Accueil Blog Page 198

L’ex manager de Viviane: « Lima Gueuna Meti, Nek na prison 6 mois, meussoufa tekk tankam » (vidéo)

Audio – Maître Moussa Sarr dément la libération de Bassirou Diomaye et apporte des précisions « Demb Si 15h

Vidéo – Clash Barth Sonko : Dame Mbodj catégorique «  Kou Dém Si Dialogue bi Danga Worrr…. »

La maturité du Président Macky Sall face à l’infantilisme des leaders de Yewwi et F24 (Par Mouhamadou Lamine Massaly)

« On ne confie pas une maison en construction à une entreprise de démolition ». En effet, des dynamismes obscurs aux desseins inavoués tentent vaille que vaille de détrôner le régime du Président Macky Sall qui a fini de mettre le Sénégal sur les rampes de l’émergence.

Ces forces du chaos qui s’agitent sur le champ sociopolitique, n’ont aucun programme alternatif crédible à proposer aux populations et menacent de détruire tout sur leur passage, si par extraordinaire elles arrivaient au pouvoir.

Les leaders de Yewwi et du F24 servent aux populations un discours de manipulations, de mensonges et insurrectionnel, avec comme refrain un piteux « Macky Dégage ». Mais à force de verser dans l’adversité haineuse et revancharde, l’on perd toutes ses facultés de discernement et le raisonnement s’en trouve terriblement spécieux et estropié.

Or, cette calamité est malheureusement arrivée aux chefs de partis membres de la Coalition Yewwi et du F24 qui ont tellement usé de la critique facile, de la délation et du dénigrement systématique qu’ils ont oublié le B-A BA de la morale et de l’éthique politiques.

Le Président Macky Sall, la seule alternative crédible

Le président Macky Sall est la seule alternative crédible pour sauver notre République de l’autodestruction. Dans ce délicat contexte sous-régional, entre explosion de la menace terroriste et émergence des juntes militaire, les chefs d’Etat de la Cedeao souhaitent le voir rempiler pour un second quinquennat au nom de la « stabilité régionale ».

Les péripéties actuelles des opposants revanchards et sournois au régime du Président Macky Sall prouvent leur incapacité à constituer une alternative crédible. Les leaders de Yewwi et du F24 manquent cruellement de propositions pertinentes autres que des invectives et une litanie d’absurdités. En un mot, avec l’échec de leur manifestation à la Place de la Nation qui a fini en queue de poisson, les leaders de Yewwi et du F24 nous font honte !

Entre regroupements contre nature, renonciations idéologiques et opportunisme compulsif, Yewwi et F24 n’inspirent plus confiance. Car, au fur et à mesure de leurs reniements et de leurs postures alambiquées, ils montrent que seul le pouvoir les intéressent et non la volonté d’apporter des ruptures transformatrices dans l’intérêt, notamment, des Sénégalais.

Au sein de Yewwi et F24, des hommes politiques dont la moyenne d’âge avoisine 70 ans et qui ont eu des parcours politiques riches et diversifiés aussi bien dans les sphères du pouvoir que dans les rangs de l’opposition, outrepassent les règles d’éthique républicaine.

Habib Sy fut traîné en justice pour escroquerie. L’affaire remonte à 2012 après qu’un client a cédé à l’ex-maire de Linguère, une voiture de marque Mercedes GL 450 immatriculée sous le numéro DK 1575 AN au prix de 33 000 000 FCFA. Jabib Sy sera ainsi condamné, en première Instance, à payer 30 millions et 5 autres briques, en guise de dommages et intérêts.

Barthélémy Dias a été Jugé coupable, le 16 février 2017, pour « coups mortels » contre un jeune militant du Parti démocratique sénégalais (PDS).

Khalifa Sall a été déclaré coupable de plusieurs délits, dont « escroquerie aux deniers publics », « faux et usage de faux dans des documents administratifs » et de « complicité en faux en écriture de commerce », mais a en revanche écarté les délits « d’association de malfaiteurs » et de « blanchiment d’argent ».

Ousmane Sonko est poursuivi pour « viols présumés » et son procès est fixé au 16 mai. Il a été aussi condamné à 6 mois de prison avec sursis dans le cadre du procès en diffamation qui l’oppose au ministre Mame Mbaye Niang.

Combattre Ousmane Sonko et Cie, c’est faire œuvre de salubrité publique pour leur barrer la route.

Mouhamadou Lamine Massaly

Président du Parti de l’Union pour la Nouvelle République (UNR)

Depuis le Canada 13 MAI 2023

Hués contre Khalifa : Très pertinent, Bassirou Samb exige des excuses publiques de la part de Yewwi (Vidéo)

Après les hués de la part de militants de Ousmane Sonko, Khalifa Sall clame le mentor de Barthélemy Dias.

Sur le plateau de Jakaarlo, Bassirou Samb exige des excuses publiques de la part de Yewwi.

Après les hués sur son mentor, Khalifa Sall clame le mentor de Barthélemy Dias.

Cheikh Tidiane KandéAujourd’hui à 14:590

0

La prise de parole de Khalifa Sall lors du Grand rassemblement du F24 vendredi à la Place de la Nation a été très amère.

