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Mamadou Lamine Diallo : « Il est urgent d’encadrer les pouvoirs du président »

Mamadou Lamine Diallo
Mamadou Lamine Diallo

« Amadou Ba n’ignore pas ce travail du Réseau parlementaire pour la bonne gouvernance  (RGM) en tant que ministre des Finances. Alors, lors de sa première et dernière apparition au Forum des mines, il aurait dû  rendre hommage au RGM. C’est un minimum », selon Mamadou Lamine Diallo du mouvement Tekki dans sa question hebdomadaire. 
Mais pour le parlementaire, « l’honnêteté intellectuelle ne fait pas partie de l’ADN de l’APR ». D’après lui,  il urge d’encadrer les pouvoirs du président de la République en matière de gouvernance minérale. « C’est ce que je me propose de faire, une fois élu en 2024″, dit-il. 
Et de rappeler : « Le Réseau parlementaire pour la bonne gouvernance des ressources minérales a été lancé en 2015 sous ma présidence. Pendant des années, les députés ont compris, avec la société civile, les enjeux de la gestion des mines, du pétrole et du gaz. Ils ont effectué des visites de terrain, participé à des séminaires et même visité des pays miniers comme le Ghana. Les députés ont visité le département de Saraya, les sociétés qui produisent l’or et des sites d’orpaillage irréguliers. Ils ont transmis à l’exécutif leurs constats et recommandations, en particulier sur la pauvreté absolue des zones minières comme Saraya. J’ai fait un mandat de cinq ans et cédé la place à l’honorable Demba Babayel Sow de l’APR. C’est le député Ayib Daffé qui va présider le RGM. »   

Dernière minute – Bonne nouvelle pour ce maire ,proche de Ousmane Sonko

maire ,proche de Ousmane Sonko
maire ,proche de Ousmane Sonko

Son maintien en prison, en dépit de la libération suivie du rapatriement du principal accusé, l’avocat français Juan Branco, suscitait de vives contestations. Le maire de Sangalkam, Alpha Bocar Khouma alias « Pape Sow », vient d’être libéré.
Arrêté dans la nuit du jeudi 3 au vendredi 4 août 2023 à son domicile à Keur Ndiaye Lô, M. Khouma a été inculpé et placé sous mandat de dépôt le 11 août pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ».
Ceci, alors que le principal accusé dans cette affaire, qui n’est autre que Maitre Juan Branco, a été placé sous contrôle judiciaire le 7 août et expulsé vers la France.

Mahammed Boun Abdallah Dionne « Mon adversaire s’appelle Amadou Ba, pas Macky Sall, avec qui je n’ai aucun problème.»

Mahammed Boun Abdallah Dionne
Mahammed Boun Abdallah Dionne

Parce qu’il n’a pas été choisi pour porter les couleurs de la majorité à la prochaine présidentielle, l’ancien Premier ministre a décidé de claquer la porte de la coalition au pouvoir et de briguer la succession de Macky Sall.

e lundi 2 octobre, Mahammed Boun Abdallah Dionne reçoit Jeune Afrique dans son appartement situé à Dakar-Plateau, centre administratif de la capitale sénégalaise. Une semaine plus tôt, il a démissionné de la présidence du conseil d’administration de la Banque internationale pour l’industrialisation et le commerce du Sénégal (Bicis) – détenue à 54 % par Sunu – qu’il occupait depuis mai.

« J’ai préféré rendre le mandat que m’a confié le groupe pour éviter les conflits de compétences. Je ne peux pas être candidat à la présidence de la République et être à la tête d’une banque avec tous les moyens que cela sous-entend », explique-t-il.

Ingénieur de formation, Mahammed Boun Abdallah Dionne était retourné dans le secteur privé après six années au gouvernement, dont cinq à la primature (jusqu’à ce que Macky Sall supprime le poste en 2019). « Des années excellentes, un challenge collectif au service du Sénégal », résume cet homme longtemps décrit comme un fidèle parmi les fidèles de Macky Sall. L’ancien ministre du Pétrole, Thierno Alassane Sall, avait même fini par le surnommer « double-bouton ».

« Je ne suis pas un double-bouton »

Ce qualificatif peu flatteur, qui sous-entend servilité et soumission au chef de l’État, Mahammed Boun Abdallah Dionne le récuse. « Je ne suis pas un double-bouton. Je n’en ai même pas le caractère. Mais en tant que Premier ministre, j’ai été entièrement loyal au président de la République. »

Il faut dire que les deux hommes se connaissent depuis longtemps. Dionne a été le directeur de cabinet de Macky Sall lorsque celui-ci était lui-même le Premier ministre d’Abdoulaye Wade. Il figurait parmi les dauphins potentiels, mais n’a pas été choisi par le chef de l’État, qui lui a préféré l’actuel Premier ministre, Amadou Ba.
Cette décision, Dionne ne l’a pas acceptée, lui qui a claqué la porte de Benno Bokk Yakaar (BBY) et s’est porté candidat malgré les promesses d’unité faites à Macky Sall. Le voilà de retour sur la scène politique, après trois années de retrait. Son pari sera-t-il gagnant ?

Jeune Afrique : Pourquoi avoir décidé d’être candidat à la présidentielle de 2024 ?

Mahammed Boun Abdallah Dionne : Au départ, je n’étais pas candidat. C’est Macky Sall lui-même qui m’a poussé à être candidat à l’investiture parce que mon parcours l’y autorise : j’ai été son chef de gouvernement pendant cinq ans. Il a fait de même avec Amadou Ba. J’ai de ce fait passé des entretiens, puisqu’un processus avait été mis en place afin de choisir la bonne personne.

Néanmoins, je n’ai pas décidé de me présenter uniquement en réaction à la décision qui a été prise. Si je suis candidat, c’est parce que j’ai mené une réflexion qui m’autorise, à titre personnel, à porter l’espoir de tout un peuple.

Mais en juillet, vous aviez promis de soutenir le choix du président Macky Sall, quel qu’il soit. Qu’est-ce qui a changé entretemps ?

Il faut relativiser. La vérité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain. Ce qui était vrai avant le 9 septembre ne l’est plus maintenant.

Macky Sall a beaucoup fait dans le cadre de la transformation structurelle de l’économie sénégalaise. Mais il faut faire davantage en matière d’industrialisation. Et à l’heure où le pétrole arrive, il faut davantage d’inclusion sociale pour qu’il y ait moins de jeunes tentés de partir à l’aventure.

Vous avez toujours été perçu comme l’homme de confiance du président. Votre dissidence était la moins attendue…

Il n’y a pas de dissidence. Macky Sall est d’abord un frère et un ami. Il m’a appelé à ses côtés pour contribuer au développement du Sénégal et, dans la loyauté la plus totale, j’ai mis en œuvre le maximum de compétences et d’engagement professionnel à son service. J’ai donné le meilleur de moi-même. C’est l’avenir du Sénégal qui nous unissait. Aujourd’hui, il n’est plus candidat. Partant de là, n’importe lequel d’entre nous peut prétendre à à sa succession. Je ne demande pas la permission pour être président de la République.

La rupture est-elle donc consommée ?

