Accueil Blog Page 98

Politique : Dr Babacar Diop “Nous assistons à l’érosion de notre démocratie, à la mort de notre démocratie…”

Le maire de Thiès et président des Forces démocratiques du Sénégal (FDS-Les Guelewaar), Babacar Diop, a procédé samedi à l’inauguration du siège de sa formation politique à Dakar, dans la commune de Dieuppeul-Derklé. « Aujourd’hui est un grand jour pour nous. Ce jour qui marque l’ouverture de notre siège, de notre quartier général qui est à la hauteur de notre rang, de notre dignité et de nos aspirations », a déclaré l’édile de la capitale du rail.
« Etre Guelewaar, c’est être le premier, c’est être le meilleur », a dit Babacar Diop, en présence de militants, sympathisants et responsables de son parti. Se disant « prêt à changer le Sénégal », il a fait part de son ambition de « construire la première force politique du Sénégal […], une nouvelle majorité politique et sociale, un parti de masse, un parti de combat, mais aussi un parti de gouvernance différent des autres partis ».

« C’est un parti qui veut construire un corps de serviteurs », pour « un changement radical de cap », a indiqué le président des FDS-Les Guelewaar, avant de remercier ses militants et sympathisants, en leur demandant de l’accompagner dans la mission qu’il s’est assignée, à savoir conforter « la souveraineté » du pays. « Nous assistons à l’érosion de notre démocratie, à la mort de notre démocratie. Nous sommes passés de la démocratie au régime d’exception », a dit le maire de Thiès, pour fustiger le mode de gouvernance du régime actuel au pouvoir.

Il a aussi évoqué la recrudescence de l’émigration irrégulière, avec « de nombreux jeunes sénégalais » tentant de rejoindre l’Europe au moyen d’embarcation de fortune, une situation qui ne s’explique que par « le désespoir », selon Babacar Diop. Il a par ailleurs exhorté la Direction générale des élections à remettre les fiches de parrainage au mandataire de l’opposant Ousmane Sonko, après la décision du Tribunal d’instance de Ziguinchor ordonnant sa réintégration sur les listes électorales.

«Disque d’or ken douko annoncé…», Bakane Seck rectifie Wally Seck

Combien faut-il vendre pour avoir un disque d’or ? Y a-t-il d’autres critères ? Donnons la parole à l’expérimenté Bah Kane Seck pour éclairer notre lanterne, suite à l’annonce faite par Waly Seck sur un éventuel Disque d’or. .

Un Disque d’or est une récompense remise à un artiste pour souligner qu’un album ou un single s’est vendu à un certain nombre d’exemplaires.

Mais, selon le percussionniste, Bah Kane Seck, très expérimenté, des réalités se cachent derrière ces chiffres.

« On n’annonce pas le disque d’or. Ce n’est non plus une addition de ventes seulement auprès des fans. d’autres critères sont pris en compte par les maisons de disque », a t-il insisté.

Le percussionniste, qui souhaite à son jeune frère pleins succès pour décrocher le disque d’or, s’exprimait lundi, face à la presse, lors du briefing relatif au festival FAKY 2023 de dimension international, prévu le 31 octobre 2023, et qui contribuerait au développement de la culture sénégalaise et de sa jeunesse.

Le festival est initié par BaKane Seck et le JERI JERI.

Me Ciré Clédor Ly : « Ousmane Sonko plonge dans un profond coma »

La situation du leader du Parti ex-Pastef est alarmante. L’état de santé de Ousmane Sonko « s’aggrave de façon inquiétante ». « Le maire de Ziguinchor est entré dans un profond coma. » C’est du moins ce qu’a révélé son avocat, Me Ciré Clédor Ly., dans un post publié sur les réseaux sociaux.

Ousmane Sonko a repris récemment la gréve de la faim pour dénoncer sa situation et soutenir les femmes en détention. Selon Me Ciré Clédor Ly, la situation du maire de Ziguinchor est inquiétante et tout peut arriver.

L’avocat interpelle le Président de la République et le ministre de la justice qui ont des pouvoirs leur permettant d’activer des leviers qui ne portent pas atteinte à la séparation des pouvoirs et qui seraient conformes aux droits civils de la personne, garantis et protégés par les instruments internationaux des droits de l’homme.

Voici l’intégralité de son post :

APPEL URGENT AUX AUTORITÉS
La situation de M. Ousmane Sonko est alarmante et son état de santé s’aggrave de façon inquiétante. Il est entré dans un profond coma ce lundi 23 octobre 2023, ce qui a surpris même le Service hospitalier et conforte les inquiétudes que j’avais avancées après l’avoir visité la veille.

Ce qui est arrivé ce matin prouve que l’irréversible peut à tout moment se produire, puisque le Service de contrôle et de soins peut être pris au dépourvu à tout moment. Les autorités peuvent mettre fin à sa détention et elles connaissent les mécanismes juridiques pour y parvenir. Par ailleurs, à tous les degrés de juridiction, il existe une autorité à qui la loi confère le pouvoir de mettre fin à cette détention injuste que ne justifie que le jeu de pouvoir immonde dans une démocratie et un Etat de droit.

J’interpelle solennellement le Président de la République et le ministre de la justice qui ont des pouvoirs leur permettant d’activer des leviers qui ne portent pas atteinte à la séparation des pouvoirs et qui seraient conformes aux droits civils de la personne, garantis et protégés par les instruments internationaux des droits de l’homme.

Je lance aussi un appel pressant aux autorités religieuses qui ne doivent pas rester indifférentes face à cette situation, afin qu’elles usent de leur pouvoir et influence pour la libération immédiate et sans délai de Monsieur Ousmane Sonko qui, comme tout citoyen, doit jouir des droits élémentaires prévus par les lois nationales et les instruments juridiques internationaux ratifiés par le Sénégal et qui font que la détention avant jugement doit être une exception et la liberté la règle.

Je fais appel enfin à la communauté internationale soucieuse de paix et de stabilité dans la sous-région et dans le continent, pour qu’elle fasse tout ce que les accords et les liens d’amitié leur permet, pour que le trouble grave et persistant que cause le seul maintien en détention de M. Ousmane Sonko soit solutionné, avant que l’irréparable qui est prévisible ne se produise, avec des conséquences graves sur la paix, la sécurité et la stabilité dans la sous-région.

Maître Ciré Clédor Ly, membre du Collectif de défense de M. Ousmane Sonko.

Viviane Chidid : Les trois tubes de son sacre

Son nom résonne actuellement sur l’étendue du territoire national à travers les médias. Elle, c’est la gracieuse Viviane Chidid, tout sourire, tenant son trophée du Best Female Artist remporté ce week-end aux Trace Awards à Kigali, au Rwanda. C’est dans cette heureuse circonstance qu’on vous proposons une sélection de trois titres parus au cours de cette saison 2022-2023 qui ont certainement déterminé le sacre de la reine du Djolof Band, qui a devancé dans sa campagne des Trace Awards, devant d’autres belles voix de la musique africaine à l’image D’Ayra Starr (Nigeria), Josey (Côte d’Ivoire), Nadia Mukami (Kenya), Soraia Ramos (Cap-Vert) et Tiwa Savage (Nigeria).

