Après son audition dans l’affaire Sweet Beauté qui oppose la masseuse Adji Raby Sarr au leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, le guide religieux Niassène, Baye Mbaye Niass, plus connu sous le nom Mc Niass, annonce une conférence de presse ce samedi 17 décembre à 21 heures pour éclairer la lanterne des Sénégalais sur l’affaire dite Sweet Beauté.
« Demain je ferai une conférence de presse pour éclairer l’opinion sur l’affaire dite Sweet Beauty », a annoncé Mc Niass dans une vidéo.
A rappeler que, après son audition du mardi 13 décembre dans l’affaire Sweet Beauté, le guide religieux avait remis des audios concernant l’affaire au Doyen des juges.
Un drame est survenu à la foire d’exposition de moutons de race organisé à Mbacké par l’association d’éleveurs Nouveau type d’élevage de Touba (NTET). Un bélier «Ladoum», qui vaudrait 30 millions de francs CFA, est mort après le pesage.
Le mouton se nommait «2D» pour Djily Diagne, en hommage à un ami de son propriétaire, Talla Ndiaye, un éleveur de 43 ans. Dans les colonnes de L’Observateur, ce dernier a pleuré son bélier de 17 mois, 114 cm et qui concourait pour le titre du plus grand Ladoum (par la taille) de la foire du NTET.
Talla Ndiaye a d’abord tenu à préciser que 2D ne coûte pas 30 millions de francs CFA, comme entendu dans les médias. «On ne m’a pas proposé un tel prix pour mon bélier», corrige-t-il en s’empressant de souligner que sa valeur marchande est estimée par les spécialistes à 300 millions, mais que pour tout l’or du monde il ne l’aurait pas vendu.
«Djily Diagne» a succombé à un malaise. «Mon petit frère avait assoiffé Djily pour pouvoir lui donner une certaine quantité de maïs broyé ainsi que du pain sec pour la compétition. Et quand il l’abreuvait, il avait mis du miel dans l’eau et le mouton en a trop bu», raconte Talla Ndiaye.
Il poursuit : «Cela a refoulé le maïs broyé et le pain sec dans son estomac, provoquant ainsi une suffocation. Djily a eu un malaise après le pesage. L’aide du vétérinaire n’y a rien fait. Pour alléger sa souffrance, j’ai appelé un autre de mes frères pour qu’il l’égorge. Je l’ai aidé en lui tenant les pattes.»
Ce fut un déchirement. «Son absence m’affecte beaucoup, regrette l’éleveur. Quand j’ai ramené les autres moutons à la bergerie, j’ai pleuré quand j’ai vu son box vide. Il faisait partie de ma vie. Je le préférais à l’argent.»
«Djily» laisse derrière lui cinq femelles et trois mâles et il a sailli des brebis qui vont bientôt mettre bas, selon Talla Ndiaye.
Les Lions du Sénégal ont reçu leurs primes. Certains membres de la fédération aussi. 1,848 milliard francs CFA, c’est le montant des émoluments de neuf membres du Comité exécutif de la Fédération sénégalaise de football (FSF), en guise de participation entre la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Cameroun 2021 et de la Coupe du monde Qatar 2022, estime Record dans sa livraison du jour.
Le journal précise que le président de la FSF, Augustin Senghor, et ses collaborateurs, Mouhamed Djibril Wade, 1er vice-président de la fédération, Amadou Kane, 4e vice-président, Cheikh Seck, 5e vice-président, et Victor Ciss, Secrétaire général, ainsi que le Directeur technique national (DTN), et Demba Sarr, officier de sécurité, entre autres, ont, chacun, émargé, à hauteur de 125 millions, à Doha.
Avant, au Cameroun, comme les joueurs, chaque fédéral membre de la délégation officielle du Sénégal a d’abord encaissé 4 millions, en huitièmes de finale. Puis, 5 millions en quarts. Avant de recevoir, 6 millions en demi-finales et 10 millions en finale.
