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Assemblée : La Position de Guy Marius Sagna sur l’exclusion de Aminata Touré

Aminata Touré est destituée après un vote du bureau de l’assemblée nationale. Une décision que condamne Guy Marius Sagna.

Sur Facebook, le député pense que « Macky Sall n’a toujours pas compris que la vengeance, les complots politiques, les règlements de comptes politiques, les tentatives de liquidation politique ne se mangent pas par les populations. Ils ne vont pas sortir le Sénégal du stade peu enviable de 20e pays le plus pauvre de la planète ».

« Solidarité avec ma collègue député Aminata Touré ! Ils indemnisent les Cissé Lo, les Mbaye Ndiaye et invoquent leur jurisprudence ! Instrumentalisation de la justice ! Instrumentalisation de la police! Instrumentalisation de la gendarmerie ! Instrumentalisation de l’assemblée nationale ! Normal pour un Macky instrumentalisé par ses maîtres impérialistes dont il est la marionnette. Dans 12 mois nous allons tourner la page Macky », ajoute-t-il.

Aussitôt après l’annonce de sa destitution par le bureau de l’Assemblée, la réaction n’a pas tardé à se faire du côté de la parlementaire Aminata Touré. Dans un message partagé la députée évoque une « violation totale de la loi » et s’engage à poursuivre le combat.

Assemblée nationale : Qui est Aida Sougou, la remplaçante de Aminata Touré (Photo)

Aminata Touré
Aminata Touré

L’ancien Premier ministre Aminata Touré a été remplacée par l’adjointe au maire de la ville de Pikine Aida Sougou.

Partisane de l’Alliance pour la République, Aida Sougou est de la diaspora Sénégalaise vivant au pays de l’oncle Sam. Elle aime se souvenir, dans ses sorties médiatiques, des premiers instants consécutifs à la création de l’Apr où Macky Sall veillait à la massification des bases du parti au-delà de nos frontières. Toutefois, le dernier renouvellement du bureau du conseil économique, social et environnemental ne lui a pas beaucoup réussi.

Aida Sougou est la sixième vice-présidente du Cese alors qu’elle en était la deuxième lors de la précédente élection. La conseillère est adjointe à la mairie de Pikine-Ouest et responsable de l’Apr dans la même localité.

Convaincue de la mission qui leur a été investie, elle est certaine que le Cese « est venue à son heure pour régler les conflits sociaux et la demande sociale ».

Déchéance de Mimi Touré : Les vérités crues de Thierno Alassane Sall

Thierno Alassane Sall
Thierno Alassane Sall

Les réactions s’enchaînent suite à la déchéance de l’ancienne Premier ministre Aminata Touré qui vient de perdre, ce mardi 24 janvier 2023, son mandat de député.

Ainsi, à l’issue d’une réunion du bureau parlementaire, 10 personnes ont voté « pour » et 6 « contre ». Le groupe Liberté et Démocratie de la coalition Wallu a soutenu cette procédure et a fait pencher la balance en faveur de BBY.

À l’image de Mamadou Lamine Diallo, l’ancien ministre Thierno Alassane Sall a lui aussi déploré cette décision.

« L’exclusion de Mimi Touré de l’Assemblée nationale par un bureau réuni en catimini constitue un guet-apens dans la pire tradition des démocratures. Exclure une personne, sans même l’avoir entendue, est d’une indignité totale de la part de députés qui sont des géniteurs du droit », fustige Thierno Alassane Sall.

Pour rappel, lors de la formation du bureau parlementaire, l’ancien Premier ministre avait quitté l’Assemblée nationale. Pour cause, le camp présidentiel a soutenu la candidature au poste du Président de l’Assemblée nationale de Amadou Mame Diop à son détriment. Ainsi, Mimi Touré avait décidé de quitter la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby).

Face à cette situation, le camp présidentiel a affiché sa volonté de destituer Aminata Touré. Aujourd’hui, le bureau de l’assemblée nationale s’est réuni pour statuer sur cette demande de Benno Bok Yakaar « conformément à la constitution qui demande la perte de mandat d’un député qui démissionne de son mandat ». Résultat, elle n’est plus députée

Reçus par Serigne Mountakha : Les chauffeurs grévistes annoncent une décision qui soulage les usagers

Serigne Mountakha
Serigne Mountakha

Bonne nouvelle pour les usagers de la route. Les chauffeurs grévistes vont déposer provisoirement les  »armes », suite à leur rencontre avec le khalife général des mourides.
Au cours de cette audience qui s’est déroulée à Porokhane, Alsanne Ndoye et cie ont promis à Serigne Mountakha Mbacké qu’ils vont surseoir leur mot d’ordre de grève. Mais cette décision sera rendue publique officiellement après une concertation avec la base selon une source de Seneweb.
Les chauffeurs grévistes ont pris cette mesure devant le khalife pour permettre aux pèlerins de venir célébrer le magal de Porokhane. Ils  ont reçu des assurances  suite à leur audience avec le guide de la communauté des mourides.
Après le magal dédié à  la mère de Khadim Rassoul, Sokhna Mame Diarra Bousso, ces syndicalistes envisagent de retourner auprès du khalife général des mourides pour lui rendre compte de leurs préoccupations.

