Le journaliste, Pape Alé Niang, vient de bénéficier d’une liberté provisoire. En grève de la faim depuis quelques jours, il a été admis à l’hôpital principal de Dakar. Il reste toutefois dans l’établissement hospitalier pour des soins, informe son avocat, Me Moussa Sarr.
Pape Alé Niang avait été arrêté dans la matinée du 29 juillet. Son arrestation était intervenu au lendemain de celle de l’opposant Ousmane Sonko.
Patron du site d’informations Dakar Matin, Pape Alé Niang avait évoqué vendredi l’arrestation d’Ousmane Sonko dans une vidéo diffusée en direct sur les réseaux sociaux.
«Pape Alé Niang est mis en garde à vue. Il est poursuivi pour appel à l’insurrection» et il «a décidé d’observer immédiatement une grève de la faim», avait ajouté son avocat, Me Moussa Sarr.
Le débat contradictoire est magnifique car il fait tomber les masques et découvrir la fausseté des marionnettes.
Bougane n’est pas un traité, ni un voleur encore moins un assassin.
Allez interroger les sénégalais qui est le traite à Yewi et meme au parti socialiste qui a fait 40 ans au pouvoir, la réponse est connue et pourtant Bougane avait alerté en claquant la porte au départ.
Qui est condamné pour détournement de deniers publics et ensuite réhabilité à la faveur d’un deal connu de tout le monde? la réponse est aussi connue des sénégalais.
Quel est le pays dans le monde qui a un maire chômeur qui vit sous le toit de son père conseiller du PR soi-disant opposant et condamné par la justice pour mettre, la réponse est connue des sénégalais. Voilà des faits qu’un affidé ne pourra effacer par des mensonges et attaques personnelles, le peuple reste le meilleur témoin.
Bougane devenu un admirateur de Ousmane Sonko ?
La réponse est encore plus simple et claire : Bougane est admirateur de la vérité et de la constance depuis qu’il a fait irruption dans ce champs de politicards.
Aujourd’hui s’il ya un homme qui s’est fait à partir de rien, c’est bien Bougane. Comparé Bougane et Khalifa c’est de la cécité intellectuelle, mais je comprends votre inquiétude, Dakar montrera en 2024 , que les dealers resteront toujours des traîtres à leurs yeux.
Bougane est fier d’être indexé mais nous sommes fiers d’apporter à » Monsieur Contribution » notre part de vérité sans s’encagouler pour faire parler des autres . Fier de notre combat républicain et citoyen pour le triomphe de l’intérêt commun et le déclin des fossoyeurs de la République et leurs acolytes. Aujourd’hui les senegalais par la voix démocratique et par l’engagement , la constance et le caractère véridique du Président Bougane , on fait de Gueum sa Bopp la troisième force politique du Sénégal devant certains partis politiques classiques du système.
Bon khatarayou !!!
Babacar justin Mbengue Délégué National à la communication de Gueum Sa Bopp
Le DG de la Lonase n’y va pas quatre chemins à propos de la succession de Macky Sall au sein de Beno Bokk Yakaar. Lat Diop a fait son choix à propos du successeur de Macky Sall. Selon L’Obs, Lat Diop a jeté son dévolu sur le PM Amadou Bâ. « Je ne fais pas dans la langue de bois, pour moi ce choix ne peut être personne d’autre que le Premier ministre Amadou Ba », a-t-il jusitifié.
Il ajoute : « De par son cursus, de par son attitude et de la confiance qu’il inspire aux Sénégalais, il est aujourd’hui, à mon avis, le bon choix pour conduire les destinées de ce pays et perpétuer le legs du Président Macky Sall. »
Pourquoi Amadou Bâ et qu’est-ce qu’il a de plus que les autres candidats en lice ? « Ce qu’il a de plus, c’est son parcours. A part le Président Macky Sall, je ne vois pas dans la mouvance présidentielle quelqu’un qui a un meilleur parcours qu’Amadou Ba. Et de par son attitude, je pense qu’il a la possibilité d’élargir les horizons de Benno Bokk Yakaar jusque même dans l’opposition », a fait remarquer Lat Diop.
« Et le plus fondamental c’est que c’est un fédérateur, et on espère de lui qu’il puisse réconcilier les Sénégalais avec eux-mêmes, ce qui est très important. Pour moi, c’est son attitude et sa façon d’être qui inspirent confiance. En ce qui me concerne, j’avais le droit d’être candidat tout comme les autres responsables du parti, et celui qui a le droit d’être candidat peut bien avoir un candidat », juge Lat Diop.
« Donc, je considère que mon candidat est Amadou Ba. Si j’avais à conseiller le Président Macky Sall sur cette question, je lui aurais indiqué de choisir Amadou Ba. C’est le meilleur choix, il remplit tous les critères, et d’un point de vue politique, je crois que c’est quelqu’un qui peut passer au premier tour, dans la stabilité et dans la paix. »
Le ministre de l’Intérieur Antoine Felix Diome a réagi suite à l’expulsion de l’avocat franco-espagnol Juan Branco arrêté, samedi dernier, puis envoyé le lendemain à la prison de Rebeuss.
Ce lundi 07 août 2023, des sources de Senenews ont révélé que l’avocat de Ousmane Sonko a été finalement libéré, mais placé sous contrôle judiciaire. Mieux, il devait être expulsé du territoire sénégalais aujourd’hui.
