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Le Sénégal conforte son statut de pays attractif dans l’évènementiel

Le Sénégal s’investit pour créer des conditions favorables pour le développement de son offre MICE. La montée en gamme de son offre pour les Meetings, les Incentives, les Conférences, les Events, s’affirme nettement sur cette destination.

Dakar, capitale événementielle

Grâce à sa notoire stabilité politique et sociale en Afrique, doublée d’une bonne connectivité aérienne, Dakar accueille en permanence de grands événements internationaux sportifs, culturels et d’affaires. Sa situation au porte de l’Afrique sur l’Atlantique lui confère une position de choix, comme l’atteste ces différents évènements :

-La Ligue africaine de Basket-ball (du 5 au 15 mars),

-Le Forum mondial de l’eau (du 21 au 26 mars 2022),

-La 14e édition de la Biennale (du 19 mai au 21 juin 2022),

-La 8e édition du Forum international de Dakar sur la Paix et la Sécurité en Afrique (du 24 au 25 octobre),

-Le 66e Congrès de l’Union Internationale des Avocats (UIA) (du 26 au 30 octobre)

-Le Championnat d’Afrique de handball féminin (du 9 au 19 novembre).

-Le défilé de la maison de haute couture,‘’Chanel’’ organisé pour la première fois en Afrique, en décembre 2022

-La 8e édition des prix de la musique africaine, communément appelée « All Africa music Awards » (AFRIMA) en janvier 2023

-La 70ème édition de la conférence régionale de l’Airport Council International (ACI) du 14 au 20 octobre 2023

Destination idéale pour la culture et les arts

Des artistes de renommée internationale tels que Booba, Gims, Davido organisent des spectacles annuellement. Les visiteurs viennent nombreux à la biennale Dak’Art, cette grande exposition d’art contemporain qui s’expose scéniquement tous les deux ans au Palais de Justice.

La Fashion Week de Dakar en décembre prochain se révèle être un événement particulièrement attendu.

Sans oublier le Festival international de Jazz de Saint Louis. Il célébrait sa 31e édition en mai 2023 comme celui de « Gorée, regards sur cours » qui fêtait ses vingt ans en avril 2023.

Dakar abrite, en outre, les Jeux Olympiques de la Jeunesse de 2026.

Et enfin, la découverte récente du pétrole et du gaz au large du Sénégal crée un intérêt grandissant des hommes d’affaires et des investisseurs pour la destination.

Dans cette perspective, le Sénégal organisait en juillet dernier, le premier Forum International des Investissements consacré à la promotion des opportunités d’affaires du secteur privé.

Vers la création d’un Bureau de Convention à Dakar

La stratégie de développement des politiques de promotion des investissements dans l’évènementiel sera portée et opérationnalisée par un Bureau de Convention, institution qui sert de catalyseurs pour le développement, la gestion et la commercialisation d’une destination dans le secteur mondial MICE.

Implication de l’ensemble de l’écosystème

Le Ministère du Tourisme et des Loisirs comme les principaux protagonistes du secteur (ASPT, AIBD, APIX, SAPCO), les Syndicats professionnels, les Hôteliers, les Agences de voyage sont impliqués dans le processus de la création du Bureau de Convention.

Nouvelles infrastructures

Le pays s’est doté pendant cette décennie de nouvelles infrastructures modernes notamment dans le domaine du transport et de l’événementiel.

Des investissements significatifs dans l’amélioration de ses infrastructures place le Sénégal comme une destination bien adaptée pour le tourisme d’affaires

-Le Train Express Régional (TER) relie Dakar à Diamniadio, une nouvelle ville avec des infrastructures de dernières générations qui permettent d’accueillir des événements sportifs et culturels de grandes envergures.

-La phase 2 du TER en phase de finalisation va relier Dakar à l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD).

-L’autoroute de l’avenir, longue de 42 km, relie désormais l’aéroport à la plus grande station balnéaire de l’Afrique, Saly Portudal. Le gain de temps entre Dakar et son aéroport s’en trouve particulièrement raccourci.

Le premier BRT 100% électrique au monde

Avec son Bus Rapid Transit ( BRT) dont les essais se poursuivent depuis le mois d’août 2023, le Sénégal aura le premier BRT Électrique en Afrique et le premier BRT 100% électrique au monde.

Le pays dispose, par ailleurs, de grandes infrastructures d’accueil multifonctionnelles:

-Le Centre international de Conférence Abdou Diouf (CICAD)

-Parc Des Expositions,

-Le Musée des civilisations noires,

-Le Grand théâtre national Doudou Ndiaye Rose

-Le nouveau stade du Sénégal Me Abdoulaye Wade,

-Le Dakar Arena.

-De grands hôtels d’affaires (Riu Hotels & Resorts, Radisson, Sheraton, Accor etc)

Deux hôtels de prestige, l’hôtel Sheraton, un établissement de 5 étoiles et l’hôtel Aloft, un établissement de 4 étoiles, seront livrés, sur la pointe des Almadies, avant les Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026.

Ces nouveaux hôtels représentent le plus grand investissement hôtelier jamais réalisé en Afrique de l’Ouest, avec un coût total de 162 millions de dollars (près de 100 milliards de FCFA).

Également en prélude des JOJ 2026, Le Sénégal rénove le stade Léopold Sédar Senghor, le stade Iba Mar Diop, la piscine olympique et l’Olympique Club, le site d’équitation de Samba Diéry Diallo afin que ces infrastructures soient aux normes internationales pour les athlètes.

Placée sous mandat de dépôt : Falla Fleur sera jugée le 30 octobre

Ndèye Fatou Fall dite « Falla Fleur » retourne en prison. La militante de l’ex-Pastef a été placée sous mandat de dépôt par le procureur de la République, a appris Seneweb auprès de son avocat. Maitre Moussa Sarr informe que sa cliente sera jugée le 30 octobre prochain.

Rappelons que Falla Fleur, qui risque une peine de trois ans de prison, avait été extraite, hier, de sa cellule pour une nouvelle procédure judiciaire. Elle avait été mise à la disposition du commissariat de Grand-Yoff pour enquête. Il lui est reproché la divulgation illégale de correspondances dénigrant l’Administration pénitentiaire.

Par ailleurs, le tribunal va rendre son délibéré dans le premier dossier de Falla Fleur, demain jeudi. Le procureur avait requis une peine de trois ans ferme.

Ndèye Fatou Fall a été placée sous mandat de dépôt en juin dernier, pour appel à l’insurrection.

Touba: Le khalife invite les FDS à assister les Baye Faal pour veiller au respect de la sacralité de la cité

Le khalife général des mourides a reçu une délégation des Baye Faal. Serigne Mountakha Mbacké a saisi l’occasion pour réitérer les interdits à Touba actés par Serigne Abdou Lahat Mbacké en 1980, à travers une note transmise au procureur de Diourbel.

Le patriarche de Darou Miname a rappelé l’interdiction de la politique et du football dans le périmètre du titre foncier de la capitale du mouridisme.

ASerigne Mountakha invite la police et la gendarmerie à assister les Baye Faal dans cette mission pour veiller au respect de la sacralité de Touba. Selon une source autorisée de Seneweb, les Baye Faal vont rencontrer les forces de défense et de sécurité pour discuter de leur collaboration.

Voici le document signé par le defunt troisième khalife général des mourides Serigne abdou Lahat Mbacké en 1980:

Pape Alé sur l’état de Santé de Sonko « En dehors de perte de connaissance, il a des propos délirants et incohérents…»

Pape Alé Niang fait des révélations très inquiétantes sur l’état de santé de Ousmane Sonko qui a repris sa grève de la faim. Le journaliste d’investigation tire la sonnette d’alarme pour la libération immédiate de leader de Pastef avant que le pire ne se produise.

Le journaliste qui cite des rapports qui auraient été transmis au ministre de la Justice, au Premier ministre, et président de la République, affirme que le leader de Pastef est atteint d’une fièvre inexplicable, et qu’il perd souvent connaissance.

« Je vous le jure, j’ai reçu tous les rapports sur l’état de santé d’Ousmane Sonko. Il est au service de réanimation de l’hôpital principal de Dakar. Le rapport transmis au ministre de la Justice, indique que depuis 48 heures, il est atteint d’une fièvre qui inquiète tout le monde, il a des malaises, vomit, perd connaissance, le service de réanimation est très inquiet sur sa situation », a déclaré Pape Alé Niang, ce jeudi sur la chaîne Dakarmatin.