« Yeuk Yeuk »

Septembre 2022, la scène musicale sénégalaise est en pleine effervescence quand Viviane fait une sortie spectaculaire ! Dans son single « Yeuk Yeuk », elle raconte avec poésie une histoire d’amour qui séduit très vite des millions de mélomanes au Sénégal. « Khalé bi a transformé ma vie grise et terne en quelque chose de coloré, de magnifique. Ce que je ressens pour toi est plus grand que tout ce que j’ai pu ressentir jusqu’à présent… Yeuk yeuk mo fort », écrit-elle en description de l’oeuvre sur YouTube.

Le morceau en sabar-fusion, composé par Akatche, pour un texte écrit par Bakhaw Dioum, marque l’ouverture de sa splendide saison 2022-2023.

Réinscription de Sonko sur les listes électorales : L’Agent Judiciaire de l’Etat a déposé son recours

L’Etat du Sénégal a déposé hier (lundi) son recours aux fins d’annulation de l’ordonnance du juge du tribunal de Ziguinchor qui a ordonné la réinscription de Ousmane Sonko sur les listes électorales.

L’Agent judiciaire de l’Etat ne lâche pas Ousmane Sonko. D’après Les Échos, Yoro Moussa Diallo a introduit son recours pour faire annuler la décision du juge Sabassy Faye qui a ordonné la réinscription du maire de Ziguinchor sur les listes électorales.

« C’est hier qu’il a pris le vol pour Zguinchor afin de se rendre au Tribunal d’instance et y déposer le recours« , informe Les Echos, dans son édition de ce mardi 24 octobre.

« C’est au niveau du Tribunal qui a rendu l’ordonnance que la requête doit être déposée », à charge pour ladite juridiction d’acheminer la requête au niveau de la Cour suprême« , précise le journal.

Celui-ci ajoute que la partie adverse, une fois que la requête lui sera notifiée, aura huit jours pour répondre.

Trace Music Awards: Coumba Gawlo félicite Viviane Chidid

L’artiste Coumba Gawlo Seck a félicité sa sœur Viviane Chidid qui a remporté le trophée de la meilleure artiste féminine de l’Afrique de l’ouest au Trace Awards TV, ce samedi 21 octobre 2023 à Kigali.

« Je félicite ma soeur Viviane Chidid qui vient de remporter le trophée de la meilleure artiste féminine de l’Afrique de l’ouest au Trace Awards TV, ce samedi 21 octobre 2023 à Kigali, au Rwanda.
Je lui adresse tous mes encouragements et lui souhaite une bonne continuation », écrit-elle sur sa page facebook.

Refus de fiche de parrainage : Les avocats de Sonko saisissent la CENA

Le collectif des avocats de Ousmane Sonko a saisi la CENA pour une mise en œuvre de son pouvoir de dessaisissement de la DGE et de substitution d’action pour délivrer les fiches de parrainage au candidat Ousmane SONKO.

Gouvernement : Macky Sall confine les ministres au Sénégal

Président Macky Sall semble confiné ses ministres au Sénégal pour éviter des aller et retour à l’étranger. Lors du premier Conseil des ministres de «Amadou Ba 2», mercredi dernier, le Président Macky Sall a demandé aux membres du nouveau gouvernement de limiter les déplacements à l’étranger.

D’après L’Observateur, qui donne l’information, le chef de l’État ne l’a pas ouvertement dit, mais il laissait ainsi entendre que l’État serait représenté aux événements où il est convié à l’étranger par «les ambassadeurs, consuls ou chefs de bureau économique».

«Sauf dans des cas où la signature du ministre et/ou des directeurs généraux est obligatoire», s’empresse de préciser le journal.

Macky Sall, rapporte la même source, invite ses ministres à «rester plus longtemps sur le terrain et d’être plus proches des populations (…) pour suivre l’évolution des chantiers en cours dans les localités».

Bataille judiciaire sur la radiation de Sonko : La Réaction surprenante de Me El. Diouf  » avocats Sonko »

Bataille judiciaire sur la radiation de Sonko : La Réaction surprenante de Me El. Diouf  » avocats So

Grogne des étudiants, Sonko retourne en prison? Pa Assane Seck laisse éclater sa colère daniou beug

Grogne des étudiants, Sonko retourne en prison? Pa Assane Seck laisse éclater sa colère daniou beug

Présidentielle 2024 : Encore des soutiens de taille pour Ousmane Sonko

Sonko
Sonko

Les Leaders Alliés du Candidat Ousmane Sonko (LACOS) sont une toute nouvelle plateforme créée dans le but de défendre la candidature du leader de l’ancien parti Pastef.

La plupart des membres de cette nouvelle plateforme sont pratiquement les mêmes que ceux qui étaient présents au sein de la coalition Yewwi Askan wi. Parmi ces figures, on peut citer Habib Sy, Maïmouna Bousso, Mamadou Lamine Dianté, ainsi que le syndicaliste Dame Mbodj, entre autres.

Le porte-parole du jour, Mamadou Lamine Dianté, a expliqué les raisons de la création de cette plateforme : « LACOS a été créée dans le but de soutenir Ousmane Sonko dans son combat contre l’État du Sénégal. Il s’agit d’un homme politique qui a été privé de ses droits civiques sans motif valable ».

Pour mener à bien ce combat, LACOS « tend la main aux hommes politiques en général, et en particulier à ceux de l’opposition », comme l’a souligné Mamadou Lamine Dianté. En outre, ces partisans du maire de Ziguinchor lancent un appel aux défenseurs des droits de l’homme, affirmant que sONKO a été victime de violations de ses droitsé. La nouvelle plateforme s’engage à mettre en œuvre son premier plan d’action dans les prochains jours.

Incident lors du déplacement de Amadou Ba à Sakal : Ce qui s’est réellement passé

Lors de l’inauguration du Centre de santé de Sakal, un incident a failli gâcher la cérémonie. En effet, un garde du corps du ministre de la Santé a dégainé son arme à feu en public.

Selon les informations rapportées par Senego, tout a commencé par une altercation impliquant les membres de la garde rapprochée du Premier ministre, Amadou Ba. Lorsque le Dr Marie Khemesse Ndiaye, ministre de la Santé, se dirigeait vers la tribune officielle après sa visite au centre de santé, le garde du corps de celle-ci a été arrêté par la garde rapprochée du Premier ministre.

Ce qui aurait pu rester une simple altercation a rapidement dégénéré en affrontement. Les deux parties ont refusé de céder, et la tension a monté d’un cran.

