Sa femme boude le lit conjugal, il la tabasse et lui fracture le bras

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Le vieux Madiarra Dieng pour coups de blessure volontaires ayant entraînée 45 jours d’ incapacités temporaire de travail, par sa femme a été condamné à un mois ferme par le tribunal de Louga. Le mis en cause avait tabassé son épouse, lui fracturant le bras droit. Il voulait la corriger et celle-ci avait boudée le lit conjugal.

Le couple Madiarra « 63 ans » et A. Wade « 45ans » bat de l’ail. Les deux conjoints dans les liens du mariage depuis prés d’une trentaine d’années, entretiens aujourd’hui des rapports très heurtés. Faisant fi des 8 enfants issue de leurs union, ils ont franchi la ligne rouge, en recourant à la justice pour laver leur linge sale.Le tribunal de Louga a hérité de ce dossier de enrôlé avant-hier mercredi. Ce, à la suite d’une plainte déposée par l’épouse.

« Avant-hier nuit, alors que je dormais, mon mari a défoncé la porte de ma chambre à coucher et ma retrouvé à l’intérieur. Lorsque je l’ai entendu, je me suis réfugiée dans la salle de bain, mais il m’y a extraite, avant de me rouer de coup avec un bâtons. Il ma suivi jusque dans la cour de la maison, s’acharnant de plus belle sur moi. Lorsqu’il a visé ma tète, j’ai paré le bâtons avec mon bras droit qui s’est fracturé à cause du violence du coup. Finalement, une bonne volonté a escalé le mur de notre maison, pour me sauver, sinon il allait me tuer. D’ailleurs il avait menacés de me tuer ou de me rendre borgne ». Pressée de questions, elle a finit par lâcher le morceau : « Malgré son age avancé, mon mari passe tout son temps à boire l’alcool et de fumer du chanvre indien. Chaque jour après la prière du crépuscule, il rentre à la maison dans un état de d’ébriété et veut m’imposer des rapports sexuels, alors que le dîner n’est même pas encore servi. il n’a aucune gène a me le dire ouvertement et devant les enfants qui sont aujourd’hui des adultes, qu’ils veut entretenir avec moi des rapports sexuels. Parfois il me trouve chez nos voisins pour me demander de le suivre au lit. N’en pouvant plus j’ai pris la décision de bouder le lit conjugal, car je ne suis pas un objet sexuel. C’est ainsi que mon mari m’en veut à mort, m’a tabassée et a fracturé mon bras. » Elle a joint un certificat médical attestant une incapacité temporaire de 45 jours. Pour tirer cette affaire au claire, les gendarmes ont convoqués le père de famille avant de le placé en garde à vue. Entendu, il a reconnu avoir tabassé et fracturé le bras de sa femme, mais soutient  » qu’elle a boudé le lit conjugal depuis 4 mois ». « Depuis que j’ai cessé de travailler, à cause de ma maladie, ma femme m’a rendu la vie difficile. Chaque jour, elle me cherche noise, en me demandant d’aller travailler, alors nos deux enfants sont tous 2 des chauffeurs, prennent entièrement toutes les charges de la maison. » Il s’e,presse après de mettre tout sur le dos de Satan  » j’ai fauté et  je le reconnais. Quand j’épousais ma femme, elle n’était âgée que de 13 ans. j’ai agi sous la dictée de Satan, mais il faut qu’elle sache aussi que je suis son mari, elle doit passé la nuit avec moi », s’est il défendu. L’épouse quant’a elle s’est finalement désistée de sa position, s’est cramponnée sur sa position : ‘je ne veux plus vivre avec Madiarra. D’ailleurs il a divorcé d’avec moi devant des témoin ». Mais le mari lui dit aux juges qu’il est hors de question qu’il répudie sa femme car il l’aime toujours. Madiarra Dieng est ainsi condamné a 1 mois ferme.

L’Obs

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