La réaction de Mimi Touré après son exclusion de l’assemblée

Aminata Touré
Aminata Touré

« Je viens d’apprendre mon exlusion de l’Assemblée nationale par le Président Macky Sall en totale violation de la loi. Je reste plus que jamais déterminée à poursuivre mon combat pour l’enracinement de la Démocratie sénégalaise et contre sa tentative de troisième mandat moralement et juridiquement inacceptable. »

Aminata Touré.

Assemblée nationale : La remplaçante d’Aminata Touré est connue

Après sa destitution par le bureau de l’Assemblée nationale qui s’est réuni aujourd’hui, Mimi Touré sera remplacée par Ndèye Fatou Sougou.
En effet, la coalition Benno Bokk Yaakaar avait demandé la destitution d’Aminata Touré, «conformément à la Constitution qui demande la perte de mandat d’un député qui démissionne de son mandat».
Le vote du bureau est ressorti avec 10 voix pour et 6 contre, grâce au groupe Liberté et démocratie de la coalition Wallu qui a fait pencher la balance en faveur de la coalition au pouvoir.

Exclusion de Mimi Touré : Le Vote de Mamadou Lamine Diallo dévoilé

La destitution de Aminata Touré n’est pas du goût de son désormais ex-collègue Mamadou Lamine Diallo.
Dans un tweet, le député conteste et évoque une agression perpétrée contre Aminata Touré. Il révèle en outre avoir voté contre.
« Comme anticipé, le coup fourré de BBY au Bureau de l’assemblée Nationale s’est produit. J’ai voté contre la déchéance de Mimi Touré de son poste de député qui est une agression contre les femmes et la démocratie ».

Destitution Aminata Touré : Cette ‘’jurisprudence Fada’’ qui rend ‘’illégale’’ la décision de l’Assemblée nationale

Aminata Touré
Aminata Touré

La décision du bureau de l’Assemblée nationale, réuni ce mardi 24 janvier 2023, est tombée comme un couperet. L’ancienne chef du gouvernement, Aminata Touré, qui a récemment pris ses distances avec la mouvance présidentielle, est déchue de son mandat de député. Une décision qui alimente une vive polémique dans le champ politique.
Si certains proches du pouvoir jugent que l’acte est totalement légal, vu que «même si elle ne l’a pas matérialisée par écrit, elle a posé des actes non équivoques»…, d’autres – la concernée en premier – estiment qu’il y a violation flagrante de la loi.
«Je viens d’apprendre mon exclusion de l’Assemblée nationale par le président Macky Sall en totale violation de la loi. Je reste plus que jamais déterminée à poursuivre mon combat pour l’enracinement de la démocratie sénégalaise et contre sa tentative de troisième mandat moralement et juridiquement inacceptable», a-t-elle déclaré.
Quoi qu’il en soit, le cas Mamadou Diagne Fada en 2015 rend totalement illégale la décision de l’Assemblée nationale.
En effet, le député libéral, qui avait défié son parti (le Pds) en se rapprochant de la mouvance présidentielle, n’a jamais été déchu de son mandat, car en droit, une démission doit être matérialisée par un acte écrit.
Autre violation, la députée concernée par le processus de destitution n’a jamais été entendue par l’Assemblée nationale.

(Vidéo) Radiation de Mimi Touré: Mansour Diop tire sur Macky et les deputés BBY « Lou eup Tourou, Dinga Khékh dé…”

Mimi Touré: Mansour Diop
Mimi Touré: Mansour Diop

(Vidéo) Incroyable Gasta Gasta : Ce mara frère de Bara tacle sévèrement Ousmane Sonko boumou ray domou yii😭😭

mara frère de Bara
mara frère de Bara

(Vidéo) Grosse révélation de Moustapha Diop Walf sur l’audience de Cheikh Mahi avec le Pr « Bimou guissé images Sonko Keur Massar… »

Cheikh Mahi avec le Pr

(Vidéo) Mara Niass expose le ménage de Momo Wade : “sa diabar ci niane la bat la deuk,li nguén di faral dioté »

Mara Niass expose le ménage de Momo Wade
Mara Niass expose le ménage de Momo Wade

(Vidéo) Réplique salée de “Sonko jamono ji dafa titeu..limou wax Maham

Farba Senghor après la sortie de Sonko
Farba Senghor après la sortie de Sonko

« 

Exclusif – Déchue de son poste de député…la réaction très ferme de Mimi Touré

Mimi Touré
Mimi Touré

« Je viens d’apprendre mon exlusion de l’Assemblée nationale par le Président Macky Sall en totale violation de la loi. Je reste plus que jamais déterminée à poursuivre mon combat pour l’enracinement de la Démocratie sénégalaise et contre sa tentative de troisième mandat moralement et juridiquement inacceptable », tels sont les premiers mots de Mimi Touré après son exclusion de l’Assemblée nationale.

