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Dernière minute- Dialogue du 30 mai : La Coalition YAW annonce enfin sa position officielle

YAW
YAW

La Coalition YAW annonce enfin sa position officielle

Après les propos de Sonko : Le magnifique geste de Adji Sarr à l’endroit des personnes atteintes d’AVC

ADJI SARR
ADJI SARR

 La principale protagoniste du dossier Sweet Beauté, par ailleurs accusatrice du leader du Pastef, se sent atteinte dans son être. 

En effet, lors de sa sortie post procès, Ousmane Sonko avait indirectement traité la masseuse de «danguine bou AVC» (guenon atteinte d’une attaque vasculaire cérébrale).  

Adji Sarr, pour ne pas la nommer, a sorti un communiqué dans lequel elle exprime son indignation par rapport aux propos de «l’homme qui a la prétention démesurée de présider aux destinées du Sénégal».   

« J’ai le regret de constater qu’en lieux et places des réponses pertinentes sur ses responsabilités dans les viols répétitifs que j’ai subis, il a préféré s’épancher sur mon physique, allant jusqu’à me comparer à une guenon atteinte d’AVC…  

« Je voudrais également exprimer mon soutien et ma compassion à ces milliers de patients atteints d’AVC et qui luttent dignement… », explique la note ci-dessous reprise partiellement.  

Dialogue Politique : Les inquiétudes de Seydi Gassama…

Alors qu’un dialogue politique est annoncé en grande pompe pour le dimanche 28 mai 2023, aucun acteur politique parmi ceux qui ont annoncé leur décision d’y participer ne connait les termes de référence et l’agenda de ce dialogue qui se tient dans un contexte marqué par une répression sans précédent visant les journalistes, les activistes et les opposants politiques. Pour favoriser un dialogue inclusif et fécond, le préalable aurait été, comme gage de bonne volonté, de libérer toutes les personnes détenues pour des motifs politiques et de mettre fin aux restrictions frappant l’exercice des libertés publiques.
La crainte légitime des sénégalais est que ce coûteux dialogue n’apporte pas la décrispation attendue sur l’espace politique et social et que, comme les précédents dialogues, il accouche de deals politiques de partage de pouvoir, de réhabilitation de politiciens exclus de la compétition électorale par des condamnations pénales et exonére d’autres de toutes poursuites futures pour des actes de prévarication qu’ils pourraient avoir commis contre les deniers publiques.
De notre point de vue, ce dialogue n’apportera de plus-value par rapport aux précédents que si les questions suivantes sont prises en compte et discutées sans calculs et partis-pris politiciens :
1.    La jouissance des droits civils et politiques : la réforme du code électoral doit être une obligation et une priorité du dialogue. Le droit de tout citoyen de choisir ses dirigeants à travers une élection libre, démocratique et transparente et celui de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays sont garantis par la déclaration universelle des droits de l’homme, le pacte international relatif aux droits civils et politiques et la constitution. Aucun citoyen ne devrait être déchu de ces droits que par une peine prononcée par un juge à l’issue d’un procès équitable et pour des infractions graves punies de peines de prison fermes. Les dispositions des articles L29, L30 et L57 du code électoral qui déchoient les citoyens de ces droits fondamentaux violent le droit international et la constitution. Elles doivent être abrogées ou amendées pour respecter ces droits fondamentaux. L’abrogation ou l’amendement pertinent de ces articles rendrait éligibles des leaders politiques comme Khalifa Ababacar Sall et Karim Meissa Wade. Par rapport à une loi d’amnistie, qui concerne des faits et non des personnes, ces mesures ont le mérite de ne pas effacer les actes délictueux qui pourraient avoir été commis par des personnes exerçant des charges publiques. La poursuite et la punition des actes de prévarication est aujourd’hui une exigence des citoyens sénégalais. Ignorer cette exigence contribuerait à miner davantage la confiance des citoyens aux autorités publiques. Dans cette même logique, le droit de vote des personnes privées de liberté, celles placées en détention provisoire et celles qui ont été condamnées mais non déchues de leurs droits civiques, doit être reconnu et respecté comme c’est le cas dans beaucoup de pays du continent et du monde.
2.    La réforme du code pénal et du code de procédure pénal et des lois qui restreignent la liberté syndicale : il urge de réformer le code pénal et d’abroger ou d’amender toutes les lois liberticides qui permettent à l’Etat de poursuivre et d’emprisonner ceux et celles qui exercent leurs droits constitutionnels de critiquer leurs dirigeants politiques et de manifester de façon pacifique. La Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (arrêt Issa Lohé Konaté contre Burkina Faso du 5 décembre 2014) et la Cour de justice de la CEDEAO (arrêt Fédération Africaine des Journalistes contre Gambie du 13 février 2018) ont demandé aux Etats membres de supprimer les peines privatives de liberté pour les délits portant atteinte à l’honorabilité des personnes comme la diffamation, l’injure publique, l’offense au Chef de l’Etat, etc. Les sanctions pécuniaires suffisent largement pour réparer les préjudices causés aux victimes. L’Etat du Sénégal ne peut ignorer les arrêts de ces hautes juridictions africaines, qui s’imposent à lui en vertu de sa constitution, au risque de nuire à sa crédibilité et à son image sur la scène africaine et internationale ; une image qui constitue un précieux héritage des présidents Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade et que le président Macky Sall a le devoir de préserver. Il importe également de créer un juge des libertés et de la détention pour protéger les citoyens contre les pouvoirs exorbitants du parquet qui peut faire arrêter et mettre en prison toute personne même lorsqu’elle présente de solides garanties de représentation. La création d’un juge des libertés et de la détention était une recommandation de la commission nationale de réforme des institutions (CNRI). Elle tenait particulièrement à cœur le président de cette commission, le président Amadou Makhtar Mbow. La liberté syndicale doit également être élargie aux catégories de fonctionnaires qui en sont privées aujourd’hui, à savoir les magistrats, les administrateurs civils, les personnels de certaines régies financières et les corps paramilitaires comme la police, la douane, les eaux et forêts, le service d’hygiène, le personnel pénitentiaire, etc. Cet élargissement de la liberté syndicale, qui existe dans la plupart des pays de la sous-région, ne pourra qu’accroître l’efficacité de ces corps et la confiance qu’ils sont en droit d’attendre des citoyens.  
3.    La protection des droits de la femme et de l’enfant : des engagements fermes doivent être pris pour protéger l’enfance en appliquant toutes les lois en vigueur et en adoptant sans délai la loi sur le statut des écoles coraniques ou daaras et le code de l’enfant. Le code de la famille doit également être réformé pour assurer l’égalité entre l’homme et la femme dans le mariage et dans la famille comme stipulée par les traités régionaux et internationaux des droits humains dont l’Etat du Sénégal est partie.