« Il est à noter qu’en dehors des épisodes de perte de connaissance, Sonko a des propos délirants et incohérents, il exprime le souhait de retourner à la maison de correction de Sébikotane, malgrè son état de santé délicat », a ajouté le journaliste.

Pape Alé Niang d’affirmer que le rapport indiqué a été envoyé aux autorités par le médecin colonel Khalifa Ababacar Wade, chef de département anesthésie, réanimation, urgence… de l’hôpital principal de Dakar.

Les révélations inquiétantes de Pape Alé sur Sonko: « il vomit, perd connaissance… »

Pape Alé Niang fait des révélations très inquiétantes sur l’état de santé de Ousmane Sonko qui a repris sa grève de la faim. Le journaliste d’investigation tire la sonnette d’alarme pour la libération immédiate de leader de Pastef avant que le pire ne se produise.

Le journaliste qui cite des rapports qui auraient été transmis au ministre de la Justice, au Premier ministre, et président de la République, affirme que le leader de Pastef est atteint d’une fièvre inexplicable, et qu’il perd souvent connaissance.

« Je vous le jure, j’ai reçu tous les rapports sur l’état de santé d’Ousmane Sonko. Il est au service de réanimation de l’hôpital principal de Dakar. Le rapport transmis au ministre de la Justice, indique que depuis 48 heures, il est atteint d’une fièvre qui inquiète tout le monde, il a des malaises, vomit, perd connaissance, le service de réanimation est très inquiet sur sa situation », a déclaré Pape Alé Niang, ce jeudi sur la chaîne Dakarmatin.

« Il est à noter qu’en dehors des épisodes de perte de connaissance, Sonko a des propos délirants et incohérents, il exprime le souhait de retourner à la maison de correction de Sébikotane, malgrè son état de santé délicat », a ajouté le journaliste.

Pape Alé Niang d’affirmer que le rapport indiqué a été envoyé aux autorités par le médecin colonel Khalifa Ababacar Wade, chef de département anesthésie, réanimation, urgence… de l’hôpital principal de Dakar.

Boun Abdallah Dionne : « Si je suis élu Président, je rendrais à la Justice la plénitude de son statut… »

Ancien Premier Ministre du Sénégal, candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024, Mahammed Boun Abdallah Dionne est formel : élu Président de la République le 25 février 2024, il rendra à la Justice la plénitude de son statut de Pouvoir.

« Dans une démocratie avancée, ce n’est pas au Chef du Pouvoir exécutif, encore moins au ministre de la Justice de s’occuper de la carrière des magistrats », déclare Mahammed Boun Abdallah Dionne lors du Symposium populaire sur la démocratie et la gouvernance locale à Guédiawaye, ce mercredi 25 octobre 2023.

Selon lui, l’administration de la carrière des magistrats doit être une question traitée par les magistrats qui seront désormais les seuls habilités par la loi à siéger au Conseil Supérieur de la Magistrature.

https://x.com/mahammedbdionne/status/1717263361711149056?s=46&t=aRZEF1kSqcA33ed5a0PD-A

Coup de tonnerre : Siré sy répond sévèrement à Ahmed Aïdara et fait d’autres révélations « Sonko fi

Coup de tonnerre : Siré sy répond sévèrement à Ahmed Aïdara et fait d’autres révélations «  Sonko fi

Suspension de la vente aux enchères des biens du Président Senghor: Le Président Macky Sall casse sa tirelire

Président Senghor: Le Président Macky Sall
Président Senghor: Le Président Macky Sall

Le Sénégal vient d’acquérir les biens ayant appartenu à l’ancien Président Léopold Sédar Senghor.

Dans un communiqué lu à  Dakaractu, il a été informé que  » le ministre de la Culture et du Patrimoine Historique et l’ambassadeur du Sénégal à Paris ont rencontré madame le commissaire-priseur, Solene LAINE, et son associé pour faire l’inventaire des biens appartenant au Président Léopold Sédar Senghor…, et à son épouse, Mme Colette Senghor…, avant d’engager la finalisation de l’opération d’acquisition par l’État du Sénégal… ».

Ainsi, le ministre de souligner que  » les objets…, sont au nombre de 41. Le restant des 202 objets de l’offre concerne d’autres prioritaires ». À l’en croire,  » la conclusion pour l’acquisition des biens, excluant les autres offres, porte sur 130.800.000 Fcfa( 200.000 euros), hors frais des cabinets des Commissaires-priseurs( 22% du coût d’acquisition en province et 33% à Paris) ».

 » Au total, le coût de l’opération, tous frais inclus, s’élève à 159.576.000 Fcfa (244.000 euros) ». Ainsi,  » les biens seront livrés à l’ambassade du Sénégal à Paris, par les Commissaires-priseurs, dès la finalisation de l’opération de paiement », a-t-on lu dans ledit communiqué.

Suspension de la vente aux enchères des biens du Président Senghor: Le Président Macky Sall les acquiert pour le Sénégal...Le coût de l'opération s'élève à 159.576.000 Fcfa(244.000 euros)

Identifications des abonnés : Abdou Karim Sall resilie 6 millions de numéros

Abdou Karim Sall
Abdou Karim Sall

L’Autorité de régulation des télécommunications et des postes a, au moins, résilié plus de 6 millions de numéros de téléphone.
 En effet, dans son rôle de régulateur, l’ARTP a procédé et continue de procéder à l’identification des numéros de téléphone.
C’est ainsi que ce nombre important de numéros, dont les propriétaires ne se sont pas identifiés, a été résilié, selon le directeur général de la structure.
Abdou Karim Sall s’exprimait pendant un panel organisé par les cadres de la télécommunication. Il a d’ailleurs souligné que cela a réglé un problème de sécurité. « Il n’y a plus ces vols à la sauvette au niveau des feux rouges comme c’était le cas, il y a quelques années », dit-il. 
Selon lui, l’identification des abonnés est importante et les opérateurs doivent être conscients et identifier leurs clients.

Vidéo – Loutah guén choisir Pape Diouf ak Sidy Diop pour l’anniversaire d’Iradio? Dj Boub’s donne une réponse inattendue

Vidéo – Sonko en réa « très faible » ? sortie Ahmed Aidara: Siré Sy balance des infos de taille » liniou parél.. »

1er déplacement Ismaila M. Fall : La pérennisation du dialogue politique entre Londres et Dakar actée

Premier déplacement à l’étranger de Ismaila Madior Fall, ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur dans le cadre de la session inaugurale du dialogue politique de haut niveau 2023 entre le Royaume et le Sénégal. Lequel dialogue politique, entre autres points d’accords, aura lieu chaque année.

Le 23 octobre 2023, à Londres, le Royaume-Uni et le Sénégal ont tenu la première session du Dialogue politique de haut niveau entre les deux pays qui est une plateforme bilatérale de discussion politique globale entre deux pays amis.

Cette session inaugurale était coprésidée par Andrew Mitchell, ministre britannique pour l’Afrique et le Développement, et Ismaïla Madior Fall, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.

Les deux ministres se sont félicités du partenariat productif entre le Sénégal et le Royaume-Uni. Ils ont souligné leur détermination à approfondir ce partenariat afin de promouvoir la paix et la prospérité dans les deux pays et de faire face ensemble aux grands défis auxquels le monde est confronté.

Ils se sont félicités de la signature le 23 octobre 2023, à Londres, du Protocole d’Accord sur le programme de partenariat avec les pays océaniques et ont rappelé dans le même esprit le premier protocole d’accord de partenariat économique entre le Royaume-Uni et le Sénégal, signé en janvier 2023.

Les ministres sont convenus que les dialogues politiques entre le Royaume-Uni et le Sénégal auront lieu chaque année et serviront de mécanisme pour identifier et faire progresser les objectifs communs, notamment en matière de politique étrangère, économique, climatique, environnementale, de défense et de sécurité.

Au cours de cette session inaugurale du dialogue politique, les deux Parties ont également eu des échanges profonds sur les questions d’intérêts communs ci-après : Politique étrangère ; Défense et sécurité ; Économie et commerce ; Réforme de la gouvernance et du système internationaux ; Énergie, climat et environnement ; et Coopération au développement.

A rappeler que cette visite à Londres est le premier acte que pose le ministre Ismaila Madior Fall dans la mise en œuvre de la politique diplomatique définie par le Président Macky Sall.

