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Balla Gaye 2 prend une décision de taille : « Vous ne verrez plus ça »

Balla Gaye 2
Balla Gaye 2

Face à la presse sénégalaise, la tête de file de l’écurie Balla Gaye a pris, ce vendredi 02 juillet 2022, une forte décision. Ce, suite à la défaite qu’il a concédé, dernièrement, face au lutteur de Mbour Bombardier.

Face aux journalistes, l’ancien Roi des arènes se dit prêt à affronter le leader de l’écurie Fass Gris Bordeau. D’ailleurs, Balla Gaye 2 ne compte plus diffuser ses vidéos de préparation sur les réseaux sociaux, selon le journal sportif Record.
« Balla Gaye 2 n’est plus dans ces pratiques d’avant. Je ne me montre plus. Vous ne verrez plus mes vidéos de préparation, à quelques jours du combat, Pour le reste de ma carrière, je ne vais plus m’afficher dans les réseaux sociaux, lors d’un combat », assure le fils de Double Less.

« Mon dernier combat contre Bombardier m’a permis de revoir mon staff, j’ai appris beaucoup de choses. Et je vais confirmer le retour du Balla Gaye 2, que tout le monde connaissait. J’ai affronté les meilleurs bagarreurs de l’arène et à chaque fois, vous avez vu comment ils ont fini face à moi », lâche Lion de Guédiawaye.

Propos adressé à Titi: Cette Fille fait du Garouwalé à Adamo « Xalé bou rew bou nek mak bou … »

Propos adressé à Titi: Cette Fille fait du Garouwalé à Adamo « Xalé bou rew bou nek mak bou … »

Législatives 2022 : Pourquoi Aliou SALL n’est pas investi à Guédiawaye?

L’ex-maire de Guédiawaye n’est pas investi pour les prochaines législatives. Pourtant, Aliou SALL jouit toujours d’une forte popularité au sein de la ^population de cette ville de banlieue et aussi du département qu’elle polarise.

Selon des sources dignes de foi, il ne serait pas investi pour deux principales raisons : il n’est pas en très bons termes avec la Première dame Marieme Faye SALL, note le témoin. En plus du fait de sa consanguinité avec Macky SALL, ce dernier ne voulait pas l’investir sur les listes afin d’éviter d’animer une éventuelle polémique sur une dévolution monarchique du pouvoir.

Lassana Gagny Sakho: « Macky a tout intérêt à finir son mandat et partir »

Lassana Gagny Sakho ne lâche plus le Macky. Dans un entretien avec L’OBS, l’ex DG de l’Onas conseille au chef de l’Etat de renoncer au 3e mandat. « Macky Sall a tout intérêt à finir ses chantier et partir. Tous ceux qui lui disent de rester, ne le disent pas pour lui mais ils le font pour deux raisons. »

« Si le Président part, ils vont se retrouver au chômage et certains qui ont fait des malversations, peut-être, qu’ils auront des problèmes », a-t-il déclaré.

« J’espère ne pas me tromper. Mais, je pense que le Président Macky Sall ne va pas se présenter. Il y a eu le Président Senghor, on parle de lui au passé. Il y a eu Abdou Diouf, on parle de lui au passé. Il y a eu Abdoulaye Wade, on parle de lui également au passé. Il y a Macky Sall et les mêmes personnes, et il y a un célèbre un avocat qui demandait à Me Wade de se présenter pour un 3e mandat, ce sont eux qui sont en train de lui dire de se présenter », déballe-t-il, repris par L’OBS.

Dernière minute : Inna lillahi wa inna ilayhi raji’un La Ummah islamique en deuil ! Décès de Cheikh Abdourahmane …

Le Khalife de Medina Baye, Cheikh Mouhammadoul Mahi Ibrahima Niasse, le Khalife de Ribad en Mauritanie, Cheikh Mouhamed Al Hadiz an Nahwi, la famille et les disciples de Cheikh Mouhammadoul Mahi Ibrahima Niasse ont le regret de vous annoncer le décès de Cheikh Abdourahmane Bâ, dit Thierno Allah Allah.

Le décès est survenu le dimanche 3 juillet à Ziguinchor à 19 heures. Thierno était le Khalife de Médina Baye à Ziguinchor depuis 1986. L’enterrement est prévu le mardi 5 juillet à 17 heures, à Ziguinchor. La famille et les disciples présentent leurs condoléances à toute la Oumma islamique, rapporte rewmi.

Topou cas : Ndeye Gueye vilipendée en direct par une internaute « dangama bloqué, diokhma samay niaw… »

Ndeye Gueye, la célèbre danseuse devenue une animatrice, s’est fait une grande place dans le milieu médiatique. En même temps cheffe d’entreprise, elle gère un atelier de couture dans la banlieue. Dans son émission « topou cas », suivie par beaucoup de Sénégalais, une internaute a appelé en direct et vilipendé la danseuse. « Depuis 4 jours magui lay wo gua bloqué ma, diokhma samay niaw, bala wakh dji di sori… », a-t-elle servi de go.

Regardez la réaction de Ndeye Gueye !!!

A quelques jours de la Tabaski, les prix des produits locaux passent du simple au double

A cinq jours de la fête de la Tabaski, les prix des produits locaux ne cessent de grimper sur le marché. Passant parfois du simple au double. Une situation qui risque de plomber la politique du «consommer local» au Sénégal.

C’est devenu une habitude chez les commerçants. Un secret de polichinelle pour les Sénégalais. A chaque veille de fête, les prix des produits de grande consommation flambent à une vitesse vertigineuse. Les condiments sont les produits qui subissent à tous les coups, cette loi du marché. L’oignon, même local, n’y échappe. Dans un pays où on plaide pour le consommer local, paradoxalement, les commerçants n’encouragent guère l’atteinte de cet objectif.
Pour preuve, à quelque jours de la Tabaski, le sac d’oignon qui était acheté à 5 500 FCFA est passé à 9 500 FCFA. Face à une telle situation, les chefs de famille ne savent plus à quel saint se vouer. Tous sont dans un grand désarroi. L’approvisionnement des marchés Sénégalais en oignon local demeure problématique.

