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Urgent – Wally Seck renonce à son concert au Dôme de Paris

Urgent - Waly Seck renonce à son concert au Dôme de Paris

Initialement prévu ce 03 juin dans la capitale française, le méga concert de Waly Seck au Dôme de Paris vient d’être reporté jusqu’au 10 juin prochain.
Compte tenu des manifestations et des nombreux décès notés sur l’étendue du territoire national sénégalais, le lead vocal du groupe Raam Daan a jugé nécessaire de reporter son spectacle à une date ultérieure.

Le fils du Khalife des Layennes à Macky: « rien ne vaut ce que tu es en train de faire, c’est vilain… »(vidéo)

fils du Khalife des Layennes à Macky
fils du Khalife des Layennes à Macky
  • Serigne Ibrahima Laye, fils du Khalife des Layennes, a exprimé sa colère envers le verdict de l’affaire Sonko.
  • Il a adressé ses vérités au président Macky Sall après l’acquittement de Sonko pour le crime de viol et la condamnation pour corruption.
  • Une vidéo de son discours a circulé sur les réseaux sociaux.

Regardez !

Violence au Sénégal : Dip Dound Guiss s’en prend à Macky Sall

Violence au Sénégal : Dip Doundou Guiss
Violence au Sénégal : Dip Doundou Guiss

Les manifestations sanglantes à Dakar ont choqué beaucoup de Sénégalais dont des porteurs de voix. Le rappeur Dip Dound Guiss s’en est pris au Chef de l’Etat Macky Sall.

  • Manifestations sanglantes à Dakar : plusieurs morts et tortures de jeunes manifestants.
  • Le rappeur Dip Dound Guiss s’en prend au président Macky Sall, responsable de la situation.
  • Censure d’internet et accès restreint aux réseaux, suite au verdict Sweet Beauty.

Ce qui passe actuellement est inadmissible, s’indigne le rappeur sénégalais. « Les FDS tirent à balles réelles sur la population. Plusieurs morts ont été enregistrés. Des jeunes manifestants torturés ou servant de boucliers humains à la police. Internet censuré ! L’accès aux réseaux restreint », a-t-il déploré.

Et le président Macky Sall est l’unique responsable de cette situation, indique le rappeur. « Tout ceci est le fruit d’une justice partiale et du président Macky Sall qui ne veut pas respecter sa parole ».

A noter que le ministre de l’intérieur Antoine Diome confirme 9 morts à Dakar et Ziguinchor lors de ces manifestations à la suite du verdict Sweet Beauty, condamnant Ousmane Sonko et Ndeye Khady Ndiaye.

Gravité situation politique : « APPEL A SAUVER LE SENEGAL », Alioune Tine

Alioune Tine
Alioune Tine
  • Afrikajom Center s’inquiète de la crise politique, démocratique et des droits humains au Sénégal.
  • La surenchère politique et l’escalade de la violence ont transformé le pays en un tas de ruines.
  • Afrikajom Center appelle à des solutions politiques urgentes pour un retour rapide à la paix et à la sérénité.

Face à la surenchère politique et l’escalade de violences inouïes, transformant le Sénégal en un tas e ruines, Alioune Tine, dans une tribune intitulée  « APPEL A SAUVER LE SENEGAL », 

Afrikajom Center exprime ses graves et sérieuses préoccupations face à la crise politique, démocratique et des droits humains, d’une extrême complexité caractérisée par une polarisation de plus en plus radicale de l’espace politique et sociale sénégalais avec la surenchère politique et l’escalade de violences inouïes de toutes natures en passe de transformer le pays en tas de ruines.

Le cycle infernal de l’usage de moyens d’état non conventionnels et de réponses politiques non conventionnelles marquées par la répression sans concession, le gazage des manifestants, les arrestations et détentions tous azimuts de militants de l’opposition, de journalistes et d’activistes et en face l’appel à la résistance et à l’insurrection ont fini par installer un climat de guerre civile larvée qui menace de déflagration l’état, la République et les institutions, aggrave la vulnérabilité et compromet sérieusement la sécurité dans un climat sous-régional miné par les conflits armés djihadistes.

Afrikajom Center estime, qu’au regard de la gravité de la situation politique du pays et des risques sérieux de basculement du pays dans l’incertitude, il faut absolument trouver d’urgence les solutions politiques appropriées pour un retour rapide à la paix et à la sérénité.

Le Président de la République Macky SALL, Gardien de la Constitution doit d’urgence s’adresser à la Nation pour proclamer solennellement un discours qui apaise, qui réconcilie et restaure la confiance avec tout le peuple sénégalais. Le Président Macky SALL doit user de son Autorité et de son leadership pour faire œuvre de clémence en libérant  tous les détenus politiques.

Le Président de la République doit se faire violence pour engager des consultations politiques avec tous les leaders politiques de l’opposition, y compris avec Ousmane SONKO, et de la société civile comme lors de la covid-19.