Le prêt de 166 milliards F Cfa du FMI et la croissance du Sénégal…

L’équipe du FMI et les autorités du Sénégal sont parvenues mardi 24 octobre à un accord de prêt de 166 milliards F Cfa

Le Fonds monétaire international (FMI) a accordé au Sénégal un prêt de 166 milliards dans le cadre de son programme économique et financier. Un financement qui sera reçu avant la clôture des opérations financières de l’ année 2023.

L’annonce a été faite mardi au cours d’une conférence de presse conjointe entre le chef de mission de la mission du FMI, Edward Gernayel, et le ministre sénégalais des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Bâ.

Selon le FMI, la croissance au Sénégal est toujours bonne, même si elle n’a pas atteint le taux d’avant la pandémie de Covid-19 et les différente crises.

Cependant, malgré les troubles socio-politique de juin dernier, note l’institution financière, la croissance économique va ressortir avec un taux de 4,1% à la fin de l’année, soit au-dessus de la moyenne en Afrique subsaharienne qui est projetée à 3,3%.

UNESCO: L’ancien ministre des Sports, Matar Ba élu par acclamation président de la COP9 (vidéo)

Matar Ba est le nouveau Président de la Conférence des Parties à la Convention internationale contre le dopage dans le sport. L’ancien ministre des Sports du Sénégal a été élu par acclamation ce mercredi matin au siège de l’UNESCO à Paris.

La Conférence des Parties (COP) à la Convention internationale contre le dopage dans le sport tient sa neuvième session les 25 et 26 octobre 2023 au Siège de l’UNESCO, à Paris – Salle I. Tous les États Parties à la Convention et les États membres de l’UNESCO participent à cette conférence statutaire organisée tous les deux ans.

La COP9 représentera une étape importante dans le développement de la Convention et sa capacité à répondre aux besoins et aux attentes des États Parties, ainsi qu’à s’adapter à l’évolution constante de l’écosystème mondial du sport et à ses défis. L’ordre du jour principal sera axé sur la restitution des résultats et des propositions demandés par la COP8, tels que l’affinement et l’amélioration du système de suivi de la Convention et le soutien apporté aux États Parties pour leur permettre de s’approprier pleinement les dispositions de la Convention.

La COP9 sera également l’occasion d’examiner les développements potentiels de la Convention afin d’accroître sa capacité à répondre aux défis émergents.

Officiel : Serigne Mountakha Mbacké fixe la date du Magal Porokhane

La date du Magal de Porokhane a été officiellement fixée par le Khalife général des mourides et khalife de la famille de Serigne Bassirou, l’organisateur de cet événement. Le Magal se tiendra le jeudi 25 janvier 2024.

Porokhane, une localité située dans le département de Nioro va polariser toutes les attentions en fin janvier 2025 lors du Magal dédié à Sokhna Diarra Bousso, mère du vénéré Cheikh Ahmadou Bamba Khadim Rassoul. La date a été fixée par le Khalife général des mourides. La communauté mouride reconnaissante à travers cet événement assimilé à une action de grâce à Dieu perpétue son œuvre.

Inconnue à son arrivée dans le foyer de Mame Mor Anta Sally, son engagement, sa détermination, sa dévotion, entre autres, ont été récompensés à travers sa descendance : La célébrité de Cheikh Ahmadou Bamba, le fondateur du Mouridisme, l’a fait connaitre aux yeux de l’humanité.

En effet, la voisine de Dieu, «Diarratoulahi» est la seule femme dans l’Islam à disposer d’un jour de célébration, aussi important que celui du Magal de Porokhane.

Fille de Sokhna Asta Walo Mbacké et de Serigne Mouhamadou Bousso, Mame Diarra était une femme exemplaire, érudit du saint coran qui, malgré le lourd fardeau des travaux domestiques et le service de son époux, savait trouver le temps de s’occuper de l’éducation et de la formation de ses enfants.

Bourges: Le maire de la ville confirme l’achat du club par Sadio Mané

Comme annoncé, Sadio Mané est bel et bien le propriétaire du club Bourges Foot 18. L’information a été confirmée par le maire de la Ville, lors d’une conférence de presse organisée ce mardi.

C’est officiel, Sadio Mané rachète le Bourges Foot 18 (National 2). C’est le maire de la ville de Bourges qui vient d’officialiser l’information à l’occasion d’une conférence de presse :

« Je vous confirme l’arrivée officielle de Sadio Mané en tant que partenaire du Bourges Foot 18. Je tiens à lui adresser mes salutations les plus chaleureuses. C’est une arrivée officielle en présence de Cheikh Sylla, président du club. Sadio Mané a des valeurs humanistes, il a une proximité et il a une volonté d’avoir un projet social.

Linguère : Bby, avec Amadou Ba en pointe, pour la chasse aux parrains

Linguère au front pour une grande collecte de parrainages pour le compte du candidat officiel de Bby, Amadou Bâ. Le coordonnateur communal de Linguère pour la collecte du parrainage Djiby Ndiaye, ancien directeur général de l’Aner, a tenu, en ce début de semaine, une rencontre avec les militants et sympathisants prêts à soutenir la candidature du Premier ministre.

Les partis alliés de Bby présents à cette occasion ont tenu à parrainer le candidat de leur coalition. Ils se sont succédé au micro central, évoquant le charisme politique et l’ouverture qu’incarne Djiby Ndiaye pour faire renaître la coalition dans la commune de Linguère.

L’ex Dg de l’Aner de dire que la tâche ne sera pas facile car, dit-il, « il y a deux candidats à la Présidentielle tous natifs de Linguère, donc nous devrons resserrer les rangs et plus d’ouverture pour l’élargissement de la base ».

Dans la foulée, le coordonnateur communal du parrainage de Bby, satisfait d’emblée des résultats obtenus pour la collecte du parrainage dans la commune de Linguère et villages environnants, a souligné que « le bilan à mi-parcours rassurant avec de grands projets en cours pilotés par un visionnaire, un leadership national, africain voir mondial en l’occurrence le Président Macky Sall ».

Aussi invite t-il les militants et sympathisants à mettre les bouchées doubles pour « ratisser large dans le département gage de la continuité du PSE ».

Sonko dans le coma: Khalifa Sall trouve « dommage qu’il puisse mettre sa vie en péril pour porter le combat démocratique…»

Khalifa Sall s’est prononcé sur l’état de santé dégradant de Ousmane Sonko. Le leader de Taxawu Sénégal dit être inquiet sur la situation actuelle que vit Ousmane Sonko.

« C’est dommage qu’on en arrive là, qu’il puisse mettre en péril sa santé, sa vie pour pouvoir porter le combat démocratique qu’il porte, c’est dommageable », a dit Khalifa Sall qui appelle « les uns et les autres à revenir à la raison pour qu’on n’en arrive pas à l’extrême ».

Rappel de l’état de santé dégradant de Sonko

Maître Ciré Clédor Ly, membre du collectif de défense d’Ousmane Sonko, s’est alarmé ce mardi 24 octobre de l’état de santé critique de son client, en détention depuis plusieurs semaines.

Dans une déclaration, l’avocat indique qu’Ousmane Sonko est entré dans un profond coma lundi, ce qui a surpris le personnel médical. Cette brusque dégradation confirmerait les craintes du collectif quant à la détérioration de son état de santé en prison.

Affaire «Falla Fleur» : surprise au commissariat de Grand-Yoff

Falla Fleur
Falla Fleur

«Falla Fleur» a été extraite de prison et conduite au commissariat de Grand-Yoff, ce mardi 24 octobre. D’après Seneweb, confirmé par son avocat, Me Khoureychi Bâ, la militante de Pastef est sous le coup de nouvelles poursuites. Elle est accusée d’avoir illégalement divulgué une correspondance où elle dénigre l’Administration pénitentiaire. D’après nos informations, elle sera déférée au parquet ce mercredi. Elle risque d’être une nouvelle fois placée sous mandat de dépôt, si l’on en croit Les Échos.

Le journal renseigne que «Falla Fleur» n’a pas été directement envoyée en cellule après son audition, qui a duré «des heures». La même source indique que le chef du commissariat de Grand-Yoff a ordonné qu’elle soit transférée à l’Hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff après qu’elle a réclamé des «cachets pour soulager ses maux de tête ainsi que la pompe qui l’aide à respirer».

La militante de Pastef a été placée sous mandat de dépôt le 7 juin dernier pour «appel à l’insurrection, actes de nature à compromettre la sécurité publique et les lois du pays, provocation directe à un attroupement non armé et non suivi d’effet». Elle a été jugée le 12 octobre devant le tribunal correctionnel de Dakar. Le procureur a requis trois ans ferme. C’est dans ce contexte, où elle attend le verdict de son procès, qu’une nouvelle procédure est lancée contre elle.