Urgent : Mimi Touré perd son poste de député ! Wallu a soutenu BBY

Mimi Touré
Mimi Touré

Le bureau de l’assemblée nationale s’est réuni aujourd’hui pour statuer sur la demande de Benno Bokk Yakaar pour la destitution de Aminata Touré « conformément à la constitution qui demande la perte de mandat d’un député qui démissionne de son mandat », renseigne une source de Seneweb,repris par Sanslimitesn.

Le vote au bureau est ressorti avec 10 pour et 6 contre. Le groupe Liberté et Démocratie de la coalition Wallu a soutenu cette procédure et a fait pencher la balance en faveur de BBY.

(Vidéo) Ibrahima Sall balance en exclu “yorna ben vidéo bou doy war ci Adji Sarr… » wane nako Pape Ndiaye Walf

Ibrahima Sall balance en exclu
Ibrahima Sall balance en exclu

VIDÉO – BEN MAHTAR CORRIGE CHEIKH YERIM « IL PEUT FAIRE MIEUX, SONKO DAKOY DÉRANGÉ… »

BEN MAHTAR CORRIGE CHEIKH YERIM
BEN MAHTAR CORRIGE CHEIKH YERIM

CHEIKH YÉRIM SECK : « MACKY SALL DÉTESTE IDRISSA SECK… »

MACKY SALL DÉTESTE IDRISSA SECK
MACKY SALL DÉTESTE IDRISSA SECK

Cheikh Yérim Seck est, dans son dernier ouvrage, revenu avec des détails croustillants sur la relation entre Macky Sall et Idrissa Seck. Deux hommes politiques qui, selon le journaliste, ne s’apprécient guère. « Idrissa Seck méprise Macky Sall. Macky Sall déteste Idrissa Seck », a écrit Cheikh Yérim Seck.

Une détestation mutuelle qui plonge ses racines dans la querelle de succession qui a opposé les deux mastodontes politiques sous le régime du Président Abdoulaye Wade, « aux yeux de Idy, Macky Sall n’a jamais cessé d’être ce cadre du PDS, président de la Cellule initiatives et stratégies du parti qui, introduit par Ousmane Masseck Ndiaye, faisait le pied de grue à son domicile du Point E pour être nommé directeur général de la PETROSEN, au cours des mois qui ont suivi l’accession d’Abdoulaye Wade au pouvoir, en 2000… Quand trois ans plus tard, Macky Sall a pris de l’étoffe et est entre temps devenu ministre d’état chargé de l’Intérieur et des Collectivités locales, dans un contexte de guerre brutale entre Wade et Idrissa Seck,celui-ci à toujours vu en lui le faiseur de sales boulots, celui-là même qui l’espionnait avec ses proches et fabriquait des fiches de renseignements pour toujours l’enfoncer davantage aux yeux de Wade », affirme l’ancien journaliste de Jeune Afrique.

Le Chef de l’état rend bien l’ascenseur au Président du CESE selon toujours Cheikh Yérim Seck, « Macky Sall voue une grande détestation à son prédécesseur à la primature sous Wade. Et une grande défiance. Au tout début de son avénement au pouvoir, il l’a tendu un piège en lui proposant de devenir président du Sénat, une institution que tous les opposants avaient décriée au cours de la campagne électorale qui venait de s’écouler. Seck a décliné poliment l’offre. Puis, avec la bénédiction du Président, il a bien entamé une médiation entre les parties de la crise libyenne. Mais Macky Sall l’a stoppé net alors qu’il était bien avancé, craignant qu’il acquière, s’il réussissait, une plus forte stature internationale », note Cheikh Yérim Seck. Mais, la haine mutuelle entre les deux hommes politiques n’a pas obstrué les voies du dialogue. Ils ont commencé à discuter à la veille de la présidentielle de 2019 par l’intermédiaire d’un guide religieux. « Depuis ce jour , Macky Sall et Idrissa Seck n’ont pas cessé d’échanger coups de fil et enveloppes bourrées à l’insu de leurs états-majors politiques respectifs et des sénégalais », souligne Cheikh Yérim Seck.

