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Vidéo: Infos people dans dans Yewoulen Du 02 Septembre 2015

Vidéo: Infos people dans Petit Dej de walf tv du 2 septembre 2015. Regardez

Vidéo-Révélation de Ibrahima Thomas: « Nouas avons acheté nos billets d’avion avec l’argent des primes »

El Hadj Diouf reste le footballeur sénégalais le plus connu

El Hadj Diouf reste le footballeur sénégalais le plus connu

El Hadji Diouf est l’un des footballeurs sénégalais les plus connus en Namibie. Il doit cette célébrité à la victoire acquise par les Lions en Namibie en 2001 et surtout à ses exploits lors de la Coupe du monde 2002. Son passage à Liverpool est toujours évoqué du côté de Windhoek.

Urgent – Incendie de l’immeuble à Paris: 4 Sénégalais parmi les huit morts

incendie

 

L’enquête privilégie la thèse de l’incendie criminel. Le sinistre s’est produit dans la nuit du mardi au mercredi au 4, rue Myrah, dans le 18e arrondissement parisien.

Les flammes ont fait huit morts parmi lesquels, quatre Sénégalais. Une famille entière qui est originaire de Missira. Le père, la mère et leur deux enfants ont péri sous les flammes laissant derrière eux des proches meurtris, selon la Rfm qui donne l’information.

Les présumé responsable a été arrêté et le propriétaire de l’immeuble répondant au nom de El Hadjie Karamoko Tandian se trouve présentement en vacance au Sénégal.

Youssou Ndour transforme les vacances citoyennes en campagne électorale pour Macky

Youssou Ndour transforme les vacances citoyennes en campagne électorale pour Macky

Youssou Ndour est absolument le Roi du Mbalakh et personne ne peut contester sa suprématie. Un grand homme de la musique reconnu à travers le monde entier. Autant les français ont leur « Johnny Halliday » et les Anglais leur « Elton John », les Sénégalais ont leur « Youssou Ndour« .
Mais ce héros de la musique Sénégalais se transforme en un mercenaire qui se met au service du plus offrant. Car l’on est obligé de se demander « combien Youssou Ndour a-t-il touché pour se mettre au service de Macky au point de transformer les vacances citoyennes en une campagne électorale déguisée ? »…
Tout le monde regarde la tournée du ministre de la jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne, Mame Mbaye Niang dans les régions du Sénégal dans le cadre des vacances citoyennes. Et avec lui, le plus grand chanteur du Sénégal, Youssou Ndour.
Ces vacances qui se voulaient nobles et citoyennes ont pris l’allure d’une vaste caravane de campagne électorale. On peut comprendre que le ministre fasse allusion aux chantiers et aux réalisations de son patron Macky Sall…Mais quand Youssou Ndour s’y met, on se pose mille et une question : Pourquoi Youssou se transforme en griot des réalisations de Macky Sall alors qu’il est payé uniquement pour animer ?
Payé grassement pour chanter, Youssou accélère la cadence et vante les réalisations de Macky Sall à chacun de ses concerts. Son concert le plus récent fut celui de Ziguinchor on a entendu Youssou crier :
–N’acceptez pas d’être des paysans mais des cultivateurs…Avec Macky on est moderne, c’est fini ça !
-Macky a mis un programme de 900 millions disponibles
-Le Fongip est là, il faut demander à Doudou Kâ (sachant qu’il est à Ziguinchor)
-Macky dou Nakhaté, Mame Mbaye Niang dou Nakhaté, mane dou ma nakhaté…
C’est grave ! Le Roi du Mbalakh s’est transformé en directeur de campagne de Macky Sall…
Pour quelqu’un qui n’avait pas effectué depuis longtemps une tournée nationale, il accepte de se mettre au service des vacances citoyennes…Pour combien de milliards ?
Pour quelqu’un qui chantait uniquement au Grand Théâtre ou au Cices, il accepte aujourd’hui de chanter dans les quartiers de Dakar et dans les coins les plus reculés du Sénégal…Pour combien de milliards ?
You a touché combien pour se passer de roi du Mbalakh à Roi des crétins ?
L’argent fait des merveilles…Au fait que You nous dise combien sinon la CREI le fera après la chute de Macky en mars 2017…Ce jour-là ni lui, ni Macky et sa Cour ne sortiront du Sénégal…
Penda Sow pour xibaaru.com

 

Route de l’aéroport : Un taximan heurte mortellement un ancien militaire et s’enfuit

Route de l’aéroport : Un taximan heurte mortellement un ancien militaire et s’enfuit

Encore des taximen qui s’illustrent. Après la passerelle de Cambérène, l’urinoir de la Cité Keur Gorgui et les escaliers du Sea Plaza, c’est au tour du «taxi- tueur». Selon des sources, celui-ci, roulant à vive allure, a mortellement heurté de plein fouet un ancien militaire avant de le traîner sur le goudron de la route de l’aéroport, juste après le virage qui donne accès au stade Léopold Sédar Senghor (Dakar). Il était un peu plus de 19 heures.
Sa tête ensanglantée, pour ne pas dire carrément amochée, son tee-shirt déchiqueté et son short en lambeaux témoignent de l’ampleur du «diri» (roulage). Inutile de vous dire que la scène a ému plus d’un. Les plus émotifs fuyant dès le premier coup d’œil. Renseignement, l’homme répondait au nom d’Emmanuel Sarr, 47ans.
Sans doute surpris par la tournure des choses, le «taxi-tueur» a pris la poudre d’escampette sans attirer la moindre attention des
témoins de la scène. Pas de trace de l’immatriculation du véhicule. Rien. Comme s’il s’était évaporé. Les sapeurs-pompiers se sont pointés 30 minutes après pour récupérer le corps sans vie qu’ils vont déposer à l’hôpital.

Dakaractu.