Le patron de Takhaw Ndakaru a été victime de hués de la part des militants de Ousmane Sonko. Et malgré les une bonne partie de la foule était restée de marbre a continué de clamer le mentor de Barthélemy Dias.

Sur la plateau de Jakaarlo, le jeune socialiste pro-Khalifa Sall et membre actif de Takhawu Sénégal, après avoir remis tous les points de divergences sur tous les « i » de convergence, a exigé des excuses publiques de la part de Yewwi après les hués sur son mentor.

Idrissa Seck dévoile sa richesse et s’emporte contre un journaliste révélant sa vie luxueuse (Vidéo)

Idrissa Seck, candidat déclaré à la présidentielle du parti Rewmi, a perdu son calme lors d’un entretien avec un journaliste.

L’ancien président du Conseil économique, environnemental et social s’est énervé en réponse à une question portant sur l’origine des richesses des politiciens sénégalais.

Idrissa Seck a justifié son train de vie en citant Confucius, soulignant qu’il ne souhaitait pas vivre dans la pauvreté ni la médiocrité.

0

Ce vendredi 12 mai, Idrissa Seck, candidat du parti Rwemi déclaré à la présidentielle, a accepté de répondre aux questions du groupe Emedia. Le point culminant de cet échange a été lorsque l’ancien président du Conseil économique, environnemental et social a paru perdre son calme en réponse à une question portant sur l’origine des richesses des politiciens sénégalais.

Face à l’interrogation du journaliste sur le décalage apparent entre la fortune des politiciens et la vie quotidienne de la population sénégalaise, Idrissa Seck a vivement répliqué. « Arrêtez de raconter des histoires. Soit vous posez de bonnes questions et je vous donne les réponses, soit vous ignorez la situation et vous vous taisez », a-t-il lancé, visiblement irrité.

Poursuivant, l’homme politique a cité Confucius pour justifier son train de vie. « Je vis ce que Confucius a dit il y a plusieurs millénaires : celui qui néglige ce qu’il a de plus précieux, c’est-à-dire sa propre personne, ne peut pas bien s’occuper de ce qu’il aime », a-t-il expliqué.

Idrissa Seck ne s’est pas arrêté là et a détaillé son style de vie, indiquant clairement qu’il ne souhaitait pas vivre dans la pauvreté ni la médiocrité. « Quand je suis à Paris, je suis à Saint James Paris. Quand je suis à Washington, je suis à Us Army & Navy Club. Quand je suis à New York, je suis à Yale Club », a-t-il déclaré, soulignant ainsi sa préférence pour des lieux prestigieux lors de ses déplacements.

Position ferme et surprenante de Imam Kanté sur le problème entre Sonko & Barth “Lima gueum moy Macky.. » (Vidéo)

Fou Malade sur le problème des terres à Ngor: « Il faut un dialogue global sur le foncier » (Vidéo)

Le Sénégal est confronté à des problèmes liés au foncier depuis de nombreuses années, avec des conflits fréquents entre les populations locales, les autorités administratives et les investisseurs privés. -À Ngor, une petite presqu’île située au nord-ouest de Dakar, les problèmes fonciers sont particulièrement aigus en raison de la pression foncière croissante.

Le gouvernement sénégalais a mis en place des réformes foncières visant à améliorer la gestion du foncier et à protéger les droits des populations locales.

Le Sénégal est confronté à des problèmes liés au foncier depuis de nombreuses années, avec des conflits fonciers fréquents entre les populations locales, les autorités administratives et les investisseurs privés. Ces conflits sont souvent liés à des questions de propriété foncière, d’accès aux terres et de l’utilisation des ressources naturelles.

À Ngor, une petite presqu’île située au nord-ouest de Dakar, les problèmes fonciers sont particulièrement aigus en raison de la pression foncière croissante qui s’exerce sur cette zone côtière. Les conflits fonciers à Ngor impliquent souvent des investisseurs privés qui cherchent à acquérir des terrains pour construire des hôtels, des restaurants ou d’autres infrastructures touristiques.

Ces investisseurs sont souvent accusés d’utiliser des méthodes illégales pour obtenir les terrains, comme la falsification de documents fonciers, la corruption et l’intimidation des propriétaires fonciers. Les populations locales ont également dénoncé la destruction de l’environnement naturel, la privatisation de l’accès à la plage et la perte des moyens de subsistance traditionnels tels que la pêche.

Le gouvernement sénégalais a mis en place des réformes foncières visant à améliorer la gestion du foncier et à protéger les droits des populations locales. Cependant, la mise en œuvre de ces réformes reste limitée et les conflits fonciers continuent de se produire dans de nombreuses régions du pays, y compris à Ngor. Pour Fou Malade, sur cette question et pour d’autres, il faut donc un dialogue global pour prendre en compte tous les problèmes et conflits qui font échos dans ce pays.

Retrouvailles libérales : Idrissa Seck d’accord, mais sans les Wade

Dans un entretien avec le Groupe E-Media, Idrissa Seck, s’est prononcé sur la réunification de la famille libérale.