La situation est incompréhensible. Elle fâche même certains consommateurs qui ne comprennent pas la hausse actuelle des prix, au moment où chez les producteurs d’oignons, le prix du sac est très bas.

UCAD : Les étudiants ressortissants de Ziguinchor barrent l’avenue Cheikh Anta Diop pour réclamer leur subvention à Ousmane Sonko.

Visiblement, ce n’est plus le grand amour entre le maire Ousmane Sonko et les étudiants ressortissants de Ziguinchor de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. 

Dans la soirée du lundi au mardi, ces étudiants sont sortis et ont barré l’avenue Cheikh Anta Diop pour manifester leur colère, suite au non paiement de leur logement par le maire Ousmane Sonko qu’ils accusent de ne pas respecter sa parole. Ils ont affronté les forces de l’ordre qui ont utilisé des gaz lacrymogènes pour les disperser.  

Les étudiants ressortissants de Ziguinchor indiquent qu’ils risquent l’exclusion de leur immeuble si la situation n’est pas réglée. Ils en veulent à leur maire Ousmane Sonko qui avait promis de prendre en charge les frais de location mais depuis fait la sourde oreille malgré toutes leurs tentatives de rentrer en contact avec lui afin qu’il règle le problème. Ils disent avoir usé de toutes les voies et moyens pour que le maire règle la situation mais rien n’est fait. Ils promettent de tenir un point de presse demain pour alerter l’opinion. 

Nous y reviendrons..

Vidéo-Maty 3 Pommes se décharge encore sur Sonko et Yewwi « Ay bandit ak Ay Tapéte yo khamné «

Maty 3 Pommes se décharge encore sur Sonko et Yewwi « Ay bandit ak Ay Tapéte yo khamné «

Vidéo- Sorti de Prison, Sau Cana chaleureusement accueilli par les jeunes de Parcelles

Sorti de Prison, Sau Cana chaleureusement accueilli par les jeunes de Parcelles

Importante annonce de l’ANACIM : « Cette nuit à demain matin, il y aura de la pluie dans… »

Pluies, orages, nuages : Les prévisions de l’Anacim pour les prochaines 24 heures
Pluies, orages, nuages : Les prévisions de l’Anacim pour les prochaines 24 heures

Pour cette nuit allant à demain matin des activités pluvio-orageuses sont attendues dans les zones Sud et Centre-ouest avec toutefois des possibilités d’extension jusqu’au centre du pays, alerte l’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM) dans son bulletin.

« Ailleurs, un temps plus stable sera au rendez-vous où le ciel sera partagé par des bandes nuageuses et des éclaircies », indique la même source qui ajoute qu’ en raison de la couverture nuageuse, les températures accuseront une légère baisse à l’intérieur du territoire notamment dans les régions Sud et Centre.

Toutefois, « sur le Nord-est, le temps chaud persistera avec des maximas qui varieront entre 39 et 42°C ». Les visibilités seront généralement bonnes, en à croire Anacim et les vents seront de secteur Ouest à Sud-ouest et d’intensité faible à modérée.

Vidéo-Escroqué de plus de 5 millions, Baye Modou brise le silence et présente sa nouvelle collection

Escroqué de plus de 5 millions, Baye Modou brise le silence et présente sa nouvelle collection

Restrictions des  libertés de Bara Dolly : Sa famille   déclare la guerre à Macky Sall

La casus belli est désormais enclenché entre le Chef de l’Etat Macky Sall et les membres de la famille du député, Cheikh Abdou Bara Dolly placé sous mandat de dépôt pour offense au Chef de l’Etat et diffamation .

En tant que député du peuple, Cheikh Abdou Barra Dolly serait mis en paquetage dans une cellule avec 100 autres détenus à la prison de Reubeuss.

Selon sa  famille au courant des dures  conditions de détention qu’il endure, même le nombre de visiteur de leur chef de famille  a été amoindri et limité à 15.D’après leur porte-parole, le chef religieux reçoit ses hôtes les mercredis.

En effet,les membres de cette famille avait organisé un récital de coran à Touba en vue de formuler des prières à l’endroit de leur fils incarcéré à Rebeuss. Ainsi,ils ont en ont profité pour « déclarer la guerre au président Macky Sall ».

La Publication de ce #Magazine_Kama_Afrique » confirme le leadership de Ousmane Sonko en Afrique

#Magazine_Kama_Afrique: Ousmane Sonko, pourquoi l’homme fait-il autant peur à l’oligarchie française ?

Assemblée nationale : Le successeur de Moustapha Niasse déjà identifié ?

L’ex ministre de la Santé, emporté par un incendie dans une maternité de Tivaouane, cogite sur les Législatives du 31 juillet. Dans l’interview accordée à Kritik lundi, Abdoulaye Diouf Sarr, sur la liste de Dakar pour BBY, a ignoré la question relative à une éventuelle succession de Moustapha Niass, qui a traversé tous les régimes su Sénégal indépendant, au perchoir. 

« Sur l’Assemblée nationale, je voudrais d’abord rendre hommage au président Moustapha Niasse, pour le symbole qu’il représente pour notre génération. Voilà quelqu’un qui sait ce que cachent les secrets de l’Etat. Moustapha Niasse est un monument politique qui a traversé les régimes et qui, jusqu’au soir de sa carrière politique, est resté droit dans ses bottes. Plusieurs hommes politiques lui doivent leur stature, c’est un véritable leader qui doit être servi en exemple aux jeunes. Avec sa retraite, c’est un pan de l’histoire politique du pays qui se met en marge ».

Pour les Législatives du 31 juillet prochain, Abdoulaye Diouf Sarr écarte toute cohabitation car, souligne-t-il, « la nouvelle dynamique née des rangs de Benno Bokk Yakkaar (BBY) laisse croire que nous pouvons gagner ces joutes avec un score confortable. Les projections de vote nous placent largement en tête dans plusieurs grandes villes du pays ».