Au milieu de cette confusion, le garde du corps du ministre de la Santé s’est retrouvé face à un membre de la garde rapprochée du Premier ministre, encerclé par d’autres éléments qui ont commencé à le frapper. C’est à ce moment-là qu’il a sorti son arme à feu et a tiré deux coups de feu vers le sol, semant la panique générale.

Le Premier ministre est resté immobile, tandis que certaines personnes ont commencé à quitter les lieux, provoquant une bousculade avec des blessés à la clé. L’auteur des coups de feu, désarmé, a été maîtrisé par la garde rapprochée du Premier ministre et isolé dans une salle du centre de santé.

Selon des sources de L’Observateur, une enquête est en cours pour élucider cet incident, pris très au sérieux par les autorités judiciaires.

Parrainage : De nouvelles révélations sur Geum Sa Bopp de Bougane Gueye Dany

Bougane :Macky
Bougane :Macky

Gueum Sa Bopp, une puissante coalition politique au Sénégal, a lancé une vaste mobilisation en déployant 2700 facilitateurs dans tout le pays pour collecter les parrainages en soutien à la candidature de Bougane Guèye Dany en 2024. Avec une présence dans les 557 communes du pays, Gueum Sa Bopp démontre son maillage territorial efficace.

La collecte des parrainages constitue souvent un défi pour de nombreux candidats, mais Gueum Sa Bopp a réussi à mobiliser ses troupes grâce à la préparation minutieuse de Bougane Guèye Dany, qui a pris de l’avance en lançant ses opérations sur le terrain en premier. Depuis plus de 18 mois, Bougane Guèye Dany s’est fortement impliqué dans la restructuration des cellules de Gueum Sa Bopp et a renforcé ses équipes. Parallèlement, il n’a pas négligé son engagement social en réalisant des actions concrètes, telles que la construction d’écoles et de maternités, et en apportant son soutien aux personnes touchées par les inondations.

La collecte des parrainages pour la coalition Gueum Sa Bopp s’annonce très prometteuse. Dès le lancement de la campagne, le département de Kaffrine a montré son soutien en remettant plus de 10 000 parrains à Bougane Guèye Dany à son retour de Khossanto, où il avait rencontré les populations vivant dans les zones minières en difficulté. Ces populations étaient confrontées à des restrictions imposées par un arrêté préfectoral qui limitait leur participation dans l’exploitation de l’or par les entreprises locales. Bougane Guèye Dany s’est engagé à défendre leurs intérêts et à résoudre cette problématique.

Lors d’une récente conférence de presse à Touba Mbacke, le coordonnateur de la coalition Gueum Sa Bopp a annoncé que la collecte des parrainages touchait à sa fin. À Dakar, les équipes sur le terrain rencontrent peu de difficultés et ont même été agréablement surprises, comme dans le cas d’une femme qui a donné naissance à une fille et a décidé de la prénommer Momy Dany Guèye, en hommage à la défunte épouse de Bougane Guèye Dany, le leader de Gueum Sa Bopp. La fédération départementale Gueum Sa Bopp de Tivaoune a également annoncé une collecte fructueuse en remettant 5018 parrains à Mamadou Guèye.

Enfin, Gueum Sa Bopp a rendu public son calendrier d’activités pour la collecte des parrainages, qui couvre tout le territoire sénégalais. La campagne a débuté le 13 octobre 2023 à Keur Massar Sud et se terminera le 20 novembre 2023 dans la région de Diourbel. Cette mobilisation exceptionnelle et cette couverture territoriale exhaustive témoignent de la force et de la détermination de Gueum Sa Bopp, ainsi que de Bougane Guèye Dany en vue des élections de 2024.

Pour la libération de Sonko : Le LACOS annonce une grande décision

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Portée sur les fonts baptismaux ce lundi, la plateforme des Leaders alliés du candidat Ousmane Sonko (LACOS) n’a pas tardé à annoncer son plan d’action. Son coordonnateur, Mamadou Lamine Dianté, fait savoir que « d’ici mercredi, des lettres d’informations seront déposées afin de tenir des manifestations dans tous les départements du pays et dans la diaspora ».
Aussi, sera organisée une journée durant laquelle « les Sénégalais seront invités à porter des t-shirts, chemises à l’effigie d’Ousmane Sonko, vu que sa photo hante le régime au point de vouloir (leur) interdire le point de presse tenu ce lundi ». 

En soutien aux femmes « détenus politiques » au Camp pénal, Maïmouna Bousso annonce aussi une journée de mobilisation.    

Refus de la DGE de donner à Sonko ses fiches de parrainage : Ses avocats posent un nouveau acte fort

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Face au refus de la Direction générale des Élections (DGE) de remettre les fiches de parrainage au mandataire du candidat Ousmane Sonko, ses avocats  ont saisi la CENA. Ce, pour une mise en œuvre de son pouvoir de dessaisissement de la DGE et de substitution d’action pour délivrer les fiches de parrainage à Ousmane Sonko, conformément à ses prérogatives tirées de l’article L13 du Code électoral. 
L’article L13 du Code électoral prévoit, en effet, ce qui suit : « La CENA veille à ce que la loi électorale soit appliquée aussi bien par les autorités administratives que par les partis politiques, les candidats et les électeurs. En cas de non-respect des dispositions législatives et réglementaires relatives aux élections ou référendums par une autorité administrative, la CENA lui enjoint de prendre les mesures de correction appropriées. Si l’autorité administrative ne s’exécute pas, la CENA dispose du pouvoir de dessaisissement et de substitution d’action dans le cadre des opérations électorales et référendaires à l’égard de l’agent responsable, nonobstant son pouvoir de saisine des juridictions compétentes. »

Vu l’article L13 du Code électoral, le collectif des avocats d’Ousmane Sonko espère voir leur demande exécutée. 

Section de recherches : Le colonel Cheikh Tidiane Mbodj convoqué ce mardi

colonel Mbodj :Sanslimitesn
colonel Mbodj :Sanslimitesn

L’ancien directeur de la Coopération et des Relations publiques du Centre des hautes études de défense et de sécurité de Dakar (CHEDS), le colonel Cheikh Tidiane Mbodj, est convoqué, ce mardi 24 octobre à la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. L’information a été donnée par l’équipe de communication de l’ancien militaire qui a récemment déclaré sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024. 
Le saint-cyrien, qui a servi de 1982 en 2023 sous le drapeau sénégalais, a été licencié en début d’année pour avoir, dit-on, « expliqué dans un organe de presse que pour être arrêté par les FDS (forces de défense et de sécurité, police et gendarmerie), il faut soit un mandat d’amener, soit une réquisition d’une autorité administrative ». 
Depuis cette sortie, ce haut gradé de 61 ans, soupçonné de collusion avec le leader de l’ex-Pastef Ousmane Sonko, est victime d’acharnement, selon son entourage.   