Mais, il s’est encore attaqué violemment à Me Abdoulaye Wade qu’il ne pardonne pas pour l’avoir jeté en prison.

«J’ai eu la naïveté de croire que j’étais le fils. Il m’a donné la preuve formelle que ce n’était pas vrai ! Il m’a jeté en prison. Il a dit à son ministre de l’intérieur qu’il allait m’égorger. Est-ce qu’il aurait fait ça à Karim Wade ? », se demande-t-il.

Avant d’ajouter : « Karim qui a été condamné définitivement en première instance, en appel et à la cour suprême, pour vol de deniers publics. Moi Abdoulaye Wade était obligé de me donner un non-lieu, ce qu’il ne pouvait pas ne pas faire. Il n’avait qu’un seul choix, c’était de me donner un non-lieu. »

Il rembobine : « Ce qu’il a fait c’était de la fumisterie ! Ce qu’il m’a fait, il ne l’aurait pas fait à Karim Wade. Donc j’ai réalisé que ce n’était pas mon père…

Quid des retrouvailles de la famille libérale ? « Je suis d’accord pour la réunification de la famille, mais sans Wade et Karim », a-t-il dit.

Manif F24, Amadou Ba Pastef avertit Macky « y’a tellement d’amertume té loolu ken duko baal Macky… »

Manif F24, Amadou Ba Pastef avertit Macky
Manif F24, Amadou Ba Pastef avertit Macky

Exclusif – Entretien téléphonique entre Macky et Obama sur le 3e mandat sous supervision de la maison lanche

Macky et Obama
Macky et Obama

Le Sénégal, à 9 mois des élections, attire l’attention de la communauté internationale. La participation de Macky Sall, quatrième président de la République du Sénégal est une question qui suscite le débat d’autant plus que le concerné maintient le flou total sur la question.

Personne n’est en mesure d’affirmer « sans se tromper » que le Président Macky Sall va se présenter ou non pour un troisième mandat. « Le Ni Oui ni Non » devient même une réthorique très utilisée. Mais cette fois-ci, c’est une personnalité politique américaine qui s’intéresse à la question : « c’est l’ancien Président des États Unis » apprend t-on du site d’information politique et économique, Africa Intelligence. Selon les informations du site, l’ex-président des Etats-Unis Barack Obama s’est entretenu dans le plus grand secret au téléphone avec le chef de l’Etat Macky Sall pour évoquer l’élection présidentielle du 25 février 2024.

En effet, l’échange qui aura duré un peu moins d’une heure, s’est tenu en étroite coordination avec l’administration Biden, au moment où Washington reste préoccupée par le scénario d’un troisième mandat de Macky Sall. Le 44e président des États Unis qui évoque le sujet après le président de la République française, Emmanuel Macron qui aurait essayé de convaincre Macky Sall de renoncer à se représenter à un troisième mandat en 2024.

Cet appel téléphonique entre l’ancien locataire de la Mason Blanche et le Président Macky Sall a été facilité par la relation personnelle qu’ont nouée les deux hommes au cours de la dernière décennie. D’ailleurs, pour rappel, en juin 2013, l’ancien locataire de la Maison blanche avait choisi le pays de la Teranga pour commencer sa première grande tournée africaine. En effet, lit-on dans « Africa Intelligence », Paris et Washington voient en Macky Sall « une figure incarnant la lutte contre les troisièmes mandats en Afrique de l’Ouest ». D’où ces efforts émis par ces deux capitales en vue de persuader le successeur du Président Wade. 

Malgré ces initiatives combinées, du côté de la Maison Blanche comme celui de l’Élysée, les intentions du Président Macky Sall restent un mystère au moment où son cercle restreint prépare discrètement cette candidature à un troisième mandat que l’intéressé même, serait prêt à officialiser avant l’été.

Incroyable – des jeunes Ziguinchorois passent des nuits blanches devant la maison de Sonko

des jeunes Ziguinchorois passent des nuits blanches devant la maison de Sonko
des jeunes Ziguinchorois passent des nuits blanches devant la maison de Sonko

Depuis quelques jours, le bruit court comme quoi l’arrestation du leader du parti Pastef serait imminente. Avéré ou pas, des jeunes, acquis à la cause de l’opposant Ousmane Sonko, passent des nuits blanches devant sa niche de Ziguinchor.
Une manière de lui servir de « boucliers ».

Dialogue national- La date finalement… connue

Macky Sall
Macky Sall

Selon des informations en possession de la rédaction de dakarposte, la date du 28 Mai prochain a été finalement calée pour le  dialogue national à l’actif du chef de l’Etat, Macky Sall. Du moins, sauf revirement.

Un évènement tant attendu compte tenu de la situation  connue de tous sous nos cieux, à quelques mois de la décisive Présidentielle,  marquées par nombre de clashs et de déclarations assassines, entre autres surprenants coups de Jarnac.

 Bref, l’heure sera désormais – du moins en apparence –   à l’apaisement. 

En un mot, dimanche 28 Mai, sous les ors du convoité  palais de la République, celui qui tient les manettes du pouvoir Exécutif lancera  le  dialogue national, en l’absence bien évidemment de l’opposant Ousmane Sonko. Qui, sans l’ombre d’un doute, brillera par son absence. 