Saccage du Lycée de Yoff: La réaction ferme du ministre Mamadou Talla

Le ministre de l’Education nationale s’est exprimé personnellement, ce lundi à Diourbel, sur les actes de vandalisme commis par des élèves au  lycée de Yoff. Mamadou Talla a été clair dans son discours: » Que tout le monde sache qu’il y a 2600 élèves au niveau de ce lycée. Et l’incident s’est déroulé dans une classe de quatrième, composée de 17 élèves. Mais ces actes ne peuvent plus prospérer ».
Ainsi les mis en cause seront tous sanctionnés à la hauteur de leurs actes, selon l’autorité. Les 17 élèves incriminés seront identifiés et recherchés par la gendarmerie, rassure le ministre de l’éducation.
« Le conseil de discipline se réunit aujourd’hui et les auteurs de ces actes seront sanctionnés à l’issue de cette rencontre. Également, ils ( avec leurs  parents) vont réparer les dégâts commis dans cette  salle de classe », a annoncé Mamadou Talla à l’occasion de la fête de fin d’année organisée par le Lycée  scientifique d’excellence de Diourbel.
Toutefois le ministre de l’Education nationale a rassuré que ce type de challenge pour célébrer la fermeture des classes ne se reproduira plus dans le milieu scolaire.

Législatives : Aminata Touré ne lâche pas Sonko

Aminata Touré
Aminata Touré

«Il faut déconstruire ce mythe selon lequel la jeunesse n’est pas avec le régime. Ce discours n’est pas corroboré par des évidences statistiques. Lors des élections législatives, sur les 557 collectivités, les 480 ont été gagnées par la majorité présidentielle. Cela veut dire que la majorité écrasante des jeunes sont avec nous». Ces mots sont de la tête de liste majoritaire de la coalition Benno Bokk Yaakaar aux prochaines législatives.Aminata Touré s’exprimait ainsi, ce week-end, au cours d’une conférence publique organisée par la Confédération pour la démocratie et le socialisme (CDS) au siège de la LD en face de l’ex-CTO de Grand-Yoff. La rencontre avait pour thème «Enjeux des Législatives du 31 juillet 2022» dont l’introduction a été assurée par le ministre Samba Sy.Mimi Touré a annoncé, de ce fait, une nouvelle stratégie pour combattre l’opposition, au premier rang, le leader du Pastef/Les patriotes. «Il faut un rapport de corps-à-corps avec cette jeunesse, du point de vue de la sensibilisation. Les jeunes font l’objet de manipulation. On ne transforme pas ce qui est une réalité», rapporte «Walf quotidien».Avant de poursuivre : «Personne ne sait le faire mieux que les forces de gauche. Il faut qu’on fasse de l’agitation et de la propagande. Parce que nos adversaires font, à peu près, la même chose, mais pour de mauvaises raisons. Les bonnes raisons, c’est la stabilité de notre pays, la paix, la consolidation des acquis démocratiques.»
Toujours dans son speech, elle déclare : «On dit qu’il y a 5 millions 500 mille comptes Facebook, alors que le nombre d’électeurs est à sept millions. Alors, il nous faut impérativement passer par ce canal pour véhiculer notre message. Tout le monde n’est pas confortable sur Facebook, mais il faut qu’on s’adapte. Je ne peux pas le nommer (Ousmane Sonko, Ndlr), mais il a utilisé les outils modernes pour arriver à ces résultats.»Continuant, Aminata Touré a exhorté ses camarades : «Soyons beaucoup plus dans la communication offensive. Mettons beaucoup d’énergie à déconstruire le discours. Il nous faut rassembler toutes les forces progressistes, parce que c’est de cela qu’il s’agit.»

Aminata Touré reconnaît le point fort de Ousmane Sonko : « Il a utilisé Facebook… »

Aminata Touré et Ousmane Sonko
Aminata Touré et Ousmane Sonko

Pour Aminata Touré, « il faut déconstruire ce mythe selon lequel la jeunesse n’est pas avec le régime. Ce discours n’est pas corroboré par des évidences statistiques. Lors des élections législatives, sur les 557 collectivités, les 480 ont été gagnées par la majorité présidentielle. Cela veut dire que la majorité écrasante des jeunes sont avec nous».


Mimi Touré a annoncé, de ce fait, une nouvelle stratégie pour combattre l’opposition, au premier rang, le leader du Pastef/Les patriotes. «Il faut un rapport de corps-à-corps avec cette jeunesse, du point de vue de la sensibilisation. Les jeunes font l’objet de manipulation. On ne transforme pas ce qui est une réalité», rapporte «Walf quotidien».

Avant de poursuivre : «Personne ne sait le faire mieux que les forces de gauche. Il faut qu’on fasse de l’agitation et de la propagande. Parce que nos adversaires font, à peu près, la même chose, mais pour de mauvaises raisons. Les bonnes raisons, c’est la stabilité de notre pays, la paix, la consolidation des acquis démocratiques.»

Toujours dans son speech, elle déclare : «On dit qu’il y a 5 millions 500 mille comptes Facebook, alors que le nombre d’électeurs est à sept millions. Alors, il nous faut impérativement passer par ce canal pour véhiculer notre message. Tout le monde n’est pas confortable sur Facebook, mais il faut qu’on s’adapte. Je ne peux pas le nommer (Ousmane Sonko, Ndlr), mais il a utilisé les outils modernes pour arriver à ces résultats.»

Continuant, Aminata Touré a exhorté ses camarades : «Soyons beaucoup plus dans la communication offensive. Mettons beaucoup d’énergie à déconstruire le discours. Il nous faut rassembler toutes les forces progressistes, parce que c’est de cela qu’il s’agit.»

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

« On ne changera pas le visage du Sénégal pour plaire à Ousmane Sonko » (Madiambal Diagne)

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne

Depuis le 2 février 2022, le collège électoral est convoqué pour la tenue des élections législatives le 31 juillet 2022. Ce scrutin va permettre le renouvellement de l’Assemblée nationale dont le mandat des députés arrive à terme. C’est un rendez-vous républicain conforme au calendrier institutionnel et aux exigences de la vie démocratique. Tous les préparatifs sont au point et la campagne électorale sera ouverte dès le week-end prochain. Malheureusement, comme dans chaque élection, des acteurs seront laissés en rade, n’ayant pu satisfaire aux conditions légales pour pouvoir participer à la compétition. Il n’y a donc rien de nouveau qui n’ait déjà été vécu ou expérimenté dans la marche assez éprouvée de la démocratie sénégalaise. Seulement, des voix et peut-être pas des moindres, s’élèvent pour demander le report des élections dans l’esprit, disent-elles, de permettre une participation la «plus inclusive».