Pourquoi y aurait-il une rupture entre lui et moi puisqu’il ne se représente pas ? Mon adversaire s’appelle Amadou Ba, pas Macky Sall, avec qui je n’ai aucun problème.
Pour moi, c’est la patrie avant le parti. C’est le peuple sénégalais qui décidera qui sera le prochain chef de l’État, le 25 février 2024, et j’espère que ce sera moi.

Qu’en est-il alors de votre avenir au sein de la coalition présidentielle ?

La coalition est un véhicule pour collecter les votes ou recueillir des parrainages. Moi je transcende la coalition et je parle directement au peuple sénégalais. Il n’y a que le peuple qui m’intéresse.

Vous avez entamé des discussions avec l’ancien ministre de l’Agriculture, Aly Ngouille Ndiaye, qui n’a pas non plus voulu se ranger derrière le candidat officiel de BBY.

Comptez-vous mettre en place une alliance ?

Aujourd’hui, je discute avec Aly Ngouille Ndiaye et beaucoup d’autres candidats. J’ai mis en place ma propre coalition, Dionne 2024. Mais il n’est pas exclu que nous nous réunissions en coalition avec plusieurs autres formations politiques, une fois l’étape des parrainages passée.

Vous n’avez jamais été maire et n’avez pas de fief politique connu. Qu’est-ce qui vous fait dire que vous avez vos chances ?

J’ai longtemps été fonctionnaire international, cadre de la BCEAO [Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest]. J’étais donc inéligible, et la même règle s’applique d’ailleurs aux fonctionnaires des Nations unies.

Ceci étant dit, la fonction du Premier ministre est éminemment politique. J’ai aussi eu le grand honneur de porter les couleurs de la majorité présidentielle lors des législatives de 2017 et j’ai été élu député [ce mandat n’a pas été exécuté puisqu’il était chef du gouvernement au même moment]. J’ai gagné toutes les batailles électorales auxquelles j’ai pris part. Ce n’est pas le cas de tout le monde.

Mais depuis, vous avez disparu de la scène politique…

Après la victoire au premier tour du chef de l’État, Macky Sall m’a demandé de porter une réforme pour la suppression du poste de Premier ministre. Je l’ai mise en œuvre avec la plus grande loyauté et le plus grand engagement. J’ai quitté la primature en 2019 pour être ministre d’État, secrétaire général de la présidence chargé de la coordination gouvernementale pour finalement sortir un an après du gouvernement, sans explication de sa part.

Cette suppression de votre poste n’a-t-elle pas été source de frustration ?

Non ! J’avais en réalité quitté un poste de Premier ministre de la lumière pour devenir en quelque sorte un Premier ministre de l’ombre. Ensuite, pendant mes trois années d’absence, j’ai écrit mon livre [Le Lion, le papillon et l’abeille, aux éditions Débats publics], j’ai aidé Pathé Dione, fondateur du groupe Sunu, dans son projet de rachat de la Bicis et j’ai énormément travaillé sur des questions économiques. Je n’étais pas au chômage !

Que retenez-vous de vos années auprès de Macky Sall ?

Des années excellentes, un challenge collectif au service du Sénégal. Et le président Macky Sall est inattaquable sur son bilan. J’ai joué ma part en tant que son chef de gouvernement.

Vous êtes donc aussi comptable de son bilan…

Oui, je le suis, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de marge de progrès. Je ne suis pas un candidat de la continuité et de l’immobilisme. Moi, je serai un président de la progression et du renouvellement.

Face aux électeurs, que diriez-vous de différent du candidat de la coalition de BBY ?

Qui vous dit que j’ai la même philosophie de développement qu’Amadou Ba ? Je ne me satisfais pas du système multilatéral de coopération tel qu’il existe. Je suis pour des ruptures fortes dans la manière dont l’Afrique est gérée. J’aurais pu ne pas être candidat si j’étais rassuré sur sa vision à lui. Mais je ne le suis pas.

Vous laissez-vous la possibilité de changer d’avis et d’apporter votre soutien à Amadou Ba
?

Si c’était le cas, je serais resté au sein de la coalition au pouvoir. Je ne retournerai pas au sein de BBY.

Pas de soutien non plus lors d’un éventuel second tour ?

Non, mais à chaque jour suffit sa peine. Aujourd’hui, nous nous concentrons sur les parrainages. Et j’espère que les autorités de ce pays seront transparentes et qu’elles laisseront participer tous les candidats qui passent cette étape.

Craignez-vous que votre dossier ne soit retoqué aux parrainages ?

Je travaille pour passer toutes les étapes, et j’entends bien franchir le premier tour et même battre celui qui sera en face de moi au deuxième. Je n’engage pas de combat pour les perdre.

Par Mawunyo Hermann Boko – Envoyé spécial à Dakar Jeune Afrique

Formation du nouveau gouvernement: Les difficultés qui attendent Macky Sall

Macky Sall
Macky Sall

La gestation, puis la délivrance de ce dernier gouvernement de Macky Sall ont tout l’air d’une tempête de grande ampleur. C’est le chef de l’Etat lui-même qui aurait annoncé la mise en place du gouvernement à la fin de cette semaine écoulée. Jusque tard dans la nuit dernière, il n’y a eu rien du tout. Macky Sall marche assurément sur des œufs.

L’attente a été longue et le « nouveau-né » n’a pas fendu le silence par son premier cri. Silence ? « Plutôt anxiété », corrige ce cacique de l’Alliance pour la République (APR) ayant choisi l’anonymat. Il reste, en effet, peu de temps au chef de l’Etat au pouvoir, mais le dernier acte de chirurgie politique qu’il doit mener est des plus risqués. « Macky Sall marche sur des œufs », analyse notre interlocuteur. Une façon de dire que le président de la République fait face à une équation à plusieurs inconnues.

Le gouvernement qu’il à mettre en place est forcément appelé à être le reflet de plusieurs groupes d’intérêts. Autrement, Macky Sall exacerbe les tensions dans son propre camp et amplifie les mécontentements. La première faction qui surveille la composition du gouvernement est l’APR elle-même. La précaution de Macky Sall porte sur deux fronts. D’abord, il va, sûrement, se garder de limoger des ministres apéristes au risque de grossir les rangs des frustrés et de l’opposition. Quel ministre, débarqué du gouvernement à quelque trois mois de la présidentielle, va garder l’espoir de revenir aux affaires en cas de victoire d’Amadou Bâ ? Sans doute, aucun !

D’après le journal Point Actu, l’autre équation dans son propre camp est celle relative aux cadres jamais nommés ministres. Ces derniers pourraient croire, à tort ou à raison, que le chef de l’Etat porte peu de considération à leur endroit. « Que faire là où on n’est pas aimé ? », peuvent s’interroger ces cadres qui attendent depuis 2012 leur heure. A Benno Bokk Yaakaar, Macky Sall s’efforcera de garder les équilibres. Les quotas alloués aux partis alliés seront sûrement maintenus. D’autant que ces mêmes alliés s’étaient fait violence en donnant carte blanche à Macky Sall dans la désignation du candidat de BBY.

Mieux, ils s’étaient même abstenus de présenter un candidat à la candidature. Reste à présent un nouveau camp né de la présidentielle de 2024. Ce nouveau camp est celui du candidat de BBY, le Premier ministre Amadou Bâ. Même s’il garde le silence encore et s’abstient de poser les actes attendus d’un candidat, Amadou Bâ a, qu’il l’avoue ou pas, ses hommes. Qui sont-ils ? A quel univers appartiennent-ils ? Sont-ils des politiques ? Impossible pour l’heure de répondre à ces questions. Tout comme on ignore si Macky Sall fera entrer les hommes de son PM Amadou Bâ dans ce nouveau gouvernement.

