

Et le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, assurant l’intérim de son collègue de la Justice a tenu à dire ceci à Mme le député Woré Sarr du Pds.

« J’ai l’impression que vous semblez  assez contradictoire dans vos démarches. Je crois que par deux fois au moins, si vous qui avez invité les autorités extérieures à se prononcer sur ce dossier (Ndlr: Karim Wade). C’est curieux à ce niveau que vous puissiez  rejeter l’intervention de son excellence ».

Arrêt sur image: Diafra Sakho en compagnie de Nicolas Sarkozy. Regardez

Sarko Diafra sakho

Quand l’attaquant sénégalais évoluant à West Ham pose avec l’ex Président de la République Française Nicolas Sarkozy.
Sarko Diafra

Serigne Mbacké Ndiaye candidat aux primaires du Pds: « Je souhaite être Président de la République »

serigne-mbacké-ndiayeSerigne Mbacké Ndiaye joint l’acte à la parole. Le responsable libéral qui n’a jamais caché son intention de tenir les commandes au Pds s’est jeté dans le bain.L’ancien porte-parole de Me Abdoulaye Wade affirme qu’il sera candidat. Ce après avoir consulté sa base à Thiés.“Je me suis concerté avec nombre de responsables du Parti et ma base à Thiès. Beaucoup m’ont demandé de me présenter, car je ne suis pas un novice au sein du Parti démocratique sénégalais. En 1978, j’ai été élu comme secrétaire général des jeunes du parti. En ce moment, l’Ujtl (l’union des jeunesses travaillistes libérales : Ndlr) n’existait pas. Je fais partie des membres de la première heure du Pds”, dit-il dans les colonnes du journal “Le Témoin”.
Quid de l’obstacle Karim Wade qui se dressera sur son chemin? il répond : “Je ne peux rien dire sur une candidature de Karim au Pds. Chacun est libre de déposer la sienne. Moi, c’est mon cas qui m’importe. Soyez sûr que je serai candidat. Etre président de la République est un souhait pour moi, car j’ai des ambitions pour mon pays”.

Apr Thiès : La promotion canapé des femmes de teint clair dénoncée

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Ndèye Soukèye Guèye, membre du réseau synergie des femmes de l’Alliance pour la République (Apr) de Thiès, est très en colère. Elle a organisé un point de presse, hier, avec ses partisans, pour crier son ras-le-bol, soutenant qu’elle n’acceptera jamais la “promotion canapé”.

“Je suis de teint noir et je ne pense point me dépigmenter. Si ce sont seules les femmes de teint clair qui ont droit à des promotions ou postes de responsabilité… L’heure est venue pour que le président Macky Sall prenne des mesures idoines contre la mal gouvernance politique dans les rangs de l’Apr à Thiès. Notre soi-disant coordonnateur, Augustin Tine, par ailleurs ministre des Forces armées, exerce un coaching néfaste à l’Apr par le truchement de son cabinet politique dirigé par Demba Diouf. Sa posture qui devrait être autre, est en train de compromettre toutes les opportunité de conquête du bastion local. Il doit mettre en avant la raison et non les intérêts privées de ses inconditionnels et créer les conditions de retour des responsables qui s’étaient écartés du parti”, peste-t-elle.

Grand Place

Mise sur pied de groupes de réflexions : Idy à l’assaut de Macky

idrissa seck

Macky se lance dans tournées économiques à travers le pays, Idrissa Seck lui apporte la réplique en organisant des consultations citoyennes. En clair, le patron de Rewmi et président du Conseil départemental de Thiès veut organiser une série de rencontres avec les populations pour demander leurs avis sur la situation socio-économique du pays.

“Nous allons très prochainement débuter la première phase des consultations citoyennes à travers la mise sur pied de groupes de réflexions sur les thèmes majeurs de l’agriculture, de l’éducation, de l’emploi, de l’énergie, de la réforme des institutions et de l’efficacité de l’action publique”, fait savoir Déthié Fall dans un communiqué.

Déthié Fall l’a fait savoir après que Rewmi a enregistré à Tambacounda de nouveaux ralliements. Il s’agit, selon le porte parole des commerçants Abdourahman Syll, d’un groupe de “riches commerçants” et d’étudiants qui “comptent participer à la massification de Rewmi parce que convaincus par le programme d’Idrissa Seck, Macky Sall n’étant pas à la hauteur”.

Présidentielle 2017 : Karim candidat de Cheikh Sadibou Fall

cheikh sadibou fallCertains au moins n’avancent pas le visage masqué, dans le cadre de la recherche du candidat à la  candidature au niveau du Pds. Si Me Abdoulaye Wade a préféré user de chemins détournés pour faire de son fils le prochain candidat du Pds, Cheikh Sadibou Fall et ses camarades de section, eux, ont déjà voté Karim Wade. Au sortir de leur réunion qui s’est tenue hier au domicile de l’ancien ambassadeur du Sénégal en Italie, la principale décision est que résolution a été prise de faire de Karim Wade qui est en prison, leur candidat. Cheikh Sadibou Fall et ses camarades, selon « l’As », ne seront pas les seuls à soumettre leur résolution de faire du fils de Wade, le prochain candidat du Pds. La section Pds de Dakar également est sur le point de faire la même chose. D’ailleurs une réunion a été déjà tenue dans ce sens à la permanence Omar Lamine Badji, avant-hier.  

Conakry : Macky Sall a pris part au XVIème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’OMVS

macky-inquiet

Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Macky Sall, a pris part ce mercredi 11 mars 2015 au XVIème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Organisation pour la mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS), à Conakry en Guinée, nous apprend un communiqué.

Le texte inforrme que ce Sommet a vu la participation des Chefs d’Etat des quatre pays membres: la République Islamique de Mauritanie, le Sénégal, la Guinée-Conakry et le Mali.  Cette 16eme édition a permis à la Conférence des Chefs d’Etat de faire le bilan des activités de l’année 2014 et de définir les objectifs et priorités pour  l’année 2015.  Pour rappel, l’OMVS est un cadre de gestion sous-régional des ressources du fleuve Sénégal à travers des activités touchant notamment à l’approvisionnement en eau potable, l’agriculture, avec l’exploitation de millier d’hectares, l’amélioration de la navigabilité sur le fleuve et la production d’énergie à travers la réalisation de barrages hydro-électriques.  Le Chef de l’Etat a regagné Dakar le même jour en fin de journée.

