Cueilli chez lui au même moment que son présumé complice, le Malien Alaye Djitté, Seck-père avait été mis derrière les barreaux en mai 2015. Mais depuis février 2016, il bénéficie d’une liberté provisoire.
Son présumé complice n’a pas eu la même chance et croupit en prison depuis lors. Les risques de voir Alaye Djitté sortir du pays étant élevés, le juge a préféré le maintenir en détention, souligne le journal Les Echos.
Thione Seck lui, sera bientôt fixé sur sort pour association de malfaiteurs, altération de signes monétaires ayant cours légal à l’étranger, blanchiment d’argent et tentative d’escroquerie. L’enquête a été bouclée par le juge d’instruction.