Le dossier « Sweet Beauty » n’a pas encore connu son épilogue. Adji SARR était, ce mardi dans le bureau du Doyen des juges pour être entendu sur le fond. Une audition qui aurait durée près d’une heure. Le magistrat l’a invitée à réagir aux six audio déposés sur sa table par Mc NIASS lors de son audition.
L’ex-masseuse avouerait que l’affaire Sweet Beauty est un complot contre Ousmane SONKO à travers des enregistrements. Dans ces fichiers audios, Adji SARR donne une liste de personnalités avec lesquelles elle aurait entretenu des relations sexuelles et celle-ci commence à circuler sur les réseaux sociaux.
D’après des informations, Adji SARR a reconnu l’authenticité des audios, mais elle a remis en question toutes les informations qu’ils contiennent. Elle a déclaré que la liste de ses prétendus amants n’est pas avérée et qu’elle n’a jamais rencontré les personnes citées sur cette liste.
Selon les Échos, Adji SARR aurait confié au juge qu’elle a transmis ces fausses informations à MC NIASS afin de tester sa fiabilité car le marabout voulait l’épouser. Il lui aurait demandé de «vendre» l’affaire SONKO au régime contre 600 millions de francs CFA et de verser l’argent dans son compte bancaire personnel. Ainsi, aurait planifié MC NIASS, ils pourront quitter le pays en tant que mari et femme avec les poches bien remplies.
Reste maintenant à savoir s’il faut croire à Adji SARR lorsqu’elle accuse SONKO et ne pas le faire quand elle accuse quelqu’un d’autre.
Le rapport de la cour des Comptes sur la gestion des fonds de Force Covid en 2020 et 2021 a épinglé Mansour Faye, ex ministre du Développement communautaire et de l’équité territoriale. Il est visé pour une surfacturation d’environ 2,5 milliards F Cfa sur l’achat du riz destiné aux familles vulnérables.
Sur le journal L’Obs, l’actuel ministres des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement s’est défendu. Il révèle qu’il a même fait économiser 5 milliards Fcfa sur son budget, qu’il a remis à l’Etat.
« J’ai la conscience tranquille. Tout le processus s’est déroulé dans les règles de l’art, en faisant économiser de l’argent à l’Etat. L’enveloppe était de 69 milliards F Cfa et le ministère a retourné environ 5 milliards F Cfa d’économie à l’Etat du Sénégal », dit-il concernant la distribution du riz, de l’huile et du sucre.
« Donc, je ne comprends pas la motivation de la cour des Comptes qui, pourtant, a une très bonne réputation. Ce sont des vérificateurs chevronnés, transparents, mais je me pose des questions sur les motivations réelles de ceux qui avaient en charge la question alimentaire. La question que je me pose est sur quoi se fondent ces vérifications pour accuser d’honnêtes citoyens de surfacturations ou de malversations ? », se demande-t-il.
Dans un post, jeudi, Ngouda Mboup a rappelé que dans l’affaire watergate, c’est à partir d’audios que le complot a été certifié. Une réaction qui fait suite aux audios « fuités » de Baye Mc et Adji Sarr.
« Rappelons que dans l’affaire watergate, c’est à partir d’audios que le complot a été certifié. Le Président Richard NIXON avait invoqué le privilège de l’Exécutif pour refuser de donner les bandes magnétiques à la justice« , a d’emblée rappelé l’enseignant-chercheur en Droit public.
Remise de bandes magnétiques
Il ajoute que c’est le juge Sirica qui enjoint par la suite au Président Richard NIXON de remettre les neuf (09) bandes magnétiques ayant enregistré les conversations de la Maison Blanche.
Démission du président Nixon
« Le Président NIXON finit par démissionner pour éviter l’impeachment (la destitution)« , a conclu M. ¨Mboup.
Le Comité exécutif de la Fédération sénégalaise de football (FSF) se réunit ce jeudi, pour une évaluation de la participation du Sénégal au Mondial-2022.
Dans le quotidien « Stades », Djibril Wade, le premier vice-président de la FSF et membre du Comex, informe que cette rencontre sera des moments pour »les fédéraux de donner leur point de vue sur l’évaluation de la Coupe du monde. Ce sera une évaluation financière, technique et organisationnelle ». Même si l’objectif de cette rencontre n’est pas de s’interroger sur l’avenir du sélectionneur des Lions, une évaluation des fédéraux pourrait fixer le sort d’Aliou Cissé. Déjà, selon certaines informations relayées dans la presse hier, des fédéraux réclamaient le départ du coach des Lions. Mais si l’évaluation globale de la Coupe du monde est jugée positive, elle confirmera le technicien sénégalais qui a prolongé récemment son contrat avec une revalorisation salariale.