Investiture de Karim : Le pari risqué d’Abdoulaye Wade



Serait-il encore dans les liens de la détention, Karim Wade reste le joker favori du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour faire face à Macky Sall et revenir aux affaires. C’est du moins la conviction de plusieurs responsables et membres du parti, mais aussi de son fondateur, Abdoulaye Wade, un père qui ne désespère pas quand il s’agit de trouver des ambitions à un fils passible d’une condamnation par la Cour de répression de l’enrichissement illicite, dont le verdict sera rendu ce courant mars. Il faut souligner, qu’en dehors de la volonté prêtée à Madické Niang de solliciter les voix de ses camarades de parti, ou encore du candidat déclaré Souleymane Ndéné Ndiaye invité à soutenir la candidature de Karim Wade, tout semble converger autour d’une candidature de ce dernier comme le souhaite le pape du Sopi lui-même. 

 En ouvrant les candidatures à tout membre du parti y compris ceux qui sont en prison, le Pds désigne sans ambiguïté le fils d’Abdoulaye Wade, par ailleurs le seul qui aspire à ces responsabilités et qui s’avère être dans les liens de la détention. Mais un obstacle majeur risque de freiner les ambitions de Wade-fils, présenté comme le successeur biologique ou même légitime de Wade à la tête du parti, selon ses défenseurs. Karim, qui ne fait pas l’unanimité, avait perdu dans son propre bureau de vote avant de faire perdre à tout un parti, le Pds, la mairie de Dakar en mars 2009. Une défaite qui reste encore fraîche dans les mémoires et qui n’est pas sans rapport avec la débâcle du Sopi trois ans plus tard, en 2012 avec le départ de Wade du pouvoir. 

 Ainsi, en cas de condamnation ou de libération conditionnelle qui pourraient lui faire perdre ses droits civiques comme évoqué par des proches du pouvoir, Karim Wade, même désigné et investi candidat à l’unanimité, devra céder à quelqu’un d’autre la place de challenger de Macky Sall. Toutefois, on pourrait se demander qui d’autre pour endosser un tel rôle, rassembler le parti et éviter une implosion du fait des investitures? Peut-on envisager Abdoulaye Wade lui-même porter encore une fois la candidature du Pds à la présidentielle, malgré son âge avancé, aussi invraisemblable que cela puisse paraître ? A défaut, bien sûr, de pouvoir présenter ou soutenir la candidature de Karim. La dernière bataille que va libérer Abdoulaye Wade n’est pas des moindres et rien est à exclure, si l’objectif final était de détrôner l’autre fils, le tombeur du patriarche de 2012.

Babacar Gaye : « Le Pds est menacé par des ambitions personnelles »



Babacar Gaye, le porte-parole du Parti démocratique sénégalais (Pds), pense que l’appel a candidature au sein de leur formation politique pour la présidentielle de 2017 ne devrait pas poser de problèmes et ne doit pas être un motif de dislocation de leur parti.

“Ce serait dommage que cet exercice démocratique puisse engendrer une crise majeure. Ce n’est pas l’objectif recherché encore moins le souhait des militants du parti. Il n’y a aucune raison pour que l’ouverture d’une compétition soit un prétexte pour saborder le Pds. Me Wade ne mérite pas que son héritage soit vendangé pour des ambitions personnelles. Si le Pds éclate en mille morceaux à la suite du choix d’un candidat à une élection, nous aurons tous failli à notre mission”, dit-il dans les colonnes du journal “Le Témoin”.

Selon lui, “tous les responsables devraient se mobiliser et privilégier l’intérêt commun sur (leurs) égos surdimentionnés”.

Aux détracteurs de Karim Wade, il répond : “quand le Pds choisissait ses candidats députés sur la liste nationale en faveur de certains responsables au détriment d’autres, les bénéficiaires de cette mansuétude du Secrétaire général national étaient muets comme des carpes. Karim Wade est un militant jouissant de tous ses droits pour être candidat à la candidature”

Présidentielle de 2017 : Khalifa Sall met la pression sur Tanor



Même s’il n’est pas encore officiellement investi par le Parti socialiste, Khalifa Sall, le maire de Dakar, participera à la présidentielle de 2017. Il a été investi ce week-end par le mouvement “And doolel Khalifa (Adk), rappelle “Le Quotidien”, comme il l’a été lors des élections locales par la coalition “Taxawu Dakar”. Les initiateurs de ce mouvement, ont clairement dit avoir eu l’onction de Khalifa Sall avant de regrouper leurs militants des 14 régions. Ils ajoutent que “Khalifa Sall n’est pas comptable du bilan de Macky Sall, parce qu’il n’est ni ministre, ni député sous son régime”. Une manière de se désolidariser de la coalition “Benno Bokk Yaakaar” pour avoir une marge de manoeuvre et une liberté de ton lorsque la campagne viendra.

Ousmane Tanor Dieng, le patron du Ps, acculé, avait soutenu que ce n’est pas le moment d’évoquer la candidature en 2017, même s’il a affirmé ce week-end à Thiès que tout parti à vocation à conquérir le pouvoir.

Dans les colonnes de “La Tribune”, il y a quelques jours, le maire de Dalifort, Idrissa Diallo, s’en était violemment pris au patron des socialistes. “Oumane Tanor Dieng cherche à affaiblir le potentiel candidat du parti à la prochaine présidentielle en ne se prononçant que dans un temps pendant lequel la marge de manoeuvre de celui-ci est réduite à un point qu’il ne pourrait peut-être rien réaliser. Senghor dormait dans les villages pour gagner la confiance des Sénégalais, Abdoulaye Wade avait parcouru toutes les localités du pays, de même que Macky Sall. Celui qui ne l’avait pas fait, pour accéder au pouvoir, c’était Abdou Diouf. Il a eu tous ses pouvoirs à partir de ses fonctions de fonctionnaire. C’est pareil pour Ousmane Tanor Dieng. Il n’est pas sorti de la base, donc les démarches ne peuvent pas être les mêmes. Tanor ne sait pas que le Ps ne peut pas être considéré comme une grosse administration. C’est avant tout, un parti politique et il doit être géré comme tel”, disait-il.

