C’est officiel… Bouba Ndour a quitté le cercle des divorcés pour celui des mariés. Il s’est, en effet, pendu ce samedi à la mosquée du Point E. Bineta Sakho est celle qui a réussi la prouesse de dompter le controversé directeur des Programmes de la Tfm.
Cupidon a encore décoché ses flèches. Cette fois-ci, il a touché en plein cœur, le chaud bouillant directeur des Programmes de la Tfm (Télé futurs médias), Boubacar Ndour. Réputé pour être un Don Juan, à tort ou à raison, c’est finalement la belle naïade Bineta Sakho qui a réussi à lui mettre le grappin dessus. Après s’être fréquentés quelque temps, ils ont décidé de passer à la vitesse supérieure en se passant la bague au doigt. Leur union a ainsi été scellée ce samedi à la mosquée du Point E. La délégation du marié était conduite par le ministre-conseiller Youssou Ndour et non moins frangin de Bouba Ndour, ainsi que d’autres membres de sa famille et collègues. Dans une ambiance des grands jours, la cérémonie a été belle, à l’image des époux. La nouvelle mariée, somptueuse dans sa tenue digne d’une reine, a distribué des sourires à tout-va. Pour le plus beau jour de sa vie, Mme Ndour a misé pour la classe et l’élégance. Bouba Ndour a, quant à lui, opté pour un traditionnel boubou trois pièces vert. Beaucoup plus extraverti que sa dulcinée, il s’est laissé aller à une déclaration d’amour, tantôt aux allures d’un Ego trip. C’était du Bouba tout craché, il ne s’encombre pas de chichis pour dire ce qu’il pense. Et ça donne : «Les gens ont tendance à me regarder différemment… Depuis sept ans maintenant, j’étais à la recherche d’une bonne épouse. Dans cette quête, je suis sorti avec plusieurs filles, avec qui, j’ai eu à faire plus d’un an. Ce n’est pas pour autant que je les ai épousées. Tandis qu’avec Bineta, dès le premier rendez-vous, j’ai compris que c’est celle qu’il me fallait. Contrairement à ce que beaucoup pensent, je n’use pas de ma position pour aguicher des filles. Malgré mon rang à la Tfm, je ne pratique pas la promotion canapé. Regardez combien de jeunes femmes y travaillent et la plupart d’entre elles, c’est moi qui les ai données en mariage. On me perçoit souvent comme une personne difficile à vivre, mais je peux affirmer que, dans mes précédents ménages, je me suis donné corps et âmes. Les échecs ne m’incombaient pas. «Lima ci dadji, mbourou dadjou ko ci tal (j’ai vécu l’enfer dans mes précédent mariages)». Pour celui-ci, je ne laisserai rien entraver mon bonheur.» Voilà qui est clair…
MARIA DOMINICA T. DIEDHIOU
IGFM
