Violences préélectorales : le pouvoir indexé par la société civile

La société civile pointe du doigt le gouvernement de Macky Sall et l’accuse de toutes les violences préélectorales qui prévalent actuellement au Sénégal. Elle révèle que, par divers actes les concertations sur le fichier électoral, la loi sur le parrainage, la révocation
de Khalifa Sall…, le pouvoir a réussi à déstabiliser la paix et la cohésion.

A cet effet, Walfnet de renseigner qu’une partie de la société civile, à travers un communiqué signé par Enda-Graf Sahel, le Forum social sénégalais… soutient que c’est le pouvoir lui-même qui pose des actes pour semer la discorde entre les acteurs politiques.

«Le rejet de l’inscription de Karim Wade sur les listes électorales, l’inopportunité de la révocation, par le président de la République, du Maire de Dakar sous le prétexte d’une condamnation en vertu des articles 135 et 140 du code général des collectivités territoriales alors même que toutes les voies de recours ne sont pas épuisées ainsi que l’interdiction et la répression de la manifestation de l’opposition le 4 septembre avec des arrestations de leaders politiques constituent autant de faits qui font monter les périls en direction de l’élection à venir», déplore-t-elle, rapporte la même source.

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