Hormis, le chef de file du parti Pastef, Déthié Fall, Aminata Touré, le « Pur » entre autres opposants au régime marron seront aux abonnés absents.

Nous osons espérer que cette rencontre permettra aux uns et aux autres d’exprimer librement leurs divergences aux fins de  décrisper l’atmosphère au Sénégal. 

Manif du F24 : «Sonko Dafa Daw » Amadou Ba Pastef répond et précise «Fi mou nek Mangui… »

Amadou Ba Pastef
Amadou Ba Pastef

(Vidéo) Ndeye Ndack Touré raconte « La seule fois ou j’ai rencontré Mr Sonko »

Ndéye Ndack TOURE
Ndéye Ndack TOURE

(Vidéo) Amadou Ba balance une info de taille sur la décision de Sonko pour le procès du 16 avec Adji Sarr.

Amadou Ba
Amadou Ba

(Vidéo) Pape Djibril Fall sur les évènements de Ngor « J’avais alerté sur le danger mais les autorités n’ont pas écoutés »

Pape Djibril Fall
Pape Djibril Fall

Dernière minute : Le lutteur Ada Fass arrêté pour une grosse affaire !

Le lutteur Ada Fass
Le lutteur Ada Fass

Ada Fass, le célèbre lutteur, vit actuellement une descente aux enfers. Après avoir été lynché par certains de ses supporters, il a été arrêté et déféré ce vendredi par les éléments du commissariat urbain de Saly. Selon Seneweb, il est poursuivi pour association de malfaiteurs et vol avec violence commis la nuit.

Dans la nuit du 1er au 2 mai dernier, un animateur dans une boîte de nuit a été victime d’une agression. Deux malfaiteurs ont tendu un piège à cet animateur pour le dépouiller de ses biens alors qu’il était assis dans son véhicule avec son ordinateur portable. La victime a reçu deux coups lorsqu’elle a tenté de résister, selon Sanslimitesn. Les deux bandits ont pris la fuite, laissant leur moto sur place. Suite à la plainte déposée par l’animateur, les éléments du commissariat urbain de Saly ont réussi à mettre la main sur un suspect.

Interrogé sur procès-verbal, A. N. a déclaré que la moto qu’il conduisait a été volée à Dakar avec la complicité du lutteur Ada Fass. Ce suspect a été déféré au parquet le 8 mai dernier. Malgré tout, les policiers ont poursuivi l’enquête pour élucider cette affaire. Après avoir réuni des indices compromettants contre le lutteur de Fass, les limiers ont procédé à son arrestation.

Interrogé sur procès-verbal, Ada Fass a nié son implication dans cette affaire. Mais il ressort de l’enquête menée par les hommes de Madame la Commissaire Kâ que le célèbre lutteur de Fass a été localisé à Saly la nuit des faits. Poursuivi pour association de malfaiteurs et vol avec violence commis la nuit, Ada Fass a été présenté ce vendredi au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Mbour

Khalifa Sall hué, Amadou Ba Pastef fait une révélation surprenante et révèle «  Li Takh Gayi dii… »

Amadou Ba Pastef
Amadou Ba Pastef

Préservation de l’équité et l’inclusion sociale : La communauté Soninké remercie les efforts du président de la République

La communauté Soninké remercie les efforts du président de la République
La communauté Soninké remercie les efforts du président de la République

C’était inattendu. Mais le président de la République, Macky Sall a effectué la prière du vendredi au Centre islamique pour l’appel au Coran et à la Sunnah communément appelé Mosquée Soninké (avenue Malick Sy).

Sur place, le Chef de l’Etat après la prière a profité de la tribune pour présenter ses condoléances à la communauté suite au décès de leur Imam.

Et en retour, fier et content de cette visite présidentielle, la communauté l’a remercié pour ses efforts d’équité et d’inclusion qu’il mène tous les jours avec les actes qu’il pose au jour le jour pour la stabilité sociale du pays.

« Vous êtes le premier président à venir dans cette mosquée pour la prière du vendredi. Depuis que vous êtes à la tête de ce pays, vous avez mis toutes les couches sociales, ethniques sur le même pied. Nous vous en remercions et nous vous encourageons » a témoigné l’imam du jour qui a parlé au nom de la communauté Soninké.

L’Amicale des Administrateurs civils du Sénégal (AACS) organise sa 26ème Assemblée générale ordinaire les samedi 13 et dimanche 14 mai 2023

COMMUNIQUE DE PRESSE

L’Amicale des Administrateurs civils du Sénégal (AACS) organise sa 26ème Assemblée générale ordinaire les samedi 13 et dimanche 14 mai 2023 à l’hôtel « Royal Baobab » de Somone, à Mbour.
La presse nationale est invitée à couvrir la cérémonie d’ouverture prévue le samedi 13 mai 2023 à 16 heures et au point de presse qui sera animé par le Président nouvellement élu le dimanche 14 mai 2023 à 12 heures.