Une telle proposition apparaît surréaliste car on serait curieux de savoir dans quel pays au monde, tous les citoyens qui le désireraient seraient autorisés à participer aux élections nationales. Tout processus électoral est organisé, normé, de manière stricte et c’est justement cela qui rend dans un système démocratique, les citoyens égaux devant la loi et en droits. Mais au Sénégal, de «bons esprits» préconisent de reporter les élections de juillet 2022, pour permettre à des citoyens, qui se sont disqualifiés pour s’être écartés de la loi du fait de leurs propres turpitudes ou carences, de pouvoir corriger leurs fautes, mieux, de se préparer à nouveau et revenir dans le jeu politique. Franchement quel esprit qui se voudrait tant soit peu juste, pour ne pas dire qui ne se voudrait pas hypocrite, accepterait une telle démarche ?

En effet, reporter des élections pour de tels motifs serait donner une prime à la médiocrité et au manque de sérieux et de rigueur. Pourquoi ne devrait-on pas permettre aux autres citoyens vertueux à l’aune de la loi électorale, consciencieux et rigoureux dans la préparation de leurs candidatures, d’être sanctionnés positivement, d’autant que tous les acteurs politiques ont bénéficié des mêmes conditions d’accès aux informations relatives aux élections et ont participé à tout le processus. Mieux, comment des acteurs qui, par le passé, avaient pris le soin de se mettre dans les conditions de participer régulièrement à des élections et qui ont failli cette dernière fois, par leur désinvolture, dans le respect des conditions fixées par la loi électorale, peuvent-ils reprocher au système électoral ou au juge constitutionnel, leurs propres manquements alors même qu’aucune des règles n’aurait été changée. Dans le cas d’espèce, les listes de candidatures rejetées par le Conseil constitutionnel, juge électoral, n’ont pas principalement satisfait au respect de la parité homme/femme dans les assemblées élues. Une règle pourtant instituée au Sénégal depuis 2010, sous le magistère du Président Abdoulaye Wade.

Des élections législatives ont été organisées en 2012 et 2017 sur la base de la parité électorale et des élections locales en 2014, 2017 et 2022, sur les mêmes bases. Comment se fait-il alors que la coalition Yewwi askan wi (Yaw), qui se dit victime, avait pu, trois mois auparavant, c’est-à-dire aux élections locales du 23 janvier 2022, satisfaire aux exigences de la parité et se retrouver aujourd’hui à se plaindre pour avoir «commis des erreurs, des fautes fatales», pour reprendre le mot même de son leader Ousmane Sonko ? Est-il besoin de rappeler que plusieurs sessions de dialogue politique ont été déroulées pour revoir les règles de la compétition électorale mais qu’aucune formation politique n’avait estimé devoir remettre en cause la règle de la parité.

D’autres listes de candidatures ont été recalées pour n’avoir pas pu réunir le nombre de parrains nécessaires pour être qualifiées aux élections. Depuis le Code électoral de 1992, cette règle du parrainage par des électeurs existait au Sénégal pour les candidatures indépendantes alors que les formations politiques en étaient dispensées. La généralisation du parrainage citoyen en 2018 avait été une mesure plus équitable dans la compétition électorale car de nombreuses personnalités, notamment de la Société civile, se plaignaient d’une telle disposition alors que des partis politiques «cabines téléphoniques», avec des capacités moindres de mobilisation, pouvaient présenter des candidats sur la simple base d’un récépissé délivré par le ministère de l’Intérieur. Dans d’autres pays, il existe d’autres formes de parrainages. En France par exemple, ce système de parrainage par des élus rend très difficile la participation aux élections nationales et constitue un gros obstacle qui recale ou freine des ambitions politiques prometteuses. C’est d’ailleurs un combat de Jean-Luc Mélenchon qui, dans son projet politique de la 6ème République en France, préconise d’opérer une réforme du système de parrainage pour en faire un parrainage par des citoyens-électeurs.

C’est dire qu’aucun système électoral ne saurait faire l’unanimité et donc nul ne saurait privilégier les desiderata ou même les caprices circonstanciels d’un acteur politique au détriment des autres. Assurément, les responsables de la coalition Yaw ne devraient pas avoir plus de droits ou de privilèges que leurs homologues de Benno bokk yaakaar (Bby), de Wallu Senegaal, de Bunt-bi, d’Aar Sénégal, de Gueum sa bopp ou d’une toute autre coalition électorale déclarée.

Qui accepterait que le Président Macky Sall s’offre un rabiot ou un «mandat cadeau» ?

En vérité, les tenants de la thèse de la nécessité d’un report des élections législatives invoquent le souci de ramener la paix dans le climat politique. En effet, voudrait-on céder à des menaces, à des chantages à la violence, proférés par Ousmane Sonko et ses alliés de la coalition Yaw ? Si chaque fois qu’un acteur politique arrivait à semer le désordre et des troubles en mobilisant des groupes de partisans, on devrait remiser au placard la vie des institutions et le processus électoral, on ferait le deuil de la démocratie dans notre pays. D’ailleurs, ce serait instaurer le désordre et le chaos si ceux qui pourraient arriver, plus que d’autres, à faire peur, imposaient leurs volontés et s’affranchissaient des règles communes. La tension politique ambiante est bien moins aiguë que les situations vécues au Sénégal en 2012, 1993, 1988, 1983 ou 1962, et pour autant les élections avaient été, à chaque fois, tenues à bonnes dates.

