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Un single dans le marché,la chanteuse Pierrot Fall disparait de la scène musicale.

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Le groupe Soleil Levant en pleine enregistrement de la série Wiri Wiri

Cheikh Ndiaye le metteur en scène de la série sur les dernières réglages avec Mbaye Dozé et la Mère avant l’enregistrement.

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Le groupe Soleil Levant en pleine enregistrement de la série Wiri Wiri

Après avoir convoqué les poids lourds de l’Arène à Paris, le promoteur Alioune Petit Mbaye les accompagne aussi à prendre le vol de retour. Cette fois-ci, il est en compagnie du Tigre de Fass, Gris BORDEAUX.

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Après Ngoné Ndiaye, Le comédien Yoro quitte la télé d’El Hadj Ndiaye

Après Ngoné Ndiaye, Le comédien Yoro quitte la télé d’El Hadj Ndiaye

Après l’animatrice Ngoné Ndiaye, c’est autour du comédien Yoro de claquer la porte de la 2Stv. joint au téléphone par Senepeople, l’humoriste soutient avoir quitté la boite d’El Hadj Ndiaye pour des raisons professionnelles. Une décision qu’il a prise depuis ce matin. D’ailleurs, il a prévu de faire une sortie officielle d’ici le weekend pour dévoiler les problèmes qui le poussent à la démission. Nous y reviendrons!

 

Vidéo-Serigne Mbacké Ndiaye victime d’une attaque mystique? Sa fille Thioro en parle…

Vidéo: Sabar d’Adja Diallo sur le Plateau de Yendouleen…Regardez!!

Vidéo-La mère de maman de «Un Café Avec» est victime d’une arnaque au nom de Bougane Guèye Dani

Vidéo Incroyable- Une lesbienne déballe: “Des célébrités sénégalaises insoupçonnées pavanent dans le milieu lesbien”.Regardez

Video: Les frères Bâ assassinés étaient des agresseurs… Regardez le film de l’agression raconté par un anonyme… Regardez

Exclusif-2Stv: L’animatrice Ngoné Ndiaye claque la porte…

A en croire une source de Senepeople, la ravissante animatrice vient de démissionner à la 2STV ce matin, en compagnie du comédien Yoro. Récemment nommée Chef d’édition de la matinale Good Morning qui peine à démarrer depuis la démission de Fily Diouf, Ngoné Ndiaye que nous avons contacté au téléphone confirme l’information sans pour autant entrer dans les détail

Ngoné Ndiaye

Il faut aussi noter que Son absence du petit écran a suscité de vives interrogations. Et sa dernière apparition sur le petit écran remonte à mi juin, disons avant le mois du Ramadan dans « After Work », une émission qu’elle animait il y a un peu plus d’un an. Depuis cette date, Ngoné Ndiaye ne passe plus à la première chaîne de télévision privée du Sénégal.

Senepeople

L’argent des Africains : Ibrahima, guide touristique au Sénégal – 381 euros par mois (Jeune Afrique)

Ibrahima, 47 ans, est guide touristique à Dar El Salam, une petite ville située près de Tambacounda, dans l’Est du Sénégal. Il gagne mensuellement 250 000 francs CFA (381 euros). Septième volet de notre série sur l’argent des Africains. Comment ils le gagnent ? Comment ils le dépensent ? Vous saurez tout.

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Depuis tout petit, je n’ai jamais aimé rester les bras croisés.” Ibrahima est un hyperactif. Né à Dar El Salam, une petite bourgade située aux portes du Niokolo Koba, le grand parc naturel de l’Est du Sénégal, celui que tout le monde surnomme Ibou a d’abord travaillé dans l’agriculture pour financer son rêve : partir en Europe. C’est avec un peu d’amertume dans la voix qu’il lâche : “Mais ma mère n’a pas voulu que je parte à l’aventure. Elle souhaitait que je l’aide ici jusqu’à la fin de sa vie.”
Finalement, son amour de la nature et son attachement à sa localité ont eu raison de son tempérament de tête brûlée. En 1994, suite au décès de sa mère et poussé par l’un des gardiens du parc, Ibrahima se décide a passer un concours pour obtenir la certification du ministère du Tourisme. Âgé aujourd’hui de 47 ans, ce père de six enfants se démène pour leur assurer un avenir en construisant “de ses propres mains” un campement écotouristique.

Salaire mensuel : 250 000 francs CFA (381 euros)

Pendant un ou plusieurs jours d’affilée, Ibrahima arpente le Sénégal oriental avec des touristes confiés par des agences de voyage pour un revenu mensuel moyen d’environ 230 euros. Bémol : il est payé en commission. “S’il n’y a pas de touristes, c’est vraiment difficile. Comme cette année. La proximité avec le Mali et Ebola ont fait fuir les gens”, confie-t-il.

Pour compléter ces revenus incertains, Ibrahima a ouvert une boutique avec un « coin cafétéria”. “Il n’y avait rien dans le village pour les touristes. Il fallait faire une heure de route et repartir à Tambacounda pour avoir une boisson fraîche et manger un plat.” Il a mené le projet à son terme grâce à l’aide d’un couple d’amis français. Leur contribution lui a permis de construire un local à côté de chez lui, mais aussi d’acquérir deux panneaux solaires pour alimenter un réfrigérateur en électricité. “En deux jours, ça a marché. Ils ont pu boire un coca frais avant de repartir !” La vente quotidienne d’épices, de boissons et d’autres articles lui rapporte aujourd’hui environ 150 euros par mois. Plutôt un bon complément de revenus dans un pays où le salaire moyen s’élève à 107 euros par mois (chiffres Banque mondiale 2014).

Pour investir, Ibou construit des cases pour un coût de 25 euros par mois

“En ce moment, je n’ai plus rien à faire. J’attends que les touristes arrivent. Mais je n’aime pas rester sur ma chaise à boire l’ataya (thé traditionnel)”, soupire le guide. Pour s’occuper, Ibou a donc décidé de construire un campement écotouristique dans son jardin. Une idée qui a germé lors de ses nombreux voyages en tant que guide au Mali, en Guinée et en Gambie.

Il se compare volontiers à un “Pouss Tak” : “Je suis comme les vieilles voitures que l’on pousse pour démarrer. Une fois le moteur en marche, il ne faut plus les arrêter”, rigole-t-il ! Grâce aux bénéfices de sa boutique, il arrive à épargner environ 25 euros par mois pour acheter le matériel nécessaire à la construction du campement. Il a déjà fabriqué quatre cases. Une cinquième est en cours de construction.

École des enfants : 90 euros

“C’est pour l’avenir de mes enfants que je construis le campement. Je veux leur montrer qu’on peut vivre correctement en campagne”, confie Ibou. Il consacre une part conséquente de son budget à l’éducation des petits. Deux de ses enfants sont inscrits au collège de Tambacounda, la ville voisine. Budget : 76 euros par mois. “Il restent six mois à l’école sans rentrer au village, car je n’ai pas les moyens de les faire revenir. » Le trajet en bus pour les deux garçons coûte 3,80 euros.  Trop cher. « S’il veulent vraiment venir nous voir, il le font en vélo.”

Ses quatre autres enfants vont à l’école primaire du village. L’inscription et les fournitures s’élèvent à 15 euros. “J’aide également les enfants de mon frère, car j’ai un meilleur salaire que lui”, détaille Ibou.