Ainsi, dans un communiqué rendu public, « Le Ministre de l’Intérieur informe l’opinion publique qu’une mesure d’expulsion du territoire de la République du Sénégal a été prononcée à l’encontre du nommé Juan Paulo LOPEZ-BRANCO, né le 26/08/1989 à Estepona (Espagne) et titulaire du passeport n° XDD300063, par arrêté ministériel nº026291 du 07 acût 2023, pour violation de la réglementation sur les conditions d’admission et de séjour des étrangers au Sénégal. Toutes les dispositions sont prises pour l’exécution de l’arrêté. »
Recherché depuis des jours, la robe noire franco-espagnol, Juan Branco, a été finalement interpellé, ce samedi 05 août 2023, vers les coups de 6 heures du matin à Rosso, à la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie. L’avocat de Ousmane Sonko tentait de rallier la capitale mauritanienne Nouakchott pour ensuite rejoindre la France.
Ainsi, il a été acheminé, dans la nuit de samedi à dimanche à la prison de Rebeuss. Aujourd’hui, il vient de bénéficier une liberté, selon des sources de SeneNews. Cependant, l’avocat franco-espagnol a été placé sous contrôle judiciaire avec un ordre d’expulsion vers la France. Juan Branco devrait donc sous peu quitter le sol sénégalais pour retourner chez lui, en France.
Réagissant à la relance du journaliste sur le fameux “il m’a déçu” d’Idrissa Seck à son sujet lors de l’entretien spécial avec le groupe de presse E-media, Abdourahmane Diouf trouve que c’est plutôt Idrissa Seck qui a déçu. Il pousse le bouchon plus loin en parlant de trahison et cela est suffisant pour renseigner sur sa vraie volonté : faire mal quitte à mélanger délibérément deux choses, deux concepts distincts pour mieux attaquer. Une astuce de communication qui relève plus de l’artifice que de la substance. Idy parle de déception, mais lui s’empresse de parler de trahison. Pour le justifier, il prend les retrouvailles Wade-Idy et Macky-Idy. Son argument principal était qu’à l’issue de la présidentielle de 2007, les sénégalais avaient clairement dit à Idy qu’après Wade c’était lui en le plaçant 2e , mais que Idrissa Seck avait vendangé tout cela en retournant chez Wade. Il renchérit en prenant l’exemple de la présidentielle de 2019 où là aussi, pour lui, en le plaçant 2e derrière Macky Sall, les sénégalais avaient clairement dit à Idy qu’après Macky c’était lui, mis que Idy a trahi ses électeurs pour des compromissions. À ce niveau, Abdourahmane Diouf n’est ni juste ni honnête, car pour qu’il puisse parler de compromission, il faut qu’il ait été présent lorsque les deux hommes s’étaient mis d’accord pour travailler ensemble pour le Sénégal. Or, n’étant pas dans le secret des dieux, il ne peut donc prouver ni la trahison ni la compromission. Certains de nos militants ont rué dans les brancards en le traitant d’ingrat, mais je trouve que Abdourahmane Diouf n’avait pas tort en soutenant que les sénégalais ont clairement dit à Idy qu’après Macky ce serait lui. Il a raison dans la mesure où aujourd’hui que Macky s’achemine vers la fin de son mandat en 2024, le seul candidat qui coche l’essentiel des cases qu’un électeur averti, sérieux et soucieux de l’avenir du Sénégal sous toutes ses coutures serait tenté de chercher pour la prochaine présidentielle, c’est sans aucun doute Idrissa Seck. C’est peut-être ce que celui que nomme désormais « Ass » a bien compris pour subitement multiplier des sorties contre celui qui nous l’a présenté en 2012. Maintenant si ce n’est pas le sens dans lequel il entend sa déclaration, comme un ami voudrait bien me le faire croire, c’est-à-dire qu’en fait, Abdourahmane Diouf justifie ladite « déception » d’Idrissa Seck par le fait qu’il est allé répondre à Macky en novembre 2020 et que c’est donc fini pour lui, si c’est vraiment cela le fond de sa pensée, il faudra bien qu’il nous dise comment il a fait pour entrer dans la tête des 7 millions d’électeurs inscrits qui lui ont dit qu’ils ont définitivement tourné la page Idrissa Seck et qu’en 2024 ils ne le choisiront pas. Si c’est cela le fond de sa pensée, alors Abdourahmane Diouf est plus que prétentieux. Mais il n’est pas que prétentieux. Il est aussi contradictoire. Il est prétentieux parce qu’il n’a aucune mesure sérieuse du rejet d’Idrissa Seck par les sénégalais. Il ne peut pas brandir une étude sérieuse qui le dit. Par conséquent, il ne fait que supputer et conjecturer. À chaque élection, ce sont ces mêmes disques rayés qu’on nous sort au sujet de Idy. Il a même lié les résultats obtenus par Idy en 2012 au fait que ce dernier avait antérieurement rejoint Wade, donc compromission détectée par les radars ultrasophistiqués du bonhomme Diouf. Quel ahurissant culot ! Présenter les choses ainsi, c’est dire tout sauf ce qui est. Les choses ne s’étaient pas passées ainsi. Cette façon simpliste de les présenter en noir et blanc traduit une volonté de nuire par ce qui n’est pas. Sinon comment alors soutenir après jusqu’à porter sa parole celui qui s’est compromis sous Wade ? Voyez-vous l’insupportable contradiction, M. Diouf ? Vous rendez-vous compte qu’en affirmant, sans étude sérieuse, que les sénégalais ont tourné le dos à Idrissa Seck vous insultez l’intelligence des gens honnêtes en prétendant lire dans une boule de cristal pour une matière pour laquelle on n’a pas mobilisé la science ou tout autre moyen crédible, mais on prend des aises à distribuer des notes déjà mortes dans la bouche de celui qui les débite. Ce n’est pas cela la politique dont nous rêvons de voir se faire et s’ancrer au Sénégal surtout venant de ceux qui disent avec beaucoup de véhémence vouloir changer les pratiques. C’est même gravissime pour un acteur politique, car cela n’est ni plus ni moins du charlatanisme politique or, dans une communauté humaine, la politique c’est la chose la plus sérieuse au monde. Cette façon de faire