Marabout d’Adji Sarr, MC Niass a enregistré ses discussions avec l’accusatrice d’Ousmane Sonko et les a remis au juge pour faire éclater la justice et mettre fin à l’affaire Sweet Beauty. Alors que Adji Sarr a confirmé l’authenticité de ces enregistrement, Moustapha Diakhaté, lui, aune autre vision. Pour lui, MC Niass devait être arrêté au moment où il a fait savoir qu’il avait des audios d’Adji Sarr.
« MC Niass ne devait pas passer la nuit chez lui après avoir déclaré qu’il avait des audios d’Adji Sarr. La loi portant sur la protection des données personnelles, qui est une loi de la République, l’interdit. Lorsqu’il a remis les enregistrements au juge, ce dernier devait l’inculper et le placer sous mandat de dépôt », a déclaré l’ancien président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yaakar au micro de Seneweb.
« On dit également qu’il y a une liste de 16 personnes qui auraient eu des rapports avec Adji Sarr. Tout le monde veut croire à cette liste alors qu’Adji Sarr a dit qu’Ousmane Sonko l’a violé et personne ne la croit. En tout cas, je ce dont je suis sûr, c’est que MC Niass ne devait pas passer la nuit chez lui », a-t-il ajouté.
Momar Diongue a été très déçu de la nouvelle arrestation de Pape Alé Niang. Le journaliste a fait une révélation de taille sur sa vie de famille, quelques heures avant son arrestation.
D’après l’analyste politique Pape : »Alé a été arrêté au moment où il était en train de célébrer l’anniversaire de sa femme. »
Le journaliste sur les ondes de Sudfm, a profité de ces moments pour rectifier le procureur; « Pape Alé N’a jamais parlé de son dossier de contrôle judicaire mais de son arrestation, l’inculpation de Cheikh Oumar Diagne , de l’activiste Abdou et son poste sur le commissaire général de la Police. »
Macky Sall est-il entre le marteau et l’enclume ? Après le rapport de la Cour des comptes sur le pillage des 1000 milliards du fonds-Force-Covid, des ministres épinglés qui ont reçu des signaux négatifs de la part de la primature et du Palais, ont entrepris dans le plus grand secret, des négociations avec l’opposition plus particulièrement avec Ousmane Sonko. Ce dernier qui fait fi de son slogan « antisystème » et obnubilé par le fauteuil présidentiel, ferme les yeux sur le carnage financier et est prêt à les accueillir dans…PASTEF.
ministrePastef est devenu désormais le point de chute de tous ceux qui sont des bannis du système tant décrié et dénoncé par Ousmane Sonko. De plus en plus, l’on voit d’anciens dignitaires au Sénégal, faire acte d’allégeance ouvertement ou même de façon clandestine à Pastef. Ce n’est point un hasard. Mieux vaut pour eux, tenter le tout pour le tout. Ils sont actuellement sous la menace de poursuites judiciaires, ils n’ont d’autre choix que de menacer de quitter la mouvance présidentielle pour aller rejoindre Ousmane Sonko. Auprès de ce dernier, ils espèrent que s’il devient en 2024 Président de la République, ils vont être mis définitivement à l’abri de toutes poursuites judiciaires…
Macky Sall est mis dans la situation entre le manteau et l’enclume par ces ministres et DAGE cités ouvertement à travers le rapport de la Cour des comptes. C’est comme si, ils cherchent à envoyer ce message à Macky Sall : « Retiens-nous ou alors nous rejoignons avec armes et bagages l’opposition, notamment Ousmane Sonko ». Ce dernier est obnubilé par le pouvoir. Il est prêt à tout prix pour devenir le prochain Président de la République. Ces ministres et DAGE, prêts à le rejoindre, pourraient même lui apporter des informations sensibles contre le pouvoir.
Et, c’est là où Macky Sall se trouve pris dans un dilemme par ces ministres et DAGE. Soit, il donne une suite judiciaire comme il a l’intention de le faire en ce moment aux différents rapports des corps de contrôle de l’Etat qui vont emporter plusieurs membres actuels ou anciens de son régime ou alors, il met le coude à ces différents dossiers.
ministre Le président Macky Sall a injecté 1000 milliards dans la gestion de la première vague de la pandémie Il est vraiment piégé. Pourtant, il se doit d’agir. Même si, comme nous l’annonçons, plusieurs ministres épinglés dans l’affaire des 1000 milliards sur la gestion des fonds destinés à la Covid-19, font en ce moment des pieds et des mains, et sont en train d’envoyer des émissaires auprès d’Ousmane Sonko. Et ce dernier ne se gêne guère de recevoir ces émissaires.