Pour avoir terminé champions d’Afrique, chaque membre de la délégation a reçu 20 millions. Enfin, les dirigeants sont passés à la caisse pour percevoir les 50 millions offerts par le Président Macky Sall, en guise de primes spéciales.
Les impôts ne lâchent pas le groupe D-Media. Les comptes de la SEN TV ont été vidés, ce lundi, par le fisc. Un montant de 67 438 227 FCFA, logé à Orabank et devant servir à payer une partie des salaires a ainsi été saisi par les impôts qui mènent depuis quelques temps la vie dure au groupe de presse leader selon les derniers sondages. Des actes considérés par le patron de DMedia et farouche opposant du régime de Macky Sall comme des représailles en raison de sa posture radicale contre le pouvoir. Les travailleurs de la boite payent un lourd tribut dans cette affaire car ils sont six cent (600) à ne pas percevoir leurs salaires pour ce mois de novembre.
Pa Abdou Cissé a fait des témoignages émouvants sur son épouse Marie Louise Diaw. Dans cette interview, l’international sénégalais révèle les raisons de l’absence de sa femme au Qatar.
« Elle attendait la finale pour venir au Qatar. Marie ne regarde que les finales car elle a toujours la pression. », explique-t-elle avant de revenir sur le buzz de sa titine.
Les scandales financiers se multiplient de jour en jour dans le gouvernement de Macky Sall. En effet, un véritable bamboula des deniers publics a été constaté dans le rapport Covid-19 2020-2021 de la cour des comptes. On peut même reprendre le terme corona business de l’activiste Guy Marius Sagna pendant que les Sénégalais étaient confinés chez eux. Dans ce document la Rapport Cour des Comptes a épinglé le ministère de la Culture.
Les vérificateurs demandent l’ouverture d’une information judiciaire sur le fonds d’appui aux acteurs culturels d’un montant de 1,120 milliards de fcfa décaissé pour des danseurs et stylistes fantômes. Car il n’a pas vu la liste des bénéficiaires, ni les pièces justificatifs de remise des « appuis » durant la Covid-19.
A quand la transparence et la bonne gestion des deniers publics ?
Hier jeudi, Farba Ngom a porté des accusations, à peine voilées à l’encontre de Mimi Touré. Mimi Touré a vite réagi.
« C’est facile de calomnier. Moi j’ai fait 10 ans dans ce régime, personne ne m’a cité dans aucune malversation», a précisé Aminata Touré. «J’ai été auditée aussi au Conseil économique social et environnemental (Cese). Donc si j’avais détourné l’argent public on m’aurait pendu sur la place publique», ajoute-t-elle.
Aminata mini Touré, qui s’exprimait hier au terme de l’examen de la motion de censure à l’hémicycle, a déclaré que si aujourd’hui elle parvient à aller à l’encontre des directives du chef de l’Etat et à s’attaquer aux position de la majorité, c’est parce que ses ex camarades de parti n’ont rien contre lui.
Le récent rapport de la Cour des Comptes n’a-t-il pas donné raison a Ousmane Sonko? Le leader de Pastef avait alerté à l’époque sur l’utilisation des fonds de la Force Covid-19. A sa sortie d’audience avec le président Macky Sall, il avait posé ses préoccupations sur l’utilisation de cet enveloppe et surtout son contrôle. « D’où la pertinence de la question sur le recours à l’article 77 de la constitution. En aucun cas, il ne faudrait qu’un seul franc destiné à ce combat se retrouve ailleurs que de droit, ça c’est extrêmement important. C’est une gestion transparente et rigoureuse qui nous le permettrait. Nous ne voudrons pas que la crise serve à justifier un certain nombre de comportement », avait-il laissé
D’après des informations du quotidien sportif Record au Sénégal, le coach des Lions de la Téranga réfléchirait sérieusement à un départ. Après l’élimination des Lions en 8es de finale de la Coupe du Monde 2022, il aurait soumise la question aux membres de son staff et à ses conseillers. Selon le journal, les premiers lui ont suggéré de jeter l’éponge tandis que les seconds lui ont demandé d’approfondir la réflexion.