Bon dialogue à tous les participants et participantes.Seydi Gassama
Directeur Exécutif
Amnesty International Sénégal

Sortie d’Ousmane Sonko contre Adji Sarr : Le Collectif des féministes du Sénégal tire sur le leader de Pastef

Le Collectif des féministes du Sénégal condamne fermement les propos qu’il juge  « immondes et intolérables » tenus par Ousmane Sonko lors de sa prise de parole, mercredi soir, contre Adji Sarr.
« Ces propos renforcent la culture du viol au Sénégal et sont indignes d’un homme qui aspire à la plus haute fonction dans notre pays. Comme tout justiciable, Sonko aurait dû aller au tribunal pour faire face à son accusatrice Adji Sarr, comme il l’avait annoncé urbi et orbi. Nous rappelons que le viol est endémique au Sénégal et que les survivantes font déjà face à beaucoup d’obstacles. De tels propos encouragent et promeuvent la banalisation d’un crime injustifiable », lit-on dans le communiqué du collectif Dafadoy, Réseau des féministes du Sénégal (RFS), Association des juristes sénégalaises, ONU Femmes, Siggil Jigeen. Les féministes félicitent la tenue du procès et saluent le courage et la résilience de leur sœur Adji Sarr.  « Malgré l’ostracisme, la diabolisation et les menaces de mort, elle a tenu bon. Rien ne justifie le viol et nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. Nous appelons toutes les organisations de défense des droits des femmes et les leaders d’opinion à condamner ces propos déshumanisants envers les femmes », affirme le collectif.

Sortie du Gynéco de Adji Sarr: ce médecin fait une Révélation de taille sur le certificat

Sortie du Gynéco de Adji Sarr: ce médecin fait une Révélation de taille sur le certificat

Seybani Sougou Juriste alerte la Presse sur le Cas Serigne Saliou Gueye et dénonce ce simulacre de procès hideux

Serigne Saliou Gueye
Serigne Saliou Gueye

Le juriste Seybani Sougou était l’invité de La-Matinale-de-Reseaunews, il s’est offusqué de la timidité de la réaction des associations de la presse sur le cas du Dirpub du journal Yoor-Yoor Serigne Saliou Gueye. Il a dénoncé ce simulacre de procès hideux dans le seul but d’anéantir politiquement et financièrement le leader du Pastef. Il a invité les sénégalais à nuancer mandat et candidature.

