Nos radars, fureteurs, qui ont fini de fouiner dans les bas-fonds de la République, sont formels : le Président de la République « va secouer le cocotier et bien même, au delà des espérances ». Autrement-dit, hormis ces ministres « au petit pied », « poids plume », qui n’existent qu’à travers les médias, il nous revient que devant la grogne montante des populations sur la situation notamment économique du pays, le sabre du Président, qui virevolte encore, va couper des têtes d’administrateurs de société et non des moindres. « Je vous dis, des mesures individuelles toucheront même parmi ceux-là qui ont été catalogués d’intouchables ou protégés par des lobbies », avons-nous pu glaner. Comprenne alors qui pourra.
Quid alors des bruits persistants sur des figures de proue de l’opposition annoncées dans le prochain attelage gouvernemental ? Notre interlocuteur se montre prudent. « Écoutez, je ne suis pas dans la tête du Président encore moins dans le secret des Dieux comme on dit pour vous donner des détails sur ces bruits comme vous le dites. Le dernier mot revient au chef de l’État, qui, comme vous l’avez annoncé, s’est retiré dans sa résidence secondaire de Popenguine ».
Cependant, Dakarposte a pu capter que derrière l’exercice de com’, c’est à dire le fameux match de football sur la plage de Popenguine, se cachent bien des choses notamment un subterfuge pour faire croire à certains que le chef de l’État passe le plus clair de son temps à lézarder et « tuer » le temps sur la plage.
En un mot, Macky, qui n’a d’yeux et d’oreilles que pour rempiler à la magistrature suprême, cherche encore la bonne ossature. Qui sera certes à forte connotation politique, mais à même de ne point décevoir le tribunal de l’opinion qui l’a plébiscité en 2012.
Le temps reste meilleur juge, comme disait l’autre !
Mamadou Abdoulaye Guissé a passé, hier, sa première nuit en prison. Le président de l’Observatoire de la musique et des arts (Omart) et par ailleurs, leader du Mouvement pour le salut du Sénégal/Foula ak fayda a été finalement placé sous mandat dépôt pour escroquerie au visa. Le nouveau pensionnaire de Rebeuss a été arrêté, mercredi passé, par la police de Pikine, suite à une plainte déposée par un certain Bécaye Diouf. Le plaignant affirme avoir versé la somme de 3,5 millions FCfa à l’allié du Parti démocratique sénégalais (Pds) qui avait promis de lui trouver un visa Schengen. A en croire le malheureux candidat à l’émigration, la remise a eu lieu en début août et M. Guissé s’était engagé à lui trouver le sésame dans un délai de 15 jours. Seulement, à la date convenue, le président de l’Omart lui a demandé de patienter car le visa n’était pas encore disponible. Il lui tiendra le même langage au second rendez-vous. Ainsi le jeune Bécaye Diouf a fini par réclamer son argent et son passeport. Seul le document lui a été remis. Furieux, il a fini par porter plainte.
Entendu, Mamadou Guissé a balayé d’un revers de main les accusations du plaignant. Il a réfuté catégoriquement l’histoire du visa. Le mis en cause a allégué que le différend est relatif à une créance de 75.000 FCfa. Selon ses explications, le plaignant en tant qu’adhérent à la structure de microfinance, lui réclamait ledit montant qui était dans son compte. Et comme il ne s’est pas exécuté, Bécaye Diouf a invité l’histoire du visa. Seulement, lors de leurs confrontations, le plaignant a maintenu ses accusations. Etant donné que le mis en cause n’en était pas à son premier coup, il n’a pas pu convaincre les policiers qui l’ont gardé à vue avant de le déférer hier. Et c’est mardi prochain qu’il devra s’expliquer sur les faits, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar.
