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 »Prison Break » : la série à succès fait son retour sur le petit écran. C’est pour bientôt !

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Six ans après l’arrêt de « Prison Break », Wentworth Miller et Dominic Purcell devraient se retrouver pour une saison 5, attendue sur les écrans américains en 2016. 

Entre 2005 à 2009 les quatre premières saisons de « Prison Break » ont été diffusées. D’après le site américain Deadline, la chaîne américaine Fox avance activement sur une nouvelle saison de Prison Break, avec Paul Scheuring, son créateur, avec un scénario inversé par rapport à la saison 1.

Dans cette saison, les rôles sont inversés. Les acteurs Wentworth Miller et Dominic Purcell les demi-frères Michael Scofield et Lincoln Burrows, feraient leur retour, dans un scénario inversé à celui de la saison 1. Le premier, derrière les barreaux, verrait le second se faire emprisonner pour l’aider à s’évader.

Plusieurs personnages clés des quatre premières saisons apparaîtraient au fil des épisodes tandis qu’un troisième comédien aurait un rôle majeur, à égalité avec les deux héros.

Deadline souligne que le retour de Prison Break serait facilité par l’emploi du temps de ses deux stars. Wentworth Miller et Dominic Purcell tourneront cet été ensemble Legends Of Tomorrow, le spin-off de The Flash pour la chaîne CW. Une fois libérés de leurs obligations, ils pourront alors se consacrer à faire revivre les personnages qui ont fait d’eux des stars du petit écran.

Baba Maal saluant avec deux mains la Première Dame Maréme Faye Sall

Baba Maal saluant avec deux mains la Première Dame Maréme Faye Sall

Niatam BA dans un endroit bizarre, on y voit que dal!

Niatam BA dans un endroit bizare, on y voit que dal!

Nadège court toujours derrière son ex mari

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La fille de Fallou DIENG , vivant en Italie presque nue dans sa tenue!

La fille de Fallou DIENG presque nue dans sa tenue!

Le dossier Aïda Ndiongue s’invite à l’AG de l’Ums: Accusé, le Procureur Serigne Bassirou Guèye se défend et attaque

Le dossier Aïda Ndiongue s'invite à l'AG de l'Ums: Accusé, le Procureur Serigne Bassirou Guèye se défend et attaque

Le dossier d’Aïda Ndiongue s’est invité à l’Assemblée générale de l’Union des magistrats du Sénégal tenue ce week-end à Saly. Selon L’Observateur, c’est le président de la 3e Chambre correctionnelle du Tribunal régional de Dakar, qui avait jugé la responsable libérale, qui a soulevé le lièvre. Le président El Hadji Amadou Diouf avait interpellé ses pairs sur le fameux communiqué attribué au parquet et qui avait, après la décision de la Chambre, fustigé sa décision qu’elle jugeait « troublante » et « illégale ». Le Procureur Serigne Bassirou Guèye, qui n’était pas inscrit sur la liste de prise de parole, s’est vu dans l’obligation de réagir. Face à ses pairs, le patron du parquet de Dakar a voulu mettre fin à ce débat et se laver à grande eau. Le Procureur a précisé que le communiqué ne provient pas du parquet et que c’est même le premier Substitut qui l’en a informé. « Après le communiqué, je l’ai appelé et il m’a dit : ‘Je te connais, je sais que le communiqué ne provient pas de toi' », s’est défendu Serigne Bassirou Guèye. Le Président sortant, Abdou Aziz Seck, est aussi intervenu dans le débat, rappelant que l’Ums avait fait un communiqué. Et si l’Ums a réagi, c’est parce que dit-il, le Procureur leur a dit que le communiqué n’était pas du parquet. Il lui avait donc, poursuit-il, demandé de faire un communiqué pour démentir, mais il a refusé. C’est pourquoi, il avait fait une sortie au nom de l’Ums pour condamner les propos du Parquet. Dans cet échange entre Serigne Bassirou Guèye et le président Diouf, les doyens comme, comme le président Demba Kandji, ont calmé les ardeurs, jouant aux sapeurs-pompiers, avant que le Président Aziz Seck ne clôt le débat.
 

 

Mata Sy Diallo tourne le dos à l’Afp : “Les frustrations et humiliations que j’ai subies chez Niasse”

Mata Sy Diallo tourne le dos à l’Afp : “Les frustrations et humiliations que j’ai subies chez Niasse”

Dans une interview qu’elle a accordée avec le quotidien “Enquête” parcourue par Sans Limites, Mata Sy Diallo revient sur les raisons qui l’ont poussée à quitter l’Afp, sur les humiliations et frustrations qu’il a subies dans ce parti…

“On s’est sacrifiés, on a sacrifié nos biens, notre temps, nos enfants, nos familles, dans l’intérêt de l’Afp. Mais nous n’avons pas récolté les bons résultats. J’ai préservé mon Secrétaire général (Moustapha Niasse) de certains problèmes qu’on voulait lui créer en me proposant, deux mois après mon adhésion à l’Afp, de le remplacer comme Premier ministre en plus d’une importante somme d’argent. Sachant qu’à l’époque, cette proposition ne visait pas à me faire plaisir mais plutôt à l’humilier, j’ai refusé alors que cela aurait pu être dans l’intérêt de mes militants, de mes enfants, de ma famille. Je n’aime pas l’injustice et l’humiliation qu’on fait à un individu. J’ai toujours combattu cela. Autant j’ai refusé cela, autant on a cherché à m’humilier.”, dit-elle.

“Quand je suis partie me soigner en France, on a négocié mon départ du gouvernement. On m’a limogée alors qu’on m’opérait en France. Quand je suis revenue de France, on a négocié mon départ de la Snr (Société nationale de recouvrement) comme Président du Conseil d’administration. Mais comme le bien matériel n’est pas trop important pour moi, j’ai tout simplement encaissé. Le 12 avril quand je suis rentrée à Kaffrine pour accueillir le Président de la République, Macky Sall, dans le Ndoukoumane, j’avais la lettre que Moustapha Niasse m’avait envoyée pour me destituer. Si j’avais sorti cette lettre, l’accueil du Président Sall n’aurait pas été ce qu’il a été. J’ai caché la lettre à mes enfants, à ma famille, à mes militants pour que l’accueil puisse bien se passer”, explique-t-elle.

