On vient d’apprendre que la police, a arrêté plusieurs de 100 personnes supposées étre des malfaiteurs. Selon une source sécurité, des personnes seraient des bandits. Un autre lot de prostituées a été démantelé. Une arrestation, qui intervient après les séries d’assassinats et vols dans cette commune. Nous y reviendrons.
quoi se poser la question. Car, depuis un bon bout de temps, pour ne pas dire des années, Youssou Ndour n’y joue plus. Et, toutes sortes de rumeurs circulent depuis lors. Nous avons appris qu’il y aurait un mauvais sort contre « You », qui serait enfoui quelque part. Il suffirait qu’il y mette les pieds pour que le » khon » marche. Cest du moins ce qui nous revient, lorsque nous avons voulu savoir les raisons qui font que l’auteur de Nothing on vain « fuit » comme la peste le Thiossane Night. Une boite de nuit qu’il remplissait jadis chaque V.S.D s’il n’avait pas bien évidemment voyagé. Même s’il n’avait pas sorti de nouveauté sur le marché, il suffisait que Youssou Ndour et le Super Étoile soit annoncé en live au Thiossane pour que l’impensable devient possible. Autrement-dit, la boîte de la sicap rue 10 affiche le complet durant tenez-vous le V.S.D
En un claquement de doigts, le Thiossane était plein à craquer aussitôt que l’horloge affichait minuit. Bref, qu’on le porte dans son coeur ou pas, les lives de enfant prodige de la Medina attiraient une foule monstre. Il est vrai que sa décision de filer l’amour (pas du tout parfait)avec Dame Politique avait créé une sorte de rupture de ban, autrement dit il avait mis en stand by sa carrière musicale d’ou depuis depuis lors le départ de nombre de ses musiciens connus de tous, mais force est de reconnaître que « You » exerce encore la même fascination auprès de son public. À moins qu’il évite encore les « mines » qui seraient enfouis; en attendant leur déminage, mystiquement parlant. C’est du moins ce qui se dit…
Le célèbre « DJILY CREATIONS », couturier des stars, a célébré son mariage hier, aux Etats unis, précisément à Atlanta. Il s’est marié avec Penda Niang, une gambienne riche comme crésus, vivant à Atlanta avec sa famille. Vous avez là, les images dudit mariage, qui est l’un des plus rares de la gang des V.I.P. Il faut rappeler que le roi des couturiers Sénégalais s’est divorcé récemment avec la mannequin Nadège Da Souza avec qui, il a un enfant. Ainsi selon nos sources, cette dernière ne cesse de le suivre car étant toujours amoureuse de lui.
Depuis 4 jours, un drame se joue au Hangar des pèlerins. Plus de 200 pèlerins dont moi-même sont laissés en rade et risquent de ne pas effectuer le Hadj. Aucune information crédible n’émane de la commission nationale du pèlerinage.
Des pèlerins se sont opposés à l’embarquement de certains responsables qui ont dû fuir devant la détermination des candidats au Hadj.
Corruption, népotisme et politique politicienne sont avancés par certains pour expliquer la situation. Il est dit que le président de la République lui-même est en train de trouver des solutions.
Je considère cette possible intervention du président de la République comme la faillite du système et une défaillance inadmissible de toute la chaîne de commandement. Convoyer directement 2000 pèlerins et encadrer 8500 autres convoyés par des privés est une opération logistique à la mesure d’un Général de division ayant exercé de très hautes responsabilités militaires.
Les aspects religieux ne devraient pas compliquer l’opération et justifient amplement l’emploi de religieux bien outillés pour conduire les rites du pèlerinage.
Il appartient à la commission, avec méthode, organisation, engagement et initiative de mettre en place les différentes phases de l’opération. La phase préliminaire qui conditionne les autres phases repose sur la gestion de données fiables de personnes qui s’inscrivent pour le pèlerinage. Elle comporte un aspect administratif, un aspect médical, un aspect financier.
L’aspect administratif exige la production par le pèlerin de documents administratifs qui lui permettent de voyager et d’obtenir de l’Arabie Saoudite un visa d’entrée dans le royaume pendant la période du mois du Hadj. Le futur pèlerin doit avoir un passeport en cours de validité. A défaut un passeport lui est fait sous quarante-huit heures après présentation de sa carte d’identité. Cette phase peut poser des problèmes pour certains de nos compatriotes qui n’ont pas toujours tous ces papiers. Le ministère de l’Intérieur et notamment la direction des passeports ont pris toutes les dispositions pour régler les cas difficiles.
L’octroi du visa ne devrait pas présenter un cadre particulier du moment que chaque partie respecte les règles du jeu. La partie sénégalaise doit fournir les papiers exigés et dans le respect du quota alloué. La partie saoudienne, tenant compte de ses prescriptions de sécurité, délivre les visas au prorata du quota offert. Le Sénégal pèche à ce niveau par l’intervention de politiques politiciennes.
Les politiques offrent sur le tard des billets à leurs militants, perturbant le travail effectué depuis deux mois par la commission. Tout le monde a vu la Première Dame offrir des billets le jour du départ des premiers pèlerins. Ces gens qui se croient sortis des cuisses de Jupiter prennent le pas sur tout le monde, sans aucune transparence et dans une arrogance inadmissible dans un état normal.
L’état a failli dans cette phase et les règles édictées n’ont pas été respectées par les autorités gouvernementales. La corruption, le népotisme et l’incompétence qui tuent à petit feu ce charmant pays prennent le dessus. Les tenants du pouvoir, sans aucun respect pour le citoyen, mettent en marche les méthodes qui ont toujours dominé ce pays. Des règles sont faites pour être respectées et les premiers à devoir les respecter doivent être les tenants du pouvoir.
Il suffit d’avoir un petit décret dans sa poche pour se croire au-dessus des lois. Autant nous avons dénoncé l’arrogance des hommes de pouvoir de la première alternance, autant nous dénonçons avec énergie, vigueur et sans retenue les pratiques malsaines des nouveaux dirigeants qui tiennent en otage tout ce pays.