L’habillement des jeunes d’aujourd’hui, surtout les filles, est décrié par nombre de personnes. Il est soit moulant, soit très léger, laissant parfois entrevoir des parties érogènes du corps. Les jeunes filles ont tendance à montrer un « balcon » bombé en faisant du « pathial ». Elles ouvrent parfois des fenêtres sur leurs cuisses avec des fentes osées sur leurs habits. Des fois, elles laissent entrevoir leurs tours de rein entourés de perles « bine-bine » ou de tatouages. Nombre d’entre elles, de par leurs habillements, ne peuvent pas passer une journée sans laisser entrevoir leurs slips, comme les hommes laissent apparaître leurs caleçons. Un comportement qui, pour nombre de personnes de la vieille garde, favorise certaines crises d’hystérie imputées à …Djinné Maïmouna.
Village traditionnel lébou, Ngor s’enracine tant bien que mal dans ses coutumes. Sous l’ombre d’un bâtiment quasiment rattaché à une mosquée, un groupe de vieillards attend l’appel du muezzin pour la prière de 17 heures. Oumar Mbengue, vêtu d’un caftan marron, bonnet noir sur la tête, a dépassé la soixantaine. Musulman et très ancré dans sa culture léboue, le vieil homme ne peut concevoir l’habillement «vulgaire» adopté aujourd’hui par une frange de la population juvénile. Et ce qui l’écœure le plus, ce sont les petites tenues que jeunes garçons et filles portent même dans la cour de la maison. En effet, les caleçons, boxers et autres habits légers que certains se permettent de porter devant même leurs parents, ou le fait que certaines femmes ou filles mettent des pagnes mal nouées qui dévoilent leur intimité, indisposent le vieux lébou. «Un musulman doit toujours se conduire comme un musulman. Mais de nos jours, les jeunes se comportent n’importe comment pour ne pas dire comme des sauvages. Ce qui est à bannir», se désole-t-il.
Des proies faciles pour “Djinné Maïmouna”
A côté de lui se trouve un vieux qui, dès qu’il a entendu la discussions, s’est intéressé au sujet, voulant y ajouter son grain de sel. Très en verve, Adama Guèye, puisque c’est de lui qu’il s’agit, martèle: «Jadis, on s’habillait pudiquement dans les maisons, afin de permettre à la famille de bien copier sur les bonnes habitudes. On n’osait pas se promener en culotte dans la cour de la maison. Mais aujourd’hui, la jeunesse se démarque de ces vertus et adopte des habitudes dont les conséquences restent toujours néfastes». Et parfois, les conséquences peuvent être désastreuses pour la santé de ces jeunes mêmes. «Il n’y a Pas très longtemps, on entendait parler du ‘’Djinné Maïmouna’’ qui a fait des ravages dans les écoles. C’est une conséquence directe de ces genres d’habillement indécents et impudiques. Car s’habiller de la sorte fait de vous une proie facile pour les mauvais esprits (farourapp)», explique-t-il.
De l’autre bout du quartier, plus exactement devant la plage, un groupe de femmes cuit des beignets et amuses-bouche pour les vendre aux nombreux jeunes venus se prélasser à la plage. Mané Thiaw, vêtue d’un pagne multicolore assorti d’un petit foulard et d’un body, ne mâche pas ses mots. Selon elle, les parents doivent aider à bannir ces comportements incriminés. « Les jeunes tendent vers une attitude irréversible. Nous parents, nous nous efforçons à leur inculquer des valeurs. Mais ils (les jeunes) dévient toujours. Un jeune qu’il soit homme ou femme, doit éviter les mauvaises manières. Imagine un garçon qui se balade en caleçon», fustige-elle. La dame renseigne même que ce comportement peut engendrer des problèmes de santé sérieux. « Ça peut même les conduire jusqu’à une infertilité ou attirer les mauvais esprits (farourapp ou djinné Maïmouna). Les temps ont changé en apportant avec eux les bonnes manières. De plus en plus, les jeunes adoptent une attitude qui peut leur être fatale» explique-t-elle.