Méritez de nous gouverner ! par Madiambal Diagne

Méritez de nous gouverner ! par Madiambal Diagne

En août 1993, j’avais constitué, avec Mamadou Diop Decroix, une délégation de l’opposition politique au régime du Président Abdou Diouf, pour rencontrer une mission du National democratic institute (Ndi). La mission était envoyée à Dakar pour une évaluation du processus électoral dans le cadre d’une facilitation conduite depuis 1991 par le Ndi pour un dialogue politique.

A la sortie de la rencontre, Mamadou Diop Decroix me tomba dessus, pour avoir ruiné la propagande de l’opposition qui cherchait à discréditer les scrutins de l’élection présidentielle de février 1993 et des élections législatives de mai 1993. En effet, j’avais indiqué dans nos discussions que nous de l’opposition, avions certes de sérieuses réserves sur la sincérité du scrutin du fait notamment de l’absence d’identification des électeurs et surtout de pratiques d’achat de conscience et peut être même de bourrages d’urnes mais que nous ne pouvions continuer à discréditer le processus électoral sans apporter la moindre preuve. Le Parti démocratique sénégalais (Pds) revendiquait par exemple avoir remporté 63 sièges de députés sur les 120 en compétition ; sur la foi de procès verbaux qu’il détiendrait mais de tels procès verbaux n’avaient jamais été produits ni devant la Commission électorale nationale autonome, ni devant les observateurs internationaux encore moins devant les commissions de recensement des votes. Il s’y ajoutait un autre argumentaire de l’opposition selon lequel les résultats des scrutins avaient été faussés par l’usage massif d’ordonnances délivrées à des électeurs pour pouvoir voter. A l’époque, les électeurs qui n’avaient pas de cartes d’électeurs avaient la possibilité de se faire délivrer des ordonnances par le président du Tribunal départemental de ressort, pour exercer leur devoir citoyen. Or, il apparaissait dans tous les registres électoraux que pour la présidentielle quelques 46.000 ordonnances avaient été utilisées au total et seules 26 000 ordonnances avaient été utilisées pour les élections législatives. C’est dire que l’utilisation des ordonnances ne pouvait nullement fausser de manière déterminante les résultats de scrutins auxquels avaient pris part, chaque fois, plus de 1,2 million d’électeurs. L’ami «Decroix» me reprochait donc mes déclarations qui du reste, étaient conformes à la ligne de vérité adoptée par mon parti, la Convention des démocrates et patriotes (Cdp Garab gui). Pour lui, même si cela était vrai, ce n’était pas à dire. Par contre, pour nous de la Cdp Garab gui, la débâcle électorale était amère mais il fallait s’en tenir à un langage de vérité, contrairement à certains autres alliés de l’opposition. Le Ndi, un organisme fondé par l’ancien Président Jimmy Carter, tiendra compte de nos remarques dans le rapport publié le 5 septembre 1993 relatif à l’évaluation des élections sénégalaises de cette année-là. La leçon de cette histoire est de s’interroger sur les rapports que les hommes politiques doivent avoir avec la vérité, mais aussi avec les institutions de la République. Voltaire disait, «plus mes compatriotes chercheront la vérité, plus ils aimeront leur liberté». Cette anecdote me revient à l’esprit après avoir lu dans certains médias des déclarations faites, la semaine dernière à Touba, par Mamadou Diop Decroix. Cet homme politique et député de surcroit, a estimé devoir apporter un soutien à des jeunes Mbacké Mbacké qui exigent la libération d‘un des leurs, Serigne Assane Mbacké, incarcéré dans le cadre de l’enquête sur l’incendie volontaire d’un domicile du député Moustapha Cissé Lô. Mamadou Diop Decroix n’a cure des principes d’indépendance de la justice encore moins de la gravité des faits criminels. «Decroix» déclare qu’il soutiendra les amis de Assane Mbacké dans leurs actions de défiance à l’endroit de la justice. On peut même se demander si l’expression aussi exubérante d’une quelconque compréhension des actes d’incendie volontaire perpétrés contre le domicile habité de Moustapha Cissé Lô ne constitue-t-elle pas une certaine apologie du crime ? C’est une dérive qui semble d’ailleurs gagner nos hommes politiques. Oumar Sarr, député lui aussi et coordonnateur général du Pds, qui se tenait à côté de Mamadou Diop Decroix à Touba, a sorti lui aussi une perle. Dans les colonnes du journal L’Observateur, Oumar Sarr a affirmé, sans ambages, que les étudiants qui avaient lapidé le cortège du Président Macky Sall à l’Université de Dakar avaient raison d’agir de la sorte. Servirait-il à quelque chose de poursuivre les étudiants si de telles déclarations de Oumar Sarr qui constituent une véritable apologie d’un crime sont laissées impunies ? Il faut dire que cela devient une banalité au sein de la classe politique sénégalaise de faire les déclarations les plus irresponsables et les plus farfelues. Après la réprobation et la condamnation générale des propos abjects sortis par l’ancien Président Abdoulaye Wade, en février 2015, contre son successeur Macky Sall et sa famille, on osait espérer que désormais les hommes et femmes politiques remueraient sept fois leur langue dans leur bouche avant de débiter des propos irrespectueux à l’égard de leurs adversaires, ou qui heurteraient les principes républicains. Seulement, de nombreux responsables de l’opposition semblent pris par un grave délire haineux résultant d’une profonde «blessure narcissique», pour emprunter à Sigmund Freud sa formule. Ils ne se font pas encore une raison que c’est bien Macky Sall qui a été élu par 65% des électeurs sénégalais pour conduire leurs destinées. Ne serait-ce que par respect pour cette forte majorité de citoyens et par respect pour l’institution de président de la République à laquelle aspirent ces hommes politiques, certaines mesquineries devraient être bannies du discours public. Même la Chine ferme ses camps de rééducation, mais une personnalité politique ne doit pas dire n’importe quoi jusqu’à se livrer à un libertinage et le cas échéant, les citoyens au nom desquels ils exercent des mandats devraient les sanctionner. En France, on se rappelle qu’en 2013, Anne-Sophie Leclère, candidate du Front national aux municipales, avait payé cash, non seulement par un cinglant revers électoral mais aussi par une condamnation pénale, le fait d’avoir comparé la ministre de la Justice Christiane Taubira à un singe et d’avoir affirmé qu’elle «préfère la voir sur un arbre (…) qu’au gouvernement». Avant elle, Jean Marie Le Pen continue encore de payer ses déclarations de 1987 selon lesquelles «les chambres à gaz était un détail de l’histoire de la deuxième guerre mondiale». Il a été condamné plusieurs fois par la justice française pour «apologie de crime, banalisation de crime et consentement à l’horrible». Pour en revenir au Sénégal, peut-être que cela aurait été dissuasif pour les autres, si Abdoulaye Wade avait été au moins assigné en justice pour ses insultes récurrentes proférées à l’endroit de Macky Sall. Ce n’est certes pas à cet âge qu’on peut changer Abdoulaye Wade, mais on ne devrait pas désespérer des autres. Quelle est aussi la responsabilité des médias dans ce charivari ? Le souci de donner la parole à toutes les sensibilités politiques ne devrait pas pousser à relayer n’importe quel propos. Une rédaction doit pouvoir apprécier souverainement de refuser de relayer un propos qui heurte la morale ou les principes républicains. De toute façon, des médias ont déjà été condamnés lourdement pour avoir ouvert leurs micros ou leurs colonnes à des hommes publics qui ont eu à y faire des déclarations.  Seulement, à chaque fois, ce sont les médias, seuls (!), qui paient le prix fort.

