Les jeunes Apéristes réclament des comptes à Abdoulaye Baldé sur la gestion de la maire de la commune de Ziguinchor où plusieurs sont sous les eaux diluviennes. Une autre frange s’insurge contre la sortie de la direction des jeunesses Centristes.
Les jeunes de l’Union centriste du Sénégal avaient violemment critiqué la gestion du président Macky Sall et de son gouvernement. En répliquant, la convergence des jeunes républicains du département de Ziguinchor, dans un communiqué, sert plusieurs critiques sur sa gestion pendant le régime libéral. «Nous rappelons aux jeunes de l’Ucs que quand leur mentor était au cœur des affaires dans l’ancien régime, il n’a toujours pas fait la lumière sur sa gestion de certains dossiers aussi importants que celui de l’Anoci ou de la première édition de Zig Fest, alors qu’il annonce l’organisation d’une deuxième édition. En outre, nous invitions l’Ucs à travailler à la prise en charge des préoccupations de la commune de Ziguinchor plongée, depuis 2009, dans un cycle de régression multidimensionnelle, à cause de l’incompétence et du manque de vision du maire Abdoulaye Baldé», peut-on lire dans ce communiqué.
Un autre communiqué signé des jeunes du mouvement de soutien «And Taxawal Yokkuté» (Maty) à Ziguinchor, dénonce le manque de volonté du maire dans la gestion des ordures et des pluies diluviennes. «Et c’est là où le Maire Abdoulaye Baldé et son équipe manquent de réflexe d’anticipation, de prévision et de sens de la responsabilité», déplore Maty, arguant ne comprendre comment M. Baldé puisse se terrer à Dakar, à préparer l’anniversaire de son parti, pendant que les populations de Ziguinchor se noient dans les eaux. «Ces populations, sous le coup de la désolation, récusent Abdoulaye Baldé qu’elles accusent de préférer Dakar à Ziguinchor et se préoccupe à organiser Zig’Fest, une rencontre qui coûte des dizaines de millions à la commune, dans un contexte où les quartiers de Kansaoudi, Belfort, Santhiaba et même le centre-ville de Escale pataugent dans les eaux», lit-on dans ce communiqué.
Dans un passé récent, le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé avait annoncé des mesures urgentes pour face aux ordures, disant que des accords ont été signés avec l’UE. Ibrahima Khalil DIEME
Limogée de la Primature sous l’ère Mimi Touré, la journaliste Angélique Manga, responsable de l’Alliance pour la République (Apr), à Ziguinchor, vient d’être recasée. Sans blague alors ! Selon nos informations, elle a été bombardée Conseillère spéciale par le président Macky Sall. Une manière de renforcer les «apéristes» de Ziguinchor tels que Benoît Sambou, Doudou Kâ, Kourfia Diawara etc…, à qui Abdoulaye Baldé a donné de grosses fessées lors des dernières élections locales.
Le Parti démocratique sénégalais (Pds) met la pression à la veille du verdict, attendu le 6 août prochain, de la Cour suprême. Le Pds, par la voix de son coordinateur Oumar Sarr, indique qu’au Sénégal, la démocratie est en danger du fait des agissements anti-démocratiques et antirépublicains de Macky Sall qui n’hésite plus à instrumentaliser les différentes institutions de la République, y compris l’institution judiciaire. Après la Crei dont tout le monde s’accorde à dire qu’elle est une juridiction obsolète au service exclusif du pouvoir politique, c’est au tour de la Cour suprême de donner des signaux inquiétants de soumission. Pour cause, relève le parti, « alors que l’instruction n’a même pas commencé, la chambre pénale de la Cour suprême a fixé au jeudi 06 août 2015 l’examen des sept pourvois en cassation formés contre l’arrêt tant controversé de la Crei rendu le 23 mars 2015, manifestement sur injonction du président de la République qui veut coûte que coûte éliminer un adversaire politique». Aussi, le Pds en appelle «aux membres de la Cour suprême, et spécialement aux membres de la chambre pénale, et leur rappelle qu’ils sont considérés comme directement et personnellement responsables tant devant la nation que devant la communauté internationale des graves violations des droits de Karim Wade, s’ils n’exercent pas leurs fonctions avec honneur et dignité et s’il s’avère qu’ils sont en collusion frauduleuse avec l’autorité politique dont ils seraient devenus le bras armé».
La guerre menée par les États-Unis contre le groupe armé État islamique, selon le Prof Michel Chossudovsky est un grand mensonge.
Pourchasser les « terroristes islamiques » et mener une guerre préventive dans le monde entier pour « protéger la patrie étasunienne » sont des concepts utilisés pour justifier un programme militaire. Selon cet expert, l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) est une création du renseignement américain. Le programme de « lutte contre le terrorisme » de Washington en Irak et en Syrie consiste à appuyer les terroristes.
L’incursion des brigades du groupe État islamique (EI) en Irak ayant débuté en juin 2014 faisait partie d’une opération militaire et du renseignement soigneusement planifiée et soutenue secrètement par les États-Unis, l’OTAN et Israël.
L’État islamique est protégé par les États-Unis et leurs alliés. S’ils avaient voulu éliminer les brigades de l’État islamique, ils auraient pu bombarder intensément leurs convois de camionnettes Toyota lorsqu’ils ont traversé le désert entre la Syrie et l’Irak en juin.
Le désert syro-arabe est un territoire ouvert. D’un point de vue militaire, cette opération aurait pu être effectuée efficacement, rapidement et de manière extrêmement précise avec des chasseurs à la fine pointe de la technologie F15, F22 Raptor, CF-18). L’économiste canadien, aborde 26 concepts qui réfutent le grand mensonge, cités ci-dessous :
Les origines historiques d’Al-Qaïda
1. Les États-Unis appuient Al-Qaïda et ses organisations affiliées depuis presque un demi-siècle, depuis le début de la guerre soviéto-afghane.