“Que les gens arrêtent de nous tympaniser”
A quelques mètres de là, dans une ruelle longue et étroite embaumé d’une odeur nauséabonde, des hommes et des femmes, assis devant leurs concessions, discutent. Un jeune homme, qui a requis l’anonymat, pense lui que le monde évolue et les mentalités doivent également l’être. «Je n’y vois point de mal car je me traine en caleçon chez moi devant tout le monde, ça ne dérange personne. Ce qui est grave, c’est de le faire en dehors de sa maison. Les filles d’aujourd’hui ne savent plus nouer un pagne comme le faisaient nos parents parce que le type d’habillement a changé. Je ne pense pas que ce soient ces attitudes qui sont à l’origine de l’infertilité. Je ne vois pas non plus le rapport entre l’habillement et les mauvais esprits, comme le pense la plupart des gens. Ce genre d’incident peut arriver à tout le monde, garçon ou fille», estime notre interlocuteur.
Si du côté des parents, les conséquences de ces mauvais comportements sont bien réelles, du côté des jeunes, le discours est tout autre.
Astou est une fille de teint clair, taille élancée, âgée de 20 ans. Sa conviction est que les gens qui parlent ont vécu leur vie et doivent laisser les gens vivre leur vie. «Quand la vie avance, on doit avancer avec elle. L’habit ne fait pas le moine. Nous sommes en été, s’habiller légèrement n’est pas défaut. Chez nous, on est libre de faire ce que bon nous semble. Il n’y a rien de mal à se promener en short. Les gens voient toujours les choses d’un mauvais œil et ceux qui nous tympaniser sont ceux qui font pire dès qu’on leur tourne le dos. On dit souvent que les habits courts sont à l’origine des ‘‘garou rapt’’. Je n’y crois pas. Je pense qu’il est temps de se démarquer de ces fausses idées qui ne font que nous retarder. S’il y’a des comportements à bannir au sein de notre société, c’est l’indiscipline, l’égoïsme et l’hypocrisie de certaines personnes», lance-t-elle, avec un déhanchement satanique. Une manière de narguer tous ceux qui mal y pensent.
Oustaz Gningue :«L’animalité s’invite dans nos familles »
Oustaz Gningue, très ancré dans la religion musulmane, déplore l’attitude de certains jeunes. «La non maitrise de sa religion et une éducation non encadrée sont à l’origine des mauvaises habitudes. Ce qui fait que les jeunes ne savent plus quoi porter. Une personne est plus valeureuse que l’or. Elle doit savoir couvrir son corps surtout ses parties les plus intimes», enseigne-t-il. «Ces attitudes n’existaient par chez nos ainés. Ils s’habillaient pudiquement. Nos mères s’enrobaient avec, parfois, sept pagnes (seurou rabal). Et quand Dieu nous interdit une chose, ce n’est pas pour rien. Il veut nous protéger contre tout danger comme les mauvais esprits ou encore l’infertilité», déclare-t-il.
Selon lui, les parents doivent donner le bon exemple pour espérer bien éduquer leurs progénitures. «Les parents aussi s’habillent à moitié nu. Donc comment les enfants peuvent ne pas les copier. C’est l’animalité qui s’invite dans les familles. La plupart des cas de viols au sein du foyer est du à l’habillement indécent des jeunes surtout du côté des filles qui, souvent, sont leurs propres victimes. Et aussi, il y a la négligence de certains parents qui se comportent de plus en plus comme des sauvages aux yeux de leurs enfants», soutient le maître coranique.
Oustaz Gningue n’a pas manqué de brocarder «les médias (qui) contribuent à cette l’influence» et l’influence négative de l’occident sur nos sociétés. Les médias, pense-t-il, «doivent mettre ce qu’il y a de bon à la disposition de population. Comment ? En filtrant les feuilletons et censurer certaines émissions». Aussi, ajoutent-il, les stars du showbizz participe à cette déviance dans le port des jeunes, en portant des habits indécents que les jeunes ont tendance à copier .
Interdit de voyager et de parler à la presse, caution de sa liberté provisoire, Serigne Assane Mbacké n’entend pas se plier. Le jeune Mbacké-Mbacké a lancé un défi à la justice. « Je voyage quand je veux ; ils ne peuvent me l’interdire », a d’abord dit le soutien de Karim Wade.