(Vidéo) Grave révélation de Cheikh Bara Ndiaye « Amna niouy woo téléphone yayou O Sonko diko saga ayy ndeye »

maman de Sonko
maman de Sonko

PV «modifiés» dans l’affaire Sonko/Adji Sarr : L’ex-capitaine de la gendarmerie ne lâche pas le procureur Bassirou Gueye

L’ex-capitaine de la gendarmerie ne lâche pas le procureur Bassirou Gueye
L’ex-capitaine de la gendarmerie ne lâche pas le procureur Bassirou Gueye

On n’en a pas encore fini avec les débats hors prétoire dans le dossier du maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko à la masseuse Adji Sarr. Après sa convocation à titre de témoin devant la Chambre criminelle de Dakar, le mardi 23 mai, au procès auquel la date du délibéré est fixée au 1er juin prochain, l’ex-capitaine de la gendarmerie, Seydina Oumar Touré a réagi de nouveau. La réplique du procureur à propos des procès-verbaux d’enquête préliminaire de ce dossier semble être une pilule dure à avaler pour lui. «Lorsqu’un Procureur de la République me déclare qu’une partie d’un procès-verbal établi par un Officier de Police Judiciaire (OPJ) peut ne pas lier le parquet et qu’il peut avoir raison de demander sa modification, cela peut prêter à discussion », a-t-il indiqué, sur Facebook.

        «L’arrivée du Procureur de la République sur les lieux dessaisit l’Officier de Police Judiciaire »

Radié des cadres de la gendarmerie à cause de cette affaire de viols répétitifs et de menaces de mort, Seydina Oumar Touré a, de ce fait, rappelé les dispositions du Code de procédure pénale en son article 16 : « les Officiers de Police Judiciaire exercent les pouvoirs définis à l’article 14, ils reçoivent les plaintes et dénonciations. Ils procèdent à des enquêtes préliminaires dans les conditions prévues par les articles 67 à 69. En cas de crime et délit flagrant, ils exercent les pouvoirs qui leur sont conférés par les articles 45 à 59. Ils ont le droit de requérir directement le concours de la force publique pour l’exécution de leur mission ».

Par définition le mot « pouvoir », dit-il,  «est la capacité dévolue à une autorité ou à une personne, d’utiliser les moyens propres à exercer la compétence qui lui est attribuée soit par la Loi, soit par un mandat. Et en l’espèce la compétence lui est attribuée par la loi (le code de procédure pénale) ». « Ce qui signifie que dans la phase de l’enquête l’OPJ exerce sa compétence sans influence aucune du parquet qui doit se limiter au contrôle que la loi lui confère. La seule exception à ce principe constitue les dispositions de l’article 60 du code de procédure pénale, qui rappelle que ‘’l’arrivée du Procureur de la République sur les lieux dessaisit l’Officier de Police Judiciaire. Le Procureur de la République accomplit alors tous actes de Police Judiciaire prévus au présent chapitre’’ », fait-il relever.

                     « (…) il peut  classer le PV et fonder les poursuites sur d’autres moyens mais non demander des rectificatifs ou des modifications, c’est une violation flagrante du droit »

Continuant son argumentaire, l’ex-capitaine souligne qu’il faut rappeler que l’OPJ étant un agent assermenté,  les actes qu’il pose sont prévus et protégés par la loi. C’est pourquoi, assure-t-il, toute modification de procès-verbal établi par lui, dûment signés et transmis au parquet entraîne la nullité automatique de l’acte ainsi que tous actes posés sur la base de ce procès-verbal. « Et puisque le procès-verbal ne vaut qu’à titre de renseignement, selon l’article 417 du code de procédure pénale, c’est pourquoi lorsque le Procureur estime que l’OPJ est subjectif ou que l’acte est carent, il peut le classer et fonder les poursuites sur d’autres moyens mais non demander des rectificatifs ou des modifications, c’est une violation flagrante du droit », soutient-il.

Tout en précisant que cela équivaudrait à demander au juge d’instruction de modifier son ordonnance de renvoi devant une juridiction pour se conformer au bon vouloir du Procureur de la République, puisqu’il est un enquêteur avec plus de prérogatives que l’OPJ. « Et une lecture combinée des dispositions du code de procédure pénale aux articles 12 à 23 du décret 74-571 du 13 juin 1974, portant règlement sur l’emploi et le service de la gendarmerie conforte largement cette thèse. C’est en tout cas ce que j’ai cru comprendre des cours de procédure pénale de mon Professeur Amadou Faye en deuxième année de droit à la faculté des sciences juridiques et politiques de l’UCAD », a-t-il fait savoir. Seydina Oumar Touré d’appeler toutefois, les juristes à confirmer ou à infirmer ses dires.