Ces consultations politiques devraient permettre rapidement si les bonnes décisions sont prises par le Président de la République de créer toutes les conditions de succès d’un dialogue national inclusif qui réunirait toutes les composantes de la société politique et de la société civile du pays et favoriserait toutes les conditions pour diagnostiquer collectivement et trouver ensemble les remèdes appropriés après une revue politique du Pacte Républicain et des conditions de réalisation d’une réconciliation nationale, car il faut absolument faire société, pour faire la paix.

Le Président de la République doit user de son pouvoir pour que les droits civils et constitutionnels de Ousmane SONKO, Président de PASTEF soient respectés, et que le blocus établi chez lui soit levé et qu’on lui permette de rencontrer ses visiteurs, notamment ses avocats, les membres de son parti et de sa coalition politique.

Khalifa SALL président de la coalition TAXAWU SENEGAL et Karim WADE, président de la coalition WALLU SENEGAL doivent également retrouver tous leur droits civils et politiques.

Afrikajom Center appelle Ousmane SONKO et l’ensemble des leaders de l’opposition du Sénégal à lancer immédiatement un appel à leurs partisans pour mettre un terme aux manifestations sur toute l’étendue du territoire et à répondre à la consultation nationale pour une sortie rapide et apaisée de la crise qui mine le pays.

La crise qui secoue le Sénégal depuis 2021 et qui a fait maintenant plus de trente (30)
morts, dont neuf (09) enregistrés dans la journée du 1er Juin 2023, avec des dégâts
matériels incommensurables, doit absolument trouver dans les meilleurs délais une
solution politique pour sauver le Sénégal de la déflagration et du chaos.
Alioune TINE
Fondateur Think Tank Afrikajom Center

Vidéo – Pape Moussa Juriste sur les manifestations « je suis pas d’accord ci yak bi..Sonko naré dialogué ak Macky”

Vidéo – « Macky Sall wara balé délou guinaw sou beugué deuk bi nék si diam » Les vérités de Ngoné & Pa Ousmane

Manifs au Sénégal :Le puissant sermon du khalife général de Médina Baye Cheikh Mahi Niass

Le khalife de Médina Baye
Le khalife de Médina Baye

A l’occasion de la prière du vendredi, le khalife général de Médina Baye a regretté les violences notées au Sénégal ayant occasionné la perte de plusieurs vies humaines. Après avoir présenté ses condoléances aux familles éplorées et au peuple sénégalais, Serigne Mahi Ibrahim Niass a lancé un appel pour que les violences puissent cesser rapidement. Car selon lui,  » les jeunes qui sont morts, sont tous des sénégalais…et c’est le Sénégal qui a perdu ses fils ».

S’adressant au gouvernement et à l’opposition, le guide religieux a exhorté les uns et les autres à cultiver la paix et à arrêter de verser le sang des jeunes du pays. D’après lui, il est temps que l’on se penche sur les bons comportements et les bonnes paroles pour redorer le blason du Sénégal.  » Leur mission est de protéger les sénégalais notamment les jeunes, car ces derniers ne font que copier sur eux. Et leurs bonnes actions seront reproduites, de même que leurs mauvaises actions. Alors, arrêtez de verser le sang des jeunes ».

Serigne Mahi Ibrahim Niass d’ajouter que les guides religieux ne cessent de parler, mais beaucoup de personnes sont maintenant dépourvues du sens de l’écoute d’où certains actes regrettables dans la société.

Avant de terminer, le guide religieux a encore prié pour le Sénégal en appelant l’ensemble des musulmans à retourner aux préceptes de l’islam…

«Corruption de la jeunesse complot leu Sonko meun na top Adji Sarr si yoon» Fofana crache ses vérités

«Corruption de la jeunesse complot leu Sonko meun na tip Adji Sarr si yoon»Fofana crache ses vérités

Annulation du verdict : Ce qu’il faudra faire pour « casser » la condamnation de Ousmane Sonko

Le leader de Pastef, Ousmane Sonko, a été condamné ce jeudi 1er juin à 2 ans de prison ferme pour le délit de « corruption de la jeunesse » dans l’affaire « Sweet beauté », qui l’oppose à l’ex-masseuse Adji Sarr.

Étant jugé par contumace, le maire de Ziguinchor ne peut pas faire appel en vertu de la loi pénale. Cependant, une précision est nécessaire. En effet, la suite des événements dépendra de la décision finale du juge.

Par exemple, explique seneweb, si le juge Issa Ndiaye mentionne explicitement dans son arrêt que Ousmane Sonko « est condamné par contumace », cela signifie que ce dernier, considéré comme accusé, n’aura aucun autre recours possible. Cependant, s’il ne précise pas ce point, l’opposant pourrait être considéré comme prévenu, d’autant plus qu’il est condamné pour le délit de « corruption de la jeunesse » prévu et puni par l’article 324 du Code pénal sénégalais.

Quoi qu’il en soit, avec cette peine de prison ferme, Ousmane Sonko « pourrait être arrêté à tout moment et envoyé en prison », a averti son avocat, Me Bamba Cissé. Il convient de noter que même si un accusé est condamné par contumace, la loi prévoit des cas où la décision de la Chambre criminelle est automatiquement annulée et le procès est annulé.