Madiambal Diagne

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Caillassage du cortège présidentiel : Serigne Mbacké Ndiaye s’en prend à Oumar Sarr du PDS

Les Promesses de Serigne Mbacké Ndiaye: « Quand je serai président… »

Serigne Mbacké Ndiaye n’est véritablement pas en phase avec son «frère» de parti, Oumar Sarr. Ce dernier avait déclaré lors de la dernière réunion du comité directeur du PDS que les étudiants avaient raison de jeter des pierres au président de la République.

«Je dénonce vigoureusement la sortie d’Oumar Sarr, encourageant ce qui s’est passé à l’Université », a, d’abord dit, dans « L’As », l’ancien porte-parole du président Wade.
«C’est inacceptable et grave qu’un homme d’Etat, quelqu’un qui a eu à exercer le pouvoir, quelqu’un qui se dit républicain, puisse adopter une telle posture. C’est encore plus grave parce que cela veut dire quelques part qu’ils ont manipulé ces jeunes qui ont été arrêtés. Il faut arrêter d’utiliser les jeunes comme de la chair à canon », a encore tonné.
L’ancien ministre indique qu’«il peut concevoir que quelqu’un change de parti mais pas de conviction». Plus explicite, Serigne Mbacké Ndiaye note : «on ne peut pas dénoncer, hier, les attaques dont le Président Abdoulaye Wade faisait l’objet et accepter aujourd’hui que les gens s’attaquent au Président Macky Sall parce que tout simplement on est dans l’opposition. Ce que nous refusions hier dans ce domaine, nous devons le refuser aujourd’hui »
Indiquant qu’il ne sera jamais d’accord que quelqu’un jette une pierre sur n’importe quel autre individu, à plus forte raison sur la première institution qu’est le Président de la République, Sur la même lancée, Serigne Mbacké relève que «le mal de ce pays est surtout porté par les hommes politiques et il urge maintenant qu’ils s’arrêtent, qu’ils sachent qu’un y a un Rubicond qu’il ne faudrait pas franchir».

Diop Decroix : «En détenant les étudiants, le régime de Macky Sall prouve sa faiblesse»

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Revenant sur la détention d’étudiants dans le cadre du caillassage du cortège présidentiel le 31 juillet dernier, Mamadou Diop Decroix qui était à Fatick ce week-end déclare que cela démontre la «faiblesse» du régime de Macky Sall.

«Macky Sall et ceux qui le conseillent pensent qu’en mettant les jeunes en prison, ils vont montrer que l’Eta est fort. Non, c’est une faiblesse qu’ils sont en train de prouver », a-t-il dit.

 Et d’expliquer que «quand vous avez la force publique, vous pouvez mettre les gens en prison mais l’autorité d’un Etat ne se mesure pas à l’effectif de prisonniers politiques que vous avez dans vos prisons».

Selon lui, «l’autorité d’un Etat se mesure à la capacité que vous avez de réaliser un consensus autour des choix, des options, des politiques». «Si vous n’avez pas le consensus aussi, ça se mesure à votre dimension de démocrate pour permettre à votre opposition de s’opposer de manière républicaine», poursuit-il.

«C’est ce que nous demandons mais apparemment ils ne sont pas dans les dispositions pour le comprendre mais nous, notre mission c’est d’assumer notre posture d’opposants et d’en tirer toutes les conséquences», a prévenu le chef de file du Front patriotique pour la défense de la République (FPDR).

Célébration du 41ème anniversaire du Pds Diagne Fada s’en prend aux faucons sans vergogne

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Modou Diagne Fada n’est pas prêt à abandonner le combat pour une restructuration de sa formation politique. Lors de la célébration du 41ème anniversaire du Parti démocratique sénégalais (Pds) organisé, ce samedi, par la Fédération des jeunes réformateurs (Fjr-Pds), le président du groupe parlementaire des libéraux et démocrates s’est de nouveau attaqué aux faucons libéraux, défendant qu’autour de Me Wade, il existe des gens qui manquent de vergogne au point de vouloir gripper la machine libérale. Il a également fait savoir qu’il va poursuivre la bataille pour la libération de Karim Wade.