Le Président Macky Sall a d’ailleurs fini de trancher définitivement la question en indiquant, sur tous les tons, que les élections se tiendront à date prévue, c’est-à-dire le 31 juillet 2022. On peut alors considérer les demandes de report comme des élucubrations qui cependant, appellent à être fustigées sans concession. La proposition de repousser les élections législatives apparait comme dangereuse, nocive pour le système démocratique, et provoquerait le chaos qu’elle prétendrait éviter. En repoussant les élections de juillet 2022, on instituerait une Assemblée nationale qui tiendrait sa légitimité de la seule volonté d’une autre institution, le président de la République. Mieux, quelle serait la légitimité des députés dont le mandat aura été prolongé par le président de la République ? Toutes choses égales par ailleurs, ne crierait-on pas au coup d’Etat si le même président de la République, dans les mêmes formes et conditions, décidait de prolonger son mandat d’une quelconque durée ? Au demeurant, quelles sont les circonstances exceptionnelles engendrant un chaos généralisé au Sénégal, qui amèneraient le président de la République à «prendre une loi d’exception» ? Que Dieu nous en garde car le Sénégal ne se relèverait pas de sitôt d’une telle situation ! En France, cette situation avait été vécue en 1940 avec le Maréchal Pétain qui était à la tête d’un pays envahi et occupé par l’Allemagne nazie. En Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo avait pu bénéficier d’un «mandat cadeau» en faisant reporter, d’une année à une autre jusqu’en 2010, l’élection présidentielle qui était prévue pour l’année 2005. Le pays était en proie à une féroce guerre civile.

Du reste, les voix qui demandent le report des élections législatives au Sénégal, avaient été les mêmes qui demandaient, en 2019, le respect scrupuleux du calendrier électoral quand il s’était agi de reporter les élections locales. C’est dire simplement que ceux qui demandent le report des élections le font simplement pour permettre à Ousmane Sonko de pouvoir postuler à la députation, une opportunité qui lui a échappé du fait des turpitudes de son propre camp politique.

Macky Sall refusait une année de plus à Wade en 2012
On a noté la dernière sortie de Me Doudou Ndoye qui apporte sa voix au concert très peu audible du reste, demandant le report des élections législatives. On peut sourire en relisant l’édition du journal Walfadjri du 20 mars 2002 sous la plume de Momar Dieng. Me Ndoye qui préconise le report des élections prochaines, parce que la loi électorale est imparfaite et que le Conseil constitutionnel aurait mal jugé, disait, le 19 mars 2002, qu’en dépit du fait que le processus électoral n’était pas conforme à la légalité et le juge électoral était disqualifié, son parti l’Union pour la République allait participer aux élections. Il avait également continué à faire les mêmes constats et prenait pour autant part aux joutes électorales en tant que candidat à la Présidentielle en 2007 et en 2012. C’est dire !

Pour sa part, en 2012, le Président Macky Sall avait clairement indiqué qu’il combattait farouchement la candidature de Me Wade à l’élection présidentielle mais que si d’aventure le Conseil constitutionnel, qui a la mission de juger de la recevabilité des candidatures, acceptait celle du Président Wade, il irait l’affronter et le battre dans les urnes. Cette posture avait valu à Macky Sall d’être mis au ban d’une bonne frange de l’opposition qui continuait de se rassembler à la Place de l’Obélisque. Macky Sall était ainsi accusé de «traitrise» ou d’être le «plan B de Wade» sur tous les murs du Sénégal couverts de graffitis. Il avait pris acte de la décision du Conseil constitutionnel, autorisant la candidature du Président sortant et avait démarré sa campagne électorale qui finira par être victorieuse.

D’autres candidats travaillaient sur un autre schéma, encouragés en cela par des acteurs de la Société civile sénégalaise qui avaient bénéficié du renfort de l’ancien Président du Nigeria, Olusegun Obasanjo, dépêché à Dakar pour essayer de calmer le jeu politique. C’est ainsi qu’il avait été préconisé un report de quelques mois de l’élection présidentielle, pour permettre au Président Wade de «quitter le pouvoir sans perdre la face» en acceptant de ne pas se représenter. Pour la petite histoire, le candidat Macky Sall était l’un des rares à opposer une fin de non-recevoir à ce projet. C’est ainsi qu’il avait demandé à Me Alioune Badara Cissé et Samba Diouldé Thiam de le représenter à une conférence de presse organisée par le patron du groupe Walfadjri, Sidy Lamine Niasse, qui dénonçait ce projet qu’il considérait comme funeste et porteur de gros dangers pour le Sénégal. Le texte introductif à cette conférence de presse avait été rédigé par Abou Abel Thiam qui était sur le terrain de la campagne, dans la caravane de la coalition Macky2012. Le projet de report de l’élection avait été tué dans l’œuf et le Président Obasanjo bouda et reprit son avion, surtout que son hôtel avait commencé à être assailli par des manifestants hostiles à toute idée de report de la Présidentielle.

Par Madiambal Diagne

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

Maladie de Iran Ndao cette Saltigué craque et fond en larmes et fait de terribles révélations «guemoul sérigne motax… »

Maladie de Iran Ndao cette Saltigué craque et fond en larmes et fait de terribles révélations «guemoul sérigne motax… »

Mimi Touré : « La majorité écrasante des jeunes sont avec nous… »

Mimi Touré
Mimi Touré

Tête de liste majoritaire de la coalition Benno Book Yaakaar aux prochaines législatives, Aminata Touré estime qu’il faut déconstruire ce mythe selon lequel la jeunesse n’est pas avec le régime. D’après elle, ce discours n’est pas corroboré par des évidences statistiques.

« Lors des élections législatives, sur les 557 collectivités, les 480 ont été gagnées par la majorité présidentielle. Cela veut dire que la majorité écrasante des jeunes sont avec nous », a déclaré Aminata Touré, ce week-end, en marge de la conférence publique de la Confédération pour la démocratie et le socialisme (Cds) regroupant tous les partis de gauche, rapporte Walfnet.

Pour ce faire, Aminata Touré estime qu’il faut un rapport de « corps à corps » avec cette jeunesse du point de vue de la sensibilisation. Selon elle, les jeunes font l’objet de manipulation, un système des forces contraires.

« On ne transforme pas ce qui est une réalité. Personne ne sait le faire mieux que les forces de gauche. Il faut qu’on fasse de l’agitation et de la propagande. Parce que nos adversaires font, à peu près, la même chose, mais pour de mauvaises raisons », ajoute Aminata Touré.

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

Mbathio Ndiaye malade et hospitalisée : « Yalla gneuwna… »

Mbathio Ndiaye
Mbathio Ndiaye

Après avoir passé ces dernières semaines à voyager et à faire la fête, la danseuse Mbathio Ndiaye est tombée malade.