D’autant que le dossier pour engager des poursuites judiciaires est en train d’avancer à grands pas. Le ministre de la Justice a même été saisi, selon nos informations. Et, deux anciens ministres dont l’un est responsable politique de l’APR à Dakar et a été maire de sa commune, l’autre aussi, est un ex-édile dans une commune du Sud ne veulent pas rester les bras croisés. En compagnie d’un autre haut responsable de l’APR dans une autre partie du Sud, ils sont en train d’abattre leurs dernières cartes pour obliger Macky Sall à mettre son coude sur le dossier contre eux, envoyé par la Cour des comptes.
Ils ne se refusent aucune option. Ils sont prêts à vendre leurs âmes au diable, rien que pour échapper à l’action de la justice. Seulement, Macky Sall doit refuser le chantage. Au contraire, il a tout à gagner en traduisant tous ces délinquants financiers à la justice. C’est devenu une demande populaire. Ceci permettrait même à Macky Sall de regagner la confiance de toute la nation. Les associations de la société civile et même des membres du pouvoir ne réclament que la reddition des comptes par les délinquants financiers.
L’ex président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse veut céder les rênes de son parti, l’AFP. Mais, semble-t-il, il n’a pas encore trouvé son successeur.
Lors de la conférence de presse du secrétariat exécutif permanent de la grande coalition de Benno Bokk Yakaar (Bby), Moustapha Niasse, débattant de sa succession à la tête de l’Alliance de forces de progrès (Afp), souligne que depuis 12 ans, veut partir.
« Certains pensent que nous sommes un royaume. Non. Il y a 12 ans que moi, Moustapha Niass, je demande qu’on me remplace à la tête de l’Afp. J’ai demandé à au moins 30 sommités, d’hommes et de femmes, de porter leur candidature pour le succéder », a-t-il déclaré, repris par SourceA;
«Ils le peuvent à travers leur expérience, leur sagesse, leur engagement et leur croyance en vers Dieu», ajoute Moustapha Niass, avant de préciser : «Rien que le 16 juin dernier, nous fêtions le 23ème anniversaire de l’AFP. J’ai moi-même présidé la séance qui a réuni 1200 participants. Je leur ai dit que si je continue à diriger ce Parti, c’est parce que je n’ai pas encore quelqu’un qui se porte volontaire pour me remplacer».
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Le Président Moustapha Niass insiste : «la place est libre à l’AFP. Le Parti n’appartient à personne. Il n’est pas non plus ma propriété privée. Seulement la tâche n’est pas facile. Le fardeau est lourd. Mais, ma succession se fera démocratiquement et à l’issue d’un congrès».
Entre hier soir et ce jeudi matin, l’audio fuité entre MC Niass et Adji Sarr a fait le tour des réseaux sociaux. Tous les Sénégalais l’ont entendu, où ont entendu en parler.
Mais après la fuite de cet audio, les réactions semblent les mêmes, notamment sur plusieurs commentaires sur les pages de SeneNews. Pour plusieurs sénégalais, Adji Sarr semble avoir des problèmes mentaux.
Sans faire son procès, les Sénégalais reprochent à Adji Sarr la légèreté avec laquelle elle parle de cette affaire, qui a fait 14 morts au Sénégal. Elle ne semble ni inquiète pour elle-même ni pour les dégâts que cette affaire a causés à tant de familles.
Le rapport de la Cour des comptes sur la gestion des fonds dédiés à la riposte aux effets néfastes de la Covid-19 sur le pouvoir d’achat des ménages, a épinglé le ministère du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale. Les auditeurs pointent une surfacturation sur le riz pour un montant de 2,5 milliards de francs CFA. Dans leurs conclusions, ils ont invité le ministère de la Justice à ouvrir une information judiciaire contre le Directeur de l’administration générale et de l’équipement (DAGE) dudit département, Aliou Sow, désigné comme le coupable.
Dans une interview parue ce jeudi dans L’Observateur, Mansour Faye réfute ces accusations. Il était à la tête du ministère incriminé à l’époque des faits. Il estime que les vérificateurs de la Cour des comptes se sont trompés de base de calcul du prix de la tonne de riz. Il défend que ces derniers ont considéré les prix fixés par l’arrêté y relatif datant de 2013 et non ceux du marché durant la période en question. Lesquels ont été soumis par le ministère du Commerce à la demande de ses services.