Malèye Ndoye, capitaine des Lions crache ses vérités: « On mangeait ensemble et on payait nous-mêmes »

Malèye Ndoye, capitaine des Lions crache ses vérités: « On mangeait ensemble et on payait nous-mêmes »

Le capitaine de l’équipe nationale de basketball est revenu sur la vie de groupe lors de l’Afrobasket à Tunis. Pour Malèye Ndoye, il y avait des impairs sur le plan de l’organisation et de restauration. Selon lui, la nourriture qui leur était servie n’était pas “au top”, mais il payait quand même de leur poche et cela ne les a pas dérangé.
“C’était positif. Les joueurs qui ne jouaient pas beaucoup, encourageaient ceux qui étaient sur le terrain. Comme dans les tournois, la nourriture n’est pas au top, mais on mangeait ensemble et on payait nous-mêmes, cela ne nous dérangeait pas. C’est grâce à cet esprit de groupe que nous avons atteint les demi-finales. Pour un tournoi, c’est important d’avoir un groupe soudé”, a confié Malèye Ndoye à nos confrères de Stades

ilovesenegal.com

 

Afrobasket 2015 : Ibrahima Thomas confirme que Gorgui Sy Dieng dépensait pour eux

RTS: Francesca Diafouné louange Mimi Touré et reçoit une demande d’explications

RTS: Francesca Diafouné louange Mimi Touré et reçoit une demande d’explications

Qui l’aurait cru ? A la RTS, les anciens premiers ministres du Sénégal n’ont pas droit à des éloges. L’animatrice Francesca Diafouné qui s’est livré à cet exercice lundi dernier dans son émission « Jega ak kërëm » ne peut dire le contraire. Après un reportage de Adama Dièye sur des réalisations de Mimi Touré à Thiès, l’animatrice a placé un petit commentaire favorable au deuxième Pm de Macky Sall. C’est ce qu’il ne fallait pas faire, rapporte l’Obs dans son édition du jour lu à buzz.sn.

Son supérieur hiérarchique lui a envoyé illico presto une demande d’explications. Ce qui a eu le don de mettre l’animatrice dans tous ses états. Elle a câblé elle-même le journal du groupe Futurs médias pour se plaindre de la démarche de ses patrons. Francesca Diafouné assure n’avoir commis aucune faute d’autant plus qu’elle n’est pas la coordonnatrice de l’émission. « Je ne fais que la présenter », précise-t-elle, dépitée. Aussi a-t-elle réclamé plus de considération à son égard.

Mais ses plaintes et complaintes semblent être le cadet des soucis du chargé des programmes de la RTS. Issa Touré puisqu’il s’agit de lui avoue être celui qui a demandé des explications à Francesca Diafouné car il estime que cette dernière a été « prise en faute ». Pour le responsable des programmes de la chaîne nationale, le role de l’animatrice ne consiste pas à « faire des éloges… ».

L’observateur fait savoir dans la même veine que la coordonnatrice de l’émission a également été sommée de s’expliquer sur ce que Issa Touré considère comme une transgression des règles établies.

buzz.sn

Me Amadou Sall sur la rencontre de Genève : « L’Etat en sortira humilié »

La rencontre de deux jours (du 2 au 4 septembre), prévue en marge du Conseil des Nations unies sur les droits de l’Homme, à Genève, entre les représentants de l’Etat du Sénégal et le Groupe de travail des Nations-Unies sur les détentions arbitraires, et à laquelle prendront part les avocats de la partie civile et de la défense dans l’affaire Karim Wade, est partie pour être palpitante. Me Amadou Sall, qui dit ne pas comprendre les agissements de l’Etat, prédit que ce dernier ne va récolter qu’humiliation.

Placé sous mandat de dépôt, Me Amadou Sall rejoint Karim Wade à Rebeuss

Joint au téléphone, hier, par Le Populaire, l’ancien Garde des Sceaux déclare : « Je ne peux faire de commentaire. Attendons la fin de la rencontre. Je ne comprends pas tout le débat que l’Etat en fait. L’Etat est en train de délirer en pensant que le Groupe de travail va revenir sur sa décision, il en sortira humilié ». Sur l’ordre du jour de cette rencontre, Me Sall renseigne qu’il n’est pas question de réexamen. « L’Etat se trompe, le Groupe de travail statue sur le suivi. Ils ont donné un avis, ils vont statuer sur le suivi de leur avis », a dit l’avocat de Karim Wade qui ajoute : « L’Etat veut recevoir des claques de partout. Parce que le Groupe de travail ne se réunit pas pour apprécier à nouveau la décision qui a été prise. Le Groupe de travail statue sur le suivi de sa décision ». A l’en croire, l’enjeu de Genève, c’est qu’il n’y a pas réexamen. « Donc, l’Etat ne peut rien faire capoter. Ils sont là pour voir est-ce qu’ils vont suivre ou est-ce qu’ils ne vont pas suivre ? La décision est prise. Comment on va l’appliquer ? C’est ça. C’est l’application qui est en jeu. L’Etat va là-bas pour tourner le dos et recevoir des fouets », a dit Me El Hadji Amadou Sall qui accuse l’Etat de faire dans la communication. « On va bien les frapper là-bas et quand la décision sortira, vous allez voir », a-t-il dit très confiant.

Cheikhna Keïta tresse des lauriers à Macky Sall

Cheikhna Keïta tresse des lauriers à Macky Sall

 

Cheikhna Keïta, président de l’Association nationale des policiers retraités

Selon Cheikhna Keïta, président de l’Association nationale des policiers retraités, en les recevant, le président de la République a fait un geste en répondant favorablement à leur principale doléance l’octroi des logements du camp des gardes aux policiers qui l’occupaient quand ils étaient en fonction. Par ce geste, a souligné l’ancien commissaire de police, il les a honorés car, hormis, même le fait de satisfaire leurs doléances, le fait encore de les recevoir était encore plus important. « De l’histoire du Sénégal, aucun chef d’Etat n’a reçu des policiers encore moins des retraités », explique M. Keïta dans La Tribune.

Remontrances de Serigne Sidy Mokhtar Mbacké contre Serigne Assane Mbacké : Le fils du Khalife dément et avertit…

Serigne Assane Mbacké, sorti de prison vendredi dernier, a semé la zizanie à Touba. Au sortir d’une entrevue avec le Khalife général des mourides, des proches de ce dernier ont fait état des remontrances que l’autorité religieuse a réservé à l’ancien détenu. Des propos « durs » qu’un des fils du khalife, Serigne Abdou Samad, a dégagés en touche non sans avertir ceux qui diffameraient son père.

serigne assane mbacke

Serigne Assane Mbacké continue de faire du bruit autour de lui. Sorti de prison le vendredi 28 août dernier, après avoir passé huit mois en prison, il est allé rendre visite au Khalife général des mourides, Serigne Cheikh Sidy Mokhtar Mbacké. Au terme de leur entrevue, des « proches » du Khalife ont rapporté, d’après La Tribune, les propos que le guide des mourides a tenus à l’endroit de Serigne Assane Mbacké. « Je ne veux plus entendre un jeune Mbacké-Mbacké parler au nom de Touba et de la communauté. Quiconque le fera vivra le supplice jusque dans sa chambre », aurait dit le Khalife avant même que son hôte ne termine son discours introductif. Ces propos seraient rapportés par Serigne Thioro Mbacké, bras droit du Khalife et porte-parole de Gouy Mbind. En tout état de cause, ils sont démentis par le fils du Khalife du nom de Serigne Abdou Samad Mbacké. Joint au téléphone, il a affirmé que certaines personnes « cherchaient à profiter de la situation à des fins personnelles ».