2. Des camps d’entraînement de la CIA ont été mis en place au Pakistan. Entre 1982 et 1992, la CIA a recruté quelque 35 000 djihadistes venus de 43 pays musulmans pour faire le djihad en Afghanistan.
3. Washington appuie le réseau terroriste islamique depuis Ronald Reagan. Les États-Unis ont fourni des armes aux brigades islamiques contre l’Union soviétique et un changement de régime ayant mené à la disparition d’un gouvernement laïc en Afghanistan.
4. Des manuels djihadistes ont été publiés par l’Université du Nebraska.
5. Oussama ben Laden, fondateur d’Al-Qaïda a été recruté par la CIA en 1979, dès le début du djihad contre l’Afghanistan, appuyé par les États-Unis. Il avait 22 ans et a été formé dans un camp d’entraînement de guérilla soutenu par la CIA. Les attaques du 11-Septembre ont contribué à l’élaboration de la « guerre mondiale au terrorisme » (Global War on Terrorism)
L’Etat Islamique
6. Le groupe État islamique (EI) était à l’origine une entité liée à Al-Qaïda et créée par le renseignement étasunien avec le soutien du MI6 britannique, du Mossad israélien, de l’Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais et du General Intelligence Presidency (GIP) saoudien, Ri’āsat Al-Istikhbarat Al-‘Āmah .
7.Les brigades de l’EI ont participé à l’insurrection en Syrie contre le gouvernement de Bachar Al-Assad, insurrection appuyée par les États-Unis et l’OTAN.
8.L’OTAN et le Haut commandement turc étaient responsables du recrutement de mercenaires pour l’EI et Al-Nosra dès le début de l’insurrection syrienne en mars 2011. Selon des sources du renseignement israélien, cette initiative consistait en « une campagne visant à enrôler des milliers de volontaires musulmans dans les pays du Moyen-Orient et le monde musulman pour combattre aux côtés des rebelles syriens. L’armée turque logerait ces volontaires, les formerait et assurerait leur passage en Syrie.
9. Il y a des forces spéciales occidentales et des services de renseignement occidentaux dans les rangs de l’EI.
10. Des experts militaires occidentaux travaillant à contrat pour le Pentagone ont formé les terroristes pour utiliser des armes chimiques.
« Les États-Unis utilisent des entrepreneurs liés à la Défense pour montrer aux rebelles syriens comment sécuriser les stocks d’armes chimiques en Syrie, ont déclaré à CNN un haut responsable étasunien et plusieurs diplomates de haut rang. » (CNN Report 9 décembre, 2012)
12. Un grand nombre de mercenaires de l’EI, ont été libérés des prisons saoudiennes à condition qu’ils se joignent à l’EI. Des condamnés à mort saoudiens ont été recrutés pour rejoindre les brigades terroristes.
Israël a soutenu l’EI
13. Israël a soutenu les brigades de l’EI et d’Al-Nosra sur le plateau du Golan. Des djihadistes ont rencontré des officiers israéliens de Tsahal ainsi que le premier ministre Nétanyahou. Les hauts gradés de Tsahal reconnaissent tacitement que « des éléments du jihad mondial en Syrie » [EI et Al-Nosra] sont soutenus par Israël.
14. Les mercenaires de l’EI sont les fantassins de l’alliance militaire occidentale. Leur mandat tacite est de ravager et détruire la Syrie et l’Irak, au nom de ceux qui les appuient, les États-Unis.
15. Le sénateur étasunien John McCain a rencontré des chefs terroristes djihadistes en Syrie.
16. La milice de l’État islamique, actuellement la cible présumée d’une campagne de bombardements des États-Unis et de l’OTAN en vertu d’un mandat de « lutte contre le terrorisme », est toujours soutenue clandestinement par les États-Unis. Washington et ses alliés continuent à fournir de l’aide militaire à l’État islamique.
17. Les bombardements des États-Unis et de leurs alliés ne visent pas l’EI, ils visent plutôt l’infrastructure économique de l’Irak et la Syrie, dont les usines et les raffineries de pétrole.
18. Le projet de califat de l’EI relève d’un programme de longue date de la politique étrangère des États-Unis, ayant pour but de diviser l’Irak et la Syrie en territoires distincts : un califat islamiste sunnite, une République chiite arabe et une République du Kurdistan.
La guerre mondiale au terrorisme
19. « La guerre mondiale au terrorisme » (GMAT) est présentée comme un « choc des civilisations », une guerre entre les valeurs et les religions concurrentes, alors qu’en réalité, elle constitue une véritable guerre de conquête, guidée par des objectifs stratégiques et économiques.
20. Les brigades terroristes d’Al-Qaïda soutenues par les États-Unis (et appuyées secrètement par le renseignement occidental) ont été déployées au Mali, au Niger, au Nigeria, en Centrafrique, en Somalie et au Yémen pour créer des conflits internes et déstabiliser des pays souverains.
21. Boko Haram au Nigeria, Al-Shabab en Somalie, le Groupe islamique combattant en Libye (GICL) (soutenu par l’OTAN en 2011), Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), la Jemaah Islamiyah (JI) en Indonésie, entre autres groupes affiliés à Al-Qaïda, sont soutenus clandestinement par les services de renseignement occidentaux.
22. Les États-Unis appuient également des organisations terroristes affiliées à Al-Qaïda dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine. L’objectif sous-jacent consiste à déclencher l’instabilité politique en Chine occidentale.