Ainsi, l’article 356 du Code de procédure pénale stipule : « Les accusés non détenus, s’ils ne répondent pas à la convocation prévue à l’article 224, sont jugés par contumace par la Cour d’assises [devenue Chambre criminelle]. S’ils se présentent ou sont arrêtés avant l’expiration des délais de prescription, le jugement de condamnation est automatiquement annulé et il est procédé de nouveau selon les procédures habituelles, à moins que le condamné par contumace ne déclare expressément, dans un délai de dix jours, accepter la condamnation ».

Mame Diara Fam et Mimi Toure tirent sur Macky et Antoine Felix «Nagnou Abal Délo Gnou Sunu Reew »

Mame Diara Fam et Mimi Toure tirent sur Macky et Antoine Felix «Nagnou Abal Délo Gnou Sunu Reew »

Condamnation de Sonko : Un joueur sénégalais hausse le ton, « cette décision parait illégitime et nous la dénonçons comme le peuple »

Plusieurs internationaux sénégalais ont réagi sur la situation que traverse le peuple en ce moment, mais peu ont eu le courage qu’à eu Abdoulaye Niakhaté Ndiaye. défenseur de Lyon international espoir sénégalais, prêté actuellement à Bastia. Sur Twitter, il a dénoncé la décision rendu par le juge hier, condamnant Ousmane Sonko de 2 ans de prison ferme pour corruption de jeunesse dans l’affaire Adji Sarr.

« Les populations se sentent victimes d’injustice et le font savoir dans la rue, parce que la confiance en les institutions et ceux qui les incarnent est éprouvée. Cette décision prise aujourd’hui parait assez illégitime et nous la dénonçons comme l’a fait le peuple!

De pareils contextes font perdre la foi en notre justice, ainsi que la capacité de nos autorités à nous traiter tous équitablement. Certains de nos frères sont encore morts aujourd’hui, et je m’incline devant leur mémoire et prie aussi pour le repos de leur âme.

Justice et paix pour mon cher pays le Sénégal », a-t-il écrit. Un message largement relayé sur Twitter, malgré la restriction des réseaux sociaux au S2négal depuis hier.

Vidéo : Aida Mbodj exige la démission de Macky Sall » djeul bén djiguen téyé ko en otage diko joué lo… »

Derniére minute: Le gouverneur annonce une importante décision aux motocyclistes

Les motocyclettes
Les motocyclettes

Le Gouverneur de Dakar a prorogé l’arrêté interdisant la circulation des motos jusqu’au samedi 3 juin à minuit. Cette décision intervient alors que le Sénégal fait face à de violentes manifestations qui ont déjà fait quatre morts, selon un bilan provisoire.

Krepin Diatta réagit à la situation du Sénégal (Photo)

s Krepin Diatta
s Krepin Diatta

Krepin Diatta réagit à la situation du Sénégal

Coupure du signal de Walf: Réaction de Babacar Diagne

C’est aux environs de 18h que le groupe Walfadjiri s’est rendu compte de la coupure de son signal sur la TNT. Quelque temps après, c’est sur le bouquet Canal que Walf n’était plus visible. Les journalistes de la chaîne ont pointé du doigt le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA). Une accusation balayée d’un revers de la main par son président Babacar Diagne. « Le Cnra n’a pas coupé et si elle devait le faire, cela répondrait à une procédure bien définie » a-t-il expliqué à Seneweb.

En réalité, le CNRA ne détient pas le monopole de la coupure d’un signal de télévision. En vertu de l’article 192 du code de la presse, « en cas de circonstance exceptionnelle, l‘autorité administrative compétente (Gouverneur, Préfet ou Sous-préfet) peut, pour prévenir ou faire cesser une atteinte à la sécurité de l’État, à l’intégrité territoriale, ou en cas d’incitation à la haine ou d’appel au meurtre, ordonner :

– la saisie des supports de diffusion d’une entreprise de presse ;- la suspension ou l’arrêt de la diffusion d’un programme ;- la fermeture provisoire de l’organe de presse ».L’Etat à partir de cet article peut donc ordonner la coupure du signal d’une télévision sans passer par le CNRA.

“Réponse aux anciens Premiers ministres Abdoul Mbaye, Aminata Touré et Mamadou Lamine Loum” (Par Amadou Ba, Premier ministre)

“J’ai lu avec un réel intérêt votre contribution adressée au Président de la République et partagée avec l’opinion publique.

En ma qualité de Premier Ministre, je me sens interpellé par cette contribution inédite dans sa forme, émanant d’illustres personnalités comme vous, ayant occupé la fonction qui présentement, est la mienne sous la direction du Président de la République, S.E.M Macky Sall.

Notre Sénégal est fier de son héritage nourri de contributions riches et variées, de femmes et d’hommes, ayant chacun fait don de soi, avec générosité et abnégation, pour promouvoir un idéal de paix et de cohésion entre l’ensemble des citoyens.