M. MAGUETTE SENE PRESIDENT DE L’AACS

(Vidéo) Sonko absent à la manif, Khalifa Sall hué, Amadou Bâ Pastef donne les raisons  » procès biniou…”

Sonko absent à la manif, Khalifa Sall hué, Amadou Bâ Pastef
Sonko absent à la manif, Khalifa Sall hué, Amadou Bâ Pastef

Villa de Cheikh Yérim à Ngor : «Certains auteurs de l’incendie identifiés»

Villa de Cheikh Yérim à Ngor
Villa de Cheikh Yérim à Ngor

L’incendie de la villa de Cheikh Yérim Seck, sise à Ngor, ne devrait pas rester impuni. Les auteurs de ce crime, perpétré en marge des heurts entre Ngorois et gendarmes, mardi dernier, sont dans le viseur de la justice.

Source A révèle dans son édition de ce vendredi qu’une enquête est ouverte. Mieux, rapporte le journal, certains des auteurs présumés de l’incendie ont été identifiés et «leur interpellation ne devrait pas tarder».

Source A évoque «des pistes sérieuses» et souligne que «Cheikh Yérim Seck est lui aussi en train de rassembler des éléments pour faire payer aux auteurs leur acte criminel».

Le feu n’a pas fait de victime. Il a été vite maîtrisé et au moment des faits la maison était vide. Cheikh Yérim Seck ayant déménagé depuis longtemps. Mais, des dégâts matériels importants ont été enregistrés.

Escroquerie : l’incroyable histoire de la dame qui se faisait passer pour la fille du général Moussa Fall

La DIC et le parquet de Dakar ont reçu une pluie de plaintes pour escroquerie contre L. D. Fall. Cette dame se nomme en vérité M. D. Fall. En plus de cacher son identité, selon les plaignants, elle se faisait passer pour la fille du général Moussa Fall, le Haut commandant de la gendarmerie. D’après L’Observateur, qui relaie cette rocambolesque affaire, L. D. Fall a roulé au moins quatre personnes dans la farine.

M. Touré, d’abord : cet homme d’affaires a saisi le procureur de deux affaires. La première concerne quatre conteneurs de dattes en provenance de la Tunisie. C’était en prévision du dernier mois de Ramadan. L. D. Fall lui aurait fait croire que ses partenaires établis dans ce pays pouvaient lui envoyer la cargaison contre 23 millions de francs CFA. Malgré les fonds débloqués, l’homme d’affaires ne vit jamais la couleur des dattes et n’a pas été remboursé.

Ce n’était pas tout pour M. Touré. «Elle devait me vendre une Ford Explorer à 7 millions de francs CFA. Je lui ai versé 4,1 millions de francs CFA, mais je n’ai jamais reçu la voiture», regrette le plaignant.

T. Sylla, lui, avait mis deux voitures (une Ford Fusion et une Dodge) à la disposition de la dame qui lui avait fait croire qu’elle s’activait dans ce business. La valeur de la Ford était fixée à 7,5 millions de francs CFA et celle de la Dodge à 6,5 millions de francs CFA.

«Je n’ai reçu qu’une partie des fonds, soit 7,5 millions de francs CFA. Je me suis déplacé jusqu’à Malicounda pour mettre les véhicules à sa disposition, rembobine T. Sylla. Depuis lors, elle fait dans le dilatoire. J’ai compris que j’avais affaire avec une personne de mauvaise foi quand j’ai découvert qu’elle se nomme réellement L. D. Fall et non M. D. Fall.»

Dans le cadre de leurs investigations, les enquêteurs sont tombés sur une troisième victime de la fausse fille du général Moussa Fall. Il s’agit de B. Cissé, gérant d’un parking de voitures d’occasion. Ce dernier a révélé aux policiers avoir remis à la mise en cause une Ford Explorer contre les deux voitures de T. Sylla.

Il ajoutera avoir été victime de L. D. Fall en ce sens qu’il lui a remis 11,7 millions de francs CFA pour de l’achat de voitures après que la dame lui a fait croire qu’elle en importait de Dubaï. «Je n’ai rien reçu depuis le versement de mon argent. Elle me doit (en tout) 13,5 millions de francs CFA», clame B. Cissé. L’Observateur n’a pas justifié le différentiel de 1,8 million de francs CFA.

Autre victime présumée de L. D. Fall : M. K. Touré. Ce dernier a déclaré avoir versé à la suspecte la somme de 11,7 millions de francs CFA pour l’organisation de l’Arbre de Noël de la direction du Trésor. Pour gagner sa confiance, la dame s’est présentée, d’après son récit, en agent du ministère des Finances.

Face aux enquêteurs, L. D. Fall a reconnu avoir reçu le montant évoqué par M. K. Touré. Mais, s’est-elle empressée de préciser, c’était la contribution de ce dernier à l’Arbre de Noël du Trésor. Elle n’a pas manqué de préciser qu’elle fut employée au ministère des Finances entre 2008 et 2021, année de sa démission de ce département.

Toutefois L. D. Fall a juré qu’elle ne s’est jamais présentée comme la fille du général Moussa Fall.
Avec toutes ces plaintes, elle gagnerait à se montrer plus convaincante pour espérer échapper à la prison.