Alimentation : 198 euros

Avec 198 euros par mois, l’alimentation figure au premier poste de ses dépenses. Pour cause : Ibrahima vit avec ses deux frères et sa soeur, eux-mêmes mariés avec enfants. Au total, il a 26 bouches à nourrir chaque jour. “On achète un sac de 25 kilos de riz pour cuisiner du mafé ou du tiep bou dienne le midi, et le soir, on fait de la bouillie avec les restes et le mil. Ici, on ne gaspille pas comme en ville.” Les produits locaux permettent également à la famille de faire des économies : confitures, bissap et pain de singe…

Électricité et eau : 7,50 euros

Avec la récente installation de panneaux solaires, Ibou ne dépense plus un centime en électricité. En revanche, il n’y a pas d’eau courante à Dar El Salam. Faute de temps pour le faire lui-même, ce sont les filles du village qui lui portent l’eau cherchée au puits pour 7,50 euros par mois. “Il faut créer de l’emploi pour que les jeunes restent au village”, justifie le guide.

Communications : 20 euros

Pour son travail, Ibrahima reste connecté, seul moyen pour lui de recevoir ses réservations. Le guide ironise : Dar El Salam n’est pas encore le village 2.0 dont il rêve ! Il se déplace donc deux fois par semaine à Dialakoto, à quelques kilomètres, où se trouve le seul cybercafé de la région, tenu par son ami d’enfance. Il débourse 1,50 euros pour la connexion à internet, “un prix d’ami” selon lui, et 3,80 euros pour le trajet en bus aller-retour. “C’est obligatoire pour faire marcher mes affaires. Sans cela, je serai mort.” Il consacre également 15 euros par mois à son téléphone, comprenant une recharge d’unités pour pouvoir appeler ses clients mais aussi au changement, tous les trois mois, de sa batterie qui ne résiste pas à la chaleur.

Épargne : un peu plus de 20 euros 

Même si “les fins de mois sont limite-limite”, reconnaît-il avec humour, Ibrahima épargne tout de même un peu plus de 20 euros mensuellement. Un petit pécule qui lui permet de subvenir aux besoins de sa famille lorsqu’il y a “des mois sans touristes” ou en cas de problèmes de santé. “Si quelqu’un est malade, on est obligé de l’emmener à Tambacounda ou à Dialakoto, au dispensaire. C’est un budget pour le déplacement et les soins.”

Aide aux voisins : 20 euros

Ibrahima s’autorise très peu de dépenses exceptionnelles : “Il y a dix ans j’aimais bien être correctement habillé. Maintenant je m’en fiche. Chaque année, je dois m’acheter quelques nouvelles chemises pour mon travail. C’est tout.”

Il préfère consacrer l’argent qui lui reste à ses enfants. “Ils adorent les biscreams et les t-shirts de foot.”
À Dar El Salam, l’entraide entre voisins fait également partie du quotidien. “Si mon voisin n’a rien à manger, je lui file un coup de main. Le remboursement se fait en nature.” Avec sa cinquième case actuellement en construction, les emprunteurs l’aident pour le tressage de la paille pour le toit, un travail fastidieux toujours plus agréable à faire à plusieurs.

Son hyperactivité ne s’arrête pas là. Ibrahima a encore des projets pour rendre son village plus attractif. Mais ses enfants n’ont pour le moment pas l’intention de faire perdurer l’exploitation touristique. Ils désirent prendre le large pour gagner l’Europe. “C’est comme un retour de bâton, j’ai l’impression de me voir lorsque j’étais jeune”, déclare le guide. Il ajoute : “Je ne veux pas que mes enfants soient des sacrifiés de la pirogue. Je veux à tout prix leur montrer qu’on peut faire des choses ici, à Dar El Salam. C’est mon plus grand défi aujourd’hui.”

Taux de conversion établi à 1 euro pour 655,96 F CFA.

SOURCE ; Jeune Afrique 

 

Evolution du dossier Maty Mbodj : Adja Diallo prend peur

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L’ex-mannequin voulait n’être inquiétée en rien et mêlée à quoi que ce soit jusqu’au quarantième jour après le décès de Maty Mbodj, son amie et concitoyenne de Thiès qu’elle considérait comme une propre sœur. C’est ce qu’elle avait laissé entendre. Cependant moins d’une semaine après, elle retrouvait les plateaux des télés. Pour beaucoup, Adja avait fini de faire le deuil de feue Maty, contrairement à son engagement. Entendue par la police au sujet de sa carte d’identité retrouvée chez la défunte, elle vit dans l’angoisse, qui est montée d’un cran suite à l’audition de leur chauffeur de taxi attitré. Adja Diallo a peur. Pas d’être inculpée dans le cadre du décès de celle-ci. Elle est certaine de son innocence. Elle a plutôt peur de ce qu’aurait pu dire le taximan au sujet de sa vie privée. Le chauffeur a été longuement entendu par les policiers à la disposition desquels il reste. La belle Adja a
vécu des nuits sans Lune et étoiles et beaucoup de nuits étoilées. Ce qui pèse sur sa conscience de jet-setteuse, reconvertie dans l’animation. Pourvu que son angoisse ne déteigne pas sur l’émission qu’elle anime à Sen Tv.
 Vipeoples.net

 

EN IMAGES : WALY SECK ENFLAMME LE BARRAMUNDI(21 photos)

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France : Une sénégalaise tuée et jetée dans la Seine

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Une sénégalaise du nom de Aminata Dia a été tuée et jetée dans le fleuve français, La Seine, informe “La Tribune”.

Fille d’un sous-officier de la gendarmerie nationale sénégalaise, elle avait disparu depuis le 31 août dernier. Les recherches entreprises par sa famille n’avaient rien donné. Ce n’est que vendredi que le corps de la dame, âgée de 34 ans, a remonté à la surface du fleuve français, La Seine. La police criminelle française, qui a ouvert une enquête, a informé la famille de la triste nouvelle. Le corps a été déposé à l’institut médico-légal de Paris pour autopsie. Aminata laisse derrière elle un enfant de 2 ans.

Amadou Diallo, le consul général du Sénégal à Paris, soutient que les autorités sénégalaises attendent les résultats de l’enquête de la police criminelle française pour savoir la suite à donner à cette affaire.

Chris Brown : il annule son concert à la Gay Pride, Fetty Wap le remplace

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Chris Brown ne s’est finalement pas présenté à la Gay Pride d’Atlanta et les raisons de son annulation sont assez aberrantes.

Il y a deux semaines, Chris Brown avait annoncé qu’il se produirait durant la Gay Pride pour un concert. Seulement, le chanteur a annulé sa prestation à la dernière minute laissant les organisateurs de l’événement sur le carreau.

En effet, d’après le site TheGaVoice.com, Chris Brown qui se trouvait à Atlanta dans le cadre de sa tournée devait venir assurer un showcase dans un club de la ville. L’événement vendu comme « la plus grosse fête lesbienne du pays avec 4000 filles attendues » a soudain dérangé le chanteur de « Loyal » quand il a appris que des hommes gays pouvaient également être présents.

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Amber Rose : en couple avec un joueur de football américain ?

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Amber Rose et le footballeur américain Odell Beckham Jr seraient au tout début de leur relation d’après le site TMZ Sports.

La sulfureuse Amber Rose semble avoir trouvé l’amour ou du moins la personne qui succèdera à Machine Gun Kelly. La jeune femme célèbre pour avoir été la petite amie du rappeur Kanye et réputée pour sa plastique voluptueuse, est également l’ex du rappeur Wiz Khalifa avec qui elle a eu un petit garçon.

Alors qu’on la verra prochainement à l’affiche de sa propre télé-réalité avec sa super copine Blac Chyna, la belle Amber Rose pourrait mettre en avant sa relation naissante avec le joueur de football américain Odell Beckham Jr qui joue pour les Giants de New York.

En juillet dernier, une rumeur concernant le couple avait déjà commencé à tourner, lancée par le blog du DJ Funkmaster Flex mais les deux célébrités avait nié tout lien.