Des négociations qui ont abouti à la nomination de Idrissa Seck à la tête de la CESE. Mais, ce dernier n’a pas enterré ses ambitions selon le journaliste, « Macky Sall, empêché de se présenter à la présidentielle 2024 par la clause constitutionnelle de limitation des mandats, pourrait recourir  à lui pour lui succéder afin qu’il lui assure ses arrières ».

(VIDÉO) MAX MBARGANE RECTIFIE SITEU APRÈS SES PROPOS : « IL A MAL COMMUNIQUÉ… »

MAX MBARGANE RECTIFIE SITEU
MAX MBARGANE RECTIFIE SITEU

Audio – Cheikh YERIM Seck, Amadou Ba,Macky Sall: L’analyse pertinente de Cheikh Gadiaga

(Vidéo) Ndiap révèle « des proche de Sidy Diop m’ont demandé de rester » Le fils Bada lô loutax ma rayko defma

Ndiap révèle "des proche de Sidy Diop
Ndiap révèle "des proche de Sidy Diop

Abdoulaye Saydou Sow fait marche en arriere contre Boubacar Camara : «Je n’ai pas envie d’aller au tribunal, cette affaire est finie»

Abdoulaye Saydou Sow sur sa plainte contre Boubacar Camara
Abdoulaye Saydou Sow sur sa plainte contre Boubacar Camara

Boubacar Camara n’a pas reculé dans ses accusations contre Abdoulaye Saydou Sow et était allé plus loin, en réclamant un procès. Il n’y en aura pas puisque le ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique a décidé de s’en arrêter à la sommation interpellatrice que son accusateur n’a pas souhaité recevoir.

Le ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, a renoncé à sa plainte contre Boubacar Camara

«Je n’ai pas envie d’aller au tribunal. S’il a une once de preuve, qu’il la sorte. Pour moi, cette affaire est finie», a dit l’invité du « Jury du Dimanche ».

Pour lui, le président du Parti de la construction et de la solidarité (Pcs/Jengu Tabax, qui l’accuse d’avoir encaissé une centaine de millions FCfa pour des terrains, son objectif «n’était pas de le traîner devant les tribunaux» ni de lui «faire de la publicité parce qu’il est en manque de publicité pour sa candidature annoncée», mais de le défier publiquement de sortir ses preuves.

«Je l’ai sommé et c’est un homme qui aspire à diriger le pays, qu’il sorte le dossier. C’est tout. Je ne suis pas dans l’avoir. Je me bats pour la dignité parce que je sais d’où est-ce que je viens. J’ai dit tantôt que certains arrivent au pouvoir en passant par les escaliers et d’autres par l’ascenseur», a-t-il insisté.

Birahim Seck à Macky Sall : « Défendre la justice, c’est la réformer … »

Birahim Seck à Macky Sall
Birahim Seck à Macky Sall

Le coordonnateur du forum civil, Birahim Seck, a apporté une réponse au Président Macky Sall après sa sortie sur les attaques contre la justice.

« Défendre la justice, c’est la réformer pour créer les conditions de sa véritable indépendance. Défendre la justice, c’est diligenter le traitement approprié du rapport de la Cour des comptes et prendre des mesures contre les indexés qui sont toujours aux postes de responsabilité », lance le coordonnateur Forum Civil, Birahim Seck.

Pour rappel, dans son discours prononcé lundi à l’occasion de l’audience de Rentrée solennelle des Cours et Tribunaux 2022-2023 qu’il a présidée dans les locaux de la Cour suprême, à Dakar, le chef de l’Etat Macky Sall a tenu à répondre aux détracteurs de la justice.

Estimant qu’il n’y a rien sous les cieux, il réaffirme aussi la volonté de l’Etat de défendre le système judiciaire.

Vidéo – M€urtre fils de Aïda Ndiaye Bada Lo “3 fois lako diam ci poute mou dé” : En larmes, la cousine dit tout

Le maire de Yoff fait le bilan après une année à la tête et annonce une bonne nouvelle” fi ak niari.

Le maire de Yoff fait le bilan après une année à la tête et annonce une bonne nouvelle” fi ak niari.

VIDEO : Ibrahima Sall balance “Sonko sou démé procès danger la ci mom ndax danio beugu soumi..”

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Aissatou Diop Fall sur la mobilisation de Sonko : « C’est fini pour Macky Sall…il a commis beaucoup de fautes »

Aissatou Diop Fall sur la mobilisation de Sonko : « C’est fini pour Macky Sall…il a commis beaucoup de fautes »

VIDEO : En pleurs, Ibrahima Sall explique l’avant goût du procès“ souniou lathié Adja ndax dfa v!€*rge dafay

En pleurs, Ibrahima Sall explique l’avant goût du procès“ souniou lathié Adja ndax dfa v!€*rge dafay

Yoff : Le meeting de Diouf Sarr se termine en jets de pierres, un autre responsable de Benno accusé (vidéo)

Yoff : Le meeting de Diouf Sarr se termine en jets de pierres, un autre responsable de Benno accusé (vidéo)

Ce dimanche, les alliés du maire sortant de Yoff, Abdoulaye Diouf Sarr Abdoulaye Diouf Sarr ont organisé un meeting de remobilisation. Malheureusement la rencontre a été écourtée à cause des jets de pierres.