Idrissa Seck : « un homme qui n’est pas capable de dominer ses pulsions est pire qu’un animal »

Le président du parti Rewmi était l’invité spécial du groupe Emedia ce 12 mai. 

Interrogé sur le dialogue politique, l’ancien édile de la ville de Thies ramène tout à la culture pour justifier le comportement « violent » de certains sénégalais. 

Du point de vue de la méthode scientifique, rien ne distingue les hommes et les femmes des autres animaux. Dès lors,  l’ex président du CSE de considérer que « l’humain est un animal comme les autres. Mais à la seule différence, que pour l’homme il y a un code culturel qui peut dominer son code génétique, qui nous régit…Mais malheureusement, il y en  a qui sont pires que les animaux car ne sachant pas dominer leurs pulsions, leurs émotions ». 

Selon lui , c’est ce manque de maîtrise  qui pousse certains hommes à certains déboires, à l’adultère, à la violence entre autres maux.

Le point de bascule (Par Aziz Fall)

Aziz Fall
Aziz Fall

Mon cher pays semble s’approcher inexorablement du point de bascule susceptible de bouleverser de manière encore indéterminée son tissu social. Je ne reviendrai pas sur les nombreuses alertes et signaux alarmants qui s’agrègent pêlemêle depuis un certain temps.
Pour la première fois, on voit émerger des pôles de dissension dans tous les domaines sociaux et son corollaire est une fragmentation de plus en plus accentuée entre franges et nul ne semble épargné par les clairons de la division.

Le doute, ce mal pernicieux se substitue à un espoir certes diffus, parfois surprenant mais tout le temps prévalant dans l’habitus sénégalais
A présent, il devient rare de rencontrer un compatriote spontanément optimiste quant à un futur immédiat dans ce pays encore connu comme la terre de la Téranga.
Ce n’est pas seulement le fait incriminant de la politique qui, souvent, fait office de caisse de résonance désespérée d’un malaise grandissant. Toutefois, ces joutes politiques qui semblent se dérouler en feu continu participent à cristalliser les extrêmes et les outrances. Sur la durée, c’est le seuil de tolérance collectif qui risque d’en pâtir car la tolérance n’a jamais été une proposition statique
Elle vit de la sève nourricière des individus qui la verbalisent. Nous sommes collectivement tenus, avec l’individu comme point de départ de la consolider et de la raffermir au risque de glisser sur des sentiers qui mènent à la dérive. La nature humaine qui nous gouverne fait qu’on n’accepte l’actualité d’une dérive que lorsque le dérapage est perçu comme occurrence normale et acceptable.

Au regard de ce qui se passe dans notre société ces derniers temps, le constat est clair : les nuages s’amoncellent et ce n’est pas leur taille qui suscite la crainte, mais leur fréquence et leur constance. Car, en dernière analyse, il n’y a pas de petite violence ; il n’y a pas de petite crise.
Je rappelle le nombre inacceptable de compatriotes morts lors des évènements de mars 2021 ; et cela n’a pas arrêté depuis.  sans oublier les innombrables journées d’incertitude, de soubresauts et de haltes socioéconomiques qui frappent Dakar de plus en plus.
Simultanément à ces malheureux développements, nous sommes témoins d’une inflation de la violence verbale qui s’impose et se met à dominer l’espace public.

Ce sont des phénomènes qui se nourrissent de leur réalité et se caractérisent par leur évolution parasitaire donc exponentielle et risquent de mener toute la nation vers le chaos.

Ce dernier ne survient pas nécessairement sous la forme d’une déflagration soudaine et brutale, il peut aussi s’installer en pas feutrés et remettre en cause, pour longtemps et profondément, les certitudes acquises à travers un héritage bien ancré. Je veux nommer ces vertus de solidarité, de la sacralisation de la dignité humaine, entre autres.

Quelle est la cause de ce glissement redoutable, se demande-t-on ? Le premier constat nous oriente évidemment vers certains politiques. Le peuple du Sénégal semble pour la première fois plier sous les assauts d’une catégorie d’acteurs politiques aveuglés par des enjeux circonscrits. Leur force de pression sur le liant invisible mais solide et résilient qui unissait ce peuple a gagné du momentum ces derniers temps.
Surtout que ce monde nouveau et ses caractéristiques disruptives les rendent particulièrement nuisibles et compromettants pour la consolidation et même la sauvegarde des acquis collectifs.

Gardons-nous de sombrer dans un tsunami de regrets pour avoir blessé et meurtri ce que nous avons de plus précieux, ce qu’il y’a de plus précieux pour toute communauté. Ce trésor qu’on nous envie, pour lequel on nous désigne comme une exception ; ce bouclier incompressible et formidable, cette planche salutaire et réconfortante : notre cohésion nationale et notre fierté commune d’appartenir à cette terre d’entrée du continent.

Je ne peux pas deviner les secrets intimes de mes compatriotes quand ils pensent au Sénégal.
Prennent-ils le temps de penser le Sénégal, de le regarder dans leur cœur, de le voir sourire dans leur âme, de le projeter en entité vibrante et dynamique dans leur esprit ?
Peut-être suis-je encore victime de mes temps de nostalgie du pays quand j’étais, loin, si loin de lui et pendant longtemps. C’était une expérience proche de l’épiphanie que d’apercevoir mon pays de loin, dans toute sa splendeur et sa plénitude.