Cependant Amber et Odell ont été aperçus dans les rues de New York par des fans et le sportif aurait même offert un bouquet de roses blanches à la belle… Affaire à suivre.

 

Karim Séga Diouf, coach AS Douane : « Le chantier d’Aliou Cissé est vaste »

Il a guidé les premiers pas d’Aliou Cissé en sélection. L’actuel coach des Lions a été l’adjoint de Karim Séga Diouf sur le banc des Olympiques notamment lors de JO 2012 et, auparavant, pour un match amical de la sélection A en Afrique du Sud (0-0). Suffisant pour que Karim Séga Diouf connaisse bien la philosophie d’Aliou Cissé et d’apporter un œil d’expert sur les chantiers futurs de ce dernier.

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« Une défaite donne forcément un gout amer à l’entraineur. Aujourd’hui, Aliou Cissé a connu des victoires (quatre), une défaite, il ne reste que le partage des points. Après cette défaite contre l’Afrique du Sud (0-1, Challenge Mandela), il doit tout faire pour qu’elle ne se reproduise pas très tôt. Il doit tirer les enseignements de cette première défaite tout en analysant les points positifs. Il y a des compétitions officielles qui se profilent à l’horizon, à lui de bien tenir la corde.

Aliou Cissé vient d’arriver. Il a besoin de mieux connaitre ses joueurs, de s’améliorer davantage, et de mieux s’imprégner de la Tanière dans toutes ses composantes. Aujourd’hui, il a un chantier vaste. Mais son vécu en tant qu’ancien joueur de l’équipe nationale lui facilite la tâche. Il doit savoir où se trouve les besoins pour proposer des solutions. A mon avis, il n’y a pas 36 solutions, il doit continuer le travail sans relâche.

Les changements opérés face à l’Afrique du Sud étaient probants. Ça a été une très bonne option de tourner son effectif parce que tout le monde ne peut pas jouer. On sortait d’un match officiel et on allait vers un autre match de préparation si je peux l’appelais comme ça. L’urgence, c’est d’en profiter pour voir certains joueurs dans un contexte particulier. C’était le cas de Pape Alioune Ndiaye, Pape Sané et autres. Sans d’autres considérations, Aliou a justifié la présence de ces joueurs-là et je pense que c’est important pour la suite ».

Cambriolage chez Babacar Gaye : La piste de l’espionnage politique explorée

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Le domicile du porte-parole du Parti démocratique sénégalais (Pds), Babacar Gaye, a été cambriolé, informe “La Tribune”. Les malfaiteurs n ont emporté ni bijoux, ni argent. Ils ont ciblé des objets, chers certes, mais réputés être des niches d informations. En effet, selon Le Tribune , ils ont emporté un téléphone Samsung Galaxy S6 Edge Gold, un ordinateur Sony Viao, un téléphone Samsung Galaxy Grand Duos, une tablette 2, un Ipad Air, un ordinateur Macbook Pro et un porte-documents contenant un passeport et 2 chéquiers. De quoi privilégier la piste de l espionnage politique, explorée par les enquêteurs. L enquête ouverte permettra, sûrement, d élucider cette affaire.

 

Auteur: seneweb New

Nomination: Le général Mamadou Sow porté à la tête du Comité des chefs d’ Etat-major des pays de la Cedeao

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Le général de corps d’armée, Mamadou Sow, prend du galon. Le chef d’Etat-major général des Armées sénégalaises (Cemga) vient, en effet, d’être porté à la tête du Comité des chefs d’Etat-major des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao). Premier Cemga sénégalaise à être issu de l’École nationale des officiers d’active (Enoa) de Thiès, il remplace le vice-amiral Mathew Quashie du Ghana.
En fait, cette nomination est logique et s’inscrit dans une dynamique d’efficacité. En effet, le 19 mai dernier, le Président Macky Sall a été élu nouveau président en exercice de la Cedeao pour un an, à l’issue du 47e sommet de l’organisation ouest-africaine qui s’est tenu à Accra (Ghana). Le président de la République du Sénégal a succédé à son homologue ghanéen John Dramani Mahama.

Auteur: Se

Déclaré non grata : Mame Mbaye Niang accueilli à bras ouverts à Fatick

Mame Mbaye Niang

Le ministre de la Jeunesse, de l’emploi et de la construction citoyenne, Mame Mbaye Niang, s’est bien rendu hier dans la capitale du Sine. Et contre toute attente, les jeunes qui l’avaient déclaré persona non grata la semaine dernière, se sont fortement mobilisés pour l’accueillir.

Déclaré persona non grata la semaine dernière à Fatick par les jeunes de la localité après le faux bond qu’il leur a fait, Mame Mbaye Niang était bien là-bas hier. Force est de constater que ces jeunes sont revenus à de meilleurs sentiments. Puisque non seulement ils se sont mobilisés massivement hier, mais ils sont allés accueillir le ministre aux portes de la cité de Mame Mindiss. Mais le plus cocasse dans cette affaire est que c’est Papa Massène Guèye, qui avait chargé Mame Mbaye Niang en personne, qui a fait office de maître de cérémonie au cours de ce forum organisé dans le cadre des Vacances citoyennes et qui portait sur l’emploi des jeunes.

A part les chapelets de doléances qu’ils ont égrenés devant le ministre, les jeunes ont presque à l’unanimité, semblé oublier l’incident de la semaine dernière. C’est le cas du président du Conseil régional de la jeunesse qui, en plus d’avoir souhaité la bienvenue à Mame Mbaye Niang, a dit comprendre ce dernier : «je voudrais rappeler au ministre de la Jeunesse que certes il y a eu report de cette manifestation, mais nous comprenons que les charges ministérielles font que des fois vous êtes pris ailleurs, mais nous vous comprenons», a déclaré Ibra Diogope Ndiaye. La seule voix discordante a été celle du président du Conseil départemental de la jeunesse de Fatick, Moustapha Diouf.

Regardant le ministre les yeux dans les yeux, il lui assène ses quatre vérités : «N’eût été la médiation du gouverneur, la jeunesse républicaine qu’incarne le Conseil départemental de la jeunesse, n’allait pas assister à ce forum. Parce que nous avions eu à programmer trois rencontres avec vous mais elles n’avaient pas pu aboutir», lui reproche M. Diouf. Lequel, faisant allusion aux multiples faux bonds du ministre, embraye : «Nous avons constaté M. le ministre que vous êtes un homme de la République. Mais la République c’est avant tout le respect des engagements. La République c’est aussi la crédibilité et pour être crédible devant les jeunes, il faut donner les bonnes informations et les respecter. La République, ce n’est pas aussi la farce. Nous avons assisté à maintes reprises à des Vacances citoyennes et nous avons toujours été une jeunesse citoyenne… C’est pourquoi nous avions pensé que ces Vacances citoyennes allaient être des vacances de la République et non des vacances politiques», a martelé Moustapha Diouf sous les vivats d’une partie du public.

Dans sa réponse, le ministre Mame Mbaye Niang a essayé de dédramatiser ses nombreux rendez-vous manqués avec la jeunesse fatickoise : «Je voudrais vous remercier de votre compréhension parce que notre rendez-vous était prévu pour le 4 septembre mais des problèmes de disponibilité ont fait que cela n’a pas été possible. Certaines personnes ont voulu assimilé cela à un manque de considération à votre endroit. Mais qui me connaît sait que je n’ai pas de limites pour aller rencontrer la jeunesse sénégalaise. Cet incident est regrettable, mais il est clos parce que cette forte mobilisation prouve que la jeunesse de Fatick adhère à la politique du président de la République, Macky Sall», a-t-il expliqué. Il a invité les jeunes à s’approprier les valeurs de citoyenneté, de probité entre autres.