France : Sadio Mané va officiellement devenir propriétaire du Bourges Foot 18 !

L’attaquant sénégalais de 31 ans, transféré en Arabie saoudite cet été, va officiellement investir dans le club du Bourges Foot 19, qui évolue en Quatrième Division française cette saison.

Des rumeurs couraient dans la presse française depuis plus de deux ans. Elles devraient afin être officialisées dans les prochaines heures. D’après Le Berry républicain, Sadio Mané va officiellement prendre les commandes et devenir le nouveau propriétaire du Bourges Foot 18; pensionnaire de National 2. L’attaquant sénégalais a longtemps noués des contacts avec son compatriote Cheikh Sylla, président du club amateur français.

L’ancien joueur du Bayern Munich s’est également entretenu avec le maire de Bourges Yann Galut. Et d’après la même source, une conférence de presse est programmée ce mercredi 24 octobre en mairie de Bourges, en présence du maire et du président du Bourges Foot 18. Ce dernier devrait d’ailleurs rapidement convier une assemblée générale extraordinaire pour présenter sa démission de la présidence de l’association.

Cela rentrerait dans le cadre d’une future création d’une SASP (Société anonyme sportive professionnelle) dont Sadio Mané sera le patron et Cheikh Sylla le futur président. Le Champion d’Afrique aurait déjà mis la main à la poche pour permettre au club de National 2, en difficultés en ce début de saison en championnat, de recruter des renforts. Avec Sadio Mané, un projet de développement sportif, économique et social devrait voir le jour.

Audition du Colonel Cheikh Tidiane Mbodj : Ce que le haut gradé de l’armée a dit aux enquêteurs !

L’ancien directeur de la Coopération et des Relations publiques du Centre des hautes études de défense et de sécurité de Dakar (CHEDS), le colonel Cheikh Tidiane Mbodj, a été entendu, hier mardi 24 octobre, par les éléments de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane.

Lors de cette audition, les enquêteurs lui ont rappelé les textes sur l’obligation de réserve des officiers supérieurs. Les enquêteurs lui auraient notifié que même licencié, il est dans l’obligation de se soumettre au devoir de réserve.

Après son face à face avec les enquêteurs, ce haut gradé de 61 ans, soupçonné de collusion avec le leader de l’ex-Pastef, Ousmane Sonko se dit prêt à se conformer à l’obligation de réserve si les textes le stipulent clairement.

Soupçonné de collusion avec le leader de l’ex-Pastef, l’ancien militaire a récemment déclaré sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Il est un Saint-cyrien, qui a servi de 1982 en 2023 sous le drapeau sénégalais. Il a été licencié cette année pour s’être prononcé sur le dossier de Ousmane Sonko notamment sur le vice de procédure sur son arrestation par les forces de l’ordre.

La Senelec réalise 49 milliards F CFA de bénéfices

La Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec) se porte visiblement à merveille. Pour preuve le montant de ses bénéfices qui s’élève à 49 milliards de francs CFA, d’après son secrétaire général Papa Toby Gaye.

Des gains à « relativiser » toutefois, tempère M. Gaye. Car ces bénéfices vont servir à financer l’électrification dans les zones rurales.

« Il y a 60 % de personnes qui vivent dans le monde rural qui n’ont pas d’électricité. Si la Senelec fait 49 milliards, cet argent-là n’est pas à dilapider. Cet argent va servir à financer l’accès à l’électricité dans le monde rural », confie M. Gaye en marge d’une rencontre entre la Direction générale de la Senelec, les associations de consommateurs et le Comité national de dialogue avec la clientèle organisée ce mardi 24 octobre.

De leur côté, les associations consuméristes peinent à comprendre le fait que la Senelec, qui est pourtant subventionnée, fasse un tel bénéfice au moment où les clients se plaignent de la cherté de l’électricité.

Dakar et le Sénégal vers des odeurs nauséabondes, à partir de ce mercredi

Le Sénégal va vers perturbations dans la collecte et le ramassage des ordures. Tous les camions dédiés sont à l’arrêt, à partir de ce mercredi, faute de paiement de plusieurs factures.

Le Sénégal risque d’être plongé dans les prochaines heures dans des odeurs nauséabondes. Avec des ordures, à tout-va, qui jonchent les rues et ruelles. Des masses d’ordures risquent d’enlaidir nos localités.

Les concessionnaires vont immobiliser leurs véhicules qui faisaient la collecte et le ramassage des ordures, à partir de ce mercredi 25 octobre.

A l’origine, plusieurs factures non payées et presque une année sans salaire pour les travailleurs. Des négociations avec le ministre des Finances et du Budget n’ont pas été fructueuses. Le ministre Moustapha Ba tarde toujours à prendre en compte les conditions posées par les entreprises. Et les concessionnaires ne sont plus en mesure eux aussi de procéder à la collecte et au ramassage des ordures.

Résultat des courses, tous les camions envoyés au garage jusqu’à satisfaction de leurs requêtes.

Conseil de discipline : Mauvaise nouvelle pour Ama Baldé au CNG !

Ama Baldé
Ama Baldé

Ama Baldé pourrait subir de lourdes conséquences pour son absence lors de son face-à-face de samedi dernier, une absence qui avait pour objectif de promouvoir son combat royal prévu pour le 5 novembre contre Modou Lô. Le lutteur de l’écurie Falaye Baldé de Pikine a été convoqué devant le Conseil de discipline du Comité national de gestion (CNG) de la lutte, selon des informations de L’Obs.

Il n’est pas rare qu’un lutteur se désiste d’un événement promotionnel organisé par un promoteur, mais Ama Baldé risque d’être le premier à payer pour son absence non justifiée jusqu’à présent. Cette absence a été d’autant plus coûteuse que les organisateurs avaient déployé un dispositif de sécurité considérable pour éviter tout incident lors de l’événement qui s’est tenu samedi dernier au Thiossane Night.

La sanction à l’encontre d’Ama Baldé vise également à envoyer un message fort à tous les lutteurs qui bénéficient de gros contrats financiers tout en ne respectant pas leurs engagements envers les sponsors. Les menaces de sanctions pécuniaires et sportives émanant de l’équipe de Bira Sène ne sont pas des paroles en l’air. En effet, le vice-président du CNG chargé de la lutte avec frappe, Meissa Ndiaye, a confirmé que le lutteur de Pikine a été convoqué devant le Conseil de discipline.

L’absence d’Ama Baldé avait provoqué l’ire du promoteur du combat, Luc Nicolaï. En conséquence, Ama Baldé pourrait se voir prélever jusqu’à 50% de son reliquat financier. Au-delà de cette sanction pécuniaire, le CNG a annoncé qu’il prendrait des mesures sévères pour lutter contre ce phénomène de désistement récurrent dans l’arène, allant d’une suspension de 6 mois à une exclusion ferme pouvant aller jusqu’à 5 ans.

“Accord de principe” entre l’État du Sénégal et le FMI pour un prêt de 166 milliards de francs CFA

ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba
ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba

Le Sénégal a signé avec le Fonds monétaire international (FMI) ‘’un accord de principe’’ en vertu duquel il devrait bénéficier d’un prêt de 166 milliards de francs CFA de ladite institution, avant la clôture des opérations financières au titre de l’année 2023, a-t-on appris, mardi, à Dakar, de son ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba.‘’Cet accord de principe à l’issue duquel le Sénégal aura accès à un financement, avant la clôture des opérations financières au titre de la gestion 2023, de 166 milliards francs CFA sera soumis à l’approbation des hautes autorités du FMI et de son conseil d’administration, qui doit se réunir le 14 décembre prochain’’, a déclaré M. Ba lors d’une conférence de presse donnée conjointement avec Edward Gemayel, le chef d’une mission du FMI ayant séjourné pendant près de deux semaines au Sénégal.
En juin 2023, le Sénégal a bénéficié d’un financement de ‘’129 à 133 milliards de francs CFA’’, selon le ministre des Finances et du Budget.