En effet, au moment où les délégations et responsables commençaient leur discours, un autre groupe s’est invité à la fête. Des jeunes ont ensuite dispersé le camp de Abdoulaye Diouf Sarr par des jets de pierres.

Selon une source, l’ancien ministre de la santé a accusé un lieutenant de Mame Mbaye Niang. Il s’agit de Mamadou Gueye du parti MRV, candidat malheureux à Yoff de la coalition Sénégal 2035 et membre de Benno. Il a été pointé du doigt dans cette affaire.

Khalifa Sall leader de Taxaw Sénégal : «ce qui est révoltant, c’est que Macky Sall veuille lui-même se choisir ses adversaires»

Khalifa Sall
Khalifa Sall

Le rejet par le Conseil constitutionnel de la requête des députés Guy Marius Sagna et Aminata Touré pour obliger le gouvernement à s’expliquer devant l’Assemblée nationale, le renvoi d’Ousmane Sonko devant la Chambre criminelle dans l’affaire l’opposant à Adji Sarr, sa posture au cas où Macky Sall briguerait un troisième mandat; voilà autant de questions auxquelles Khalifa Sall a répondu dans l’interview qu’il a accordée à «L’As» à l’occasion de sa tournée dans le Baol, samedi dernier.

Qu’est-ce qui explique votre descente à Diourbel ?

Khalifa Sall : Nous sommes très heureux de nous retrouver dans leBaol, cette terre d’accueil, cette terre de Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul, cette terre travailleuse dont les hommes sont dignes et fiers et servent de modèles parce qu’étant des précurseurs dans l’engagement pour le développement du pays. Cette tournée «Dox mbokk ci dëkk bi ñu bokk ngir motali yéné» est une démarche d’inclusion et de participation, de co-construction pour élaborer le projet politique du candidat Khalifa Sall de Taxawu Sénégal. Nous sommes en demande des populations de leurs points de vue, de leurs suggestions et de leurs observations. Nous sommes certains d’une chose : le développement sera local ou ne sera pas.Nos pays devront promouvoir l’engagement citoyen dans la conduite du développement. Le vrai problème que nous avons, c’est que les citoyens ne sont plus à la base de l’élaboration des projets.On a supprimé la planification alors qu’elle était un instrument de prévisibilité et de prévision. A quel moment les citoyens sont-ils consultés dans l’élaboration des politiques ? Voilà les vraies questions que nous nous posons et que nous partageons avec les populations à l’occasion de nos rencontres. Le projet sera co-construit et nous voulons connaître leurs aspirations et les impliquer dans le programme qu’on va faire, puisque comme l’a dit Léopold Sédar Senghor : «Les citoyens seront toujours au début et à la fin». Les citoyens devront être ceux qui élaborent le projet, le mettent en œuvre et sont les bénéficiaires. Ce sont ces trois niveaux d’implication que nous sommes en train d’expérimenter à travers cette démarche de proximité que nous conduirons sur douze mois. Nous irons à la rencontre de toutes les Sénégalaises et de tous les Sénégalais et nous parlerons avec eux du Sénégal. Nous discuterons avec eux du Sénégal..

Le Conseil constitutionnel a débouté les députés Aminata Touré e tGuy Marius Sagna qui demandaient des réponses au gouvernement sur le rapport de la Cour des Comptes. Comment avez-vous accueilli cela ?

L’exigence du gouvernement de venir s’expliquer devant le Parlement est constitutionnelle. Les membres du gouvernement doivent toujours répondre aux questions des députés. Maintenant, je n’ai pas lu l’arrêt du Conseil constitutionnel, donc je n’en connais pas les motivations. Je ne connais pas les raisons pour lesquelles le Conseil constitutionnel a rejeté leurs requêtes. Mais généralement, dès qu’il s’agit de procédures internes à l’Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel se déclare incompétent parce qu’il y a la séparation des pouvoirs. Tant que ce n’est pas en matière constitutionnelle, quand il s’agit du fonctionnement de l’Assemblée nationale, c’est une loi organique qui le détermine. Donc quand l’Assemblée nationale décide, généralement le Conseil constitutionnel se déclare incompétent. Mais je suis très déçu. Je pense que le Premier ministre et son gouvernement devraient venir répondre aux questions des députés. C’est une exigence démocratique.

L’affaire Sweet Beauté a été renvoyée devant la Chambre criminelle. Que pense Khalifa Sall d’une éventuelle condamnation d’Ousmane Sonko ?