de la politique doit être révolue à jamais sinon les mauvaises parthiques politiques du reste tres tenaces, résisteront en étant le ver dans le fruit, d’où l’impératif catégorique d’une véritable catharsis pour l’extirper et cela pourrait être difficile à un certain niveau d’ancrage. Alors, assainissons nos pratiques politiques sans verser dans des conclusions faciles et hâtives ne reposant sur absolument rien de consistant, mise à part une ribambelle de sophismes servis à volonté à un public dont on use et abuse de la naïveté par une langue mielleuse voire chialeuse. Le sophisme quand il devient outrancier ressemble à un produit bas de gamme. Alors, plutôt Socrate que Protagoras d’Abdère ou Gorgias de Leontium ! Voilà le généreux conseil ! Le bonhomme est aussi et surtout contradictoire et cette contradiction se trouve dans sa lettre de démission de Rèew mi, et notamment la partie ultime de cette missive dans laquelle il disait ce qui suit : Une certitude : ma foi au Sénégal et l’attachement à ma patrie. {….} Vous le savez déjà et je vous le réitère, à chaque fois qu’il me sera donné l’opportunité d’agir dans un cadre public, je garderai mon patriotisme chevillé au corps, et je mettrai les intérêts du Sénégal au-dessus de tout. On s’en souvient bien, l’ambiguïté de cette partie de la lettre de démission quant à la véritable intention d’Abdourahmane, était telle que le journaliste Adama Gaye avait réagi pour l’inviter à ne pas rejoindre Macky Sall, puisque ces propos pouvaient le laisser croire, surtout dans le contexte où ils étaient produits. Il dit mettre les intérêts du Sénégal au-dessus de tout. C’est une excellente chose et nous applaudissons des deux mains. C’est pourtant cette conviction qu’avait Idy quand il avait choisi de répondre à l’appel du pays lorsque la pandémie de COVID-19 s’était abattue sur le Sénégal en charriant partout son lot d’incertitudes. Idy qui a toujours dit que les intérêts du Sénégal étaient audessus des siens (c’est exactement ce qu’Abdourahmane Diouf a martelé dans la fin de son épitre), est resté fidèle à cette noble doctrine. Il l’a matérialisée en janvier 2007 puis en novembre 2020. En son temps, nous qui tenions à son élection avions du mal à accepter qu’il sacrifie sa carrière politique, d’où notre désaccord. Pourtant dans les deux cas, on ne peut pas lui refuser que les actes qu’il a posés, il les a posés dans l’intérêt supérieur du Sénégal. Cela a d’ailleurs généré beaucoup d’incompréhensions qui persistent jusqu’à présent. Pourquoi doit-il être difficile pour Abdourahmane Diouf de comprendre et d’accepter qu’Idrissa Seck mette le Sénégal au-dessus de sa propre carrière politique sachant que c’est exactement ce que lui-même a martelé dans sa lettre de démission ? Peut-être qu’il n’y croit pas comme beaucoup d’hommes politiques savent faire de belles déclarations, mais quand arrive l’heure de l’acte à poser, c’est la pirouette, cousine germaine de la girouette qu’ils servent et qu’il faut déposer dans une brouette et la jeter à la poubelle politique. Abdourahmane Diouf peut critiquer Idrissa Seck, mais la posture qu’il prétend incarner lui interdit de sortir des débats d’idées, car il est subitement devenu, comme par enchantement, très en verve quand il s’agit de passer une couche de peinture noire à Idrissa Seck, une verve parfois sans verbe digne. Le débat d’idées, c’est cela qui nous intéresse. Nous aimerions bien discuter de certaines idées qu’il a balancées ici et là comme par exemple sa fameuse démocratie de concordance et non de concurrence qui est une véritable gageure, ou encore son fameux mandat unique de 7 ans, une véritable grossièreté sans oublier sa prétentieuse loi sur le patriotisme économique qui est un pur leurre sans lueur et j’en passe. Ces idées trompeuses peuvent facilement être démontées car elles ne sont en réalité pas de vraies idées mais plutôt de purs sophismes d’où l’emballement de certains compatriotes, mais c’est cela le propre du sophisme. Il peut proposer de vraies idées s’il pense en avoir et non profiter des micros pour attaquer Idrissa Seck même si les attaques contre ce dernier ont toujours suscité des vocations depuis le régime de Wade et ce pour un hypothétique positionnement. C’est peut-être pourquoi Abdourahmane semble apparaitre dans tous les miroirs, mais ce sont des miroirs contradictoires qu’il faut ranger dans les tiroirs. Quand l’éloquence se confond avec la grandiloquence, surtout en politique, il nous faut le plein d’essence pour revenir à la décence. Les apparences, semble-t-il, sont trompeuses. Alors méfiance ! Yankhoba Seydi, RÈEW MI
La première phase de la première édition du dialogue territorial a été ouverte ce lundi 7 août 2023 à Dakar. Le ministre des Collectivités Territoriales Mamadou Talla est revenu sur plusieurs projets de l’Etat du Sénégal qui ont permis d’accompagner les mairies. « Le Pacasen urbain arrive à terme. il y en aura un autre qui va continuer. Dans le souci de l’équité, le Pacasen rural sera bientôt mis en œuvre pour que l’ensemble des collectivités du Sénégal puissent être accompagnées. C’est plusieurs centaines de milliards qui seront financés pour ce Pacasen » dit le ministre.
Mamadou Talla est revenu sur le projet de la fonction publique locale. « Ce sont les maires qui recrutent qui ont la libre administration. Nous allons aider ces maires qui ont beaucoup d’agents à leurs services pour qu’ils comprennent le système de recrutement. Et permettre aux recrues d’avoir une carrière au même titre que l’agent de l’Etat » précise la tutelle qui cite les projets phares que « le Pacasen, l’état-civil, l’intercommunalité, le financement. Aujourd’hui, c’est 100 milliards qui sont transférés aux collectivités compte non tenu du Promoville, de l’Agetip, du Puma, Pudc, … » se satisfait le ministre.