L’aspect médical ne nécessite pas de remarques particulières. Une constante de l’opération logistique militaire repose sur l’aptitude médicale et le suivi médical d’une population a priori saine. Les médecins commis et qui sont employés par la commission doivent être intransigeants dans le cas d’aptitude médicale.
Un malade ne doit pas partir à La Mecque comme un militaire inapte ne participe jamais à une opération militaire. Nous avons l’habitude de mettre tout sur le dos de Dieu, cependant, la famille du pèlerin mort dans le hangar devrait poursuivre et la commission et le docteur ayant délivré le certificat d’aptitude après autopsie du corps.
Le suivi médical doit être mieux organisé en éliminant tous les parasites qui gravitent dans la commission du pèlerinage du fait d’un népotisme sans fin. Des données fiables permettent d’affirmer que beaucoup de missionnaires sont présents grâce à des liens familiaux, des liens d’amitié, des liens de servitude et, plus graves si c’est avéré, des liens communautaristes. Chaque groupe de mille pèlerins mérite une équipe médicale de 4 personnes qui prend en charge le suivi médical pendant tout le séjour.
L’aspect financier a bien été pris en compte, l’Etat ayant encaissé par la Banque Islamique les deux millions six cent cinquante mille francs de chaque pèlerin. Je ne veux pas croire comme certains l’affirment que les billets offerts par les politiques proviennent de cette manne financière.
J’ai payé deux millions six cent cinquante mille francs pour un séjour de 21 jours tous frais compris à La Mecque. Mon ami qui insistait pour que j’aille avec lui dans le privé a payé la même somme pour 28 jours. Il a fait un voyage sans souci et sans problème avec une escale parfaite à Istanbul.
7 jours me sont ainsi volés par rapport à lui et le calcul est vite fait : trois pèlerins comme moi financent un pèlerin à qui des politiques offrent ainsi un billet et des frais de séjour. C’est du vol organisé et une hypocrisie lamentable de la part de ceux qui nous gouvernent. En plus, cela expliquerait le retard constaté dans l’octroi de tels billets.
Ces billets ont été offerts après le premier septembre alors que les inscriptions pour le pèlerinage ont été closes le 15 juillet. C’est inacceptable en termes de bonne gouvernance. En outre, en vertu de quoi est-il offert des billets de La Mecque à des militants politiques si ce n’est pour des fins politiques ?
Certes, le Commissariat m’avait contacté la semaine dernière pour me demander de changer mon passeport, le mien fourni étant illisible. Cependant, dans mon cas précis, cela ne peut être une excuse pour la bonne raison que j’avais décidé de partir à La Mecque avec mes deux grands frères qui ont fourni à temps leurs passeports. Toujours est-il que des personnes ayant eu des bons d’Etat ont eu un visa après avoir déposé leurs passeports bien après moi.
Ma philosophie dans cette affaire est simple et sans équivoque : soit Dieu ne m’a pas encore appelé et n’agrée pas ma volonté, soit des personnes corrompues, incompétentes et très hypocrites ont fait des manœuvres qui justifient le dépassement du quota de visas alloué par l’Arabie Saoudite. Ces personnes ont failli. Le service public a failli. Beaucoup de mes amis qui sont aujourd’hui à La Mecque m’avaient averti des dysfonctionnements de la commission.
Je ne voulais pas y croire, mon sens du devoir m’interdisant de manquer de confiance a l’État. Ils ont eu raison sur moi. L’Etat et sa commission ont failli. J’exige des sanctions. J’exige des informations. J’exige un service public normal. J’exige une rupture dans les pratiques malsaines et nébuleuses de l’Etat. J’exige un Plan Sénégal Normal avant un Plan Sénégal Emergent.
Il y va de notre avenir, de notre devenir et de la survie de nos enfants. Je refuse d’être un mouton de Panurge et d’accepter l’inacceptable ;
En tout état de cause, en attendant un éventuel voyage à La Mecque, voici les premières remarques qui me font regretter amèrement le choix de faire confiance à l’Etat pour mon premier pèlerinage à La Mecque. Le système a failli et depuis 4 jours, je poireaute dans un hangar sans toilettes, dans la chaleur, au milieu de gens simples, tristes et qui en veulent à tout le monde. Leur misère est la négation de l’Etat.
Les autorités de l’État d’Anambra ont fermé un restaurant au Sud de Nigeria qui proposait des plats en viande humaine, annoncent les médias. Les têtes humaines rôties figuraient même dans le menu.
La police a arrêté 11 personnes après avoir découvert 2 têtes humaines fraiches dans un hôtel (nom non communiqué). Des fusils AK 47 et d’autres armes ont aussi été trouvées dans l’hôtel.
L’arrestation fait suite à des dénonciations de résidents de la zone jeudi matin.
Un pasteur qui était parmi les personnes qui ont donné l’information à la police a déclaré jeudi : « Je suis allé à l’hôtel en ce début d’année, après avoir mangé, on m’a dit que le morceau de viande était vendu à N700, j’ai été surpris. Donc, je ne savais pas que c’était de la viande humaine que j’ai mangé à un prix aussi cher ».