Il m’apparut littéralement comme un don de Dieu, car il l’est. Je ne passerai jamais sous silence les innombrables cas poignants de détresse, les manquements divers et variés dans plusieurs domaines, le désespoir de beaucoup de jeunes à la recherche d’une voie de salut, les parents inquiets pour le bien-être de leur progéniture et oui notre sous-développement. D’autant plus que c’est une époque où je vivais dans l’une des sociétés les plus développées au monde avec un standard de vie presque à nul autre pareil. C’est en ces moments précis que le Sénégal s’est révélé à moi comme la terre des grands hommes qui n’avaient pas besoin de lustres pour rendre visibles la grandeur et la beauté humaines.

Il faut faire l’effort de mesurer le degré de sophistication sociale et communautaire humectée d’humanité qui colore ce peuple. Protégeons cette décence qui le charrie mieux que n’importe quelle autoroute et plus loin que n’importe quel véhicule, quelle que soit, par ailleurs, sa modernité. Ce pays vaut tous les sacrifices, même celui des ambitions les plus légitimes lorsque son âme est sur la sellette.

Il est vrai qu’on ne peut être sur un balcon et se voir passer dans la rue. Ceci nous rappelle la finitude consubstantielle à notre être et notre incapacité de pouvoir apprécier les offrandes de la vie et la réalité alentour dans toute sa complexité. C’est aussi pourquoi il semble nous être difficile de saisir la grandeur de notre pays. Elle ne se mesure pas au PNB, elle est en fait inquantifiable parce qu’immatérielle. La Téranga n’est pas un vain mot, et à travers le monde nous sommes le seul pays connu et reconnu comme tel. Ce concept encapsule un patrimoine distinct et distinctif qui ruisselle dans nos tréfonds à force d’être collé à nos peaux depuis nos ancêtres. Que nous vaudrait le risque de la compromettre alors que nous sommes juste de passage ?

Oui, le monde moderne apporte des défis de dimensions et de nature inconnues car dans le passé la souveraineté était un principe d’ordre. Aujourd’hui, la globalisation et l’interdépendance grandissante qui résulte de nouvelles interactions transnationales risquent de s’imposer comme un principe de désordre.

Notre pays n’échappe pas à cette évolution sociologique qui requiert non pas une transformation mais un réajustement en gardant en ligne de mire notre identité remarquable de peuple profondément décent et démocratique. Les enjeux de l’heure et les aspirations grandes et justifiées qui nous animent nous obligent à un recentrage de nos attitudes et comportements individuels et collectifs.
A défaut, on trouvera difficilement des moments et des occasions de pouvoir profiter de la gloire annoncée de nos lionceaux, des perspectives de progrès associés à nos ressources nouvelles et cet élan national qui devrait nous amener sur les rives de l’émergence.

Ensemble veillons à sauvegarder les promesses d’Un Peuple, Un But, Une Foi.

Aziz FALL

Khalifa Sall et Pape Djibril hués, Ndeye Fatou dit des propos choquants sur Sonko «ay militant am danio rew molén wax niou »

Khalifa Sall et Pape Djibril hués, Ndeye Fatou dit des propos choquants sur Sonko
Khalifa Sall et Pape Djibril hués, Ndeye Fatou dit des propos choquants sur Sonko

Khalifa Sall hué en plein discours « nioun Sonko laniou wax mom rek lagn top » Déthié Fall prend sa défense (Vidéo)

Place de la Nation : Pape Djibril Fall encore hué par des manifestants (Vidéo)

Pape Djibril Fall
Pape Djibril Fall

Décidemment entre le député Pape Djibril Fall et les manifestants de l’opposition la relation n’est toujours pas au beau fixe. Après une mauvaise passe le 30 décembre dernier, Pape Djibril Fall vient d’être hué encore à la Place de la Nation en marge du grand rassemblement du F24.

Annoncé pour prendre la parole comme les autres leaders, Pape Djibril Fall a été hué par une partie du public. Il a fallu l’intervention de Abass Fall du Pastef Les Patriotes pour calmer ces manifestants.

Oustaz Maodo Faye sur la condamnation de Sonko : « Àtte bi leerul (…) dañ koo singili »(vidéo)

« La condamnation de Ousmane Sonko n’est pas claire », selon Maodo Faye.

Le journaliste dénonce un acharnement de l’Etat contre le leader de Pastef.

Il ajoute que cela prouve que les autorités ont tombé dans leur piège.

Barthélemy Dias a retrouvé ses 300k followers. Mais à quel prix ? Remontada ? (Par Mountaga Cissé)

Meta rend publiques les informations sur les « publicités portant sur un enjeu social, électoral ou politique ».

Un tour sur le bibliothèque publicitaire de Meta nous permet de constater qu’Ousmane SONKO n’a jamais usé de la fonctionnalité « Publicité » ou « Sponsorisation » sur sa page.

Meta nous dit par exemple, qu’entre le 7 et le 10 mai, la page de Barthelemy Dias a dépensé près de 600 $ pour obtenir de nouveaux abonnés..