Condamné pour 2 ans de prison pour corruption de la jeunesse dans l’affaire Adji Sarr et récemment incarcéré pour appel à l’insurrection, vol de téléphone, diffusion de fausses nouvelles et 5 autres charges, Ousmane Sonko risque de vivre ce qu’a vécu Khalifa Sall.
En effet, comme rapporté il y a quelques jours dans la presse sénégalaise, le Gouvernement songe à la destituer de son poste de Maire de Ziguinchor, comme l’avait fait Macky Sall pour Khalifa Sall, après sa condamnation dans l’affaire de la Caisse d’avance.
Interrogé à ce sujet à l’occasion de la 1ère édition du dialogue territorial avec les maires et les présidents des conseils départementaux, le ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, Mamadou Talla, a annoncé la couleur.
« En tout cas, la loi est là pour être appliquée. Elle sera appliquée et les textes sont bien clairs », a répondu le ministre Mamadou Talla.
Il semble que l’attente, même si elle est très longue, ne sera bientôt plus qu’un souvenir du passé. C’est ce que Moustapha Niasse, l’ancien président de l’Assemblée nationale, a assuré lors de la cérémonie d’ouverture des assises de la gauche ce week-end.
Selon le haut représentant du président de la République et chargé d’assurer l’audition des candidats, la coalition Benno Bokk Yakaar a presque achevé la procédure de désignation du successeur du président Macky Sall pour 2024. En effet, la coalition a jusqu’au 28 Août pour désigner un candidat.
L’ancien président de l’Assemblée nationale, qui est également le leader de l’Alliance des Forces de Progrès assure que la situation est sous contrôle et atteint sa phase finale.
Selon plusieurs sources, les choses se jouent entre Amadou Ba, Boun Abdallah Dionne, Aly Ngouille Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo.
Après son interrogatoire dans le bureau du juge d’instruction du deuxième cabinet, l’édile de la Patte d’Oie, Maimouna Dièye, a été inculpée pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, organisation d’un mouvement insurrectionnel, actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à causer des troubles politiques graves, provocation directe d’un attroupement armé, confie Me Moussa Sarr à Seneweb. La responsable des femmes de Pastef a été placée sous mandat de dépôt par le juge d’instruction Mamadou Seck. Mais elle a été transférée, selon la même source de Seneweb, au Pavillon spécial, en raison de son état de santé précaire. Pour rappel, la mairesse de la Patte d’Oie est suspectée d’avoir financé les actes subversifs perpétrés dans sa commune, suite à l’emprisonnement d’Ousmane Sonko.
D’après nos confrères de la Rfm, Ousmane Sonko n’a pas été évacué à l’hôpital Principal de Dakar. Ils ont précisé que le leader de l’ex parti pastef n’est pas dans cette structure sanitaire. Une affirmation démentie par plusieurs sources dont Me Abdoulaye Tall qui atteste:«Ousmane Sonko est bel et bien admis aux urgences depuis la mi-journée d’hier. Son état de santé s’est fortement dégradé ». Joint au téléphone, l’avocat renseigne par ailleurs que « Me Ciré Clédor Ly et (lui sont) partis le voir à l’hôpital ». « Il est admis à l’Hôpital Principal de Dakar au Pavillon de la Téranga. C’est dans ce pavillon que Ousmane Sonko est suivi par des médecins militaires », a détaille-t-il.
Mame Birame Wathie n’a pas raté les députés de Taxawu Sénégal. Selon le chroniqueur, Khalifa Sall, Barthelemy Dias; Abba Mbaye et Cie ont trahi les Sénégalais…
Pour le journaliste, les députés de taxawu, avant les élections législatives et locales, se réclamaient de l’opposition, raison pour laquelle, beaucoup de Sénégalais ont voté pour eux.
A l’en croire, ces députés ont fait comme Pape Diop pour rejoindre le camp présidentiel en passant par un autre raccourci…
La collecte de fonds «objectif un milliard» pour les travaux d’achèvement de la grande mosquée de Tivaouane, a enregistré, près de 2 milliards de F Cfa ce samedi. L’objectif du milliard de fcfa est largement dépassé.
Beaucoup de bonnes volontés, dont Aziz Ndiaye, qui a lancé l’initiative, ont mis la main à la poche. Le patron de Huile J’adore a décaissé plus de 500 millions de fcfa pour l’achèvement de la grande mosquée de Tivaouane. Chose qui a ému Alima Ndione qui suggère aux talibés d’acheter l’huile J’adore pour le Gamou 2023.
La collecte de fonds «objectif un milliard» pour les travaux d’achèvement de la grande mosquée de Tivaouane, a enregistré, près de 2 milliards de F Cfa ce samedi, l’objectif fixé à un milliard fcfa largement dépassé.
Beaucoup de bonnes volontés dont Aziz Ndiaye qui a lancé l’initiative, ont mis la main à la poche. Dans le monde du showbiz, on peut noter aussi la participation de Wally Ballago Seck qui donne 3 millions fcfa, Pape Diouf 1million, Niang Kharagne Lo 500 mille francs Cfa….
Les rideaux sont tombés en RDC Congo où les 9èmes jeux de la Francophonie ont été bouclés ce week-end avec une très belle campagne des équipes nationales du Sénégal.
En plus du sacre des Lionnes du basket (U25) médaillées d’or des jeux de la Francophonie 2023, les lutteurs et les athlètes se sont illustrés au cours de ces joutes sportives. Une moisson de 25 médailles dont 10 en or, 9 en argent et 8 breloques en bronze dans l’escarcelle du Sénégal.