Yonu Asskan Wi, ( YAW) vient de publier un appel aux autres composantes de la Confédération Pour la Démocratie et le Socialisme (CDS) pour » une Candidature » commune de la Gauche aux élections présidentielles et une » liste commune » aux législatives prochaines. Cet appel rendu public, interpelle non seulement chacune des organisations membres de la CDS, mais aussi, toute femme ou homme de Gauche se réclamant des » Conclusions des Assises Nationales ». En attendant que le PIT, dans ses instances habilitées, décident des perspectives électorales prochaines, nul ne peut ne pas réagir, à titre personnel, à cet appel qui pose en public, un débat qui était prévu à être organisé en interne, au sein de la CDS. Mon option, comme citoyen se réclamant des » Conclusions des Assises nationales », par rapport à la candidature aux présidentielles prochaines, découle directement des » Orientations » de la CDS, d’où est issu son programme politique, dans le court, moyen et long terme. Dans le court terme , se dessinent les perspectives électorales présidentielles et législatives qui devraient être évaluées de façon concertées au sein de la CDS, et ensuite, conjointement avec toutes les composantes politiques, économiques, sociales et culturelles du » peuple des Assises nationales », pour désigner son (sa) » candidat( e) » devant « parachever la mise en œuvre des Conclusions des Assises nationales ». En 2012, cette démarche pour désigner le (la) candidat (e) du peuple des Assises nationales a été plombée d’abord , par l’apparition de » Benno Alternative 2012″, puis , par le désaccord au sein de sa composante politique, entre le PS et l’AFP. Ce désaccord n’a pas pu recevoir l’arbitrage du » Comité National de Pilotage » ( CNP) des Assises nationales, pourtant sollicité à travers son Président, qui a auditionné les dirigeants du PS et de l’ AFP en vue d’un accord politique entre eux, sans y parvenir pour autant. Devant ce blocage, il aurait fallu organiser leur audition individuelle par le CNP, avant de procéder à un choix souverain du » candidat du peuple des Assises nationales », En l’absence d’un tel arbitrage, les composantes politiques et de la société civile « du peuple des Assises nationales », sont allées dispersées au premier tour des Présidentielles de 2012. Ce n’est qu’au second tour, que le CNP a auditionné le candidat qualifié, pour décider de son soutien en tenant compte de ses engagements du 12 mars 2012, de » mettre en œuvre les Conclusions des Assises nationales ». C’est donc en tirant les leçons de ce passe récent, que les perspectives électorales de 2017 devraient être pensées, pour désigner le ( la) » Candidat (e) du peuple des Assises nationales » , pour autant que l’on est convaincu, comme l’est la CDS, qu’elles sont toujours a l’ordre du jour, et qu’il faille parachever leur mise en œuvre. C’est pour cette raison, que c’est sur la base d’une évaluation conjointe au sein de CNP des « Assises nationales, » que les perspectives électorales prochaines devraient être retenues, et le choix du (de la) candidat(e) opéré. A cet effet, les évaluations faites par les différentes composantes politiques, économiques, sociales, et culturelles, du » peuple des Assises nationales », devraient être partagées au sein du CNP en vue d’un consensus. C’est dans ce sens que la CDS est attendue sur ses évaluations et ses propositions. C’est donc pour cela, que toute démarche unilatérale d’une composante quelconque de la CDS, visant à » diviser » de nouveau, le » peuple des Assises nationales » sur des bases idéologiques, entre gauche, social démocrate, social libérale, et libérale, est à combattre sans concession aucune. Cela a été politiquement fatal pour le » peuple des Assises nationales » en 2012. Récidiver serait donc suicidaire pour ce peuple. Ici s’impose le respect strict de la nature sociale du » peuple des Assises nationales » qui s’est rassemblé sur des bases nationale, républicaine, démocratique, citoyenne et de justice sociale, en transcendant les clivages idéologiques, afin d’arriver à des « Conclusions consensuelles » largement soutenues par l’essentiel des forces vives de la Nation. Donc, la CDS, qui a fait de ces » Conclusions » son programme minimum, ne peut pas, pour être cohérente avec elle même, aller en contresens, en se démarquant des autres composantes des « Assises nationales » sur des bases idéologiques, avec la prétention d’incarner » une orientation de gauche des Conclusions des Assises nationales ». Ce faisant, c’est ignorer que celles ci ne sont ni de gauche, ni de droite, mais bien, nationales , républicaines , démocratiques, citoyennes et de justice sociale. Cette prétention est d’autant plus inexplicable, que la CDs est suffisamment claire dans ses perspectives de conquête démocratique du pouvoir. En effet, dans la » Résolution finale » des Assises de la Gauche du 21 et 22 Février 2015, qui l’ont créée, la CDS affirme clairement » son option de conquête démocratique du pouvoir, .. » en vue de réaliser un programme de transformation sociale au service exclusif du peuple ». Pour ce faire, dans sa » stratégie de mobilisation et d’intervention populaire », la CDS s’est donnée comme » exigence un vaste travail de massification ciblant en particuliers les travailleurs des villes et des campagnes, ainsi que les couches dominées et exploitées de notre société ». Donc, à moins de croire que les enjeux des prochaines élections présidentielles posent comme agenda » la transformation sociale », qui est pour la CDS un objectif de moyen long terme, et non, le parachèvement de la mise en œuvre des » Conclusions des Assises nationales, qui est son programme de court terme, la CDS devrait s’abstenir de se démarquer sur des bases idéologiques, dans le choix du ( de la ) candidat (e) du peuple de Assises nationales. L’avènement de la CDS , avec une vision claire des enjeux dans le court, moyen et long terme, avait permis de croire que le » démon du gauchisme » qui rêve de réaliser la » révolution » a chaque échéance électorale, était bien mort de sa belle mort et enterré à jamais! Mais, c’était sans compter avec la nature sociale petite bourgeoise des forces politiques qui se réclament de la » Gauche » et qui sont » toujours pressées d’accomplir le grand Soir ». Il est donc temps de revenir à nos » Orientations » et » démarches consensuelles » qui ont fondé notre volonté d’unifier les Forces de Gauche » du Sénégal au sein de la CDS, Dans ce cadre, une » candidature de démarcation idéologique » de la CDS au sein du peuple des Assises nationales, en vue des prochaines présidentielles, me semble inacceptable, puisqu’immature.
Ibrahima Sene PIT/ Sénégal/ CDS Fait à Paris le 13 Septembre 2015.