23. Les terroristes ne sont que des instrumentistes, mais les États-Unis sons les vrais architectes inavoués du groupe armé État islamique et le mandat sacré d’Obama est de protéger l’Amérique contre les attaques de l’EI.
24. La menace terroriste d’origine intérieure est une fabrication. Les gouvernements occidentaux et les médias en font la promotion dans le but d’abroger les libertés civiles et d’instaurer un État policier. Les attaques terroristes perpétrées par de présumés djihadistes et les avertissements d’attentats des terroristes sont invariablement mis en scène. Ils sont utilisés pour créer une atmosphère de peur et d’intimidation.
25. La campagne de « lutte au terrorisme » contre l’État islamique a contribué à la diabolisation des musulmans, qui, aux yeux de l’opinion publique occidentale, sont de plus en plus associés aux djihadistes.
26. Toute personne qui ose remettre en question la validité de la « guerre mondiale au terrorisme » est accusée d’être un terroriste et soumise aux lois anti-terroristes. Le but ultime de la « guerre mondiale au terrorisme » est de soumettre les citoyens à l’autorité, de dépolitiser complètement la vie sociale aux États-Unis, d’empêcher les gens de penser et de conceptualiser, d’analyser les faits et de contester la légitimité de l’ordre social inquisitorial qui gouverne le pays.
Le fils de Thione Ballago Seck a profité de sa tournée européenne pour se changer un peu « la tête ». Eh oui, le chouchou des jeunes filles apparaît sous un tout nouveau style et laisse ses fans apprécier. Plaira ou plaira pas ? A eux de juger !
« Je suis un militant qui reste loyal au parti et en aucun cas, je ne cautionnerai qu’on s’attaque à l’autorité du parti qu’est le Secrétaire général ». Telle est la déclaration faite, hier, par Khalifa Sall, devant ses collègues responsables nationaux du Parti socialiste.
Le maire de Dakar a profité de la rencontre du Secrétariat exécutif national du Ps pour mettre les points sur les « i » suite aux sorties sporadiques de ses souteneurs qui continuent à décrocher des flèches politiques empoissées contre le Secrétaire général du parti, Ousmane Tanor Dieng.
Dans ses propos, dira-t-il : « je ne suis pas d’accord et je ne serai pas d’accord et je ne peux pas être d’accord avec (…) » les fantassins qui le portent au pinacle pour ensuite tirer toujours sur Ousmane Tanor Dieng. Ces derniers jours par des sorties vitriol contre le Sg du Ps qu’il présente comme le facteur bloquant de la marche du parti.
Cette première précision faite, renseigne L’Obs, le Secrétaire à la vie politique du Ps tient à lever les équivoques sur les accusations portées contre lui, selon lesquelles, il entretient et finance les mouvements de soutien qui s’agitent pour son compte. Khalifa Sall semble rire de ses accusations. Parce qu’en à croire, « je n’ai parrainé ni financé un mouvement de soutien ».
« Je suis contre ces mouvements et jamais je ne financerai une quelconque activité qui porte atteinte à al vie du Parti socialiste », a-t-il rassuré. Pour ensuite, révéler que s’il avait tout cet argent, il l’aurait mis à la disposition du parti
Les vacances gouvernementales ont officiellement démarré hier, informe Le Pop. La réunion du Conseil des ministres a été la dernière avant la pause qui a été décrétée par Macky Sall. En effet, souligne le communiqué qui a sanctionné la rencontre hebdomadaire du gouvernement, « le chef de l’Etat annonce au Conseil la suspension des réunions du Conseil des ministres et leur reprise prévue au mois de septembre ». Cependant, renseigne Libération, plusieurs ministres sont privés de vacances. Les ministres de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo ; des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye ; de l’Economie des Finances et du Plan, Amadou Bâ ; de l’Hydraulique, Mansour Faye ; des Infrastructures, Mansour Elimane Kane, de la Jeunesse, Mamae Mbaye Niang, entre autres, ont été consignés, selon le journal.
AFRICAN MUZIK MAGAZINE AWARDS (AFRIMMA), une distinction de la diaspora qui s’intéresse à tous les genres musicaux d’origine africaine a nominé le célèbre chanteur sénégalais Carlou D dans la catégorie « Best Male West Africa » pour l’édition 2015 à Dallas à Texas (Etats-unis). Le « Baye Fall » fera face à des nominés bien connus dans la musique africaine à l’instar de Davidoo, Wizkid, Flavour et Sarkodie.
Tamsir Faye peut compter sur le soutien indéfectible de sa maman. Selon Gnilane Diouf, son fils a un comportement correct, discipliné et attaché à ses valeurs. D’ailleurs selon elle, ce qu’elle dit elle ne le dit pas parce qu’elle est sa maman
“Les gens racontent n’importe quoi. Je n’ai jamais vu Tamsir avec une cigarette, encore moins boire de l’alcool, c’est inimaginable. Chaque fois que je lui parle au téléphone, je lui rappelle ses origines pour qu’il ne verse pas dans la déviance, bien que je sais qu’il n est pas du genre à adopter certains comportements. Tamsir est un homme responsable, discipliné et beaucoup attaché à ses valeurs. Ce n’est pas parce que c’est mon fils que le dis, mais Tamsir est une référence. Il n’est pas capable de faire ce dont on l’accuse. Vous voyez ? Je me suis levée de cette cette natte de prière pour vous parler, donc je ne dirai jamais de contrevérités, juste pour protéger mon fils”, a fait savoir Gnilane Diouf dans les colonnes de l’As.