L’ Assemblée générale de la Coalition Benno Bokk Yaakar de la Commune de Niakhar (Département de Fatick) plébiscite Amadou BA

L’assemblée générale de la Coalition Benno Bokk Yaakar de la Commune de Niakhar (Département de Fatick) plébiscite la candidature de Amadou BA, présentant un profil exceptionnel, à l’élection présidentielle de février 2024, sous la présidence de Macodou Sène, plénipotentiaire, par ailleurs, maire et Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement de la Primature, rapporte un communiqué.

Selon ledit communiqué, les responsables des trente-deux (32) villages que compte la Commune ont adopté, à l’unanimité, une résolution, à l’occasion de leur AG, tenue, le samedi 21 octobre 2023, à la Permanence communale de Benno Bokk Yaakar de Niakhar.

A cet effet, les responsables des trente-deux (32) villages invitent tous les militants à rester mobilisés, pour une victoire éclatante en février prochain.

El Malick Ndiaye : « La situation de Sonko qui est à son 55ème jour de grève de la faim est très préoccupante »

El Malick Ndiaye
El Malick Ndiaye

Après Me Cire Clédor Ly, membre du collectif de défense d’Ousmane Sonko, c’est au tour du secrétaire national à la communication du parti Pastef, El Malick Ndiaye d’alerter sur la situation du maire de Ziguinchor.

« La situation du président Ousmane Sonko qui est à son 55ème jour de grève de la faim est très préoccupante. Nous vous reviendrons avec plus de détails », alerte El Malick Ndiaye sur son compte X.

D’après son avocat, Me Clédor Ciré Ly, le leader de l’opposition Sénégalaise Monsieur Ousmane Sonko vient de boucler au total 55 jours de grève de la faim depuis son arrestation à son domicile, après 55 jours de séquestration par l’Etat du Sénégal sous le silence assourdissant des dignitaires religieux aphones et de la communauté internationale qui a toujours assumé le rôle de garant des droits civils et politiques ainsi que des droits et libertés démocratiques.

Selon lui, depuis sa reprise de la grève de la faim, là détérioration de son état de santé s’est accélérée et il est à craindre le pire.

Présidentielle de 2024 – Abdoulaye Sylla ou le candidat fantôme : L’Usurpateur Inconnu Qui brigue le pouvoir

Abdoulaye Sylla
Abdoulaye Sylla

Dans la sphère politique, l’émergence d’un candidat inconnu, impopulaire et mystérieux soulève des questions légitimes sur l’intégrité du processus électoral. Alors que les électeurs cherchent à comprendre qui se cache derrière ce personnage énigmatique, l’ombre fantôme Abdoulaye Sylla, plane sur les élections à venir.

Dans un pays où la politique est devenue un spectacle médiatique, l’apparition d’un candidat inconnu sur la scène électorale a semé la confusion parmi les citoyens. Peu d’informations sont disponibles sur cet individu, laissant les électeurs perplexes quant à son origine, ses motivations et son programme politique.

Un Candidat sans Visage :
Abdoulaye Sylla se distingue par son absence de présence médiatique. Contrairement aux autres concurrents qui s’efforcent de gagner la confiance du public en exposant leurs idées et leurs projets, l’usurpateur inconnu reste dans l’ombre. Cette absence de transparence soulève des inquiétudes quant à son engagement envers la démocratie et la reddition de comptes envers les électeurs.

L’Impopularité comme Marque de Fabrique :
Contrairement aux candidats traditionnels qui cherchent à gagner le cœur des électeurs par leur charisme et leur popularité, Abdoulaye Sylla semble embrasser son impopularité. Cette stratégie intrigante soulève des questions sur ses intentions réelles et sur la façon dont il envisage de gouverner le big boss d’ECOTRA s’il est élu.

La Quête de Réponses :
Face à l’énigmatique Abdoulaye Sylla , les électeurs et les médias cherchent désespérément des réponses. Qui est-il vraiment ? Quelles sont ses motivations ? Quel est son programme politique ? L’absence de réponses claires alimente les spéculations et les théories du complot, créant ainsi un climat d’incertitude préoccupant.

L’émergence de ce candidat inconnu, impopulaire et fantôme met en lumière les défis auxquels sont confrontées les démocraties modernes. Alors que les citoyens sont en droit d’attendre des réponses et des informations claires de la part de ceux qui aspirent à les représenter, l’usurpateur mystérieux remet en question les normes électorales établies. En cette période cruciale, il incombe aux médias, aux électeurs et aux institutions démocratiques de poursuivre la quête de la vérité et de garantir l’intégrité du processus électoral.

Sanslimitesn

Boun Abadallah Dionne : « Moi, candidat de Macky Sall »

Boun Abadallah Dionne
Boun Abadallah Dionne

Dans un entretien avec L’AS, Mouhammad Boun Abdallah Dionne évoque sur sa candidature laquelle serait celle du Président Macky Sall. Quelques extraits ! 

« C’est au nom d’une responsabilité individuelle que j’ai pris la décision de me présenter »

« Le président de la République, une fois qu’il avait exprimé au peuple sénégalais son souhait de ne pas se présenter, il a au niveau de la coalition présidentielle identifié quelques personnalités et j’en faisais partie. Ces personnalités devaient participer à des entretiens et c’est à la suite de ces entretiens qu’on devait effectivement sélectionner le candidat de la majorité présidentielle. Mais on n’a pas besoin de permission pour être candidat à la présidence de la République. C’est une affaire personnelle entre quelqu’un et son peuple. Et c’est au nom de cette responsabilité individuelle que j’ai finalement pris la décision de me présenter. Et ce n’est pas la première fois que j’ai eu à conduire des listes nationales et j’ai conduit le gouvernement pendant plusieurs années. C’est au nom de cette expérience et au nom également de l’ambition et de la grande considération que nous avons pour le Sénégal que finalement je me présente. J’aurais pu prendre de nouvelles fonctions comme d’autres en ont décidé, je les respecte. Mais j’ai préféré l’intérêt général, j’ai préféré faire le choix du peuple. »

« Macky c’est Macky, moi  je m’appelle Mouhammad Boun Abdallah Dionne »

Ça ne me ressemble même pas. Vous savez, l’ambition c’est une bonne chose mais ce qui est important, ce n’est pas l’ambition. Ce qui est important, c’est la volonté qu’on a de servir. J’ai cette volonté, j’ai également tenu compte du contexte très criso-gène dans la sous-région, qui est aussi un contexte très menaçant au plan international, de l’expérience pour pouvoir conduire les destinées de notre peuple. Il y a eu beaucoup de défections après l’annonce du choix de Macky Sall.Le Président, c’est le Président. Moi je m’appelle Mouhammad Boun Abdallah Dionne. Le président a décidé de ne pas être candidat. On lui a donné un mandat pour faire un choix, il a fait son choix. Moi je ne suis pas d’accord avec ce choix et je l’ai exprimé. Il parait qu’à quelques heures du choix, le Président vous avait donné des assurances par rapport à votre désignation. »

Présidentielle 2024 : Encore des soutiens de taille pour Ousmane Sonko

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Les Leaders Alliés du Candidat Ousmane Sonko (LACOS) sont une toute nouvelle plateforme créée dans le but de défendre la candidature du leader de l’ancien parti Pastef.