Ceux qui pensaient qui Modou Diagne Fada et son groupe ont abandonné le combat pour la restructuration du Parti démocratique sénégalais (Pds) peuvent déchanter. Le temps d’une petite accalmie, le président du groupe parlementaire des libéraux et démocrates a repris son combat pour changer le visage d’un parti qui ambitionne de revenir au pouvoir dès la prochaine élection présidentielle.
Lors de la célébration du 41ème anniversaire de leur formation politique organisée par la Fédération des jeunes réformateurs (Fjr-Pds), il a fait savoir qu’il poursuivrait ce pourquoi il a osé défier Me Abdoulaye Wade. Une occasion pour s’en prendre aux faucons qui, à l’en croire, bloquent tout le processus.
« Autour de Wade, il y a des gens qui manquent de vergogne et qui militaient pour le statu quo pour défendre leurs intérêts crypto-personnels pour lui soutirer de l’argent et bénéficier de ses largesses. » Une situation qu’il juge regrettable au point de les appeler à faire face à la réalité.
« Quand on a un père et qu’on le respecte, on ne doit pas en faire un bouclier ou lui demander de faire des conférences de presse et se réfugier derrière lui. Wade nous a formés, mais aujourd’hui, nous avons grandi et nous sommes capable de continuer à porter sa vision. Me Wade mérite mieux que le simple poste de Secrétaire général d’un parti. C’est bien cela la réalité », a-t-il dit.
Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, celui qui est par ailleurs président du Conseil départemental de Kébémer de descendre en flammes certains de ses camarades : « Il y a un groupe qui ne sera jamais d’accord pour un renouvèlement. Ils se cachent derrière Me Abdoulaye Wade et refusent de prendre leur responsabilité, car ils continuent de lui demander de payer leur loyer et de leur donner la dépense quotidienne. »
Avant d’ajouter : « Il y a un autre groupe qui n’est plus représentatif et qui a peur de perde sa place si jamais il y a des renouvellements. Ce sont ces différents groupes qui ont obligé le président Wade à revenir sur sa décision d’organiser un congrès qui était prévu ce 08 Aout. » Revenant sur le cas Karim Wade, il signale qu’il sera de tous les combats jusqu’à sa sortie de prison. Toute- fois, il fait savoir que « si le parti était bien organisé, ils allaient pouvoir faire sortir Karim Wade de prison. Mais, en ce moment le parti est incapable de le faire. »

Mata Sy Diallo : “c’est le ministre de l’Economie et des Finances et du Plan qui m’a limogée ; pourquoi j’ai dissimulé ça à mes partisans »

macky sall et amadou ba

L’ancienne ministre Ministre de la femme et de la famille, Mata Sy Diallo a fait une déclaration plus ou moins grave à l’égard d’Amadou Ba ministre de l’Économie, des Finances et du Plan. Selon la Dame, c’est Amadou Ba qui a signé la note qui l’a limogée de son poste de Présidente du Conseil d’administration de la Société nationale de recouvrement. Mata Sy Diallo : “c’est le ministre de l’Économie et des Finances et du Plan qui m’a limogée ; pourquoi j’ai dissimulé ça à mes partisans
“A ce que je sache, le président de la République était, peut-être, gêné de signer l’acte de mon limogeage”, a déclaré la désormais ex-patronne des Femmes de l’Alliance des forces du progrès. Elle l’a dit, ce samedi 8 août 2015, à Kaffrine, en recevant, dans son fief, le chef de file du Grand Parti, Malick Gackou.
Poursuivant, elle ajoute : “j’avais reçu la notification de mon limogeage, mais je l’avais dissimulée, pour que rien ne puisse entacher l’accueil qui devait être réservé au président de la République, lors du Conseil des ministres décentralisé”.
Et Mata Sy Diallo de renchérir : “je tenais à garder secret mon limogeage, parce que si mes partisans le savaient, ils pourraient être amenés à manifester leur mécontentement ; ce qui pourrait jeter du sable dans le couscous du Chef de l’Etat, lors de son séjour dans le Ndoucoumane”.
D’ailleurs, ce n’est qu’après son retour sur Dakar que j’ai rendue publique la mesure concernant mon départ de la Présidence du Conseil d’administration de la Société nationale de recouvrement. On cherchait à m’humilier, mais ce fut peine perdue”, a expliqué l’ex-ministre.

Le PDS réplique aux attaque du président Guinéen « Alpha est un ingrat,sans l’intervention de Wade, il serait mort»

Le PDS réplique aux attaque du président Guinéen « Alpha est un ingrat,sans l’intervention de Wade, il serait mort»

« Alpha Condé est un ingrat! Après la tentative de coup d’Etat qui lui était imputée en 1990 et qui lui avait valu les foudres du président guinéen Lansana Conté, la personne qu’il a appelée en premier, était Abdoulaye Wade, opposant au régime de Abdou Diouf » a confié Cheikh Mbacké Samb, ancien Conseiller spécial du président Abdoulaye Wade.

« Lorsqu’il a été perdu à la frontière Sierra Léonaise avec la Guinée, Alpha coïncé, avait demandé à Wade de plaider en sa faveur auprès de Lansana Conté. C’est Wade qui après des négociations avec Lansana Conté, a rappelé Alpha Condé pour lui demander de se débarrasser de la kalachnikov qu’il transportait et de rejoindre  le village le plus proche pour que les forces armées guinéennes puissent le contacter pour qu’il se constitue prisonnier », rappelle l’ex Conseiller de Wade, selon lequel, « sans l’intervention de Wade, Alpha serait mort ». 
« Pendant les deux ans qu’il est resté en prison, Wade a inlassablement mis la pression sur Lansana Conté pour qu’il soit libéré. En plus, il m’a chargé de porter soutien au RPG, le parti de Condé qui manquait de cadres au niveau international » se rappelle t-il.