La maman de Tamsir Faye a également l’information selon laquelle son fils a songé à se suicider. Selon elle, Tamsir Faye est très serein. “Mon fils est un homme digne, un véritable homme, un sérère. Un homme ne se suicide pas. On s’est parlé ce matin. Il m’a dit : “Maman, reste sereine, tu me connais et tu sais que jamais je ne ferai ce dont on m’accuse. Continue à me faire confiance car je ne te décevrai jamais”.
La chambre haute, plus connue sous le nom de Sénat, risque bien de d’être ressuscitée. Ce sont bien des cadres de l'(Apr) qui ont émis cette idée. En effet, le Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’Alliance pour la République(Cirsem) veut le retour du Sénat. Eh oui !, le retour du Sénat. Dans une déclaration rendue publique avant-hier, Lassana Sidibé et ses camarades constate que le Sénégal, un exemple de démocratie est à la traîne par rapport aux systèmes de démocratie pluralistes contemporaines où le bicaméralisme apparait comme un model d’expression de renforcement de la représentation nationale. Selon le(Cirsem), notre pays avec son expérience politique, se doit de se doter d’une chambre de proximité avec les élus locaux, informe le Populaire. Il faut rappeler que le chef de l’Etat Macky Sall, ayant estimé que le Sénat constitue une charge financière, a battu campagne pour sa suppression. Juste après son élection à la tête de l’Etat, il l’a supprimé. Va-t-il faire comme son prédécesseur Abdoulaye Wade ?
Le maire de socialiste de Dakar, Khalifa Sall vole au secours de leur secrétaire général Ousmane Tanor Dieng, cible d’attaques de hauts responsables du (PS).
Khalifa Sall est un militant loyal. Ces propos sont du maire de Dakar lui-même qui a jugé nécessaire de ne plus se taire. Car en effet, même si il parle peu sur cette affaire de querelles internes au(PS), rien n’est à exclure. Après Barthélémy Dias qui a visiblement appelé ses frères qui s’attaquent à Tanor au calme, c’est autour du maire de Dakar Khalifa Sall : « Je suis un militant qui reste loyal au parti et en aucun cas, je ne cautionnerai jamais qu’on attaque Ousmane Tanor Dieng. Je ne suis pas d’accord et je ne peux être d’accord avec ça », fulmine t-il hier lors de la réunion du Secréteriat exécutif national(Sen) du(PS) tenu hier à la permanence à Colobane. En tant que secrétaire à la vie politique du(PS) Khalifa Sall tient ainsi à lever toutes les équivoques sur les accusations selon lesquelles il aurait des ambitions présidentielles. Il faut rappeler que Tanor Dieng à la tête du(PS) est allé à deux présidentielle et il n’est jamais sorti 2ème.
La transformation du site de « Garage Pompier » en Cité de l’Emergence est un projet perverti. En réalité, c’est un projet non du Pr. Macky Sall mais du Pr. Wade et de l’ancien Maire de Dakar, le Président Pape Diop. Ce projet dont les piloris ont été déjà posés par ceux-là entrait dans le cadre d’un réajustement du trafic interurbain plus pertinent que l’orientation que Macky Sall lui a donné dans le sillage de la continuité de l’Etat.
Mais ses objectifs novateurs ont été déviés en pleine autoroute vers une cité d’habitation.
Au début, il s’agissait de transférer le « Garage Pompier » aux Baux Maraichers à partir d’une restructuration routière qui rendrait son accès plus commode et plus pratique. Cette donne n’a pas été suivie par le Pr. Macky Sall si bien que parvenir à ce nouveau garage est une rude épreuve qui amène les voyageurs à subir toutes les peines du monde pour y accéder en raison d’une absence de réaménagement infrastructurel routier. Dans ce projet conçu au début par Wade et Pape Diop à qui on peut reprocher ce que l’on veut sauf d’être quand même des bâtisseurs, Petersen et Colobane étaient inscrits en bonne place dans une perspective de modernisation aussi bien de ces zones que d’autres localités publiques de Dakar.
Mais jamais une construction d’une Cité d’habitation au site du « Garage Pompier » n’a été la finalité de ce projet. Deux raisons ont amené le régime précédent à ne jamais songer à une telle initiative. La première est la situation de ce vaste terrain jouxtant l’autoroute qui poserait bien un problème de sécurité dans la zone pour que des populations puissent y loger. La deuxième est une volonté de désengorger la Capitale en favorisant la construction de nouvelles villes hors de Dakar, faciles d’accès grâce aux autoroutes à péage.
Il y a donc une série de duperies et supercheries dans ce projet perverti.
La première est que si la continuité de l’Etat a été assurée, la vérité n’a pas été dite aux citoyens. Ceux-là sont abusés par l’insertion de ce projet dans la mise en œuvre du PSE plus identique à un Plan Sénégal Endetté qu’à un Plan Sénégal Emergent.
La deuxième est la promesse de centaines d’emplois à des jeunes à qui on n’a jamais dit que ces emplois ne dureront que le temps de la construction des immeubles.
La troisième supercherie est la nature des immeubles : 17 étages avec des ascenseurs dont l’entretien et le fonctionnement nécessitent l’apport forcé des résidents. Or, il est indubitable que ceux-là ne pourront respecter éternellement cet engagement surtout avec des immeubles de 17 étages à ascenseurs dans ce pays où la politique énergétique est désastreuse.
Et puis où a-t-on vu en Afrique des logements sociaux destinés, en principe, à des citoyens moyens, avec des ascenseurs au cœur de la ville ?