La plupart des membres de cette nouvelle plateforme sont pratiquement les mêmes que ceux qui étaient présents au sein de la coalition Yewwi Askan wi. Parmi ces figures, on peut citer Habib Sy, Maïmouna Bousso, Mamadou Lamine Dianté, ainsi que le syndicaliste Dame Mbodj, entre autres.

Le porte-parole du jour, Mamadou Lamine Dianté, a expliqué les raisons de la création de cette plateforme : « LACOS a été créée dans le but de soutenir Ousmane Sonko dans son combat contre l’État du Sénégal. Il s’agit d’un homme politique qui a été privé de ses droits civiques sans motif valable ».

Pour mener à bien ce combat, LACOS « tend la main aux hommes politiques en général, et en particulier à ceux de l’opposition », comme l’a souligné Mamadou Lamine Dianté. En outre, ces partisans du maire de Ziguinchor lancent un appel aux défenseurs des droits de l’homme, affirmant que « Ousmane Sonko a été victime de violations de ses droitsé. La nouvelle plateforme s’engage à mettre en œuvre son premier plan d’action dans les prochains jours.

Braquage à Thiès : Des malfrats à bord de pick-up défoncent le coffre-fort de l’épicerie de la station d’essence à angle Serigne Fallou et emportent avec eux plus de 5 millions FCFA

Braquage à Thiès : Des malfrats à bord de pick-up
Braquage à Thiès : Des malfrats à bord de pick-up

Une bande de malfrats à bord d’un pick-up blanc ont attaqué cette nuit du dimanche au lundi vers les coups de 3 heures du matin. Munis de marteaux et d’armes à feu ces malfrats ont défoncé la porte de l’épicerie de la station d’essence sise au quartier Angle Serigne Fallou avant de se diriger vers le coffre. À l’aide de marteaux, ils ont aussi dévalisé l’épicerie et défoncé le coffre-fort et emporté plus de 5 millions FCFA. Les cris et appels au secours des jeunes qui étaient à quelques mètres de la station d’essence n’ont presque pas empêché les malfrats de poursuivre leur salle besogne. Une enquête a été ouverte…

Recrudescence de l’émigration clandestine : Aminata Touré pointe du doigt le régime de Macky Sall

Aminata Touré
Aminata Touré

La migration irrégulière bat son plein. Au Sénégal, des milliers de jeunes prennent des pirogues à la quête d’une vie meilleure.

Fort de ce constat, l’ancienne Première ministre Aminata Touré, par ailleurs candidate à l’élection présidentielle, accuse le régime de Macky Sall d’être responsable de cette situation qu’elle juge chaotique.« Dans ce contexte, j’accuse le président Macky Sall et son candidat maquillé, son Premier ministre Amadou Ba, de manquer totalement de compassion à l’égard de nos jeunes qui risquent leur vie et trop souvent meurent en prenant les pirogues du désespoir. Vous constatez avec moi qu’il n’y a ni Conseil présidentiel pour essayer d’endiguer le phénomène, encore moins de Conseil interministériel pour offrir des alternatives à nos jeunes qui ne supportent plus de voir leurs pères, leurs parents souffrir, alors qu’ils ont atteint l’âge de la relève pour les soulager », a déclaré la présidente du mouvement  Mimi2024 sur les ondes d’iRadio.

Le juge Sabassy Faye réhabilite Sonko : l’Agent judiciaire de l’État ne lâche pas l’affaire

Le juge Sabassy Faye
Le juge Sabassy Faye

L’Agent judiciaire de l’État (AJE) a renoncé à sa demande de récusation du juge Sabassy Faye, mais il tient à l’annulation de la décision de ce dernier remettant Ousmane Sonko sur les listes électorales. D’après Les Échos, Yoro Moussa Diallo attendait la  publication de l’ordonnance prise en ce sens pour introduire son recours au niveau de la Cour suprême.

L’ordonnance ayant été publiée mercredi, c’est le même jour, selon le journal, que l’AJE et les avocats de l’État ont commencé à peaufiner leur contre-offensive. «Jusqu’à vendredi, révèle la même source, ils n’avaient pas fini de produire leur requête. Il s’agit d’étudier scrupuleusement l’ordonnance, précisément les motivations du juge, d’y trouver des failles et d’apporter des éléments pouvant convaincre le juge de la chambre administrative à prononcer l’annulation.»

Les Échos indique que la requête pourrait être déposée ce lundi devant la haute juridiction.

Ziguinchor : Les étudiants inscrits à l’UCAD exigent la réouverture des campus

étudiants inscrits à l'UCAD
étudiants inscrits à l'UCAD

Les étudiants de Ziguinchor régulièrement inscrits à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), fustigent la décision du conseil académique universitaire de repousser l’ouverture du campus social pour deux mois encore. Obligés de rejoindre leurs familles respectives depuis la fermeture du campus, il y a quatre mois suite aux manifestations liées à l’affaire Ousmane Sonko, ces derniers demandent que les affaires de l’université ne soient pas politisées. Ils exigent l’ouverture du campus social et du campus pédagogique dans les délais les plus brefs, pour leur permettre de continuer les cours. 

« La décision politique ne doit pas primer sur l’avenir de plus de dix mille étudiants », a alerté Simon Sambou, membre du Collectif des étudiants de Ziguinchorr inscrits à l’UCAD. Ces étudiants condamnent et dénoncent ainsi cette décision du conseil académique de l’UCAD, et demandent aux autorités compétentes de se prononcer sur la réouverture de l’université. Et il ne faut pas seulement se limiter à la réouverture du campus pédagogique et laisser le campus social fermé. Amadou Korka Diallo,  d’alerter : « Nous tous ici  nous demandons qu’une seule chose : que nos études ne soient pas politisées. Nous demandons à rejoindre nos amphis. » L’étudiant de faire comprendre qu’ils ne préconisent pas la violence, mais la diplomatie concernant la réouverture des deux campus de l’UCAD. Pour Amadou Korka Diallo, la décision du directeur du COUD de repousser l’ouverture du campus,  c’est comme les sacrifiés. Surtout avec l’approche de la Présidentielle de février 2024, attendre jusqu’en décembre pour regagner l’université, c’est-à-dire rester six mois sans étudier, cela est insupportable pour eux.  

Incroyable – Faux bond à Modou Lô : la lourde sanction infligée à Ama Baldé

sanction infligée à Ama Baldé
sanction infligée à Ama Baldé

En vue de leur combat du 5 novembre prochain à l’Arène nationale, Ama Baldé et Modou Lô étaient conviés à une soirée de promotion samedi dernier au complexe Thiossane, à la Sicap Rue 10. Mais le lutteur des Parcelles Assainies était le seul à avoir répondu présent. Le Pikinois a manqué le rendez-vous.