Tout est bien qui finit bien. Le président de la Commission communication du Conseil départemental de la jeunesse de Fatick, Papa Massène Guèye, à la suite du quatrième faux bon du ministre de la Jeunesse, de l’emploi et de la construction citoyenne, avait savonné Mame Mbaye Niang. «Il (Mame Mbaye Niang) ne peut pas faire le tour du Sénégal et ignorer la jeunesse de Fatick. Nous le déclarons persona non grata et ne voulons même plus le rencontrer parce qu’il ne nous respecte pas. Nous allons tout faire pour que les jeunes ne se mobilisent lorsqu’il décidera de revenir ici une prochaine fois. S’il peut rencontrer de petits enfants ou des vieillards, c’est son problème, mais nous les jeunes, nous avons décidé de le boycotter pour de bon parce qu’il ne nous respecte pas.»

Emmanuel Adebayor un incompris devenu indésirable

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Footballer de talent et star dans son pays le Togo, Emmanuel Adebayor est devenu persona non grata aussi bien chez les Éperviers que dans son club à Tottenham en Angleterre. À 31 ans, ce fort en gueule va devoir se trouver une porte de sortie et retrouver son potentiel qui en a fait un attaquant d’exception.

 

On garde encore en mémoire cette vision d’Emmanuel Adebayor heureux, nageant dans la piscine de son hôtel sud-africain au lendemain de son but face à l’Algérie qui lui assurait presque de jouer un quart de finale historique pour le Togo. C’était en 2013, l’homme était fier. Il disait jouer « pour son peuple ». Il ne voulait pas être une star dans l’équipe, mais un simple attaquant qui apporte sa pierre à l’édifice. Emmanuel Adebayor est tout sauf quelqu’un de simple. Considéré comme un des meilleurs joueurs africains de sa génération, Adebayor semble s’être perdu ces derniers temps.

 

Les critiques de Tom Sainfiet

 

On ne veut plus de lui du côté de Tottenham et le sélectionneur du Togo, Tom Sainfiet, s’est passé de lui lors de la deuxième journée des éliminatoires de la CAN 2017. « Adebayor n’aime pas jouer pour son pays. Il n’aime pas l’idée que le Togo se qualifie pour la CAN, a lancé Sainfiet. Si on a du respect pour les Togolais, on a du respect pour la Fédération. (…). Peut-être qu’Adebayor n’est pas stable en ce moment avec ses problèmes de famille et le non-renouvellement de son contrat à Tottenham ». L’image d’Adebayor en a pris un coup. Lors de la première journée, Tom Saintfiet avait été contraint de rappeler à l’ordre l’attaquant pour son indisponibilité lors du rassemblement.

 

Adebayor est dans une drôle de position. Les Spurs n’ont pas inscrit l’ancien Messin sur la liste des joueurs autorisés à jouer en Premier League cette saison. Depuis le départ d’Harry Redknapp en 2012, l’ancien Monégasque n’est plus un cadre de l’équipe londonienne, et il a dû se contenter d’apparitions épisodiques.

 

Déjà il y a quelques semaines, Adebayor réglait ses problèmes familiaux à travers sa page Facebook, ce qui avait largement surpris tant les propos intriguaient. Ses frères lui auraient mis un couteau sous la gorge alors qu’il se reposait ; il a même pensé à mettre fin à ses jours. Il faut dire que ce surdoué traîne l’image d’une grande gueule indisciplinée. Il avait été privé de finale de Gambardella à Metz, son premier club en Europe, déjà pour indiscipline. En 2006, après une vive altercation avec Stephen Keshi, le sélectionneur de l’époque, il souhaite quitter l’Égypte… Rebelote au Mondial 2006. Pour une énième histoire de primes non versées, Adebayor, fomente une grève avec ses coéquipiers, avant le match crucial contre la Suisse. Il a 22 ans.

 

Ganster ou footballeur !

 

Malgré son indiscipline, Adebayor a souvent régalé ses fans. Débarqué anonyme à Arsenalvia Monaco en janvier 2006, il commence à se faire connaître. Deux années plus tard, il plante 34 buts toutes compétitions confondues. « Je serais probablement devenu un gangster si je n’avais pas été footballeur pro. La plupart de mes amis de jeunesse sont aujourd’hui des vrais bad boy. Ils zonent toute la journée dans ma ville natale de Lomé. Ils picolent trop, ils fument de l’herbe et commettent des crimes. La vie est comme çà dans certains coins d’Afrique…Ici, certains footballeurs oublient à quel point ils ont de la chance de vivre cette merveilleuse vie de joueur pro », avait-il confié au Sun à cette époque. En septembre 2007, il inscrit son premier triplé, le premier hat-trick réalisé dans le nouveau stade d’Arsenal, l’Emirates Stadium.

 

Nommé par les instances du football africain pour le titre de « meilleur joueur africain de l’année 2004 », Emmanuel Adebayor marchait sur les traces d’Eto’o et de Drogba. Le côté un peu voyou en plus.

 

Adebayor a connu des moments de gloire et d’autres plus terribles. En 2010, l’Épervier perd deux de ses compatriotes dans le terrible mitraillage de son bus par des terroristes, à deux jours de l’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations en Angola. L’année suivante, il annonce sa retraite internationale, se disant « toujours hanté » par le mitraillage dont avait été victime le bus de sa sélection. Aujourd’hui, Adebayor est devenu indésirable chez les Éperviers et n’a plus de place à Tottenham. À lui de trouver la bonne porte de sortie.

 

Auteur: RFI.FR –

Mbacké – Des bandits à bord d’un 4X4 attaquent un magasin et tirent sur le propriétaire

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Les populations de Missirah ont passé la nuit du dimanche au lundi difficilement, réveillées qu’elles ont été par les crépitements des coups de feu. En effet, des malfrats, armés jusqu’aux dents ont fait irruption dans cette commune du département de Mbacké ravageant tout sur leur passage.
Le boutiquier Mbaye Gueye est celui qui a été le plus touché par cette attaque nocturne. Âgé de 32 ans, il reçu une balle à la main après avoir été dépossédé de son coffre-fort. Pour le moment, aucune information précise n’a été donnée par rapport à la somme d’argent qui a été emportée.

Aux dernières nouvelles, la victime est aux soins à l’hôpital Matlaboul Fawzeini de Touba. Selon Serigne Moustapha Mbacké, chef religieux à Missirah, les bandits étaient au nombre de 5. « Ils ont criblé de balles tous les murs. Nous avons besoin que la sécurité de notre localité soit renforcée. Nos communes sont exposées à la folie meurtrière de ces malfrats qui nous empêchent de dormir. Nous interpellons l’Etat du Sénégal ».

Auteur: Seydina Mouhamed Diouf – Seneweb.com

Limitation des mandats présidentiels en Afrique de l’Ouest : La Société civile de la Cedeao mène le plaidoyer

limitations des mandats

La Société civile de l’Afrique de l’Ouest se mobilise pour forcer la main à la Cedeao afin d’adopter la charte de la limitation des mandats présidentiels. Lors d’un séminaire ouvert hier, elle a démontré le caractère désastreux que comporte pour un État, le contraire de ce principe.

 

En Afrique, le respect du principe de la limitation des mandats est très peu appliqué par les États. Le Burundi, la Rd Congo, l’Algérie, le Togo, la Gambie entre autres, sont autant d’exemples d’États où les dirigeants s’éternisent au pouvoir. Les peu de pays qui parviennent à faire des alternances politiques le font parfois après des heurts. Le Sénégal en 2011 avec le troisième mandat du Président Abdoulaye Wade, le Burkina Faso avec Blaise Compaoré en mars 2015, peuvent illustrer les résistances qui escortent ce principe démocratique dans le continent. Ce sujet était hier au centre des discussions d’un séminaire organisé le Forum de la Société civile de l’Afrique de l’Ouest (Foscao), en partenariat avec la fondation Osiwa.