Macky Sall, Karim Wade et Idrissa Seck…récit d’une guerre fratricide

« Le destin d’un dauphin, c’est de s’échouer sur le rivage. » Au moment où Abdoulaye Wade énonçait cet adage devant l’un de ses conseillers, début 2007, Idrissa Seck, qui passait pour son probable successeur, venait d’en faire l’amère expérience. Gloire montante de la scène politique sénégalaise, directeur de cabinet puis Premier ministre de « Maître Wade » après son élection en 2000, « Idy » ne s’attendait pas à être évincé quatre ans plus tard. Encore moins à se retrouver, dans la foulée, derrière les barreaux. 

« Abdoulaye Wade est semblable au dieu Cronos, qui engloutissait sa progéniture », ajoute la même source. La légende prétend en effet que le roi des Titans avait été averti par une prophétie qu’un jour l’un de ses enfants le détrônerait. « Je n’ai pas de dauphin et je prie pour ne jamais en avoir », avait poursuivi le patriarche face à son confident. 

Le 8 août, un congrès du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) doit désigner celui qui portera la candidature du parti libéral lors de la présidentielle de 2017. Quant au remplacement d’Abdoulaye Wade à la tête de cette formation, dont il est le leader incontesté depuis sa création, en 1974, il faudra encore attendre. Car ledit congrès ne portera pas sur le renouvellement des instances du parti, mais uniquement sur l’investiture présidentielle. Autrement dit, le quasi-nonagénaire pourrait bien demeurer le numéro un du PDS même s’il n’est pas son futur candidat. Le doyen de la scène politique sénégalaise se résoudra-t-il un jour à passer la main ? 

 

Macky Sall, Karim Wade et Idrissa Seck...récit d'une guerre fratricide

Karim Wade, le fils adoré 

 

En politique, Abdoulaye Wade a eu successivement trois héritiers putatifs : Idrissa Seck, « le fils pressé » ; Macky Sall, « le fils discret » ; et Karim Wade, « le fils adoré ». Au moment de son accession au pouvoir, Idrissa Seck occupe tout l’espace. « Il a rejoint Abdoulaye Wade dès l’âge de 17 ans, rappelle l’un de ses lieutenants, Thierno Bocoum. Il a été son directeur de campagne en 1988, à seulement 29 ans. » Douze ans plus tard, il est l’initiateur de la « marche bleue » du PDS qui conduira Wade jusqu’au palais présidentiel. Entre Ngorsi (« le Gosse », en wolof) et Gorgui (« le Vieux »), la complicité semble indissoluble. « Il comprend ma pensée au quart de tour », confie un jour Abdoulaye Wade à propos de son fidèle second. 

 

« À l’époque, le successeur de Wade ne pouvait qu’être Idrissa Seck », ajoute Thierno Bocoum. Nommé Premier ministre en novembre 2002, Idy se sent pousser des ailes. Mais très vite, il se retrouve dans la ligne de mire de tous ceux qui prennent ombrage de son influence : les cadres libéraux qui se verraient bien, eux aussi, en héritiers du chef vieillissant, mais également, selon divers observateurs, les héritiers biologiques du chef de l’État. Car, à la même époque, Karim et Sindiély, ses deux enfants, intègrent l’organigramme de la présidence. 

 

« Plusieurs années après, Idrissa Seck s’interrogeait toujours sur les véritables motifs de sa disgrâce », témoigne un patron de presse qui a recueilli ses états d’âme. Une chose semble acquise : la stature gagnée par son Premier ministre a fini par faire de l’ombre au président. Dans les médias, on parle de « dualité à la tête de l’État ». « Le jour où je lui ai dit que je pensais à lui pour me succéder, j’ai constaté sa métamorphose », confiera un jour Abdoulaye Wade en privé. En avril 2004, Idy est limogé. Son remplaçant est loin d’avoir son pedigree. 

 

Ingénieur géologue devenu directeur général de la Société pétrolière nationale avant d’enchaîner deux portefeuilles ministériels, Macky Sall est encore un cadre du PDS de moyenne envergure. Poussé sur le devant de la scène par Abdoulaye Wade avec, assure-­t-on, la bénédiction de son fils Karim, il se chargera de planter le dernier clou dans le cercueil de son prédécesseur. 

 

Macky Sall, Karim Wade et Idrissa Seck...récit d'une guerre fratricide

Macky Sall signe son arrêt de mort 

En juillet 2005, soupçonné d’être impliqué dans une affaire de détournement, Seck est placé en détention. Il n’oubliera jamais que c’est Macky Sall qui a personnellement présenté au corps diplomatique le rapport de l’Inspection générale d’État à l’origine de l’affaire. Sept mois de prison plus tard, l’ancien dauphin, blanchi, retrouve la liberté avant de créer son propre parti – Rewmi. 

 

Dans le même temps, le « fils discret », celui qui sait dissimuler ses ambitions, a pris du galon. Aussi humble que loyal envers celui qui lui a donné sa chance, Macky Sall battra le record de longévité des Premiers ministres de Wade. Quatre mois après avoir dirigé la campagne du président sortant, réélu en février 2007, il doit à son tour céder son fauteuil de Premier ministre. Comme lot de consolation, il atterrit à la présidence de l’Assemblée nationale. 

 

Mais en 2008, tout bascule. Alors que la polémique enfle à propos d’éventuels détournements liés à l’organisation, à Dakar, du sommet de l’Organisation de la conférence islamique, un groupe de députés de la commission des finances envisage d’auditionner Karim Wade – chargé du dossier – pour lui permettre de s’en expliquer. Selon les principaux protagonistes de l’affaire, la démarche n’avait rien d’hostile. Mais en endossant la lettre de convocation, Macky Sall signe son arrêt de mort. La missive passe pour une initiative personnelle visant à mettre en difficulté le « fils adoré ». 