Les lutteurs en catégorie simple ou par équipes ont raflé 12 médailles (lutte africaine et gréco-romaine. Que dire de l’athlétisme sénégalais qui a brillé avec les performances de Louis François Mendy sur 110 m haies. Au total, 8 médailles (3 en or et 5 en argent) sont à l’actif des sprinteurs et autres spécialistes du triple saut. Le Judo n’est pas en reste avec une médaille en bronze.
Résumé de la participation des lions de l’athlétisme aux 9e jeux de la francophonie, Kinshasa 2023.
Médailles d’Or :
Saly Sarr triple saut 14m00 PB Louis François Mendy 110m haies 13″38 CR Cheikh Tidiane Diouf 400m 45″70
À Benno Bok Yakaar, Mansour Faye aussi avait décidé de déclarer sa candidature, lors de la dernière réunion consacrée à cette question. Mais, Macky Sall s’y est opposé. Dans les colonnes de l’Observateur, le ministre des infrastructures est revenu sur cet épisode. «Ce qui m’a poussé à déclarer ma candidature, c’est d’abord ce désir de certains de mes compatriotes. Mais j’ai aussi senti, à travers la presse, une certaine manipulation au sujet d’un candidat qui serait celui de la belle-famille présidentielle, ce qui m’a paru anormal et je ne pouvais pas rester sans rien faire», a déclaré Mansour Faye dans les colonnes de L’observateur. «Jai donc annoncé ma candidature devant le président de la République et devant les autres leaders de la coalition», ajoute-t-il.
Mais, une telle démarche sera vite tuée dans l’œuf par son chef de parti : «J’ai demandé au Président Macky Sall de m’accorder cette possibilité. Il a dit non, il m’a demandé de retirer ma candidature. Je me suis abstenu et me suis gardé de reprendre la parole», raconte Mansour Faye. Le ministre dit n’avoir pas demandé d’explication à Macky Sall. «Il a peut-être estimé que ma candidature n’était pas appropriée, je lui laisse le soin d’en décider», indique-t-il.
Pour la sécurité, la stabilité du pays, Alioune Tine a exigé de Macky Sall la libération d’Ousmane Sonko et les autres prisonniers politiques. Le seul gage de stopper la violence politique, à quelques mois de l’élection présidentielle. « Il n’appartient pas au président, à l’Etat, à la justice sous contrôle de dire qui doit être candidat. »
Le Président Fondateur de Afrikajom Center explique qu’au Sénégal, « il n y a pas de coup d’Etat, mais on est à la permanence de la violence politique, à quelques mois de l’élection présidentielle. Absolument rien n’est clair… Il faut que le président de la République, par rapport cet acte de sublimation qu’il a eu à subir pour dire qu’il ne fera pas un troisième mandat, pour la paix et la stabilité du pays, de dire que je vais réconcilier les Sénégalais et d’apaiser le champs politique. »
A en croire l’expert de l’ONU sur la situation des droits de l’homme au Mali, pour le faire, Macky doit libérer Ousmane Sonko et les autres prisonniers politiques. Il doit organiser un dialogue qui règle tout et laisser le soin aux Sénégalais, par la voie des urnes, d’éliminer et de choisir son candidat.
« Il n’appartient pas au président, à l’Etat, à l’administration et une justice sous contrôle, assujettie, de dire qui doit être candidat. Tout le problème est la question de l’éligibilité… »
« Tu n’es plus à toi et tu pourras mieux servir le peuple et ceux qui croient en toi en pleine possession de tous tes moyens physiques et psychologiques », a écrit Pierre Atépa Goudiaby dans cette lettre adressée à Ousmane Sonko. L’architecte implore le leader de Pastef de mettre fin à sa grève de la faim.
« Le privilège de l’âge et le respect que tu me portes m’inclinent à t’envoyer cette lettre ouverte que le peuple sénégalais pourrait t’adresser afin que tu reviennes à l’usage des méthodes classiques dans ton combat politique. Je te demande de mettre fin à la grève de la faim que tu as initiée pour dénoncer, à ta manière, l’injustice et ce que tu considères comme le fait du prince.
En une décennie, mon cher Ousmane, tu as emprunté le chemin difficile, persuadé que difficile est le chemin, comme disait un fils illustre du Sénégal, Abdou Diouf, qui a présidé à nos destinées pendant deux décennies. Rien ne t’a été donné et tu as tout obtenu au prix fort. Tout a été combat dans l’arène politique que tu as choisie comme dans un appel qui dépasse ta propre personne. Tu es devenu une icône de la lutte pour un monde meilleur, pour nos compatriotes et tu es considéré comme un exemple pour cette génération ainsi qu’un modèle pour celles qui montent.
Mon cher Ousmane
Tu es un symbole accompli de nos vertus cardinales sénégalaises d’abnégation, d’honnêteté, d’intégrité et de dignité connues sous le vocable JOM en Ouolof. Elles refusent tout abaissement moral et toute compromission. Elles signifient courage et fidélité à soi. Elles ont inspiré la détermination d’illustres devanciers issus du monde politique, religieux ou coutumier dans leur combat pour l’indépendance du Sénégal. Ils ont eu à subir les humiliations, les injustices et autres exactions du pouvoir de leur époque, sans fléchir ni renoncer à leur raison de vivre et d’espérer. Pense à Nelson Mandela dont tu me rappelles le courage et la détermination.
Ces mêmes valeurs nourrissent ta détermination et devraient te conduire à préserver une vie que tu as désormais confiée et même offerte au peuple sénégalais. Donc elle ne t’appartient plus et tous ceux qui ont foi en l’avenir de ce pays te conjurent de mettre fin à la grève de la faim que tu as initiée pour protester contre ce que tu considères comme l’exemple achevé de l’arbitraire, de l’injustice et du fait du prince.