Vidéo – Appel à la « résistance» le Journaliste Babacar fait des révélations inédites et alerte «Sunu Bayé »

Ismaila Madior Fall : « Le procès Sonko-Adji Sarr s’est tenu dans de très bonnes conditions »

Ismaila Madior Fall
Ismaila Madior Fall

Le ministre de la Justice s’est prononcé sur le procès Sweet Beauté opposant Ousmane Sonko à l’ex-masseuse Adji Sarr, au cours duquel le parquet a requis 10 ans de réclusion criminelle contre le maire de Ziguinchor, jugé par contumace. 

 «C’est un procès qui a tenu en haleine l’opinion publique nationale, j’allais même dire internationale, pendant deux ans. Mais comme on l’a vu, le procès s’est tenu dans de bonnes conditions. Ce, malgré les insultes, les menaces, les tentatives de discrédit de la justice», a souligné le professeur Ismaila Madior Fall en marge de la cérémonie d’ouverture de la Journée du notariat, ce jeudi, à Dakar.
Le garde des Sceaux est convaincu que  «quand on dit dans de bonnes conditions, ça veut dire que l’audience s’est tenue dans le respect des principes, des normes, des standards qui régissent un procès équitable». 
Interpellé sur la procédure, le constitutionnaliste est formel. «Dans cette affaire, le juge d’instruction a clôturé son instruction et a renvoyé depuis janvier. Et le procès ne s’est tenu qu’au mois de mai, parce qu’il était question de respecter l’ensemble des droits qui étaient prévus pour l’accusé».
Ismaila Madior Fall d’ajouter : «Quand le juge d’instruction a renvoyé l’affaire devant le tribunal de grande instance l’ordonnance, cela a fait d’une contestation devant la cour d’appel. La justice s’est arrêtée, alors même que là, elle aurait pu continuer parce que l’ordonnance ne forçait pas le tribunal de grande instance à ne pas statuer. Mais le tribunal a préféré attendre que la cour d’appel se prononce. Lorsque la cour d’appel s’est prononcée, le procès pouvait se tenir. Mais là aussi, le tribunal a préféré attendre que la Cour suprême se prononce, parce qu’il y avait un pourvoi en cassation.»

La réponse ferme du gouvernement sénégalais à Sonko « Quoi qu’il en coûte, l’ordre public sera maintenu »

gouvernement sénégalais
gouvernement sénégalais

Le gouvernement sénégalais a promis jeudi la fermeté contre toute tentative de troubles à l’ordre public alors que l’opposant Ousmane Sonko, menacé d’inéligibilité à la présidentielle de 2024, s’apprête à prendre la route pour Dakar à la tête d’un convoi populaire.

« Quoi qu’il en coûte, l’ordre public sera maintenu », a déclaré à la presse le porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana. « Nous ne laisserons personne, personne, troubler l’ordre public et la quiétude des Sénégalais », a-t-il ajouté.

Après son procès pour viols tenu en son absence mardi, Ousmane Sonko a affirmé mercredi à Ziguinchor son intention de rentrer à Dakar par la route et de transformer ces quelque 500 kilomètres de trajet en « caravane de la liberté », pour mener « le combat final » contre le président Macky Sall.

« Qu’il veuille marcher sur Dakar, ce n’est pas un problème (…) s’il respecte les lois et les règlements », a expliqué M. Fofana. Aucune déclaration de manifestation n’a été déposée « à notre connaissance », a-t-il poursuivi jeudi après-midi.

Le porte-parole du gouvernement s’est demandé si M. Sonko ne cherchait pas ainsi à « se faire arrêter pour des questions politiques » afin d’éviter l’infamie d’une condamnation pénale « pour des histoires sordides ».

Le convoi de M. Sonko n’était pas parti jeudi après-midi de Ziguinchor et aucun préparatif n’était encore visible sur place, ont constaté des journalistes de l’AFP. L’opposant a dit qu’il partirait jeudi ou vendredi au plus tard.

Le président du parti Pastef-les Patriotes, troisième de la présidentielle en 2019, a brillé par son absence à son procès pour viols, disant craindre pour sa sécurité et remettant en cause l’impartialité de la justice. Il a toujours réfuté les accusations et crié au complot du pouvoir pour l’écarter de la présidentielle.