La quatrième supercherie a les relents d’une arnaque financière. Elle réside dans le choix des entrepreneurs. Des entreprises et des sociétés sénégalaises spécialisées ont été larguées et des Marocains ont été choisis. Des architectes et de jeunes citoyens marabouts ont accusé l’épouse du Président de la République d’avoir bénéficié de pots-de-vin de 650 000 000 f Cfa auprès de ces Marocains afin qu’ils gagnent le marché. C’est une grave accusation. La Fondation de la Première Dame et un essaim de conseillers à la Présidence de la République ont annoncé une plainte qui n’est bizarrement pas encore déposée. Ils se limitent simplement à des diatribes contre les accusateurs et une apologie de démenti et de défense de l’accusée.
Mais ce Projet Cité de l’Emergence a tout d’une addition de supercheries en attendant de voir les immeubles sortir de terre…..
Alors qu’il recevait un don de 10 tonnes de ciment des mains du député Abdou Lahad Seck Sadaga venu apporter sa participation au nom du Président Sall dans la construction de la mosquée de Mame Mor Diarra, Serigne Abdoulahi Mbacké « Yallay Buur » n’a pas raté le locataire de l’Avenue Roume et la présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental. A côté de plusieurs membres de sa famille et face à la presse, le Khalife de Mame Mor Diarra a déploré les promesses non tenues du Chef de l’Etat vis-à-vis de lui et de sa localité. Il a rappelé qu’avant de devenir Chef de l’Etat, Macky Sall venait très souvent le voir, s’assoyait à terre sollicitant des prières alors qu’aujourd’hui, il lui est même impossible de joindre ce dernier au téléphone. «Pour l’avoir au téléphone, il a fallu que son épouse l’ait appelé avant de me passer l’appareil. Avant d’être élu, il se fondait en promesses par rapport à la construction de la mosquée. Hélas… Moi, je n’ai besoin d’absolument rien! Même dans ma maison, il y a des lampes qui ne s’allument pas. Ce véhicule dont je dispose, on me l’a offert sinon je n’en aurait pas eu. Je n’ai besoin de rien sinon que de travailler pour Mame Mor Diarra. Et je sais qu’il tient à l’achèvement de la mosquée. Il aide un peu partout les foyers religieux. Peut-être m’a-t-il oublié?». De lui-même,Serigne Abdoulahi Mbacké Yallay Buur évoquera le nom d’Aminata Tall, actuel présidente du CESE juste pour dire « celle-là ne mérite pas que je parle d’elle. Elle m’a le plus déçu de toutes ces personnes. C’est regrettable !» Une sortie au vitriol à laquelle personne ne s’attendait et qui a été, pour le moment, très spontané. Tout de même, Serigne Abdoulahi Mbacké remerciera le député Sadaga pour le geste consenti : « Je sais que tu n’as pas les moyens d’achever intégralement la construction de la mosquée. Le cas-échéant, elle aurait été depuis longtemps opérationnelle. Néanmoins, ce geste me va droit au cœur. Tu dis l’avoir fait au nom du Président de la République, alors dis-lui merci de ma part. Mame Mor Diarra et Serigne Touba partagent le même père et la même mère. Mais moi, je ne veux devenir que talibé et rien d’autre ». L’honorable député Sadaga sera, par la suite , reçu par l’entrepreneur en charge de la construction de l’édifice. Ce dernier d’évaluer le coût total de la mosquée à 1, 440 milliards de francs Cfa avec une main d’œuvre fixée à un peu moins de 400 millions. Dans l’immédiat, une somme de 65 millions est urgente pour quelques travaux. Toute de même, il faudra 1, 075 milliard pour achever la construction. L’entrepreneur explique la note salée par le fait que la décoration prévue coûte excessivement cher. Etaient présents le Conseiller économique, social et environnemental Baye Mor N’diaye, Serigne Talla Mbacké fils aîné du Khalife, Serigne Mame Mor N’dock, membre du comité d’organisation du magal de Mame Mor Diarra…
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Monsieur Momar DIOP, Docteur en Sciences politiques, matricule de solde n° 659.250/M, Ambassadeur du Sénégal en Afrique du Sud, est nommé, cumulativement avec ses fonctions, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Robert Gabriel MUGABE, Président de la République du Zimbabwe, avec résidence à Pretoria
Monsieur Samba GUEYE, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°607.735/D, précédemment Directeur du Centre hospitalier Régional Heinrich Lubkë de Diourbel,est nommé Directeur du Centre hospitalier régional de NDIOUM en remplacement de Madame Ouleymatou Khadija DIAGNE appelée à d’autres fonctions ;
Docteur El Hadji Amadou DIENG,Médecin, titulaire du Diplôme d’Etudes supérieures spécialisées (DESS) en Economie de la Santé, matricule de solde n°613.774/D,précédemment en service au Centre hospitalier National Matlaboul Fawzeïni de Touba, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional de Diourbel en remplacement de Monsieur Samba GUEYE appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Moussa Same DAFF, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°603.048/E, précédemment Directeur de l’Hôpital Général de Grand Yoff, est nommé Directeur du Centre hospitalier National Dalal Jamm, en remplacement de Monsieur Youssou NDIAYE appelé à d’autres fonctions ;
Madame Khadidiatou Sarr KEBE, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°513.536/A, précédemment Directeur du Centre hospitalier National de Pikine,est nommée Directeur de l’Hôpital Général de Grand Yoff, en remplacement de Monsieur Moussa Same DAFF appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Mouhamed Abdallah GUEYE, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°606.578/F, précédemment Directeur de l’EPS 1 de Tivaouane,est nommé Directeur du Centre hospitalier National de Pikine, en remplacement de Madame Khadidiatou Sarr KEBE appelée à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdoulaye FALL, titulaire d’un Master en Management des Etablissements de Santé, matricule de solde n°607.733/F, précédemment Chef du Service administratif et financier de l’EPS 1 de Tivaouane,est nommé Directeur dudit Etablissement en remplacement de Mouhamed Abdallah GUEYE appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Abdoulaye NOBA, Administrateur civil principal, matricule de solde n° 600 799/A, est nommé Directeur de la Protection civile, en remplacement de Monsieur Dame GAYE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
Madame Na Fatoumata Dramé DIAKHATE, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde n° 616 287/J, est nommée Directeur de la Protection sociale au Ministère du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions, en remplacement de Monsieur Mamadou Racine Senghor, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Amadou DEME, Administrateur civil principal de classe exceptionnelle, matricule de solde n° 378 205/C, est nommé Inspecteur de l’Administration territoriale au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, poste vacant ;
Monsieur Cheikh FAYE, Inspecteur de l’Enseignement moyen secondaire général, principal 2ème classe, 2ème échelon, matricule de solde n° 605274/L, précédemment en service à l’Inspection d’Académie de Sédhiou, est nommé Inspecteur d’Académie de Kédougou en remplacement de Monsieur El Hadji NDAO, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris plusieurs décisions, au détour du Conseil des ministres de ce 29 juillet 2015. Mais le fait marquant reste, sans nul doute, le cas du désormais ancien Directeur Dalal Jamm.