Mon cher Ousmane Ton combat est partagé par une jeunesse vibrante qui a montré à chaque instant son adhésion totale à ta personne mais surtout aux idéaux que tu as su incarner avec une constance qui n’a jamais vacillé. Elle a besoin de toi et ne comprendrait pas que tu baisses les bras au moment où les fruits de plus de dix ans de combat sont visibles à l’horizon. En quelques années seulement, ton nom et tes hauts faits commencent à entrer dans l’histoire de notre pays et tu ne saurais arrêter le cours de cette histoire car des milliers et des milliers de jeunes te regardent et rêvent de marcher sur tes sillons.
Hier j’ai écouté le message que sa sainteté le pape François, a adressé à la jeunesse du monde j’en ai apprécié la pertinence ou plutôt les pertinences. Or donc, malgré le poids de l’âge et de la maladie voici ce que ce grand sage parmi les sages vous dit : vous pouvez avoir des défauts, être anxieux et même être en colère, mais n’oublier pas que votre vie est la plus grande entreprise du monde. Encore une fois, tu n’es plus à toi et tu pourras mieux servir le peuple et ceux qui croient en toi en pleine possession de tous tes moyens physiques et psychologiques. Pour eux et pour le peuple sénégalais, je te conjure d’arrêter cette grève de la faim et d’utiliser les armes politiques et les moyens légaux appropriés pour matérialiser tes objectifs. Ces moyens existent et ils sont à ta portée. C’est une preuve de courage, de générosité et donc de leadership.
Au demeurant, la sourate 2 : verset 195 du Coran « Et dépensez dans le sentier d’Allah. Et nous jetez pas par vos propres mains dans la destruction. Et faites le bien. Car Allah aime bienfaisants ». J’ai été rendre visite à tes deux épouses, elles vont te préparer un Caldou de mouton. Te connaissant tu vas tout vouloir partager avec d’autres codétenus, mais Nii leen nagnou am touti xel – gnou baïla nga lek bu baax»
Le samedi 5 août 2023, des militants et sympathisants de l’Alliance pour la République (APR) ainsi que des partis alliés de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) du Sénégal et de la diaspora se sont rassemblés à Paris. Cette rencontre avait pour objet d’examiner la situation politique du Sénégal, notamment la question cruciale de la désignation du candidat de la coalition BBY en vue de la Présidentielle de février 2024. Au cœur des débats, les enjeux nationaux et internationaux liés au contexte économique et géopolitique actuel. Les participants se sont convaincus que le futur candidat de BBY devra être un homme d’État, doué pour le dialogue et le consensus. Dans ce contexte, le parcours du Premier ministre Amadou Ba a été souligné, avec sa grande expertise sur les questions économiques, diplomatiques, sociales et politiques. Les membres du Réseau international des amis et sympathisants d’Amadou Ba sont persuadés que le Premier ministre Amadou Ba saura pérenniser les acquis et renforcer la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent. «Confortés par l’espoir que portent des millions de Sénégalaises et Sénégalais», ils affirment leur choix et leur soutien à la candidature du Premier ministre Amadou Ba à l’élection présidentielle de 2024. Leur conviction est que sa candidature représente la voie vers un avenir prospère pour le pays. Cependant, il reste encore à voir si le président de la République Macky Sall fera ce choix en désignant la personnalité qui représentera Benno Bokk Yaakaar pour cette élection majeure.
Pierre Goudiaby Atepa a adressé une lettre à Ousmane Sonko. Il invite son jeune frère à revenir à l’usage des méthodes classiques dans son combat politique. Il le conseille, en outre, à mettre fin à la grève de la faim qu’il observe. Seneweb vous livre l’intégralité de la lettre de Pierre Goudiaby Atepa.
« Mon cher Ousmane,Le privilège de l’âge et le respect que tu me portes m’inclinent à t’envoyer cette lettre ouverte que le peuple sénégalais pourrait t’adresser afin que tu reviennes à l’usage des méthodes classiques dans ton combat politique. Je te demande de mettre fin à la grève de la faim que tu as initiée pour dénoncer, à ta manière, l’injustice et ce que tu considères comme le fait du prince. En une décennie, mon cher Ousmane, tu as emprunté le chemin difficile, persuadé que difficile est le chemin, comme disait un fils illustre du Sénégal, Abdou Diouf, qui a présidé à nos destinées pendant deux décennies. Rien ne t’a été donné et tu as tout obtenu au prix fort. Tout a été combat dans l’arène politique que tu as choisie comme dans un appel qui dépasse ta propre personne. Tu es devenu une icône de la lutte pour un monde meilleur, pour nos compatriotes et tu es considéré comme un exemple pour cette génération ainsi qu’un modèle pour celles qui montent. Mon cher Ousmane,Tu es un symbole accompli de nos vertus cardinales sénégalaises d’abnégation, d’honnêteté, d’intégrité et de dignité connues sous le vocable JOM en ouolof. Elles refusent tout abaissement moral et toute compromission. Elles signifient courage et fidélité à soi. Elles ont inspiré la détermination d’illustres devanciers issus du monde politique, religieux ou coutumier dans leur combat pour l’indépendance du Sénégal. Ils ont eu à subir les humiliations, les injustices et autres exactions du pouvoir de leur époque, sans fléchir ni renoncer à leur raison de vivre et d’espérer. Pense à Nelson Mandela dont tu me rappelles le courage et la détermination.Ces mêmes valeurs nourrissent ta détermination et devraient te conduire à préserver une vie que tu as désormais confiée et même offerte au peuple sénégalais. Donc elle ne t’appartient plus et tous ceux qui ont foi en l’avenir de ce pays te conjurent de mettre fin à la grève de la faim que tu as initiée pour protester contre ce que tu considères comme l’exemple achevé de l’arbitraire, de l’injustice et du fait du prince. Mon cher Ousmane,Ton combat est partagé par une jeunesse vibrante qui a montré à chaque instant son adhésion totale à ta personne, mais surtout aux idéaux que tu as su incarner avec une constance qui n’a jamais vacillé. Elle a besoin de toi et ne comprendrait pas que tu baisses les bras