 

Au cours de deux journées de réflexion, ces organisations de la Société civile de la sous-région ouest-africaine vont chercher à pousser la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) à hâter le pas sur l’adoption d’une limitation des mandats présidentiels au niveau communautaire.

 

Pour le directeur exécutif de l’Institut de la gouvernance démocratique (Ideg), un mandat illimité pour un Président, sape le développement d’un pays. «Ces comportements égoïstes de nos chefs d’Etats favorisent l’impunité, la violence, la dictature… En tentant de s’éterniser au pouvoir, nos dirigeants font émerger des manifestations sanglantes qui engendrent des morts», regrette Emmanuel kwatey. A son avis, deux mandats suffisent pour un président de la République. «La limitation des mandats à deux doit être une norme ancrée chez nous Africains. Elle permet aux populations d’accéder aux services sociaux de base, mais aussi de jouir de la liberté», souligne M. Kwatey qui présentait l’exposé sur les méfaits d’un mandat illimité.

 

Pour expliquer ce fait, Emmanuel Kwatey dénonce un manque de volonté de la part de l’Union africaine (Ua) qui, selon lui, ne sanctionne pas les «tripatouilleurs de Constitutions». «Au niveau de l’Afrique, le Burundi mène la résistance avec le Président Nkurunziza. Est-ce que le Burundi n’est pas un cas d’école ? Aucune disposition n’a été prise contre le Burundi de la part de l’Ua. Le Président ougandais Museveni est même devenu un exemple alors qu’il mène des politiques aux antipodes de la démocratie», s’émeut-il.

 

Wade : le mauvais exemple, Macky : le cas d’école 

 

Au Sénégal, la validation en 2011 par le Conseil constitutionnel d’un troisième mandat au Président Wade a été citée comme un mauvais exemple de promotion de la démocratie. «En 2011, malgré une lutte farouche des organisations de la Société civile sénégalaise, le président de la République de l’époque avait obtenu du Conseil constitutionnel, la présentation d’un troisième mandat. Ce qui était anti démocratique», rappelle Emmanuel Kwatey, qui épingle également les «tripatouilleurs de Constitutions» comme Mamadou Tandia du Niger, Blaise Compaoré au Burkina Fao, Faure Gnassingbé au Togo… En revanche, M. Kwatey s’est félicité de la décision de Macky Sall de réduire son mandat de 7 à 5 ans.

 

Auteur: Babacar Guèye DIOP-lequotidien – Lequotidien

Enquête sur une communauté secrète : Les Libanais du Sénégal

Ils détiennent une place enviable, pour ne pas dire le monopole du commerce au Sénégal, mais veillent, comme à la prunelle de leurs yeux à passer inaperçus. Ils, ce sont les ressortissants Libanais, dont la plupart est naturalisée Sénégalaise parce qu’ayant vu les limbes au Sénégal. Le Pays a infiltré cette secrète communauté, qui ne vit pas que de négoce.

les libanais au Senegals ont investi tous les secteurs du business, comme l’alimentation, la quincaillerie, l’ameublement, l’imprimerie et tutti quanti. Fayçal, Charara, Hoballah, Bourgi… Que de noms de famille, d’origine libanaise, célèbres au Sénégal, lesquels se sont illustrés à travers des activités économiques devenus, de par leur «baraka» et/ou maestria, des plus prospères. Autant dire que la forte communauté libanaise est établie au «pays de la Téranga» depuis des lustres. Il nous revient qu’ils ont fui l’occupation Israélienne, à l’époque, et les guerres tribales rendant invivable leur patrie d’origine pour s’installer en Afrique Noire. Certains, comme les fils de ce gérant d’une supérette nichée sur la rue Raffenel, en plein cœur de Dakar, ont vu le jour au Sénégal. En effet, les rejetons de F. Hoballah sont nés et grandis au «pays du Thiébou dieune» pour paraphraser l’un d’eux. A l’image de leur pater, ils se réclament Sénégalais bon teint car ayant vu les limbes au Sénégal. Des exemples de ce genre font florès : Hamoudé Sharara, patron de la courue «Fourchette» (ndlr : resto des Vips) est issue de la famille du même nom. Il ressort des infos glanées qu’Hamoudé est un descendant de Moussa Sharara, arrivé au Sénégal en 1937. Pour la gouverne de ceux qui l’ignorent encore, il plastronnait, jusqu’à un passé récent, au maroquin de Vice Président de la Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal (CNES). Pour ce qui est des Gandour, rendu récemment tristement célèbres par la Douane Sénégalaise (ndlr : ils ont été pris dans la nasse des gabelous et ont du casquer 1 milliard et poussières), ils sont plutôt connus comme des tenanciers de parfumerie et autres produits cosmétiques.

Clichés

Toutefois, la fratrie de Fouad Hoballah, spécialisé dans l’alimentation, entre autres, peut servir, à bien des égards, d’archétype de la « parfaite intégration ». Ils ont pratiquement fait leur cycle scolaire ici, mangent quelquefois Sénégalais et ont des fréquentations Sénégalaises, mais limitées. «Ce, en dépit du fait qu’ils restent distants, de temps à autre, au regard des préjugés qu’on attribue, à tord ou à raison à la communauté Libanaise » précise l’un de leurs employés, lequel dira que certains Sénégalais de souche les isolent dans des clichés, qui les cataloguent «d’étrangers vivant au Sénégal ». Et notre interlocuteur de s’offusquer : « y’en a même qui les traitent de racistes, ce qui n’est pas normal ». S’inscrivant en faux, son collègue de soutenir que les « Libanais se disent Sénégalais alors qu’ils vivent éloignés des vrais Sénégalais ; on dirait qu’ils nous méprisent » lâche Tapha qui étaye son propos en pointant du doigt les maigres revenus de leurs ouvriers, non sans évoquer la rareté des mariages mixtes entre Sénégalais bon teint et Libanais. «Certes, on en trouve, mais cela se compte sur le bout des doigts. J’en connais, qui ont eu des enfants avec leurs bonnes, mais ils les rejettent comme des malpropres dès qu’elles engrossent». A défaut, on leur propose rubis sur ongle une manne assez considérable pour avorter «histoire d’éviter d’être la risée auprès de la communauté Libanaise prompte, comme nous autres Sénégalais, à des spéculations et autres conjectures».

Solidarité

Dans un tout autre registre, cette dame Libanaise répondant au nom de Hanan, interpellée sur le sujet dans un célèbre café dakarois, se montrant septique au début de notre conversation finira par déplorer le fait que certains les prennent pour cible lors des manifestations d’humeur. « On nous traite de tous les noms d’oiseaux or que nous sommes chez nous et participons au développement du pays en y investissant nos capitaux » fulmine t’elle dans un Wolof parfait à faire pâlir un Lébou bon teint. Et la belle dame aux mensurations digne d’une « drianké » sénégalaise de soutenir, la main sur le cœur, n’avoir jamais séjourné dans son pays d’origine (ndlr : le Liban). Aussi, Hanan brandit-elle, à titre illustratif, les nombreuses fois où les jeunes Libanais exposent leur «sénégalité», notamment lors des rencontres des «Lions» de foot auxquelles, ils arborent, un tantinet fier, des T-shirts et autres effigies du Sénégal. Toujours est-il que nombre de familles d’origine Libanaises triment dur l’image du commun des Sénégalais. Pour ainsi dire qu’il en existe des ressortissants du «Pays du Cèdre» (ndlr : Liban), qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts. En effet, si certains, vivant en vase clos, sirotant leur réussite sociale au «pays de la Téranga», dans lequel, ils ont fait fortune dans divers secteurs ; d’autres n’arrivent pas à vivre décemment. «Mais, cela ne se voit pas car il y’a une solidarité agissante entre nous. Et ces cas sociaux font recours au Cheikh (ndlr : Moneïm Zeïn, qui dirige les prières dans leur institut islamique). Et ce dernier sollicite, à son tour, la mansuétude des autres membres de la communauté Libanaise, qui ne rechigne pas à tendre la perche à leur prochain», nous apprend-on.

