( 07 Photos ) Meghan Markle enceinte : tout ce qu’il faut savoir sur sa grossesse

PRÉNOMS, LIEU DE L’ACCOUCHEMENT, TITRE DU BÉBÉ …

La nouvelle était attendue. Elle a été officialisée ce 15 octobre 2018 : à 37 ans, Meghan Markle est enceinte de son premier enfant. Le prince Harry et la duchesse accueilleront leur héritier au cours du printemps 2019. Un royal baby qui fait déjà beaucoup parler de lui…

Nouveau baby boom chez les Windsor. Les jeunes George, Charlotte et Louis de Cambridge, enfants du prince William et de Kate Middleton, ne grandiront pas seuls, derrière les grilles du palais de Kensington. Après des semaines de spéculation, la nouvelle a été officialisée le 15 octobre 2018, alors qu’elle venait d’atterrir en Australie, avec le prince Harry, pour leur premier engagement international : à 37 ans, Meghan Markle attend son premier enfant. Les époux de Sussex deviendront parents au courant du printemps 2019.

Meghan Markle enceinte
Six mois. C’est donc le temps qu’il aura fallu à l’ex-héroïne de la série Suits, devenue duchesse de Sussex le jour de son mariage avec Harry le 19 mai 2018, pour tomber enceinte. Tout sera décidément allé très vite entre le prince et l’ancienne actrice. Habituée aux auditions et aux interviews, durant lesquelles il faut briller, Meghan Markle aura su battre les cartes de la destinée. Dans la biographie qu’il lui a consacrée, De Hollywood à Buckingham, Andrew Morton, confesseur de Diana dans les années 90, souligne une détermination et un pragmatisme très américains… Le 29 juin 2016, tout juste arrivée à Londres pour promouvoir sa série Suits, Meghan appelle directement l’animateur Piers Morgan pour qu’il l’invite à son talk-show Good Morning Britain. Après avoir encouragé son amie Serena Williams à Wimbledon, elle lui donne rendez-vous dans un pub du quartier de Kensington pour faire plus ample connaissance. Alors qu’elle vient de marier une amie sur l’île d’Hydra, en Grèce, elle déroule son curriculum vitae et ne cache pas ses futurs projets : elle aura bientôt 35 ans ; elle a été mariée avec un producteur de cinéma, Trevor Engelson, de 2011 à 2013 ; elle vient de rompre avec un chef cuisinier, Cory Vitiello… mais elle ne désespère pas de trouver « un homme fiable » ! Le lendemain, alors qu’elle rapporte leurs échanges à son amie Violet von Westenholz, directrice des relations presse de la maison Ralph Lauren et fille d’un baron proche du prince Charles, celle-ci lui propose un blind date avec le prince Harry.

Depuis le début de l’année, le fils cadet de Charles répète qu’il cherche à se fixer sentimentalement. En mai, alors qu’il assurait la promotion de ses Invictus Games, en Floride, il a même confié au Sunday Times : « Pour le moment, je suis concentré sur mon travail, mais si quelqu’un se glissait dans ma vie, ce serait absolument fantastique. Je ne fais pas passer l’idée d’un mariage et d’une famille au second plan. Je n’ai juste pas eu le temps, ni les occasions de m’y consacrer. » En ce début juillet 2016, le prince est prêt. Ambassadeur de marque du très sélect club londonien Soho House, Markus Anderson, ami canadien de Meghan, leur a réservé un salon privé. A la fin de la soirée, commencée avec quelques appréhensions, la jeune femme a la confirmation qu’elle a rencontré un gentleman. Jusqu’au 5 juillet, date de son vol retour pour Toronto, où elle tourne Suits, les rendez-vous s’enchaînent. Etourdie, l’actrice poste des cœurs sur son compte instagram. Quand Harry lui propose de se joindre à un safari au Bostwana, début août 2016, Meghan, qui connaît elle-même le continent africain pour y avoir mené plusieurs missions humanitaires, n’hésite pas une seule seconde. Là-bas, les discussions gagnent en profondeur, les gestes deviennent encore plus tendres. La fascination est mutuelle. Le 8 novembre, le palais de Kensington confirme leur relation et enjoint les commentateurs à faire preuve de décence. Un mois plus tard, les premières photos du couple, surpris dans les rues de Londres, surgissent. Le couple s’accomode de cette curiosité et de sa relation longue distance. Au printemps 2017, Meghan annonce la fermeture de son blog The Tig, ainsi que son retrait des réseaux sociaux. Elle apparaît parmi les supporters du prince, alors qu’il dispute un match de polo à Ascot, mais le rejoint beaucoup plus discrètement au dîner de mariage de Pippa Middleton et James Matthews. En septembre, lors de l’ouverture des Invictus Games de Toronto, le couple se montre moins timide et fait même entrer un nouveau protagoniste dans les téléobjectifs : Doria Ragland, la mère de Meghan. Preuve que l’affaire est devenue plus que sérieuse.

Durant l’été 2017, la compagne du prince a accordé une longue interview à l’édition américaine du Vanity Fair, qui la positionne en brue idéale, à la fois altruiste et détachée du qu’en dira-t-on. Qualités inestimables, quand on prétend au job d’altesse royale. Dans la foulée de cette parution, en octobre 2017, Meghan passe l’audition de sa vie : tea-time avec Elisabeth II à Buckingham. C’est un succès. Un mois plus tard, en novembre, Harry convoque la presse autour du Jardin d’eau de Kensington. Le couple annonce ses fiançailles. La route sera quasiment sans embûche – si l’on fait exception des scandales générés par la famille paternelle de Meghan – jusqu’à la chapelle St George du château de Windsor, où le fils cadet de Charles prend sa belle Californienne pour épouse, le 19 mai 2018.