Ce week-end, Amadou Bâ a posé des actes aux allures d’indépendance vis-àvis de la tutelle politique de son « patron », Macky Sall. Aux Parcelles assainies où se trouve sa base politique, le PM candidat à tour à tour rencontré des imams, des Badjenu Goox et des notables. Il a bouclé sa précampagne par une grosse mobilisation des jeunes venus de Dakar et d’autres contrées du pays. Il reste qu’on continue de se demander si Macky Sall se résoudra à laisser Amadou Bâ voler de ses propres ailes.

La question, insidieuse d’abord, intrigante ensuite, a fini par convaincre de la volonté du chef de l’Etat de ne rien perdre céder à son influence. « Président un jour, Président toujours ! » Voilà qui semble être le mantra de Macky Sall à quelque trois mois du premier tour de la présidentielle de 2024. Et le nouveau gouvernement attendu pourrait porte les stigmates d’un chef d’Etat sortant, décidé à garder intacte toute la plénitude de son pouvoir. En somme Macky Sall ne lâche rien !

Affaire des faux baux portant sur 3 milliards FCFA : Déjà sous mandat de dépôt, Me El Mamadou Ndiaye face au juge ce mercredi…

Me El Mamadou Ndiaye
Me El Mamadou Ndiaye

L’affaire des faux baux portant sur trois milliards de FCFA qui s’était soldée par l’inculpation et le placement sous mandat de dépôt de l’avocat Me El Mamadou Ndiaye suit son cours devant la Chambre d’accusation. Menant l’instruction, la Chambre va procéder à l’audition au fond de l’avocat. Et, selon nos informations du quotidien Les Échos, c’est ce mercredi que la robe noire sera entendue. Une occasion qui sera saisie pour, enfin, déposer une demande de liberté provisoire, a-t-on appris. 

Au rythme où évolue le dossier, la Chambre d’accusation devrait bientôt boucler son enquête. Après les auditions des parties civiles. En effet, la juridiction d’appel compétente pour connaître de cette affaire, va procéder à l’audition de Me El Mamadou Ndiaye. Il nous revient que ce dernier sera entendu sur le fond du dossier. Une occasion très attendue par le maire de Thiaroye-sur-mer pour donner sa version des faits aux magistrats instructeurs, espérant les convaincre de son innocence. L’avocat saisira sûrement cette occasion pour déposer, par l’intermédiaire de ses conseils, une demande de mise en liberté provisoire, renseigne le journal Les Échos. 

Depuis le 18 août dernier, la robe noire séjourne en prison. Il a été inculpé par la Chambre d’accusation pour escroquerie, blanchiment de capitaux et usurpation de fonction. L’affaire porte sur trois milliards de nos francs. C’est dans le cadre de l’achat d’un site en centre-ville par des investisseurs qui n’ont reçu, en fait, que de faux baux. Les dits investisseurs aujourd’hui partie civile dans cette affaire, ont été même poursuivis, auparavant, pour blanchiment d’argent. Ils hument aujourd’hui l’air de la liberté, mais ils ne peuvent pas être dédommagés. Dans le cadre de la procédure d’instruction, informent nos confrères, la chambre d’accusation a procédé à l’audition de ces derniers. 

Il nous revient qu’un témoin devrait être auditionné pour éclairer la lanterne des juges. Par ailleurs, en ce qui le concerne, Me El Mamadou Ndiaye avait crié son innocence sur tous les toits, à l’enquête préliminaire comme devant le Procureur général, compétent pour traiter le dossier des avocats. Le maire de Thiaroye-sur-mer a juré n’avoir grugé personne encore moins fait une usurpation de fonction. Sur les 300 millions qui lui sont imputés l’avocat déclare n’avoir touché que ses honoraires à hauteur de 24 millions FCFA…

Supposé recrutement spécial de 8000 enseignants : le ministère de l’éducation nationale dément!

Directeur de la Formation et de la Communication (DFC) du ministère de l'Education Nationale, Mohamed Moustapha DIAGNE
Directeur de la Formation et de la Communication (DFC) du ministère de l'Education Nationale, Mohamed Moustapha DIAGNE

Le Directeur de la Formation et de la Communication (DFC) du ministère de l’Education Nationale, Mohamed Moustapha DIAGNE porte à la connaissance de l’opinion qu’une information parue dans la presse et fortement relayée dans les réseaux sociaux faisant état d’un recrutement spécial de 8000 enseignants lui a été attribuée.

Le Directeur dément catégoriquement cette information dénuée de tout fondement. En effet, li précise qu’aucun recrutement spécial n’est prévu à ce jour et rappelle au cas échéant, l’opinion sera informée à travers les canaux officiels notamment la direction de la formation et de la communication (DFC).

Affaire de l’explosion mortelle d’une bonbonne de gaz à Derkler : La démenti du gouvernement

bonbonne de gaz
bonbonne de gaz

L’explosion d’une bonbonne de gaz survenue à Derklé, le 15 septembre, a enregistré une huitième victime avec le décès d’un jeune garçon qui était en soins intensifs. Cette affaire a fait couler beaucoup d’encre et provoqué la réaction du gouvernement.

Le ministre du Commerce, porte-parole du gouvernement, Abou Karim Fofana, s’est exprimé sur le sujet ce lundi. «Des gens disent que l’État est resté silencieux dans ce drame. Je voudrais préciser que ce n’est pas le cas, car l’État a toujours été présent, puisque Birame Faye, le ministre en charge de la Sécurité de proximité et de la Protection civile, s’est rendu chez la famille des victimes avec le gouverneur et le préfet de Dakar avec l’appui nécessaire venant de l’État du Sénégal. L’autre point est que l’État a un autre rôle à jouer.  La justice est en train de faire une enquête sur le dossier. D’ailleurs, les bouteilles de gaz et tout le matériel qui a servi à cet effet sont aujourd’hui déposés chez le procureur pour une enquête », a-t-il déclaré sur les ondes de la Rfm.

Le ministre d’ajouter : « Nous sommes en train de mener une enquête aussi au niveau du ministère du Commerce pour assurer la sécurité des consommateurs puisque ce qui est mis en cause, d’une part, c’est les bouteilles de gaz et les brûleurs. Nous sommes en train de voir tout cela avant de nous exprimer sur le sujet».

Toutefois, Abdou Karim Fofana dément l’information selon laquelle l’État « interdirait à Total de retirer ses bonbonnes de gaz ». Le ministre du Commerce souligne qu’il n’est pas au courant de cette information et ajoute « qu’il n’a jamais été question d’interdire à Total de retirer ses bonbonnes de gaz, si toutefois la société estime qu’il y a un lot sur lequel il peut y avoir des problèmes et juge nécessaire de les retirer ». Au contraire, cette décision reste une mesure conservatoire à saluer, d’après lui.