Politique

Il se trouve que l’arrivée massive des Baol Baol et autres Saloum Saloum à Dakar pour investir le commerce -dont les Libanais détenaient jalousement le monopole- a créé, ipso facto, cette paupérisation galopante auprès d’une frange de la communauté du «Pays des Cèdres». En outre, aussi saugrenue que cela puisse paraitre, il n’ya jamais eu de ministres Libanais au Sénégal et/ou de Libanais détenant de hautes fonctions dans l’appareil d’Etat, nonobstant le fait que des Sénégalais d’origine Libanaises ont investi le landerneau glissant de « l’art de diriger la cité ». Parmi eux, on peut citer pêle-mêle : Rajab, Aly Haidar (respectivement responsables au Pds et des écologistes du Sénégal), Samir Abourizk, pour ne citer qu’eux d’autant que la liste des politiques Sénégalais d’origine Libanais sont loin d’être exhaustive. Pour toute explication à ce cas de figure des plus paradoxales, l’on s’accorde à évoquer la peur de s’engager des Libanais eu égard aux clichés qu’on leur attribue. Aussi, évoque t’on, le fait que les Libanais restent, encore septiques craignant un éventuel retour de bâton ; comme cela est monnaie courante dans la jungle politique. N’empêche, on note des exceptions à la règle, tels le cas Fayçal Charara, promue au pinacle de la Vice Présidence d’une grande institution Sénégalaise. C’est dire que dans toute chose, il y’a forcément exception.

Messi: « Il n’y a personne comme Rooney »

Messi,Rooney

Alors que Wayne Rooney vient tout juste de devenir le meilleur buteur de l’Angleterre en sélection, surpassant, avec 50 buts, la légende Bobby Charlton, le Mancunien a reçu un hommage appuyé de Lionel Messi himself.

« Pour moi, Rooney est un joueur comme on en voit un par génération, a assuré l’Argentin au MirrorUn joueur spécial qu’on ne peut comparer à aucun autre. »

Et le joueur du Barça de continuer dans la même veine au sujet de l’ancien d’Everton. « Il y a beaucoup de joueurs spéciaux, mais Rooney a des qualités exceptionnelles et des capacités techniques incroyables. Ça en fait l’un des joueurs les plus forts que j’ai rencontrés. Il n’y a personne comme lui. »

Et l’Angleterre peut être rassurée. Car Messi en est certain: comme lui,« Rooney est un gagnant. » Son seul objectif sera donc de mener la sélection aux Trois Lions à la victoire lors du prochain championnat d’Europe. « Comme moi avec l’Argentine, avoir les records de sélections ou de buts ne veut rien dire tant qu’on ne gagne pas de trophées. Comme je l’ai dit, Rooney est un winner. Il fera toujours passer l’équipe avant les records personnels. » Ce qui ne suffit pas toujours pour remporter des trophées, le quadruple Ballon d’Or étant bien placé pour le savoir.

Autres articles

Charlatanisme et escroquerie : Les bourreaux de la journaliste Safoura Sow s’en tirent avec une peine d’un an

Safoura SowCe verdict devrait sûrement soulager notre consœur Safoura Sow. L’As renseigne que le tribunal a infligé à ses bourreaux, Samba Diongue dit Mabel Diongue et Abass Ben Ousmane Sylla, une peine d’un an ferme pour charlatanisme et escroquerie. En effet, le tribunal a suivi les réquisitions du ministère public. En plus, indique le journal, le juge a ordonné le remboursement des 11 millions qui lui ont été soutirés par la bande. Cette affaire est toutefois loin de connaître son épilogue car même si le procès de Safoura Sow contre Mabel Diongue et Abass BenOusmane Sylla est vidé, les sources de nos confrères révèlent que d’autres victimes ont déposé des plaintes contre les mêmes prévenus.

 

La SDE annonce une coupure d’eaux de 24 heures dans la capitale, aujourd’hui

SDELes Dakarois vont devoir faire avec car ce jeudi risque d’être une grosse journée de galère pour eux. Et pour cause, la Sénégalaise des eaux (Sde) annonce une coupure d’eau quasi générale de 24 heures dans une bonne partie de la capitale. D’ailleurs, renseigne Le Pop, les prémices de cette pénurie d’eau à venir ont commencé, hier, notamment aux Parcelles assainies où l’eau s’est fait rare durant la journée. Mais ce n’est rien comparé à ce qui est annoncé pour ce jeudi. Car la Sde va procéder à des travaux à l’usine de Keur Momar Sarr. Ce qui fait que l’approvisionnement de Dakar en liquide précieux sera fortement perturbé. Pour atténuer les souffrances des populations, la société des eaux annoncent que des camions citernes seront déployés pour distribuer de l’eau dans les quartiers les plus touchés.

 

Après l’étonnante descente de l’AS Pikine en deuxième division : Le bureau exécutif va tenir son premier point de presse

As PikineLe président de l’AS Pikine Modou Fall en fin de mandat avec son bureau exécutif va tenir un point de presse ce vendredi. Ce face-à-face avec la presse sera le premier depuis l’étonnante chute de l’AS Pikine qui est descendue en deuxième division alors qu’elle était tenante du titre.
Cette chute surprenante sera l’objet du point de presse du bureau exécutif de l’ASC conduit par le président démissionnaire Modou Fall.
Ce point de presse aura comme objectif d’annoncer les orientations et la feuille de route pour la prochaine saison 2015/2016. En vue aussi de préparer l’assemblée générale de rupture prévue le 03 octobre qui sera marquée par un appel à candidature pour le poste de président de l’équipe, avec un comité de candidature coordonné par le Secrétaire général.
Le poste sera libre à toute personne intéressée.

PETERSEN : Les marchands ambulants menacent de s’immoler

Les marchands ambulants du garage Petersen sont décidé à aller jusqu’au bout pour contraindre la mairie de Dakar-Plateau à leur céder les rues du centre-ville pour leur commerce. Car, avec l’approche de la Tabaski, ils veulent encore réoccuper la chaussée pour écouler leurs marchandises. Une chaussée dont ils ont  été chassés par la mairie, lors d’une opération de déguerpissement qui avait viré à l’affrontement.
Délogés à coups de grenades lacrymogènes par la police avec laquelle ils entretiennent au quotidien des échauffourées, l’ultimatum pour leur départ des lieux fixé à lundi prochain, ces marchands n’entendent pas baisser les bras, renseigne Le Pop.
« On nous empêche de travailler, alors que nous sommes d’honnêtes citoyens. Maintenant, si toutefois la mairie ne nous laisse pas travailler, nous allons nous suicider. On va s’immoler ici, au niveau du Rond-point Petersen, lundi prochain, si toutefois le problème n’est pas réglé d’ici là. Parce que nous ne pouvons pas comprendre qu’on nous empêche de travailler alors que la Tabaski, c’est dans quelque jours », ont-ils menacé hier.