Poursuivant, il argue que « Serigne Cheikh Thioro n’a aucune raison de répertorier les propos que le Khalife a tenus devant ses hôtes et petits-fils à travers la presse. S’il était nécessaire de le faire, il aurait demandé à Serigne Bass Abdou Khadre, son unique porte-parole, de s’en occuper. Le Khalife n’avait nullement besoin que son discours soit relayé à travers les médias. Il ne le voudrait pour rien au monde. Qu’il arrête alors de parler au nom de Serigne Sidy Mokhtar parce que ce rôle est dévolu à une autre personne. Il est averti ! Qu’il ne se permette plus de récidiver, car nous ne permettrons pas que le nom de notre marabout et père soit mêlé à ces histoires de déclarations médiatisées », nous a-t-il confirmé au téléphone. Traînant une réputation d’avoir un franc-parler, le fils du Khalife, l’air coléreux, a invité la communauté mouride à comprendre que le nom de l’autorité religieuse de Touba est souvent utilisé à des fins malintentionnées par des personnes « aux objectifs inavoués ».

De violents affrontements font un mort à Daral Peulh

De violents affrontements font un mort à Daral Peulh

 

Le village de Daral Peulh, situé à un jet de pierre du quartier Thiès None sur la route de Dakar, a été le théâtre hier, de violents affrontements qui se sont soldé par une mort d’homme et plusieurs blessés. Même si les raisons de la bataille rangée sont encore ignorées, le journal « l’As » note que la violence était inouïe.  
 
Une procédure judiciaire a été enclenchée pour déterminer les responsabilités des uns et des autres dans cette tragédie…

Route de l’aéroport : Un taximan heurte mortellement un ancien militaire et s’enfuit

Route de l'aéroport : Un taximan heurte mortellement un ancien militaire et s'enfuit

Encore des taximen qui s’illustrent. Après la passerelle de Cambérène, l’urinoir de la Cité Keur Gorgui et les escaliers du Sea Plaza, c’est au tour du «taxi- tueur». Selon des sources, celui-ci, roulant à vive allure, a mortellement heurté de plein fouet un ancien militaire avant de le traîner sur le goudron de la route de l’aéroport, juste après le virage qui donne accès au stade Léopold Sédar Senghor (Dakar). Il était un peu plus de 19 heures.
Sa tête ensanglantée, pour ne pas dire carrément amochée, son tee-shirt déchiqueté et son short en lambeaux témoignent de l’ampleur du «diri» (roulage). Inutile de vous dire que la scène a ému plus d’un. Les plus émotifs fuyant dès le premier coup d’œil. Renseignement, l’homme répondait au nom d’Emmanuel Sarr, 47ans.
Sans doute surpris par la tournure des choses, le «taxi-tueur» a pris la poudre d’escampette sans attirer la moindre attention des
témoins de la scène. Pas de trace de l’immatriculation du véhicule. Rien. Comme s’il s’était évaporé. Les sapeurs-pompiers se sont pointés 30 minutes après pour récupérer le corps sans vie qu’ils vont déposer à l’hôpital.

Requêtes : Thione Seck à l’écoute de la Cour d’Appel

thione seck

Le leader du Raam Daan peut commencer à égrener son chapelet, car c’est demain qu’il sera fixé sur son sort, s’agissant des deux requêtes que ses avocats ont déposés à la chambre d’accusation de la Cour d’Appel de Dakar.
En effet, les sages de la juridiction du second degré vont se prononcer sur la requête aux fins d’annulation de la procédure introduite par les conseils de Thione Seck. Ils vont, selon « l’As », statuer aussi sur la demande aux fins de désignation d’un expert médical pour examiner l’état de santé du chanteur. Les avocats du mis en cause estiment que sa santé fragile est incompatible avec une incarcération…

[vidéo] : Mountaga Cissé, porte parole de l’association de la presse en ligne (APPEL), sur le plateau de KENKELIBAA de la RTS1

Espagne : L’ambassadrice Cristina Diaz quitte Dakar

Le chef de l’Etat Macky Sall a reçu hier en audience, Mme Cristina Diaz, ambassadrice du royaume d’Espagne au Sénégal en fin de mission venue faire ses adieux.

Le chef de l’Etat Macky Sall a reçu hier en audience, Mme Cristina Diaz, ambassadrice du royaume d’Espagne au Sénégal en fin de mission venue faire ses adieux.

« Je suis venue dire au revoir au président de la république Macky Sall, le remerciant surtout pour sa collaboration avec l’Espagne et pour l’aide qu’il m’a apportée, ainsi que la disponibilité qu’il m’a toujours accordée pour le développement de nos deux nations », dit-elle. Evoquant son élévation au rang de commandeur dans l’Ordre national du Lion par le président Macky Sall, Mme Diaz dira que c’est un honneur de recevoir cette distinction à la fin de ma mission ici et je remercie le président de la République ».
 

 

Gouvernement : Le GL Babacar Gaye consulté : Non, monsieur le président

Le remaniement ministériel qui se profilerait à l’horizon risque bien de promettre des surprises avec la venue de nouvelles têtes comme le Général Babacar Gaye.

 

Le remaniement ministériel qui se profilerait à l’horizon risque bien de promettre des surprises avec la venue de nouvelles têtes comme le Général Babacar Gaye.