au moment où les fruits de plus de dix ans de combat sont visibles à l’horizon. En quelques années seulement, ton nom et tes hauts faits commencent à entrer dans l’histoire de notre pays et tu ne saurais arrêter le cours de cette histoire, car des milliers et des milliers de jeunes te regardent et rêvent de marcher sur tes sillons.Hier, j’ai écouté le message que Sa Sainteté le pape François, a adressé à la jeunesse du monde j’en ai apprécié la pertinence ou plutôt les pertinences. Or donc, malgré le poids de l’âge et de la maladie voici ce que ce grand sage parmi les sages vous dit : vous pouvez avoir des défauts, être anxieux et même être en colère, mais n’oublier pas que votre vie est la plus grande entreprise du monde.Encore une fois, tu n’es plus à toi et tu pourras mieux servir le peuple et ceux qui croient en toi en pleine possession de tous tes moyens physiques et psychologiques. Pour eux et pour le peuple sénégalais, je te conjure d’arrêter cette grève de la faim et d’utiliser les armes politiques et les moyens légaux appropriés pour matérialiser tes objectifs. Ces moyens existent et ils sont à ta portée. C’est une preuve de courage, de générosité et donc de leadership.Au demeurant, la sourate 2 : verset 195 du Coran« Et dépensez dans le sentier d’Allah. Et ne nous jetez pas par vos propres mains dans la destruction. Et faites-le bien. Car Allah aime bienfaisants ». J’ai été rendre visite à tes deux épouses, elles vont te préparer un Caldou de mouton. Te connaissant tu vas tout vouloir partager avec d’autres codétenus, mais Nii leen nagnou am touti xel – gnou baïla nga lek bu baax. Tonton Pierre Atépa Goudiaby ».
Baye Oumar Gueye est très indigné contre l’arrestation du journaliste Pape Alé Niang. Selon le directeur de Sudfm, le Patron du site d’informations Dakar Matin n’a pas sa place en prison. Un journaliste professionnel qui se bat contre l’injustice.
« Oui, le journaliste Pape Alé Niang n’a jusqu’ici jamais été épinglé par un rapport du Conseil pour l’Observation des Règles d’Éthique et de Déontologie dans les médias au Sénégal (CORED). Pape Alé Niang est un journaliste qui travaille sur la base des faits. Que reproche-t-on alors à ce journaliste? Sinon que de l’acharnement contre lui. Pape Alé Niang n’a pas sa place en prison », a fustigé Baye Oumar Gueye.
Baye Oumar Gueye qui témoigne du professionnalisme de Pape Alé avec qui il a travaillé, exige sa libération sans condition.
« Un journaliste que nous connaissons, avec qui nous avons travaillé. Et nous pouvons témoigner de son professionnalisme, son abnégation à se battre contre l’injustice. Nous exigeons en conclusion, la libération sans condition de ce journaliste, parce que tout simplement, sa place n’est pas en prison », demande-t-il, aux autorités.
Belle moisson des athlètes sénégalais aux 9e Jeux de la Francophonie de Kinshasa 2023. Les Lions ont décroché au total 25 médailles dont 10 en or, 9 en argent et 8 en bronze.
Les lutteurs se sont bien illustrés avec 12 médailles (lutte africaines et gréco-romain en individuel et en équipe). Les athlètes eux ont gagné 8 médailles (3 en or et 5 en argent), la culture (2 en argent) et le Judo (1 bronze). L’équipe du Basket a remporté le médaille d’or.
Le Sénégal est 4e au palmarès.
Résumé de la participation des lions de l’athlétisme aux 9e jeux de la francophonie, Kinshasa 2023.
*Médaille d’Or Saly Sarr triple saut 14m00 PB Louis François Mendy 110m haies 13″38 CR Cheikh Tidiane Diouf 400m 45″70
Dans un communiqué le Conseil de l’Ordre des Avocats réclame la « cessation immédiate des poursuites initiées contre Maître Babacar NDIAYE et exige sa libération sans délai ». Seneweb vous propose l’intégralité du texte.
« Le Conseil de l’Ordre des Avocats du Sénégal a constaté avec stupéfaction l’arrestation ce vendredi 04 août 2023 de Maître Babacar NDIAYE, Avocat à la Cour, sur ordre du Procureur Général près la Cour d’Appel de Dakar, en violation des règles de procédure. Cette arrestation, intervenue à la suite d’une simple lettre d’information du Procureur Général reçue le même jour par le Bâtonnier, est une violation flagrante de l’article 6 duRèglement n05/CM/UEMOA sur I’harmonisation des règles de la profession d’avocat dans l’espace UEMOA, quiprescrit la consultation préalable duBâtonnier avant toute poursuite, arrestation ou détention. Maître Babacar NDIAYE a été nuitamment appréhendé dans les locaux de lasection de recherches de la gendarmerie de Colobane, oùil se trouvait dans le cadre de l’exercice de ses fonctions. Violemment interpellé, les mains menottées dans le dos, il a été acheminé manu militari à la Süreté urbaine, où, jeté au violon, il est gardé àvuedepuis lors, toujours sur instruction du Procureur Général. Le Parquet Général ne saurait, suivant les intérêts du moment, s’arroger la liberté d’une interprétation erronée des textes ou celle de les ignorer pour quelque motif que ce soit. Face àces graves dérives et n’ignorant pas que les avocats ne sont pas au-dessus des lois, I’Ordre des Avocats du Sénégal appelle au respect scrupuleux par les pouvoirs publics des droits et libertés accordés par laloi et àla cessation de toute entrave àl’exercice de la profession d’avocat au Sénégal.L’Ordre des Avocats du Sénégal dénonce et condamne avec la plus grande fermetéla violation des règles de procédure définies par la loi, ainsi que le caractère inopportun, arbitraire, volontairement humiliant et dégradant des conditions d’arrestation et de détention de Maître Babacar NDIAYE. L’Ordre des Avocats du Sénégal réclame la cessation immédiate des poursuites initiées contre Maître Babacar NDIAYE et exige sa libération sans délai. L’Ordre des Avocats se réserve le droit de donner toutes suitesappropriées au maintien des poursuites entreprises par le Procureur Général contre Maître Babacar NDIAYE et invite tous les avocats duSénégal à rester mobilisés pour ladéfense de la défense. » Pour le Conseil de l’Ordre
Le leader du parti les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), Ousmane Sonko est présentement aux urgences, d’après El Malick Ndiaye, secrétaire national à la communication dudit parti.