En effet, à peine a-t-il été nommé à ce poste, en provenance de l’Hôpital Abas Ndao que Dr Youssoupha Ndiaye a été relevé de ses fonctions, pour on ne sait pas trop quelles raisons.
En d’autres termes, avant même que la structure sanitaire n’ait officiellement démarré, Macky Sall a changé ce responsable de l’Alliance pour la République et non moins cadre de Ndioum.
Pour ce faire, le Chef de l’Etat l’a troqué contre Moussa Same DAFF, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°603.048/E, précédemment Directeur de l’Hôpital Général de Grand Yoff. C’est du moins ce qu’on peut retenir parmi tant d’autres mesures individuelles prises par le locataire du Palais, d’après un Communiqué des Services de la Présidence de la République, parvenu à la Rédaction de Actusen.com et dont voici l’intégralité :
▪ Monsieur Momar DIOP, Docteur en Sciences politiques, matricule de solde n° 659.250/M, Ambassadeur du Sénégal en Afrique du Sud, est nommé, cumulativement avec ses fonctions, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Robert Gabriel MUGABE, Président de la République du Zimbabwe, avec résidence à Pretoria ;
▪ Monsieur Samba GUEYE, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°607.735/D, précédemment Directeur du Centre hospitalier Régional Heinrich Lubkë de Diourbel, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional de NDIOUM en remplacement de Madame Ouleymatou Khadija DIAGNE appelée à d’autres fonctions ;
▪ Docteur El Hadji Amadou DIENG, Médecin, titulaire du Diplôme d’Etudes supérieures spécialisées (DESS) en Economie de la Santé, matricule de solde n°613.774/D, précédemment en service au Centre hospitalier National Matlaboul Fawzeïni de Touba, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional de Diourbel en remplacement de Monsieur Samba GUEYE appelé à d’autres fonctions ;
▪ Monsieur Moussa Same DAFF, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°603.048/E, précédemment Directeur de l’Hôpital Général de Grand Yoff, est nommé Directeur du Centre hospitalier National Dalal Jamm, en remplacement de Monsieur Youssou NDIAYE appelé à d’autres fonctions ;
▪ Madame Khadidiatou Sarr KEBE, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°513.536/A, précédemment Directeur du Centre hospitalier National de Pikine, est nommée Directeur de l’Hôpital Général de Grand Yoff, en remplacement de Monsieur Moussa Same DAFF appelé à d’autres fonctions ;
▪ Monsieur Mouhamed Abdallah GUEYE, Administrateur hospitalier, matricule de solde n°606.578/F, précédemment Directeur de l’EPS 1 de Tivaouane, est nommé Directeur du Centre hospitalier National de Pikine, en remplacement de Madame Khadidiatou Sarr KEBE appelée à d’autres fonctions ;
▪ Monsieur Abdoulaye FALL, titulaire d’un Master en Management des Etablissements de Santé, matricule de solde n°607.733/F, précédemment Chef du Service administratif et financier de l’EPS 1 de Tivaouane, est nommé Directeur dudit Etablissement en remplacement de Mouhamed Abdallah GUEYE appelé à d’autres fonctions ;
▪ Monsieur Abdoulaye NOBA, Administrateur civil principal, matricule de solde n° 600 799/A, est nommé Directeur de la Protection civile, en remplacement de Monsieur Dame GAYE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
▪ Madame Na Fatoumata Dramé DIAKHATE, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde n° 616 287/J, est nommée Directeur de la Protection sociale au Ministère du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions, en remplacement de Monsieur Mamadou Racine Senghor, appelé à d’autres fonctions ;
▪ Monsieur Amadou DEME, Administrateur civil principal de classe exceptionnelle, matricule de solde n° 378 205/C, est nommé Inspecteur de l’Administration territoriale au Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, poste vacant ;
▪ Monsieur Cheikh FAYE, Inspecteur de l’Enseignement moyen secondaire général, principal 2ème classe, 2ème échelon, matricule de solde n° 605274/L, précédemment en service à l’Inspection d’Académie de Sédhiou, est nommé Inspecteur d’Académie de Kédougou en remplacement de Monsieur El Hadji NDAO, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
La nouvelle révélation de la musique Pop R’NB la chanteuse Biacha fête son anniversaire pour la première fois à Dakar. Rendez -vous le 15 Août au Kottons Club une soirée White party en live.