Les révélations sur une pénurie d’eau depuis 4 jours et la grève des détenus (Frapp)

grève des détenus
grève des détenus

Dans un communiqué de Frapp, le mouvement de Guy Marius Sagna informe sur la pénurie d’eau dans la prison de Reubeuss. Une condition qui aurait poussé les détenus à faire une grève de la faim pour protester contre leurs conditions. « En cette période de canicule, les détenus de la prison de Rebeuss, dont des centaines de « prisonniers politiques » dans l’incertitude quant à la date à laquelle ils seront jugés, font face, en plus de la promiscuité liée à surpopulation carcérale, à une pénurie d’eau depuis quatre (04) jours aujourd’hui. Vous imaginez la cruauté de ce tableau qui porte la froide signature du régime liberticide de Macky Sall. Coumba Ndoffène Dione de Keur Massar, détenu à la chambre 44 de la prison de Rebeuss, est très gravement malade et pisse du sang », a déclaré le mouvement Frapp

Avant de poursuivre qu’« à la prison de Camp pénal Liberté 6, les femmes détenues politiques ont entamé aujourd’hui une grève de la faim (lundi09 octobre 2023). Les repas partis aujourd’hui sont revenus. Elles demandent la libération immédiate et sans condition de tous les détenus politiques, dont le chef de l’opposition sénégalaise Ousmane Sonko, l’aération des chambres et des salles de bains pour lutter contre les moisissures, les champignons et l’humidité, Le désengorgement de la prison et la désinfection des chambres, une alimentation saine et équilibrée, l’affichage du règlement intérieur de la prison et l’organisation d’activités sportives »

Secrétariat national dénonce la longue détention des prisonniers : « Le secrétariat exécutif national (SEN) du FRAPP dénonce encore ces longues détentions de plus de mille sénégalaises et sénégalais dans ces conditions atroces pour leur opposition à la politique néocoloniale et prévaricatrice de nos ressources du régime liberticide et démocraticide de Macky Sall.
Le FRAPP interpelle les organisations de défense des droits de l’homme, les organisations de la société civile ainsi que les organisations politiques, face à cette situation qui touche à la dignité de l’humanité.
Le FRAPP tiendra l’administration pénitentiaire, le ministre de la justice et Macky Sall responsables de toute conséquence pouvant découler du calvaire entretenu de ces sénégalaises et de ces sénégalais dans les différentes prisons du pays »
Le secrétariat exécutif national (SEN) du FRAPP
Le 09 octobre 2023.

Kalidou Koulibaly : « Ce que m’a dit Aliou Cissé sur mon transfert en Arabie Saoudite »

Kalidou Koulibaly : Aliou Cissé
Kalidou Koulibaly : Aliou Cissé

Cet été, Kalidou Koulibaly a choisi de quitter l’Europe pour relancer sa carrière après une saison décevante à Londres, un an seulement après avoir signé pour 37 millions d’euros. Le défenseur s’est envolé pour l’Arabie saoudite, où il a rejoint Al Hilal. La décision a été approuvée par le sélectionneur national Aliou Cissé, qui n’a exprimé aucune inquiétude concernant le transfert de son capitaine.

« Je lui ai dit qu’il y a des possibilités pour moi d’aller en Arabie saoudite. Il m’a dit que de toute façon je suis le capitaine et que, quel que soit le choix que je fais, le plus important c’est que je sois performant et que physiquement je, retrouve le niveau que j’avais les années passées. C’est vrai qu’en jouant un peu moins à Chelsea, j’avais un peu moins de matches sur ma dernière année en sélection aussi. Mais cette année il a vu sur le premier regroupement où j’étais vraiment mieux mentalement avec du plaisir de jouer au football de jouer devant des stades pleins tous les week-ends, ça fait plaisir. Je sais que dans le passé il ne voulait pas des joueurs qui jouaient dans ce championnat-là. Aujourd’hui, je pense qu’il a changé d’avis. On dit souvent qu’il y a que les personnes bêtes qui ne changent pas d’avis (rires) », a déclaré le défenseur des Lions, sur Canal plus.

Affaire Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko : Bizarreries autour d’une procédure

Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko
Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko

L’information court depuis hier. Les comptes d’Ousmane Sonko auraient été saisis à la demande de Mame Mbaye Niang. Le ministre du Tourisme a interpellé sept banques pour mettre la main sur les 200 millions de dommages et intérêts.

Ce procès en diffamation a été, pour rappel, évacué au niveau de deux instances de juridiction. En effet, après un premier verdict, la Cour d’appel de Dakar avait été saisie par les deux parties. Mame Mbaye Niang espérait une sanction pécuniaire élevée et qu’une contrainte par corps soit prononcée à l’endroit d’Ousmane Sonko.

Le lundi 8 Mai, la cour d’appel infirme le jugement rendu en première instance, « déclare le prévenu coupable des délits de diffamation et d’injures ; le condamne à une peine de six mois assortis du sursis pour les deux infractions ; ordonne la contrainte par corps au maximum’’.

En revanche, pour ce qui est des dommages et intérêts réclamés par la partie civile, la cour a reconduit les 200 millions F CFA prononcés par le premier juge.

À la suite de cette décision en deuxième instance, les avocats du maire de Ziguinchor avaient introduit un pourvoi en cassation afin que le verdict soit cassé par la Cour suprême. L’appel étant suspensif, l’application de la peine devrait être suspendue.

À la surprise générale, Mame Mbaye Niang aurait entamé des démarches afin de rentrer dans ses fonds. Une information que n’ont pas confirmée les avocats de Sonko, jusqu’à hier dans la soirée. La plupart d’entre eux, interrogés par Seneweb, ont affirmé ne pas être au courant de la saisie des comptes de leur client. Et un des proches collaborateurs d’Ousmane Sonko, qui venait lui aussi d’être au courant, a ironisé au bout du fil. « Ils n’y trouveront rien », a-t-il lâché.

(Vidéo) : Baba Hamdy is back avec un nouveau clip « Doumako guissate »

Baba Hamdy est de retour dans la musique sénégalaise. Après une longue absence, le chanteur est revenu avec un nouveau clip.

« Elle est la femme de sa vie, il fera tout pour qu’elle reste avec lui. C’est dans DOUMAKO GUISSATE, la nouvelle chanson interprétée par Baba Hamdy », lit-on sur la description.

Place de l’Indépendance : Ça chauffe entre policiers et anciens militaires blessés de guerre

C’était tendu ce matin en centre-ville, entre la police et d’anciens militaires blessés de guerre. Ces derniers voulaient se rendre au ministère des Finances pour réclamer le paiement de leurs indemnités. Ils ont été stoppés à la place de l’Indépendance et dispersés par des tirs de grenades lacrymogènes. Nos confrères de la RFM, qui ont donné l’information, ont également signalé des arrestations dans leurs rangs.

Ces anciens blessés de guerre réclament le paiement de leurs indemnités, d’après un militaire qui s’est exprimé au micro de RFM.

D’après ces anciens militaires, le président de la République avait donné des instructions pour leur paiement et le ministre des Forces armées avait assuré que le paiement allait être effectif à partir du 9 octobre 2023. Mais jusque-là, ils n’ont rien perçu, rapportent-ils.

Limogé après l’annonce de sa candidature, Samba Ndiaye brise le silence…

Comme Mame Boye Diao, Samba Ndiaye a été limogé dès l’annonce de sa candidature à la présidentielle de 2024. Le désormais ex patron des grands trains du Sénégal (GTS – SA) est démis de ses fonctions par le président de la République. Il assume sa position.