M. Sonko risque son éligibilité, déjà compromise par une condamnation à six mois avec sursis pour diffamation contre un ministre.

En 2021, son interpellation lors de son déplacement en cortège jusqu’au tribunal où il était convoqué, alors que l’affaire de viols présumés venait d’éclater, a contribué à déclencher plusieurs jours d’émeutes qui ont fait au moins une douzaine de morts.

La tension s’annonce à nouveau forte autour du 1er juin, date à laquelle est attendu le verdict.

Questions d’actualités : Le premier ministre Amadou Ba répond aux députés

premier ministre Amadou Ba
premier ministre Amadou Ba

Mesdames, Messieurs, les honorables Députés,
Mesdames, Messieurs,
Je vous remercie de me permettre quelques mots en amont de nos échanges. La République, la République a un ensemble de rituels, des
rituels consacrés pour promouvoir la culture citoyenne. La séance de questions orales qui nous réunit aujourd’hui à l’Assemblée nationale en fait partie. Le Gouvernement, dont j’ai la mission de coordonner l’action, s’honore encore une fois, de venir à vous, pour répondre aux
questions que vous, Honorables députés, souhaitez lui soumettre. En répondant à votre invitation, nous nous soumettons à un exercice de transparence pour partager avec vous, les informations qui sont de nature à éclairer la compréhension des orientations et décisions gouvernementales sur certains sujets d’intérêt national. Je fais partie de ceux qui croient que l’hémicycle est par
excellence, une école de la démocratie, un haut lieu 3 d’apprentissage des règles républicaines et de promotion de la citoyenneté authentique. Comme j’ai eu à le rappeler ici, la Nation nous observe. Nous sommes toutes et tous, face un énorme défi de conscience et de responsabilité. Aucun de nous n’est là pour lui-même, tout ce que nous faisons aujourd’hui sera fait par d’autres demain, nous sommes ici pour les Sénégalais et pour eux, nous devons nous élever dans notre intérêt commun. Pour fortifier davantage nos institutions, nous avons plus que jamais besoin d’un dialogue véritablement démocratique qui soit à la fois positif, constructif et responsable et qui se déroule dans la bienveillance et le respect. C’est de nos bonnes pratiques au sein de cet hémicycle que
nous pouvons contribuer à bâtir notre pays et y asseoir une paix durable. Monsieur le Président de l’Assemblée nationale, Mesdames, Messieurs, les honorables Députés, Tel est l’état d’esprit que nous anime, les membres du Gouvernement et moi-même.
Nous sommes à votre disposition et vous remercions

Vidéo – Lan motakh Gabriel Kane gneuwoul ci procès bi? la réponse cash de Adji Sarr »woleen ko nguen lath ko ndax

Vidéo – Existence de Vidéo entre Adji Sarr / Sonko? Le Journaliste Babacar Dionne lâche une b0mb€ «limou Yor

L’offensive de Antoine Félix Diome à Guy Marius Sagna: «  Rew mi, dou lou waay neex deff… » (Vidéo)

Antoine Félix Diome
Antoine Félix Diome

Polémique sur le communiqué du Dr Alfousseyni: Cheikh Gadiaga déballe » Mane mako dégueu mounane… » (Vidéo)

Tahirou Sarr encense Sonko et détruit Idy Seck  » légui comédien la, dafa yakar ni politique yakanlaté la » (Vidéo)

Adji Sarr traitée de « Danguine » : La grosse erreur de com de Sonko décelée par des analystes politiques

Déclaration de Président Ousmane Sonko après son procès contre Adji Sarr
Déclaration de Président Ousmane Sonko après son procès contre Adji Sarr

La déclaration de Ousmane Sonko au lendemain de son procès contre Adji Sarr est jugée maladroite par des analystes politiques. Selon eux, le leader de Pastef est affecté par cette affaire Sweet Beauté. Ils décèlent aussi une grosse erreur de communication surtout quand l’Opposant traite Adji Sarr de Chimpanzé.

Sur ses deux sorties médiatiques d’hier, Mamadou Hady Déme a aperçu un leader déboussolé utilisant un vocabulaire d’une rare bassesse. « Il n’a pas pris un certains nombre de précautions et cela s’est ressenti dans ses propos et surtout dans le vocabulaire qu’il a utilisé hier. Un vocabulaire qu’il a conduit à traiter une jeune femme qui l’a porté plainte pour viol de Chimpanzé atteinte de AVC. Je pense que c’est extrêmement grave, ce niveau de discours pour quelqu’un qui est sorti troisième à la dernière élection présidentielle avec un score de 15%« , a déclaré sur Rfm, le Dr en Sciences Politiques.

