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URGENT: Le Neveu D’Abdoulaye Daouda Diallo Envoyé En Prison….

Cheikh Abdou Bara Dolly Mbacké
Cheikh Abdou Bara Dolly Mbacké

Kalidou Diallo va célébrer la Tabaski en prison. Il est inculpé et placé sous mandat de dépôt pour Injure, menace de mort, diffamation et menace de divulguer d’images à caractères pornographiques. Le neveu du ministre du budget de du Finance, Abdoulaye Daouda Diallo a été arrêté hier par la Sûreté Urbaine de Dakar sur plainte de Gabrielle Kane. Kalidou sera jugé mercredi prochain, au tribunal des
Flagrants délits de Dakar

(Urgent) – Arrêt sur image : MAMOUR BA au palais

MAMOUR BA
MAMOUR BA

Tabaski 2022 – Très bonne nouvelle pour les travailleurs : « Le gouvernement a décidé de… »

Tabaski 2022
Tabaski 2022

Un jour de repos de plus pour les fonctionnaires et autres salariés pour la fête de Tabaski. Le lundi 11 juillet 2022, qui coïncide avec le lendemain de la fête d’Aid El Kebir ou Tabaski au Sénégal, est considéré comme jour férié.

Le ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions, Samba Sy, interpellé par nos confrères de Emedia, a expliqué : « Notre législation dispose que si une fête religieuse telle que la Tabaski ou la Korité coïncide avec un dimanche, le lundi d’après est férié. En conséquence le lundi 11/7/2022 est férié ».

Vidéo – Mbarann Tabaski: Adji mass sermonne les filles «Koussi Seug dinanla Ritambalé bassa Karaw Rouss »

Offense à Macky Sall :La première apparition de Cheikh Bara Dolly après sa sortie de prison fait le buzz (vidéo)

Le Bataxaal historique de Ousmane Noël DIENG au président Macky «c’était Diene Farba Sarr avant …» (vidéo)

Video – Mode Tabaski : Titi chante devant Pape Cheikh Diallo : « Wagnil sa djiko dji… »

Video – Les révélations de Sheikh A Sène sur sa rencontre avec Cheikh Mahi & avertit Macky«3eme mandat kén dou ko fi »

Vidéo – Tabaski: Wally Seck distribue 13 Millions en 2h de temps, sa mère l’adule, il craque et fond en larmes

Vidéo – Tabaski: Wally Séck distribue 13 Millions en 2h de temps, sa mère l’adule, il craque et fond en larmes

Libre, les premiers mots de Cheikh Oumar Diagne : “Le combat ne fait que…” (vidéo)

Le célèbre chroniqueur  a été interrogé dans le fond par le juge du deuxième cabinet hier jeudi. Ainsi, Cheikh Oumar Diagne a obtenu une liberté provisoire ce vendredi 08 juillet 2022. Ce, après environs trois (03) mois passés en prison.

A la suite de son audition, ses conseils à savoir Mes Cheikh Koureïssi Ba, Babacar Niaye et Patrick Kabou ont déposé une demande de liberté provisoire, communiquée au parquet. Une demande qui s’est soldée par la liberté provisoire de Cheikh Oumar Diagne.

Ce dernier, suite à sa libération s’est adressé aux Sénégalais à travers une vidéo rendue publique.

Pour rappel, Cheikh Oumar Diagne est poursuivi pour diffamation, injures contre un député, menaces sans ordre ou conditions et insultes par le biais d’un système informatique. Il a été incarcéré à la suite d’une plainte de Me Djibril War.

Détournement présumé de 9 millions à la mairie de la Patte d’Oie : La Maire Maïmouna Dièye justifie les dépenses des fonds par « les aides des fêtes de Pâques et de Korité »

Suite et pas fin dans le cadre de l’affaire de détournement présumé de fonds à la mairie de la Patte d’Oie. En effet, acculée depuis quelque temps dans les réseaux sociaux pour apporter des réponses aux accusations portées sur sa gestion des fonds de la mairie qu’elle a héritée de Banda Diop, la maire Maïmouna Dièye a décidé finalement de se prononcer sur cette affaire.

Lors d’une conférence de presse qu’elle animait jeudi après-midi, Maïmouna Dièye d’affirmer qu’il n’y a pas à fouetter un chat concernant sa gestion, et cela, depuis son accession à la tête de l’équipe municipale en tant que première femme maire de cette commune élue au suffrage universel direct. Pour justifier les dépenses de fonds qui l’incrimineraient, elle précise que cet argent a été dépensé dans le cadre des allocations d’aides pour les fêtes de Pâques et de Korité.

« Dans le cadre de l’exécution du budget qui engage le Maire, les collaborateurs et particulièrement la commission sociale ont été consultés sur les montants à allouer tant pour les aides des fêtes de Pâques que de Korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du Laylatul Khadri. Ceci pour un montant global de 12 millions de francs CFA », se justifie-t-elle, sans évoquer les procédures qui ont conduit au décaissement du montant. Poursuivant son propos, Maïmouna Dièye d’ajouter qu’au « niveau de la perception, pour ne pas engendrer une lourde charge de travail et ralentir la procédure avec des centaines voire des milliers, les bénéficiaires ont été regroupés en émettant quarante (40) mandats de trois cents mille (300.000) francs CFA tirés dans le lot des demandeurs. D’où la liste diffusée pour asseoir les fausses accusations. »

Elle précisera par ailleurs, que ceux qui agitent ce débat sont animés par des questions politiques et une volonté de lui nuire tout simplement. Mais tente-t-elle de mettre en garde : « Qu’ils se détrompent… Ils me trouveront sur leur chemin… C’est moi la dame de Pastef, Jiiguenu Ousmane Sonko…. Je défie quiconque pourra m’apporter le contraire de ce que j’ai apporté comme preuve. Tous les justificatifs sont disponibles pour les corps de contrôle, au besoin ».