« J’ai une vision, un vécu, une expression, une expertise qui aujourd’hui m’ont amené, comme je suis également homme politique, à penser en tant que leader de parti politique, à aller à la conquête du pouvoir. En tant que citoyen dans un pays démocratique, j’ai officiellement déposé ma candidature. L’objectif avec mes partisans c’est de remporter l’élection en 2024 et servir le Sénégal en tant que serviteur« , a-t-il rappelé au micro de la Rfm.

Une déclaration de candidature qui lui a coûté aujourd’hui son poste. Pour Samba Ndiaye, c’est sans regret.

« Sécuriser le processus électoral et libérer les détenus politiques », le F24 discrédite Macky

Dimanche dernier, la plénière de F24 a examiné plusieurs points à l’ordre du jour. Et d’importantes décisions ont été prises au sortir de ce forum.

F24 a décidé de mettre en place un dispositif fiable qui permettra de sécuriser le processus électoral et surtout de rendre possible une présidentielle inclusive et sincère, transparente et apaisée en 2024.

F24 poursuivra le combat pour la libération de tous les détenus politiques ainsi que sa campagne nationale et internationale d’information sur la situation de la démocratie.

Entre autres points abordés, l’arrestation de Aliou Sané, coordonnateur de Y’en a marre, a polarisé l’attention, son retour en prison dénoncé avec véhémence.

« Une énième forfaiture qui vient ajouter au surpeuplement des prisons et confirmer la tendance dictatoriale d’un régime qui tient à bâillonner toutes les voies dissonantes ».

Dans la foulée, les membres ont rappelé la présence dans les geôles Cheikh Oumar Diagne et Ousmane Sonko, tous deux candidats à la présidentielle et membres de F24, mais aussi plus de 1200 autres détenus politiques arbitrairement embastillés.

Ils se sont aussi offusqués de la huitième interdiction de manifestation qui a été notifiée à F24, vendredi dernier, « confirmant que la confiscation des droits et libertés de réunion et d’expression est érigée en règle par notre administration ».

De même que le refus de la DGE de remettre une fiche de parrainage au mandataire de Ousmane Sonko, semer la terreur par le Gouvernement dans les rangs des opposants et les citoyens osant élever la voix, les Sénégalais affectés par l’inflation, de problèmes de santé et d’éducation etc., ont été vivement dénoncée par le F24.

Pendant ce temps, ajoute le communiqué, « Macky Sall et son Gouvernement sont obnubilés par la préservation de leurs privilèges-occupés donc à assurer la continuité et l’immobilisme ».

Présidentielle 2024 : Aly Ngouille Ndiaye met en doute la capacité d’Amadou Ba à gagner

La course pour la présidentielle de 2024 a déjà commencé pour les candidats potentiels. L’un d’entre eux, l’ancien ministre Aly Ngouille NDIAYE, a récemment critiqué la capacité de l’actuel Premier ministre, Amadou BA, à gagner une élection, sans toutefois le nommer explicitement.

« On n’élit personne par décret, les urnes vont parler cette fois », a déclaré Aly Ngouille NDIAYE, soulignant clairement son scepticisme quant aux chances de victoire de son adversaire. Pour lui, le choix du futur président appartient au peuple, en particulier à la jeunesse, et non pas à un décret.

Il semble également confiant que l’élection sera décidée dès le premier tour. « Au soir du 25 février, il n’y aura pas de 2é tour », a-t-il affirmé. Cette déclaration semble indiquer que NDIAYE est confiant dans ses chances de victoire, tout en mettant en doute celles d’Amadou BA.

Aly Ngouille NDIAYE, qui a organisé la présidentielle de 2019, semble donc prêt à relever ce nouveau défi électoral. Cependant, la campagne officielle n’a pas encore commencé et la situation pourrait encore évoluer de manière inattendue. Les déclarations de l’ancien ministre ont été rapportées par le site Walf-groupe.com.

Propos discourtois à l’encontre des « wasifa » et « hadaratul Jumah »: La communauté Tidiane annonce des plaintes contre Oustaz Omar Sall

La communauté Tidiane est en colère contre le prêcheur Omar Sall. Ce dernier semble avoir l’habitude de critiquer ou de tenir des propos discourtois à l’encontre des « wasifa » ou « hadaratul Jumah ». Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Senego, la communauté Abnaa ul Hadrati- T-Tijaaniyati menace de porter l’affaire devant les Tribunaux.

« Par ses propos irrévérencieux, le prêcheur Omar Sall a porté atteinte à l’honneur de toute une communauté, la communauté des fidèles Tidianes dans ce qu’ils ont de plus sacré dans leur culte ». Ce réquisitoire de la communauté Tidiane en dit long sur cette agression ouverte.

Dénigrer les fidèles Tidianes, à coups de propos irrespectueux et insulter la communauté, dit le communiqué, sont le sport favori de M. Sall.

Et, se référant aux textes et lois sénégalais, la communauté Tidiane se réserve le droit de porter plainte contre le prêcheur Omar Sall, devant les tribunaux du pays.

Voici l’intégralité du communiqué

Nous venons par ce présent communiqué signifier à l’opinion nationale notre consternation par rapport aux propos injurieux et diffamatoires tenus par Monsieur Omar SALL à l’encontre de la communauté des fidèles Tidianes dans ce qu’ils ont de plus sacré dans leur culte.

En effet, Monsieur SALL s’est permis de dénigrer les fidèles Tidianes allant jusqu’à assimiler les pratiques cultuelles de la Wazifa et de la Hadaratoul Jummah à des rituelles folkloriques.

Ces propos irrespectueux ont été tenus par Monsieur SALL dans une vidéo publiée sur Facebook. Il n’est guère inutile de préciser qu’il n’en est pas à son coup d’essai.

C’est la énième fois qu’il profère avec une certaine volonté de se faire remarquer, des insultes et des attaques contre la communauté Tidiane

La constitution qui est le texte suprême de la République du Sénégal, dispose en son article 10 que l’exercice de la liberté d’expression ne doit porter atteinte ni à l’honneur ni à la considération d’autrui. Par ses propos irrévérencieux, le sieur SALL a porté atteinte à l’honneur de toute une communauté. Et si l’on s’en tient aux dispositions de la Loi 2016-29 du 8 novembre 2016 modifiant la Loi 65-60 du 21 juillet 1965 portant Code Pénal de la République du Sénégal, les déclarations de ce Monsieur constituent des injures publiques pénalement répréhensibles.

En conséquence, nous faisons un appel solennel aux autorités publiques de prendre avec la plus grande diligence les dispositions nécessaires pour mettre un terme aux agissements de ce Monsieur qui n’ont que trop durer.

Par ailleurs, nous nous réservons le droit de porter l’affaire devant les tribunaux. La communauté Abnaa ul Hadrati- T-Tijaaniyati réitère son engagement indéfectible dans la défense et la préservation des intérêts de la communauté Tidiane.

Regardez!

Faux baux à 3 milliards F CFA : lueur d’espoir pour le maire de Thiaroye-Sur-Mer

Le maire de Thiaroye-Sur-Mer, Me El Mamadou Ndiaye, sera entendu au fond ce mercredi par la Chambre d’accusation dans le cadre de l’instruction de l’affaire des faux baux portant sur 3 milliards de francs CFA. Les Échos, qui donne l’information, parie que l’édile thiaroyois «saisira cette occasion pour déposer, par l’intermédiaire de ses conseils, une demande de liberté provisoire».