Lorsque la presse a relayé le rapport de la Cour des comptes, le Président Macky Sall a interpellé Mansour Faye sur les accusations de surfacturation. «Je lui ai donné tous les éléments de réponse, confie celui qui dirige actuellement le ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement. Je n’ai pas encore de retour, mais personne ne peut ne peut ne pas être convaincu par ces éléments d’information dont nous disposons.»
Mansour Faye ajoute : «On travaille, demain il y aura la reddition des comptes. C’est normal. Quand on nous confie des missions, qu’on puisse les accomplir en toute transparence et en toute honnêteté.»
Epinglé dans la gestion des Fonds Covid, Mansour Faye se blanchit et ouvre le feu sur la Cour des comptes.
Au ministère du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale, dirigé à l’époque par le beau-frère du président de la république, la Cour des comptes a recommandé l’ouverture d’une information judiciaire sur la surfacturation sur le prix du riz pour un montant de 2 milliards 749 millions 927 mille 498 FCFA contre Aliou Sow, Dage sortant du ministère.
Mansour Faye était chargé de l’achat et de la distribution de l’aide alimentaire d’urgence pendant la pandémie de Covid-19.
Mais il a ouvert le feu sur les vérificateurs de la Cour des comptes comme il l’avait fait avec l’Ofnac qui l’avait épinglé pour manque de transparence autour l’attribution des marchés de transport de l’aide alimentaire d’urgence pendant la pandémie de Covid-19.
« la question que je me pose est sur quoi se fondent sur ls vérificateurs pour accuser d’honnêtes citoyens de surfacturations ou de malversations », s’interroge-t-il dans un entretien avec L’OBS.
Il va plus loin en accusant des magistrats de la Cour des comptes qui ont des casquettes politiques et qui se cachent derrière des institutions pour atteindre leurs buts. « Mais cette peine perdue », peste-t-il.
Plus grave, Mansour Faye blanchit son DAGE qui a été épinglé par la Cour des Comptes qui a demandé l’ouverture d’une information judiciaire contre lui.
« Mon DAGE (NDRL : Aliou Sow) n’a rien fait. Au-delà du DAGE, c’est moi qui suis visé en réalité (…) Qui touche le DAGE me touche. Par devoir moral, je ne pas accepter qu’on accuse quelqu’un qui n’a rien fait. En plus, un collaborateur qui a travaillé d’arrache-pied pour arriver à ce résultat », a-t-il martelé.
Depuis Mars 2021,on se rend compte que contrairement à ce que Adj Sarr et ses amis pensent, plus le tems avance ,elle joue indéniablement en défaveur de l’accusation ,comme la lumière du jour au crépuscule ,elle s’assombrie plus le temps avance et risque de leur plonger dans l’obscurité .La question qui mérite d’être posée est donc : A qui profite cette stratégie du « Oui pour le procès » du camp Adji Sarr?
Sachez que la stratégie n’est pas intelligente. Plus l’affaire traine, plus le ballon de mensonge se gonfle, et son explosion fera une très grande détonation. Plus on s’approche des élections, plus la fin de cette histoire plébiscitera Sonko. Quant à la tentative d’un procès moral, il sera encore plus catastrophique, dès lors que la fille elle même reconnait avoir accusé de façon mensongère d’autres honnêtes citoyens .
En réalité, en voulant salir Sonko, ils se sont tous salis. Soit la fille dit vrai, donc ils sont tous adultérins, même mon marabout bien aimé, soit la fille est menteuse, le procès est clos. Le Président de la République doit siffler la fin de cette récréation, indemniser les familles de victimes, libérer les prisonniers, juger la dame et ses complices directs, les complices indirects étant victimes des mensonges des complices directs, et redonner à sa gouvernance un nouveau souffle, pour terminer son mandat en beauté.
Le premier cité déclarait sur sa réponse contre la plainte de Maître Dior Diagne qu’il avait reçu la plaignante quinze jours auparavant dans son bureau et lui a donné des conseils. Mais insiste-t-il : « le jour des faits, je ne lui ai pas parlé et je ne l’ai pas mise en rapport avec un médecin. »
#Faux ! Le Docteur Alfousseynou Gaye affirme que c’est Me Pape Samba So, beau frère de Mamour Diallo qui lui a mis en rapport avec Adji Sarr. Maitre So était même à l’hôpital en compagnie de Adji Sarr
El Malick Ndiaye vient de s’exprimer de nouveau autour des messages audios envoyés par Adji Sarr à MC Niass avec une révélation de taille.