Il faut d’abord dire que l’avenir du Président Macky Sall est derrière lui. Il en est à son second et dernier mandat. Je fais partie de ceux qui avaient voté «Non» au référendum en étant membre de la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby). J’étais membre du Parti socialiste, de Bby, j’ai fait campagne et voté «Non» pour deux raisons très simples. La première, j’avais dit que je faisais voter «Non» et je voterai «Non» pour le respect de la parole publique.Ilfaut que l’homme public puisse conformer sa parole à ses actes. Le Président Macky Sall avait dit qu’il réduirait son mandat, il ne l’a pas fait. Et ensuite, le débat qu’il y avait eu autour des conjonctions de coordination et de la formulation de l’article 27 avait été posé dès le départ.Donc pour ces deux raisons-là, je ne suis pas surpris de ce que nous vivons aujourd’hui. Ce qui est révoltant, c’est que le Président Macky Sall veuille lui-même se choisir ses adversaires. Ce que l’on cherche à faire à Ousmane Sonko est inacceptable et révoltant. Ce pouvoir ne peut pas se permettre de vouloir toujours humilier les gens.Quand vous atteignez un homme dans son honorabilité et sa crédibilité, c’est comme si vous le crucifiez. Certaines questions qu’ils ont agitées et certaines accusations dontils n’ont pas encore apporté la preuve, sont dans cet ordre-là. Donc nous sommes solidaires d’Ousmane Sonko et nous nous battrons à ses côtés. D’ailleurs, j’en profite pour engager Taxawu Sénégal à être prêt pour porter le combat. Ce n’est pas seulement pour la personne d’Ousmane Sonko, mais c’est un combat de principe. C’est pour que le président de la République n’ait plus la possibilité de se choisir ses adversaires.

Si le Président Macky Sall présente sa candidature en 2024, quelle sera votre posture ?

Au niveau de la coalition Yewwi Askan wi, nous nous organisons et nous nous préparons. Une stratégie ne s’étale pas comme cela. Mais sachez que nous sommes contre la troisième candidature du Président Macky Sall. J’ai dit à un de vos confrères que le Président Macky Sall ne déclarera pas sa candidature. S’il doit déposer, il attendra le moment venu et il ira déposer. Ceux qui attendentle Président Macky Sall sur une déclaration de candidature risquent d’attendre assez longtemps. Mais sur le principe, nous veillerons à ce que force reste à la loi. La lecture que chacun se fait des dispositions de l’article 27 est que nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. Et tout le monde se souvient encore de la campagne de 2016 quand le Président Macky Sall et tous ceux qui lui sont proches avaient dit en insistant sur cette disposition de l’article 27 : «Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs». On parle français.

Pensez-vous que l’Etat a pris les bonnes décisions après les récents accidents de la route qui ont fait plus de soixante morts à Kaffrine et Louga ?

Nous nous inclinons face à ces tragédies humaines successives et massives. Que ce soit à Kaffrine ou à Louga, c’est véritablement regrettable et désolant. Toutes nos prières à nos compatriotes qui ont perdu leurs vies et prompt rétablissement à ceux qui sont blessés. Ce gouvernement se contente des annonces et pense que c’est fini dès qu’il fait des annonces. Mais, ils doivent comprendre qu’ils devront encore mouiller un peu plus le maillot.Il faut savoir prendre des décisions et surtout savoir s’y tenir. Ils avaient annoncé un certain nombre de mesures, mais ils ont fini par reculer. C’est ça qui gêne. Finalement, on se demande quelle est la volonté de ce gouvernement. Et certains y perdent leur latin
L’As

Livre de Yerim Seck : Cheikh Ndiaye saisit la Dic aujourd’hui

«Source A» avait annoncé que Cheikh Tidiane Ndiaye, proche collaborateur du patron de Ecotra, Abdoulaye Sylla, avait porté plainte contre Cheikh Yérim Seck suite à la publication de livre qu’il juge diffamatoires.

Cheikh Ndiaye a joint l’acte à la parole. Il a saisi les autorités judiciaires de sa plainte contre l’auteur de l’ouvrage «Macky Sall face à l’histoire : passage sous scanner d’un pouvoir africain».

Selon Les Echos, c’est hier qu’ils avaient été convoqués par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles, mais finalement la convocation a été annulée pour des raisons que nous ignorons.

Mais l’affaire n’est pas mise dans les tiroirs pour autant. En effet, selon nos drones sensibles, Cheikh Ndiaye a été convoqué aujourd’hui à la Dic dans le cadre de sa plainte.

A signaler que les plaintes pleuvent sur la tête de l’ancien journaliste de Jeune Afrique.

Ce que Macky assure à la Justice et aux magistrats !