Le Président de la République S.E.M Macky Sall a toujours reconnu l’importance de préserver la stabilité et la paix dans notre pays, ainsi que de promouvoir la démocratie. Il a toujours été engagé envers ces principes et ces valeurs. C’est sans doute, pour cette raison, entre autres, que le peuple sénégalais lui a majoritairement accordé ses suffrages pour diriger notre pays. Il travaille au quotidien pour faire face aux défis qui se posent à nos populations et essaie de trouver, sans relâche, des solutions qui répondent aux besoins du peuple.

Comme il l’a encore montré ce 31 mai 2023, en joignant l’acte à la parole, le Président de la République S.E.M Macky Sall est engagé pour un dialogue positif et constructif, sans préjugé ni tabou. Il est à l’écoute attentive et bienveillante des préoccupations de tous les acteurs politiques, de la société civile, des femmes, des jeunes, de nos guides religieux, en un mot, de toute la population. 

J’ose espérer que vous aussi, êtes prêts à vous engager, au moins autant, pour préserver notre héritage démocratique, maintenir la stabilité et promouvoir le développement durable du Sénégal. 

En participant à ce dialogue national, vous et toutes les autres parties prenantes encore hésitantes, vous contribuerez à faire émerger un bon accord dans l’intérêt supérieur de notre pays.

Au demeurant, pour ce qui de la candidature du Président de la République S.E.M Macky Sall en 2024, je tiens, à sa suite, à apporter les précisions suivantes, maintes fois rappelées.

Sur le plan juridique, il est important de souligner que le Conseil constitutionnel est le seul organe compétent pour statuer sur la recevabilité des candidatures lors des élections présidentielles. C’est à cette institution de garantir le respect des dispositions de notre Constitution et de déterminer si une candidature est conforme aux critères établis par la loi. En tant qu’anciens Premiers Ministres, vous devez respecter, sans réserve, l’indépendance et l’autorité du Conseil constitutionnel dans l’exercice de ses fonctions. Tout manquement à cette obligation vous éloigne de votre stature d’ancien Premier Ministre, et de votre responsabilité envers la démocratie et l’État de droit.

Sur le plan politique, il est essentiel de tenir compte du processus et des délais fixés par le Président de la République lui-même. Il a clairement déclaré qu’il répondrait en temps opportun aux questions concernant sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. En tant que responsables politiques, il est de votre devoir de respecter son agenda et de ne pas chercher à lui imposer le vôtre. Mieux, sa candidature va bien au-delà de sa volonté personnelle et de l’approbation du Conseil constitutionnel, car elle implique également son parti, sa coalition et ses nombreux sympathisants. 

Sur un plan plus général, je dirai simplement que vous êtes particulièrement bien placés, pour avoir été Premiers Ministres du Sénégal, pour savoir que le Président de la République, en tant que père de la nation, mérite respect et considération de la part de tous les citoyens en raison de ses responsabilités de Chef de l’État, de sa fonction de garant du fonctionnement régulier des institutions. Le respect envers lui contribue à la stabilité politique, à l’intérêt économique, à la continuité des politiques publiques, au respect de la démocratie, à l’unité nationale et au fonctionnement harmonieux de la société. 

En fin de compte, le Président de la République, en tant que gardien de la constitution, a la responsabilité de préserver l’État. Nous devons travailler tous ensemble pour promouvoir la stabilité, le développement et le bien-être de tous les Sénégalais, quelles que soient nos opinions. C’est en unissant nos efforts que nous pourrons continuer à faire progresser notre pays dans la voie de la démocratie, de la prospérité et de l’harmonie.”

Amadou BA (Premier ministre du Sénégal)

Condamnation d’Ousmane Sonko pour corruption de la jeunesse: La coalition Bby salue l’indépendance de la justice

Coalition Bby
Coalition Bby

 » Dans l’affaire Sweet Beauty la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar, par jugement en date de ce jour 1er juin 2023, a condamné Monsieur Ousmane Sonko pour le délit visé à l’article 324 alinéa 2 du code pénal. Cet article punit tous ceux qui auront « … attenté aux mœurs en excitant ou facilitant habituellement la débauche ou la corruption de la jeunesse de l’un ou l’autre sexe au-dessous de l’âge de 21 ans. »
Il est donc établi aujourd’hui que Ousmane SONKO a usé d’actes indécents, obscènes, pervers et vicieux de nature à pervertir une jeune fille qui n’avait pas atteint l’âge de 21 ans. Ce qui justifie également sa condamnation à payer des dommages et intérêts à hauteur de vingt millions à la victime. Ces faits punis par la loi ont été reconnus par un jugement rendu par une justice qui a fait preuve de liberté et d’indépendance », a fait noter la coalition Benno Bokk Yakaar dans un communiqué lu à Dakaractu.

Ladite entité d’enfoncer le clou en s’adressant au leader de Pastef.  » Ousmane SONKO, qui n’a pas été en mesure de se comporter avec dignité et retenue, ne devrait s’en vouloir qu’à lui-même. Et, comme le dit l’adage, nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude ».