 

La riposte est immédiate. Une loi réduit le mandat du président de l’Assemblée de cinq ans à un an renouvelable. Comprenant que le glas a sonné, Macky Sall rend tous ses mandats électifs et crée son propre parti : l’Alliance pour la République (APR). Comme Idy, il se retrouve rapidement mis en cause dans le cadre d’une cabale judiciaire, pour blanchiment. Si l’affaire, dans son cas, ne dépasse pas le stade de la garde à vue, il en conservera une vive méfiance à l’égard de son mentor. Selon l’un de ses proches, il s’abstiendra pendant plusieurs années de laisser son bagage en soute lorsqu’il revient à Dakar en avion. 

 

Karim Wade, Ministre du Ciel et de la Terre 

Pour nombre d’observateurs, ces deux sacrifices découleraient d’une même motivation : permettre à Karim Wade de prendre place sur la rampe de lancement censée le propulser vers l’Olympe. En 2009, son père lui confie pas moins de quatre portefeuilles ministériels d’importance. Il s’y fait un surnom : Ministre du Ciel et de la Terre. Dès lors, la rumeur – jamais confirmée explicitement par les intéressés – parcourt le pays : le seul successeur qu’Abdoulaye Wade ait jamais envisagé, c’est son propre fils. Une hypothèse néanmoins fragilisée par les divers handicaps de l’impétrant. 

 

Ancien banquier d’affaires, Karim Wade n’a fait campagne qu’une fois – à Dakar, en 2009, et s’y est cassé les dents – et n’a ni la légitimité militante d’un Idrissa Seck ni l’enracinement d’un Macky Sall, capable de s’adresser au Sénégal profond en wolof, en sérère ou en pular. Sans compter qu’il cristallise sur sa personne la défiance d’un nombre croissant de Sénégalais envers le système Wade et que sa double nationalité l’empêche de se présenter. « Abdoulaye 

Wade n’a jamais songé à son fils biologique pour lui succéder, considère l’ancien conseiller. Il l’envisageait éventuellement en ministre des Finances, mais il jugeait que son assise politique était insuffisante. » 

 

Reste qu’en juin 2011 un projet de réforme constitutionnelle semble confirmer les soupçons : en catimini, Abdoulaye Wade tente de faire adopter une réforme constitutionnelle prévoyant qu’un tandem président/vice-président pourrait être élu au premier tour de la présidentielle avec seulement 25 % des suffrages exprimés. Pour l’opinion, la réforme est taillée sur mesure pour les Wade père et fils. On connaît la suite. Face à la fronde des Sénégalais, Wade retire son projet in extremis. Il maintient en revanche sa troisième candidature présidentielle consécutive. En mars 2012, tel Zeus, le fils du dieu Cronos qui avait été dissimulé à son père pour lui éviter un sort tragique, Macky Sall, le « fils discret », terrasse dans les urnes son géniteur en politique. 

 

Macky Sall, Karim Wade et Idrissa Seck...récit d'une guerre fratricide

Idrissa Seck, cinquième au premier tour de la présidentielle 

 

Devenu opposant à Macky Sall après un compagnonnage relatif de dix-huit mois, Idrissa Seck – qui avait dû se rallier au futur président au nom du « tout sauf Wade » – a vu la roue tourner. Arrivé cinquième au premier tour de la présidentielle, il n’est plus que l’ombre du fringant dauphin qu’il avait été dix ans plus tôt. Quant à Karim Wade, alors qu’il se préparait à une reconversion en tant que consultant international de luxe, il a été rattrapé par la « traque aux biens mal acquis », dont Macky Sall a fait son cheval de bataille. 

Tandis que certains y voient un juste retour de bâton, d’autres soupçonnent un règlement de comptes par procuration. À travers son fils, c’est Abdoulaye Wade – intouchable – qui serait visé. Incarcéré depuis avril 2013, Karim Wade, qui a gagné en popularité à la faveur d’une procédure pour enrichissement illicite entachée de multiples dysfonctionnements, annonce depuis la prison de Rebeuss son intention de défier en 2017 celui qui, après avoir été adoubé par le clan familial, a laissé la justice sénégalaise le jeter aux lions. Même si, en privé, plusieurs cadres du PDS font savoir qu’ils n’ont pas l’intention d’entériner une succession dynastique à la tête du parti. 

 

La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) pourrait bien leur faciliter la tâche. Passible d’une peine de dix ans d’emprisonnement assortie d’une éventuelle inéligibilité, Karim Wade rejoindra-t-il Idrissa Seck sur la plage où s’échouent les dauphins ? Abdoulaye Wade, quant à lui, a puisé dans les démêlés judiciaires de son fils une seconde jeunesse. Aujourd’hui comme hier, il est le principal opposant de la scène politique sénégalaise. 

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Qu’ils rendent l’argent ! » 

 

« Je peux témoigner qu’aux premières heures de la traque aux biens mal acquis, Macky Sall voulait éviter que les personnes visées n’aillent en prison », affirme un habitué de la présidence. Le successeur d’Abdoulaye Wade espère alors que les principales personnalités soupçonnées de détournement de fonds publics seront prêtes à transiger discrètement. 

Une approche pas forcément partagée par Aminata Touré, son énergique garde des Sceaux, qui estime que la justice doit passer, au risque de donner aux procédures judiciaires un aspect revanchard. Aujourd’hui, selon la même source, le chef de l’État n’a plus d’états d’âme : « Ces gens ont trop joué avec les Sénégalais, qu’ils rendent des comptes et remboursent l’argent ! » Pour Macky Sall, affecté par les violentes attaques d’Abdoulaye Wade à son endroit, qu’il estime uniquement motivées par sa volonté de faire libérer son fils, il n’y a rien à négocier avant le terme du procès de Karim Wade. « Mais je ne serais pas étonné qu’il le gracie par la suite », envisage la même source. 