Senegal's President Macky Sall speaks during a ministerial meeting at the Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) at the OECD headquarters in Paris on June 9, 2022. (Photo by STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

Ce lundi a eu lieu la rentrée solennelle des cours et Tribunaux. Une cérémonie présidée par le président Macky Sall qui en a profité pour adresser un message aux magistrats et à la Justice en général.

«L’Etat défendra la Justice et les magistrats qui sont chargés de l’incarner», a déclaré Macky Sall ce lundi, au cours de la cérémonie solennelle de rentrée des cours Et tribunaux.

Pour le chef de l’Etat, qui présidait ladite cérémonie, la question confiance des citoyens en la Justice n’est pas une exclusivité de notre pays. Dans un pays partenaire, «une loi portant restauration de la confiance des citoyens envers la justice vient d’être votée» dit-il, faisant allusion à la France.

«Donc ce n’est pas un sujet nouveau, mais ce n’est pas une raison pour qu’on jette l’opprobre sur les acteurs de la Justice et sur la Justice-elle-même», a-t-il déclaré.

Ahmed Aïdara serait fauché : A la Mairie de Guédiawaye, les agents en sont à 6 mois de travail sans salaire

Six mois sans salaire. C’est ce que vivent les agents de la mairie de ville de Guédiawaye. C’est le maire en personne qui en a fait l’annonce, hier. Ahmed Aïdara prenait part à un “Sargal Malick Gakou” organisé par des sportifs de ce département. « EnQuête »

Les agents de notre mairie sont à six mois sans salaire et pourtant, je ne l’ai dit nulle part. Cette situation est due au bon vouloir du régime. Mais, croyez-moi, on va vivre cette situation dignement, puisqu’en 2024, nous allons faire de Gakou notre président par force.

Voilà qui est clair. Il est un homme sociable, il travaille pour l’être. Bien que, lui aussi, est confronté à des problèmes, à cause du régime, il n’en a parlé nulle part. Nous aussi, nous allons nous taire. Nous allons faire comme lui
”, a indiqué le député-maire.

À signaler que beaucoup de sportifs du monde de la lutte, ont pris part à cette rencontre, sauf Balla Guèye 2 et Lac de Guiers 2.

La révolution de Sonko en marche…Macky en mauvaise posture

La dernière tentative désespérée de Sonko…Macky doit éviter le piège

Les choses se corsent pour Ousmane Sonko. A une douzaine de mois de la présidentielle de 2024, le leader du parti des Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) est pris en tenaille. Deux procès risquent de freiner l’ascension de la bête noire du président Macky Sall. Pour éviter de rejoindre la longue liste d’adversaires neutralisés par le pouvoir, le maire de Ziguinchor a enfilé sa tenue de combat pour un dernier acte de bravoure. Ce chemin pris par Sonko ne sera pas sans conséquences si le chef de l’Etat entre dans la danse. Le locataire du Palais doit éviter le piège tendu par l’opposition.

sonko

Le meeting tenu ce week-end a permis aux sénégalais de découvrir un nouveau visage de l’homme que Adji Sarr accuse de viols et menaces de mort. En tenu de combat de couleur verte, Ousmane Sonko a sorti les crocs pour lancer sa résistance. Désormais plus rien ne peut le faire reculer. Si on en croit le maire de Ziguinchor, il a déjà fait son testament. En d’autres termes, Sonko est prêt à l’affrontement final. Lui qui ne rêve que de rééditer le coup de mars 2021 risque d’être bien servi. Le patriote en chef et ses partisans ne veulent pas entendre parler de procès. Alors que tous les leviers sont activés pour envoyer Sonko devant le tribunal.

Cette voie prise par le PROS (Président Ousmane Sonko) n’est pas des meilleures. Et lui-même le sait. Mais Sonko n’a que les muscles pour argumenter. La force de la rue semble lui être montée par la tête. Mais appeler à la résistance serait la plus grosse bêtise du maire de Ziguinchor vu la situation actuelle. Le leader de Pastef risque de conduire les jeunes à l’abattoir. Car depuis mars 2021, Macky Sall est prêt à faire respecter l’Etat de droit. En poussant les jeunes à mourir, Sonko risque de corser sa situation judiciaire.