Sur la prise de parole en public, « je leur réserve une surprise pour vous prouver que je parlerai quand je veux et de ce que je veux. On ne peut nullement me l’interdire », a dit celui qui s’attend à un non-lieu dans le dossier de l’incendie des biens de Cissé Lô qui l’a conduit en prison.
D’ailleurs, il envisage de poser des actes qui vont prouver que son engagement est renforcé et que le combat qu’il mène ne fait que commencer.
Mamoudou Wane, le directeur de publication du journal EnQuête a été inculpé, hier, par le juge du sixième cabinet d’instruction qui l’a placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de sortie du territoire, informe Le Populaire. Et, d’après le journal, ce n’est pas pour l’affaire sur les affectations des soldats dans les zones militaires publiées dans son site lignedirecte qui lui avaient valu d’être convoqué par la Section de recherches de la gendarmerie il y a un peu plus d’un mois. En fait, renseignent nos confrères, le juge Augustin Diouf l’a inculpé à cause du dossier Wari, la fameuse bataille judiciaire que se mènent les trois actionnaires. Le juge du sixième cabinet tient grief à notre confrère de publication d’actes de procédures avant audience publique et diffamation.
De retour d’une tournée Européenne, Pape Diouf et la génération consciente ont cassé la baraque au just 4 u ce vendredi. Revivez les moments forts en images.
Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne assure qu’il n’a jamais été la cible de jets de pierres lors du passage de la caravane citoyenne à Sédhiou. « Ce qui a été relaté est contraire à la réalité. Nous avons trouvé des jeunes qui venaient d’être dispersés par la gendarmerie. Dix d’entre eux ont été arrêtés. J’ai voulu m’enquérir de la situation lorsqu’on m’a notifié qu’ils avaient violé une interdiction du préfet ; on a discuté rapidement et je leur ai dit que l’interdiction du préfet est sacrée. Si c’était autre chose, j’aurai pu intervenir ; mais, quand on viole la loi, personnellement, en tant que ministre de la Construction citoyenne, je ne peux pas encourager ce genre de comportement. Voilà ce qui s’est passé. Ces jeunes ne manifestaient pas contre nous, ils manifestaient pour avoir l’électricité et leur manifestation était interdite par le préfet deux jours auparavant. En quoi est-ce que nous étions mêlés à cela ? », s’interroge Mame Mbaye Niang qui ajoute : « On a simplement voulu s’arrêter et s’informer de ce qui se passait et c’est cela la réalité des faits ».
L accident aurait pu être grave et sa conclusion, rose bonbon, a été orchestrée de toutes pièces par les responsables chinois: le caméraman qui avait fauché Usain Bolt jeudi a remis au Jamaïcain un petit collier en guise d excuses, vendredi aux Mondiaux de Pékin.
Le bref échange, qui n a pas excédé quelques secondes, s est déroulé à l issue de la cérémonie de remise des médailles du 200 m, où Bolt a pris possession de sa 10e médaille d or mondiale.
Sous les yeux de responsables chinois, le caméraman s est timidement avancé vers le géant jamaïcain, qui venait de terminer les photos officielles au pied du podium. Après avoir serré la main de l autoproclamée légende vivante du sprint, le caméraman a ouvert la boîte, dévoilant un collier qu il a ensuite passé autour du poignet de l athlète, souriant.
Bolt et le caméraman se sont ensuite de nouveau serré la main, sous le crépitement de nombreux flashes de photographes. Bolt s est ensuite engouffré dans le tunnel du stade, non sans avoir tapé amicalement sur l épaule du caméraman et en levant le pouce à son attention. Le cérémonial de remise de ce petit cadeau était d autant moins improvisé que jeudi, les images de l incident n ont pas été diffusées par les Chinois, volontairement. Mais c était sans compter sur les réseaux sociaux, qui ont abondamment relayé la collision, images et vidéos à l appui, immédiatement après le choc qui a renversé Bolt et aurait pu être beaucoup plus grave.