Mais pour Ferdinand Coly, Cissé a déjà rempli sa mission. « S’il doit partir, il partira la tête haute avec le sentiment du devoir accompli », a-t-il dit dans un entretien accordé à Record
Selon l’ancien défenseur des Lions du Sénégal, personne ne doit lui mettre la pression. « Il faut qu’il analyse avec son staff et les fédéraux ce qu’il veut faire. Ça lui appartient de poser des questions telles : ‘Est-ce qu’il a la force ?’ ‘Est-ce qu’il a l’énergie de repartir pour d’autres campagnes ? », explique Coly avant d’ajouter: « Je lui souhaite de bien réfléchir. De ne pas céder à la pression. Tout ce qui est contractuel, c’est une chose mais quand il s’agit de l’équipe nationale et de la nation, on essaie de voir l’intérêt général et c’est tout ».
Aliou Cissé est sous contrat jusqu’en 2024 à la tête de la sélection du Sénégal
« Les députés doivent convoquer à l’Assemblée nationale, tous les ministères inculpés par le rapport de la Cour des comptes, devant tous les Sénégalais pour qu’ils se justifient », C’est l’appel lancé par le journaliste aux députés du peuple.
D’après Mamadou Ibra Kane, l’ouverture d’une information judiciaire exigée par la Cour des comptes ne doit pas se limiter pas aux Dage. Il doit aller au-delà, c’est-à-dire les ministres concernés.
A l’en croire, si on se base sur le rapport de la Cour des Comptes, ce fonds a complètement discrédité l’administration sénégalaise. « C’est extrêmement grave », s’indigne-t-il.
773 milliards FCFA pour lutter contre le Covid financé par des partenaires techniques, 20 milliards du contribuable, plus 102 milliard de l’Etat détournés ou gérés dans des conditions nébuleuses; cela veut dire que dans ce pays, des gens exploitent la pauvreté, la maladie des gens pour s’enrichir.
Ousmane Sonko a été entendu mercredi dernier par la DIC. Lors de l’audition, les enquêteurs ont commencé à lui poser des questions relatives à ces accusations contre Mame Mbaye Niang dans la gestion du Prodac.
En guise de réponse, le leader de Pastef a fait savoir aux enquêteurs qu’il ne savait pas qu’il était convoqué pour l’affaire Prodac.
Il leur a confié qu’il pensait qu’il était convoqué pour sa plainte déposée contre Me El Hadji Diouf. C’est ainsi qu’il a demandé aux enquêteurs de lui laisser le temps de se préparer pour l’audition.
Ces derniers lui ont alors donné 24 pour se préparer. Le lendemain, c’est-à-dire jeudi, il est allé à sa convocation. Dès la reprise des audition, il a fait savoir qu’il a commis un lapsus quand il parlait de l’IGE.
Il a indiqué qu’il voulait dire l’IGF (Inspection général d’Etat). Sur les preuves sur lesquelles il s’est fondé pour accuser Mame Mbaye Niang,
Sonko dit détenir des documents et qu’il attend d’être convoqué devant le tribunal pour les exhiber.
Talla Diazaka n’est plus à présenter dans la sphère musicale sénégalaise, il est le digne fils du politicien et chanteur Mame Gor Diazaka, il représente Rufisque, où qu’il aille.
Sur le différend entre Wally et Mandiaye Seck, Talla Diazaka répond : « Je suis qui pour m’immiscer dans les affaires de cette famille ? Wally et Mandiaye sont mes frères, Bambali est mon jumeau et mon chanteur préféré ».
L’affaire n’a pas encore révélé tous ses secrets. Actionnée par le ministère des Affaires étrangères, suite à la découverte d’un trafic de passeports de service, la Division des investigations criminelles (DIC) mène l’enquête. Déjà, Aminata Dramé (informaticienne), Adama Babou (chef d’une unité départementale des Asp), Ibrahima Ndiaye (chauffeur), Chérif Ndiaye (commerçant), et Aliou Camara (marchand ambulant), ont été arrêtés par les hommes du commissaire Adramé Sarr. Mais, cuisinés par les enquêteurs, ils ont tous déclaré avoir été démarché par Khardiata Tandia.