Extraite de prison : Ce qui est reproché à Falla Fleur

Falla Fleur
Falla Fleur

Un malheur ne vient jamais seul, selon l’adage. Ndèye Fatou Fall dite « Falla Fleur » l’a appris à ses dépens. Cette militante de l’ex-Pastef, qui risque une peine de trois ans de prison, a été extraite de sa cellule pour une nouvelle procédure judiciaire. Elle a été mise à la disposition du commissariat de Grand-Yoff pour enquête, selon une source autorisée de Seneweb.
Il est reproché à Falla Fleur la divulgation illégale de correspondances dénigrant l’Administration pénitentiaire. Elle est entendue par les enquêteurs de la police de Grand-Yoff. Ndèye Fatou Fall sera déférée au parquet ce mercredi, sauf changement de programme.
Le procureur pourrait ouvrir une information judiciaire avant de désigner un juge d’instruction, d’après nos sources. Ainsi, Falla Fleur va regagner sa cellule au Camp pénal de Liberté 6.
Pour rappel, le tribunal va rendre son délibéré dans le premier dossier de Falla Fleur, jeudi prochain. Le procureur avait requis une peine de trois ans ferme. Ndèye Fatou Fall a été placée sous mandat de dépôt en juin dernier pour appel à l’insurrection.  

PAPA MADEMBA BITEYE, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SENELEC : « Sur 2,4 millions de clients, 586.000 seulement ont connu une hausse »

PAPA MADEMBA BITEYE, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SENELEC
PAPA MADEMBA BITEYE, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SENELEC

Après la salve de critiques relatives aux factures et au prépayé Woyofal, le Directeur général de Senelec, Papa Mademba Bitèye, déplore une incompréhension à la suite de la révision des tarifs intervenue en janvier dernier. Cependant, sur les 2,4 millions de clients, dont 1,156 million qui sont protégés, seul 586.000 ont connu une hausse de facturation due, à son avis, à une année 2023 très chaude.

Monsieur le Directeur général, des clients de Senelec s’indignent de la hausse vertigineuse de leur dernière facture. Celle d’un abonné serait passée de 70.000 à 4 millions de FCfa. Qu’est-ce qui explique cette flambée soudaine décriée ?

La cherté des factures constatée ces derniers temps est due à une conjonction de facteurs. Il y a déjà le réajustement tarifaire intervenu en janvier 2023 avec une hausse des prix de l’électricité au niveau de la deuxième et de la troisième tranche. Si cette augmentation est passée presque inaperçue, c’est parce que, malgré tout, les factures n’étaient pas chères en raison du niveau relativement bas de la consommation énergétique en période de fraîcheur.
C’est tout le contraire en cette période de pic d’octobre et de novembre où il fait excessivement chaud, la demande en électricité est forte de même que la consommation des ménages et cela impacte logiquement les factures d’électricité.
Maintenant, je considère qu’il n’y a pas de facture passée de 70.000 à 4 millions de FCfa dans la mesure où le cas que nous avions connu a été réglé. Le client est venu faire sa réclamation au niveau de son agence et il a été rétabli dans ses droits. Aucun système n’est infaillible, mais ce qui compte, c’est la prise en charge de ces occurrences. Dans le cas d’espèce, la prise en charge a été optimale et le client concerné peut en témoigner.


La consommation prépayée Woyofal n’est pas épargnée par la polémique, les clients ne comprenant pas la différence du nombre d’unités d’un achat à l’autre pour le même montant. Comment expliquez-vous ces variations ?

Ces variations sont dues à plusieurs paramètres. L’achat de crédit Woyofal prend en compte les taxes telles que la Tva, la taxe communale et la charge locative du compteur puisque le compteur appartient à Senelec. S’il s’avère que le client avait une dette vis-à-vis de Senelec, un montant est défalqué de chaque crédit Woyofal rechargé pour solder cette dette. Donc cela dépend des situations de chaque client. Il y a également le fait que le Woyofal est structuré en trois tranches : la première tranche sociale, la deuxième tranche et la troisième. Chaque tranche fait l’objet de tarification spécifique.


Selon certains abonnés, avec 5000 FCfa, on est passé de 53 à 37 KWh. N’est-ce pas une hausse du prix du KWh qui ne dit pas son nom ?

Comme je vous l’ai expliqué, le Woyofal est structuré en trois tranches. Nous pouvons vous donner l’exemple d’un client qui achète dans le mois des crédits de rechargement de 5000 FCfa. Au premier achat de 5000 FCfa en début de mois, le client reçoit 48,91 kilowattheures. Au deuxième achat, le client a 53,5 kilowattheures. Au troisième achat, il reçoit 51,54 kilowattheures. Avec ces trois premiers achats, le client a été facturé à la tranche sociale qui se limite à 150 kilowattheures. La taxe communale est déduite à chaque recharge de crédit, mais la charge locative n’est déduite qu’une seule fois le mois. C’est bien de préciser qu’au troisième achat, le client commence un peu à empiéter sur la deuxième tranche. C’est d’ailleurs ce qui fait qu’au quatrième, cinquième et sixième achat, le client reçoit respectivement 35,74 kilowattheures, et enfin 33,24 kilowattheures parce qu’au sixième achat, il a commencé à dépasser les 250 kilowattheures de la deuxième tranche et intègre la troisième tranche à partir du septième achat, où la facturation change. Quand on atteint la troisième tranche, la Tva entre en jeu. Voilà ce qui explique la variation du nombre de kilowattheures.


Vous dites qu’avec votre grille tarifaire, vous voulez protéger les ménages vulnérables. Or, la complainte provient aussi de cette couche sociale. Comment l’expliquez-vous ?

Les clients de la tranche sociale de Senelec sont au nombre de 1.159.146 qui consomment moins de 150 kilowattheures par mois. Cette tranche sociale qui paie moins de 15.000 FCfa de facture d’électricité par mois n’est aucunement concernée par la hausse du tarif.


Quels conseils donnez-vous aux clients de Woyofal ?

Nous préconisons l’économie d’énergie en adoptant des gestes qui participent à une meilleure maîtrise de la consommation dans les foyers. Le Woyofal est le système le plus efficace pour y parvenir. C’est la meilleure manière de contrôler, voire réduire la consommation électrique des ménages.


Récemment, un président d’une association consumériste a déclaré que le vrai problème de Senelec, c’est la lourdeur de ses charges causée notamment par son personnel pléthorique et le Fonds qu’elle doit reverser au Ministère de l’Énergie. Il pense que Senelec répercute cela sur le consommateur. Que répondez-vous ?

Ma réponse, elle est simple. Aujourd’hui, Senelec est une entreprise régulée, et toute charge qui doit être imputée sur la base tarifaire est d’abord validée par le régulateur. Maintenant, s’il y a des textes et des décrets pour demander à Senelec de collecter tel fonds et de le reverser, la société a l’obligation de le faire. Et ce ne sont pas des charges qui incombent à Senelec. Quand on regarde ce fonds, comparé aux charges de Senelec, c’est marginal. Ce qu’il faut dire et reconnaître, c’est que, aujourd’hui, ce qui fait les tarifs de Senelec, c’est le cours international du baril de pétrole. C’est pourquoi nous avons dit, expliqué et répété que quand nous aurons le gaz domestique et le pétrole exploité au niveau du sous-sol sénégalais, nous aurons une maîtrise des prix d’achat de ces combustibles et nous pourrons répercuter les économies qui auront été réalisées sur nos clients en baissant les tarifs. Maintenant, pour l’effectif qui serait supposément pléthorique, il faut savoir que toutes les sociétés d’électricité ont des ratios qui se fondent sur l’effectif rapporté à la puissance installée ou l’effectif rapporté au chiffre d’affaires. Sur la base de tous ces ratios, Senelec est en dessous de certains de ceux des sociétés d’électricité en Afrique de l’Ouest et en Europe d’une manière générale. Aujourd’hui, quand on compare ces mêmes ratios en termes de qualité de service, Senelec se situe au niveau des standards internationaux. En d’autres termes, cela signifie qu’aujourd’hui, non seulement Senelec est efficace, mais elle est aussi dans l’efficience.


Est-ce que vous vous attendiez à cette salve de critiques contre Senelec ?

Pas du tout dans la mesure où, jusqu’à présent, les Sénégalais disaient qu’ils étaient prêts à payer les factures d’électricité. Ce qu’ils ne supportaient pas, c’est le manque d’électricité, la non-disponibilité de l’électricité. Aujourd’hui, il y a suffisamment d’électricité. Maintenant, ce qu’il y a eu, c’est qu’au mois de janvier 2023, quand il y a eu le réajustement tarifaire, nous avons donné toutes les explications nécessaires aux Sénégalais. Maintenant, ce que nous reconnaissons et qui est la vérité, c’est qu’on n’a pas peut-être fait suffisamment de communication, on n’a pas donné suffisamment d’éléments à nos clients pour les informer que les factures allaient être élevées. Mais si on regarde bien, sur les 2,4 millions de clients de Senelec, il y a 1,156 million de clients qui sont protégés, qui n’ont pas connu de hausse et dont les factures n’ont pas varié depuis 2017. Maintenant, on a 586.000 clients qui ont connu une hausse. On se disait que ces derniers, après le point de presse que nous avons tenu et les explications qui ont été données, étaient suffisamment avertis pour adopter cette nouvelle culture énergétique qui permettra aux Sénégalais, face à la l’abondance, face à la disponibilité d’une électricité en quantité et en qualité suffisantes, d’adopter les comportements citoyens qui leur permettraient d’optimiser leurs factures d’électricité.