(Vidéo) Propos polémiques : Cheikh Bara Ndiaye défend SONKO et envoie un message fort à Macky !

À l’occasion de la visite des leaders de Yewwi Askan Wi aux familles des deux jeunes morts lors des manifestations du 17 juin dernier, le maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko a encore fait parler de lui. Le farouche opposant du « Macky » a soutenu que que le Président de la République « a un problème particulier avec la Casamance et les casamançais …. » et qu’il « stigmatise les casamançais… ». Des propos qui ont valu beaucoup de critiques au leaders de Pastef. Mais pour Cheikh Bara Ndiaye, il y a eu une lecture partielle de la sortie de son leader et une attitude partiale de ceux qui l’ont condamnée.

Urgent : Cheikh Oumar Diagne et Cheikh Abdou Bara Dolly Mbacké libérés

Urgent : Cheikh Oumar Diagne et Cheikh Abdou Bara Dolly Mbacké libérés

Senego vient d’apprendre la libération de Cheikh Oumar Diagne et du député Cheikh Abdou Bara Dolly.

Waly Seck en mode « kilifeu » pour le takou « diakk » de sa fille

Oumou, fille adoptive de Waly Seck, a célébrée son mariage en sobriété.

Waly Seck aperçu à la mosquée où il donnait la main de sa fille, était accompagné de Ndiogou Mbaye, Niang Kharagne…

Offense au chef de l’Etat : revirement dans l’affaire Abdou Mbacké Bara Doly

Cheikh Abdou Doly
Cheikh Abdou Doly

Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly a été entendu par le Doyen des juges hier, jeudi, sur le fond du dossier le concernant. Il a été placé sous mandat de dépôt, le 10 juin dernier, pour offense au chef de l’Etat et diffusion de fausses nouvelles. Le député avait tenu des propos jugés malveillants à l’endroit du Président Macky Sall lors de la manifestation de Yewwi Askan Wi, le 8 juin dernier.

D’après Libération, qui donne l’information ce jeudi, Abdou Mbacké Bara Doly a plaidé l’incompréhension. Le journal rapporte que le député a confié au Doyen des juges que lorsqu’il parlait de «souf», il faisait référence aux terres de l’hôpital Aristide Le Dantec et de Lat Dior qui seraient bradées. «Je suis un républicain», a-t-il martelé.

Quoi qu’il en soit, le journal informe que son avocat, Me Abdy Nar Ndiaye, a déclaré que si les propos de son client «ont porté atteinte au Président de la République, il fait amende honorable et présente ses excuses au président de la République et aux populations».

Le conseil de Abdou Mbacké Bara Doly a introduit une demande de liberté provisoire. Libération parie que le parquet ne devrait pas s’opposer à cette requête.

Revue de Presse Zik Fm du 08/07/2022 avec Mantoulaye Thioub Ndoye

Revue de Presse Zik Fm du 08/07/2022 avec Mantoulaye Thioub Ndoye


Vidéo: M El Diouf lâche une b0mbe « Sonko da begon def coup d’etat  » Soudon K..m.. Dakay Réndi mou

M El Diouf lâche une b0mbe « Sonko da begon def coup d’etat  » Soudon K..m.. Dakay Réndi mou

Vidéo-Me El Diouf tacle sévèrement les journalistes et adoube Babacar Ba «Ay nefékh you bonn, Ragal.. »

Mr El Diouf tacle sévèrement les journalistes et adoube Babacar Ba «Ay nefékh you bonn, Ragal.. »

Mairie de Dakar : Ce gros « problème » que Barthélémy Dias peine à régler !

Barthelemy Dias
Barthelemy Dias

Barthélemy Dias doit être vraiment mal à l’aise dans cette situation. Des conseillers municipaux traînent encore les pieds pour démissionner de leur poste d’agent de la ville alors qu’ils ne peuvent le cumuler avec celui de conseiller.

D’après le quotidien Les Échos qui soulève la question dans sa livraison du jour, Barthélemy Dias a même été obligé, lors du dernier conseil municipal, de les supplier à la limite de rendre leur tablier parce qu’ils sont sous le coup de la loi. En effet, selon l’article 240 du Code des collectivités territoriales, ne sont pas éligibles dans le département où ils exercent leurs fonctions : les comptables des deniers départementaux ainsi que les chefs de services de l’assiette et du recouvrement et les chefs de services régionaux et départementaux de l’État ainsi que les représentants régionaux et départementaux des établissements publics.

l s’y ajoute les agents de tout ordre employés à la recette départementale et les agents salariés de la collectivité départementale, parmi lesquels ne sont pas compris ceux qui étaient agents de l’État ou exerçant une profession indépendante, ne reçoivent une indemnité du département qu’à raison des services qu’il lui rende dans l’exercice de cette profession. Le maire de Yoff et Moussa Diakhaté ont demandé une disponibilité, Bassirou Samb dit avoir démissionné, quid de Bineta Guèye et Aïda Niang ?

Malgré la clarté des textes, Bineta Guèye, Bassirou Samb, Aïda Niang, Moussa Diakhaté, Seydina Issa Laye Samb maire de Yoff, entre autres, ont été élus conseillers municipaux alors qu’ils sont agents salariés à la Ville de Dakar. Ces derniers devaient donc présenter leur démission ou demander une disponibilité pour se soustraire de leur responsabilité d’agents. Heureusement que certains d’entre eux ont eu la présence d’esprit de se soumettre à la loi.

Selon une source, il s’agit de Seydina Issa Laye Samb, maire de Yoff, qui était chef de service de la comptabilité des matières. Ce dernier, nous dit-on, a déposé une demande de disponibilité depuis le mois d

e mars. Il y a aussi Moussa Diakhaté qui a d’abord déposé sa démission le 9 mai dernier avant de miser ensuite sur une disponibilité. «J’ai écrit ma lettre de démission le 9 mai. C’est par la suite que l’on m’a dit qu’il était possible d’avoir une disponibilité. C’est pourquoi j’ai changé d’avis pour la deuxième option», explique le désormais ex-chargé de communication de la Direction de l’éducation et de la culture à la ville de Dakar.