Quel sera le prénom et le titre de l’enfant des époux de Sussex ?
C’est un sport national en Grande-Bretagne, et une fièvre qui agite les sujets de Sa Gracieuse Majesté à chaque fois qu’une épouse Windsor annonce une grossesse : les paris sur le sexe, le prénom et le titre du bébé à naître. Pas peu fiers d’avoir deviné qu’un heureux évènement serait annoncé au tout début de l’automne 2018, les bookmakers misent, dans le cas d’une fille, sur les prénoms Diana, Victoria, Alice et Elizabeth. Dans le cas d’un garçon, les prénoms Albert, Edward, Arthur et James se distinguent. Pour l’instant, les époux de Sussex n’ont même pas communiqué sur le sexe de leur enfant.

Le titre que portera cet héritier est une affaire un peu plus complexe. Au Royaume-Uni, depuis 1917, seuls les enfants d’un monarque sont désignés prince ou princesse. Et les petits-enfants du souverain ne sont pas logés à la même enseigne, car le statut princier se transmet à la seconde génération par les mâles uniquement. Ainsi, Peter et Zara, les deux enfants de la princesse Anne, fille d’Elisabeth II, n’étaient ni prince, ni princesse à leur naissance. La reine a proposé à leur mère de leur accorder un titre de courtoisie, mais Anne et son ex-époux, Mark Philipps, ont refusé, voulant préserver leurs héritiers de la moindre contrainte monarchique. « Je suis très heureuse que mes parents nous aient permis de grandir avec la possibilité de réaliser nos propres choix », a reconnu Zara Phillips, médaillée d’argent du concours complet d’équitation aux Jeux Olympiques de Londres, en 2012. Eût-elle été princesse, aurait-elle pu s’accomplir en tant que cavalière émérite et professionnelle reconnue dans le marketing ? Pas si sûr. Le prince Edward, troisième fils de la reine et comte de Wessex, a lui aussi préféré protéger ses enfants. Ainsi, son fils James et sa fille Louise ne sont pas désignés prince et princesse, mais vicomte et lady … Si George, Charlotte et Louis de Cambridge ont été gratifiés des prédicats de princes et d’altesses royales, deux titres qui ne peuvent être transmis à la troisième génération que par un héritier de la Couronne, il n’en sera pas de même pour les enfants de Meghan et d’Harry, sixième dans l’ordre de succession au trône. La descendance des époux de Sussex devra se contenter des titres de lord ou de lady. De plus, seul un fils aîné pourra hériter de leur duché, celui-ci n’étant pas transmissible à une fille. La règle sexiste pourrait changer par décret royal. En attendant, Meghan la féministe devra s’y plier.

Où la duchesse de Sussex va-t-elle accoucher ?
Californienne de naissance, mais membre de la famille royale et citoyenne britannique, depuis son mariage avec Harry, Meghan Markle accouchera très probablement à l’hôpital St Mary, de Londres. C’est là-bas que Diana, princesse de Galles, a mis au monde les princes William et Harry, en 1982 et 1984. L’établissement a également été choisi par Kate Middleton, duchesse de Cambridge, pour la naissance de ses enfants George, Charlotte et Louis, en 2013, 2015 et 2018. Sa soeur Pippa, enceinte de son premier enfant, y a fait, elle aussi, tout son suivi de grossesse.

Le principal avantage de l’établissement : une aile privée, la Lindo Wing, qui permet aux futures mamans d’entamer leur travail dans la plus grande discrétion et avec l’aide d’une vingtaine de personnes (docteurs, sages-femmes, infirmiers). L’entrée est on ne peut plus sélective : il faut en effet débourser 5918 euros pour les 24 premières heures suivant une naissance naturelle et 7655 euros pour un accouchement par césarienne, auxquels il faut ajouter 1310 euros pour chaque nuitée supplémentaire. Meghan devra suivre l’exemple de Kate, qui ne s’y est jamais attardée plus de 24 heures… pour le plus grand bonheur des photographes attendant d’immortaliser le visage de ses nouveaux-nés.

Enceinte à plus de 37 ans, la duchesse de Sussex va évidemment être très suivie jusqu’à son accouchement. Si elle n’a pas souhaité annuler sa venue sur les îles Fidji, malgré le virus Zika qui y sévit et provoque des malformations foetales chez les femmes enceintes, l’épouse d’Harry n’est pas sans ignorer que sa grossesse est considérée comme tardive par le corps médical. Fatigue générale, trouble veineux, hypertension artérielle, diabète ou encore accouchement par césarienne sont ce à quoi elle s’expose. Ainsi, une consultation mensuelle est recommandée dans les cas de grossesse tardive.

Plus réjouissant : la prochaine installation de sa mère Doria Ragland en Grande-Bretagne. Au côté de la duchesse pour le lancement du livre Together : Our Community Cookbook, au palais de Kensington, en septembre 2018, la professeure de yoga aurait profité de son court séjour londonien pour prospecter quelques biens immobiliers. Ce 15 octobre 2018, alors que la grossesse de Meghan venait d’être officialisée, la future grand-mère a fait savoir, par le biais du palais de Kensington, qu’elle était « très heureuse de cette adorable nouvelle »et se réjouissait de »l’arrivée de son premier petit-enfant. »

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