On peut se permettre de dire que c’est la République du Sénégal qui est allée hier chez le chef religieux Thierno Madani Tall. En effet, le président Macky Sall, à la tète d’une forte délégation de membres du gouvernement, s’est rendu chez le khalife de la famille omarienne pour présenter ses condoléances à la suite du décès de la mère de Thierno Madani Tall, khalife de Thierno Mounatga Tall. Le Président Macky Sall était accompagné, renseigne L’As, des ministres Abdoulaye Daouda Diallo, Amadou Ba, Abdoulaye Diouf Sarr, Mariama Sarr, Thierno Alassane Sall, Seydou Guèye et Mamadou Talla. Sur place, le chef de l’Etat a trouvé son ancien ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Kane, le secrétaire général du parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng et le leader de Bës Du Niãk, Serigne Mansour Sy Djamil.
Les nuit sont longues, depuis mardi pour certains et jeudi pour d’autres… Mais celle du samedi à dimanche a été mouvementée au hangar de l’aéroport international Léopold Sédar Senghor. De guerre lasse, les 200 pèlerins restants, à cause d’un problème de visa, ont durci leur ligne de conduite. Très remontés contre les errements de la commission, les candidats au voyage se sont opposés à l’embarquement des derniers membres de la commission pour la Mecque. Toutefois, la colère de ces pèlerins est tempérée par le fait que le khalife général des mourides, saisi de la question, a donné des consignes pour que leur restauration soit assurée par son petit-fils.
Nous faisions partie des voyageurs qui ont pris le vol de la compagnie équato-guinéenne CEIBA Intercontinental, samedi 5 septembre à 17h30, à Dakar pour Cotonou. Après plus de trois heures de vol, alors que nous nous attendions à un début de descente de l’avion vers Cotonou, qui était la destination finale d’une centaine de passagers, le commandant de bord annonça que pour des raisons techniques et de sécurité, il était obligé de faire cap sur Malabo. Que s’était-il passé ? L’équipage n’a pas donné plus d’informations sur les raisons de cette escale sautée où devaient débarquer les voyageurs pour l’essentiel (une centaine), car il y avait tout au plus une vingtaine de personnes qui allaient débarquer à Malabo. Le reste du trajet vers Malabo, d’une durée d’une heure environ, après l’annonce du pilote allait se passer dans un silence pesant. C’est au cours de ce trajet, que l’un des passagers de la classe affaires qui tenait son information de l’équipage est venu nous confier que l’avion était entré en contact avec un autre …avion. En effet, les passagers avaient ressenti, plus d’une grosse demi-heure après le décollage de Dakar, un bruit sourd et rapide apparemment sous l’avion. Mais comme l’avion avait continué son vol, les passagers étaient loin d’imaginer ce qui s’était passé. A l’escale de Malabo, une personne vêtue d’un gilet de CEIBA est venu dans la salle de transit nous raconter qu’un oiseau était à l’origine du problème qui avait fait dérouter l’avion. Après une attente de plus de deux heures, les passagers pour Cotonou prenaient place à bord d’un autre avion du même type, un Boeing 737-800 de la même compagnie qui allait les déposer à Cotonou vers 2h30 dans la nuit de samedi a dimanche. Au lieu de l‘arrivée prévue de 21h30 le samedi. C’est dimanche matin que nous avons appris qu’un petit avion en route pour Dakar s’était abîmé quelque part. A partir de ce moment, nous avons pensé à cet avion avec lequel celui de CEIBA était entré en contact. Nous n’avons pas compris, suite à cet abordage (langage en cours dans l’aviation au lieu de collision) qui a été donc confirmé par la suite, pourquoi l’avion de CEIBA avait continué son trajet durant plus de trois heures avec une aile endommagée (d’après le ministre des Transports aériens lors de sa conférence de presse tenue lundi 7 septembre à Dakar). Il faut noter que la dernière heure du vol entre Cotonou et Malabo s’est passée pour l’essentiel au-dessus de l’océan. Nous sommes en droit d’estimer que la compagnie a joué avec la sécurité de ses passagers. Il y a surtout le fait qu’elle n’a pas dit la vérité à ses passagers. Passe encore qu’au cours du vol, le commandant de bord ait tu ce qui s’était passé pour ne pas créer une panique à bord. Mais une fois arrivés à Malabo, la moindre des choses était d’informer les passagers, au lieu de les abuser avec cette histoire d’oiseau. Nous tenions à apporter ce témoignage, une semaine après notre retour à Dakar. Les citoyens de ce pays ont droit à l’information et à la bonne. La sécurité du voyage par avion est trop sérieuse, nous estimons que chaque responsable, à quelque niveau qu’il se situe de la chaîne, doit prendre ses dispositions pour préserver la vie des passagers. Enfin, au moment où des recherches, nous dit-on, sont effectuées pour retrouver l’épave du petit avion, nous avons une pensée pieuse pour ces sept passagers et compatissons à la douleur de leurs familles. Nous partageons la douleur de l’épouse du médecin, Awa Ngom, femme de grande vertu à qui nous souhaitons d’avoir la foi de supporter cette dure épreuve. Mamadou KOUME
Passager du vol CEIBA C2 071 du 5 septembre
Dakar-Cotonou, siège 11C
Le chanteur-danseur, chorégraphe, Salam Diallo s’est mariéou « remarié » ce week-end. L’heureuse élue se nomme Bintou Kandji. Sans Limites souhaite heureux ménage aux deux tourtereaux…
L’inquiétude est grande. Et le monde continue de se demander ce qui ne va pas. Mais les signes sont évidents. Inévitables même.
Jordan Cantwell est lesbienne et cela est su de tous. Cette femme pasteur a été élue le 13 août 2015 comme modératrice de l’Eglise Unie du Canada, plus importante faction protestante du pays, rapporte Medias-Presse-Info.
Jordan Cantwell est mariée à une diacre exerçant au sein de l’Eglise Unie de Saskatoon. Les deux femmes ont adopté une fille.
Et pourtant, Jordan Cantwell est née en 1967 à New York, d’une mère méthodiste et d’un père catholique romain. Elle a d’abord fréquenté l’Egliseanglicane, avant de découvrir l’Eglise Unie à la fin des années 1980.
En 2012, c’est Gary Paterson, pasteur ouvertement homosexuel, que les délégués rassemblés à Ottawa avaient désigné comme « modérateur ».