Alors qu il célébrait son nouveau titre de champion du monde du 200 m, Usain Bolt a été renversé par ce caméraman local qui le filmait en circulant sur un Segway (un gyropode électrique, engin à deux roues permettant de se déplacer) en bord de piste. Le choc, spectaculaire, a fait chuter le sextuple champion olympique de sprint sur le postérieur, assez violemment, comme un tacle par derrière réalisé par un footballeur maladroit.
L’artiste chanteur, Moussa Ngom, donne encore une preuve de vie. Lorsqu’il est arrivé ce jour, vendredi 28 août, il n’a pas hésité à s’afficher avec…un large sourire
Ce vendredi 28 août, Khady Ndiaye Bijou rend hommage à sa grand-mère la 13e année de sa disparition. On peut lire sur sa page facebook :
« 13 ans déjà que tu es partie Mama Mboye mais turque toujours gravée dans nos mémoires. J’ai jamais vue une grand mère autant aimer ses petits enfants. Yalla nala Yalla faye linga niou defal yeup kharé la aldiana. Lima méti rek féké wo sama djeurigne mame. Nous t’aimerons toujours mame Mbéne »
L’homme le plus riche d’Afrique, Aliko Dangote, le lundi a perdu plus de 700 millions de dollars suite à une intense pression des marchés mondiaux en raison de la crise économique de la Chine. Il se joint à une longue liste de milliardaires dont les fortunes ont chuté au cours des derniers jours.
Selon Bloomberg Billionaires Index, Dangote a perdu 708 600 000 car les actions chinoises ont coulé bas après une déroute le 24 Août que l’agence de nouvelles officielle de l’Etat, Xinhua, a surnommé «lundi noir». Dangote a gagné 79.2m $ de gain du jeudi à vendredi la semaine dernière, et a perdu la même somme d’environ neuf fois plus.
L’homme de 58 ans, était l’un des 197 milliardaires qui ont perdu des milliards de dollars en 24 heures, avec seulement trois des 200 milliardaires du monde entier faisant gain sur le «lundi noir».
Wang Jianlin, l’homme le plus riche de l’Asie, et Bill Gates, l’homme le plus riche du monde, ont perdu 3,6 milliards de milliards de $ et 3,2 $, respectivement.
Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, a perdu 1,7 milliard $, le plaçant derrière Warren Buffet, numéro 3 des milliadaires du monde, qui a perdu 2 milliards de $.
Les trois seuls gagnants étaient Alwaleed al-Saud, un magnat des affaires en Arabie; Tadashi Yanai, fondateur de Japanese Fast Retailing; et Petr Kellner, un homme d’affaires tchèque. Ils ont gagné 169 millions $, 105,5 millions $ et 87,3 millions respectivement.
basé en Suède, l’homosexuel Amzozo d’origine sénégalaise n’a plus froid au yeux après 2 célèbres vidéos qu’il avait partagé sur Facebook, l’homo continu de fair du buzz!!!
Les Lions ont enfin touché leurs primes de préparation et de participation (1million 800 mille pour chaque joueur) à l’Afrobasket masculin qui se déroule en ce moment en Tunisie. Et cela, suite à l’arrivée du directeur de Cabinet du ministre des Sports, Ibrahima Ndao, dans la matinée d’hier, sans son patron, Matar Ba grippé. «Il tenait à venir, mais il est convalescent. C’est pour cette raison qu’il a différé son voyage», confie M. Ndao. Le directeur de Cabinet a débarqué avec dans ses bagages les sous représentant les primes dues à la délégation pour la campagne. Des primes qui étaient attendues depuis le début de la compétition. En attendant les autres primes de victoire qui vont suivre durant le parcours de la bande à Gorgui Sy Dieng.A noter que la délégation sénégalaise est composée de 23 personnes dont les joueurs, les staffs, technique et médical, le directeur technique national, l’intendant, le chargé de communication, le délégué fédéral et les représentants du ministère des Sports. Le président de la Fédération sénégalaise de basket est aussi présent, accompagné de l’ancien trésorier du Comité de normalisation, Pathé Keïta, de Diéry Dia, ancien trésorier de la Fédé, mais également de l’ancien international, Mathieu Faye, candidat malheureux à dernière élection de l’instance fédérale. Il y a également l’ancien président du Comité de normalisation, Serigne Mboup, qui a tenu à venir soutenir les Lions. Source : LeQuotidien
28 août 2014 – 28 août 2015. Il y’a un an se faisait assassiné au Maroc, le sénégalais Charles Ndour. Sa famille qui vit à Joal continue de réclamer Justice.