L’ex Cemga, Babacar Gaye a été annoncé dans le prochain gouvernement. Selon nos confrères de Grand place, il a été consulté par le Premier ministre, Mouhamad Bounn Abdallah Dionne. Une affaire qu’il faut suivre de tout près pour son caractère particulier. En effet, Babacar Gaye dans le nouveau gouvernement, c’est que l’actuel régime serait en train de peaufiner pour le caser, après que ce dernier a été purement limogé après un échec total, suite à des cas de viols enregistrés par ses troupes de la Mission des nations unies en Centrafrique(Monusca). Une affaire qui était tombée avec beaucoup de surprises, sur la tête du Secrétaire général de l’(ONU) Banki Moon. Mais au-delà de cette affaire Onusienne, pourquoi une telle option sur ce général, malgré son échec, et surtout que beaucoup de têtes sont là, dans la coalition « Macky 2012 », première à amener Macky Sall au second tour de la présidentielle de 2012, mais aussi, de la coalition « Benno Bok Yakaar ». Ce général mérite t-il plus que les autres. Ne faut pas oublier qu’il a été cité dans l’affaire du naufrage du bateau le Joola qui avait fait près de 2.000 morts. En tant que Chef d’Etat major de l’armée à cette époque, 2002, il avait préférait, alors que toute la nation était plongée dans un deuil, le lendemain du naufrage, le 27 septembre, aller installer un nouveau Commandant de zone à Saint-Louis. Un homme d’une telle indifférence mérite t-il aujourd’hui après son échec aux nations unies, venir en nouveau au devant de la scène, politique de surcroit ?.

VACANCES DANS LES BOITES DE NUIT A DAKAR : Soirées discothèques ou live pour vibrer au rythme des différents artistes

cliquez ici pour lire l’article

Affaire du préfet de Dakar : Macky Sall se méfie t-il de Oumar Sarr ?

oumar Sarr
oumar Sarr

 

oumar Sarr

Le président de la République, Macky Sall semble t-il se méfier du coordonnateur du(PDS), Oumar Sarr qui a osé a deux reprises, défier l’autorité étatique ?

A cette interrogation, le chef de l’Etat lui-même, Macky Sall semble répondre à l’affirmative. En effet, des sources proches de l’entourage de Macky Sall et reprises par nos confrères de l’observateur ont informé que Macky Sall ne souhaite pas tomber dans le piège du(PDS) qu’il connait très bien et qui l’a formé. En tout cas, on soutient que le président de la République à inviter les uns et les autres à la prudence, mais surtout à ne pas aller vite en besogne dans l’affaire qui oppose Oumar Sarr, au préfet de Dakar. L’enquête est en cours dans cette histoire où l’on se souvient encore de la date du 18 août 2015 quand Oumar Sarr avait déchiré l’arrêté du préfet de Dakar. Justement, Macky Sall ne voudrais pas tomber dans le piège de Oumar, sur la véracité du document que Oumar Sarr avait publiquement déchiré, et devant des caméras. C’est pour cette raison, qu’il invoque la prudence, la méfiance le temps que tous les éléments soient réunis et tenus en main.
 

 

 

Vacances: Marième Faye Sall a rejoint Popenguine

Vacances: Marième Faye Sall a rejoint Popenguine

La première dame, Marième Faye Sall qui était absente du Sénégal depuis quelques temps est de retour à Dakar. Selon nos confrères de l’As, elle ne s’est pas attardée dans la capitale. Son époux étant en vacance dans sa seconde résidence de Popenguine, Marième Faye Sall l’a rejoint hier en toute discrétion. Avec Madame à ses côté, le président de la République, Macky Sall va s’éloigner un peu des grands dossiers pour se consacrer réellement à ses vacances.

L’ambassadeur des Etats-Unis à Dakar félicite Gorgui Sy Dieng

L’ambassadeur des Etats-Unis à Dakar félicite Gorgui Sy Dieng

Via sa page facebook, l’ambassadeur des Etats-Unis à Dakar a tenu à féliciter Gorgui Sy Dieng, lequel a fait un brillant parcours au championnat d’Afrique de Basket-Ball

« Toutes nos félicitations au pivot sénégalais, Gorgui Dieng, sacré meilleur rebondeur et meilleur marqueur de l’Afrobasket 2015. Gorgui, pivot aussi des Timberwolves du Minnesota, est également nommé dans le 5 majeur de la compétition. Tous nos encouragements pour l’équipe nationale du Sénégal qui a fait un beau parcours », fait-il savoir

Mounirou Sy, Dg du Bsda, très élégant à la nuit de la lutte organisée par Alioune Petit Mbaye

Mounirou Sy, Dg du Bsda, très élégant à la nuit de la lutte organisée par Alioune Petit Mbaye

Mounirou Sy, Dg du Bsda, très élégant à la nuit de la lutte organisée par Alioune Petit Mbaye

Adama Paris se la coule douce à la Baie d’Ha Long, au Vietnam

Adama Paris se la coule douce à la Baie d'Ha Long, au Vietnam

 

Adama Paris se la coule douce à la Baie d'Ha Long, au Vietnam

L’Affaire Massaly-Aminata Tall renvoyée 15 décembre prochain

Sortie récemment de prison, le responsable libéral Mamadou Lamine Massaly ne s’est toujours pas tiré d’affaires dans ces démêlées avec la justice.

Sortie récemment de prison, le responsable libéral Mamadou Lamine Massaly ne s’est toujours pas tiré d’affaires dans ces démêlées avec la justice.

Même s’il hume l’air de la liberté grâce à la Cour suprême, Mamadou Lamine Massaly n’est pas pour autant tirer d’affaire. Et pour cause, le jeune libéral fait face à l’autre dossier le concernant, dans sa relation tendu avec la présidente du Conseil économique social et environnemental(CESE). L’affaire a été évoquée aujourdhui à la barre du Tribunal Correctionnel, mais elle a été finalement renvoyé au 15 décembre prochain pour plaidoirie. Pour rappel, Massaly avait traité Aminata Tall de « prostituée politique ».

 

Regardez La ravissante épouse de Cheikh Yérim Seck 

L'épouse de Cheikh Yérim Seck illumine la cérémonie de clôture de "Un café avec..."
L'épouse de Cheikh Yérim Seck illumine la cérémonie de clôture de "Un café avec..."

Le « Grand marabout » Ahmeth khalifa Niasse prend de l’age. Il est souvent attrapé quand il marche.

Ahmeth khalifa prend de l'age. Il est souvent attrapé quand il marche.

Peut on aimer deux hommes à la fois ?

Chaque femme s’est posée au moins une fois dans sa vie cette question : peut-on aimer deux hommes (ou deux femmes) en même temps ? Si chacune d’entre nous s’est fait sa propre réponse, on peut néanmoins tenter de comprendre le mécanisme de l’amour « double ».