 « J’avais organisé avec l’aide d’Elsie Auguste, une haïtienne qui prétendait être la femme de Condé et dont l’appartement sur Central Park West servait de résidence à Condé durant ses déplacements, toutes les manifestations qui ont finalement mené à sa libération. Dès sa sortie de prison, il a effectué une tournée aux Usa, et Condé m’a personnellement appelé de l’hôtel Mayflower où il était descendu, pour manifester sa gratitude à Wade qui n’avait cessé de l’appuyer en toute circonstance »ajoutera Cheikh Mbacké Samb…
 Dakaractu

[vidéo] : Me Wade, parrain du putschiste Dadis Camara: Ce que Alpha Condé a oublié de dire…

Le président de la République de Guinée, Alpha Condé, qui effectue une visite officielle dans notre pays, s’est attaqué vendredi dernier, à l’ancien Président du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, en l’accusant d’avoir parrainé le putschiste Dadis Camara et de l’avoir encouragé à garder le pouvoir en Guinée. Mais le Président Condé a semble-t-il oublié de dire que Me Wade était aussi le seul chef de l’Etat à avoir pris le risque de se rendre dans son pays pour tenter de restaurer l’autorité de l’Etat qui était dans la rue, suite au décès du Président Lansana Konté. Suivez cette vidéo.

Moment spirituel du mannequin As By As …

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Daouda Faye, le frère de la Première Dame, a laissé sa « carrière » de basketteur en Italie pour…

Daouda Faye, le frère de la Première Dame, a laissé sa "carrière" de basketteur en Italie pour…

[Daouda Faye]url:https://www.facebook.com/daoudafayeoumou?fref=ufi  J’avais un carrière de basketteur ensuite camionneur je suis plutôt descendu du camion pour rentrer. J’ai laissé tomber le basket pour fonder une famille j’ai joué dans le championnat italien en C2 Fara Gera D’adda, Bagnolo Mela et en dernière année en promotion a Verolanuova tout ceci avant la naissance de mon aîné qui est maintenant au secondaire. J’avais entamé un autre boulot de procuration de futur talent sénégalais pour le championnat italien cumulé au camion. J’ai avant tout ceci joué au handball et volley ball au collège durant les nawetane à St Louis je jouais comme attaquant. A l’école primaire à Tivaouane j’étais ailier.

La fondation servir le Sénégal en tournée dans les daaras du Sénégal. à cet effet les 14 régions du Sénégal seront visitées en vue d’apporter aide et assistance aux enfants internés dans ces daaras. des dons composés entre autres de vivres, livres, chaises… seront remis aux responsables de ces daaras.

Voici la belle voiture que Ahmeth Khalifa Niass a offert à sa femme Mayé Diagne…

Voici la belle voiture que Ahmeth Khalifa Niass a offert à sa femme Mayé Diagne...

Aliou Sow, ancien ministre : «La Crei est une cour anti-Karim»

Aliou Sow et Abdoulaye Wade

 

«Karim Wade ne doit pas être le seul ministre en prison pour enrichissement illicite. Cela est inacceptable». C’est ce qu’a déclaré l’ancien ministre, Aliou Sow, leader du mouvement des patriotes pour le développement (Mpd), ce dimanche 9 août 2015, à l’émission «Grand Jury» de la Rfm.

Selon lui, la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est un cour anti Karim. 
«Au début, j’ai refusé de le croire, mais maintenant, j’ai la ferme conviction qu’il y a de l’acharnement terrible qui marquent, même s’il y’en, les raisons judiciaires qui ont mis Karim Wade en prison», a-t-il lancé.

De l’avis de M. Sow, des ministres libéraux et ceux du régime de Macky Sall, devaient être aussi dans la situation de Karim Wade, «si réellement il y est pour enrichissement illicite». A en croire l’ancien ministre, «des hommes politiques sénégalais ont pillé le pays. Et, la majorité d’entre eux s’est enrichie de façon inacceptable». «Le salaire d’un ministre ne peut pas lui permettre, même en 12 ans, d’avoir 3 à 4 maisons», a soutenu M. Sow qui, estime que le train de vie des hommes politiques sénégalais est inacceptable

Aliou Sow : «Les hommes politiques ont pillé ce pays»

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«Si la Cour de répression d’enrichissement illicite (CREI) est mise sur pied pour traquer tous ceux qui se sont enrichis illicitement, Karim Wade ne doit pas être seul en prison. Beaucoup des ministres d’anciens régimes et certains ministres du nouveau régime doivent être actuellement en prison», c’est la conviction d’Alioune Sow qui était l’invité du « Grand Jury » de la RFM, ce dimanche.

Pour le leader du Mouvement des Patriotes pour le Développement (MPD/Liguey) et ancien ministre du régime libéral, «les hommes politiques ont pillé ce pays».

«Le train de vie des hommes politiques est inacceptable. Le salaire d’un ministre ne dépasse pas 3 millions le mois. En l’espace de 12 ans, un ministre ne peut pas construire deux ou trois maisons», explique-t-il et d’ajouter : «dans ce cas, la CREI ne doit pas être anti-Karim Wade».

Ferloo

La chroniqueuse Thioro Mbar Ndiaye de walf tv file le parfait amour avec…

thioro mar Ndiaye

 

La chroniqueuse people Thioro Mbar Ndiaye de la matinale Petit Dèj… sur Walf tv file le parfait amour avec un grand réalisateur de la boîte. Selon nos sources dignes de confiance, l’animatrice en vogue du groupe Walfadjri et son prince charmant de réalisateur ne se quittent plus depuis qu’ils se sont rencontré pour la première fois. Les deux tourtereaux qui s’aiment à la folie projettent, sous peu, de s’unir devant Dieu et les hommes…
Senepeople

La chanteuse Aida Samb stylée en jean déchiré

La chanteuse Aida Samb stylée en jean déchiré

A peine arrivée à Dakar, Aida Samb reprend ses tournées et ce soir la chanteuse sera accueilli par les thiessois avec son mentor Youssou Ndour. La star adoptait un look très branché qui n’a échappé à personne. Fini les tenues confortables, Aida Samb dévoile un nouveau style.