Bassirou Samb de son côté nous assure qu’il s’est soumis à la loi en déposant sa démission, mais il refuse de donner la date exacte. Alors à qui s’adressait B. Dias quand il demandait aux personnes qui sont dans cette situation de démissionner ?

Vidéo-La grosse bourde de Me El Hadj Diouf «  Sonko Deum laa » Macky rek moy… »

La grosse bourde de Mr El Hadj Diouf «  Sonko Deum laa » Macky rek moy Tass al Casamance

Vidéo-Maître El Hadji Diouf brûle Sonko après ses propos polémiques «  Rebele bou bonn la » mom mo..

Maître El Hadji Diouf brule Sonko après ses propos polémiques «  Rebele bou bonn la » mom mo..

Sonko : La déconstruction comme œuvre de salubrité ! [Par Abdou Latif COULIBALY]

Abdou Latif Coulibaly
Abdou Latif Coulibaly

Dans une tribune libre publiée il y a de cela plus d’un an et intitulée « Une stratégie de mise sous hypnose du peuple » j’alertais sur les méthodes de communication d’Ousmane Sonko, en mettant en évidence l’approche perverse et dangereuse avec laquelle tous les acteurs politiques et forces vives de la Nation se devaient d’être vigilants et sans aucune concession. 

Cet homme politique d’un genre particulier symbolisant, paradoxalement, au regard de son jeune âge, l’archaïsme car il privilège une démarche rappelant sur certains points, et à bien des égards, une vieille technique de propagande politique qui a été fortement utilisée par des régimes honnis par l’histoire, tant ils furent cruels pour nos sociétés.

Certains spécialistes de la communication sont tentés d’assimiler sa façon de conduire son discours de propagande contre le pouvoir, à une méthode dite de l’hypnose du peuple, comme je disais, il y a un peu plus d’un an. Cette méthode repose essentiellement sur la construction d’un mensonge translucide monumental. Ousmane Sonko élabore son discours en partant d’un ou de plusieurs faits inventés et parfois réels pour tenter d’échafauder astucieusement une montagne de contrevérités, afin d’émerveiller, et d’embastiller ainsi des consciences et d’embrigader des opinions.

On joue sur le mensonge, sur la calomnie pour élaborer le scénario d’un film fantastique. Il présuppose la naïveté et l’ignorance de l’opinion pour produire des effets auprès de certains citoyens. On ne peut pas nier que certains d’entre eux acceptent ainsi de renoncer (momentanément ?) à l’usage de la raison critique. C’est cette méthode qui a fécondé dans les années 30 en Europe les horreurs que l’on connaît suffisamment aujourd’hui.  Ousmane Sonko utilise presque la même méthode pour avoir avec lui les masses. Aujourd’hui, le discours politique construit par lui et par certains de ses partisans veut faire sonner dans l’esprit des citoyens l’idée du mal absolu qu’incarnerait le Chef de l’Etat. Son discours fonctionne ou presque comme celui de l’histoire qui avait désigné une communauté entière comme le mal absolu à faire disparaître. Osons le dire, c’est le narcissisme du politique ayant trop hâte d’assouvir sa passion du pouvoir et qui en perd parfois la raison. Il accuse sans discernement et fracture ainsi à son insu le ciment de la Nation qui repose sur une bonne intelligence des différentes composantes sociologiques et ethniques qui la structurent. Prétextant son appartenance à un groupe ethnique qu’il nomme avec imprudence, il accuse le Chef de l’Etat d’exclusion, de considération stigmatisante et méprisante à l’endroit de cette communauté. 

Pour en revenir au mode opératoire de la propagande Sonko, on note souvent dans son discours des amalgames et contrevérités procédant parfois plus d’un manque de base documentaire bien établie et assumée pleinement que d’une mauvaise foi. Il donne l’image d’un homme manquant singulièrement de culture politique, de culture historique, de culture générale tout simplement. On s’en fait une idée en lisant ses ouvrages. Là, on est frappé par sa trop grande propension à citer les écrits des autres, sans prendre les précautions d’usage obligatoires à cet effet. Ousmane Sonko connait sûrement l’Etat. Pour autant, en a-t-il, un sens bien assumé ? Sa dernière sortie jette un doute sur le sens qu’il se fait de la Nation. J’hésite à dire qu’en écoutant Ousmane Sonko on en sort avec la sensation d’un manque de maturité, tant dans la formulation de ses idées que dans l’expression de celles-ci. 

D’ailleurs, certaines de ses accusations qui sont, à bien des égards d’une gravité extrême, comme l’a été sa dernière tirade sur Macky Sall et les Diolas, traduisent plus un manque de maturité. En témoignent cette pointe d’arrogance assumée et la véhémence de son expression qui le présentent sous les dehors d’un haineux. Ce qu’il n’est sûrement pas. On le voit donc, amalgames, confusions volontairement entretenues et grossies à souhait ont rythmé les discours de l’homme Ousmane Sonko. La seule chose qui vaille dans sa démarche et qui soit stable c’est l’émotion, l’aversion. 

Je dis de son discours qu’il veut soumettre le peuple et non convaincre, en lui imposant un projet politique faussement présenté sous le manteau de la transparence et du sérieux. Que personne ne s’y trompe ! Comme toujours, l’art de tous les chefs populistes a consisté à concentrer l’attention des masses sur un seul « ennemi » : Macky Sall et son régime. Ce type de propagande peut un temps fonctionner et prendre quelques naïfs dans son piège, mais elle n’est pas durable. 

Les Sénégalais doivent se montrer cependant vigilants. Cette forte démagogie qui connote le discours, consiste à construire une nouvelle doctrine politique sur la base de faits inventés, si subtile se veut-elle. Celle-ci doit être bien comprise de tous. Face à Sonko et son discours, la déconstruction est une opération de salubrité publique s’imposant à tous les démocrates de ce pays.