Vous vivez une relation durable avec votre mari et vos sentiments n’ont, semble-t-il, pas régressé. Pourtant, un beau jour, la rencontre fortuite d’un homme séduisant chamboule vos principes. C’est le coup de foudre. Dans l’incapacité de résister à son charme, vous commencez à mener une double vie… 

Deux personnes, deux amours 

Le sentiment qui habite légitimement la femme aimant deux personnes à la fois est celui de la culpabilité. Il n’est en effet pas simple de vivre une telle situation sans être tiraillée. La confusion peut être totale car les sentiments amoureux peuvent cohabiter. Ceux ressentis avec son amant vont être passionnels, intenses et incontrôlables. Avec son mari, les sentiments sont différents car la relation est durable. La sécurité et la complicité sont indéniables. 

Néanmoins, lorsqu’une nouvelle histoire d’amour prend forme – qui plus est si elle est secrète – chaque personne a tendance à surestimer l’amant rencontré. Et donc à croire que les sentiments ressentis sont plus forts que tout. Du fait que la relation procure de nouveaux désirs et besoins, elle est idéalisée et agit comme un trompe-l’œil. A long terme, on réalise ainsi souvent qu’il y a un écart entre le fantasme procuré par cette nouvelle relation et l’amour réel. 

L’amour et le dialogue 

Le hasard de la vie et des rencontres ne peut pas entièrement expliquer la raison pour laquelle une femme aime deux hommes à la fois. Dans la relation avec son mari, après de longues années, des lassitude peuvent surgir et permettre de laisser une ouverture extérieure à un autre sentiment amoureux. Très souvent, le non-dialogue laisse place à la distance et c’est pour cela qu’il est plus facile de vivre un deuxième amour . 

Comment peut-on alors faire pour quitter cette double vie ? Le plus simple serait d’en parler à son mari. Certes, il n’est pas toujours nécessaire de tout dire, surtout si l’aventure extraconjugale n’est qu’éphémère, mais c’est peut-être le seul moyen de rendre la situation supportable. Si la personne vous aime d’un amour non possessif, le dialogue pourrait même vous permettre de sauver la relation et de comprendre les raisons qui ont mené à cette situation. 

L’amour à trois sur le long terme ? 

Aimer deux personnes à la fois ne paraît pas, à long terme, une situation tenable. De nombreux témoignages de femmes qui ont vécu cette situation estiment que finalement, vivre deux amours en même temps, c’est n’en vivre aucun pleinement. En effet, même si la situation est claire auprès de toutes les parties, il est inéluctable que les conflits, insatisfactions et donc souffrances, se multiplient à long terme. Le fait, par exemple, de vivre au quotidien avec son mari est une position délicate à gérer. 

On peut, donc, aimer deux hommes mais il n’est pas possible de vivre sereinement sans faire, à terme, un choix. Les enjeux sont trop nombreux – notamment si on a des enfants – pour croire que la situation va s’arranger naturellement. En amour, la souffrance fait aussi partie du jeu et c’est en passant par des moments de remise en question que l’on arrive à retrouver une vraie stabilité.

[Photos] Découverte de la plus ancienne mosquée d’Allemagne construite il y a 100 ans

Une équipe d’archéologues a découvert les vestiges de la plus ancienne mosquée d’Allemagne. Le lieu de culte fut construit il y a 100 ans à 60 kilomètres de Berlin dans la ville de Wïndsdorf.

La mosquée a été érigée dans le un camp de prisonniers de guerre d’Halbmondlager, appelée également le Camp du croissant de lune, dont une partie était réservée aux soldats musulmansfaits prisonniers par les Allemands pendant la première Guerre mondiale.

Les éléments métalliques du dôme en bois, ainsi que des morceaux de verre de couleur bleue et verte ornant les fenêtres de la première mosquée en Allemagne ont été retrouvés par le Prof. Dr. Reinhard Bernbeck et Prof. Dr. Susan Pollok.

La mosquée en bois fut démolie au milieu des années 1920. Elle n’était plus utilisée à cette époque.

archeologues mosquee

archeologie mosquee allemande

decouverte 1ere mosquee

clous ancienne mosquee

Photos d’archives :  La première mosquée construite en Allemagne

mosquee 100 ans

mosquee bois allemagne

Carte postale mosquee Zossen

archives mosquee allemagne

« Aucun pays africain ne peut être Emergent avec le franc CFA »

« Aucun pays africain ne peut être Emergent avec le franc CFA »

l’auteur du livre à succès Le franc CFA et l’Euro contre l’Afrique a donné, au Cameroun, une série de conférences sur les méfaits du franc des Colonies françaises d’Afrique (CFA). Le Pr. Agbohou s’est rendu au Cameroun à l’invitation de l’association Action Sociale Africaine (ASA) qui œuvre depuis 2007 sur le continent pour l’amélioration des conditions de vie des Africains à travers trois axes prioritaires : la Santé, l’Agriculture/Alimentation et l’Education. Grâce à ASA qui a déjà installé trois bibliothèques au Cameroun, l’économiste ivoirien a donné trois conférences très courues dans toutes les principales universités de ce pays d’Afrique centrale (Douala, Dschang, Yaoundé). Cette interview a été réalisée à l’issue de ce périple. Le professeur Nicolas Agbohou y affirme sans ambages que le franc CFA plombe irrémédiablement l’économie des 15 pays africains qui utilisent cette monnaie de singe. Il explique le mécanisme du compte d’opérations et propose les solutions réalistes pour parvenir à la souveraineté monétaire de l’Afrique.

Journal de l’Afrique (JDA) : Qu’est-ce qui vous motive à parcourir le monde pour dénoncer les méfaits du franc CFA dans les économies africaines ?

Nicolas Agbohou : Plusieurs raisons : D’abord, je suis un Africain et en tant que tel je me sens interpellé par les problèmes de l’Afrique. Ensuite, je vois objectivement le danger qui arrive. Dans 36 ans, en 2050, l’Afrique aura 2 milliards d’habitants à nourrir. Il faut préparer la vie de ces 2 milliards de personnes. En d’autres termes, il faut changer de politique économique.

Or nous ne pouvons pas faire une politique économique sans la maîtrise de la monnaie. Donc, conscient de ce problème, je me suis appesanti sur le Franc CFA et après étude je me suis rendu compte que « franc CFA » voulait tout simplement dire « franc des Colonies françaises d’Afrique (CFA) ».

Pour continuer à piller l’Afrique après les indépendances formelles de 1960, le colon français a redéfini le franc CFA comme : le « franc de la Communauté Française d’Afrique). Mais c’est un simple maquillage !

Pourquoi estimez-vous dans votre livre que Le Franc CFA et l’Euro [sont] contre l’Afrique ?