L’Eglise unie du Canada (United Church of Canada, en anglais) est née de la fusion, en 1925, de 70% de l’Eglise presbytérienne du pays, de l’Eglise méthodiste, du Conseil général des Eglises de l’Union et de l’Union congrégationnelle du Canada.
Les résidents de Tangerang ont souffert de maux de tête et des vertiges du feu de joie. Plus de 3,3tonnes a été brûlée par la police. Un journaliste a dû «se asseoir et prendre une tasse de thé» pour faire face à la fumée.
Les résidents de Tangerang, 20 km à l’ouest de la capitale Jakarta, ont rapporté souffrir de maux de tête et d’ étourdissements après avoir inhalé de la fumée piquante dégagée par le feu de cannabis.
Rappelons qu’en Indonésie la drogue est totalement interdite. La consommation est punie de prison et la vente de la peine de mort…
D-Médias voit grand et s’offre des locaux à la hauteur de ses ambitions. Le groupe de Bougaye Guène Dani propriètaire de la radio Zik Fm, du journal la Tribune, et du mag people Dakar Life entre autres a aménagé à la Cité Gorgui. La construction ainsi que l’équipement du nouveau siège du groupe est bouclé. D’après des sources, Bougane Dani aurait investi près de deux milliards de nos francs Cfa sur cet immeuble de 10 étages. Désormais, le groupe. Tous les supports du groupe vont incessamment déménager dans ce nouveau siège renseigne nos radars.
Au total, 200 candidats au pèlerinage 2015 sont bloqués à Dakar pour faute de visas, si l’on en croit aux sources du journal EnQuête. Parmi ces «pèlerins qui sont dans un hangar d’incertitudes» alors que le 7ème et dernier vol a rallié Médine samedi soir, sans eux, EnQuête informe qu’il y a le colonel Abdou Aziz Ndao, dont le livre sur la gendarmerie sénégalaise avait fait beaucoup de bruit l’année dernière. Comme lui, Oustaz Ndiaga Seck non plus n’a pu quitter Dakar. «Exaspérés, ces pèlerins ont séquestré certains membres de la Commission nationale qui devaient prendre leur vol dimanche», explique EnQuête, soulignant que le Commissaire au pèlerinage, le général Amadou Tidiane Dia, est dans le collimateur du Palais. Ndiack Faye
Le Président Macky Sall ne fera pas du «wax-waxeet» (se dédire en wolof) sur la réduction de son mandat comme ce fut le cas pour son prédécesseur Abdoulaye Wade pour sa présentation pour un troisième mandat en 2012.
En effet le constitutionnaliste Ismaïla Madior Fall a rencontré hier les membres coalition au pouvoir pour leur annoncer que la réduction du mandat du Président se fera en 2016 par référendum. Le Professeur Fall, constitutionnaliste et conseiller du Président Macky Sall a annoncé hier aux partisans du Président la République que celui-ci a décidé respecter sa promesse faite lors de la campagne électorale de 2012.
«Le Président Macky Sall a réaffirmé la limitation des mandats de Président de la République au Sénégal en 2 et en faire une clause intangible, clause issus de ses actes pour respecter ses engagements et c’est le cas pour l’organisation de référendum en 2016, de redonner la parole au peuple surtout que dans l’histoire de notre pays nous avons beaucoup de référendum», a expliqué le constitutionnaliste.
Du côté de l’opposition, on invite le président Sall à ne pas proposer une package de lois qui pourrait pousser le peuple à voter la loi malgré eux. Interpellé par Sud Quotidien sur les conditions de la tenue du prochain référendum, notamment la place qui sera réservée à la question de la réduction du mandat présidentiel, le porte-parole de Rewmi, déplorant l’absence de concertation entre pouvoir et opposition sur des grandes problématiques relatives à la vie de la nation, a exigé la lisibilité du projet de référendum qui sera soumis à l’appréciation des citoyens.
Thierno Bocoum a ainsi invité le chef de l’État à édifier les Sénégalais sur la démarche qui doit être utilisée en ce qui concerne le projet de référendum. Autrement dit, si on doit mettre en place un package qui concerne les réformes institutionnelles et la réduction du mandat présidentiel. Pour lui, il faudra que ce projet de référendum soit, au préalable, partagé et qu’il y ait un maximum de consensus.
«Le référendum doit permettre aux populations de se prononcer clairement sur des questions bien précises. On ne peut pas, sur plusieurs questions d’importances différentes, faire un package et demander aux populations de dire oui sur l’ensemble ou non sur l’ensemble. Vous l’avez vu, ils l’ont expérimenté à l’Assemblée nationale en mettant le mandat du président de l’Assemblée avec des réformes liberticides. Ils ont mélangé tout pour dire qu’il faut voter oui ou non. On ne veut pas de cela pour le projet de référendum», a fait savoir le chargé de Communication du parti d’Idrissa Seck.
Tous les ministres du Sénégal ont fait leur déclaration de patrimoine à l’office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), a relevé lundi à Dakar, sa présidente, Nafi Ngom Keïta. « A l’heure où je vous parle, tous les ministres du Sénégal ont déposé chez nous leur déclaration de patrimoine », a notamment dit Mme Keita. Elle s’adressait à la presse en marge de l’ouverture d’une rencontre du 13ème Programme mondial sur la lutte contre la corruption, la criminalité financière et le recouvrement d’avoirs qui s’achève ce 18 septembre 2015. Poursuivant, Nafi Ngom Keïta a dit que les autres assujettis dont les directeurs généraux et nationaux de sociétés publiques continuent à faire leur déclaration de patrimoine. Des représentants du Cameroun, Togo, Bénin, Niger, Nigéria, de la Guinée et de Côte d’Ivoire sont présents à la rencontre de Dakar
Moustapha Cissé Lo paie t-il pour sa témérité? La question vaut son pesant d’or. Après Serigne Modou Bousso Dieng qui s’en est vivement pris à lui pour avoir tenu des propos désobligeants sur son ascendance, c’est autour de Cheikh Kanté de contre attaquer après la sortie au vitriol du même cissé lo. Le Dg du port autonome de Dakar, Cheikh Kanté va ester en justice contre le tonitruant député qui avait fait des révélations fracassantes sur son camarade de parti
En effet dans l’émission “Li ci Rewmi ” sur la Sen Tv où il était invité, El Pistolero s’en est violemment pris à Cheikh Kanté.