L’interprète de Thiopati est hospitalisée, d’après la photo d’elle, une intraveineuse dans le bras postée sur son compte Snapchat. Avec la légende : « Alhamdoulilah Yalla Nieuwna »

Kawtef lui souhaite un prompt rétablissement

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

Transhumance politique à Touba: Ousmane Sonko puise chez BBY

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

La vague Ousmane Sonko continue d’emporter les militants de Benno Bokk Yakaar dans la ville sainte de Touba Mbacké. Ce samedi, au village de Haliyeu situé à quelques encablures de la ville, fief résidentiel de la tête de liste de Benno Bokk Yakaar, Serigne Gallasse Kaltom Mbacké, ses proches amenés par Cheikh Ndiaye, ont rejoint la coalition Yewwi Askan Wi. « senenews.com ».

Présidé par le responsable de Yewwi Askan Wi, Cheikh Thioro Mbacké et l’ex-maire de Mbacké Baol, Abdou Mbacké Ndao, un meeting de ralliement a été organisé à Touba Haliyeu.

Selon Cheikh Ndiaye, porte-parole, et ex chauffeur de Serigne Gallasse Kaltom Mbacké, « ils ont tous unanimement décidé de quitter Benno Bokk Yakaar, dirigé par Gallasse Kaltom, pour soutenir désormais, la liste de Yewwi Askan Wi de Touba Mbacké ».

Prenant la parole, Cheikh Thioro Mbacké, a réitéré que « comme d’habitude, Macky Sall ne gagnera jamais à Touba Mbacké. Ça, c’est une certitude confirmée par toutes les élections passées. Et ces Législatives la confirmeront encore ».

Serigne Gallasse Kaltom Mbacké appelé en renfort au dernier moment par Macky Sall, a du pain sur la planche. Car il risque d’être laminé dans son fief et dans son propre bureau de vote, par Cheikh Thioro Mbacké de Pastef.

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

Très remontés contre Farba Ngom : Des jeunes apéristes de Matam veulent sanctionner l’Apr

Farba Ngom
Farba Ngom

Leur terroir totalement oublié dans les réalisations du Président Macky Sall, les jeunes ont saisi l’opportunité de la précampagne des Législatives pour demander que les choses changent. Faute de quoi, le parti au pouvoir devra s’attendre à une défaite cuisante dans le département de Matam.

A une semaine du démarrage de la campagne électorale pour les élections législatives, les jeunes de l’Apr de la commune de Matam ont organisé un grand rassemblement pour fustiger la relégation au second plan de la commune de Matam et de ses cadres, les promesses non tenues vis-à-vis des Matamois. Ces jeunes, porteurs des doléances de la commune, voient en Farba Ngom, l’acteur principal de leurs problèmes et menacent de voter pour l’opposition le 31 juillet prochain.
Le titre foncier de Macky Sall est en train de lui être arraché peu à peu. De fil en aiguille, après les populations du Dandé Mayo qui ont déjà annoncé vouloir voter pour le bulletin blanc, voilà les jeunes de la commune de Matam qui menacent de voter massivement pour l’opposition. Dans leur grand rassemblement du samedi, les jeunes de Matam, militants et sympathisants de l’Apr, ont annoncé leur volonté de tourner le dos à leur parti pour faire gagner l’opposition dans leur commune et au-delà.

Un vote-sanction du fait de plusieurs frustrations, mépris et promesses non tenues. Le porte-parole du jour, Amadou Sarr, déclare : «La cabale orchestrée par Farba Ngom contre les cadres de l’Apr de la commune de Matam n’a que trop duré. Nous condamnons le silence coupable du président de la République. Dix ans de compagnonnage avec le président de la République et Matam n’a vu aucun de ses fils être promu : ni ministre ni Directeur général. Une première dans l’histoire du Sénégal.» Monsieur Sarr indique que tout cela est dû à «l’oppression de Farba Ngom sur les cadres de l’Apr de la Ville de Matam».

Pour ces jeunes apéristes, leur ville, capitale régionale, a perdu tout son poids et sa crédibilité depuis l’arrivée du Président Macky Sall au pouvoir. La capitale régionale est reléguée au second plan à cause du Coordonnateur départemental de l’Apr, Farba Ngom, car disent-ils, «même les réunions importantes du parti se tiennent à Agnam et cela est inacceptable. Matam a un statut qu’il faut respecter». Les jeunes du parti présidentiel de la Ville de Matam ont tenu à rappeler qu’ils ont été de tous les combats pour la victoire de leur parti et concrétiser ce qu’on appelle «le titre foncier de Macky Sall».

Ce titre foncier de Macky Sall, ces jeunes menacent de le fragiliser avec les élections législatives du 31 juillet prochain, en votant massivement pour l’opposition dans leur commune et en faisant la promotion du vote sanction dans toute la région de Matam. Car pour eux, le président de la République n’a pas respecté ses promesses vis-à-vis de leur commune. Pour justifier les raisons de ces menaces, les jeunes apéristes de Matam citent les problèmes de leur commune. Amadou Sarr s’adressera au président de la République pour déclarer : «La commune de Matam souffre car il n’y a aucune infrastructure digne de ce nom. Et pourtant les Matamois vous ont tout donné sans recevoir quelque chose en retour. Tous vos chantiers comme l’Isep de Matam, l’université Sileymane Niang, la route du Dandé Mayo, sont à l’arrêt ou peinent à décoller.»

Les jeunes ont saisi cette tribune pour inviter les populations matamoises à une introspection de leur situation durant les dix ans de Macky Sall au pouvoir. Et ils en concluent : «Les populations de toute la région de Matam sont oubliées à l’exception de celles de la commune d’Agnam, qui sont priorisées même dans le recrutement dans l’emploi des jeunes.» Le mot d’ordre est donné pour un vote sanction en vue des élections législatives, par des jeunes apéristes de la commune de Matam.

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

Aéroport de Milan Malpensa : Plus d’une centaine de passagers d’Air Sénégal dénoncent les insuffisances de la compagnie et menacent…

Air Sénégal
Air Sénégal

C’est encore une illustration des innombrables manquements qui caractérisent la compagnie nationale Air Sénégal. Après le cas des passagers du vol de vendredi dernier, c’est encore d’autres qui ont subi la foudre des insuffisances de ce joyau qui suscitait tant d’espoir chez les sénégalais.