Avec la situation de 2011 où il y avait des contestations contre Senelec à cause des problèmes de production et de distribution de l’électricité et celle d’aujourd’hui marquée par des complaintes sur la cherté des factures, dans laquelle êtes-vous plus à l’aise en termes de gestion de crise ?

La situation de cette année, je la qualifierai d’incompréhension ou de déficit de communication entre un fournisseur et son client. Le fournisseur a rempli son devoir, mais n’a pas suffisamment communiqué avec le client pour lui permettre d’avoir les bons comportements en matière d’utilisation de l’électricité. Moi, en tant qu’opérateur, qui ai une mission de service public, naturellement, je suis plus à l’aise dans la situation actuelle que dans la situation d’avant où l’opérateur était défaillant. Cette année, il n’y a pas eu de défaillance technique, il n’y a pas eu de situation anormale puisque les tarifs que nous avons appliqués sont les tarifs officiels. Maintenant, il y a eu une demande qui a augmenté exponentiellement et cela s’explique. Tout le monde a constaté que les températures de 2023 ont été les plus élevées de l’histoire de l’humanité, donc cela suppose une augmentation de la consommation qui n’est pas seulement spécifique au Sénégal, mais concerne le monde entier, avec une inflation des prix partout en plus de celui de l’électricité. C’est pourquoi moi, cette année, je suis plus à l’aise en tant qu’opérateur. Mais, en tant que Sénégalais, j’ai beaucoup de peine parce qu’on n’aurait pu éviter cette situation si mon message au mois de janvier était bien perçu et qu’en retour, nos clients, notre raison d’être, avaient adopté les bons comportements énergétiques pour optimiser leurs factures.


Faut-il s’attendre à une hausse ou une baisse du prix de l’électricité ?

Avec l’exploitation du pétrole et du gaz, la baisse des charges d’exploitation du combustible sur le marché international, on peut valablement s’attendre à une baisse des coûts de production et ainsi espérer une baisse des coûts de l’électricité. La Commission de régulation du secteur de l’énergie (Crse) va pouvoir apprécier par rapport à cela en tant que régulateur.
Mais il faut savoir que Senelec a déjà anticipé par rapport à l’arrivée du pétrole et du gaz en transformant ses centrales en adéquation avec la stratégie « gas to power » dans l’optique de pouvoir usiter le gaz sénégalais dans nos centrales, dès que ce sera disponible. Il faut noter également la construction de l’une des plus grandes centrales à gaz d’Afrique de l’Ouest, de 366 mégawatts, entièrement développée et financée par des Sénégalais.
La politique du mix énergétique et la transition énergétique avec l’apport du gaz seront déterminantes dans la baisse des prix de l’électricité.


Après la bonne performance de 2022 (progression du chiffre d’affaires de 43,72% à 885,9 milliards de FCfa), comment se porte Senelec en 2023 ?

Senelec est une entreprise en pleine mutation. Notre vision, articulée autour du Plan de développement stratégique (Pds) Dolli Sénégal, est de faire de Senelec à l’horizon 2025 une entreprise de service public, performante et innovante, orientée vers des énergies plus propres. Notre défi aujourd’hui, c’est la baisse des coûts de l’électricité, mais c’est aussi l’accès universel à l’électricité à l’horizon 2025 tel que souhaité par son excellence le Président de la République, Macky Sall.


Quel est l’impact du prix du baril de pétrole sur votre activité ?

Tous les intrants qui nous permettent de produire de l’électricité sont importés et le combustible représente 60 à 70 % de nos charges. Nous avons en plus connu, ces deux à trois dernières années, des situations difficiles, avec notamment les restrictions dues à la pandémie de Covid-19, les conséquences de la guerre de la Russie en Ukraine avec particulièrement les incertitudes sur le marché international, la hausse des prix du pétrole et les fluctuations du dollar. Mais Senelec reste une entreprise résiliente, déterminée à toujours fournir le meilleur service public de l’électricité aux Sénégalais.


Est-ce que Senelec continue de vendre de l’électricité dans la sous-région comme cela avait été annoncé il y a quelque temps ?

Bien sûr. Aujourd’hui, Senelec vend de l’électricité à la Gambie et nous arrivons à faire des chiffres d’affaires annuels quand même assez importants. Mais je voudrais expliquer pourquoi Senelec vend à la Gambie. Et pour ce faire, je donne toujours l’exemple du boutiquier. Quand vous avez chargé suffisamment votre boutique de marchandises et que vous pouvez satisfaire la demande de votre propre quartier, vous n’allez pas refuser de vendre à un client qui vient d’un autre quartier. Au contraire, si vous refusez de lui vendre de la marchandise alors que vous en avez suffisamment pour satisfaire votre quartier, vous perdez de l’argent. C’est exactement le même cas avec Senelec concernant l’électricité vendue à la Gambie. Senelec a quitté le rationnement pour entrer dans l’abondance d’électricité. Suffisamment abondant que nous pouvons nous permettre de vendre de l’électricité à la Gambie sans altérer la disponibilité du produit pour les Sénégalais.


Où en est le projet de réforme de Senelec en filiales ?

Il suit son cours. Nous avons adopté une feuille de route dans le cadre de l’appui qu’on a obtenu du Millenium challenge account, laquelle feuille de route définit des étapes. Et par rapport au calendrier fixé, nous sommes conformes. Et comme vous le dites, Senelec sera séparée en quatre filiales, plus une holding : la filiale Production, la filiale Transport et la filiale Distribution commerciale en plus de la filiale Gaz où Senelec est l’agrégateur qui va acheter le gaz pour l’ensemble des acteurs utilisateurs de gaz qui sont dans le service public de l’électricité.


Aujourd’hui, comment se portent vos rapports avec les collectivités territoriales ?

Ils sont bons grâce au soutien du Ministère des Finances et du Budget qui, à la fin de chaque année, dans le cadre de la convention de dettes croisées, nous aide à recouvrer les factures d’éclairage public que les collectivités doivent à Senelec, les factures des communes et autres bâtiments qui sont sous leur responsabilité. Nous, à notre niveau, en contrepartie, cela nous permettra de verser la Tco (taxe communale) que nous collectons. J’ai entendu certaines réclamations, mais je puis les rassurer qu’une fois qu’on se sera mis d’accord avec le Ministère des Finances sur le règlement du reliquat de la convention, les Tco collectées leur seront versées.   

Faut-il s’attendre à une augmentation de votre puissance totale installée qui avait cru de 10,7%, à 1789 KWh, en 2022 ?

Nous sommes passés d’une puissance totale installée de 500 mégawatts en 2011 à 1789 mégawatts aujourd’hui. Cela reflète la montée en puissance de Senelec. Nous allons encore renforcer le parc de production de l’entreprise pour pouvoir satisfaire la demande nationale et même continuer de vendre de l’électricité à certains de nos voisins de la sous-région.


Depuis quelque temps, on note de plus en plus d’accidents soit d’agents de Senelec, ou d’électrocution de personnes privées. Quelles sont les dispositions prises par Senelec ? Y a-t-il des modalités de prise en charge de ces types d’accidents ?