Macky Sall peaufine son remaniement…les ministres qui vont partir



Le Président Macky Sall pourrait bien chambouler son gouvernement, après le délibéré du procès de Karim Wade qui sera rendu ce 23 mars. La source qui nous a mis la puce à l’oreille indique que plusieurs ministres vont quitter l’attelage, pour d’autres postes de moindre envergue. Dans la prochaine équipe gouvernementale, le Président Macky Sall qui a toujours confiance au Premier ministre Dione fera entrer des responsables politiques qui prennent sa défense et qui savent bien le faire. En clair, pour le changement de gouvernement qui pointe, tous les ministres du présent attelage qui ne montent pas au créneau pour défendre le Boss vont être mis sur la touche. A l’instar d’une équipe de football, le successeur de Me Wade veut des collaborateurs qui mouillent le maillot. Si le président de la République a choisi la date post-délibération du procès de Karim pour chambouler le gouvernement, c’est parce que, nous a fait comprendre notre source, il a une claire conscience que des réactions ne manqueront pas de fuser, avec la probable condamnation de Karim. Et c’est pour contrer les contestations et manifestations qui s’ensuivront que Macky Sall va ratisser large. Il n’ya pas que des politiques qui vont intégrer le prochain gouvernement. Des membres de familles religieuses et des personnalités qui leur sont proches sont dans l’antichambre de l’attelage et n’Attendent que le lendemain du verdict du procès de Karim pour siéger dans son gouvernement. En les «enrôlant», Macky veut isoler et achever Wade qui, malgré ses récents dérapages verbaux, disposent toujours de solides soutiens auprès de certains chefs religieux. Par ailleurs, si le chef de l’Etat qui a mis le patron de And jef, Landing Savané dans son escarcelle, réussit à en faire de même avec des marabouts qui ne le gobent pas, il renforcera son camp pour faire face à celui de son prédécesseur au palais. Dans le prochain gouvernement, les ministres alliés dont les partis ont décidé de se présenter contre Macky pourraient ne pas y figurer. Le patron de l’Apr qui a compris que sa cause n’est pas défendue par tous les organismes de défense des droits humains a sa botte pour apaiser leurs ardeurs. Alioune Tine qui a perdu de son mordant, depuis la chute de Me Abdoulaye Wade, a été éloigné du pays avec ses responsabilités sous-régionales. Mais de loin, il peut peser sur les sorties de son poulain, Seydy Gassama qui tire très souvent sur le régime.

Rewmi

 Les avocats de Karim Wade demandent à la France de  »clarifier sa position »



Les avocats de Karim Wade ont invité le ministère français des Affaires étrangères à  »clarifier la position » de Paris après la sortie de l’ambassadeur de France au Sénégal, Jean Félix Paganon, sur  »une éventuelle condamnation » de leur client.
Répondant à l’émission le Grand-Jury, sur la RFM, dimanche, à la question : ‘’Au regard du déroulement du procès, une condamnation de Karim Wade ne vous étonnerait pas ?’’, le diplomate a dit : ‘’Je dirais, qu’à l’inverse, qu’un non-lieu serait plus étonnant. Ce n’est pas un souhait, mais un sentiment’’.

 »L’ambassadeur de France, par ses propos absolument insoutenables sur une inévitable condamnation de Karim Wade, s’est immiscé non seulement dans les affaires intérieures de son pays d’accréditation, mais s’est prononcé sur le dossier d’une affaire de justice mise en délibéré’’, s’indigne la défense de M. Wade dans un communiqué.

Elle a demandé au ministère des Affaires étrangères de  »clarifier la position du gouvernement de la France sur le procès de leur client devant la CREI et d’apporter des garanties sur la neutralité de la France dans une affaire dans laquelle elle n’a rien à souhaiter au delà de son attachement à un procès équitable ».

L’ex-ministre d’Etat Karim Wade et ses co-prévenus sont poursuivis pour un enrichissement illicite pour un patrimoine estimé à 117 milliards par la Cour de répression de l’enrichissement illicite. Cette dernière avait clôturé le 19 février dernier les débats de ce procès emblématique de la traque des biens mal acquis initiée par le régime du président Macky Sall.

Le procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), Cheikh Tidiane Mara, a requis 7 ans de prison ferme contre l’ex-ministre Karim Meïssa Wade pour les infractions d’enrichissement illicite et de corruption et une amende de 250 milliards de francs Cfa.

Le président de la CREI Henry Grégoire Diop a mis en délibéré au lundi 23 mars 2015 à 10 heures, le procès de Karim Wade et ses co-prévenus


Le jeu de dupes de Landing Savané…Le politicien le plus sournois du Sénégal

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Savané bouffe l’argent de Macky et se fout du peuple.
L’homme Savané avait bouffé l’argent de Diouf. Ensuite il s’était tellement gavé du fric de Wade qu’il avait fini par créer une fissure et des frustrations dans son parti. Aujourd’hui il mange le pognon de Macky et se fout de sa gueule.
Pour rappel, le patron d’And Jef encaissait 30 millions de francs CFA mensuellement des mains de Me Wade pendant les 10 années qu’il a passé auprès de lui. Il disait au lendemain de la victoire du Président Macky Sall : « Tout le monde n’est pas concerné par les audits. S’il y a un épisode qui me concerne personnellement, c’est le problème de la caisse noire du Président Wade. Ces 30 millions que me remettait Me Wade, ne peuvent pas faire l’objet d’un audit ni de poursuites judiciaires, ce serait illégal. Tout le monde sait que cette caisse n’est pas sujette à audit ». Cette déclaration était une belle façon de fuir les audits après avoir bien profiter du partage du gâteau durant le règne de Me Wade.
Aujourd’hui l’homme tente de faire croire qu’il joue la carte de la prudence avec Macky alors qu’il fait partie des « mange-mil » qui rasent les murs du Palais pour récupérer leurs grosses enveloppes kaki. Savané qui veut jeter de la poudre aux yeux des sénégalais cherche à faire croire que ce n’est plus sûr qu’il accompagne l’Alliance pour la République(APR) en direction de la présidentielle de 2017.
Les observateurs avertis savent très bien que Savané pose des jalons pour mieux encaisser l’agent de Macky. En réunion le week-end dernier, les camarades de l’ex compagnon de Me Wade comptaient poser des actes pour voir comment accompagner Macky Sall, du moins poser des conditions avant de le soutenir lors de la présidentielle de 2017. Le porte-parole du jour, Mr Dieng a profité de cette occasion pour faire savoir que leur parti va discuter des modalités de la mise en route d’une candidature unique entre l’(APR) et leur formation politique et que la décision ultime reviendra au congrès prévu en décembre 2015. Pour terminer, leur bureau politique a demandé aux instances supérieures du parti de valider cette décision.
Personne n’est fou. Que tous les mange-mil et transhumants du Palais bouffent l’argent de Macky s’ils le désirent mais qu’ils arrêtent de manipuler et d’emmerder le peuple.
Sidy Niang pour xibaaru.com