Mata Sy Diallo quitte l’AFP de Moustapha Niasse pour le Grand parti de Gakou

L’ancienne ministre et responsable politique, Mata Sy Diallo, a annoncé, samedi, qu’elle quiitait l’Alliance des forces de progrès (AFP) où elle militante depuis sa création, en 1998, pour rallier le Grand parti (GP) d’El Hadji Malick Gackou.

L’ancienne ministre et responsable politique, Mata Sy Diallo, a annoncé, samedi, qu’elle quiitait l’Alliance des forces de progrès (AFP) où elle militante depuis sa création, en 1998, pour rallier le Grand parti (GP) d’El Hadji Malick Gackou.

Des militants de Kaffrine fidèles à celle qui est appelée affectueusement ’’la lionne du ndoucoumane’’ ont pris part à la rencontre.

Maty Sy Diallo a expliqué que sa décision de quitter son ancien parti a été motivée par ’’les nombreuses humiliations’’ dont elle a été victime durant ces dernières années , au sein de cette formation.

Parmi ces humiliations, elle a cité son éviction du premier gouvernement de l’ère Macky Sall intervenu, selon elle, au moment où elle était sur un lit d’hôpital, après une opération chirurgicale.

‘’C’est sur un lit d’hôpital que j’ai appris que ma formation a pris la décision de me sortir du gouvernement d’Adoul Mbaye, Premier ministre d’alors’’, a-t-elle indiqué.

Elle a remercié le président de la République Macky Sall qui, selon elle, ’’n’a pas suivi automatiquement la volonté de l’AFP et a attendu trois mois après avant d’entériner la décision’’.

Mata Sy Diallo a souligné qu’en tant que militante des premières heures de l’AFP elle a ’’enduré toutes les épreuves et tous les coups’’.

’’J’ai tout donné à l’AFP mais avec ces humiliations ma base m’a demandé de quitter l’AFP. Et aujourd’hui j’ai rejoint ma base sur cette, volonté’’, a-t-elle encore expliqué.

Le secrétaire général du GP, Malick Gackou, a remercié Mata Sy Diallo pour sa décision, qualifiant ce jour ’’d’historique dans la vie politique du Ndoucoumane, dans la vie politique du Sénégal et du Grand parti’’.

 ’’Mata Sy Diallo est un symbole et une référence dans notre pays’’, a-t-ajouté M. Gackou.
Aps

 

 

 

Message de Serigne Sidy Mokhtar Mbacké aux musulmans : « Unissons-nous, l’ennemi veille ! »

serigne sidy al moukhtar mbacke

L’UNITÉ DES MUSULMANS

Nous rappelons plus que jamais à tous nos frères musulmans les récentes recommandations de Serigne Sidy Moukhtar, Khalife général des mourides, lors de la Korité 2015, sur la nécessité de préserver leurs liens d’unité et de fraternité :

« Le Saint homme a invité les musulmans à s’unir pour éviter d’être bâillonnés par les forces ennemies armées par Satan. « Unissons-nous ! Cela nous permet d’être plus forts et de ne pas nous exposer aux manèges de l’ennemi » (…) Le Khalife Général de rappeler aux musulmans, la nécessité de faire preuve de tolérance et de solidarité à l’endroit de leur prochain. » (voir article)

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Ces recommandations s’inscrivent en droite ligne des principes de fraternité religieuse enseignés par Cheikh A. Bamba, qui nous enseigna :

« Ne considère jamais en ennemi toute personne que tu verras prononcer la profession de foi en Dieu.»

« Nourris toujours de bons sentiments envers l’ensemble des créatures de Dieu. »

«Ô Seigneur ! Préserve-moi de porter préjudice à mes proches, de même qu’aux étrangers, qu’ils soient musulmans ou mécréants. »

« Considère plutôt tes devoirs envers les autres sans exiger d’eux une quelconque contrepartie. Comporte-toi toujours avec les gens de la manière dont tu souhaiterais qu’ils se comportent avec toi. Et respecte en toute créature les Droits de Dieu, le Détenteur de la Majesté, l’Omnipotent, par considération pour Lui… » (Nahju)

«Ô Seigneur de l’univers ! Ô Toi qui Te situes au-dessus de tout esprit de revanche, accorde Ta miséricorde à l’ensemble des créatures, ô Toi qui peux diriger les égarés !» (Ya Rahmân, Ya Rahîm)

« Fais de moi un objet de félicité pour les Blancs comme pour les Noirs.»

«Ô Seigneur ! Fais de sorte que toute l’humanité obtienne des avantages à travers ma personne, ô Toi le Riche !».

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En analysant ce sens de l’ouverture bienveillante et de fraternité affectueuse de Serigne Touba envers l’ensemble de ses frères musulmans, avec qui il partage la même foi en Dieu, au même Livre Saint, au même Prophète (PSL) et aux mêmes principes, nous écrivîmes dans notre dernier essai KHIDMA :

« (…) Cheikh A. Bamba n’excluait dans ses références académiques aucun auteur musulman figurant dans sa bibliographie. Quelle que soit sa nationalité (qu’il soit arabe (comme Ghazali qui fut l’une des têtes de file de ses références durant sa jeunesse), maghrébin, mauritanien, sénégalais etc.), quelle que soit sa confrérie, son école juridique ou sensibilité religieuse. Car, ayant dépassé les clivages artificiels séparant beaucoup de musulmans de son temps (basés le plus souvent sur l’appartenance confrérique (ou usage d’un wird), les différences de références spirituelles, d’écoles juridiques etc.), il reconnut très tôt la valeur de tous les grands maîtres l’ayant précédé sur la Voie (qu’il nommait tous « shaykhuna », « notre Maître Untel… »). En essayant constamment et autant que possible, surtout dans ses premiers ouvrages, de mettre en exergue la pertinence des arguments respectifs justifiant leurs éventuelles divergences de vue ou différences d’approche, sans aucun parti pris, tout en prenant chaque fois la liberté d’adhérer ou non à leurs idées et d’exprimer ses opinions et visions personnelles (même dans les ouvrages antérieurs qu’il eut à versifier). C’est ainsi qu’il résolut la question des dissensions inter-confrériques ou entre obédiences en des termes que même nombre de ses disciples et beaucoup de musulmans d’aujourd’hui ont encore du mal à mettre en pratique :