Ils ont été les Guest Star de la soirée de Waly Seck au Stockolm à Suède dans le cadre de sa tournée européenne. Ils, ce sont les Goorjigueines(trravestis) Omzo et Serigne Mboup rivalisant d’ardeurs dans le battage de billets de banque.
Nos radars, qui adorent se mêler de choses qui ne les regardent pas, ont capté ces chuchotis dans les couloirs et bureaux de la Tfm. Que se passe t’il? « Xana » qu’une grande voix de cette télé, journaliste aussi célèbre que la télé de « You » occupe les chuchotis. « Ci gaataal » (en somme), il nous revient que cette consoeur filerait le parfait amour avec… une autre dame. Qui est cadre dans la même boite. « Asbounaalah »!
D’après le téléphone arabe, les deux dames, qui roucouleraient, sont tellement éprises l’une de l’autre qu’elles ne controleraient plus leurs pulsions. « Asbounaalaah! » D’ailleurs, elles auraient même été apercu à la station balnéaire de Saly puis quelque part dans un cadre select, mais discret en centre ville de Dakar dans des positions à tout le moins intrigant. Notre consoeur est connue comme une « grande gueule » , qui abhorre la langue de bois, tandisque celle à qui on attribue une idylle est l’une des pièces maitresses d’un département assez stratégique de Tfm. Cette dernière a, d’ailleurs perdu son mari. Qui se trouvait être… Nous n’en dirons pas plus! Nous y reviendrons!
Le Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’extérieur, Souleymane Jules Diop, défend toujours farouchement le Consul général du Sénégal à Marseille. En marge de sa visite à l’Hôpital général de Grand Yoff (Hoggy, ex-Cto) de Sénégalais rapatriés de la Libye, il a déclaré qu’il va continuer à défendre Tamsir Faye. “Les gens ne devaient en aucun moment se baser sur une version pour juger Tamsir Faye, l’accuser gravement, pour le tuer socialement. Je n’accepterai jamais qu’on dise qu’un Consul sénégalais vocifère, qu’il exhibe ses parties génitales. Je ne vais pas me taire sur ce sujet, parce que mon rôle, c’est de défendre les Sénégalais de l’extérieur. Les gens doivent respecter la présomption d’innocence”, déclare Souleymane Jules Diop qui pense que le Consul du Sénégal à Marseille est victime d’un mauvais procès. “Vous avez entendu le témoignage de Pape Diouf, ancien candidat à la municipalité de Marseille, de Baba Tandian et d’émigrés notables. Toutes ces autorités ont témoigné de la bonté et de la disponibilité de Tamsir Faye, il y a quelques jours lors d’une rencontre qui a réuni plus de 5.000 personnes. C’est un procès en public et il n’y a pas de procès-verbal, pas d’Alcootest, pas d’enquête sur ces accusations graves. Je ne vais jamais accepter qu’on profère de tels propos contre un Sénégalais qui accomplit la mission du chef de l’Etat à l’étranger. Je vous dis, si ce n’était pas nos intervention, il (Tamsir Faye) allait se suicider cette nuit”.
C’est grave ce qui se passe au Sénégal ! Le PM qui rentre de Paris avec des promesses et rien que des promesses surtout de la part des Français et les presses du palais en font un exploit. « Dionne était dans la capitale française avec une forte délégation composée du ministre des Affaires étrangères, Mankeur N’diaye, du ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, du ministre des Finances, Amadou Bâ, du ministre de l’Agriculture, Pape Abdoulaye Seck, du ministre de l’Hydraulique, Mansour Faye et enfin du benjamin du gouvernement, le ministre de la Jeunesse Mame Mbaye Niang…Dionne et Cie sont revenus à Dakar les poches pleines. » Depuis quand un premier ministre du Sénégal revient de Paris les poches pleines pour changer quelque chose dans la vie des Sénégalais. Il faut savoir un jour arrêter avec les artifices et les illusions pour passer à la réalité. Dionne pouvait éviter ses pratiques ostentatoires pour être un PM plus proche des réalités du peuple… C’est dommage ! Penda Sow pour xibaaru.com
Voici l’une des rares photos du président américain Barack Obama, il était encore gamin et ne savait pas qu’il deviendrait président des USA. Cette photo à été prise en 1965, dans un plage hawaïenne. Il était en compagnie de son grand-père Stanley Dunham. Aujourd’hui, c’est ce gamin qui dirige le pays le plus puissant du monde. Regardez
Dans la longue liste des renvois de procès, figure celui du chanteur Waly Ballago Seck. Le fils du chanteur Thione Seck n’a pas comparu à la barre du tribunal correctionnel de Dakar, hier, mais devra se présenter le 4 août 2015, nouvelle date retenue. Les faits de coups et blessures volontaires qui lui valent un procès remontent à la nuit du 16 au 17 avril 2013. Le chanteur a voulu se faire justice lui-même, car ayant été victime d’une agression. Accompagné de quelques amis, Waly est allé faire la fête à deux livreurs de pain, Babacar Sadikh Sané et Patrick Lambal. Le chanteur ne s’est rendu compte de sa méprise qu’après les avoir sévèrement corrigés. Babacar Sadikh Sané s’en est tiré avec des blessures, en plus d’une Itt de 7 jours…
Le président de la République, Macky Sall continue d’inviter l’ensemble des populations Sénégalaise à la vigilance sur le cas des menaces terroristes.
