Un Laveurs de cadavre Sénégalais se confie

Un autre métier à côté de la mort, c’est celui du fossoyeur. L’homme qui a requis l’anonymat explique que la première fois qu’il a tenu une pelle pour creuser une tombe, il a tremblé. Mais il s’est habitué, avec beaucoup de difficultés certes.
Âgé de 73 ans, l’ancien émigré s’est reconverti en laveur de cadavre. C’est après une formation de deux semaines que l’homme a commencé ce métier qu’il exerce depuis 5 ans. Contrairement aux appréhensions liées à l’activité, il n’y voit rien de néfaste, et ne fait jamais de cauchemar sur les morts. A l’en croire, il ne réclame rien aux parents du défunt.

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