L’indépendance de la justice a été également saluée par la coalition Benno Bokk Yakaar.  » La coalition Bennoo Bokk Yaakaar appelle nos compatriotes à continuer de faire confiance en la justice de notre pays et à défendre les institutions en général pour la sécurité des personnes et des biens. Etat de droit, le Sénégal vient de démontrer à la face du monde qu’il est une démocratie majeure : que tous les citoyens sont égaux devant la loi ». En somme, un message de soutien a été aussi adressé à l’État dans sa mission de préservation de la paix.  » Aussi, Bennoo Bokk Yaakaar met solennellement en garde ceux qui seraient tentés de troubler la quiétude des citoyens et de porter atteinte à la sécurité des personnes et des biens. De même, Bennoo Bokk Yaakaar réaffirme son soutien sans réserve à l’Etat dans l’exercice de ses missions régaliennes de préservation de l’ordre public ».

Condamnation du leader de Pastef : La police en alerte à Kolda

La police
La police

Les éléments de la police sont visibles partout dans la ville de Kolda. Les forces de défense et de sécurité, armées jusqu’aux dents, sont postées aux différents endroits stratégiques de la commune, pour parer à toute éventualité. Le verdict de l’affaire Sweet Beauté est tombé tel un couperet. La condamnation d’Ousmane Sonko est mal perçue par ses militants et sympathisants du Fouladou. 
Comme pour éviter des casses dans la commune, les FDS veillent au grain dans la ville où le calme est plat.  Les camarades du maire de Ziguinchor sont plongés dans un désarroi total. 
Le leader national de l’opposition est condamné à deux ans d’emprisonnement ferme pour corruption de la jeunesse. Le délit de viol et celui de menace de mort étant tous abandonnés, les partisans du président Ousmane Sonko parlent d’un échec du complot contre leur leader.

Condamnation de Sonko : « Cette décision est une victoire de la vérité » (Maitre Larifou)

Maitre Larifou
Maitre Larifou

Au moment où certains manifestent leur déception après l’annonce de la condamnation à deux ans de prison ferme du leader du Pastef Ousmane Sonko dans l’affaire Sweet Beauté qui l’oppose à son accusatrice Adji Sarr, l’un des membres du pôle d’avocats du maire de Ziguinchor sort de sa réserve. Et c’est pour donner sa version des faits. 
 Selon Maître Saïd Larifou, c’est une victoire d’avance pour Ousmane Sonko, tout en critiquant la justice qu’il qualifie de justice à double vitesse. « Cette décision est une victoire de la vérité. D’elle, je retiens l’essentiel : monsieur Ousmane Sonko est acquitté des graves accusations criminelles montées de toutes pièces pour le salir et l’empêcher de devenir président du Sénégal », explique Me Larifou à Seneweb.
Il souligne, par ailleurs, l’instrumentalisation de la justice par l’autorité politique comme moyen de mettre fin à la montée en puissance d’un potentiel adversaire du chef de l’État. « L’instrumentalisation de la justice à des fins politiques est une démarche politique souvent initiée par des régimes politiques peu respectueux de l’État de droit et de la justice. La réponse à cette entorse ne peut être que politique et revient au peuple souverain ».
À rappeler que les avocats de l’opposant Ousmane Sonko tiendront une conférence de presse demain jeudi 2 juin à Paris, pour attirer l’attention de l’opinion internationale sur la situation inquiétante que leur client est en train de vivre.
« Les avocats de monsieur Ousmane Sonko tiendront une conférence à Paris le 2 juin 2023 à 10 h 30, pour sensibiliser l’opinion internationale sur la persistance des violations des droits fondamentaux de ce dernier qui, après avoir été enlevé par les forces de défense et de sécurité sénégalaises, est séquestré chez lui par ces dernières. Nous aborderons aussi les enjeux de la décision du tribunal criminel de Dakar et la suite judiciaire de violences physiques, le harcèlement et les persécutions dont est victime notre client », nous renseigne un communiqué 

Urgent – Ismaila Madior Fall lâche une bombe : « Ousmane Sonko peut être arrêté à tout moment»

Ismaila Madior Fall
Ismaila Madior Fall

Depuis que le verdict de la condamnation à deux ans de prison ferme est tombé, les questions sur l’avenir immédiat d’Ousmane Sonko sont agitées.
Selon le garde des Sceaux, le leader de Pastef peut être arrêté à tout moment. Ismaïla Madior Fall  affirme que la condamnation doit être exécutée.  
«On est en matière de contumace et la mesure peut être exécutée à tout moment», dit-il. 

Lettre des anciens PM au Président Macky SALL: Amadou BA réplique

AMADOU A,, AMINATA TOURÉ ET MACKY
AMADOU A,, AMINATA TOURÉ ET MACKY

J’ai lu avec un réel intérêt votre contribution adressée au Président de la République et partagée avec l’opinion publique.

En ma qualité de Premier Ministre, je me sens interpellé par cette contribution inédite dans sa forme, émanant d’illustres personnalités comme vous, ayant occupé la fonction qui présentement, est la mienne sous la direction du Président de la République, S.E.M Macky Sall.

Notre Sénégal est fier de son héritage nourri de contributions riches et variées, de femmes et d’hommes, ayant chacun fait don de soi, avec générosité et abnégation, pour promouvoir un idéal de paix et de cohésion entre l’ensemble des citoyens.