SORTIE DE JEAN FELIX PAGANON SUR L’AFFAIRE KARIM Le Mouvement «Macky Bayil Karim»(M.B.K) en sit-in devant l’Ambassade de la France à Dakar

karim wade

Ils disent non à Paganon ! Ils ont foncièrement été outrés, profondément frustrés, par les propos tenus, récemment, par l’Ambassadeur de la France au Sénégal, dans une émission diffusée par  la radio privée, RFM. Ils, ce sont les responsables du mouvement  favorable au fils de l’ancien chef d’Etat sénégalais, Me Abdoulaye Wade. Face à la presse, ce mardi, ils entendent élever la voix pour arrêter cette immixtion dans les affaires intérieures du Sénégal : «Nous déplorons cette immixtion de l’ambassadeur de la France sur les affaires intérieures de notre pays. Le Sénégal est un pays indépendant, souverain et, ce n’est pas cet   homme à la solde d’un régime impopulaire qui peut nous faire peur. Dans les tout prochains jours, nous allons tenir un sit-in devant la représentation diplomatique de la  France à Dakar aux fins de fustiger l’attitude de M.Paganon. Une demande a été déposée sur la table du Préfet de Dakar », lance son Coordonnateur Saér Tambédou. Et le jeune responsable des marchands ambulants et tabliers débrouillards de poursuivre : «Nous, nous  n’avons aucun problème avec le peuple français mais avec le gouvernement français.  Macky est «Charlie». C’est pourquoi, on le soutient. Depuis son avènement à la tête du Sénégal, il ne cesse de poser des jalons pour basculer le pays entre les mains de la France. Ce que nous n’accepterons pas », avertit M.Tambédou. Parlant du prochain verdict du procès très attendu, les membres de «M.B.K» promet de brûler le pays si le Juge poursuit le Président Macky dans son dessein de casser d’un adversaire de taille.
Ibrahima NGOM Damel

Aïda Ndiongue a pleuré en prison en présence du Ministre de la Justice et Coumba Gawlo

aïda-ndiongue-koDes retrouvailles émouvantes ont eu lieu, avant-hier, à la prison des femmes de Liberté VI, où une délégation conduite par Me Sidiki Kaba, Garde des Sceaux, et Me Djibril War, président des Commissions des lois à l’Assemblée nationale, s’était rendue dans le cadre de la Journée internationale de la femme. Etaient également présentes les divas Coumba Gawlo Seck et Fatou Guéwel Diouf. Selon nos capteurs, lorsque la délégation est arrivée chez la détenue Aïda Ndiongue, il s’est passé une scène inattendue. Dès que l’ancienne sénatrice libérale, au beau milieu des salutations, a aperçu Me War, elle a été envahie par une forte émotion qu’elle n’a pu s’empêcher d’éclater en sanglots. Visez la suite…
Les larmes aux yeux, la responsable libérale aux Hlm, dont le procès a été renvoyé dernièrement, ne cessait de répéter : «Djiby mon fils, celui de ma soeur aînée, Fatou Yague Massamba». Emotif, le président de la Commission des Lois et président de l’Ecole du parti présidentiel n’a pu se contenir. D’après nos machins, d’une voix étreinte par l’émotion, Me Djibril War de lancer à Aïda Ndiongue : «Voilà pourquoi chaque fois que je viens, ici, j’évite de venir te voir». Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, et tous les autres membres de la délégation étaient également très émus. Cey aduna !

Affaire Mamadou Diop : deux policiers renvoyés devant le tribunal correctionnel

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Selon “Libération”, le policier qui conduisait le “dragon”, Ousmane T., et son collègue qui l’assistait, Wagane S., ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel de Dakar pour être jugés. Le premier sera jugé pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner (coups mortels) et le second pour complicité de ces infractions. Il ne reste que l’enrôlement du dossier. Le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf, a terminé son instruction dans l’affaire. 

Mamadou Diop est mort le 31 janvier 2012 à la place de l’Obélisque, écrasé par un “Dragon” de la police

Un chef religieux fait des révélations sur le père de Macky Sall et tacle Abdoulaye Wade

macky sallLa ziarra annuelle de la famille de Ahmadou Bamba Sall – grand érudit islamique qui a vécu entre la 2nde moitié du 18e siècle et les premières décennies du 19ème siècle – samedi dernier dans le village de Bamba Modou (région de Kaffrine) a été l’occasion pour le porte-parole de cette famille religieuse de réagir aux récentes attaques de Wade contre les origines familiales de Macky Sall. Après avoir précisé que sa famille ne s’est jamais mêlée du débat politique, El Hadj Mohamed Sall, porte-parole de la famille Sall de Bamba Modou, principal animateur de la manifestation, a fait des révélations sur le père de l’actuel locataire du Palais de l’avenue Roume et les raisons qui ont poussé ce dernier à quitter son Fouta natal pour le Sine.