« Le Président Ousmane Sonko est présentement aux urgences. Macky Sall et ses bras armés seront entièrement responsables de tout ce qui lui arrivera », révèle El Malick Ndiaye.
Le leader du parti Pastef, Ousmane Sonko est à son 8e jour de grève de faim ainsi que beaucoup de « prisonniers politiques.
Le leader de Pastef, Ousmane Sonko et les « détenus politiques », sont en grève de la faim depuis 8 jours.
Ousmane Sonko arrêté vendredi et inculpé le lendemain pour appel à l’insurrection et autres crimes et délits, a entamé une grève de la faim depuis dimanche 30 juillet.
Alioune Tine, fondateur d’Afrikajom Center et éminent acteur de la société civile sénégalaise, a fait une apparition remarquée ce dimanche 6 août dans l’émission « Objection » de Sud FM. Au cours de l’interview, l’expert indépendant des Nations Unies a interpellé Moustapha Niasse, figure incontournable de la scène politique sénégalaise, pointant du doigt son silence sur des questions cruciales de réconciliation et de paix dans le pays. Alioune Tine a rappelé l’héritage démocratique de Léopold Sédar Senghor, soulignant son appel à « renforcer la démocratie, renforcer les Droits de l’homme » à la fin de sa vie. Le fondateur d’Afrikajom Center a rappelé que le premier président du Sénégal avait agi en conséquence, en créant le Comité sénégalais des Droits de l’homme en 1974, une institution pionnière à l’époque.Fort de leur passé commun, où ils avaient combattu ensemble les mines antipersonnel lors d’une mission à Ottawa, au Canada, M. Tine a exprimé son incompréhension face à l’inaction de l’ancien président de l’Assemblée nationale dans le contexte actuel du Sénégal. Selon lui, un homme politique aussi cultivé et respecté que Niasse devrait œuvrer activement pour rétablir la paix et favoriser la réconciliation entre les différentes composantes de la société sénégalaise. « Quand tu as traversé tout cela, tu ne peux pas rester à regarder le Sénégal s’enliser. Je ne comprends pas Moustapha Niasse. Je ne peux pas comprendre que lui n’agisse pas pour que la paix règne, pour que la paix revienne, pour que la réconciliation avec les Sénégalais revienne. Et effectivement, c’est une lourde responsabilité qu’il portera par rapport à tout ce qu’il a occupé et tout ce qu’il a représenté au Sénégal, en Afrique et dans le monde. Je ne comprends pas parce qu’il est l’un des hommes politiques les plus cultivés de ce pays », a déclaré Alioune Tine, d’une voix empreinte de conviction.
L’état de santé de Cheikh Bara Ndiaye se dégrade de plus en plus, à cause de la grève de la faim qu’il observe, selon Me Moussa Sarr. Le chroniqueur de Walf TV a été évacué, selon la même source de Seneweb, depuis vendredi dernier au service de réanimation de l’hôpital Principal de Dakar. Pour rappel, le parquet s’était opposé à la mise en liberté provisoire accordée à Cheikh Bara Ndiaye par le juge d’instruction Mamadou Seck. Le chroniqueur avait alors entamé une grève de la faim pour dénoncer la décision du procureur de la République.
La dissolution du Pastef est une mesure excessive et très précipitée. Sur le principe, la présomption d’innocence est un élément essentiel et un droit constitutionnel selon Cheikh Bamba Dièye, leader du FSD/Bj. Invité du Jury du dimanche, il a notifié que dans cette affaire, il ne s’agit pas seulement de l’individu Ousmane Sonko mais, d’un projet de plusieurs milliers voire des millions de citoyens sénégalais. « L’Etat est dans ses droits de vouloir établir l’ordre républicain, de veiller au respect des lois et règlements qui régissent le pays » dit-il. Seulement, en tout état de cause, il est extrêmement important qu’on ne puisse oublier que dans cette affaire-ci, mêler le politique au judiciaire est une tâche extrêmement difficile.Le Sénégal souffre depuis très longtemps de l’hypertrophie de l’esprit partisan sur les règles de conduite qu’il doit de se donner. « Nous estimons que allier à la présomption d’innocence, il aurait été souhaitable, puisque nous sommes dans une dynamique de dialogue d’essayer de recréer les conditions de paix. Il était important d’avoir des mesures de prudence qui, à mon avis auraient pu permettre au ministère de l’intérieur de laisser les choses entre les mains de la justice » dit Cheikh Bamba Dièye. Selon lui, le Sénégal a frôlé la catastrophe et c’est le moment de la mesure, de la prudence. Chaque acte qu’un acteur politique de l’opposition pose, il doit le poser à l’aune de ce qui doit créer les conditions d’une paix durable et ouverte pour tous les citoyens. De même que chaque acte que l’exécutif pose il faut aussi l’examiner à l’aune de ce qui doit être la paix pour qu’on puisse consolider cette désescalade. « Je pense qu’on ne peut pas vouloir une chose et son contraire » conclut-il
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