Libération souligne qu’il s’agit de la cheffe du service juridique et partenariat de l’Agence sénégalaise pour la promotion des exportations (Asepex). Cueillie le même jour, la mise en cause est passée aux aveux, confessant connaître tout le circuit des ordres de mission et notes verbales qu’elle confectionne à partir de sa machine de bureau. A partir de là, il ne restait plus qu’à monter un dossier pour ses candidats en vue d’obtenir un passeport de service, avouera-t-elle.
Des bénéficiaires avaient déposé des demandes de visa auprès de l’Ambassade des États-Unis, signale le journal. Lequel ajoute que les recoupements effectués dans ce dossier auprès des Américains ont permis de confirmer que les candidats avaient aussi déposé des ordres de missions et notes verbales qui se sont révélées fausses après vérifications.
Tout est bien qui finit bien. Après les audios fuités, la mère de Mandiaye Seck s’est rendue chez son ex époux pour présenter ses excuses.
« Je te demande pardon Mar Yacine. Je vous adore. J’ai intégré votre famille à mes 18 ans en tant que épouse. Donc, je ne vous ferai jamais de mal… » , témoigne-t-elle.
Dans cette vidéo, il est démontré à suffisance pourquoi les baleines mortes constituent un réel danger pour les populations qui s’agglutinent autour de son impressionnante carcasse. Le prétexte est celle qui a échoué à la plage de Yoff Diamalaye et qui n’est pas une exception. Mais, est-ce que les populations se rendent compte des dangers encourus ? Découvrez cette incroyable expérience.
Les passagers à bord du Train express régional (Ter) qui ont quitté, dans la matinée d’hier, vers 13 heures 15 minutes, la ville de Diamniadio à destination de Dakar, n’oublieront pas de sitôt leur mésaventure. En effet, le Ter en provenance de Diamniadio, est tombé en panne, en pleine course.
Tout était bien parti pour arriver à bon port. Mais, c’était sans compter avec le message du conducteur, à hauteur de la gare de Yeumbeul, qui annonçait aux passagers que le Ter était tombé en panne.
Il ne pouvait plus continuer son chemin en direction de Dakar et il fallait descendre pour prendre le Ter suivant. Ce qui fut fait, et voilà, bonjour les entassements, au point que des clients sont laissés en rade au niveau des gares de Thiaroye, Pikine, Baux maraîchers, entre autres.
Comme quoi, il y a de quoi (sur)veiller et vérifier en permanence l’état technique du Ter, avant toute mise en route et signal de départ. Même si cela se fait régulièrement.
Le post de Lass Badiane où il indique que la Cour des Comptes a épinglé l’Ucg, irrite le Directeur général de l’Unitè de coordination de la gestion des déchets solides, Mass Thiam. Selon ce dernier Lass Badiane s’acharne sur l’Ucg, car il n’a pas donné suite à sa proposition.
Le rapport définitif de la Cour des comptes sur la gestion des fonds alloués à la lutte contre la COVID-19 ne nous permet que de mesurer l’ampleur des dégâts et éventuellement, de situer les responsabilités. Ils seront, en effet, peu nombreux à n’avoir pas prévu un tel scandale au regard de ce que nous a habitué le régime actuel.
Dans un pays où l’impunité est accordée aux proches, avec les rapports des organes de contrôle rangés aux oubliettes, les détournements de deniers publics ne peuvent être que monnaies courantes.
Lors de la pandémie, nous avions prévenu sur le risque de détournement en vain.
Ce scandale au-delà de toute considération est tout simplement honteux. Comment peut-on penser s’enrichir sur le dos de malades mourants et de personnes confinées sans ressources ?
Le Sénégal est en danger avec un régime pourvoyeur de dirigeants prompts à s’enrichir sur le dos des populations, en toute occasion et par tous les moyens.