Les accidents d’origine électrique, que nous avons constatés ces dernières années, sont plutôt liés à une urbanisation que Senelec ne maîtrise pas. Je le dis souvent, l’électricité a peur de l’homme, a peur du Sénégalais, mais le Sénégalais n’a pas peur de l’électricité. Pourquoi je le dis ? Parce que quand nous construisons nos lignes de transport et de distribution, nous ne venons jamais dans des zones d’habitation pour les installer. Nous allons toujours dans des zones vides et chaque ouvrage électrique bénéficie d’une déclaration d’utilité publique avant construction. Maintenant, avec l’urbanisation galopante, ce sont souvent les gens qui viennent jusqu’à construire en dessous des lignes, en dessous des ouvrages électriques de Senelec. Ce que nous ne pouvons pas maîtriser, ce qui n’est pas de notre responsabilité. Et qu’est-ce qu’on voit d’habitude ? Le balcon est très proche de la ligne électrique et un ouvrier armé de son outil en fer le dépose sur la ligne, par inadvertance, 30 kilovolts alors même que la tension 220 volts peut tuer. Vous imaginez les dégâts que cela cause si ça se reporte sur 30.000 volts, 90.000 ou 225.000 volts ? C’est dramatique et nous le regrettons. Maintenant, nous avons entamé un travail avec la Protection civile et les autorités administratives pour qu’elles nous aident à préserver ce qu’on appelle dans notre jargon « les couloirs des lignes, les couloirs des ouvrages » parce que les normes disent que pour chaque ouvrage, il y a une distance minimale à laquelle il ne faut pas s’approcher de l’installation au risque d’avoir une électrocution. Et souvent, c’est le problème que nous avons. Mais nous continuons à y travailler. Cela peut nous coûter cher parce que parfois nous sommes obligés d’enterrer la ligne, or le rapport de prix entre une ligne souterraine et une ligne aérienne est de 1 à 3, mais la vie d’un Sénégalais vaut plus que cela et nous sommes obligés des fois de le faire.


FENÊTRES
Le Woyofal est structuré en trois tranches : la première tranche sociale, la deuxième tranche et la troisième. Chaque tranche fait l’objet de tarification spécifique.

La taxe communale est déduite à chaque recharge de crédit, mais la charge locative n’est déduite qu’une seule fois le mois. C’est bien de préciser qu’au troisième achat, le client commence un peu à empiéter sur la deuxième tranche.

Nous sommes passés d’une puissance totale installée de 500 MW en 2011 à 1789 MW aujourd’hui. Cela reflète la montée en puissance de Senelec. Nous allons encore renforcer le parc de production de l’entreprise pour satisfaire la demande nationale et même continuer de vendre de l’électricité à certains de nos voisins de la sous-région. 

Source : LE SOLEIL

Propos recueillis par Malick CISS et Ibrahima THIAM, photos Moussa SOW

Enlisement du Sénégal – « Une seule alternative, libérer Sonko », Alioune Tine

Alioune Tine
Alioune Tine

Le Sénégal s’embourbe. Tout s’arrête. Une seule alternative, selon Alioune Tine, pour une sortie de garage.  

Le Président du think tank Afrika Jom Center est on ne peut plus clair concernant la crise que traverse le Sénégal. Sur X mardi, M. Tine ne voit qu’une seule et unique issue de secours..

« La seule alternative dans l’imbroglio dans lequel le Sénégal s’enfonce, une seule alternative s’offre aux autorités du Sénégal, c’est libérer Sonko, libérer tous les détenus et engager une grande palabre africaine.

« Il nous faut fermer la parenthèse de ces événements tragiques. Engager comme Mandela et Tutu une politique reposant sur la philosophie de l’ubuntu: tu es parce que je suis, faire humanité ».

« La situation de Ousmane Sonko (8e jour de grève) est alarmante et son état de santé s’aggrave de façon inquiétante. Il est entré dans un profond coma ce lundi 23 octobre 2023, ce qui a surpris même le Service hospitalier et conforte les inquiétudes que j’avais avancées après l’avoir visité la veille », rapporte Me Ciré Clédor Ly, membre du Collectif de défense de Ousmane Sonko.

État de santé de Sonko: « Les autorités sénégalaises (…) veulent le pousser à bout… », Me Saïd Larifou

Me Saïd Larifou
Me Saïd Larifou

Me Saïd Larifou, avocat de Ousmane Sonko révèle que son client, suite à la dégradation de son état de santé, est déjà très affecté physiquement « après sa séquestration de 55 jours chez lui par les forces de sécurité et la reprise de sa grève de la faim entamée pour protester contre les persécutions dans le milieu carcéral, hospitalier et d’autres épreuves dont il fait l’objet , a perdu connaissance après un malaise à l’hôpital de Dakar, où il est admis depuis la dégradation inquiétante de son état jugé incompatible dans un milieu carcéral« .

D’après Me Saïd Larifou, les autorités sénégalaises « à l’origine des persécutions militaires, policières, judiciaires et administratives contre Ousmane SONKO veulent le pousser à bout au point où ce dernier avait tenté de quitter son lit d’hôpital le 22 octobre 2023 contre l’avis des médecins pour regagner sa cellule à la maison d’arrêt de Dakar« .

Selon lui, l’État du Sénégal est tenu responsable des « conséquences immédiates de ce qui peut arriver à Ousmane Sonko et des graves violations des droits de ce dernier dont le seul tort est d’avoir déclaré son ambition de se présenter aux prochaines élections présidentielles au Sénégal pour offrir à son pays une alternance politique apaisée, démocratique et un projet politique répondant aux aspirations du peuple sénégalais« .

« Le refus abusif et arbitraire de l’administration sénégalaise d’exécuter une décision judiciaire ordonnant la réinscription de Monsieur Ousmane SONKO sur les listes électorales est l’illustration de la volonté des autorités politiques sénégalaises d’empêcher et faire obstacle à la candidature de notre client en utilisant en toute illégalité les moyens de l’État« , ajoute Me Larifou.

Disque d’or: Bonne nouvelle pour Wally Seck, «I Wanna be free» occupe 3e meilleure vente sur FNAC

Wally Seck doit certainement se frotter les mains après la sortie de son album « I Wanna Be Free ».

Selon les informations de Kawtef, le Faramareen vend bien son opus international. D’après les derniers chiffres, « I Wanna Be Free » est la troisième meilleure vente sur la Fédération nationale d’achat des cadres (Fnac).

Encore, Wally Seck vient derrière les Rolling Stones qui ont récemment fait leur come-back après 18 ans d’absence. L’artiste occupe la 3e position juste derrière ce mythique groupe de rock anglais.

Khalifa Sall attaque Sonko.  » Qu’il puisse mettre en péril sa vie, c’est dommageable »

Khalifa Sall
Khalifa Sall

De passage à Kaolack, Khalifa Sall qui répondait aux questions de la presse locale, a donné son avis sur l’état de santé de Ousmane Sonko.  » C’est dommage qu’on en arrive là…Qu’il puisse mettre en péril sa santé, qu’il puisse mettre en péril sa vie pour porter le combat démocratique, c’est dommageable… », a-t-il fait savoir. 

Avant de faire cet appel  » Nous appelons les uns et les autres à revenir à la raison parce que l’irréparable ne devrait pas se produire.. »

Sur la Route du Disque d’Or : Le Parcours Extraordinaire de Wally Seck, le Chanteur Sénégalais

Parcours Extraordinaire de Wally Seck
Parcours Extraordinaire de Wally Seck

Dans l’effervescente scène musicale sénégalaise, un nom brille de plus en plus fort : Wally Seck. Ce jeune chanteur talentueux a conquis le cœur de nombreux fans avec sa voix envoûtante et ses mélodies entraînantes. Alors qu’il continue son ascension dans l’industrie musicale, il est sur la voie rapide vers l’illustre statut du disque d’or.

Les Débuts Passionnants de Wally Seck

Né à Dakar, Wally Seck a montré un intérêt précoce pour la musique. Il a grandi dans un environnement où la musique était omniprésente, ce qui a nourri sa passion et l’a poussé à poursuivre une carrière dans ce domaine. Dès son plus jeune âge, il a étudié la musique, perfectionnant ses compétences et développant son style unique.

L’Évolution Artistique de Wally Seck

Au fil des années, Wally Seck a évolué en tant qu’artiste, explorant divers genres musicaux et collaborant avec des musiciens renommés. Sa capacité à fusionner des éléments traditionnels sénégalais avec des sonorités modernes a captivé un large public, créant ainsi une base de fans dévouée.

Les Hits Qui Ont Marqué sa Carrière

Parmi les nombreux succès de Wally Seck, certains titres se démarquent particulièrement.