Le chef de l’Etat du Sénégal Macky Sall ne compte même pas présager un dialogue avec les organisations djihadistes. Hier, lors de la conférence internationale sur la paix mondiale tenue à Dakar Macky Sall a encore réitéré sa fermeté face aux menaces terroristes. « Les terroristes ne connaissent pas la religion. Ils sont là pour salir l’image de l’islam. Si vous devez discuter, il faut discuter avec des gens qui ont de l’écoute. Que ce soit clair, il n ya pas de dialogue possible avec les terroristes. Ce n’est pas possible », dit-il devant beaucoup d’imams venus assister à cette conférence initiée par les Niassènes. Selon Macky Sall toujours ce qui se passe actuellement au Nigéria personne n’aurait pensé qu’il se produirait en Afrique de l’Ouest. Il a ainsi appelé les imams à la vigilance mais surtout à l’alliance, note le Populaire.
La tension est en l’air au sein de l’Université Cheikh Anta Diop(Ucad) de Dakar où le chef de l’Etat, Macky Sall y est attendu le vendredi prochain.
Dans ce temple du savoir, le leader de l’Alliance pour la République y est attendu dans le cadre de l’inauguration des nouveaux pavillons préfabriqués, installés à côté du stade universitaire. Cependant explique l’As, c’est une visite à haut risque pour Macky Sall, en ce sens que la tension est actuellement palpables à l’Ucad. Car en plus de l’affaire Bassirou Faye, du nom de l’étudiant tué par balle le 14 août 2014 par un policier et qui jusqu’à présent n’est pas élucidée comme promise par Macky Sall lui-même, des étudiants en master courent depuis le début de l’année, derrière leurs bourses. Hier, ils même barré l’Avenue Cheikh Anta Diop pendant une bonne partie de la journée occasionnant des désagréments comme d’habitudes. Ces manifestants soutiennent qu’ils n’ont pas la tête à l’accueil du chef de l’Etat.
La Cour suprême va incessamment statuer sur le recours déposé par les avocats de Karim Wade suite à la condamnation de l’ancien ministre d’Etat, le 23 mars dernier, à une peine ferme de 6 ans et d’une amende de 138 milliards de francs Cfa. Peine qui lui a été infligée par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
La Chambre criminelle de la Cour suprême va, en effet, statuer le 6 août prochain. A cette date, Wade-fils sera définitivement fixé sur son sort. Si la Cour suprême estime que sa condamnation est conforme au droit, il purgera entièrement sa peine, s’il n’est pas gracié entre temps par Macky Sall.
C’est par une virée nocturne que Maty Mbodji a débuté sa soirée, la veille de sa mort, informe “L’Observateur”. En compagnie d’un cercle d’amis, elle est sortie pour se défouler. Plus tard, tout ce beau monde s’est retrouvé dans un appartement meublé au centre-ville. Sans doute pour terminer la soirée en beauté. Qu’est-ce qui s’est passé dans cet appartement ? En tout cas, selon la version officielle, elle a été découverte inerte dans sa chambre à la zone A, même si beaucoup, même quelque-uns de ses voisins, pensent qu’elle n’est pas décédée dans son appartement. Des questions auxquelles la Sûreté urbaine en charge de l’enquête répondra.
En tout cas, révèle “L’Observateur”, outre son amie, Adja Diallo, une autre de ses collègues, très en vue dans le milieu ferait partie de la bande des fêtards. Celle-ci a subitement disparu de la scène depuis l’annonce du décès de Maty Mbodji. Des stylistes qui avaient besoin de louer ses services sont tombés sur sa boite vocale. Elle ne serait d’ailleurs pas la seule dans ce cas. Beaucoup d’autres mannequins ont tout simplement préféré changer de numéro ou éteindre leurs portables, en attendant que les choses se tassent. “Qu’ont-elle à cacher ? Sont-elles au courant de choses compromettantes ?”, se demande “L’Observateur”. Le journal révèle que parmi les amis qui ont partagé les derniers instants de la défunte figurent en bonne place des individus réputés être des entremetteurs. Une ancienne gérante d’une boite de nuit très sélecte des Almadies fait aussi partie du lot. Ils auraient tous quitté le fameux appartement, y laissant Maty.
En tout cas, les auditions reprennent aujourd’hui à la police.
Diodio Diaw, la petite soeur de Katy Chimère Diaw, dans une tenue époustouflante qui met en valeur ses atoutsDiodio Diaw, la petite soeur de Katy Chimère Diaw, dans une tenue époustouflante qui met en valeur ses atouts
Elle est toujours montée au créneau pour dire qu’elle’a jamais connus plusieurs mariages. En réalité elle a connu deux mariages, en effet son premier mariage à été avec le fils du styliste Collé Ardo Bibi Sagna, la nouvelle recrue de la 2S TV s’est remariée une seconde fois avec l’ex international de St Etienne et du Havre Cherif Ousmane Sarr. Mais un mariage qui ne dure qu’un temps d’une rose pour divorcer à nouveau. Aujourd’hui la charmante vedette se la coule douce aux côtés d’un promoteur de lutte et d’un footballeur étrangers , certainement un troisième mariage en vue.
La ravissante Zakhra Mbow est l’épouse de Pape Cheikh Diallo dans la série Double Vie diffusée sur la TFM. Cette belle bombe est très charmante avec son sourire envoutant qui fait des ravages. Voici une belle photo où elle dévoile sa complicité avec son « homme » Pape Cheikh Diallo. Regardez
Un utilisateur de Reddit a posté ce qui pourrait être l’une des pires photos de fiançailles de l’histoire.
Ces deux amoureux n’ont probablement pas vu le problème en dessinant leurs initiales sur le plan de travail du restaurant dans lequel ils mangeaient ce soir-là. Ils s’embrassent béatement devant le message signifiant leur toute fraîche alliance et sous les yeux curieux d’autres clients. À savoir: AN <3 AL. Il s’agit, on s’en doute, des initiales de leur prénom mais le web y voit une signification bien plus coquine… On vous laisse réfléchir à la question.
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