L’impunité porte énormément préjudice à notre peuple. Ceux qui détournent aujourd’hui ne font finalement qu’imiter ceux qui ont été épargnés hier. Pendant ce temps, le peuple souffre du manque de prise en charge sérieuse de ses besoins primaires.
« Carnage financier » sur l’argent du Covid…Sonko gagne contre Macky
Le leader du Parti des Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) est une personnalité politique à part. Ousmane Sonko est connu pour ses prises de positions ubuesques. D’ailleurs, c’est ce qui lui a donné le surnom d’opposant radical. Mais force est de constater que les agissements des personnes qui gravitent autour du président Macky Sall donnent toujours raison au maire de Ziguinchor sur la gestion calamiteuse dans nos institutions. Le rapport publié par la Cour des Comptes donne raison à Sonko sur tout. Les boulets du gouvernement viennent d’humilier le chef de l’Etat devant son principal adversaire…
Le rapport de la cour des comptes sur la gestion du Fonds de riposte et de solidarité contre les effets du COVID-19 (FondsForceCovid19) est une catastrophe. Ce rapport démontre que nous sommes dans un pays de voleurs qui manquent considérablement de respect aux sénégalais. Des gens dépourvus de toute morale se sont donnés le luxe de subtiliser au contribuable Sénégalais des milliards de FCFA en une période de crise sanitaire profonde. Un véritable carnage financier a été opéré sur les 1000 milliards du Fonds-Force-Covid-19.
En plein désarroi doublé de besoins infinis d’une population confinée, il y a des hommes et des femmes politiques qui n’ont pas hésité à détourner de l’argent. Ministres, Dage, politiciens, laudateurs, sportifs se sont sucrés sur le dos des sénégalais. Trois agences de voyage appartenant à la même personne, ont gagné 17 marchés pour plus de 15 milliards de FCFA. Des retards ont été notés dans les délais de livraison sur l’utilisation de cet argent. Un écart de 11 millions sur les tests Covid et de graves irrégularités sur le paiement des primes au personnel de santé sont notés dans ce rapport que Xibaaru continue d’exploiter ligne par ligne.
Le ministère de la Santé occupe le haut du pavé du rapport sur la gestion de l’argent Covid. A lui tout seul il occupe plus de 90 pages de ce document. Abdoulaye Diouf Sarr, ministre à l’époque, et ses hommes, se sont bien remplis les poches au détriment des nécessiteux. Pourtant, Mansour Faye, lui-même épinglé dans ce rapport, avait déclaré haut et fort que l’argent a bien été distribué. Ce qui n’est pas faux car ils se sont tous partagé laissant les « gorgorlous » (débrouillards) mourir sous le poids de la pression sociale. Et pourtant les sénégalais avaient été avertis que ces sangsues allaient le faire à l’envers.
Lors de sa sortie d’audience avec le Président Macky Sall, en marge des consultations sur la pandémie à coronavirus, Ousmane Sonko était le seul homme politique à avoir alerté sur de possibles détournements des fonds alloués au Covid-19. Le patriote en chef s’inquiétait sur le contrôle de ces milliards qui seraient entre les mains de personnes dépourvues de bonne morale (voir vidéo). Malheureusement, ses inquiétudes étaient prises à la légère. Beaucoup estimaient que le maire de Ziguinchor faisait encore son show.
Lecteur vidéo
Mais aujourd’hui, le rapport produit par la Cour des Comptes donne entièrement raison à Ousmane Sonko. Non seulement les hommes du président ont commis un carnage financier. Mais ils se sont bien moqués des sénégalais. Au moment où l’on nous chante une gouvernance sobre et vertueuse, ces hommes et femmes nagent dans un luxe grotesque. Et n’ont désormais plus besoin de se cacher. L’arrivée de Serigne Bassirou Guèye à la tête de l’OFNAC rassure certains parmi eux. Qu’ils déchantent ! Les choses ne resteront pas impunies.