Les fondements d’un Etat-Nation qu’est le Sénégal que nos aînés ont mis du temps à édifier avec des ressorts solides, au prix d’immenses sacrifices ne doivent être sapés et sacrifiés à l’autel d’un pouvoirisme outrancier. Le Sénégal d’Aguène et Diambogne, de Ndatté Yalla, d’Aline Sitoe Diatta, de Njëmbët Mbodj, etc., c’est la fraternité et surtout le cousinage à plaisanterie entre ethnies, entre patronymes d’une même ethnie, entre lignées maternelles, entre localités, entre confréries religieuses. Le Sénégal, c’est le dialogue islamo-chrétiens. Sonko ignore certainement que la stabilité socio-politique qui nous est tant enviée est certes liée au génie politique des sénégalais et des sénégalaises, mais surtout au ciment socioculturel du pays basé sur des valeurs de tolérance, de solidarité, de respect des communautés et des individualités. Oui, la stabilité politique et sociale du Sénégal est le fait d’hommes et de femmes politiques, d’acteurs d’une société civile très dynamique qui ont su bâtir un système démocratique apaisé en constante bonification. La grande chance du Sénégal, c’est donc son tréfonds culturel qui garantit « un commun vouloir de vie commune » dont le rôle dans la préservation de l’identité nationale et la paix n’est plus à démontrer. Sonko fait-il semblant d’ignorer cette réalité observable dont l’usage quotidien doit être analysé comme une coutume de pacification, voire quasiment une loi propre sur les droits et devoirs des citoyens d’une même nation ? Tout compte fait, la grandeur d’un Homme d’Etat se mesure également par son niveau de culture qui permet de saisir la relativité et la complexité des matières à partir desquels il doit se positionner.

10 Photos-Ousmane Sonko reçu par le Président de la CEDEAO, Ùmaro Sissocco Embalo

L’annonce a été faite par le leader de Pastef sur sa page facebook:

« J’ai répondu aujourd’hui à l’invitation du Président Ùmaro Sissocco Embalo, Président de la République de Guinée Bissau et Président en exercice de la CEDEAO.

Nous avons eu des échanges très profonds et avons partagé nos préoccupations sur les situations politiques intérieures de la Guinée, du Sénégal et des grands chantiers de la CEDEAO.

Je me réjouis de cette discussion franche et directe et remercie le Président Embalo pour ses égards », informe Sonko.

Vidéo-Samba Ka prend le TER et crée l’attraction

Samba Ka prend le TER et crée l’attraction

Vidéo-Samba Kâ reçoit son mouton offert par Adamo: Regardez sa réaction à mourir de rire

Samba Kâ reçoit son mouton offert par Adamo: Regardez sa réaction à mourir de rire

Hôtel King Fahd Palace : Voici la coupure d’électricité qui a fâché le président Macky Sall (vidéo)

Le Président du Groupe de la Banque mondiale a dû se résigner à arrêter son discours. Une coupure d’électricité a plongé la grande salle de l’hôtel King Fahd Palace, qui abrite le sommet IDA pour l’Afrique.

Ministres, chefs d’Etat, hauts responsables du Fmi ou de la Banque mondiale, tous étaient plongés dans le noir. Ce qui a hautement gêné le président Macky Sall qui a réclamé des sanctions, lors de son discours.

Vidéo- Polémique sur les propos de Sonko: Comment la presse écrite a sélectionné une partie de son discours

Polémique sur les propos de Sonko: Comment la presse écrite a sélectionné une partie de son discours*

Tentative de Manipulation échouée…Voici la vidéo intégrale de Sonko sur Macky Sall et la Casamance

Tentative de Manipulation échouée…Voici la vidéo intégrale de Sonko sur Macky Sall et la Casamance

Entendu dans le fond, le détails de l’audition de Cheikh Oumar Diagne

Cheikh O. Diagne

A l’instar de Cheikh Abdou Bara Doly, Cheikh Oumar Diagne a été interrogé dans le fond par le juge du deuxième cabinet ce jeudi.

A la suite de son audition, ses conseils à savoir Mes Cheikh Koureïssi Ba, Babacar Niaye et Patrick Kabou ont déposé une demande de liberté provisoire, communiquée au parquet. « Au soir de sa 90ème journée de détention, est-ce le bout du tunnel pour le professeur Cheikh Oumar Diagne ? », s’est demandé Me Kouriessi Ba La balle est dans le camp du parquet.

Conférence des présidents: une coupure suspend les activités, la Senelec identifie les responsables et désigne le coupable

Racine Sy
Racine Sy

Lors de la Conférence des présidents africains, une coupure d’électricité a interrompu la séance de travail de ces derniers qui étaient invités par Macky Sall. Le chef de l’Etat n’a pas manqué de manifester son ire et la Senelec, de par sa direction a pris des mesures idoines pour sanctionner les fautifs.

Une coupure d’électricité à l’hôtel King Fahd a interrompu le déroulement des activités des présidents africains, invités de son Excellence le Président de la République, provoquant l’ire de ce dernier.

Les responsables de ce fâcheux manquement   ont été automatiquement identifiés et des mesures prises sur le champ. En effet des sources proches de l’enquête nous informe que c’est le système d’électrification du King Fadh qui est défaillant et pas aux normes. Pour ainsi dire que l’hôtel de Racine Sy n’a plus les capacités techniques pour accueillir ce genre de rencontres, sic!

Compte tenu de son adhésion sans équivoque à la qualité du service, Senelec ne doit pas tolérer de telles légèretés surtout en de pareilles circonstances.Une plainte serait meme à l’etude contre le King Fadh et son promoteur

Panique au sein de Benno : « Si on continue sur cette lancée, on va perdre les élections »

Mimi Touré
Mimi Touré

À quelques jours des élections législatives, la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) est en alerte. Les craintes d’une défaite lors de cette compétition électorale sème la psychose au sein la coalition présidentielle.