Lettre ouverte à Abdou Latif Coulibaly, Secrétaire général du Gouvernement

latif coulibaly

Dakar, le 9 septembre 2015
À
Monsieur Abdou Latif Coulibaly
Ministre, Secrétaire  général du gouvernement
Dakar – Sénégal

Objet : l’absence de contrôle des actes législatifs et règlementaires avant leur publication au  Journal officiel

Monsieur le ministre,

En vertu de l’alinéa 5 de l’article 3 du décret n° 2002-1152 du 3 décembre 2002 relatif à l’organisation des services du Premier ministre, le Secrétariat général du gouvernement « assure l’enregistrement unique, la publication et la notification, après contrôle, des lois, ordonnances, décrets, arrêtés et décisions… »

L’exploitation de plusieurs Journaux officiels nous amène à la conclusion que vos services n’assurent pas, comme il se doit, le contrôle des actes législatifs et réglementaires avant leur publication au Journal officiel (J.O.). Les développements qui suivent  en donnent la preuve.

Comment peut-on expliquer :

  1. La publication dans deux J.O.  d’une même loi à savoir  la loi uniforme n° 2014-01 du 6 janvier 2014  relative au traitement des comptes dormants dans les livres des organismes financiers des États membres de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA). En effet, ladite loi a été publiée au J.O.  n° 6792 du 24 mai 2014 (pages 668 à 672) puis au J.O. n° 6823 du 6 décembre 2014 (pages 1499 à 1503).
  1. La publication  d’un arrêté en date du 7 octobre 2014 dans un  J.O. du 8 mars 2014. Il s’agit de l’arrêté primatoral n° 16878 portant création et fonctionnement du Comité de pilotage de l’étude sur le système de rémunération au sein de l’administration, publié au J.O. n° 6778 du 8 mars 2014 (page 232).
  1. La publication de la loi n° 2013-11 du 31 décembre 2013 relative à la deuxième loi de finances rectificative pour l’année 2013 dans deux J.O. (n° 6782 du 29 mars 2014 aux pages 309 à 331 et n° 6823 du 6 décembre 2014 aux pages 1497 à 1499). Au surplus, les deux textes de loi ont des contenus différents.
Monsieur le ministre,

Conformément à l’article 11 du décret du 3 décembre 2002 précité, la Direction de l’Imprimerie nationale est rattachée au Secrétariat général du gouvernement. Je saisis cette occasion pour vous sensibiliser sur le fonctionnement de l’Imprimerie nationale, qui fut un maillon essentiel dans la promotion de la transparence avec la publication  régulière de tous les actes réglementaires. Mais, voilà au moins deux décennies que cette structure est devenue moribonde. Or, elle devrait être à l’heure actuelle un partenaire privilégié pour beaucoup de services administratifs. Aujourd’hui, l’État et les collectivités locales dépensent beaucoup d’argent au titre de commandes d’imprimés officiels qu’on aurait dû confier à notre Imprimerie nationale. À défaut de recevoir directement certaines commandes publiques, elle devrait être en mesure de pouvoir participer aux marchés publics, sous réserve évidemment de mettre à sa disposition les moyens humains, matériels et financiers nécessaires.

Monsieur le ministre,

Sur un autre registre, à ce que nous sachions, le gouvernement en place est un gouvernement qui a opté pour la transparence et le respect de la légalité, pouvons-nous alors savoir pourquoi ledit gouvernement se refuse de publier au J.O. les décrets d’application de la loi portant création de l’OFNAC, violant de ce fait les règles d’applicabilité des actes réglementaires.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le ministre, l’expression de ma haute considération.

Mamadou Abdoulaye SOW
Inspecteur principal du Trésor à la retraite
Ancien ministre

CHEIKHNA KEITA BRISE SENGHOR, DIOUF ET WADE : « L’un nous a méprisés, l’autre nous a humiliés et le troisième n’a pas tenu ses promesses! »

senghor,diouf,wadeLe mouvement national des policiers à la retraite du Sénégal tous corps confondus, a décidé de s’investir politiquement, malgré son statut apolitique, pour la réélection du Président Macky Sall. Dans cet ordre, Cheikhna Keïta et ses collaborateurs ont entamé une tournée nationale pour « plébisciter » l’actuel Chef de l’Etat. Durant l’étape de Diourbel, l’ancien brigadier en chef a « massacré » les Présidents Senghor, Diouf et Wade qui ne leur ont jamais accordé un minimum de respect.

« De tous les présidents qui ont succédé au Président Senghor, pas un seul n’a accordé une audience à un retraité policier! » Une manière bien fluide de plébisciter le Président Macky Sall qui a leur a accordé une audience et promis des solutions à leurs diverses doléances. Rappelant que beaucoup de ses collègues sont morts à cause du chagrin né de leur radiation du temps de Diouf, Cheikhna Keïta confie que leur dignité leur a été rendue par le Président Sall.

« Beaucoup d’entre nous sont morts. Nos enfants sont devenus des enfants de rue. 1 200 policiers sont restés radiés pendant 7 ans… On a été honoré par l’actuel Chef de l’Etat. Rien à voir avec  le premier Président de la République qui nous a manifesté du mépris, le deuxième qui nous a infligé la plus grande humiliation et le troisième qui n’a jamais respecté ses promesses. Vous trouvez normal qu’après plus de 35 ans de service, je ne puisse même pas avoir une pension de retraite de 100 000 francs? »

Interpellé sur l’association, Cheikhna Keïta mettra au pas certains de ses anciens supérieurs qui aspirent aujourd’hui adhérer à la structure. « Ceux-là qui nous ont commandés lorsque nous étions en activité, qui nous faisaient faire du travail, ne voulaient pas nous rejoindre dans l’association, arguant que c’est un brigadier en chef qui est à sa tête. Ils nous ont manifesté un complexe de supériorité. On a barricadé les textes, ils peuvent être membres, mais ils ne peuvent pas nous diriger! »

Seydou Guèye: “Mamadou Diop Decroix veut toujours arriver premier dans un concours d’amateurisme et d’irresponsabilité”

Seydou-Guèye

Seydou Guèye pense que le Front patriotique pour la défense de la démocratie est dans un concours d’amateurisme. Selon le porte parole parole du gouvernement, Abdoulaye Daouda Diallo ne peut pas être disqualifié pour l’organisation d’élections. Car explique t-il il a déjà organisé des élections que l’Alliance pour la République a perdues.

“J’ai de la peine pour Mamadou Diop Decroix, parce qu’il veut toujours arriver premier dans un concours d’amateurisme et d’irresponsabilité  qu’est le Fpdr. Le ministre Abdoulaye Daouda Diallo a organisé les dernières élections locales saluées par tous, mais que l’Alliance pour la République a perdues dans Dakar. Ousmane Ngom, ancien ministre de l’intérieur, avait organisé des élections perdues par Abdoulaye Wade. Donc c’est un faux procès qu’on nous fait. “Decroix” veut nous ramenr 15 ans en arrière”, a dit Seydou Guèye dans les colonnes de l’Observateur

Kalidou Koulibaly: “On me disait qu’on allait avoir des voyages mal organisés, des hôtels pourris..”

kalidou koulibaly

Derrière Ndoye et Kouyaté, Kalidou Koulibaly, lui, découvrait tout simplement le maillot du Sénégal. Longtemps convoité pour renforcer l’arrière-garde de la «Tanière», celui qu’on disait partagé entre la flamme du pays de ses parents et le feu de son pays adoptif, la France, dont il a porté le maillot des moins de 20 ans, est venu au moment où l’on pouvait s’y attendre le moins, après s’être affirmé dans un club d’envergure, Naples (Italie, Serie A).