« Sache que tous les wirds mènent le pratiquant vers la Proximité de Dieu, sans déviation aucune. Peu importe que ce wird émane de Cheikh Abdoul Khadre Djîlânî (fondateur de la Khadiriya), de Cheikh Ahmad Tîdjânî (fondateur de la Tidjianiya) ou d’un quelconque autre éminent Pôle spirituel (Qutb). Car ils sont tous dans la bonne voie et convient unanimement les aspirants spirituels (murîd) à l’adoration du Maître du Trône et à la rectitude. Garde-toi donc de jamais mépriser ou de critiquer un quelconque wird [ou confrérie] dans ta vie…» (Masâlik, v. 271-275)

En commentant ces vers, F. Dumont écrit dans son ouvrage « La Pensée Religieuse d’Amadou Bamba » (p. 98) :

« [Ces vers] ont une signification secondaire, mais non négligeable. Ils apportent un démenti définitif à tous ceux qui ont supposé, ou inventé, les tergiversations, oppositions ou compromissions entre Amadou Bamba et les autres chefs de confrérie, à propos de l’adoption d’un wird. On a vu les accusations portées contre le Cheikh Al-Khadîm à ce sujet. Or, non seulement le Cheikh respecte, en toute impartialité, le wird jilâni (qâdirite), ou tidjâni, mais il étend ce respect à tous les wirds (des autres confréries), pourvu qu’ils émanent d’un qutb authentique, c’est-à-dire d’un guide spirituel ayant acquis droit de cité.»

Fort de ces enseignements, Cheikh A. Bamba utilisa lui-même, successivement ou concomitamment, presque tous les wirds en vigueur dans son milieu et autorisa explicitement ses disciples à les utiliser sans aucune restriction (comme Mame Thierno Ibrahim, son frère et bras-droit, qui continuait ainsi d’utiliser le wird Khadre avec son autorisation), malgré l’existence d’un wird mouride spécifique. Qu’était, à vrai dire, un wird sinon un assemblage particulier de versets, de prières sur le Prophète et de litanies prescrites par un maître accrédité à ses disciples ? (…) » (« KHIDMA : La Vision Politique de Cheikh A. Bamba»)

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« Ô Seigneur ! Incite-nous à aimer tous les musulmans pour Ta Face et nous Te prions de leur inspirer de l’affection pour nos personnes.» (Matlabu Shifâ’i, v. 37)

« Ô notre Seigneur ! Incite-nous à toujours nous consacrer à la Khidma des musulmans et à nourrir de la compassion (Rahma) pour eux.» (Matlabu Shifâ’i, v. 36)

« O Seigneur ! Préserve-moi de porter préjudice à mes proches, de même qu’aux étrangers, qu’ils soient musulmans ou mécréants.»

[vidéo] : Gué-guerre PDS- APR: Marième Badiane compare Aida Mbodji à « Père Bou khar « 

http://www.dailymotion.com/video/x30pl3x_marieme-badiane_news

8 photos-Macky Sall et Alpha Condé au pole urbain de Diamniadio

Macky Sall et Alpha Condé au pole urbain de Diamniadio

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Que mijote encore Aida Ndiongue?

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C’est la grande préoccupation des uns et des autres. Car, à peine élargie, l’ex sénatrice s’organise. Elle a activé un réseau dit « Les Amis d’Aida Ndiongue » depuis… Thiès.

 

Est-ce en prélude aux décisives législatives puis Présidentielles que l’ex non moins mairesse des HLM s’active? Pourquoi a t’elle mis sur pied ce mouvement? Nos langues au chat. 

Quoi qu’il en soit, la bonne dame a jeté son dévolu sur un certain Ciré qui habite Thiès. Lequel, selon des radars de dakarposte, est au nombre de ceux qui se sont démenés comme de beaux diables pour son élargissement des lugubres géôles de Liberté 6.
Dans le lot des pièces maitresses de ce mouvement mis sur les fonts baptismaux par Aida Ndiongue, nos radars ont également identifié son infatigable ami Thiam de Kébémer, un certain Mbengue qui a eu à gouter aux délices du pouvoir pour avoir été coopté parmi la pléthore de conseillers de Wade à la Présidence.
Nous avons cependant pu glaner qu’elle peaufine une tournée nationale sous la bannière de son mouvement.

Dakarposte.com, qui continue de « creuser » vous promet la primeur sur ce mouvement des amis d’Aida Ndiongue. A tout à l’heure!

Agression de Macky Sall au Campus : l’Eglise catholique scandalisée… !

Les réactions se suivent, mais ne se ressemblent pas. Après les sorties d’hommes politiques sur le «caillassage» du cortège du Président de la République au Campus social de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, la semaine dernière, c’est au tour de l’Eglise catholique d’entrer dans la danse. A travers le Conseil national du laïcat, l’Eglise catholique du Sénégal se dit scandalisée par les évènements qui ont émaillé la visite du Président de la République à l’Université de Dakar.

Agression de Macky Sall au Campus : l’Eglise catholique scandalisée… !

«Les pierres jetées sur la Première Institution de notre cher Sénégal, même si elles ont manqué d’atteindre la personne du Président, ont honteusement porté atteinte à l’autorité suprême et ont profondément blessé le cœur de tous les Citoyens épris de justice et de paix, de civisme et de patriotisme», lit-on dans un document parvenu à la Rédaction de Actusen.com.

En effet, considérant que les pierres jetées à l’endroit de Macky Sall comme une insulte et une atteinte grave à l’Institution que représente le Chef de l’Etat, le laïcat catholique sénégalais condamne «fermement l’agression subie par le Président de la République, vendredi dernier, appelle tous les citoyens à plus de responsabilité, de respect et de conscience du bien commun pour un Sénégal humainement debout, socialement uni et économiquement prospère».
Pour le laïcat catholique du Sénégal, ce qui s’est passé ce jour, est en fait «scandaleux et bouleversant d’autant plus que ces événements ont eu pour théâtre, la prestigieuse Université Cheikh Anta Diop, dont la mission est de faire jaillir la lumière (lux) pour éclairer l’observance de la loi (lex) et chasser les ténèbres de l’anarchie et de l’ignorance», déclare-t-il.