Selon le membre du Pastef, Ousmane Sonko a de nouveau marqué de vrais points dans sa bataille judiciaire avec l’ex masseuse de Sweet Beauty. El Malick Ndiaye révèle notamment le nombre pléthorique de messages audios.
« Saviez-vous qu’en réalité, il y a plus de 27 messages audios. Ousmane Sonko a encore une victoire écrasante. Le jubilé sera du même acabit qu’en 2002, lors que le Sénégal revenait de la Coupe du Monde », s’exclame le monsieur Communication du Pastef.
Marième Faye Sall s’est rendue à la Foire pour faire du shopping. Ravis de voir la Première Dame, les Sénégalais l’ont interceptée pour faire des selfies avec elle.
On peut ne pas apprécier Macky Sall, mais, Marième Faye Sall a conquis le cœur de plusieurs Sénégalais. A chaque fois qu’elle sort, la first lady est accueillie comme une reine dans la rue.
Le rapport de la Cour des Comptes sur l’utilisation des 1000 milliards des fonds force Covid, fait étalage d’un carnage financier opéré par des ministres de Macky Sall et leurs collaborateurs. Et selon nos sources, le président de la république, en visite de travail, aurait piqué une colère noire après les agissements scandaleux de certains responsables qui retiraient entre 50 et 100 millions FCFA en espèces pour gérer certaines urgences. Le retour du président s’annonce « dangereux » pour certains ministres qui risquent de ne plus assister au traditionnel conseil des ministres hebdomadaire. Plusieurs d’entre eux sont en visite de courtoisie chez leurs marabouts pour limiter les dégâts…
Acculé par l’opposition, les activistes, les organisations de la société civile qui rencontrent tous l’assentiment du peuple sénégalais, le Président de la République Macky Sall n’en peut plus. Il est acculé en ce moment dans le cadre du rapport de la Cour des comptes sur l’utilisation des fonds force Covid-19. Avec ce fonds qui avait été dégagé pour permettre aux populations de se soulager et de faire face à la pandémie, des délinquants financiers au niveau de l’Etat, ont profité de la situation pour s’enrichir honteusement sur le dos des populations démunies à qui il était destiné…
Le rapport de la Cour des comptes a été d’une ampleur telle, et relayé au plan international que le Président de la République Macky Sall est obligé d’y faire face. Interpellé directement par l’opinion publique nationale et internationale sur ce rapport de la Cour des comptes, Macky Sall se doit de réagir. Il est tant acculé qu’il a opté pour des poursuites pénales contre tous ceux qui sont impliqués dans le rapport de la Cour des comptes. Aucune autre issue ne s’offre à lui.
C’est ainsi que le Président de la République Macky Sall, hors du Sénégal en ce moment, a décidé dès son retour de saisir le ministre de la Justice pour engager des poursuites pénales contre le vol de deniers publics. Toutes les personnes citées dans le rapport de la Cour des comptes vont être poursuivies devant la justice et devoir rendre des comptes. Macky Sall agit selon la vindicte populaire qui n’en peut plus de tous les scandales financiers qui traversent son régime depuis qu’il est installé au pouvoir.
L’on comprend que ce soit en ce moment la panique dans le camp de tous ceux qui sont trempés dans des affaires financières louches de l’Etat, et qui sont notamment cités dans le rapport de la Cour des comptes. Ils sont désemparés, paniqués. Actuellement, tout ce qui leur reste, c’est s’adonner à des pratiques mystiques pour espérer échapper aux foudres du Chef de l’Etat. A cause d’eux, Macky Sall a perdu considérablement du terrain. Non seulement, ils s’adonnent à des pratiques mystiques, mais ils se rendent auprès de Chefs religieux pour obtenir de la protection de leur part.
Leurs marges de manœuvres sont devenues en réalité, restreintes. Macky Sall est déterminé à ce que leurs dossiers sont instruits en justice, suivant ainsi une forte demande populaire. Les Sénégalais sont écœurés, dégoûtés par tous ces scandales qui se déroulent sous le régime du Président de la République Macky Sall qui se sent ainsi acculé aussi bien par l’opposition, que la société civile ainsi que les activistes. Il ne reste pas d’autre alternative au Chef de l’Etat, sauf d’envoyer en justice tous les dossiers impliquant des membres de son pouvoir.
Des délinquants, on devrait même dire des prédateurs ! Car oser, s’accaparer illégalement de fonds destinés à aider des populations durement endurées par la Covid-19, il faut vraiment être sans cœur. Or, des bandits au cœur de l’Etat, ont osé franchir le Rubicond. Un des plus grands scandales financiers traversés par le Sénégal.
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