ZAMAN Clavier la terreur et ses amis ont été lynchés, découpés puis brûlés avant d’être exhibés publiquement.

Attention, Cet article contient des images qui peuvent heurter la sensibilité de certaines personnes. Âmes sensibles s’abstenir .

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ZAMAN Clavier la terreur, le chef de gang des « Microbes » qui sévissaient dans la commune d’Attécoubé a connu une fin horrible à la dimension de ses nombreux crimes. Il a été lynché, découpé puis brûlé avant d’être exhibé publiquement, ce mardi après-midi, par une population en colère et exaspérée.

Alors, sentant qu’il n’irait pas loin, Zaman a plongé dans un égout au niveau d’une station de service, à l’entrée d’Attécoubé, où des jeunes gens l’ont rattrapé. Sans compter avec la témérité de la foule qui voulait mettre fin à cette histoire de « Microbes « , il a été très vite ressaisi. Parce que fatiguée des assassinats et meurtres dans leur commune.     Ils l’ont traîné dehors et, telle une meute d’animaux féroces, la foule hystérique, utilisant toutes sortes d’objets, armes blanches et autres objets tranchants, l’a découpé en morceaux. « Nous en avions marre. Nous sommes enfin débarrassés d’un grand bandit.On va pouvoir dormir tranquille. Il agressait même en pleine journée », a déploré un habitant d’Attécoubé. L’histoire de ce terrible agresseur se termine pour de bon avec sa mort tragique. Le pseudo-caïd a été tué avec un autre de ses fidèles compagnons par une foule en furie qui l’a aussi démembré et décapité.
  Aux autres membres du gang                                                                                                                                                       Une fille aussi du gang a été sévèrement corrigée. Tranquille à bord du véhicule qui la conduisait, elle est surprise par un groupe de jeunes sortis brusquement sur son côté. Sans être inquiétés en plein carrefour Saguidiba, ces derniers ont immédiatement brisé la vitre du véhicule qui les séparait d’elle. Blessée et apeurée, ils lui ont arraché son sac à main contenant des objets de valeur. Une scène qui avait tout l’air d’un film western en pleine ville d’Abidjan. Mieux, dans le quartier de Wassakara, toujours à Yopougon, des jours bien avant, un jeune étudiant venu rendre visite à des amis a eu le bras tranché à la machette par des agresseurs sortis de la pénombre pour lui réclamer son téléphone portable. Au regard de tout ce qui précède, bien qu’aux antipodes de la légalité, l’exemple abobolais est à saluer. Mieux, il doit inspirer les populations des autres communes d’Abidjan, pour faire échec aux actes répréhensibles de ces délinquants et autres agresseurs qui pullulent dans les différents quartiers du District d’Abidjan et de l’intérieur du pays, où le phénomène est en train de prendre forme progressivement. Après la mort tragique et cruelle qu’a subit Zama, le présumé chef des microbes d’Attécoubé, un autre  »microbe » a été lynché ce vendredi à Yopougon, a constaté Lebabi.net sur place. Aux alentours de 06h du matin, entre Wassakara et la rue princesse, un présumé microbe a tenté d’agresser un élève qui se rendait à l’école.                                                          Selon le témoin, il y avait une dame qui avait suivi la scène et a appelé à l’aide. Aussitôt, la population alertée, déjà fatiguée par les actions de ces bandits de pacotilles, est sortie en masse pour venir secourir l’élève qui a été amené d’urgence à l’hôpital pour blessures graves.                                                                                                                             Quant au microbe, il a été sauvagement battu, du quartier Wassakara au carrefour « KS » par les jeunes venus aider l’élève. Il a rendu l’âme vers 09h et la police qui s’est rendue un peu plus tard sur les lieux n’a fait que constater le décès de l’infortuné.

 

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