Ce qu’il faut savoir est que, depuis l’éclatement du scandale Cambridge Analytica, Meta (la maison mère de Facebook) a fait beaucoup d’efforts quant à la transparence des publicités sur ses plateformes. Meta rend publiques les informations sur les « publicités portant sur un enjeu social, électoral ou politique ». Donc, nous pouvons très facilement savoir qui en use ou en « abuse ».

Barthelemy Dias disait dans une de ses récentes sorties que : « Les vues sur Facebook, ça s’achète. Il suffit juste d’avoir une carte de crédit. » Il n’a pas tort sur ce point. Mais sur un autre registre il est complément passé à côté. En indexant par exemple indirectement Ousmane Sonko comme quelqu’un qui « achète des vues ».
Un tour sur le bibliothèque publicitaire de Meta nous permet de constater qu’Ousmane SONKO n’a jamais usé de la fonctionnalité « Publicité » ou « Sponsorisation » sur sa page. Nous pouvons donc dire que tous les followers (abonnés) sur sa page ou les « vues » sur ses vidéos le sont de manière organique. C’est-à-dire qu’ils ont suivi la page grâce à l’algorithme naturel de Facebook. Ce qui est un fait très rare chez les politiques, même dans le monde entier.

Au moment où Barthelemy Dias insinue qu’il s’en fout des followers/insulteurs qui ont déserté sa page, il dépense des centaines de dollars pour en convaincre de nouveaux.

Meta nous dit par exemple, qu’entre le 7 et le 10 mai, la page de Barthelemy Dias a dépensé près de 600 $ pour obtenir de nouveaux abonnés. La page a connu une courbe décroissante après sa sortie du lundi 8 mai (opération « unfolow »), puis une courbe croissante, mais timide (remontada) grâce à l’opération « Carte de crédit ».

Bref, je ne partage que des faits que tout le monde peut vérifier.

Procès Sonko : La déclaration inquiétante d’El Malick «  Banioussi Niakk sunu Bakan.. » Macky Dinaa (Vidéo)

Aïda Mbodj et Mamadou Ibra Kane démontent Macky « Waro Bok, té Sonko Dafay Bokk.. » (Vidéo)

Idrissa Seck prévient Yankhoba Diatara : « Si c’est vrai, la décision que je prendrai… »

Idrissa Seck
Idrissa Seck

Idrissa Seck, le leader de Rewmi, a pris position sur l’affaire présumée de scandale financier révélée par la Cour des comptes au ministère des Sports. Il s’agit de la gestion du budget de la participation des Lions à la dernière Coupe du monde de football. Dans ce contexte, il a adressé une mise en garde à son collaborateur Yankhoba Diatara.

Idrissa Seck a affirmé qu’il ne prendrait aucune décision avant de lire le rapport de la Cour des comptes. S’il est avéré que Yankhoba Diatara a commis des fautes, il sera exclu du groupe. Toutefois, il a tenu à respecter le principe de la présomption d’innocence et a souligné que c’est à l’intéressé de s’expliquer sur les accusations portées contre lui.

Idrissa Seck avance que « si yankhoba Diattara est coupable d’actes délictueux, que la loi s’applique avec toute sa rigueur et même si je suis président de la République et que le rapport se retrouve sur mon bureau, il sera sanctionné ».

Barthélémy Dias, maire de Dakar : « Si les manifestations de mars 2021 se reproduisent, je crains que celui qui va hériter du pouvoir ne soit pas un civil ! »

Sonko
Sonko

Les attaques à peines voilées du maire de la ville de Dakar contre son homologue de la ville de Ziguinchor tous deux membres de la coalition Yewwi Askan Wi,  continuent d’alimenter la presse. Même la presse internationale en fait ses choux gras. C’est sur le plateau de Tv5 monde que Barthélémy Dias l’accusateur a fait savoir le fond de sa pensée. Il est formel : « Je ne me souviens pas avoir tenu des propos désobligeants contre Ousmane Sonko encore moins des propos critiques. J’ai commenté une situation. Certes nous sommes dans le cadre d’un choc des ambitions, ce qui nous rassure, c’est que dans cette coalition nous sommes d’accord sur l’essentiel qui est de redorer le blason de la démocratie sénégalaise et la 3ème candidature de Macky Sall. Depuis quand un choc des ambitions peut-il constituer un problème ? », fait-il savoir.  
Cependant, le maire de la capitale sénégalaise a tenu à faire des alertes sur les conséquences démocratiques de manifestations à Dakar ; à l’image de celle qui commence ce vendredi 12 mai 2023, organisée par le F24 pour lutter contre la 3èmecandidature du président Macky Sall, la libération « de détenus politiques » … « Des manifestations d’une rare violence se sont produites en mars 2021. Je crains fortement que si ces manifestations se reproduisent, celui qui va hériter du pouvoir ne soit pas un civil »  présage Barthélémy Dias…

Avec Dakaractu

Vidéo – Urgent : Khoulo bou tangue entre partisan Barth-Sonko«douniou sétan niouy sacrifier Khalifa sall ndax