Me El Mamadou Ndiaye est en prison depuis le 18 août dernier. Il a été placé sous mandat de dépôt pour escroquerie, blanchiment de capitaux et usurpation de fonction. D’après l’accusation, 300 millions de francs CFA du montant litigieux auraient transité entre ses mains.

Aussi bien l’enquête préliminaire que face au procureur général, l’avocat a clamé son innocence. Il assure n’avoir commis aucune infraction et touché que ses honoraires, représentant 24 millions de francs CFA.

L’audition de Me Ndiaye survient après celle des parties civiles. Ce qui a poussé Les Échos a pronostiqué que «la chambre d’accusation va bientôt boucler son enquête».

Le Directeur des Grands Trains du Sénégal limogé par Macky Sall

Le Président de la République, Macky Sall, a mis fin aux fonctions de Monsieur Samba Ndiaye, Directeur général de la Société des Grands Trains du Sénégal (GTS – SA).

Le décret a été publié ce lundi 9 octobre.

Samba Ndiaye a récemment annoncé sa candidature à la Présidentielle.

Khalifa Sall : « Nous mettrons en place un Etat juste, rassembleur »

Mais Le Président de la Plateforme politique « Taxawu Sénégal » a bouclé sa tournée dans la région de Kaolack. Du 1er au 7 octobre, Khalifa Sall a sillonné les différents départements de la région.

Tirant le bilan de ses visites dans les localité, Khalifa Ababacar Sall a salué l’engouement des populations, tout en rappelant sa volonté de promouvoir des actions ciblées, pour renforcer le développement des terroirs.

Il a aussi réaffirmé son engagement à mettre en place un Etat juste, rassembleur, au service des populations.

M. Sall a profité de sa rencontre avec les agriculteurs du Bassin arachidier pour déplorer la situation du monde rural « avec des agricultures privés d’eau, d’engrais et de semences ».

Remaniement : Les 6 choix forts que prépare le président Macky Sall (RFM)

Senegal's President Macky Sall arrives for the closing session of the New Global Financial Pact Summit, on June 23, 2023 in Paris. (Photo by Lewis Joly / POOL / AFP)

La publication de la nouvelle équipe gouvernementale concoctée par Macky Sall est attendue aujourd’hui. Le Premier ministre et futur candidat de BBY à la présidentielle de 2024, Amadou Ba, a reçu l’approbation du président Macky Sall pour sélectionner ses collaborateurs et les placer à des postes clés.

Selon les informations de nos collègues de RFM, il est prévu qu’Antoine Félix Diome quitte le ministère de l’Intérieur pour devenir le directeur de cabinet du président de la République. De plus, la création d’un ministère chargé des Élections est envisagée dans le prochain gouvernement.

Des changements sont aussi à prévoir au ministère de l’Agriculture. Selon RFM, Samba Ndiobène Ka, actuel ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Équité sociale et territoriale, est pressenti pour prendre la tête du ministère de l’Agriculture, auparavant dirigé par Aly Ngouille Ndiaye.

Nos confrères indiquent également le retour d’Oumar Youm dans le prochain gouvernement. Le président actuel du groupe parlementaire BBY devrait ainsi quitter l’Assemblée nationale, avec Abdou Mbow en tant que son possible successeur. Thérèse Faye Diouf, administratrice du Fongip, pourrait également faire partie de l’équipe du Premier ministre.

Bill Gates : « Le Sénégal se distingue comme étant un leader dans le domaine de la R&D en santé »

Bill Gates : « Le Sénégal
Bill Gates : « Le Sénégal

En visite au Sénégal pour le «Grand Challenges annual meeting», l’une des personnalités les plus riches au monde Bill Gates a donné son point de vue sur le pays de la Teranga dans une interview accordée à nos confrères du journal L’Observateur.

Selon l’homme d’affaires, « Le Sénégal se distingue comme étant un leader dans le domaine de la R&D en santé. Et ce, parce que vos indicateurs dans de nombreux domaines importants tels que la mortalité infantile et la nutrition sont remarquables. En fait, j’ai une équipe qui a étudié les progrès réalisés au Sénégal pour voir ce que vous faites si bien, afin que d’autres pays puissent s’en inspirer » dit il.

« Je suis particulièrement impatient de visiter l’Institut Pasteur de Dakar pour voir les travaux de pointe qui y sont menés, notamment les nouvelles méthodes de fabrication de vaccins et de suppléments nutritionnels probiotiques pour aider à la croissance des enfants » , poursuit-il.

Une occasion pour lui de montrer son amour pour le plat national : « Thiéboudienne » . « Et, bien sûr, pendant mon séjour, j’ai hâte de goûter au ‘‘Thiéboudienne’’. La cuisine, la culture, la créativité et l’innovation des Sénégalais font de ce pays un endroit exceptionnel », dit-il.

Des voitures volées à Dakar retrouvées…à Ziguinchor

voitures volées
voitures volées

La Brigade de recherches du commissariat principal de Ziguinchor a porté un violent coup à un réseau de trafic de voitures. Lors d’une opération menée la semaine dernière, elle a mis la main sur seize véhicules volés à Dakar.

Ceux-ci devaient être vendus sur place, à Bignona et en Guinée-Bissau. «Le cerveau ainsi que l’un de ses complices ont été arrêtés à Dakar. Pour Ziguinchor, d’autres complices ont été identifiés et leur arrestation est imminente», soufflent des sources du journal Libération, qui donne l’information dans son édition de ce lundi.

Ces dernières soulignent que «les mis en cause seraient liés à un groupe à l’origine de vols et d’un trafic à grande échelle de véhicules».

Reprise des cours à l’UCAD : Le Conseil académique va trancher

UCAD
UCAD

La reprise effective des activités pédagogiques en présentiel, au niveau de l’université  Cheikh Anta Diop de Dakar, est partie pour s’effectuer après ce mois d’octobre. Pour cause, c’est la décision validée par le Conseil académique de l’UCAD qui s’est réuni le vendredi 06 octobre, sous la présidence du Recteur Ahmadou Aly Mbaye.

Dans un communiqué dont nous avons reçu copie,  le Conseil académique de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar a pris en effet un certain nombre de décisions, «après examen et analyse de la situation et conformément au calendrier établi lors de la séance du 12 juin 2023 ». Parmi celles-ci, le Recteur Ahmadou Aly Mbaye et le Conseil académique relèvent : « la reprise des enseignements en présentiel dans les meilleurs délais ; la tenue des discussions jusqu’à la mi-octobre, avec les amicales des étudiants au niveau des établissements afin de bâtir des consensus forts nécessaires à un climat apaisé ; la poursuite en distanciel des activités de remédiation ou d’évaluation pour les  établissements qui le souhaitent ».

Il faut aussi noter que le Conseil académique a notifié que « Les prestations du Coud restent suspendues jusqu’à nouvel ordre ». Au final, le Recteur Ahmadou Aly Mbaye et cie ont validé « la convocation d’une séance élargie du Conseil académique au plus tard le 31 octobre 2023 pour fixer les modalités d’une reprise effective des activités pédagogiques en présentiel ».