Le Président de la République S.E.M Macky Sall a toujours reconnu l’importance de préserver la stabilité et la paix dans notre pays, ainsi que de promouvoir la démocratie. Il a toujours été engagé envers ces principes et ces valeurs. C’est sans doute, pour cette raison, entre autres, que le peuple sénégalais lui a majoritairement accordé ses suffrages pour diriger notre pays. Il travaille au quotidien pour faire face aux défis qui se posent à nos populations et essaie de trouver, sans relâche, des solutions qui répondent aux besoins du peuple.

Comme il l’a encore montré ce 31 mai 2023, en joignant l’acte à la parole, le Président de la République S.E.M Macky Sall est engagé pour un dialogue positif et constructif, sans préjugé ni tabou. Il est à l’écoute attentive et bienveillante des préoccupations de tous les acteurs politiques, de la société civile, des femmes, des jeunes, de nos guides religieux, en un mot, de toute la population.

J’ose espérer que vous aussi, êtes prêts à vous engager, au moins autant, pour préserver notre héritage démocratique, maintenir la stabilité et promouvoir le développement durable du Sénégal.

En participant à ce dialogue national, vous et toutes les autres parties prenantes encore hésitantes, vous contribuerez à faire émerger un bon accord dans l’intérêt supérieur de notre pays.

Au demeurant, pour ce qui de la candidature du Président de la République S.E.M Macky Sall en 2024, je tiens, à sa suite, à apporter les précisions suivantes, maintes fois rappelées.

Sur le plan juridique, il est important de souligner que le Conseil constitutionnel est le seul organe compétent pour statuer sur la recevabilité des candidatures lors des élections présidentielles. C’est à cette institution de garantir le respect des dispositions de notre Constitution et de déterminer si une candidature est conforme aux critères établis par la loi. En tant qu’anciens Premiers Ministres, vous devez respecter, sans réserve, l’indépendance et l’autorité du Conseil constitutionnel dans l’exercice de ses fonctions. Tout manquement à cette obligation vous éloigne de votre stature d’ancien Premier Ministre, et de votre responsabilité envers la démocratie et l’État de droit.

Sur le plan politique, il est essentiel de tenir compte du processus et des délais fixés par le Président de la République lui-même. Il a clairement déclaré qu’il répondrait en temps opportun aux questions concernant sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. En tant que responsables politiques, il est de votre devoir de respecter son agenda et de ne pas chercher à lui imposer le vôtre. Mieux, sa candidature va bien au-delà de sa volonté personnelle et de l’approbation du Conseil constitutionnel, car elle implique également son parti, sa coalition et ses nombreux sympathisants.

Sur un plan plus général, je dirai simplement que vous êtes particulièrement bien placés, pour avoir été Premiers Ministres du Sénégal, pour savoir que le Président de la République, en tant que père de la nation, mérite respect et considération de la part de tous les citoyens en raison de ses responsabilités de Chef de l’État, de sa fonction de garant du fonctionnement régulier des institutions. Le respect envers lui contribue à la stabilité politique, à l’intérêt économique, à la continuité des politiques publiques, au respect de la démocratie, à l’unité nationale et au fonctionnement harmonieux de la société.

En fin de compte, le Président de la République, en tant que gardien de la constitution, a la responsabilité de préserver l’État. Nous devons travailler tous ensemble pour promouvoir la stabilité, le développement et le bien-être de tous les Sénégalais, quelles que soient nos opinions. C’est en unissant nos efforts que nous pourrons continuer à faire progresser notre pays dans la voie de la démocratie, de la prospérité et de l’harmonie.

                                                                                         Amadou BA

Premier Ministre du Sénégal

Verdict Procès Sonko & Adji : Président Bougane appuie Sonko et Avertit Macky « Justice Bi Lagnouy. » (Vidéo)

Verdict Adji Sarr vs Sonko : Première réaction d’Alioune Tine  » ma convaincre Sonko pour mou…Macky » (Vidéo)

Procès Adji Sarr – Ousmane Sonko : La greffière qui avait pris l’audience attaquée, sa voiture vandalisée (Photos)

Le verdict du procès de le leader de Pastef accusé de viol et de menaces de mort est tombé ce jeudi 1er juin 2023 au tribunal de Dakar. Sonko est condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse » et acquitté des faits présumés de viols et de menaces de mort. Une condamnation qui le rend inéligible à l’élection présidentielle du 25 février 2024 prochain et crée déjà des dégâts.

En effet, des individus se sont attaqués à la greffière qui avait pris l’audience ce matin. Sa voiture a été vandalisée et ses effets personnels emportés. Choses que ses collègues dénoncent avec la dernière énergie. « Nous dénonçons avec fermeté cet acte vandalisme et de banditisme perpétré contre notre collègue, greffière de l’audience d’aujourd’hui. Les juges et le procureur ont bénéficié de l protection de l’Etat, alors que la greffière qui n’a pas aucune responsabilité sur la peine est rentrée chez elle sans protection » ont-ils fustigé.