Tout simplement parce que le franc CFA est d’origine nazie. Il s’agit d’un mécanisme mis sur pied pour permettre à la France de tirer profit non seulement des richesses naturelles, mais aussi du travail des Africains. Le franc CFA a été crée le 25 décembre 1945, conformément à l’article 3 du décret 45/0136 par le général De Gaulle. Et le franc CFA qui veut dire le franc des Colonies françaises d’Afrique est une monnaie purement coloniale inventée par et pour les intérêts des colons pour dévaster l’Afrique. La survivance du franc CFA n’est que la perpétuation de cet appauvrissement.

Il y a 30 ans, l’économiste camerounais Joseph Tchuidjang Pouemi dans son livre intitulé Monnaie, servitude et liberté, affirmait déjà que le franc CFA n’est qu’un instrument de « répression monétaire de l’Afrique ». A votre avis cette répression monétaire a-t-elle toujours cours ?

Elle a toujours cours ; car lorsqu’on regarde les institutions de la zone franc CFA, notamment le conseil d’administration des trois banques centrales, on voit que les Français y sont présents et disposent du droit de véto. Autrement dit ce n’est pas son utilisation qui fait problème, mais le franc CFA lui-même.

Son fonctionnement appartient à la France qui l’utilise pour ses propres intérêts et donc contre les intérêts des Africains. Aussi bien à la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC) qu’à la Banque des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) qu’à la Banque centrale des Comores (BCC), la France nomme des représentants qui disposent d’un droit de véto.

Autrement dit, si les Africains présents aux conseils d’administration de ces différentes banques décident de prendre des décisions qui défendent les intérêts de l’Afrique en touchant aux intérêts de la France, ces décisions ne pourront pas être validées puisque les Français voteront « contre ». Ce d’autant plus qu’il est clairement mentionné dans les textes régissant ces trois banques centrales que « les décisions se prennent à l’unanimité ».

Lorsqu’on parle du franc CFA, on évoque toujours le mécanisme du « compte d’opérations ». De quoi s’agit-il exactement ?

La zone franc CFA a quatre principes de fonctionnement :

1-La centralisation des réserves de changes qu’on appelle le compte d’opérations. 2-Le principe de la libre convertibilité des francs CFA en francs français hier et aujourd’hui en Euros. 3- Le principe de la fixité des parités. 4- Le principe de la libre transférabilité des capitaux de la zone franc CFA vers la France.

En ce qui concerne le compte d’opérations, disons qu’il est d’inspiration nazi. Il a été appliqué à la France par les nazis et après la Libération, le général De Gaulle a décidé de l’appliquer aux Africains depuis 1945. Conformément aux accords monétaires entre la France et l’Afrique, le principe de la centralité des réserves des changes fonctionne de la manière suivante: les Africains doivent déposer, et ils le déposent effectivement, l’intégralité de leurs recettes d’exportation dans des comptes ouverts à la banque centrale de France.

De 1945 à 1973, quand les Africains exportaient par exemple les matières premières pour 100 milliards de dollars, ils déposaient tous les 100 milliards de dollars dans le Trésor français. De 1973 jusqu’en 2005, s’ils exportaient pour 100 milliards de dollars, les Africains étaient obligés de déposer 65 milliards au Trésor français dans le fameux compte d’opérations.

Depuis le 20 septembre 2005 jusqu’à la seconde où nous parlons (2014), on est passé à 50%. Ce qui veut dire que si les Africains exportent à hauteur de 100 milliards de dollars ou d’Euros, de Yuans, etc. ils sont tenus de déposer 50 milliards en France. S’en suivent plusieurs conséquences majeures :

Première conséquence majeure. Puisque le compte d’opérations est d’origine nazie, la France s’en est servie et s’en sert encore pour s’approvisionner gratuitement en matières premières africaines.

C’est-à-dire que la France dit aux Africains d’exporter les matières premières dont elle a besoin pour 100 millions d’euros par exemple. Lorsque les Africains ont exporté, au lieu de les payer, la France prend son stylo et écrit un signe PLUS dans le compte. Elle ne débourse aucune devise. Or si ce sont les Nigérians ou les Ghanéens qui exportent, la France est obligée de sortir 100 millions d’euros des coffres forts pour les payer.

Ce qui revient à dire que le jour où les Africains vont se débarrasser du franc CFA, la France sera obligée de débourser de l’argent pour payer directement et immédiatement l’intégralité de la facture des exportations.

Deuxième conséquence majeure. Puisque les Africains déposent des devises en France, celle-ci s’en sert pour combler son déficit budgétaire ou pour amortir, c’est-à-dire payer sa dette.

Troisième conséquence majeure. En contrôlant leurs devises, la France met les dirigeants africains au pas. Si un dirigeant de la zone CFA n’obéit plus aux ordres de la France, Paris bloque ses réserves de devises et mieux, il ferme les banques dans ce pays devenu « rebelle ». C’est ce que nous avons vu tout récemment en Côte-d’Ivoire avec Laurent Gbagbo. Et quand les banques sont fermées, aucun ménage, aucun chef d’entreprise ne peut sortir de l’argent pour nourrir sa famille ou payer les employés. En un mot, en fermant les banques, la France organise le chaos socio-économique. Et toute la population se rebelle contre le dirigeant.

C’est ce qui s’est passé avec Gbagbo. Ne pouvant plus prendre des devises à la France, il a décidé de créer la monnaie ivoirienne et à partir de là la décision a été prise pour le bombarder. Gbagbo n’est pas le premier et ne sera malheureusement pas le dernier. Avant lui, il y a eu Sylvanus Olympio du Togo dont la monnaie devrait être mise en circulation le 15 décembre 1963. Deux jours avant, exactement le 13 janvier 1963, il a été froidement assassiné.

Donc ces trois conséquences majeures ou plutôt ces trois avantages pour la France à savoir l’approvisionnement gratuit en matières premières africaines, l’utilisation des devises africaines pour son propre développement, une arme de mise au pas des dirigeants africains, constituent un puissant instrument utilisé par la France pour bloquer l’industrialisation de l’Afrique.

Au regard de tout ce que vous venez de dire on peut conclure que l’Emergence annoncée par les présidents africains relève d’une simple propagande politicienne…

Il s’agit d’une simple chimère. Aucun pays ne peut être émergent avec le franc CFA.

Quand vous quittez votre quartier pour aller en zone périphérique parce que vous touchez 100 000 F CFA et que vous êtes entrés dans une association qui vous prend 50 000 F CFA chaque fin du mois vous pensez raisonnablement que vous quitterez subitement ce quartier de pauvres pour entrer dans le quartier des riches ? Non. Tant que les pays africains continueront à payer un« impôt » de 50% de leurs revenus extérieurs à la France, l’émergence socio-économique ne sera jamais possible.