Aly Ngouille Ndiaye attaque le régime de Macky : « L’État ne doit pas être une arme contre son adversaire politique »

Aly Ngouille Ndiaye
Aly Ngouille Ndiaye

À l’occasion de sa déclaration de candidature pour la présidentielle de février 2024, l’ancien ministre de l’Intérieur  s’est fait introduire par le tube « Douma combine beuré » de Youssou Ndour.  Il se lance déjà dans la réforme judiciaire. « Je serai le candidat qui appliquera les règles de la justice. L’État ne doit pas être une arme contre son adversaire politique. Je ne ménagerai aucun effort pour l’indépendance de la justice », lance-t-il avant d’ajouter : 
« je suis le candidat des femmes. Je suis le candidat de l’équité sociale, de la santé. Ici à Dakar, des femmes font le tour des structures sanitaires pour donner la vie par faute de place. C’est inadmissible et inacceptable dans la capitale! Le système sanitaire de Dakar est malade » dénonce le maire de Linguère, candidat dissident de la mouvance présidentielle…

Présidence du groupe parlementaire BBY : Abdou Mbow pressenti pour remplacer Oumar Youm

Abdou Mbow
Abdou Mbow

Actuellement président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, Oumar Youm pourrait faire ses valises pour le nouveau gouvernement dont la formation est attendue dans les prochaines heures. Son collègue député Abdou Mbow devrait lui succéder à la tête du groupe parlementaire. L’actuel porte-parole adjoint de l’Apr, avec son expérience parlementaire, pourrait bien être à l’aise dans ce poste. En effet, le natif de Thiès est actuellement le président de la Commission des Lois, de la décentralisation, du travail et des droits humains. Depuis 2012, il est député au parlement sénégalais.

Il a occupé plusieurs postes de responsabilité au sein de l’Assemblée nationale notamment le poste de Secrétaire Élu, troisième vice-président, Président de la Commission des Affaires étrangères et premier vice-président. Ce nouveau poste de responsabilité viendrait alors allonger la liste qui semble ne pas être exhaustive pour l’ancien coordinateur national de la Convergence des Jeunesses Républicaines (Cojer).

Macky Sall honore Bill Gates et encourage la création d’une industrie biotechnologique en Afrique.

Macky Sall honore Bill Gates
Macky Sall honore Bill Gates

Ce lundi, le président du Senegal a présidé l’inauguration des Grand Challenges annual meeting de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Macky Sall a l’opportunité de rendre hommage à Bill Gates, le fondateur de Microsoft, pour son choix d’organiser cette rencontre au Sénégal, ce qui est une première en Afrique de l’ouest. « Un merci tout spécial à vous, cher Bill, pour la confiance que vous accordez à notre pays pour accueillir le grand événement annuel de votre Fondation », a-t-il lancé à Bill Gates en anglais.

Il a également déclaré que la tenue de cet événement à Dakar confirme le partenariat solide entre notre pays et votre Fondation, dont le Sénégal abrite le Bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre.

Macky Sall a appelé l’Afrique à « se mobiliser davantage pour asseoir une véritable industrie biotechnologique, y compris la fabrication de vaccins ». M. Sall a fait une déclaration lors de la cérémonie d’ouverture du congrès annuel des Grand Challenges de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Le chef de l’État a demandé un renforcement des financements pour le progrès scientifique du continent afin d’y parvenir : Il y a des coûts associés au progrès scientifique. La recherche scientifique doit être soutenue et financée suffisamment pour être efficace et répondre aux besoins du plus grand nombre.La course aux vaccins et aux masques qui a commencé après l’apparition de la pandémie de COVID-19 est suffisamment révélatrice à ce sujet. Elle a révélé l’état d’impréparation.

Bill Gates : « Je suis très heureux d’être au Sénégal »

Bill Gates
Bill Gates

Le milliardaire américain, Bill Gates, est actuellement au Sénégal. L’un des hommes les plus riches au monde est venu participer à la réunion annuelle 2023 Grand Challenges, qui va se tenir pour la première fois en Afrique de l’Ouest. Elle aura lie du 9 au 11 octobre, organisée sous la co-présidence du Chef de l’Etat, Macky Sall, et du fondateur de la fondation Bill & Melinda Gates, Bill Gates.

Grand Chalenges a été lancé par le gouvernement du Sénégal en octobre 2022 avec la vision de permettre la prochaine série de percées dans la découverte et les sciences de la vie translationnelles en Afrique de l’Ouest, avec un financement de démarrage de la Fondation Bill & Melinda Gates, Grands Défis Canada et ELMA Philanthropies.

« Je suis très heureux d’être au Sénégal pour la toute première réunion annuelle de Grand Challenges en Afrique de l’Ouest. L’innovation est une priorité absolue au Sénégal – le pays regorge d’idées inspirantes susceptibles d’améliorer et de sauver des vies. Vous avez réalisé des progrès remarquables en matière de réduction de la mortalité infantile et d’amélioration de la nutrition. Le monde entier peut bénéficier et apprendre de votre travail pour améliorer la santé mondiale. Le Sénégal s’est également engagé à renforcer son écosystème de recherche et de développement et à promouvoir la science et l’innovation dans toute l’Afrique. J’ai hâte d’entendre les scientifiques et les experts du pays et de toute l’Afrique qui travaillent à relever les défis pressants au niveau mondial tels que le paludisme, l’adaptation au changement climatique et la mortalité infantile », a déclaré Bill Gates.

L’homme d’affaires américain est revenu sur le partenariat liant sa fondation au Sénégal. « Le travail de notre fondation avec le Sénégal sur les Grand Challenges est l’un des nombreux aspects d’un partenariat à long terme et à fort impact. L’année prochaine, notre fondation prévoit d’ouvrir un bureau à Dakar pour continuer de travailler avec le Sénégal sur les priorités en matière de santé mondiale et de développement qui peuvent transformer des vies dans la région et au-delà. Au fil des ans, le gouvernement sénégalais a été un partenaire dans plusieurs domaines clés, notamment l’extension des services d’assainissement, l’augmentation de la disponibilité des contraceptifs injectables et la promotion de l’égalité des sexes », a ajouté le fondateur de Microsoft.

Bill Gates annonce également une visite à l’Institut Pasteur de Dakar, associé de la fondation de l’homme d’Affaires. « Depuis plus de dix ans, notre fondation s’est associée à l’IPD pour mettre l’accent sur la recherche, le renforcement de capacité du personnel, la surveillance des maladies et les programmes de bio-production. Nous travaillons actuellement avec l’IPD pour développer de nouveaux vaccins contre la shigellose, une maladie diarrhéique mortelle qui tue des centaines de milliers d’enfants chaque année. L’IPD aide plus de 20 pays africains à détecter et à gérer les épidémies et accroît considérablement la disponibilité des tests de diagnostic pour le COVID, des tests pour d’autres maladies majeures étant en cours d’élaboration», a souligné Gates.

Parrainage : La police de Kébémer barre la route à Abdourahmane Diouf

Le candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2024, Abdourahmane Diouf, a entamé sa tournée politique. Actuellement dans le nord du pays pour la collecte des parrainages, « le président d’Awalé est intercepté par la police à Kébémer », a-t-on appris dans une note publiée sur sa page Facebook.

Cependant, les raisons de cet blocage sont encore méconnues.