C’est le Comité d’alerte et de remobilisation de l’Alliance pur la République (APR) qui a lancé l’alerte. « Nous avonc constaté qu’au sortir des élections locales, il y’a eu un relâchement total au niveau de l’APR et de Benno Bokk Yaakaar de manière générale. Et cela n’augure rien de bon », prévient Maguette Fall, coordonnateur du Comité.

La coalition BBY cache mal ses problèmes internes, minée par des querelles de borne fontaine. Le choix sur la tête de liste nation de ladite coalition, Aminata Touré, ne rassure guère. Premier ministre en 2014, Mimi Touré a été écrasée dans la commune de Grand lors des Locales de la même année.

Réplique salée des étudiants à Sonko : « On en a rien à f… »

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Le divorce entre Ousmane Sonko, leader de Pastef les Patriotes et les étudiants de Ziguinchor  de l’Ucad serait-il consommé ?

En tout cas, dans une note lue par Senegal7, le mouvement des élèves et étudiants pour le développement de Ziguinchor (MEEDZ) est totalement indifférent quant à la décision de leur maire de ne pas renouveler leur contrat de location portant sur l’immeuble de Grand Dakar.

Jointe au téléphone,,le secrétaire général de  Meedz Maimouna Badiane, peu prolixe dira : « Nous sommes concentrés sur la caravane pour la Tabaski.

Toutefois ,je tiens à préciser que ce n’est pas la personne d’Ousmane Sonko qui nous intéresse. D’ailleurs, on en a à rine f… s’il ne renouvelle pas le contrat de location. C’est son droit, renseigne Kritik.

« Au delà de la Casamance Macky n’aime pas le Sénégal et les Sénégalais : il préfère la France » (El Malick NDIAYE)

El Malick Ndiaye
El Malick Ndiaye

Vous êtes déçus ??? C’est normal parce qu’en réalité le Président Ousmane SONKO et Yewwi Askan Wi ont déjoué à deux reprises votre projet funeste.

D’abord par l’annulation du rassemblement du 29 juin, ensuite la sensibilisation des populations de la région de Ziguinchor pour ne pas tomber dans le piège de Macky.

Sen Yaakaar bu bon mo tass !

Il y aura des Législatives en juillet 2022 et nos remplaçants lamineront vos titulaires.
Les Présidents Ousmane SONKO, KHALIFA ABABACAR SALL et Karim WADE participeront à la Présidentielle de 2024 mais Macky no way.

Je vous propose de lire quelques discours extrêmement graves proférés par Macky SALL et ses soutiens :

– Octobre 2020 – Aliou Dembourou Sow : « Que toute la communauté Peulh s’arme de machettes pour défendre le 3ème mandat de Macky » (Guerre inter-ethniques)

– Mars 2021 – Madiambal Diagne : « Des manifestants du mois de mars à Dakar sont des rebelles venant de la Casamance » (Stigmatisation. Autrement dit toute personne originaire de la Casamance est Rebelle, selon lui)

– Novembre 2021 – Abdoulaye Diouf Sarr : « C’est inadmissible voire incompréhensible que des « Lébous » de souche aillent soutenir une autre candidature que la mienne » (Le vote doit être déterminé par l’appartenance ethnique du candidat)

– Novembre 2021 – Gaston MBENGUE : « Si on brûlait vif toute personne répondant au nom de DIAS ça ne serait point un scandale » (Appel à des émeutes ciblées)

– Juin 2022 – Ahmed Suzanne Camara – Il faut tuer SONKO

En réalité au delà de la Casamance Macky n’aime pas le Sénégal et les Sénégalais : il préfère la France.

Il n’aime pas son parti et les membres de son parti: il a tué toute forme de dauphinat et favorise les transhumants

Il n’aime pas Ousmane Sonko : il a oublié sa mission de Président pour arborer son boubou d’ELIMINATOR d’adversaires politiques.
Pour rappel aussi, Ousmane Sonko a été l’homme politique le plus diabolisé et le plus insulté de ces deux dernières décennies.

– salafiste
– rebelle
– violeur
– financé par les russes
– financé par les compagnies pétrolières (l’observateur)
– ses parents injuriés nuit et jour par les insulteurs de macky.

Pastef Les Patriotes le parti le plus attaqué.

– 6 octobre 2018 Mariama Sagna tué moudjioul feneu…

– Octobre 2018 violation domicile chez la Maison Maman de PROS.

– 23 janvier 2019 Siège PASTEF sis à Yoff Saccagé

– 5 février 2019 militants de la Coalition Sonko Président attaqués, des blessés graves dénombrés

– 18 février 2019: Attaque du convoi du candidat PROS a Aere Lao par des nervis de l’APR.

– 03 Mars 2021: Attaque du convoi de PROS par la gendarmerie au rond point Mermoz et embuscade de nervis sur la corniche

– 15 octobre 2021: attaque armée de nervis de Doudou Ka au siège de l’UNACOIS de Ziguinchor lors d’une réunion entre PROS et des membres de l’association. Bilan : 3 militants de PASTEF grièvement blessés.

– 31 octobre 2021: attaque du convoi de PROS par des nervis de Doudou Ka. Bilan: 16 blessés du côté des nervis.

– 17 Juin 2022 – Ousmane SONKO mis sous résidence surveillée et empêché de sacrifier la prière du vendredi…

Je terminerai par cette citation de Martin Luther King qui disait: « Ce qui m’effraie c’est pas l’oppression des méchants; c’est l’indifférence des bons».
*Vice-président de la commission
Communication de Yewwi Askan Wi

NDLR (Choix du titre la Rédaction)

Mouth Bane taille Sonko en pièce : « Il n’a aucun parcours, pour réécrire l’Histoire de ce grand peuple de la Casamance »

Les propos de Ousmane Sonko sur une haine supposée du Président Macky Sall contre les Diolas continuent de provoquer des vagues de réactions. Le journaliste Mouth Bane a mêlé sa vois à ce concert d’indignation. Texte intégral :

Cette déclaration rappelle celle du député de l’APR Alioune Dembourou SOW. La différence c’est que l’un aspire à diriger le Sénégal, alors que l’autre se contente de son poste de parlementaire. Dans un passé récent, deux autres religieux avaient commis des dérapages dans des sorties avant de présenter des excuses publiques. En tout état de cause, ces déclarations sont inacceptables dans un pays comme le Sénégal où le peuple a réussi à surmonter toutes les différences d’ordre religieux, politique, ethnique, etc.