« Cheikh Kanté et sa femme ont pleuré devant moi pour avoir un poste et j’ai parlé avec Macky Sall pour qu’il le nomme au poste de Directeur général du Port autonome de Dakar… Sa gestion du port Port n’est pas bonne et il passe le plus clair de son temps à dilapider des ressources en les donnant à des personnes qui ne sont même pas de l’Apr », a déclaré Cissé Lô au cours de l’émission. Des propos qui auraient touché le DG du port jusqu’ au fond de son être. En guise de riposte, il compte saisir la justice renseigne Direct info, car deux avocats du barreau de Paris, Me François Myonot et Me Clarisse Brely, ont effectué un bref séjour à Dakar pour coordonner les actions à mener avec le pool d’avocat sénégalais commis par le Dr Cheikh Kanté.
« Rien ne sera laissé au hasard. La bataille sera rude pour régler définitivement le cas Cissé Lô. Ce sera désormais œil pour œil, dent pour dent. Dr Kanté a une famille et un nom à protéger. C’est pourquoi il a décidé d’aller jusqu’au bout pour que de tels agissements ne puissent plus prospérer », déclare un des proches de Cheikh Kanté dans les colonnes de Direct Info.
En 1997, à l’âge de 93 ans, après 40 ans de Khalifat général des Tidjanes, le Vénéré Cheikh Abdoul Aziz Dabakh a été rappelé à Allah – Exalté Soit-Il. Que de Symboles chers à l’arithmosophie (Sagesse par les Nombres) ! « 1997 » composé de 19, nombre du Coran. 97, « bâthin » ou valeur ésotérique de 79, valeur numérique de Allah Ahad « Dieu Unique ». « 93 » est la Valeur Numérique de « Annabî » le Prophète (Psl) ou de Al Hamîd, nom divin signifiant, le « Digne de Louanges ».
14 SEPTEMBRE , 14 MINUTES AVEC DABAKH MALICK
Fatoumata Dia, âgée de 55 ans et sa sœur Dieynaba Dia marchaient calmement dans les rues de Darou Salam 6 à Yeumbeul-Nord, lorsqu’un mur s’est effondré sur elles.
Fatoumata est morte sur le coup et sa sœur Dieynaba Dia est restée coincer dans les décombres, s’en est tirée mais avec de graves blessures qui lui ont même coûté ses deux jambes. D’après les témoins cela faisait presque 20 ans que ces deux frangines empruntaient ce chemin.
Et ce vendredi, elles revenaient d’un marché hebdomadaire et elles n’auraient jamais pu imaginer le drame qui allait s’abattre sur elles malheureusement. Fatoumata Dia a été inhumée le même jour alors que sa frangine Dieynaba a été acheminée à l’hôpital de Grand Yoff.
Le propriétaire de la maison sera entendu par les enquêteurs. Le maire de Yeumbeul-Nord, Daouda Ndiaye s’est rendu sur les lieux au chevet de Dieynaba Dia et a déclaré que des mesures conservatoires seront prises, pour éviter de nouveaux drames de ce genre.
Pour sa part, les populations de Yeumbeul-Nord ont jugé nécessaire de faire tomber le reste du bâtiment.
A l’occasion de l’anniversaire de son rappel à Dieu, retour sur les enseignements citoyens d’un guide religieux dont l’influence est encore grande.
«Toute religion n’est pas que domination ; elle a aussi vocation à inspirer la vie de chaque individu(…).» Monique Castillo
Chaque 14 septembre, je tiens à me joindre aux millions de Sénégalais pour rendre hommage à Mame Dabakh, l’un des grands hommes qui auront le plus marqué l’histoire récente et future du Sénégal. J’ai souvent écrit sur le religieux et le régulateur social. Je veux cette fois revenir sur le citoyen dont la vision et le sens de l’Etat sont souvent peu mis en évidence dans plusieurs documents qui lui sont consacrés.
« Je n’ai ni pouvoir ni mandat populaire me permettant d’imposer à qui que ce soit les lois et règlements en vigueur dans ce pays. Mais j’ai le droit, en tant que citoyen, d’appeler les autorités étatiques qui ont ces prérogatives à une meilleure prise en charge de nos préoccupations ».
Voici des propos qui montrent un homme qui a un sens élevé de ses responsabilités civiques et reflètent une attitude éminemment citoyenne. Telle est une autre importante dimension caractérisant feu Abdou Aziz SY. En effet, s’il y a toujours besoin de parler de l’éminent érudit et fin connaisseur de l’islam, doublé d’un inlassable prêcheur de l’enseignement du prophète Mohamed (psl), il est aussi très important de montrer que Dabakh – comme on l’appelle affectueusement – avait un engagement immensément politique, au sens noble du terme. Un citoyen dont l’engagement pour le Sénégal était total et désintéressé, parce que basé sur le Coran et l’enseignement du prophète Mohamed (psl).
En préparant ce papier, une vidéo d’une rencontre que Mame Abdou avait convoqué en 1990 confirme clairement un guide religieux très en phase avec son époque. Un Khalife conscient de sa mission spirituelle qu’il sait très liée à son statut de citoyen qui a des droits et des devoirs civiques et politiques dans une nation en mutation.
Dans un discours poignant et d’un verbe posé, il s’adresse directement au ministre de l’Education de l’époque et aux représentants locaux du pouvoir qu’il a fait venir pour l’occasion. Comme il en avait la coutume, il a voulu faire de cette rencontre une tribune à travers laquelle il interpelle le gouvernement sur les urgences du moment, se gardant de toute confusion des genres et se limitant strictement à son statut de citoyen « lambda ».