En 2013, dans un rapport commandé par le gouvernement de son pays, l’ancien ministre français des Affaires étrangères, Hubert Vedrine a proposé l’élargissement de la zone franc CFA à d’autres pays africains. Comment percevez-vous un tel projet et quelles en sont les chances de réussite ?

Disons qu’Hubert Védrine est dans son rôle puisque c’est celui qui contrôle la monnaie qui contrôle le pays. Ainsi, s’il y a 15 pays africains qui utilisent le franc CFA, ces pays sont tous sous le contrôle de la France. Et s’il y a d’autres pays qui, parce que mal informés entrent dans la zone CFA, ce sera une très bonne chose pour la France. C’est pourquoi M. Vedrine invite les Nigérians, les Ghanéens et d’autres pays à entrer dans la zone CFA pour justement mieux les contrôler et prendre leurs énormes richesses. N’oubliez-pas que lorsque ces pays vont entrer dans la zone CFA, ils seront obligés de donner 50% de leurs énormes richesses à la France. On voit bien que le Nigeria n’est pas dans la zone CFA mais se porte mieux. Ce n’est pas au Nigeria que l’on meurt de faim ! Une fois de plus, Hubert Vedrine est dans son rôle. Et il revient aux Africains de ne plus se laisser tromper.

Les pays africains qui n’ont pas le même niveau économique peuvent-ils avoir une monnaie commune ? Effectivement ils le peuvent parce que c’est la monnaie qui fait créer la richesse. Ce qui fait rouler la voiture c’est le carburant. Le carburant lui-même n’est pas la voiture. Mais c’est un produit indispensable qui fait rouler la voiture. Donc les pays africains, développés ou non développés peuvent avoir une monnaie commune. La monnaie est une pièce centrale dans le triangle de souveraineté. Vous avez la monnaie/économie, la défense et le droit positif qui constituent les angles de ce triangle de souveraineté.

Comment expliquez-vous la relative avancée économique des anciennes colonies anglaises sur le continent africain ?

Justement, ces pays travaillent pour eux-mêmes. Contrairement aux pays de la zone franc CFA, les pays anglophones ne travaillent pas pour l’Angleterre. C’est aussi simple que ça ! Les pays anglophones sont véritablement libres de l’Angleterre qui est partie après la décolonisation.

Comme vous le constatez très bien à l’échelle planétaire, tous les pays anciennement colonisés par l’Angleterre se portent nettement mieux que ceux de la zone franc CFA. La France n’est jamais partie. Au contraire, au fur et à mesure que le temps passe, la France est omniprésente dans les économies africaines ; toujours avec le même prétexte : « nous sommes là pour aider les Africains ». Et les Africains au lieu de se réveiller ne font que s’endormir…

Le franc CFA est-il la cause de la déliquescence du système éducatif africain qui se caractérise par des effectifs pléthoriques ?

Très bien. L’exemple d’un ménage qui gagne 100 000 F CFA que nous avons pris plus haut est assez illustratif ici. Quand l’Etat se voit privé de 50 % de sa richesse à travers le compte d’opérations, les dépenses sur l’éducation nationale et les hôpitaux diminuent. C’est ce compte d’opérations qui explique les budgets squelettiques de l’éducation nationale dont vous parlez. Au lieu de construire beaucoup d’écoles, l’Etat en construit moins !

Vous comprenez maintenant pourquoi les hôpitaux deviennent des mouroirs en Afrique francophone. Lorsque vous regardez les moyens de transport collectif, les gens sont entassés les uns sur les autres comme des sardines dans une boite de conserve. Ce n’est pas un hasard parce que les moyens importants qui devraient être utilisés pour le transport sont donnés à la France.

Est-ce qu’il vous arrive de parler de ces méfaits du franc CFA avec des hommes d’Etat africains et qu’est-ce qu’ils vous en disent ?

J’ai rencontré quelques dirigeants africains dont Mathieu Kerekou à l’époque président du Benin. Il m’a dit qu’il ne connaissait pas ce système. Il en était totalement ignorant. J’en ai parlé avec le gouverneur de la BCEAO, Konan Banny qui m’a dit qu’il m’invitera pour que je puisse en discuter avec ses collaborateurs. J’ai rencontré Mamadou Koulibaly à l’époque président de l’Assemble nationale de Côte-d’Ivoire. Sans oublier les présidents Laurent Gbagbo et Jacob Zuma. Lorsque j’ai expliqué le fonctionnement du franc CFA au président sud-africain, Jacob Zuma, il n’en revenait pas. Et il a déclaré ceci : « c’est exactement de la colonisation. Car c’est lorsque vous êtes une colonie que vous payez des impôts au pays colonisateur ! ».

La plupart de pouvoir d’Etat obtenu dans la zone franc CFA, vient directement de Paris. Les dirigeants qui sont portés au pouvoir par cette voie là ne peuvent pas se révolter contre leur employeur. On va vous dire démocratie par-ci ; mais vous savez que ne vient pas au pouvoir qui veut. C’est Gbagbo qui a fait l’exception qui confirme la règle. Et on sait comment il a fini !

Comment sortir de cette situation qui a tout l’air d’une impasse monétaire pour les pays de la zone franc CFA ?

En prenant conscience que cette monnaie nuit gravement à leur bien être socio-économique, les Etats africains doivent tout simplement se retirer de la zone CFA. Et en lieu et place, battre une monnaie typiquement africaine, gérée par et pour les intérêts des Africains. Ainsi, les pays africains vont éliminer la France dans leur gestion et toutes les devises qu’ils vont gagner vont rester en Afrique. Elles seront utilisées pour pouvoir importer des équipements dont les Etats africains ont besoin pour s’industrialiser. Ainsi, ils transformeront eux-mêmes les matières premières africaines en Afrique.

Je dois absolument préciser que pour créer une monnaie on a besoin de trois jours. Pas plus. Le premier jour, le gouvernement prend la décision de créer la monnaie et fait un projet de loi qu’il envoie au parlement. Le lendemain, c’est-à-dire de deuxième jour, les parlementaires approuvent. Le troisième jour, on déclenche les machines à l’imprimerie et la monnaie est créée.