A en croire les signataires de ce communiqué, un tel constat est, malheureusement, un élément probant de l’agenda et du terminus désolant qu’envisagent ces propos de Socrate repris par Platon : «Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie».

Actusen.com

Macky Sall passe le week-end à Popenguine

Macky Sall passe le week-end à Popenguine

Après une semaine super chargée à Dakar, le président de la République va passer le week-end à Popenguine. Macky Sall sera encore en compagnie de son nouvel ami, Alpha Condé. Ce sera pour les deux hommes d’approfondir les discussions et de passer en revue la coopération entre leurs pays. Mais auparavant, les chefs d’Etat sénégalais et guinéen vont se rendre au Centre de conférence international Abdou Diouf de Diamniadio.

 

Éperdument amoureuse, la célèbre animatrice Ya Awa Dièye fait du ….

ya awa dieye

Que les autres éventuels prétendants, ceux-là qui n’ont pas encore déclaré leur flamme à la plantureuse animatrice se le tiennent pour dit! Ya Awa Dièye est prise et éprise. Autrement dit, son coeur a déjà choisi son mec. A preuve, elle a été filmé ce vendredi après midi par des radars de dakarposte.com, en train de faire du shopping pour l’homme qui occupe ces temps-ci, ses pensées.

Il fallait la voir dans cette boutique « high level » (qui vend des fringues racées, assez griffées) nichée en centre-ville de Dakar. Apparue assez « liquide » dans une rutiante bolide, l’animatrice a pratiquement cassé sa tirelire, habitée qu’elle était par l’embarras du choix . Comme disait l’autre, l’amour a ses raisons que la raison même ignore et qui aime ne compte pas, fait des folies…
Reverdy soutenait qu’ »il n’y a pas d’amour, il n’ y a que des preuves d’amour. Et, Ya Awa prouve son amour… »

Dakarposte

Queen biz en toute sensualité

Queen biz en toute sensualité

Alpha Condé au pole urbain de Diamniadio: « Je suis impressionné… »

Alpha Condé au pole urbain de Diamniadio: « Je suis impressionné… »

 

Le président de la Guinée Alpha Condé s’est dit ’’impressionné’’, après une visite de chantiers avec son homologue sénégalais Macky Sall à Diamniadio dont le pôle urbain commence à sortir de terre.

‘’J’avoue que je suis très émerveillé par rapport à ce que j’ai vu à Diamniadio avec tous ces projets. Je pensais qu’il y avait seulement un aéroport en chantier à Diamniadio. Mais j’ai vu qu’il a y tout un centre urbain et industriel qui commence à naître’’, a laissé entendre le président guinéen. Il effectuait avec son homologue Macky Sall une visite de terrain à Diamniadio pour constater le niveau d’exécution des travaux des pôles urbains. Sur place des ouvriers sont à pied d’oeuvre. De gros engins, des pelleteuses et autres outils sont visibles un peu partout.

‘’Diamniadio est une belle vision et une grande idée qui va inspirer beaucoup de pays africains. En tous cas, moi ,je vais m’en inspirer. Je reconnais à Macky Sall cette vision futuriste qui permet de désengorger Dakar et de délocaliser beaucoup de structures’’, a souligné le président guinéen. ‘’ Dakar est comme Conakry. Ce sont des presqu’îles. Dakar dispose d’une belle corniche mais qui est en train d’être détruite par les constructions’’, a-t-il regretté, avant de faire part d’un projet similaire en Guinée.

‘’En Guinée, nous avons un projet qui vise à déconcentrer Conakry en libérant les voies et en nettoyant les rues qui sont très encombrées (…). Nous n’allons pas créer une nouvelle capitale comme certains pays l’ont fait, mais nous allons délocaliser plusieurs structures pour mieux déconcentrer la capitale guinéenne’’, a-t-il promis.

Arrivé jeudi après-midi dans la capitale sénégalaise, Alpha Condé a été reçu vendredi par son homologue sénégalais. Il a ensuite reçu la communauté guinéenne avant de s’entretenir avec des journalistes. Il s’est rendu avec le président Macky Sall à Diamniadio où il a visité des projets de construction d’un pôle urbain. Les deux chefs d’Etat se sont ensuite rendus à Popenguine pour un séjour dans la résidence secondaire du président Macky Sall. Cette visite de 72 heures prend fin dimanche.

Photo Coumba Gawlo Seck dans sa robe resplendissante à la soirée des travailleurs de la justice.

Coumba Gawlo Seck dans sa robe resplendissante à la soirée des travailleurs de la justice.

Coumba Gawlo Seck dans sa robe resplendissante à la soirée des travailleurs de la justice.

 

Soumboulou Bathily se proméne dans les rues de Dakar avec sa belle Voiture

Soumboulou Bathily se proméne dans les rues de Dakar avec sa belle Voiture

Coumba Gawlo, attention à l’âge de la diva !

Elle est toujours célibataire. Cette photo dit comme à Coumba : « Attention diva, t’as maintenant la quarantaine ! »

Elle est toujours célibataire. Cette photo dit comme à Coumba : « Attention diva, t’as maintenant la quarantaine ! »

Pape Cheikh et Fama Thioune, finie la Sen Tv !

Ils ont fini par se retrouver à la Tfm. Cette photo date du temps où ils étaient ensemble à la Sen Tv, qu’ils concurrencent maintenant. Le mot « jamais » n’est pas très prudent

Ils ont fini par se retrouver à la Tfm. Cette photo date du temps où ils étaient ensemble à la Sen Tv, qu’ils concurrencent maintenant. Le mot « jamais » n’est pas très pruden

Pape Diop jure n’avoir jamais sacrifié d’albinos

Pape Diop jure n’avoir jamais sacrifié d’albinos