Le sort de Ndeye Khady enceinte de 8 mois : La forte réaction de Mansour Diop Leral Tv (Vidéo)

Les révélations de Me Ly sur les larmes d’Adji Sarr au tribunal « Dafay Sogo Khamni Dangko utilisé » (Vidéo)

Sonko & Ndeye Khady condamnés pour corruption à la jeunesse: Mansour Diop « lou yon wax djigén bou eumbeu (Vidéo)

Sonko&Ndeye Khady condamnés pour corruption à la jeunesse:Mansour Diop »lou yon wax djigén bou eumbeu

Réaction de Me Tine avocat Sonko après condamnation « juge bi defma bét  » (Vidéo)

Réaction de Me Tine avocat Sonko après condamnation « juge bi defma bét  » (Vidéo)

Saint-Louis, Louga, Mbacké, Dakar, Bignona… Le Sénégal s’insurge

Suite à la condamnation d’Ousmane Sonko pour corruption de jeunesse dans l’affaire Adji Sarr après avoir été retenu con coupable de viol et de menaces de mort, de nombreux sénégalais sont sortis dans la rue. Au Sud (Ziguinchor, Bignona…), au Nord (Saint-Louis, Louga…), au centre (Mbacké) et dans la capitale (Rufisque, Pikine, UCAD, Parcelles Assainies, Médina…), les manifestations s’intensifient depuis ce verdict.

C’était prévisible, après la condamnation d’Ousmane Sonko, plusieurs sénégalais sont sortis dans les rues manifester. « Libérer Ousmane Sonko », c’est le chant qu’ils entonnent, brulant des pneus et cassant tout sur leur passage. Dans plusieurs localités, des Sénégalais affrontent les forces de l’ordre, en colère après la condamnation à 2 ans de prison du leader de l’opposition.

Condamnation de Sonko : Malick Gakou demande à ses militants et sympathisants de rester mobilisés…

Le Bureau politique du Grand Parti dénonce avec la dernière énergie la condamnation du leader de Pastef, Ousmane Sonko à deux (2) ans de prison ferme.

  • Le Bureau politique du Grand Parti dénonce la condamnation d’Ousmane Sonko à 2 ans de prison ferme.
  • La sentence est inique et vise à l’écarter de la présidentielle de 2024, selon Malick Gakou et Cie.
  • Le parti appelle à la mobilisation pour la défense de la République et de la démocratie.

D’après Malick Gakou et Cie, cette sentence inique et totalement injustifiée est le reflet d’une volonté délibérée de l’écarter de la course à la présidentielle de février 2024.

« Nous en appelons à la responsabilité des forces vives pour le rétablissement de ses droits inaliénables et pour la survie de la démocratie dans notre pays qu’aucune ambition ne saurait altérer », rapporte un communiqué.

Face à cette situation, le Bureau politique du Grand Parti demande à tous nos militants et sympathisants de rester mobiliser pour la défense de la République et des intérêts supérieurs de la nation.

Corruption de la jeunesse, mise au point de l’avocat Me Pape Sène

Une mise au point sur le plan juridique pour éviter toute confusion car
Depuis hier certaines personnes arborant la casquette de juriste affirment que le délit de corruption de la jeunesse n’existe pas dans notre droit positif.
Loin sans faux
La corruption de la jeunesse est une infraction à la loi pénale prévue et punie par l’article 324 alinéa 2 du CP qui dispose: .
La peine prévue sera selon l’alinéa 1 de l’article 324 du CP de 2 à 5 ans et d’une amende de 300.000 à 4.000.000.
Il résulte de cette disposition légale que la corruption de la jeunesse concerne les jeunes gracons comme filles âgés de moins de 21 ans ou des mineurs de 16 ans
D’après les informations issues des débats d’audience d’hier la jeune Adji serait née le 3 Mars 2000
Les faits présumés viols auraient également eu lieu entre décembre 2020 et février 2021 avec la précision que le 2 février 2021 constituerait le dernier jour des faits présumés viol
En conséquence A. Sarr serait âgée de moins de vingt et un ans et du coup elle entrerait dans le champ d’application de l’article 324 alinéa 2 du code pénal.
NB: A ne pas confondre la corruption de la jeunesse avec la corruption de mineur qui est prévue et punie par l’article 320 ter du CP et qui concerne les mineurs âgés de moins de 13 ans.
Me Papa SENE Membre de la TFR et de la CCR

Crédit Photo: Cndh.info

Condamnée à deux de prison ferme, la triste réaction de Ndèye Khady Ndiaye (Vidéo)

Condamnée à deux de prison ferme, la triste réaction de Ndèye Khady Ndiaye (Vidéo)

🔴édition spéciale : Urgent le verdict est tombé 2 ans pour Sonko et Ndeye Khady Ndiaye, mais

🔴édition spéciale : Urgent le verdict est tombé 2 ans pour Sonko et Ndeye Khady Ndiaye, mais

Adji Sarr fond en larmes après l’acquittement de Ousmane Sonko pour viol

Adji Sarr brise le silence
Adji Sarr brise le silence

À l’annonce du verdict absolvant Ousmane Sonko des accusations de viol et de menaces de mort, Adji Sarr, l’accusatrice, a fondu en larmes, voyant son espoir de justice s’évanouir. Cette scène émouvante s’est déroulée à la Chambre criminelle du tribunal de Grande instance de Dakar où Sonko a été jugé non coupable de ces accusations graves, bien qu’il ait été condamné pour corruption de jeunesse.