Si l’Etat n’a pas pu faire tomber Ousmane Sonko pour appel à l’insurrection en mars 2021, il pourrait le faire aujourd’hui. Il suffit juste que Sonko lance la vague meurtrière. Et ce sera fini pour lui. Car le régime de Macky ne laissera pas la même chose se produire deux fois. Mais Sonko n’en a cure. Tout ce qu’il veut, c’est éviter d’aller au Tribunal. Et cela risque d’être l’élément déclencheur de la révolte des patriotes qui se trament depuis la révolution ratée il y a deux ans. Sonko a peur et compte sur la rue pour se tirer d’affaires. Alors il incombe au régime de ne pas jouer le jeu des pyromanes…

Tous les analystes sont unanimes : le contexte actuel est défavorable au président. Pousser les patriotes à se révolter pourrait avoir des répercussions sur les sénégalais. Le prix des denrées flambe, le prix du carburant a pris l’ascenseur, la question du troisième mandat est devenue un véritable problème. Ce cocktail molotov pourrait plonger le pays dans les émeutes de 2021. D’ailleurs, le patriote en chef semble profiter de cette situation pour lancer sa révolte. Et si Macky le suit, il aura affaire aux sénégalais étranglés par le coût dur de la vie.

Quand la révolution de Sonko sera en marche, elle fera couler beaucoup de sang. Si le patriote en chef n’a toujours pas encore compris la sacralité de la vie, Macky Sall ne doit pas tirer sur la gâchette. En envoyant Sonko en prison, le pouvoir aura certes réussi à écarter un adversaire encombrant. Mais, il aura les mains tachetées de sang tout comme le leader de Yewwi qui commande ce navire fou. Aucune révolution, aucune politique ne vaut la vie d’un seul sénégalais. Et si Sonko avait compris la parole de Serigne Mountakha, il aurait engagé le combat autrement.

Macky Sall et Ousmane Sonko sont déterminés à livrer leur dernier combat. Cette bataille risque de faire plus de victimes que mars 2021. Les jeunes doivent prendre conscience de leurs actes et ne pas tomber dans le piège des politiques. Le chef de l’Etat partira par A ou par B. Alors il ne sert à rien de transformer le pays en champ de bataille qu’on risque de reconstruire à nos frais. Ousmane Sonko doit revenir à la raison. Être président ne doit pas le pousser à sacrifier la vie des jeunes qui nourrissent un grand espoir en lui. Mais Macky Sall doit aussi savoir qu’un pays ne se gouverne pas par la force et les combines politiques.

Affaire de la Centrale Sendou : ce que Cheikh Yérim n’a pas dit

Dans son livre « Macky Sall face à l’histoire, passage sous scanner d’un pouvoir africain », Cheikh Yérim Seck révèle, au chapitre 5 de son livre intitulé «la gouvernance non sobre et non vertueuse du secteur de l’énergie », un présumé scandale dans le secteur de l’énergie.

L’auteur met à nu les manœuvres de l’ex co-actionnaire de la Compagnie d’électricité du Sénégal (CES) dans la gestion de la centrale de Sendou sont passés sous silence.

En effet ces glissements de terrain qui avaient d’ailleurs été révélés dans un numéro de « Africa Intelligence » (28-09-2020) révélaient le montage financier bluffant destiné à amadouer les principaux bailleurs, les raisons de l’audit enclenché par la BAD et la FMO après des suspicions de fraudes de l’homme d’affaires, le stratagème résultant de la conversion des dettes en actifs, des chèques émis en violation aux dispositions qui régissent ces types de contrat en lieu et place de virement bancaire sur des comptes dument identifiés, pour ne citer que ceux-là.

Les supposées révélations contenues donc dans le livre du journaliste ; constituent en réalité une vaste opération de dénigrement visant à biaiser toutes les initiatives entreprises en matière de politique énergétique par l’Etat du Sénégal, mais aussi saborder le travail du Directeur Général de la CES Malick Seck qui a mis fin aux combines de Norland Suzor et son complice détenteur d’un contrat exorbitant de 25 ans en fourniture de charbon.

Juste après le placement de la CES en redressemement judiciaire en avril 2021, les actionnaires majoritaires, en collaboration avec la Senelec, ont décidé de sauver ensemble la société, de suspendre le contentieux, et de décider ensemble des conditions de reprise de l’exploitation, accompagnée d’une réhabilitation progressive de la centrale permettant d’atteindre la pleine capacité de 125MW. Ces accords mutuels, consignés dans un avenant 10 signé en janvier 2022, prévoyaient entre autres, la conversion en gaz de la centrale à gaz. Un processus qui suit son cours et augure de bonnes perspectives en terme de fourniture et d’approvisionnement en électricité. Cette mesure forte a permis non seulement d’assurer la continuité de la fourniture d’électricité au peuple sénégalais, mais aussi de sauver plus de 200 emplois (à la place Norland Suzor préférait continuer le contentieux avec la Senelec, avec l’Etat du Sénégal, licencier le personnel et aller se réfugier au Luxembourg en attente d’un éventuel verdict de la cour d’arbitrage dans les 4 ans à venir…)

[VIDEO] – CHEIKH YÉRIM SECK – Macky Sall face à L’histoire – CHAPITRE 2 « L’entrée au Palais par effraction « . REGARDEZ

Macky Sall ;L'entrée au Palais
Macky Sall ;L'entrée au Palais