L’absence du fils de Falaye Baldé a mis le promoteur du combat dans tous ses états. «C’est inacceptable ce qu’il vient de se passer, a fulminé Luc Nicolaï dans des propos relayés dans L’Observateur ce lundi. De la même manière qu’on protège les lutteurs en consignant leur reliquat avant les combats, on doit protéger les promoteurs qui investissent leur argent.»

Représentant le CNG à la cérémonie qui a foiré, le vice-président Meissa Ndiaye acquiesce : «On n’acceptera plus les retards ou les absences aux face-à-face. Le CNG va désormais sévir contre les fautifs en leur infligeant soit des sanctions financières sur le reliquat soit une suspension de six mois.»

Justement, Ama Baldé va subir une ponction de 50% sur son reliquat. L’Observateur, qui donne l’information, indique que la retenue ira dans la poche de Luc Nicolaï. Mais le journal ne précise pas qui a pris la sanction. Le CNG ? Le promoteur ?

Le quotidien d’information se contente de dire qu’elle a été adoptée ce dimanche «après une réunion avec les différentes parties».

L’Observateur révèle que le 27 octobre, Luc Nicolaï a une nouvelle fois convié les deux lutteurs pour une exhibition. Ce sera dans les locaux de la TFM souffle dans le journal un membre du staff du promoteur mbourois.

Ce dernier croise les doigts : «Cette fois on espère que les deux lutteurs seront présents. Nous allons nous réunir dans la semaine pour voir le format et les autres détails de l’organisation.»

On en sait davantage sur l’incident avec les «gros bras» lors du déplacement du PM Amadou BA à Sakal

Un incident grave a failli ternir l’inauguration du Centre de santé de Sakal, où un garde du corps du ministre de la Santé a dégainé son arme à feu en public.

Tout a commencé par une altercation avec les membres de la garde rapprochée du Premier ministre, Amadou Ba. Alors que le Dr Marie Khemesse Ndiaye, ministre de la Santé, se rendait à la tribune officielle après avoir visité le centre de santé, son garde du corps a été arrêté par la garde rapprochée du Premier ministre.

Ce qui aurait pu être juste une simple altercation a rapidement viré à l’affrontement. Les deux parties ont refusé de céder, et la tension est montée d’un cran.

Au milieu de cette confusion, le garde du corps du ministre de la Santé s’est retrouvé face à l’un des membres de la garde rapprochée du Premier ministre et a été encerclé par les autres éléments qui ont commencé à le frapper. C’est à ce moment-là qu’il a sorti son arme à feu et a tiré deux coups de feu en direction du sol, créant ainsi la panique générale.

Le Premier ministre est resté figé, tandis que certaines personnes ont commencé à quitter les lieux, provoquant une bousculade qui a entraîné des blessés. L’auteur des coups de feu, désarmé, a été maîtrisé par les membres de la garde rapprochée du Premier ministre et a été isolé dans une salle du Centre de santé.

Selon des sources de L’Observateur, une enquête est en cours pour faire la lumière sur cet incident, qui est pris très au sérieux par les autorités judiciaires.

Cet incident met en lumière les tensions et les rivalités qui peuvent exister entre les différents corps de sécurité et les risques auxquels sont exposés les hauts responsables politiques et gouvernementaux. Il soulève également des questions sur la sécurité lors des événements officiels et la nécessité d’une coordination rigoureuse entre les différents services de sécurité pour éviter de tels incidents.

Il est crucial que cet événement soit pris au sérieux par les autorités compétentes afin d’assurer une enquête approfondie et impartiale. Il est impératif de déterminer les responsabilités de chacun et de prendre des mesures appropriées pour garantir la sécurité des personnalités politiques et du public lors de telles occasions.

En fin de compte, cet incident malheureux rappelle l’importance de la discipline et du professionnalisme dans les forces de sécurité chargées de protéger nos dirigeants.

Il ne doit pas être perçu comme une simple altercation, mais plutôt comme un rappel que la sécurité doit toujours être une priorité absolue dans notre société. La confiance du public envers nos forces de sécurité et nos dirigeants en dépend.

Fermeture prolongée du campus social : La réouverture de l’Ucad pas à l’ordre du jour au COUD

La réouverture de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) risque d’être compliquée. Le Conseil d’administration du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), lors de sa réunion vendredi dernier, a exigé que des mesures soient prises pour assurer la sécurité des personnes et des infrastructures, ainsi que pour améliorer les conditions d’accès et d’hébergement des étudiants.

Ces conditions doivent être remplies avant toute réouverture. La direction du Coud est appelée à donner suite à cette décision, ce qui pourrait prendre jusqu’à 60 jours. Depuis le mois de juin, l’Ucad est fermée en raison des manifestations liées à la condamnation du leader du parti dissous Pastef, Ousmane Sonko, dans l’affaire Sweet Beauté. Les étudiants estiment qu’il est impossible de rouvrir le campus pédagogique sans le campus social et demandent la réouverture des deux.

Les autorités académiques justifient le retard de la réouverture par les dégradations subies par certaines infrastructures de l’université. Cependant, le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) ne semble pas convaincu par cet argument. Lors d’une conférence de presse le 12 octobre, le Saes a déploré que les efforts des enseignants-chercheurs pour revenir à un calendrier académique normal aient été anéantis par les fermetures fréquentes et continues des universités publiques.

Le Saes demande la réouverture immédiate de toutes les universités, affirmant que les enseignants de l’Ucad sont prêts à reprendre les cours. On se demande si le campus social sera prêt dans quelques jours pour accompagner la reprise des cours en présentiel.

Khalifa Sall après le blocage de son cortège à Fimela: « Rien ni personne n’arrêtera notre tournée »

La tournée de la Plateforme Taxawu Sénégal dénommée Dox Mbook-Mottalii Yénné a été perturbée samedi dernier. En effet, le convoi de Khalifa Ababacar Sall a été interdit d’accès à Fimela par la gendarmerie. Pourtant, le 17 octobre dernier, le Pr Abdou Rahmane Thiam, coordonnateur départemental de Taxawu Sénégal à Fatick, avait adressé une note informative au préfet de Fatick dans le cadre de cette tournée.

L’ancien maire de Dakar qui n’a pas du tout apprécié cet incident est monté au créneau. « La capacité de résilience de Taxawu Senegaal s’est illustrée de manière remarquable, démontrant notre détermination à faire entendre notre message malgré les obstacles et l’adversité. Rien ni personne n’arrêtera notre tournée qui se poursuit au cœur du Saloum », a-t-il posté sur son compte X (ex Twitter) visité par Senego.

Le président de Taxawu Sénégal a, par ailleurs, réitéré son appel à l’unité de la gauche pour un Sénégal meilleur, plus juste, plus équitable et plus inclusif. « Je suis le seul candidat socialiste et appelle tous les socialistes à voter pour moi », a-t-il écrit.