Selon Ibrahima Bakhoum, c’est un homme tendu qui s’est adressé au sénégalais à tel enseigne qu’il se perdait par moment. « Pour sortir deux mots ou deux expressions, l’une on comprend; l’autre est assez malheureuse. Prendre une personne et dire d’elle une sorte de Chimpanzé, ce n’est pas très bien. La deuxième chose, c’est l’appel à ce qu’il considère comme « Thioki Fin ». Il devait dire la bataille. Point!« , a expliqué le formateur en journalisme.

Mamadou Hady Déme parle de conséquences graves pour la suite de la carrière de Ousmane Sonko. « La conséquence première, c’est d’entacher son image pour quelqu’un qui était présidentiable de descendre aussi bas et être insulté par une jeune fille de 21 ans sans pour autant qu’il ait la possibilité de riposter« , a-t-il martelé.

Ibrahima Bakhoum y voit une porte ouverte aux négociations. « La guerre est une chose. Et qui la perd devient l’imbécile de l’histoire. Et qui la gagne, devient un héros. Donc, il a intérêt à gagner. le pouvoir que l’exécutif se dire que finalement, est-ce que c’est bon que nous allions jusqu’à un certain niveau. Et que le pouvoir peut obtenir que par d’autres canaux que les gens appellent Ousmane pour qu’on négocie« , a-t-il détaillé.

Dans deux sorties médiatiques hier, mercredi, le leader de Pastef s’est adressé d’abord à ses partisans de Ziguinchor puis à ceux de Dakar. Une sortie durant laquelle il a traité la masseuse Adji Sarr de Chimpanzé atteinte d’AVC.

« Nous ne laisserons personne, personne, troubler l’ordre public… », Abdou K. Fofana à Sonko

« Nous ne laisserons personne, personne, troubler l’ordre public et la quiétude des Sénégalais ». Telle est la réaction du gouvernement suite à la sotie d’hier du leader de Pastef appelant ses militants à rejoindre la capitale Dakar pour finir le combat contre Macky Sall.

« Quoi qu’il en coûte, l’ordre public sera maintenu », a assuré, jeudi, face à la presse le porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana, repris par Seneweb.

« Qu’il veuille marcher sur Dakar, ce n’est pas un problème (…) s’il respecte les lois et les règlements », a expliqué M. Fofana. Aucune déclaration de manifestation n’a été déposée « à notre connaissance », a ajouté le ministre du commerce.

Le porte-parole du gouvernement s’est demandé si Ousmane Sonko ne cherchait pas ainsi à « se faire arrêter pour des questions politiques » afin d’éviter l’infamie d’une condamnation pénale « pour des histoires sordides ».

Rappel…

Ousmane Sonko qui s’est absenté, mardi, lors de on procès pour présumé vi0ls a annoncé, hier mercredi à Ziguinchor son intention de rentrer à Dakar par la route et de transformer ces quelque 500 kilomètres de trajet en « caravane de la liberté », pour mener « le combat final » contre le président Macky Sall.

La tension s’annonce à nouveau forte autour du 1er juin, date à laquelle le déliberé est fixé.

Le leader de Pastef risque son éligibilité, déjà compromise par une condamnation à six mois avec sursis pour diffamation contre le ministre du tourisme Mame Mbaye Niang.

Procès Sweet Beauty : La réaction surprenante de Gabrielle Kane qui divise les internautes

Au Palais de justice de Dakar, mardi dernier, Gabrielle Kane a brillé par son absence lors du procès entre Adji Sarr et Ousmane Sonko. S’affichant dans une vidéo avec une grande joie, elle a ignoré l’affaire « Sweet beauté », du moins, de manière frontale.

Cependant, la féministe a exprimé son enthousiasme dans une vidéo accompagnée d’une légende, en se laissant emporter par la nouvelle chanson de Myrma.

« Les hommes forts aident toujours à construire les femmes. Les faibles eux, tenteront toujours de les détruire. En vain. @myrmamusic respect et merci pour nous toutes ». Un message apparemment crypté concernant l’affaire Ousmane Sonko – Adji Sarr, qui n’a pas échappé aux internautes.

Pour rappel, Gabrielle Kane a été une des premières à soutenir Adji Sarr après éclatement de l’affaire face à Sonko.