Une interpellation extrêmement actuelle lorsqu’il est revenu sur des sujets pour lesquels on cherche encore solutions. Par le biais d’un message qu’il fait lire par son secrétaire particulier El Hadj Moctar Kébé, il revient sur la question de l’insécurité publique plongeant l’Etat dans une ambiance pesante. Le vol, la délinquance juvénile, les séquestrations et le manque d’éclairage témoignent, souligne-t-il, du laxisme des autorités de l’époque. Le non-respect du principe de l’égalité devant la loi et le sentiment d’impunité sont, à ses yeux, le résultat de la corruption et du manque d’indépendance dans l’appareil judiciaire. Aux dirigeants qui ont reçu mandat des populations d’agir vite et bien, lance-t-il.
En citoyen aguerri et hautement impliqué, il trouve très décevante, à cette époque déjà, l’offre de programmes de la RTS, seule chaîne de télévision dont il rappelle pertinemment la mission éducative. Les films, la musique et autres programmes importés de l’étranger, par la chaîne nationale, sont, souligne très justement Mame Dabakh, un moyen efficace d’acculturation de la jeunesse. Que dirait-il aujourd’hui face à l’ampleur de ce phénomène ?
S’adressant directement au ministre de l’Education présent, il trouve incompréhensible le manque de suivi des recommandations des Etats généraux de l’éducation nationale organisés en 1981. L’école étant un important pilier dans le processus de construction d’un jeune Etat comme le Sénégal, Serigne Abdou s’étonne qu’on ne s’en occupe pas assez.
Il revient, dans une adresse directe à Abdou Diouf, sur la nécessité du dialogue politique, l’importance d’une démarche inclusive dans la prise de décisions afin de permettre au maximum de citoyens de participer activement à la construction nationale.
Mame Dabakh est également connu comme un artisan infatigable de ce qui est convenu d’appeler « le dialogue islamo-chrétien » au Sénégal. En témoigne son amitié avec le défunt cardinal Hyacinthe Thiandoum. L’Abbé Jacques Sarr l’appelle très affectueusement papa Abdou.
Le conflit rebelle en Casamance et les évènements de 1989 entre le Sénégal et la Mauritanie ont alimenté nombre de ses interventions publiques et privées. Par le verbe et des actes concrets, il aura mis son énergie, son temps, son influence et son statut au service de la paix et la concorde nationale.
Si, dans son sens noble, la politique est « l’activité de s’occuper de la chose publique, de l’organisation de la cité (ses institutions, sa diplomatie, son économie, sa justice) », Mame Abdou en a hautement saisi l’essence. Il avait un souci particulier de la chose commune tant du fait de sa dimension de guide en phase avec son époque, de leader d’opinion très écouté que du sens élevé qu’il a eu de son statut de citoyen libre ayant l’obligation de prendre part à cette activité publique. Son message reste si actuel qu’on en fait appel lors des évènements majeurs de la vie politique et sociale du Sénégal. Un patrimoine et une référence peu, voire pas valorisés par les décideurs publics. Quel dommage !
Adama de « Un café avec » a été choisie par Awa Ndao pour présenter ces coiffures « tendance tabaski ». Pour le shooting, l’actrice a opté pour des cheveux mi-longs dégradés.
Sur un ton énervé, Cathy Chimère s’en prend violemment au comportement des hommes Sénégalais vis à vis de leurs épouses. Elle dénonce également le comportement crapuleux de leurs amis qui les accompagnent et les encourage à prendre des décisions qu’elle considère comme égoïstes et injustes. Regardez cet extrait du long métrage de la série « Un Café Avec… Saison3″ :
La communauté sénégalaise d’Italie est depuis, dans l’émoi et la consternation. L’un des leurs, Mor Seye âgé de 46 ans a été froidement abattu, hier, et, à bout, portant par un inconnu. Selon les témoins trouvés sur les lieux qui ont donné une description détaillée du présumé meurtrier, l’homme aurait tiré trois balles et seulement à quelques mètres de notre compatriote qui était assis tranquillement en train de déjeuner. Mise au courant de la nouvelle, le Consul général du Sénégal à Milan Rokhaya Bâ Touré a dépêché sur les lieux une forte délégation pour s’enquérir de la situation. Au moment où nous écrivons ces lignes les autorités consulaires en partenariat avec la police italienne, sont aux trousses du présumé meurtrier qui court toujours. Madame le Consul Général est entrée en contact avec la famille (ses deux frères qui vivent en Italie) de Mor Sèye pour non seulement leur témoigner de sa compassion, mais aussi leur assurer l’engagement des autorités à ne ménager aucun effort pour apporter toute la lumière sur cette histoire. En attendant que la police boucle son enquête, le Consul général témoigne sa compassion à toute la communauté sénégalaise tout en les appelant au calme et à la solidarité.
Anthony Martial, pour sa première conférence de presse avec l’équipe de France, a reconnu mercredi que sa « famille a eu un peu peur quand elle a vu le montant » déboursé par Manchester United pour le recruter, estimé par les médias à 80 millions d’euros, en incluant le mécanisme des bonus futurs.
« Ma famille est très contente de ce qui m’arrive, même si elle a eu un peu peur, vu le montant du prix. Mais je suis resté dans ma bulle, concentré », a déclaré Martial à Clairefontaine. »Je ne sais pas si je les vaux, a répondu Martial. C’est fou pour un joueur de mon âge (19 ans), mais c’est le marché du foot, c’est entre les deux clubs (Monaco et Manchester United), j’essaie de faire abstraction. »
Un transfert et une première convocation en Bleu « Je le vis plutôt bien », a-t-il néanmoins enchaîné, à propos de sa situation inédite où en deux jours il a dû gérer son transfert, la médiatisation qui l’a accompagné et une première convocation en Bleu pour les matches amicaux de vendredi au Portugal et de lundi contre la Serbie à Bordeaux. »C’est vraiment un rêve d’être avec l’équipe de France, a assuré le jeune joueur également passé par Lyon. J’ai dû repartir rapidement à Manchester (lundi), ce sont des moments assez difficile à gérer. Mais c’est le football, on est professionnel, on doit savoir le faire. »
Le mariage traditionnel était autrefois célébré sur la base de l’engagement des deux familles directement engagées. L’outil de référence était la parole donnée par les parents des mariés. Leur engagement venait en consolidation de la dot payée en fonction des us et coutumes, de l’appartenance communautaire de la mariée. Sans un papier administratif, ce type de mariage maintenait malgré tout les liens familiaux. En effet, elle permettait d’une part d’unir les mariés, et de l’autre, les deux familles et la communauté toute entière. L’exigence de la dot à l’époque était en partie justifiée par ce respect qui caractérisait le mariage traditionnel. En l’absence de tout document, le mariage traditionnel n’en privilégiait pas moins l’unité du couple.