Pour Antoine Ndour, père du défunt : « nous avons pris un avocat au Maroc. Depuis le mois de février, le procès s’est ouvert. J’interpelle le Président de la République pour qu’il m’aide à régler l’avocat. Je veux que justice soit faite pour mon fils. Tant qu’il n’y a pas un avocat qui défend les intérêts, la justice ne pourra jamais être faite » a indiqué le papa du défunt Charles Ndour sur les ondes de la Rfm.
Nous avons joint au téléphone Moustapha Cissé Lo pour recueillir ses impressions après la libération de celui qui s’est déclaré être son bourreau. Mais le deuxième vice-président de l’Assemblée Nationale n’a pas été ébranlé outre mesure. L’honorable député a pris la nouvelle avec philosophie. «Je me jouis de la manière dont la justice a instruit cette affaire de sérigne Assane Mbacké qui se croyait intouchable. Raison pour laquelle je n’ai pas de commentaire sur la liberté provisoire qui lui a été accordée et qui est un pouvoir discrétionnaire du juge. Maintenant en tant que partie civile, j’attends avec impatience le procès en diffamation. Ce jour-là je vais prouver que ce jeune mara est un menteur de la pire espèce », a-t-il laissé entendre au bout du fil. Dakarposte.com
Le coordonnateur national du Pds reste toujours scotché à la décision prise par le Comité Directeur du Pds qui a choisi Karim Wade, en dépit de son incarcération, comme seul et unique candidat du Pds, à la prochaine présidentielle. Ce jeudi, alors qu’il participait en tant qu’invité, à la conférence de presse du mouvement AssKaw (Actions de solidarité et de soutien à Karim Wade), il a réitéré cette position.
En ce sens, il a appelé tous les mouvements karimistes à venir fusionner avec AssKaw. Car, dit-il persiste-t-il, «il n’y aura pas de plan B à propos de la candidature du Pds à la prochaine élection présidentielle. Karim Wade restera le candidat du Pds, qu’il pleuve ou qu’il neige».
Devant des karimistes déterminés à voir leur leader humer l’air pur de la liberté, Oumar Sarr, a signifié que le «mouvement citoyen AssKaw est en train de mener le même combat que le Pds à savoir la libération de Karim Wade et sa présentation à l’élection présidentielle.
«Pour nous au Pds, il s’agit d’un même combat. D’un combat citoyen pour des revendications citoyennes, pour défendre la justice, les libertés au Sénégal et concernant un Sénégalais (Karim Wade)… C’est le candidat du Parti démocratique sénégalais à la prochaine élection présidentielle. Qu’il pleuve ou qu’il neige, nous allons faire en sorte qu’il soit le candidat effectif du Parti démocratique sénégalais. Il n’y a pas d’autre alternative», a tonné Oumar Sarr, non sans souligner que «le Pds, principal parti politique au Sénégal, ne peut pas ne pas avoir de candidat».
A sa suite, le chargé de communication du mouvement AssKaw, Gallo Tall a soutenu que «nous allons multiplier les actions afin d’étendre notre mouvement partout à travers le pays et même au delà, pour libérer puis élire Karim qui est, et reste notre unique candidat à la prochaine élection présidentielle».
Au Sénégal, depuis un certain temps, la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans fait la une des discussions dans le pays. Entre les partisans de la réduction du mandat et ceux qui penchent pour le statu quo, opposition comme partisans de la mouvance présidentielle, les débats font rage et font couler beaucoup d’encre.