Le1er juin Sonko sera acquitté? La réaction pertinente Tahirou Sarr sur le procès et détruit le juge (Vidéo)

Le1er juin Sonko sera acquitté? La réaction pertinente Tahirou Sarr sur le procès et détruit le juge

Fatou Abdou Ndiaye tire sur Adji Sarr « Dagn Don Khar Mou Leral mais Indiwoul preuve de Vi*l ba legui (Vidéo)

Fatou Abdou Ndiaye tire sur Adji Sarr « Dagn Don Khar Mou Leral mais Indiwoul preuve de Vi*l ba legui (Vidéo)

Dr Alfousseyni Gaye confirme : « Le communiqué d’hier émane bien de moi »

Communiqué contre communiqué avec les mêmes enseignes, la confusion ne se désenfle pas.

Pour en avoir le cœur net, nous avons joint Dr Alfousseyni Gaye au téléphone.

« Le communiqué, sorti hier, émane bien de moi. Je pensais nécessaire de faire ces précisions. Mais s’agissant de celui publié aujourd’hui, c’est vous qui me l’apprenez, d’autant je suis hors de Dakar en ce moment… », confie le gynécologue, au bout du fil.

Pour rappel, devant la barre, Dr Gaye avait bien indiqué que « les résultats des analyses ont confirmé la présence de spermatozoïdes vivants dans le vagin de Adji Sarr »

Toutefois ,il a aussi précisé que la mention « des prélèvements ont été faits en vue de test Adn » sur le fameux certificat médical, a été faite sur demande du procureur.

Le délibéré de l’affaire Sonko-Adji Sarr est attendu le 1er juin prochain.

Affaire carte presse & Serigne Saliou Gueye: Révélation Mamadou Fofana & Mame Mbaye « on est en danger …(Vidéo)

Affaire carte presse & Serigne Saliou Gueye:Révélation Mamadou Fofana & Mame Mbaye « on est en danger

Procès Sweet Beauté : un appel de Ndèye Khady Ndiaye «concernera Sonko, mais…»

L’affaire Sweet Beauté a été jugée ce mardi en audience spéciale devant la chambre criminelle de Dakar. Poursuivie pour incitation à la débauche, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et complicité de viol, Ndèye Khady Ndiaye, patronne de l’institut de beauté, était seule dans le box des accusés. L’accusé principal de cette affaire, Ousmane Sonko, lui, a été jugé par contumace.

L’affaire est mise en délibéré pour le 1er juin. Le procureur a requis 10 ans contre le président de Pastef et 5 ans contre Ndèye Khady Ndiaye. Si Sonko n’a pas le droit de faire appel en cas de condamnation, sa peine pourra-t-elle être influencée par une décision favorable à sa complice présumée au cas où cette dernière saisit la Cour d’appel après avoir été reconnue coupable en première instance ?

Pour répondre à cette question, L’Observateur a recueilli l’avis de trois juristes. «Pour qu’une complicité puisse exister, il faut d’abord qu’il y ait une infraction. C’est ce qu’on appelle un fait principal punissable», rappelle le professeur de droit pénal Ousseynou Samb. En clair, si Ndèye Khady Ndiaye devait passer devant la Cour d’appel, les faits concernant le Patriote en chef seraient à nouveau jugés.

Cependant, signale le spécialiste, le cas échéant, «c’est Ndèye Khady qui va se défendre puisque c’est elle qui a enclenché cette nouvelle procédure». Les deux autres experts interrogés par le journal sont plus précis.

Me Baba Diop laisse entendre qu’un appel de Ndèye Khady Ndiaye n’influerait nullement le verdict en première instance concernant Sonko. Un pénaliste ayant requis l’anonymat, en écho : «La Cour d’appel ne va se prononcer que sur le cas de Ndèye Khady Ndiaye qui a pris la décision d’interjeter appel. C’est sa cause qui sera évoquée et non celle de Ousmane Sonko.»

À partir de la date du délibéré, jeudi 1er juin, Ndèye Khady Ndiaye aura 15 jours pour faire appel.

Convocation du juge: Sonko réitère ses propos  » diotouma dara bilahi walahi policier waxoul deugu » (vidéo)

Convocation du juge: Sonko réitère ses propos  » diotouma dara bilahi walahi policier waxoul deugu » (vidéo)

Macky Sall donne les raisons de son appel au dialogue

Le chef de l’Etat a annoncé mercredi avoir décidé d’organiser le lancement du dialogue avec les différentes composantes de la nation, le 30 mai prochain, au palais de la République. En conseil des ministres, il a donné les raisons qui l’ont poussées à appeler au dialogue national.