Khalifa Ababacar Sall est annoncé dans le département de Fatick les 21, 22 et 23 octobre 2023 pour rencontrer les militants et sympathisants de son organisation dans les 17 communes.

Titre foncier polémique de 22 ha à Mbèye : Le maire de Bambilor, membre de BBY, interpelle l’État

Après les chaudes journées de jeudi et vendredi, ponctuées par des échauffourées faisant suite à l’opération de démolition à Mbèye, le maire de Bambilor prend la parole. Lors d’une rencontre dimanche, Ndiagne Diop a pointé les services techniques de l’Etat (Domaines, Cadastre…) comme principaux responsables de la situation, pour n’avoir pas respecté les instructions de Macky Sall par rapport au projet d’extension des villages.

Comment des personnes ont-elles acquis des parcelles sur un périmètre de 22 hectares attribué par bail depuis 2016 ? C’est le point qu’a tenté d’élucider Le Quotidien lors de la rencontre initiée dimanche à Bambilor par le maire Ndiagne Diop, afin d’éclairer sur le litige foncier qui secoue le village de Mbèye. Ne trouvant pas, dès l’abord, la question «intelligente», l’édile s’est somme toute livré à une séance d’explications.

« L’extension ne peut pas se faire dans l’air ou sur l’eau, mais bien à la périphérie des villages », a-t-il estimé, assurant que c’est un besoin pour les habitants de ces localités qui n’ont rien fait d’illégal. Pour lui en effet, ce sont les services techniques de l’Etat, plus précisément les Domaines et le Cadastre, qui sont les responsables de la mésaventure des populations de Mbèye, qui ont assisté impuissantes à la destruction de constructions et champs sis sur le périmètre objet du litige.

« Les extensions des villages étaient une demande sociale à laquelle le Président avait répondu favorablement lors d’une audience qu’on avait eue avec lui en 2019. Il avait donné des instructions fermes aux services techniques de l’Etat, mais jusqu’à présent, ces extensions n’arrivent pas à voir le jour », a-t-il assuré se le quotidien LeQuotidien. Il a affirmé que le Président Sall avait insisté sur le fait que les populations locales devaient être prioritaires sur ces terres.

« Lors de l’audience, il avait dit que l’on donne d’abord aux populations des zones concernées, avant de donner à n’importe qui d’autre », a-t-il rappelé. Se voulant plus précis sur le sujet, M. Diop de poursuivre : « Si ce que le Président Macky Sall avait instruit aux services techniques depuis 2019 avait été respecté, ces histoires malheureuses n’auraient pas eu lieu. Il (le Président) avait donné son aval pour l’extension des villages, et je prends à témoin l’actuel ministre de la Défense, Me Oumar Youm, qui était directeur de Cabinet du Président à ce moment ».

« Là où les extensions doivent être faites, il s’est trouvé que ce sont des assiettes qui ont été attribuée à d’autres Sénégalais. C’est ce qui a amené les populations de Mbèye dont leur zone d’extension a été attribuée à M. Sonhibou Seck, à réagir », a-t-il avisé parlant du cas spécifique du village de Mbèye. Depuis jeudi, des bulldozers, sous forte escorte de la Dscos, procèdent à la destruction de constructions et champs sur le périmètre de 22 hectares, propriété de Sonhibou Seck à la faveur d’un bail en date de 2016. Pas moins de 27 habitants du village ont été arrêtés et plusieurs blessés enregistrés suite aux accrochages ayant opposé jeunes de la localité aux Forces de l’ordre.

La question initiale reste entière. Des personnes ont acheté des parcelles à usage d’habitation sur le site qui n’est pas encore dévolu à Mbèye pour son extension. Qui est le vendeur ? Sur la base de quels papiers ? Si le maire indexe les services techniques de l’Etat qui n’ont « pas exécuté » les instructions du chef de l’Etat, l’institution qu’il dirige ne peut être pour autant dédouanée car c’est elle qui délibère sur les affaires domaniales.

« Sonko exige d’être ramené en prison… », Me Cire Clédor Ly craint le pire

Ousmane Sonko souhaite retourner en prison malgré son état de santé critique. C’est du moins les dernières infos concernant le leader du parti Pastef livrées par Me Cire Clédor Ly. Qui a égratigné les autorités sénégalaises responsables de cette voie de fait rythmée par des violences de toutes sortes…

Depuis la reprise de la grève de la faim de Ousmane Sonko, là détérioration de son état de santé s’est accélérée et il est à craindre le pire, selon Me Ciré Clédor Ly.

L’avocat sans frontières, membre du collectif de défense du maire de Ziguinchor, dans son communiqué de ce lundi 23 octobre, a rendu compte de l’état de santé de son client pas du tout reluisant.

« Face à autant d’épreuves dont la seule et entière responsabilité incombe aux autorités politiques, judiciaires, administratives , des intellectuels dégénérés et ensemble les forces de défense et de sécurité, il est à craindre qu’Ousmane Sonko ne laisse pas les autorités faire porter le chapeau de ce qui semble désormais prévisible aux autorités hospitalières, vu l’état dans lequel il a terminé sa journée du 22 octobre, et qu’il exige d’être ramené en prison ».

Argumentant, la robe noire a pointé du doigt le comportement hors la loi de l’Etat du Sénégal qui s’est illustré avec son refus d’exécuter les décisions de justice (jugement dé Ziguinchor dont le recours devant la Cour Suprême et les délais de Recours ne sont pas suspensifs , ordonnant la réinscription de Ousmane Sonko sur les listes électorales),refuse d’enrôler à nouveau le dossier Adji Rabi Sarr pour juger Ousmane Sonko en violation avec allégresse la loi.

« Le degré profond d’encrage de la démocratie et de l’Etat de droit, poursuit Me Ciré Clédor Ly, ne laissait nullement présager que le machiavélisme et le cynisme d’un groupuscule de personnes pouvaient réussir par la manipulation des textes de lois, le bruit des bottes et la trahison de leur serment de gens de justice, à causer autant de mal et de dégâts qui ont sapés les fondements des institutions devenues moribondes ».

Pire, avance ce membre du Collectif de Défense du Président Ousmane Sonko, les appels et interventions des autorités religieuses auprès du chef de l’Etat n’ont à ce jour enregistré aucun résultat.

Il n’a pas manqué de rappeler que, l’homme politique Ousmane Sonko, politique, qui a « une alternative de gouvernance a si enduré et souffert d’injustices, a encore foi au peuple Sénégalais qui aspire au changement et continue à subir une violence d’Etat, avec des arrestations arbitraires et des abus de qualifications juridiques qui ôtent au juge gardien des libertés, toute liberté d’appréciation et maîtrise de ses dossiers sur la détention provisoire ».