Le président Sall a toujours déclaré qu’il ne fera pas un mandat de 7 ans. Il l’avait aussi affirmé en France, quand Nicolas Sarkozy été encore le patron de l’Elysée.
Aujourd’hui, la fille du président de la République du Sénégal revient à la charge. Elle rappelle à son père son devoir de morale ou tout simplement d’éthique. «Papa, il faut garder le même engagement. Promet-moi que tu ne feras que 5 ans… Tu l’avais dit durant la campagne, je l’ai bien entendue». C’est du moins des propos que rapportent une dame très proche de la famille présidentielle et qui a ses entrées au palais de la République.
Selon la jeune dame proche de la famille Faye Sall, qui s’est confiée à Times24.info, «ce jour-là, j’avais presque les larmes aux yeux», raconte cette habituée du palais présidentiel. Elle y est souvent pour tenir compagnie à la première dame Marième Faye Sall.
Toujours selon cette dame, «certains membres de la famille présidentielle ne sont pas en phase avec le président Macky Sall, à propos de l’arrestation du fils d’Abdoulaye Wade. Elles souhaitent que Macky libère Karim». D’après elle, la famille du président Sall est touchée par cette arrestation.
Rosso a présenté son tout premier album intitulé « Rosso Indépendant », ce matin, face à la presse. Ce jeune rappeur sénégalais s’est longtemps investit dans la musique sénégalaise. Ce qui a, d’ailleurs, fait que, depuis quelques années, il compte parmi les valeurs sûres du Mouvement hip hop sénégalais.
Un parcours riche.
ROSSO a fait ses premiers pas dans le mouvement hip hop en 2008 avec le groupe Family Game. Après des mois de travail acharné, il sort en 2010 son premier single ”beug beug life” avec Bario Nix du groupe Alien zik qui jusqu’à ce jour toujours ravit les mélomanes.
Le style possède ROSSO, ses paroles matures et sans censure, déjà marquant au sein du mouvement hip hop sénégalais, révèlent sa Mixtape de 20 titres sortie en Novembre 2012.
Se disant que certaines vérités sont parfois bonnes à dire, Rosso se pose en observateur d’une société déliquescente. Dans un style captivant il expose parfois les maux de sa société sans prétendre être un quelconque sauveur.
Rosso aborde dans sa musique des thèmes classiques du rap à savoir : la détresse d’une jeunesse perdue, sa révolte contre le système qu’il juge injuste et le désir de pouvoir s’exprimer librement. Cependant, en dépit de ses textes engagés, Rosso possède aussi des qualités d’ingénieur en son.
Ayant toujours rêvé de s’autoproduire et animé par la grande envie de montrer à tout le monde qu’il y a des rappeurs qui ont du talent à Grand-Yoff, Rosso prend l’initiative de mettre sur pied le Home Studio Recording”Advice Music”.Sa mixtape ”Avant l’album” pur produit de son studio esttoujours en phase promotionnelle depuis sa sortie en novembre 2012.
ROSSO y a travaillé avec de grands rappeurs sénégalais en l’occurrence MASS (Black Diamonds), Books (SEN KUMPE), NIX, Falsower (23.3), et tant d’autres.
« Avant l’album », le produit, qui s’est imposé de lui-même, a créé de nombreux fan’s club sur les réseaux sociaux et un peu partout au Sénégal.Après ces collaborations avec les artistes du haut niveau, Rosso décide de partager avec son public ses aspirations profondes sur la musique.
Son premier album intitulé « Independant » bouclé, sortira dans les bacs le 15 Août 2015. Cette œuvre spéciale montre la philosophie d’un artiste libre dans ses choix, indépendant dans sa vision et ses goûts .Tout cela se perçoit dans le type de musique de l’album à venir, du rythme and blues riche en mélodies, soft et très captivant.
Aujourd’hui, Rosso s’est fixé un objectif qui est de devenir l’un des meilleurs artistes-musiciens rappeurs de sa génération.