Il s’agit des passagers venant de l’aéroport de Milan Malpensa qui, en majeure partie composée de sénégalais, veulent rentrer au bercail pour passer avec leurs familles la fête de l’Aïd El Kébir (Tabaski) qui doit être célébrée dimanche prochain. Hier, le départ du vol Air Sénégal prévu à 10h a finalement été reporté à 22h.

Une incohérence qui a déjà mis mal à l’aise les passagers qui ont fini par attendre 12 heures de temps et ce, avec des excuses non fondées selon un d’entre eux contacté par Dakaractu. « Nous devions effectivement quitter à 10h 25 minutes, mais une fois au niveau de l’aéroport, nous avons constaté que le retard a été bien annoncé. Nous avons été informés que le départ est finalement fixé à 22h30 mn. Certains parmi nous, remontés, ont déversé leur colère sur certains membres du personnel de la compagnie. Ce qui a même amené la police sur place à intervenir et calmer les ardeurs. »

En réalité, il y aurait même des clients qui ont débarqué dans l’aéroport, pour faire très tôt leur formalité et attendre tranquillement le vol. « Il y’a des gens qui ont quitté chez eux à 400 km de l’aéroport Milan Malpensa et y ont passé la nuit. Mais vous savez bien que la compagnie à l’obligation de tenir compte des conditions de ses passagers. Ce qui n’a pas été fait car nous avons souffert pendant 12h de temps dans cet espace et dans une situation que déplorent tous les passagers », s’indigne encore notre source.

En effet, ils devraient être environ 170 passagers parmi lesquels un peu plus de 160 sénégalais. Il y’a également d’autres nationalités comme des italiens, des ivoiriens et des Gambiens. Malgré toute cette souffrance, ils ont atterri ce dimanche à l’aéroport international Blaise Diagne aux environs de 2h30 mn du matin. Ce qui est regrettable pour notre interlocuteur, c’est cette indignation collective des clients de la compagnie qui menacent de ne plus embarquer dans un vol d’Air Sénégal. Un regret, même si, l’espoir de voir un jour la compagnie se redresser les anime…

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

BBY À BAMBEY – L’ambassadeur itinérant El Hadj Dia désigné coordinateur départemental du comité électoral à l’unanimité.

El Hadj Dia
El Hadj Dia

Le comité électoral de la coalition Benno Bokk Yakaar de Bambey tient désormais son coordinateur départemental. En effet, l’ambassadeur itinérant El Hadj Dia a été choisi de manière unanime par ses camarades qui lui ont accordé une totale confiance.

La cérémonie s’est tenue ce samedi sous la supervision du ministre d’État et commissaire politique de Bambey, Ismaïla Madior Fall et de Aliou Dia, Moussa Sy, Pca du Port, tous deux dépêchés pour prendre part à la rencontre. 

La rencontre a aussi enregistré la présence de  l’essentiel des personnalités politiques du département. C’est le cas notamment du ministre Mor Ngom, de 11 sur les 12 maires du département, du Président du Conseil départemental, des Hauts conseillers des Collectivités Territoriales du département, des leaders du MEER, de la Cojer.

Les femmes, présentes dans la salle, n’ont pas aussi manqué de se déclarer entièrement d’accord sur le choix porté sur El Hadj Dia qui, pour rappel, a aussi été désigné directeur de campagne par les candidats à la mairie et au Conseil départemental de Bambey à l’occasion des élections locales dernières.

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

(Vidéo) Maty 3pommes brûle Ousmane Sonko sur ses visites auprès des chefs religieux ‘’Gueumul Kéneu,intérêt

Maty 3pommes brûle Ousmane Sonko
Maty 3pommes brûle Ousmane Sonko
https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

Thierno Alassane Sall: «Ousmane Sonko et Cie doivent présenter des excuses publiques aux Sénégalais»

Thierno Alassane Sall
Thierno Alassane Sall

La crise au sein de l’opposition est profonde. La coalition Alternative pour une Assemblée de rupture/Aar Sénégal continue de se désolidariser avec les leaders de Yewwi Askan Wi (YAW). Après s’être démarqué d’un report des élections législatives voulu par le patron de Pastef/les patriotes, Ousmane Sonko et Cie, Thierno Alassane Sall et Cie réclament des excuses publiques. Pis, en tournée ce weekend dans le Nord, précisément dans la région Matam, ils ont encore descendu en flammes YAW. Raillant d’emblée les contestataires, la tête de la liste de la coalition Aar Sénégal balance: «Il y aura bien élections le 31 juillet prochain pour les législatives et Yewwi Askan wi va bien y prendre part. Ils ont décidé de revenir à de meilleurs sentiments ». Poursuivant, l’ancien ministre des Infrastructures, du Transports terrestres et du Désenclavement, soutient que Ousmane Sonko et compagnie «doivent présenter des excuses publiques aux Sénégalais», suite aux manifestations organisées sur l’étendue du territoire national.
«Tout ça pour ça! 3 morts, beaucoup de destructions, beaucoup de temps perdus pour finalement dire nous allons partir en élections. Cela est extrêmement difficile pour moi à supporter. Tous ceux, qui ont voulu prêcher le chaos et vendre l’idée que le Sénégal serait dans une catastrophe si les listes ne participaient pas aujourd’hui, ont leur réponse. Et nous croyons qu’ils doivent venir devant les Sénégalais pour s’excuser de tout le tort qu’ils ont créé pour croire que le forcing était possible».

https://youtu.be/rBbrNjJ8jGI

TOUBA : Pastef se vide de ses membres

TOUBA : Pastef
TOUBA : Pastef

Le moins que l’on puisse dire est que le parti Pastef vit des heures on ne peut plus sombres dans la capitale du mouridisme. D’après le quotidien Source A qui donne l’information dans sa livraison de ce lundi, une telle situation s’explique par une cascade de démissions de leaders de la première heure du parti d’Ousmane Sonko.