« Il ne revient pas à la DGE de porter atteinte aux droits fondamentaux d’un candidat » (F24)

La plateforme F24 a rappelé à la direction générale des élections (DGE) son devoir de respecter la loi. Dans un communiqué parvenu à Seneweb, ladite plateforme « remet en question la crédibilité d’une élection sincère et apaisée, libre et transparente en 2024 sous l’égide du ministre de l’Intérieur, Me Sidiki Kaba et du directeur des Élections Tanor Thiendella Fall ».

Selon elle, « la fin de non-recevoir opposée par l’administration électorale à une ordonnance exécutoire est la forme paroxystique du règne de la voie de fait et du non-droit érigé en modes de gouvernance par Monsieur Macky Sall, ses ministres et ses fonctionnaires supplétifs ».

La non-réinscription sur les listes électorales et la non-délivrance de fiches de parrainage au candidat M. Ousmane SONKO est, selon le F24, « sont l’expression d’une volonté dictatoriale d’éliminer une fois de plus un candidat à la présidentielle comme ce fut déjà le cas en 2019 ». Ainsi, poursuivent-ils, « il ne revient pas à la DGE de porter atteinte aux droits fondamentaux d’un candidat ». Une posture qui contribue « à engendrer une insécurité judiciaire et de creuser le manque de confiance des acteurs impliqués dans ce processus électoral ».

Voiture, téléphone, exemplaires du Coran… : Walfadjri met aux enchères des biens de Sidy Lamine Niass

Le groupe de presse Walfadjri a annoncé la vente aux enchères des biens et objets de Sidy Lamine Niasse. Une décision qui fait suite à la chute drastique de la part de l’aide à la presse qui serait passée de 70 à 20 millions de F CFA. «Une baisse drastique que la conjoncture économique ne saurait expliquer», pointe Cheikh Niass dans une lettre ouverte publiée ce lundi dans les colonnes de Walf Quotidien, le journal de son groupe.

Pour dénoncer «cette ségrégation», le patron de Walf annonce trois mesures dont la plus symbolique, à côté du point de presse prévu le 27 octobre et du sit-in du 29, est sans doute la mise aux enchères des objets appartenant au fondateur du groupe de Front de Terre. «En effet, des biens de Sidy Lamine Niass (voiture, téléphone, ordre du mérite, distinctions, bureaux, exemplaires du Coran, etc.) seront proposés aux Sénégalais», confirme Cheikh Niass.

Ce dernier admet qu’«il s’agit là d’une solution extrême». Mais, s’empresse-t-il de défendre, elle s’«impose (face à la) stratégie d’asphyxie mise en branle par un gouvernement aux abois qui n’a pas pour autant hésité à acquérir des biens de Senghor pour sauvegarder sa mémoire».

«Pour le peuple sénégalais, il s’agira de sauver celle de Sidy Lamine Niass», conclut le PDG de Walf.

Lat Dior : Le 137e anniversaire de sa mort célébré

L’Association Générale pour la Sauvegarde des Valeurs de Lat Dior Ngoné Latyr Diop, Héros national du Sénégal (AGEHN), commémore le 137e anniversaire de sa disparition.

Il y a 137 ans disparaissait Lat Dior Ngoné Latyr Diop. Comme il est de tradition au sein de l’Association Générale pour la Sauvegarde des Valeurs de notre Héros national, la cérémonie commémorative est prévue à Dékheulé, ce samedi.

Cet événement, placé sous le haut parrainage de Président de la République du Sénégal, Macky Sall, est dédié cette année à la Jeunesse.

La journée de prière du vendredi 27 octobre est mise à l’honneur de Mame Makhtar Ndoumbé Diop fondateur de Koki

Lat Dior, de son nom complet Lat Dior Ngoné Latyr Diop, né en 1842 à Keur Amadou Yalla et mort le 26 octobre 1886 lors de la bataille de Dékheulé, a été Damel du Cayor de 1871 à 1883.

Louga: « 15 milliards d’investissements dans la région depuis l’arrivée de Macky à la tête du pays » (PM)

Dans la capitale du Ndiambour depuis hier, le premier ministre Amadou Bâ a magnifié la politique économique du président de la République Macky Sall dans la région. Le chef du gouvernement qui se réjouit de voir que le chef de l’Etat a très tôt compris que « disposer d’un capital humain de qualité est un des meilleurs atouts pour conduire le pays vers l’émergence ». C’est d’ailleurs pourquoi il ne cesse de réaffirmer que c’est le premier des investissements car les ressources humaines constituent la première richesse d’une nation. C’est dans le même ordre d’idées que se situent, dira le premier ministre lors de son discours, les autres investissements consentis au profit de la région de Louga pour le secteur de l’éducation et de la formation.

En effet, depuis son accession à la magistrature suprême, « le Chef de l’Etat a fait mobiliser, au profit de la région de Louga, plus de 15 milliards de francs ». Grâce à cet investissement, 1007 salles de classe, 50 écoles élémentaires complètes, 5 collèges d’enseignement moyen, 4 lycées d’enseignement général, 28 daara modernes et un centre régional de formation du personnel de l’Education ont été construits. À cela s’ajoutent les 2 inspections de l’Education et de la Formation, les 241 blocs administratifs, les 2 autres blocs scientifiques et technologiques, 185 blocs d’hygiène, 12 points d’eau et 10 180 mètres linéaires de murs de clôture.

Au regard de ces investissements, le Premier ministre estime que le défi qui les interpelle tous aujourd’hui reste celui de la qualité des résultats qu’il nous faudra relever, par l’engagement, la rigueur et la persévérance dans le travail.

Douanes : Un record de 146.000 litres de carburant saisis

La douane a frappé fort avec une saisie record. C’est la subdivision des Douanes de Dakar-Extérieur qui a saisi 146 000 litres de carburant.

Selon un communiqué transmis à la presse, c’est plusieurs cargaisons frauduleuses de carburant ont été ainsi saisies. Il s’agit de : quarante mille (40 000) litres de carburant qui étaient en cours de transvasement dans des bidons de vingt (20) litres saisis à Diass ; Un déversement frauduleux de quarante mille (40 000) litres de gasoil déjoué à Potou, dans la zone portuaire ; Trente mille (30 000) litres de fuel en provenance de Sangalkam sans aucun papier de transport intercepté à Nguekhokh.

Cette opération, minutieusement organisée, s’est déroulée dans le triangle Dakar-Thiès[1]Mbour durant la semaine du lundi 17 au dimanche 22 octobre 2023. Elle a mobilisé la Brigade spéciale de Recherche des Douanes de Dakar-Extérieur, la Brigade mobile n°1 des Douanes de Dakar-Extérieur et la Brigade mobile n°2 des Douanes de Dakar-Extérieur.

La douane renseigne que quelques semaines auparavant, une première saisie de trente-six mille (36 000) litres de fuel achetés sur le marché noir avait été réalisée à Sandiara par la même Subdivision. Ce qui porte à cent quarante-six mille (146 000) litres la quantité totale des saisies opérées. Plusieurs individus ont été arrêtés au cours de ces différentes opérations.