Ses preuves dans la musique
Il a fait plusieurs spectacles. Le jeune artiste fut l’un des invités spécial du festival FESTA2H, un grand festival pluridisciplinaire qui réunit chaque année les propositions les plus détachées du mouvement Hip Hop et de la culture urbaine actuelle. Ainsi, ce festival « est une plate-forme d’actions, qui permet de comprendre un mouvement culturel qui est articulé autour des langages artistiques les plus variés : la musique (rap, reggae, raggae, Rnb), le cinéma, la peinture (graffiti), la danse (Break dance), la mode (street wear) et le Spoken Word (slam) » lui a permis d’être connu par un public beaucoup plus large.
Par ailleurs, Rosso a aussi participé au Grand festival de musique organisé par l’illustre rappeur Dou E TEE en partenariat avec la chaine 2STV, le jour du 21 juin,fêté de la musique.
Il ne s’arrête pas là, Rosso fut l’invité de toutes les grandes missions du petit écran. Sa présence au “grand rendez-vous”, émission réputée pour son prestige intellectuel, reste toujours gravée dans les mémoires.
Actuellement, suite à la sortie de son premier album « Indépendant » .Rosso prévoit un grand concert dédié à ses inconditionnels le Samedi 10 Octobre 2015.
Le 5eme khalife de Serigne Touba de son vrai nom Serigne Saliou est un immortel pour la jeunesse et le monde Islamique. Avec son enseignement riche en qualité et de valeurs, le dernier fils de Bamba sur terre a bien mené sa mission. De khelcom à Touba en passant par Mbacké et tout le Sénégal, Serigne Saliou a bien formé des hommes aujourd’hui. Grand cultivateur, le marabout a su gardé jalousement l’héritage de son père Bamba jusqu’à son dernier souffle. Le Sénégal pleure toujours le dernier fils de Bamba sur Terre.
Bonne nouvelle pour la ministre Déléguée chargée de la Restructuration et de la Requalification des Banlieues. Fatou Tambédou a donné naissance à un petit garçon, la semaine dernière. Le prénom du bébé, Serigne Babacar Sy, a été dévoilé ce vendredi à Dakar, à l’occasion du baptême. Une cérémonie sobre présidée par Serigne Moustapha Sy Ibn Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine. Elle avait été admise à la maternité d’une clinique à Dakar où l’accouchement s’est déroulé de la meilleure façon.
Depuis l’annonce d’un probable remaniement gouvernemental, les commentaires vont bon train et les supputations les plus folles emplissent la place publique. Quand certains parlent d’une entrée en masse des anciens collaborateurs du Pds dans le prochain gouvernement, d’autres spéculent sur le nom du futur premier ministre.
Des sources généralement bien informées avancent que Mahammad Dionne ne sera pas aux commandes de la prochaine équipe. L’homme, poursuivent nos sources, aurait demandé à Macky Sall de le libérer tout gentiment. “Il peut s’agir d’un problème de santé car Momo ne serait pas très forme mais on peut aussi agiter un problème d’éthique car l’homme ne saurait s’accommoder de certaines gymnastiques politiciennes notées chez son patron”, nous dit notre interlocuteur.
Le 3ème tigre de Fass est formel, Bombardier n’est pas son roi. Si l’enfant de Mbour est aujourd’hui un roi des arènes qui doit conforter son règne, Gris Bordeaux lui rappelle qu’il est son empereur. “Bombardier Mako defal bagass. Je l’ai battu, alors il doit me supplier pour m’affronter. Je ne suis pas demandeur pour affronter Bombardier. Mes adversaires sont nombreux dans l’arène. Des promoteurs appellent mon staff pour démarcher mes combats” lâche Gris Bordeaux en entretien à la 2S.
Le chef de file de Fass, semble ouvrir la porte à Balla Gaye 2, qui selon lui reste un adversaire potentiel. Ça tombe bien, puisque Balla Gaye aussi ciblerait Gris pour son retour, mais en 2017 au retour d’exil. Reste à savoir, si Fass acceptera de vivre une année blanche, si Eumeu décroche Bombardier.
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