Il faut condamner ces dérapages verbaux, surtout lorsqu’ils sortent de la bouche d’un leader politique comme Ousmane SONKO. Ces mots inspirent l’indignation.
Au plus profond de la crise en Casamance ni Assane SECK, ni l’Abbé Diamacoune, ni Emile Badiane ou un autre leader originaire du Sud, n’ont tenu des propos aussi irrespectueux à l’égard de la Casamance, de ses fils, surtout les diolas. Et même les chefs militaires Sidy Badji, Salif Sadio, César Attoute Badiate, entre autres, ont toujours eu du respect à l’égard de la population de la Casamance qu’ils n’ont jamais cherché à stigmatiser comme Sonko est en train de le faire maintenant sans gêne. Il s’agit de ce leader de Pastef, créé de toute pièce par le pouvoir de Macky SALL, et qui souvent, s’offre la liberté d’insulter toute une Nation.

Nous avons senti l’urgente nécessité de lui faire ce rappel à l’ordre pour qu’il comprenne enfin, qu’il est juste le Maire de la ville de Ziguinchor pour une durée de 5 ans. Et qu’il ne sera jamais le propriétaire du titre foncier de cette localité où nous avons, nous aussi, une partie de notre sang, de notre histoire, et de nos racines enfouies jusqu’aux contrées les plus lointaines de la Casamance.

Sonko devrait juste comprendre qu’il n’a aucun parcours, pour réécrire l’Histoire déjà élogieuse, de ce grand peuple de la Casamance. Il n’a ni le talent de Jules François Bocandé ou de Sadio Mané, ni le parcours d’Assane Seck, de Robert Sagna, ou d’Abdoulaye BALDE encore moins l’intelligence ou les compétences d’Abbé Diamacoune Senghor, le courage d’Aline Sitoé DIATTA non plus…

Ce discours d’Ousmane Sonko est irresponsable et trop aérien dans le fond. Depuis quelques mois, il semble trainer une tare qui a fini de consumer toute sa raison. Il est le seul acteur politique sénégalais à tenir un discours aussi répugnant et irrévérencieux à l’égard des institutions de la République (Gouvernement, Assemblée nationale, Justice, Police, Gendarmerie). Dans sa folie verbale, il n’a pas épargné les institutions religieuses ainsi que les personnalités qui les incarnent. Récemment, il s’en est pris à la presse sénégalaise et même dans un passé récent aux anciens chefs de l’Etat du Sénégal. Un patriote modèle ne tiendra jamais certains propos contre son propre pays.

Les premières qualités d’un homme qui aspire à diriger un pays, c’est son comportement exemplaire irréprochable, son discours constructif et unificateur, ainsi qu’un projet de société pertinent, porteur d’espoir. C’est tout ce qui manque à ce leader de Pastef, qui a perdu tout son élan, son talent, son entregent et son charisme depuis Février 2021.

Un homme qui aspire à diriger un pays, c’est aussi un mari exemplaire, fidèle à son (ou ses) épouse (s) et un bon père de famille pour ses enfants. En plus, ses actes doivent toujours confirmer son discours. Cependant, lorsque les actes et les mots sont en perpétuel conflit, c’est que le sieur n’est pas un homme de parole. A vous de juger !
Par ailleurs, Ousmane Sonko doit élever le débat politique en parlant des solutions face aux problèmes des Sénégalais. L’emploi des jeunes, l’éducation, la santé, la formation, la sécurité, la culture, le transport, le sport, les finances, l’économie, les inondations voilà le terrain sur lequel, il est attendu. Mais l’homme se perd dans ses contradictions avec un discours régionaliste, communautariste, alambiqué qui ne fait pas rêver. Il aime prendre la parole pour raconter des contrevérités et exposer ses carences. Parce qu’il est fasciné par les micros et l’écran tel un nouveau-né qui découvre son environnement. Sonko est un féru des projecteurs et des guirlandes. Pour être à la une de l’actualité, il est prêt à sortir tout nu de son domicile. Il adore les mises en scène, les montages, le couper coller et les spectacles… Il n’hésite pas à escalader les garde-fous, pour se faire remarquer. Il est imprévisible et il déroute tout le temps ses alliés de Yewwi.

Comment Ousmane Sonko peut-il tenir ces propos sur les Diolas et contre la personne qui incarne la plus haute institution de la République ? Devant ces énormités grossières, se taire c’est être complice de ces actes irresponsables qu’Ousmane SONKO n’a cessé de tenir depuis son entrée en politique. Il est libre de choisir de ne jamais dire la vérité, c’est son droit. Mais qu’il tente d’opposer des communautés, cela est impardonnable.

Le Député Alioune Dembourou SOW avait tenu des propos moins graves que ceux du Maire de Ziguinchor. A l’époque, il a été sévèrement lynché dans les média. Aujourd’hui, Sonko ne doit nullement avoir un permis d’impunité ou une autorisation à tout faire ou dire. Les organisations de la Société civile, la presse et toutes les forces vives de la Nation devraient se lever pour condamner les propos de ce fractionniste qui voit le peu de crédibilité qui lui restait, s’effriter de jour en jour. La société civile doit être parmi les remparts de la stabilité nationale sans aucune complaisance.

Si Macky SALL n’aime pas la Casamance comme Sonko l’a dit, le leader de Pastef n’aime pas non plus le Sénégal. Et lui-même l’a démontré à travers ses nombreuses dernières sorties.