Le pays réclame sanctions contre ces pilleurs à col blanc. Le président Macky Sall n’a plus le droit de se taire. Le Garde des sceaux, Ministre de la Justice doit veiller à ce qu’on entende toutes les personnes citées dans ce carnage financier. Ces personnes immorales doivent servir d’exemple pour les autres. L’ère des crimes impunis doit être fermée avec Macky Sall. Et si le chef de l’Etat ne le fait pas, Ousmane Sonko s’en chargera. Le patron de l’opposition a déjà menacé de mettre en prison certaines personnes. Et c’est sûr que ces vampires financiers de la covid en feront partie.
Les sondages discrets réalisés au Sénégal sur la présidentielle de 2024 viennent d’être balayés d’un revers de la main par un sondage réalisé par un cabinet international spécialisé basé à Paris. Des sondages réalisés par des particuliers proches du Président donnaient Macky Sall vainqueur au premier tour en 2024. Les études étaient pratiquées dans des zones favorables au Président de la République. C’était pour forcer Macky à se présenter en 2024. Ils trompaient Macky. Mais un autre sondage réalisé par un cabinet dit tout le contraire. Ce sondage a été réalisé à partir d’une unique question donnée : Allez-vous voter Macky Sall en 2024 ?
Le sondage à question unique est une technique d’étude quantitative qui met en relief la façon dont les opinions individuelles se répartissent. Et c‘est ce que ce cabinet international basé dans le quartier de la Défense à Paris a fait sur instruction d’une personnalité politique sénégalaise. Sur un échantillonnage de 5000 personnes au Sénégal de toutes les catégories d’âge et professionnelle, le cabinet de sondage a donné ses conclusions. « Macky Sall ne peut pas gagner au 1er tour…Et il sera battu au second tour »…Un résultat différent des sondages des pro-Macky…
Ce sondage est sans appel. Macky sera mis en difficulté au 1er tour. Et il sera battu comme Wade au second tour. Tous les mensonges débités par ses proches sur ses chances de remporter un troisième mandat sont dévoilés au grand jour par ce sondage qui a été commandité par une haute personnalité sénégalaise très proches de Macky Sall. Ce dernier vient de rendre service à Macky dont le régime est émaillé de scandales incessants…
Le Président de la République Macky Sall est à présent édifié sur ce qui pourrait être son sort en 2024. Macky Sall fait l’objet d’une vulgaire manipulation de la part de certains de ses proches qui ont peur d’un changement de régime en 2024. Un changement de régime qui pourrait les conduire directement en pouvoir. Tant, toutes sortes d’accusations et de suspicions d’enrichissement illicite pèsent sur eux.
Aujourd’hui, ce sont ces individus qui font des pieds et des mains pour obliger Macky Sall à présenter sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. Les arguments qu’ils mettent en avant pour convaincre le Chef de l’Etat, c’est qu’il reste toujours populaire, qu’il a une grande côte d’estime auprès des populations. Bien évidemment, ils convainquent Macky
Sall que s’il ne présente en 2024 et laisse l’opposition s’emparer du pouvoir, ce serait alors la poursuite judiciaire contre lui ainsi que tous les membres de sa famille.
Au contraire, ce sont eux qui doivent avoir peur. L’opinion les soupçonne de s’être enrichis illicitement. Vrai ou faux ? Leurs dossiers vont être transmis en 2024, en cas de victoire de l’opposition au sortir de l’élection présidentielle qui se tiendra à cet horizon. Farba Senghor qui se définit comme étant « le griot de Macky Sall » vient récemment de faire l’objet d’un vol à son domicile. Farba Ngom, député à l’Assemblée nationale, maire de Agnam-Civol, une bourgade située à Matam, s’était fait délester de la somme de près d’un milliard FCFA.
Toutes les accusations sur ce vol se sont portées auprès de sa garde rapprochée. L’un de ses éléments sur qui se porte les soupçons, est entre les mains de la justice. Tout le monde se demande depuis quand Farba Ngom est à la tête d’une fortune si immense, au point de garder tout cet argent chez lui. D’autant qu’il se met en marge de la loi en gardant une si grosse somme d’argent chez lui et non à la banque.