Il faut que les Africains se réveillent. Qu’ils comprennent que c’est celui qui domine la monnaie qui domine tout le pays. Il est temps que chaque jeune, où qu’il se trouve s’engage dans ce débat en intégrant le Mouvement pour la Souveraineté économique et Monétaire Africaine (Mosema). Créé en Côte-d’Ivoire, le Mosema installe ses sections partout en Afrique.Nous sommes persuadés que si les jeunes comprennent cela, un moment viendra où ils vont déclencher un mouvement de contestation des institutions de la zone franc CFA simultanément pendant une semaine dans tous les 15 pays de la zone CFA. Ce qui va aider ou contraindre les dirigeants à prendre la bonne décision. Ils vont constater que partout on conteste le franc CFA et ils n’auront plus d’autre choix que de créer une monnaie africaine.

Voulez-vous nous dire que le franc CFA n’est pas une fatalité pour les 15 pays qui l’utilisent depuis tant d’années malgré sa nocivité ?

La force du franc CFA provient de l’ignorance des Africains. Je les comprends. Le franc CFA n’est pas inscrit dans les programmes scolaires et même universitaires.

Mais, dans la vie il faut retenir une chose : c’est l’esclave qui se libère lui-même de son esclavagisme. C’est l’opprimé qui se libère de son oppresseur. La liberté, peu importe qu’elle soit économique ou politique, s’arrache. Elle ne se donne pas. Donc il appartient aux Africains de prendre conscience des méfaits du franc CFA et de se révolter pour liquider cette monnaie de singe.

Il n’y a pas de fatalité. Chaque génération a sa lutte. Celle de la génération actuelle est de liquider le franc CFA et de mettre en place une monnaie africaine contrôlée par les Africains et pour les intérêts des Africains. Pour finir, je tiens à préciser que pour créer une monnaie, je le répète, il faut trois jours. Pas plus. Le premier jour, le gouvernement prend la décision de créer la monnaie et saisit l’Assemblée nationale à travers un projet de loi. Le deuxième jour, les députés examinent et approuvent le projet de loi. Le troisième jour, la loi est promulguée et on actionne les machines à l’imprimerie. La monnaie est disponible. Le pays a sa monnaie et en use pour son développement.

Nous connaissons des pays africains qui ne sont pas dans la zone CFA, mais ne se portent pas mieux économiquement…

Vous avez raison. On vous dira d’ailleurs qu’un pays comme la Guinée Conakry par exemple a décidé de sortir de la zone CFA avec Sekou Touré mais n’a pas réussi à construire une économie forte. C’est un fait. Mais, pour le cas de la Guinée, on oublie toujours de dire que la France a inventé la fausse monnaie qu’elle a déversée au pays de Sekou Touré, l’homme qui a osé s’opposer au général De Gaulle en disant NON à la communauté française en 1958. Il avait dit que les Guinéens préféraient la liberté dans la pauvreté à la richesse dans l’esclavage. Depuis lors la France a décidé de saboter ses actions.

Parlant des pays africains qui utilisent leur propre monnaie mais ne sont pas développés, il faut dire qu’ils n’appliquent pas le deuxième principe qui est la transformation locale des matières premières. Après la création de la monnaie, les Etats africains doivent obligatoirement créer de la valeur ajoutée en transformant les matières premières agricoles, minières et énergétiques sur le continent. Cette transformation conduira à l’industrialisation de l’Afrique et à la création des emplois pour les Africains.

Serigne Moustapha Sy fusille le Président Macky Sall et défend Karim Wade

Serigne Moustapha Sy fusille ceux qui sont aux affaires

 « Il existe des êtres qui ne méritent pas d’avoir le pouvoir parce que… »

Le marabout a fustigé la politique de « chasse à l’homme » initiée par l’actuel président de la République sous la bannière de la traque aux biens mal acquis pour mettre les dignitaires de l’ancien régime derrière les verrous.

Pour Serigne Moustapha Sy, « le pouvoir ne doit pas être un outil de destruction ni ne doit être guidé par la vengeance ». Le guide religieux fait sans aucun doute allusion à Macky Sall qui a été persécuté et poussé à la sortie en 2008 par les « faucons » de Wade, alors qu’il était le président de l’Assemblée nationale. D’aucuns disent qu’il est en train d’assouvir une vengeance contre ceux qui l’avaient jeté hors du pouvoir.

Serigne Moustapha Sy appelle les nouvelles autorités à avoir plus de clémence. « Il existe des êtres qui ne méritent pas d’avoir le pouvoir. Parce qu’ils ne connaissent pas sa valeur. Heureusement que Dieu est Clément. Sinon, il n’y aurait pas de vie sur cette terre », a-t-il conclu.

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Mado Ndiaye et Bijou : bons baisers glacés !

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Voici la permanence flambant neuve du parti « Rewmi »!

Voici la permanence flambant neuve du parti "Rewmi"!

En toute discrétion, le parti d’Idrissa Seck a fini d’ériger sa permanence. Dakarposte, qui a ses radars partout, est en mesure de vous révéler que le « Q G » (Quartier Général) de « Rewmi » se trouve au quartier de Diamalaye (Dakar), à quelques encablures de la mer. D’ailleurs, nous tenons que le « Q. G » des « oranges » (couleur de cette formation politique) sera bientôt inauguré « et en grande pompe » par le chef de file de ce parti, en l’occurrence Idrissa Seck. Lequel, aux dernières nouvelles, est discrètement revenu de Paname, où il a récemment séjourné.

Abdel Rahim Al Fara , Ambassadeur de Palestine au Sénégal, fait ses adieux à Macky

Abdel Rahim Al Fara , Ambassadeur de Palestine au Sénégal, fait ses adieux à Macky

Le Chef de l’État, SEM Macky Sall, a reçu en audience, ce mardi 1er septembre 2015, au Palais de la République, Monsieur Abdel Rahim Al Fara , Ambassadeur de Palestine au Sénégal en fin de mission, venu faire ses adieux.

 » Je suis vraiment venu pour remercier son Excellence Monsieur le Président Macky Sall, son gouvernement et le peuple frère du Sénégal pour tout le soutien que j’ai eu pendant les 8 ans mais aussi pour le soutien que la cause palestinienne a eu du Sénégal depuis son existence ».

Monsieur Al Fara a offert au Chef de l’État un exemplaire du Saint Coran venant de la mosquée d’Al Aqsa, le troisième lieu saint de l’Islam, située en Palestine et dont le Président Sall est,d’après l’Ambassadeur, « un très grand défenseur ».
L’ambassadeur sortant a tenu, par ailleurs, à rappeler, pour s’en féliciter, que « le Sénégal préside, depuis 1977, le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.