Le Sénégal est assis sur des fondamentaux solides bâtis par des générations. La démocratie sénégalaise citée en exemple à travers le monde est le fruit d’un combat mené par les pères fondateurs de la Nation sénégalaise.

Ousmane Sonko, qui ne voit pas, plus loin que le bout de son nez, va se casser les reins, avant de réussir à détruire ce que Léopold Sédar Senghor, Mamadou Dia, Lamine GUEYE, Ngalandou DIOUF, Waldiodo NDIAYE, Cheikh Anta DIOP, Abdou Diouf, Me Abdoulaye WADE ainsi que d’autres sénégalais … ont réalisé de hautes luttes au prix de leur vie, de leur sang et de leur liberté.

Jamais des acteurs politiques de la Casamance comme Robert SAGNA, Abdoulaye BALDE, feu Omar Lamine Badji, Marcel Basséne, Landing SAVANE et leurs prédécesseurs n’ont tenu ce discours immature de Sonko.
A travers son discours, Ousmane SONKO pense pouvoir saper les œuvres d’El Hadji Ibrahima NIASS, Serigne Touba, El Hadji Malick, Boun Counta, Limamoulaye etc., Ces érudits de l’Islam qui ont contribué au renforcement de ce commun vouloir de vie commune par leurs investissements sur les hommes et pour le pays.
Le Sénégal d’aujourd’hui, c’est la conjugaison d’efforts inlassables entre religieux (musulmans comme chrétiens) et politiques qui ont fait de la paix et de la cohésion sociale, leur combat de tous les jours. C’est d’ailleurs, l’essentiel des discours de Serigne Mountakha Mbacké, Serigne Mahi NIASS et de Serigne Mansour SY.

Le Sénégal c’est : «Un Peuple, un But, une Foi ». Voilà la boussole qui oriente nos relations. Malgré quelques contradictions surmontables, l’essentiel finit toujours par ramener tout le monde autour d’une table pour sauvegarder l’intérêt général.

Jamais, la déliquescence des rapports entre les acteurs politiques n’a atteint son niveau actuel. Cela, du fait d’un seul homme investi d’une mission de saper les fondamentaux de la République. Malheureusement pour lui, il sera seul à croire à ses propres inepties, car les populations de la Casamance ont une intelligence supérieure à la sienne.

Sonko a tout essayé pour amener les Sénégalais à s’entretuer. Il a tenté la révolution, l’insurrection, la rébellion, le coup d’Etat, les actes terroristes. Aucun Sénégalais sérieux n’a accepté de le suivre dans son aventure périlleuse et perdue d’avance. Maintenant, tout ce qui lui reste, c’est de mettre les fils de la Casamance dos à dos. C’est la forme de récompense qu’il propose aux fils de la Casamance qui se sont investis pour le porter à la tête de la Mairie. Ce n’est pas en dressant les diolas contre les socé ou les alpular contre les manjack, que Sonko réussira à construire une Nation sans couture.

Ousmane SONKO n’aime pas le Sénégal. Ce pays qui lui a tout donné. D’ailleurs, même lorsque les Lions avaient gagné la CAN, il avait du mal à étouffer sa colère. A leur retour, il avait préféré improviser une visite à Porokhane. Son comportement fractionniste rappelle la récente chanson de Titi qui dit : « Sa djiko dji mola toogn ». Le Chef de file des « Patriotes » disait que le Stade Abdoulaye WADE est inutile, le TER ne roulera pas, l’autoroute est cher, le BRT n’aura pas lieu. Voilà Sonko ! Lorsque les Sénégalais sont contents, il est triste. Lorsque le Sénégal pleure (mort des bébés), il organise un concert de rap.

Il est regrettable de voir cette meute d’acteurs politiques accompagner Sonko dans son projet de destruction de la société sénégalaise. Le vivre ensemble, l’unité des cœurs, la cohésion sociale ne sauraient être remis en cause par ce Zemmour sénégalais.
Le rêve fou du leader de Pastef c’est de voir un tidiane égorger un mouride, un diola brûler un socé, un étudiant tuer un ministre bref, la société sénégalaise s’embraser et que le Sénégal soit effacé de la carte du monde. Voilà le projet qu’ambitionne cet homme qui veut tout de même, devenir président de la République.

En réalité, Sonko a perdu tout espoir de devenir président de la République. Et, c’est parce qu’il en a pleine conscience qu’il cherche à mettre le feu partout. On ne saurait se taire pour être les complices d’un tel homme sans vertu.

Nos parents diola, socé, manjak, baynouk, peul, pepel, wolof, serer etc., vivent en parfaite harmonie sur cette terre de leurs ancêtres. Aucune ambition politique, aucun agenda caché, aucun deal avec les cartels, ne pourront remettre en cause cette belle unité nationale. Aucun sacrifice ne sera de trop pour la préserver.

Ousmane Sonko s’attaque à tous les symboles de cette Nation qu’il rêve de diriger. Non content d’avoir souhaité la mort par fusillade de l’ensemble des anciens Chefs de l’Etat, le leader de Pastef avait remis en cause la pertinence d’effectuer le pèlerinage à la Mecque, un des piliers de l’Islam. Ce n’est pas tout. Car en plein deuil national suite à la mort de 11 bébés à Tivaouane, Sonko avait osé organiser un concert à Ziguinchor. Et quoi encore ?

Dans sa démarche, l’homme entend faire de Ziguinchor son bastion pour mener sa guerre contre les Institutions nationales.
Le Sénégal a connu la rivalité politique entre Senghor et Dia, Abdou Diouf et Me Wade, Idrissa Seck et Me Wade, Macky SALL et Me WADE, Karim, Khalifa et Macky SALL. Ces derniers ont toujours mis l’unité nationale au-dessus de toute considération, contrairement à cet aventurier sans aucune perspective sérieuse.