De plus en plus, les mariages religieux exigent une signature de documents par les mariés. Une particularité qui n’a rien apporté jusque là aux nouveaux couples qui se forment aujourd’hui. En effet, la dot qui servait autrefois de forment entre les couples, n’a plus la même valeur. De nos jours, beaucoup de communautés l’exigent non par respect pour la culture, mais pour grossir leurs gains au détriment du marié. Elle est même posée comme condition par beaucoup de parents des jeunes filles. Dans ces conditions, la culture est utilisée pour « escroquer » et non pour « souder » les membres d’une famille. Et cela suscite des questions vis-à-vis de l’utilité de la dot de nos jours. Faut-il continuer de la demander ?
A-t-elle réellement son sens dans ces conditions ? En dehors du profit, pourquoi des familles l’exigent-elles encore de nos jours ? Sans avoir une réponse à ces différentes questions, notons que la dot n’a plus la même valeur. Malgré son payement, les mariages se défont et les divorces sont légions. Les jeunes ne s’y réfèrent plus dans une prise de décision. Le mariage n’est plus une affaire commune mais uniquement celle des mariés. Une fois que les deux personnes engagées décident de rompre leur union, l’intervention des personnes ressources de leur entourage n’est plus de rigueur comme ce fut le cas autrefois. C’est le lieu d’interpeller les familles des mariées à alléger les coûts car, l’exiger de nos jours, un gros montant, c’est profiter simplement du marié. En tout cas, sur cent mariages contractés sur la base d’une dot, les mariées qui peuvent en respecter les consignes, se comptent sur le bout des doigts. Une fois encore, pourquoi exiger la dot pour le mariage de sa fille quand en réalité, elle n’a plus sa raison d’être ?
Je m’incline devant la mémoire des sept personnes disparues à cette occasion, prie Allah SWT qu’il agrée en son paradis.
Cependant n’étant pas spécialiste en avion civile, mais ayant beaucoup voyagé par air, suivant tr »s souvent les enquêtes sur les cas similaires dans la chaine TV National Geographic, je pose une certaine question à ce propos.
1/la couverture par la presse en général, ou on fait intervenir très souvent l’ANACIM où la modestie n’est pas de mise, car ce service n’a aucune compétence dans le domaine aérien sauf à donner des bulletins météo les plus pointus possible au bureau de piste de l’ASECNA lieu , à partir duquel les pilotes préparent leurs plans de vol.
A part cela exit l’ANACIM !
Aussi on a beau aimer le micro tendu par une certaine presse, il faut avoir la claire conscience de dire ses limites professionnelles et désigner le service responsable d’autant que vous partagez la même cour.
AGENCE POUR LA SÉCURITÉ DE LA NAVIGATION AERIRENNE EN AFRIQUE ET MADAGASCAR l’a bien nommé.
De grâce en cas d’accident aérien seul ce service est habilité à communiquer sauf s’il adopte un silence coupable ce qui ne peut être le cas au vu de l’importance de sa mission dont je suis sur qu’il en est conscient.
Il faut rappeler un principe primaire en pilotage d’avion civil. Il y a des routes aériennes bien définies
Pour rallier n’importe quel aéroport vers un autre.
Tout pilote doit disposer d’un plan de vol défini en accord avec les services du bureau de piste qui dispose des informations météo de nos amis de l’ANACIM.
Dans ce plan il y est défini la météo le long du trajet, les aéroports à survoler, puis une fois à bord il devra consulter son Jespersen pour certaines infos de radio navigation, sauf si c’est un habitué de ce trajet.
En général les plafonds de vols sont convenus avec le contrôleur du tour de départ, le pilote doit s’annoncer à tous les contrôleurs de transit sur le plan de vol.
Dans le cas malheureux qui nous concerne l’ASECNA enregistre les conversations entre les contrôleurs et les équipages d’avions qui viennent, qui partent ou qui transitent dans tout espace aérien.
Quand j’ai lu dans une certaine presse un abordage à 10 000 m d’altitude entre un Boeing 737 de CEIBA en provenance de Dakar et à Destination de Cotonou, puis j’ai vu la photo de l’appareil perdu, aussitôt j’ai eu un doute dans ma cervelle d’oiseau.
Qui est le contrôleur aérien qui a autorisé ce petit appareil à hélices à monter à ce plafond, et encore s’il le peut.
Car pour joindre Ouagadougou à Dakar ce genre d’avion peut plafonner allègrement à 6 000m.
Donc il faut répondre à la question de savoir quelle altitude de vol et quelle route a été accordée au Boeing 737 de CEIBA par la tour de contrôle de Dakar ?
Et la même information à propos du HS 125 en provenance de Ouaga, par rapport aux heures de décollages respectifs de ces 2 aéronefs, les vitesses de croisières déclarées, il est alors facile de corroborer l’hypothèse d’abordage éventuel.
Ces informations sont immédiatement disponibles chez ASECNA qui gère les aéroports de Dakar et Ouaga.
La Guinée équatoriale étant membre ASECNA devait faire immobiliser le Boeing de CEIBA à Malabo son immatriculation est bien enregistrée à Dakar Yoff et y envoyer une mission enquête technique pour une inspection de la carlingue dudit appareil.
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