Un choix qu’il ne regrette pas après avoir effectué son premier safari. «Quand j’ai pris la décision, juste avant de venir ici, on me disait tout le temps : «Bienvenue en Afrique», comme pour m’avertir que j’allais galérer. Mais il n’y a rien eu de ce que les gens pouvaient craindre. J’ai même été agréablement surpris. On me disait qu’on allait avoir des voyages mal organisés, des hôtels pourris et tout, mais ça s’est passé dans d’excellentes conditions. Il n’y a vraiment pas à se plaindre. Le Sénégal est un grand pays et au niveau de l’organisation, on sent que les gens ici sont habitués à organiser ce genre de missions. Car, du début à la fin, tout a été bien exécuté.»

A tel point qu’il en garde précieusement les souvenirs de son bizutage : «Je n’ai pas échappé, lance-t-il dans une franche rigolade, avant de se livrer. Ça c’est passé à la veille du match. J’ai voulu chanter un cantique, mais ils ne m’ont pas laissé faire. J’ai finalement opté pour du rap, avec un son de Rohff (rappeur français). Ils se sont bien marrés !» Passé l’effet de surprise et l’émotion maîtrisée, il revient sur sa prestation qui n’a pas été une partie de plaisir. «Je venais d’arriver et j’étais à l’écoute de mes coéquipiers qui m’ont bien encadré. Aussi bien ceux de la défense, Kara (Mbodj) et Pape (Souaré), qu’Idy (Guèye) au milieu. C’est vrai qu’au début j’avais quelques soucis, notamment à cause de la pelouse, c’est pourquoi d’ailleurs, j’ai changé de chaussures à la mi-temps. Ce n’est pas évident de jouer sur du synthétique ! Ensuite, il faut avouer qu’ils nous ont pris de court en mettant beaucoup d’intensité dès le début et avec leur vivacité, nous avons d’abord voulu jouer la prudence. C’est un football nouveau que je découvre, ce n’est pas la même chose avec ce que j’avais l’habitude de voir jusqu’ici, surtout en Italie où c’est très tactique, les équipes s’observent longtemps… Mais on peut être satisfait de ce match. Je le suis autant sur ma prestation personnelle que sur le plan collectif avec ces deux buts qu’on a mis, tout en préservant nos cages. Franchement, je ne vais pas faire la fine bouche. Pour moi, c’est un début de rêve !»
Avec IGfm

Avocats de l’Etat sur l’avis du groupe de travail onusien sur le cas Karim Wade : ” L’avis est vicié car il y avait un béninois lors des délibérations”

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Les avocats de l’Etat du Sénégal estiment que le groupe de travail des Nations unies en donnant son avis sur le cas Karim Wade a foulé au pied ses propres règles. En effet soulignent les avocats, un nommé Sétondji Roland Adjovi, qui est vice-président du groupe de travail, a participé aux délibérations alors qu’il ne devait pas y être. Car, les textes de la structure onusienne disposent ” qu’aucun membre ne peut participer  aux délibérations quand c’est son pays qui est concerné ou quand il peut y avoir conflit d’intérêts”.

 

«Ce qui est sulfureux et dérangeant, c’est qu’il y a un membre du groupe de travail  qui n’aurait pas dû participer aux délibérations du groupe. D’abord dans les méthodes de travail du groupe,  au point 5, il est dit que ‘‘ lorsque  le cas examiné ou la visite sur place concerne un pays  dont un des membres du groupe est ressortissant, ou dans toute autre  situation où il peut y avoir un conflit d’intérêts, le membre concerné ne peut pas participer aux délibérations sur le cas, à la visite, ou à l’établissement du rapport sur la visite. Donc ici il y a eu conflit d’intérêts parce que dans le dossier, il y a un Béninois qui s’appelle Pierre Agboba. Lui, étant béninois, il aurait dû le signaler», explique Me Felix Sow, membre du pool des avocats de l’État.

Ubbi tay grève tay : Ou comment les enseignants vont mettre la pression sur le Gouvernement

negociations-gouvernement-et-enseignants

Le grand cadre des syndicats d’enseignants ne démord pas vis à vis du Gouvernement. Les professionnels de la craie comptent mettre tout en oeuvre pour que les engagements pris par l’Etat du Sénégal de satisfaire leurs revendications soient respectés à la lettre. Aussi, ont-ils lancé le concept “Ubbi tay grève tay”, pour dire qu’ils n’effaceront pas les tableaux à la prochaine rentrée scolaire prévue dans un peu moins d’un moins.

“Le Gouvernement nous a roulés dans la farine et nous prenons cette fois ci l’opinion à témoin. Par patriotisme on a cessé notre mouvement d’humeur sur la base de promesses et d’engagements fermes mais hélas nous remarquons encore une fois de plus que nous avons en face de nous des irresponsables pour qui la parole d’honneur n’a pas de sens”, fulmine Ibrahima SOW responsable d’un syndicat du Grande cadre.

Les enseignants qui depuis deux mois multiplient les alertes et les menaces demandent l’application du protocole d’accord signé avec le gouvernement le 14 février 2014. Il s’agit entre autres points de la validation des années de vacatariat et de volontariat, de l’avancement des enseignants bloqués depuis 2012 et de l’alignement de l’indemnité des enseignants sur celle allouée à certains fonctionnaires.

Abdou Faty du Grand cadre de dire quant à lui que les conditions d’une année scolaire apaisée essentiellement et prioritairement dans les respect des engagements.

“Aujourd’hui, ils ne demandent ni plus ni moins à l’Etat qu’un respect des accords pour une année scolaire scolaire apaisée. “Il y a des enseignants qui ont cessé d’avancer depuis l’avènement de ce régime. Les actes étaient bloqués et même ceux qui ont reçu des actes avec le récente opération coup de poing ne sont toujours pas alignés. Nous considérons cela comme une volonté manifeste de nous écraser et de nous ôter notre dignité”, peste Abdoulaye Sène du Sels.

Espérons que le Gouvernement prenne ces menaces au sérieux et va dans le sens d’un apaisement du climat scolaire qui ne bénéficiera qu’aux enfants.

Alpagué par la police, le taximan de feue Maty Mbodj a été libéré, mais…

maty mbodji

Convoqué puis mis aux arrêts , dakarposte est en mesure de révéler que le conducteur de taxi patenté de la défunte Maty Mbodj est libre comme le vent. N’empêche…
C’est connu, les mannequins et autres célébrités particulièrement féminines recourent souvent au service de taxi pour vaquer à leurs occupations, faire leurs courses à n’en plus finir, notamment pour leurs shoppings et autres interminables emplettes féminines. Et, souvent elles jettent leur dévolu sur un conducteur de taxi aussitôt que la confiance s’installe au détour d’une course.
Ainsi, à l’image des autres célébrités-qui ne disposent pas encore de leur propre véhicule- la défunte Maty Mbodj avait son taximan attitré, dont nous tairons délibérément le nom pour ne pas contrarier l’enquête.
Et, c’est dans ce cadre que les limiers de la Sureté Urbaine, qui continuent, sans tambour ni trompette, leurs investigations aux fins de déterminer les causes de la mort saugrenue de Maty Mbodj, ont alors jugé nécessaire de « cuisiner » son taximan patenté.

Ce, sachant que le taximan passait le plus clair de son temps avec le défunt mannequin, donc il en sait un bout, pour ne pas dire beaucoup sur feue Maty Mbodj.
Le taximan a donc été entendu sur procès verbal avant d’être libéré. Mais, il lui a été notifier de rester à la disposition de la justice.

Pour ne pas entraver l’enquête en cours, nous n’en dirons pas plus! Mais, croyez-en nos radars, cette affaire sera élucidée. C’est dire que l’enquête avance. A pas de géants!