« Dans l’esprit de la journée du dialogue national, instaurée en 2016 – et des acquis des travaux du Comité de pilotage du dialogue national, freinés par la pandémie de COVID-19 – le président de la République a décidé d’organiser, le mardi 30 mai 2023 au palais de la République, le lancement du dialogue avec les représentants des acteurs politiques, économiques, sociaux, culturels, des chefs religieux et coutumiers, des jeunes et des femmes, afin d’échanger et de bâtir des consensus durables sur des questions majeures relatives à la vie nationale, et à l’avenir du pays », rapporte le communiqué du Conseil des ministres.

Macky Sall a rappelé au gouvernement son engagement permanent, depuis 2012, à consolider le dialogue avec toutes les forces vives de la Nation, afin « d’asseoir la paix et la stabilité sociale dans le cadre de notre marche résolue vers un Sénégal émergent à l’horizon 2035 ».

L’opposition se trouve partagée sur la question du dialogue nationale, certains de ses leaders étant farouchement opposés à l’idée d’aller répondre à l’invite du chef de l’Etat, quand d’autres sont plus disposés et favorables à cette idée mais posent des conditions à leur participation éventuelle.

Le président Macky Sall a reçu le Général Fatou Fall (Photos)

Le président Macky Sall a reçu, ce mardi 23 mai 2023, en audience le Général Fatou Fall, première femme élevée au grade de médecin-général de brigade.

« Le Président de la République Macky SALL a reçu ce mardi, le Général Fatou Fall, première femme élevée au grade de médecin-général de brigade par le Chef de l’État. Récemment promue directrice de l’hôpital principal de Dakar, elle a exprimé sa gratitude au Président Macky Sall pour cet honneur fait à la femme. Le Général Fatou Fall compte relever le défi avec humilité et détermination« , a informé la Présidence de la République.

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Dialogue national : Les nouvelles précisions de Macky Sall avant la rencontre

Quelques semaines après l’appel du président de la République en faveur du dialogue, la date de ces rencontres d’échange a été annoncé, elles auront lieu le 30 mai prochain.

Lors du conseil des ministres, le Chef de l’État est revenu sur le Dialogue national et a rappelé à son gouvernement son engagement constant depuis 2012 à renforcer le dialogue avec toutes les forces vives de la Nation. Cet engagement vise à promouvoir la paix et la stabilité sociale dans le cadre de notre ambition résolue de faire du Sénégal un pays émergent d’ici 2035, rappelle le chef de l’Etat.

Lequel voit ce dialogue comme une continuité de la Journée du dialogue national instaurée en 2016, ainsi que des progrès réalisés par le Comité de pilotage du dialogue national, ralentis par la pandémie de COVID-19. Le Président de la République souligne ainsi que ce dialogue se tiendra avec les représentants des acteurs politiques, économiques, sociaux, culturels, des chefs religieux et coutumiers, des jeunes et des femmes. L’objectif est d’échanger et de parvenir à des consensus durables sur des questions cruciales liées à la vie nationale et à l’avenir du pays.

Pour rappel, ce dialogue national se déroulera sur une période de quinze jours. De nombreux sujets seront abordés à l’ordre du jour. Pour les politiciens, le sujet lié au 3e mandat et la participation de leaders juridiquement exclus à la Présidentielle seront le nerf de la guerre.

Réaction de Birahim Touré sur les séances plénières à l’assemblée nationale « Macky Sall mo waxon  » (vidéo)

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Sonko reprend « Nemekou Tour » la grosse c0lére de Mansour contre les forces de l’ordre « nagnko bayi mou defko… amna nioumay accusé de Pro-Sonko (vidéo)

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Mansour Diop défend Sérigne Saliou Gueye « kou wax ni dou journaliste waxo deug, amna droit ni dou dioxé ay sources am suko néxé… » (vidéo)

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Réaction Birahim Toure après la sortie de Sonko  » il doit respecter nos institutions s’il veut devenir… » (vidéo)

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Vidéo-Mimi lance une anecdote « Li Takh Ma Soutenir Sonko Moy Bén Jour Dafa… »

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Vidéo-Affaire Adji Sarr: La nouvelle sortie de Mimi Touré fait polémique «  Lissi Am… »

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Procès Adji Sarr/Sonko: La réaction surprenante de Gabrielle Kane : « Les hommes faibles tenteront toujours… »

Elle est la grande absente lors du procès de Adji Sarr ce mardi au palais de justice de Dakar. Gabrielle Kane qui s’affiche très heureuse, zappe l’affaire « Sweet beauté. La féministe s’enjaille sur le nouveau son de Myrma dans une vidéo légendée.

« Les hommes forts aident toujours à construire les femmes. Les faibles eux, tenteront toujours de les détruire. En vain. @myrmamusic respect et merci pour nous toutes. »