Selon l’orateur, «le père de Macky Sall, dans sa jeunesse, a quitté Ndouloumadji dans le Fouta pour venir jusqu’à Fatick dans le Sine à la recherche de travail. S’il avait quitté ce village où sa lignée vivait déjà depuis 200 ans pour des raisons un tant soi peu infamantes, il n’aurait jamais pu retourner plus tard dans la localité, précisément à Nguidjilogne, pour chercher épouse, pour qui connaît les mœurs du pays à cette époque-là». A ce niveau encore de son discours, le porte-parole a laissé subodorer des choses qu’il n’a pas voulu dire. «Je le répète, le père de Macky Sall a quitté son terroir de Ndouloumadji pour venir à Fatick dans l’espoir de trouver du travail. L’histoire retient que pour les mêmes raisons, le père de Wade a quitté son village de Ndam Ndam dans le Gandiol pour venir à Kébémer. Donc que Wade bannisse définitivement de sa bouche les injures familiales du genre qu’il a récemment proférées contre Macky Sall. J’insiste là-dessus, ‘nopp mo mag borom’ et dans ce pays, il ne s’est rien passé qui ne soit connu de certains au moins», martèle El Hadj Mohamed Sall. Des propos rapportés par Le Populaire.

Le Chanteur Pape Birahim, en couple avec La vidéo girl Marie Louise Diaw… Regardez

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Comment Lea Ndiaye a changé Ibou Kara

ibou-karaEn plus de lui avoir donné un joli garçon baptisait du nom de Bamba, la belle Lea Ndiaye a complètement métamorphosé son mari, Ibou Kara. Devenu doux comme un agneau, l’ex jet setteur avait un gout prononcé pour la fête, et aucune des belles nymphes de Dakar ne pouvait lui résister. Multipliant les conquêtes, il lui a fallu tomber sur Lea pour freiner des quatre fers. Aujourd’hui c’est un père de famille responsable qui évite même de sortir la nuit de peur d’être rattrapé par le passé.

l’incontournable présentatrice people vedette de « Petit déj » Thioro Bar Ndiaye en mode relaxe

l'incontournable présentatrice people vedette de "Petit déj" Thioro Bar Ndiaye en mode relaxe
Entre une journaliste people et le milieu de la jet-set c’est une évidence, voici la présentatrice people de « Petit Déj » sur walf tv Thioro Bar Ndiaye en mode relaxe au Madison pour se distraire et tirer des informations people.

Youssou Ndour et Jean Félix Paganon forment un duo de choc : ils veulent « tuer » Wade et Karim

Jean Félix Paganon a-t-il rencontré Youssou Ndour avant sa déclaration à la RFM? La question mérite d’être posée.
La réaction de la diplomatie française à Dakar, dimanche, dans l’émission « Grand Jury » de la RFM résonne comme une réponse à la star planétaire et ministre-conseiller du Président Macky Sall, Youssou Ndour qui avait demandé aux « Sénégalais et à la communauté internationale internationale à inviter Me Wade à la raison, pendant qu’il est encore temps », après la sortie de l’ex-chef d’Etat. Et suite à la demande de Youssou Ndour, l’ambassadeur de France au Sénégal fait une sortie pour s’attaquer à Wade.
La sortie de l’Ambassadeur n’est pas une coïncidence puisque ce dernier a fait sa sortie sur la télé de Youssou Ndour, non pas pour inviter Wade à la raison mais pour le clouer au Pilori et « massacrer » son fils dans l’attente du verdict de son procès.
Jean Félix Paganon, ambassadeur de la France au Sénégal et Youssou Ndour ont-ils coordonné leurs actions de « destruction » de la famille Wade ?
Youssou Ndour n’est pas étranger à cette ingérence de la France dans les affaires internes de l’état du Sénégal. Le Roi du Mbalakh qui a toujours prôné l’indépendance du Sénégal et de l’Afrique, utilise un ambassadeur et son groupe de presse pour détruire les adversaires politiques de son patron Macky Sall.
Le Sénégal peut constater que le groupe de presse de Youssou Ndour est devenu le fer de lance de la lutte anti Wade. Tout le monde sait que Youssou Ndour est contre Karim Wade. Même si pendant la prière de la Tabaski 2014, Youssou avait salué Wade à la mosquée Massalikoul Jinaan de Colobane, son aversion pour Karim Wade est connue. Alors il a trouvé le bras armé pour descendre Wade et son fils. Et c’est l’ambassadeur de France qui fait le sale boulot.
Jusqu’où iront-ils ? Aujourd’hui c’est un ambassadeur qui bafoue le droit de réserve et s’ingère dans les affaires du Sénégal avec la bénédiction d’un ministre-conseiller de Macky Sall qui est aussi Patron de presse…

Pape Cheikh et sister Maria lors de leurs débuts sur la bande FM

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Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez

 


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


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Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez


Journée du 08 Mars: Pape Diouf honore les femmes au Baramundi. Regardez

Le parti socialiste se déchire à Thiès…Tanor calme le jeu et parle de démocratie interne

tanor-7L’Alliance pour la République de Thiès n’est pas le seul parti qui traverse des problèmes au niveau de la capitale du rail. Le syndrome de divergences a aussi piqué le Parti d’OTD (Ousmane Tanor Dieng). Les socialistes de la commune de Thiès n’ont pas caché, hier, leur amertume. Si d’aucuns fustigent le comportement de certains jeunes qu’ils trouvent «odieux» et inconcevable dans le parti, d’autres par contre, ne semblent pas partager la manière dont est dirigé le parti par le Secrétaire de l’Union communale, Ousseynou Keïta. Ce dernier est taxé de tous les noms d’oiseau. Certains sont même allés jusqu’à dire que c’est par sa faute que le parti est resté inerte au niveau dans la commune. Une situation pas compromettante pour le parti. Car d’après OTD, c’est normal voire salutaire qu’il y ait dans un parti démocratique comme le leur des divergences. Mais le débat, selon lui, ne doit pas être la division. «Tout peut se dire, mais dans la discipline et dans le cadre des instances du parti. C’est la meilleure solution pour tout le monde et le parti veillera à ça».