Sonko est comme un termite qui détruit tout sur son passage. Celui qui avait séduit les jeunes à travers un discours d’avenir en 2016 est devenu, en quelques années, un piètre et décevant politicien.
Ce prototype d’acteurs politiques n’émergent qu’au Sénégal. Un pays où Cheikhou Charifou, «Djiné Maïmouna », «Mére Lambada», «Kounkandé» drainent des foules. Le Sénégal est un pays où toutes les folies s’expriment avec aisance. Il est évident que si seulement 70% des citoyens sénégalais avaient un niveau de scolarité moyen, ce spécimen d’Ousmane Sonko n’atteindrait jamais les 5% dans une élection.

Le chef de Pastef gagnera à comprendre que la Casamance est lasse des contradictions et des conflits. Les fils de la Casamance aspirent à vivre mieux dans un environnement de paix et de stabilité. Du maire de Ziguinchor, les Casaçais attendent le respect de ses promesses et engagements lors de la campagne aux élections locales. Seulement, il semble que Sonko est devenu le prisonnier de sa paresse, de son attachement à la facilité et aux raccourcis. A la fin de son mandat, il sera jugé et évalué sur son bilan. Il a donc intérêt à travailler pour les Ziguinchorois qui ont eu confiance en lui.

Depuis le début du mois de mai 2022, Ziguinchor patauge dans les eaux pluviales et les saletés. Cette ville a encore besoin d’assainissement, d’éclairage, de prise en charge pour les étudiants à l’Ucad, d’aide pour les femmes, d’emploi, de monnaie locale, de sécurité, de plus d’éducation et de santé. La Casamance a assez souffert de ces discours qui alimentent des conflits entre les communautés.

L’heure est grave. Il faut que tous les Sénégalais se soulèvent pour se dresser contre Ousmane SONKO qui déroule un agenda sur commande dont le but c’est l’affaissement des Institutions.

Ses sorties maladroites ont-elles des liens avec les révélations de «DakarTimes sur la banque malaisienne «May Bank», sur la société agro-industrielle «Kaap investiments » et les virements ?

Aujourd’hui, toutes les coalitions politiques et les sociétés civiles devraient dénoncer le comportement belliqueux, le discours irresponsable et impropre d’Ousmane SONKO. Car, les limites ont été enjambées ! La complaisance et le silence ont trop duré !

Mamadou Mouth BANE

Maimouna Dièye, maire la de Patte-d’oie :  » Je ne céderai à aucune pression… »

Maïmouna Dièye
Maïmouna Dièye

Je le dis à qui veut l’entendre, je ne céderai à aucune forme de pression et surtout pas, de la part d’un lobby politique local dont les méthodes sont maintenant connues de tous. La donne a changé, une nouvelle génération de politiques désintéressés est arrivée. Elle n’attend rien de la politique et compte tout lui donner. Elle fera face et ne cédera pas 1 centimètre carré de terrain ». C’est la réponse catégorique de la  mairesse de la Patte-d’oie, accusée de décaissement frauduleux, face à la presse dans le cadre d’une déclaration. »J’ai été élue pour un mandat de 5 ans, au suffrage direct (Première  mairesse élue directement à la Patte d’Oie) par les populations de la Patte d’oie. Je me suis engagée auprès d’elle pour une gestion ambitieuse, participative, inclusive et transparente. Je tiendrai cet engagement quoi qu’il m’en coûte » précise-t-elle d’emblée.
Exécution du budget
Dans le cadre de l’exécution du budget qui engage le Maire, les collaborateurs et particulièrement la commission sociale ont été consultés sur les montants à allouer tant pour les aides des fêtes de Pâques que de korité, les participations diverses pour l’appui aux imams et délégués de quartiers, pour les conférences religieuses et la célébration de la nuit du laylatul khadri. Ceci pour un montant global de 12 millions de francs CFA  selon la mairesse.  Elle ajoute qu’au niveau de la perception, pour ne pas engendrer une  lourde charge de travail et ralentir la procédure avec des centaines voire des milliers  les bénéficiaires ont été regroupés en émettant quarante (40) mandats de trois cents mille (300.000) francs CFA tirés dans le lot des demandeurs. D’où la liste diffusée pour asseoir les fausses accusations. » Tous les justificatifs sont disponibles pour les corps de contrôle, au besoin ». Et de défier ces détracteurs  par rapport à un  dossier qui pourrait soutenir le contraire de ce qu’elle avance.
Campagne de dénigrement 
« Cette campagne de dénigrement portée par deux pelés et trois tondus, soutenus par des personnes tapis dans l’ombre dont les intérêts sont menacés ne prospérera pas !! DEUG REK MOY MOUDJ » a en outre expliqué la mairesse. A l’en croire, « leur modus operandi est connu, mettre la pression sur l’édile et démontrer par la même leur capacité de nuisance dans le seul but d’installer un équilibre de la terreur ou un Gentlemen agreement dans lequel chaque entité laisserait faire l’autre. La conséquence de cette situation est une floraison de petites combines pour un partage du gâteau « .Maïmouna Dièye donne rendez-vous très prochainement pour  » la publication des résultats de l’état des lieux qui seront divulgués bientôt,  et qui ont fini d’installer la peur dans le camp d’en face et leurs alliés encagoulés. Ils sont, sans doute, à l’origine de cette campagne de désinformation pour créer un contre-feu.Mais c’est peine perdue. L’accusation portée contre ma personne consiste à dire que le conseil a délibéré pour le secours aux populations des fêtes de Pâques, un montant de 3 millions de francs Cfa  et que j’aurais décaissé 12 millions de francs Cfa en violation de cette délibération « . Elle fera aussi un bilan des six premiers mois de sa magistrature et annoncera  les projets prévus pour le développement de la mairie de Patte-d’oie.

Vidéo-Accusée d’avoir détourné 09 millions, Maimouna Dièye Pastef révèle: « biko Sonko yeugué dafa… »

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Accusée d’avoir détourné 09 millions, Maimouna Dièye Pastef révèle: « biko Sonko yeugué dafa… »