Remaniement : RFM lève le voile sur la composition du prochain gouvernement

gouvernement
gouvernement

La nouvelle équipe gouvernementale est attendue aujourd’hui. Selon nos confrères de RFM qui donnent l’information, la liste devrait être connue ce lundi. Le Premier ministre et futur candidat de BBY à la présidentielle de 2024, Amadou Ba, a l’onction du chef de l’État Macky Sall pour prendre ses hommes et les mettre aux postes clés.
En effet, selon RFM, des lignes vont bouger au ministère de l’Agriculture. Samba Ndiobène Ka, ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Équité sociale et territoriale est pressenti pour occuper ce département qui était dirigé par son rival Aly Ngouille Ndiaye.
Toujours selon nos confrères, le retour d’Oumar Youm dans le prochain gouvernement est annoncé. L’actuel  président du groupe parlementaire BBY devrait ainsi quitter l’Assemblée nationale. Son remplaçant serait Abdou Mbow.
Thérèse Faye Diouf, administratrice du Fongip, pourrait aussi intégrer l’équipe du Premier ministre, soufflent nos confrères. 
Au contraire, Antoine Félix Diome devrait quitter le ministère de l’Intérieur pour être  le directeur de cabinet du président de la République. La création d’un ministère chargé des Élections est envisagée dans le prochain gouvernement, souligne RFM.

Parrainage : La police de Kébémer barre la route à Abdourahmane Diouf

Abdourahmane Diouf
Abdourahmane Diouf

Le candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2024, Abdourahmane Diouf, a entamé sa tournée politique. Actuellement dans le nord du pays pour la collecte des parrainages,  « le président d’Awalé est intercepté par la police à Kébémer », a-t-on appris dans une note publiée sur sa page Facebook.
 Cependant, les raisons de cet blocage sont encore méconnues. 

Dakar Dem Dikk : Les conducteurs dénoncent un déficit de bus

Face à la presse hier, les travailleurs de la société de transport public Dakar Dem Dikk, notamment les conducteurs, ont étalé leurs doléances sur la table. Ils estiment que la société de transport rencontre des difficultés en ce moment, précisément un déficit de bus. A cela s’ajoute un retard de salaires qu’ils dénoncent.

Très inquiets, ces travailleurs demandent un renforcement des bus pour mener à bien leurs activités.

Ils ont également profité de l’occasion pour déplorer les mauvaises conditions dans lesquelles ils travaillent tout en réclamant de meilleures conditions de travail, notamment la revalorisation de leurs salaires.

Ces travailleurs pointent du doigt le directeur des ressources humaines de la société de Dakar Dem Dikk d’être le seul responsable de cette situation. Ils soulignent que ce dernier fait toujours la sourde oreille face aux préoccupations des travailleurs.

Job Sa Brain et Fou Malade dévoilent le clip « Xaliss » (vidéo)

« L’argent est l’argent, quelles que soient les mains où il se trouve. C’est la seule puissance qu’on ne discute jamais, » dit-on. Job Sa Brain feat Fou Malade dans » XALISS » montrent qu’on fait tout avec de l’argent, excepté des hommes.

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Parrainage : Sonko joue sa dernière carte

Celui-ci assure que l’opposant dispose d’une carte à jouer après le rejet de la Cour suprême de sa requête suite au refus de la Direction générale des élections (Dge) de fournir les fiches de parrainage à son mandataire.

Tout dépend maintenant de la décision du Tribunal d’instance de Ziguinchor saisi par Me Ciré Clédor LY et Cie d’un recours le 4 octobre dernier pour l’annulation de la mesure de radiation de leur client des listes électorales. Cette juridiction dispose de dix jours pour se prononcer.

La défense de Sonko reste optimiste. « Nous avons la conviction que cette procédure va prospérer parce que les moyens que nous avons développés dans la forme sont trés costauds tout comme ceux évoqués au fond », a dit Me Djibo Diagne, repris par Source A.

Plainte pour diffamation : les animateurs de l’émission Xalass jugés le 16 novembre prochain

Suite à une plainte d’une dame établie aux États-Unis, Mariétou Bensouda Diallo, les animateurs de l’émission Xalass, journal des faits divers sur la Rfm, Mamadou Ndoye Bane, Mamadou Ndiaye et Ababacar Camara dit Aba feront face au juge du tribunal correctionnel de Dakar. Selon Les Echos, qui donne l’information, l’affaire appelée à la barre le 5 octobre dernier, a été renvoyée au 16 novembre prochain pour plaidoiries.

D’ores et déjà, le Directeur de la Rfm, El Hadji Assane Gueye, et le Groupe futurs médias sont déclarés pénalement responsables, souligne le journal. Celui-ci ajoute que la partie civile réclame 500 millions de francs Cfa en guise de réparations.

La plaignante estime que l’honneur de sa famille a été salie au cours d’une émission Xalass qui date de trois ans. Au cours de laquelle, la nommée Oumou Kalsoum Diallo, découvrant ses origines, s’est retournée contre sa famille adoptive, soutenant « avoir été maltraitée et subi toutes sortes d’atrocités » de la part de cette famille.

Selon Les Echos, Mariétou Bensouda Diallo avait demandé que sa version des faits soit relatée, contestant la version donnée par Oumou Kalsoum Diallo.

(Vidéo)- Aïcha Rassoul s’envole en lune de miel avec Aziz N’diaye

L’influenceuse Aïcha Rassoul s’envole finalement en direction de sa lune de miel, ce dimanche 08 octobre 2023, au côté de son époux, l’homme d’affaires Aziz N’diaye . En couple officiellement depuis le mois septembre et ont attendu quelque temps avant de monter dans l’avion.

Dans une vidéo partagée par Aziz N’diaye, inedit221.com aperçu Aïcha Rassoul avec son passeport à la main pour dire simplement qu’elle entrain de s’envoler vers une destination dont nous ignorer pour sa lune de miel.

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Rentrée académique à l’Ucad, en présentiel : Une date « précise » retenue

La reprise effective des activités pédagogiques en présentiel, au niveau de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, est partie pour s’effectuer après ce mois d’octobre. Pour cause, c’est la décision validée par le Conseil académique de l’UCAD qui s’est réuni le vendredi 06 octobre, sous la présidence du Recteur Ahmadou Aly Mbaye.

Dans un communiqué dont nous avons reçu copie, le Conseil académique de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar a pris en effet un certain nombre de décisions, « après examen et analyse de la situation et conformément au calendrier établi lors de la séance du 12 juin 2023 ».

Parmi celles-ci, le Recteur Ahmadou Aly Mbaye et le Conseil académique relèvent : « la reprise des enseignements en présentiel dans les meilleurs délais ; la tenue des discussions jusqu’à la mi-octobre, avec les amicales des étudiants au niveau des établissements afin de bâtir des consensus forts nécessaires à un climat apaisé ; la poursuite en distanciel des activités de remédiation ou d’évaluation pour les établissements qui le souhaitent ».

Il faut aussi noter que le Conseil académique a notifié que « les prestations du Coud restent suspendues jusqu’à nouvel ordre ». Au final, le Recteur Ahmadou Aly Mbaye et cie ont validé « la convocation d’une séance élargie du Conseil académique au plus tard le 31 octobre 2023 pour fixer les modalités d’une reprise effective des activités pédagogiques en présentiel ».