La carrière musicale de Wally Seck est marquée par plusieurs hits qui ont conquis le cœur de ses fans. Voici quelques-uns de ses titres les plus populaires qui ont contribué à son succès :

  1. « Xaliss » – Cette chanson a rapidement gagné en popularité grâce à ses paroles poignantes et à l’interprétation émotionnelle de Wally Seck. Elle a touché de nombreux auditeurs et est devenue l’un de ses premiers grands succès.
  2. « Mirna » – « Mirna » est un autre hit de Wally Seck qui a captivé les fans avec sa mélodie entraînante et ses paroles romantiques. La chanson a été largement diffusée à la radio et est devenue un incontournable dans les playlists musicales.
  3. « Lan la » – Cette chanson a attiré l’attention par son rythme entraînant et son message positif. « Lan la » est devenu un hymne festif et a été très apprécié lors de ses performances live.
  4. « Sant Yallah » – Avec des sonorités africaines authentiques, « Sant Yallah » a séduit les amateurs de musique traditionnelle sénégalaise. La chanson a été saluée pour sa fusion réussie de styles musicaux et a renforcé la réputation de Wally Seck en tant qu’artiste polyvalent.
  5. « Dérangé » – Ce titre a propulsé Wally Seck sur la scène musicale internationale. « Dérangé » est devenu un phénomène viral, accumulant des millions de vues sur les plateformes de streaming et de partage de vidéos. La chanson a été acclamée pour son énergie contagieuse et son refrain accrocheur.
  6. « Love Day » – En collaboration avec le célèbre rappeur Akon, « Love Day » a été un hit mondial. Cette chanson a fusionné les talents de deux artistes exceptionnels et a été saluée pour son ambiance positive et son message d’amour universel.

Ces hits ne représentent qu’une fraction du talent de Wally Seck

propulsant Wally Seck sous les feux de la rampe. Son lyrisme poignant et sa capacité à raconter des histoires à travers sa musique ont conquis le cœur de millions d’auditeurs.

La Quête du Disque d’Or

Alors que Wally Seck continue de sortir de nouveaux morceaux et de se produire sur scène, l’objectif du disque d’or est devenu une quête obsessionnelle. Cet honneur prestigieux est attribué aux artistes dont les ventes d’albums atteignent des sommets remarquables, et Wally Seck est déterminé à y parvenir. Avec sa détermination inébranlable et le soutien indéfectible de ses fans, il se rapproche de plus en plus de cette réalisation symbolique.Wally vient derrière les Rolling Stones qui ont récemment fait leur comeback après 18 ans d’absence. Wally occupe la 3e position juste derrière ce mythique groupe de rock anglais

Conclusion : Un Avenir Radieux dans l’Industrie Musicale

Alors que Wally Seck poursuit son parcours musical vers le disque d’or, il continue d’inspirer de nombreux artistes émergents et de charmer son public avec sa musique exceptionnelle. Son dévouement à son art et sa persévérance sont les clés de son succès, et il est indéniable que son avenir dans l’industrie musicale s’annonce radieux.

La redaction de Sanslimitesn

Présidentielle 2024 : Le représentant de BBY lâche une bombe « Il n’y aura pas plus de 8 candidats »

Macoumba Diouf
Macoumba Diouf

Les candidats qui vont se présenter pour la présidentielle de février 2024 ne vont pas dépasser huit. C’est une bombe lâchée par le coordonnateur national des parrainages de la coalition Benno Bokk Yaakaar. Abdoulaye Diagne à l’occasion de la réception des fiches de parrainages collectées par le maire de Latmingué, Macoumba Diouf a fait savoir aux centaines de candidats à la candidature déclarés qu’ils seront plus nombreux à être recalés par le filtre du parrainage.

« Je vous assure qu’il n’y aura pas plus de huit candidats. On parle de parrainage de qualité et nous dépasserons l’objectif fixé après 15 jours sur le terrain, nous avons dépassé les 65%  car nous travaillons sur le fichier électoral … » déballe le parlementaire de l’Apr membre de la coalition Benno Bokk Yaakaar.

Me Doudou Ndoye : « La DGE ne peut pas remettre les fiches à Sonko, si… »

Me Doudou Ndoye
Me Doudou Ndoye

Le célèbre avocat Me Doudou Ndoye s’est prononcé sur le refus de la Direction générale des Élections (DGE) de remettre les fiches de parrainage au mandataire de l’opposant politique Ousmane Sonko, candidat à la candidature à l’élection présidentielle de février 2024. Et c’est pour expliquer que « la décision [du juge Sébassy Faye] est exécutoire, parce qu’étant rendue en dernier ressort par le tribunal d’instance », précisant, dans la foulée, que dans ce cas précis, « le recours en cassation n’est pas suspensif ».

Étayant ses propos dans un entretien avec « Dakarmatin », l’ancien ministre de la Justice sous Abdou Diouf,  âgé de 80 ans, a évoqué les dispositions de l’article 36 et 74.2 de la loi organique sur la Cour suprême. Toutefois, il a fait comprendre que deux cas de figure se présentent : la radiation des listes électorales et les fiches de parrainage. 

D’abord, il a précisé que « si le nom d’Ousmane Sonko ne figure pas sur le fichier, la DGE ne pourra pas lui remettre les fiches parce qu’un citoyen non-électeur ne peut pas être éligible ». Il ajoute : « Ce qui est important, c’est que celui qui veut être candidat soit sur les listes électorales. Puisque Ousmane Sonko a été radié des listes électorales, il va falloir d’abord vérifier s’il a été réintégré sur lesdites listes. Si Sonko ne l’est pas, si j’étais à la place de la DGE, je ne pourrais pas lui remettre les fiches de parrainage. Donc, Ousmane Sonko doit d’abord réintégrer les listes électorales pour pouvoir demander des fiches de parrainage ».

La deuxième étape, dit-il, « puisque le juge a maintenant annulé la radiation, Ousmane Sonko peut redevenir électeur ». 

À ce titre, le juriste pense que le combat de la défense, c’est d’abord de tout faire pour que le maire de Ziguinchor soit réintégré dans le fichier. Là aussi, le praticien du droit a tenu à rappeler que « ce n’est pas au juge de notifier sa décision à l’Administration, cela revient plutôt à la partie qui s’estime rétablie dans ses droits ». 

Quoi qu’il en soit, explique Me Doudou Ndoye, « Ousmane Sonko ne peut pas être radié des listes électorales parce qu’il n’est pas jugé ». Car, selon lui, « lorsqu’il est arrêté pour quelque motif que ce soit, le jugement est anéanti et il n’est plus en état de contumace ».

Immigration irrégulière : « Sur près de 20 000 migrants arrivés aux Canaries, 90% sont Sénégalais »

Selon les médias espagnols repris par Vox populi, plus de 23 537 migrants ont débarqué en Espagne entre le 1er janvier et le 15 octobre 2023, soit près de 80% de plus que sur la même période l’année dernière.

La source révèle l’arrivée record de 8 561 migrants pendant les deux premières semaines du mois courant. Des migrants majoritairement sénégalais. En effet, estime le journal, sur les quelques 20 000 personnes arrivées dans l’archipel depuis le début de l’année 2023, 90% sont de nationalité sénégalaise.

Mais, la plupart devrait être renvoyé dans leur pays d’origine qu’ils avaient quitté pour fuir les effets de la crise Covid-19 et ceux de la guerre en Ukraine. D’après la source, ce rapatriement « rapide » a été rendu possible par un accord signé entre Madrid et Dakar, autorisant le retour au Sénégal de tous les migrants arrivés illégalement sur le territoire espagnol.

La mesure concerne les migrants qui sont dans une situation précaire (personnes vulnérables, enfants, personnes âgées, malades), et les personnes dont la situation ne justifie pas l’asile, rapporte Vox populi.

Cng : Ama Baldé convoqué devant le Conseil de discipline

Le lutteur de l’écurie Falaye Baldé de Pikine, Ama Baldé, est convoqué devant le Conseil de discipline du Comité national de gestion (Cng) de lutte. D’après L’Observateur, qui donne l’information, sa convocation fait suite à son absence lors du face-à-face samedi pour la promotion du combat royal devant l’opposer le 5 novembre prochain à l’actuel roi des arènes Modou Lô.

D’autant plus qu’Ama Baldé n’a pas justifié son absence, souffle le journal. Celui-ci, citant le vice-président du Cng, Meïssa Ndiaye, rapporte que « le bureau du Cng s’est réuni hier après-midi, (ndlr : lundi 23 octobre), et cette question a été évoquée au cours de la rencontre », à l’issue de laquelle « mission a été donnée à la commission règlement et discipline » de « convoquer le lutteur et le promoteur pour audition dans les plus brefs délais. »

Ama Baldé risque gros, souligne L’Obs, indiquant que le Cng a prévu deux types de sanctions : administratives et financières. La première concerne une suspension allant de six mois à cinq ans ferme. Pour la seconde, Ama Baldé pourrait subir une ponction de 50% de son reliquat pour avoir raté ce face-à-face.

Un autre face-à-face est prévu le 27 octobre 2023.