L’AFP suspend 9 jeunes…Les volontés de Niasse exécutées

niasse-pèreLes démons de la division continue de secouer l’Alliance des forces de progrès(Afp) du président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse.
Plus rien de ne va au sein de l’(Afp). Depuis que certains responsables ont été soupçonnés de rébellion, les sanctions se poursuivent de plus belle dans cette formation progressiste. Après les cadres qui ont été récemment exclus du parti, neuf(9) jeunes dont le secrétaire général national du mouvement national des jeunes de l’(Afp), Malick Guèye ont été suspendus. La décision a été annoncée samedi à l’occasion d’une réunion dirigée par Zator Mbaye au siège du parti. Pour le parti, ces jeunes (Malick Gèye, Séga Sy, Mady Kanté, Famara Diatta, Mame Diarra Cissé, Thiébo Ndao, Massar Diop, Ababacar Fall et Landing Goudiaby sont en train de déstabiliser leur parti.

Un proche de Macky parle de retrouvailles entre Wade et le Palais…Tout est possible

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Considéré, à tort ou à raison, comme «l’homme qui murmure à l’oreille du président», le député «apériste», Farba Ngom a parlé pour la première fois d’éventuelles retrouvailles entre son mentor Macky et l’ancien président de la République
Le griot du couple présidentiel, par ailleurs député, responsable de l’Alliance pour la République (Apr) dans la zone de Matam, n’exclut pas des retrouvailles ou le rapprochement entre son mentor, Macky Sall et son prédécesseur, Abdoulaye Wade.
Le maire d’Agnam l’a affirmé hier, sur la Tfm. Le député «apériste», qui s’exprimait en wolof, en répondant à une question portant sur d’éventuelles retrouvailles entre les deux hommes politiques affirme que Macky etst le fils de Wade: «Il doit savoir que le président, Macky Sall, a été choisi par Dieu. Macky Sall est un homme ouvert au dialogue. Me Wade doit également considérer que Macky Sall est son fils. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec lui, il doit patienter jusqu’à la fin du mandat et solliciter les Sénégalais ».

Pape Mael Diop lance le « RAM » en Casamance pour réélire Macky Sall en 2017

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Après le travail de terrain abattu récemment en Casamance qui permis le ralliement de beaucoup de Maires de l’opposition à l’APR, Pape Mael Diop lance un grand mouvement du soutien. Le Directeur de l’agence des aéroports du Sénégal (ADS) met sur pied le RAM (Réseau des amis de Mael), un grand rassemblement pour la réélection de Macky en 2017 dès le 1er tour. Ce mouvement porté sur les fonds baptismaux ce weekend à Bignona a reçu l’adhésion de nombreux militants de l’opposition, femmes et jeunes qui partage désormais le même objectif, permettre à Macky Sall de conserver le pouvoir en 2017 pour terminer ses chantiers. Le lancement de ce mouvement a connu une grande affluence au foyer des femmes de Bignona sous la houlette de Mamadou Lamine dit Vieux Goudiaby, un politicien hors du commun qui trouve toujours des stratégies pour convaincre son monde. Les arguments avancés ont convaincu les jeunes, les femmes et les anciens qui sont venus de partout pour s’engager auprès de Pape Mael Diop pour soutenir la politique de Macky et travailler à sa réélection en 2017.

La danseuse Mbathio Ndiaye trahie par la fente de sa robe lors da soirée de Wally Seck. Regardez

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Ndella Madior Diouf : Sa fille Sarah a bien grandi (Photos)

Ndella Madior Diouf : Sa fille Sarah  a bien grandi (Photos)Ordinaire très discrète avec sa vie privée, Ndella Madior Diouf a fait une petite exception et partagé des photos de sa fille récemment. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Sarah a bien grandi.

Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle

Le 07 mars est une date pour compenser le dernier dernier du fils de Ballago, Waly chauffe son publique et assure son spectacle durant 3h de concert. Regardez


Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
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Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
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Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle
Waly Seck chauffe son publique au Palais des Congrés de Montreuille et assure son spectacle

Le Programme Sénégal émergent (Pse) un weekend une localité.

Ibrahima WadeL’atelier d’appropriation du Programme Sénégal émergent (Pse), tenue, ce week-end, dans le département de Mbacké, a été l’occasion pour le Directeur général (Dg) du Bureau opérationnel de suivi (Bos) du Pse, Ibrahima Wade, de partager longuement avec les acteurs économiques, politiques, religieuses sur le contenu dudit plan et voir en même temps la place qu’occupe le département de Mbacké dans ce sens. « Le Pse pour le département de Mbacké c’est d’abord l’agriculture dans la mesure où le département regorge de vallées et d’eaux souterraines pouvant créer les conditions de ce potentiel. De même, nous avons examiné et vu ensemble que, dans le cadre du programme d’autosuffisance en production céréalières, certaines vallées de la zone se prêtent à la production céréalière en matière de riz, mais surtout du point de vue du climat,des potentialités de terres, la localité est favorable particulièrement à la production du blé, du sésame », a dit le patron du Bos du Pse. Pour le volet Elevage, M Wade avance que le département de Mbacké, de par sa position géographique, se prête au développement du potentiel de ce secteur aussi bien pour ce qui est de la production de viande, du lait que celle des produits comme les cuirs et peaux. S’agissant de l’artisanat, M wade révèle que parmi les vingt centres de développement artisanal prévus dans la deuxième phase du Pse, un sera implanté dans le département de Mbacké. Et non sans laisser entendre que leur ambition est de développer dans la cité religieuse de Touba un grand centre de production, de traitement de cuir. De leur côté, les différents participants, ayant pris la parole, se sont réjouis du brillant exposé présenté par M Ibrahima Wade avant de lui promettre d’accueillir à bras ouverts ce noble Plan Sénégal émergent qui n’a d’ambition que le développement du pays de la téranga

Exclisivité: Titi Camara, l’ami des stars se marie aujourd’hui.

Exclisivité: Titi Camara, l'ami des stars se marie aujourd'hui.
L’ami des stars du sport et de la musique comme Akon et El Hadj Diouf, Titi Camara veut enterrer sa vie de célibataire il a trouvé l’étoile de sa vie et le mariage sera célébré ce dimanche à Ouest Foire. Par anticipation vipeoples lui souhaite heureux ménage.