L’opposition garde un œil sur cette affaire. Des membres de la famille présidentielle, notamment de sa belle-famille ne lâchent pas le Président de la République d’une semelle. Ils sont prêts à tout, à lui tordre le bras, rien que pour le voir se présenter à l’élection présidentielle en 2024. Ils lui font croire que le peuple est tout acquis à sa cause, et que du seul revers de la main, il sera réélu en 2024. Des énergumènes cités dans des scandales.
Mansour Faye est soupçonné de mal gouvernance. Son nom est cité de façon nébuleuse dans le contrat d’affermage de la distribution de l’eau potable en zone urbaine et péri urbaine. C’est sous lui, alors ministre de l’Eau et de l’Assainissement que ce contrat a été cédé à Sen’Eau au détriment de la SDE. Plus grave, son nom est assimilé dans le scandale autour des marchés publics liés à la gestion de la Covid-19. Un rapport accablant par la Cour des comptes autour de cette gestion vient d’être publié par la Cour des comptes.
Qu’en est-il de ceux que l’on surnomme les faucons du Palais, de tous ces hommes d’affaires qui se sont compromis, prêts à tout pour obliger Macky Sall à se présenter en 2024. Car, sachant qu’eux aussi vont rendre des comptes en 2024 si l’opposition prend le pouvoir. Ils ont réussi pour le moment à convaincre Macky Sall à se présenter à l’élection présidentielle de 2024, alors que la Constitution le lui interdit. Ils craignent d’une victoire de l’opposition qui les enverrait tous en prison ainsi que la confiscation de tous leurs biens mal acquis.
Invité de la rédaction de SeneNews, Babacar alias « Bouda » dans la série Polygame, a révélé un pan méconnu de sa vie. L’artiste comédien a d’abord évoqué ses débuts dans le milieu culturel avant d’aborder l’épisode sombre de son passage en prison.
« Pour avoir refusé d’exécuter un coup monté contre le Général Moussa Fall, j’ai été envoyé en prison », raconte-t-il. Accusé d’une agression et d’un vol de 3 millions de Fcfa « Bouda » sera retenu derrière les barreaux. Tout ceci, dit-il, n’est que le fruit d’un projet visant le sieur Fall. Récit.
En posant la première pierre de la Clinique de la Mutuelle des agents des Impôts et Domaines (Ma-Dgid), ce jeudi 15 décembre, à Ouakam, le successeur de Cheikh BA, Bassirou Samba Niasse, a précisé que c’est sous la tutelle de son prédécesseur que la Direction générale des Impôts et Domaines (Dgid) a atteint, « pour la première fois », en 2015, 1000 milliards F CFA, de recettes.
À l’époque, a-t-il rappelé, il était le coordonnateur de l’actuel Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (Cdc). Poursuivant, il a brandi les derniers chiffres à mettre à son actif. « Cette année, nous escomptons plus de 2 000 milliards F CFA de recettes », a-t-il estimé.
Après avoir rappelé que « l’administration fiscale, en charge de la première ligne du tableau des opérations financières de l’État, réalise les 2/3 des recettes intérieures », il a soutenu que c’est la combinaison d’un ensemble d’éléments, dont le Système intégré de gestion des impôts et taxes (Sictas) initié par l’ancien Dgid, Assane Dianko, qui leur a permis « d’atteindre aujourd’hui ce niveau, de pouvoir sécuriser le foncier, (malgré les difficultés), d’avoir un peu plus de 1600 baux à Mbour », entre autres réalisations.
Mais, « tout cela n’est pas possible si les 1600 personnes qui composent la Dgid ne sont pas en bonne santé. Donc, c’est extrêmement important qu’on puisse leur assurer cela » ainsi qu’à leur famille, a-t-il insisté. Cheikh BA et Assane Dianko, parmi d’autres Dgid, étaient présents à la cérémonie, au cours de laquelle ils ont été distingués pour services rendus.
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