Le premier à avoir fait ses valises s’appelle Mame Dame Lô. Celui-ci est célèbre pour avoir été cueilli, il y a quelques mois, par la Division des investigations criminelles (Dic) suite à ses enregistrements fuités planifiant des troubles à l’ordre public.

La seconde personne qui a tourné le dos au nouveau maire de Ziguinchor s’appelle Moussa Mbaye. Il est suivi de Astou Gawane Niang. Le dernier gros poisson à avoir été pêché par le ministre de l’Intérieur s’appelle Pape Maguette Diaw.

Ce dernier, en conférence de presse de ralliement au quartier Keur Niang de Touba, déclare : « J’ai effectivement été approché par Antoine Diome avec qui je partage Serigne Cheikh Saliou Mbacké comme guide spirituel. Il a discuté avec moi et j’ai été convaincu par ce qu’il m’a dit. J’ai compris que l’avenir de notre localité est entre les mains du Président de la République ».

Et de marteler : « Déjà il a un excellent bilan et nul ne peut dire le contraire. L’autoroute Ila Touba, le nouvel hôpital et le réseau d’assainissement suffisent pour que chacun d’entre nous soutienne le régime en place. J’avertis mes anciens camarades de Pastef que je suis déterminé à faire gagner la liste de Benno à l’occasion des prochaines élections législatives ».

Macky Sall réagit, après la levée des sanctions sur le Mali : « Je salue… »

Macky Sall
Macky Sall

La Cedeao a levé, ce dimanche 03 juin 2022 à Accra, les sanctions commerciales et financières qui affectaient le Mali depuis janvier. Les Leaders ouest-africains ont également validé le nouveau calendrier proposé par la junte d’une période de transition allant jusqu’à mars 2024.

Ainsi, dans un tweet, parue le même jour, le président en exercice de l’Union Africaine Macky Sall a salué la levée de l’embargo économique, commercial et financier contre le Mali. Ce, pour accompagner les efforts de la Transition en cours.

« Félicitations au Président Umaro Sissoco Embaló, élu Président en exercice de la #CEDEAO . Je salue la levée de l’embargo économique, commercial et financier contre le Mali, pour accompagner les efforts de la Transition en cours. », s’est-il réjoui.

Pour rappel, le Mali, pays enclavé au cœur du Sahel, a été le théâtre de deux coups d’État militaires en août 2020 et en mai 2021. La crise politique va de pair avec une grave crise sécuritaire en cours depuis 2012 et le déclenchement d’insurrections indépendantiste et jihadiste dans le Nord.

Le petit discours de la fille de Thierno Alassane Sall qui a impressionné Ousmane Sonko(Vidéo)

Le petit discours de la fille de Thierno Alassane Sall qui a impressionné Ousmane Sonko(Vidéo)

https://youtube.com/watch?v=UK3uzko2SEI

Tivaouane : Le khalif Serigne Babacar Sy Mansour consulté pour le retour de Karim Wade

Hier, une forte délégation de la coalition Wallu s’est déplacé vers la cité religieuse de Tivaoune auprés du khalif des Tidijanes. La formation de l’ancien Président Me Abdoulaye Wade était conduite par Maodo Malick Gueye coordinateur départemental de PDS Tivaouane.

Une délégation composée de Mamadou Lamine Thiam, Aliou Diop, Daouda Niang, Diagne alliance les verts, Abdoulaye Racine Kane, Rokhaya Diouf, Sabel, Amadou Madoki Niang et Saliou Dieng ont sollicité des prières pour l’apaisement du climat politique. Mais aussi pour le retour du fils de Abdoulaye WADE Karime Meissa.
Selon les membres de cette délégation, le khalif Serigne Babacar Sy Mansour a salué cette démarche de recherche de paix. Mais aussi la responsabilité des membres de la coalition Wallu et sa reconnaissance envers Me Abdoulaye Wade en tant que dignitaire du pays.
Le guide spirituel n’a pas manqué de formuler des prières pour le retour de Karim Wade au Sénégal. Car Wade fils est en terre étrangère depuis un bon moment.

Gâté par son épouse et ses proches, comment Mame Boye Diao a fêté son anniversaire(Vidéo)

Gâté par son épouse et ses proches, comment Mame Boye Diao a fêté son anniversaire(Vidéo)

Cette célébre TikTokeuse sénégalaise valide sa licence avec mention très bien, moyenne 19/20 et major de sa promotion

La célèbre Tiktokeuse Faynara est aux anges. Elle a décroché sa licence avec mention très bien, moyenne 19/20 et major de sa promo. L’influenceuse reçoit des félicitations de partout.

Très consommée des internautes, elle a réussi à s’imposer dans le réseau social tik tok. En un temps record, elle a eu le record de 2 millions 200 d’abonnés

Mais, le niveau d’étude de la tiktokeuse échappait à certains. Figurez-vous qu’elle a eu sa licence. Et, elle a réussi son pari d’allier études et influenceuse.

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Lansana Gagny Sakho rejoint Pastef : « J’ai décidé d’accompagner Ousmane Sonko… »

Ousmane Sonko a convaincu Lansana Gagny Sakho lors de sa visite de courtoisie et d’échanges, ce samedi. L’ancien Directeur général de l’Onas a décidé de l’accompagner dans Pastef.

Lansana Gagni Sakho, qui a loué les qualités du leader de Pastef, est revenu sur le contenu de leur discussion. « Je pense que Sonko est une personne très humble. Il a préféré se déplacer parce que je suis son aîné. On a discuté des problèmes de la jeunesse au Sénégal, du secteur privé, de la vision qu’on a. Quand j’étais dans le Gouvernement, je me retrouvais dans sa vision », a-t-il déclaré, d’après Source A.

Lansana Gagny Sakho, qui a toujours fait état de sympathie vis à vis de Sonko, s’est enfin décidé à le rejoindre dans Pastef. « Je suis décidé à l’accompagner pour 2024 et pour les Législatives. Chacun est libre de s’engager dans le Parti qu’il veut. Moi, je me considère aujourd’hui comme membre de Pastef parce que je partage sa vision », a-t-il expliqué dans les colonnes du journal. »

Vidéo-Les propos de Gaston Mbengue sur le 3e Mandat de Macky fait polémique « Sukou ladié dina… »

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