Adji Sarr a été très présente sur les réseaux sociaux tout au long de ce procès, prenant la parole pour répondre non seulement à Sonko, mais aussi à ses détracteurs. Elle a utilisé ces plateformes pour partager sa perspective sur l’affaire, cherchant à se défendre contre ceux qui mettaient en doute sa version des faits.

Sonko, figure politique majeure du Sénégal et candidat déclaré à la Présidentielle de 2024, a été accusé par Sarr de viol et de menaces de mort. Sonko a nié ces allégations, les qualifiant de « complot d’État orchestré par le président de la République, Macky Sall ». Aujourd’hui, le tribunal a statué en faveur de Sonko sur ces accusations, provoquant la détresse visible de Sarr.

Tribunal : Adji Sarr et Ndéye Khady Ndiaye sont arrivées, le délibéré va incessamment démarrer

La salle 4 du Tribunal de Dakar se remplie. Adji Sarr est arrivée il y a quelques minutes. Elle est habillée en bleue, accompagnée de ses gardes du corps. L’un de ses avocats, Me El Hadji Diouf, était lui déjà présent. Depuis l’arrivée de Adji Sarr, ses avocats le briefent.

Ndéye Khady Ndiaye, elle, est arrivée quelques minutes après Adji Sarr. Elle aussi était vêtue de bleu, portant un « abaya ». L’audience devrait commencer d’un moment à l’autre.

Affaire Ousmane Sonko : La nouvelle déclaration importante de Me Ciré Clédor Ly

Me Ciré Clédor Ly, membre du Collectif de défense d’Ousmane Sonko, a vivement réagi pour dénoncer les violations des droits de son client. Dans une déclaration rendue publique, l’avocat attire l’attention de la communauté nationale et internationale sur la nécessité d’arrêter les persécutions à l’encontre du leader de Pastef.

In extenso, la tribune de Me Ciré Clédor Ly :

La communauté nationale et internationale est témoin de l’escalade de la violence d’Etat et de la détermination du pouvoir à saborder irréversiblement la Démocratie et l’état de Droit au Sénégal.

Aucune couche de la population, aucune catégorie professionnelle, aucune tranche d’âge n’est épargnée par la folie meurtrière d’une caste politique en agonie.

Le plan méthodique de sabordage des institutions a commencé avec la volonté et la décision de conserver le pouvoir par la manipulation des lois démocratiques, l’instrumentalisation de la justice, les embrigadements et violences policières, l’enlèvement, la séquestration et l’atteinte du principal opposant au pouvoir agonisant, en l’occurrence Ousmane Sonko qui est le porte étendard de la lutte démocratique nationale et populaire, et qui cristallise toutes les aspirations actuelles du Peuple Sénégalais .

Toutes les institutions sont mises à contribution dans le complot d’Etat ourdi contre le leader de l’opposition démocratique Ousmane Sonko et la justice est utilisée comme bras exécutant, à tous les degrés, de la police judiciaire à la Cour Suprême, le Conseil Constitutionnel appendice du pouvoir exécutif restant à l’affût pour le parjure de la dernière heure.

Les forces de défense et de sécurité sont détournées de leur mission républicaine, qui est d’assurer la protection et la sécurité des personnes et des biens. Elle est mise au devant pour porter atteinte aux libertés dans la parfaite connaissance du crime qu’on leur fait commettre et qui est puni de la dégradation civique par l’article 6 du Code Pénal sans préjudice de la peine de réclusion criminelle encourue pour enlèvement à Vélingara, détention dans un véhicule et séquestration dans une habitation fût-elle le domicile de la victime Ousmane Sonko.

Sont responsables de ces crimes tous les exécutants directs, leur supérieurs hiérarchiques et les commanditaires politiques dont certains sont passibles de poursuites pour HAUTE TRAHISION.

Le destin d’une Nation peut être influencé par un verdict, mais l’histoire d’un peuple ne sera écrite que par les hommes et les femmes qui se dressent contre l’injustice et l’oppression.

La mission d’un Juge est de rétablir l’équilibre social lorsque la politique a une démarche qui installe le chaos et non de déclencher l’incendie et la mort.

Il est temps d’arrêter les persécutions et les violences exercées contre le citoyen Ousmane Sonko, de lever les barrières autour de sa demeure, de libérer tous les détenus politiques, de s’abstenir de toute décision allant dans le sens de priver Ousmane Sonko de son droit politique de compétir pour accéder aux plus hautes fonctions électives du pays, de perquisitionner illégalement ses téléphones et de diffuser ses données personnelles violant également son intimité et portant atteinte à sa vie privée.

Aucune force fût-elle la loi, ne peut venir à bout d’une déferlante populaire qui finit toujours par l’emporter.

Ciré Clédor Ly
Membre du Collectif de la défense de Ousmane Sonko