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Bras de fer État-presse privée : Reporters Sans Frontière joue au Sapeur-pompier et propose des réformes structurelles

« Les mois passent et les tensions entre les acteurs des médias privés et les nouvelles autorités ne s’apaisent pas », tel est le constat fait par Reporters sans frontières (RSF).

 

Dans un article publié sur son site, cette organisation qui regroupe des reporters du monde entier joue au sapeur-pompier pour une solution concertée et rapide à la crise qui mine la presse Sénégalaise. « Face au nouveau bras de fer engagé entre les médias privés et les nouvelles autorités sénégalaises, RSF réitère ses recommandations en faveur du dialogue et pour des réformes structurelles pour le droit à l’information et la soutenabilité du journalisme et des médias » lit-on dans l’article publié ce lundi 12 août 2024, veille de la journée sans presse décrétée par le Conseil des diffuseurs et éditeurs de la presse du Sénégal (CDEPS).

 

Auteur de l’article, le directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF « appelle les autorités sénégalaises à veiller à ce que cette crise ne prive pas les Sénégalais d’une presse bouillonnante. Les médias sont les canaux de transmission du droit à l’information et les autorités en sont des garants. A ce stade, il est important que l’Etat et les acteurs des médias se concertent pour trouver des solutions bénéfiques pour le secteur et pour la démocratie » lance Sadibou Marong qui invite en ce sens les nouvelles autorités à sauver la presse de cette crise.

Éducation à Touba – La cité partie pour étrenner dans 10 ans un complexe éducatif de grande envergure de plus de 03 milliards

C’est Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre qui est venu personnellement, sous le Ndigël de Serigne Mountakha Mbacké, procéder à la pose de la première pierre. Il s’agira d’un complexe éducatif baptisé « Khidmatul Khadim « d’une valeur de plus de 3 milliards 300 millions et qui formera de futurs bacheliers.
Serigne Mame Bara Mbacké Ibn Serigne Moustapha Abdou Aziz qui en est le promoteur, compte venir en appoint à l’initiative du Khalife qui a érigé une université dans la ville sainte. Plusieurs chefs religieux ont effectué le déplacement et ont admiré les récitals de Coran offert par des enfants, pour la plupart, âgés de moins de 13 ans.

Dissolution AN et Législatives: la société civile prône un système de parrainage simplifié

Le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) mise sur un système de parrainage numérique pour corriger un éventuel vide juridique si la probabilité de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser des élections législatives anticipées venait à se concrétiser.

Le collectif qui rassemble les organisations de la sociétés civile qui se prononçait, ce 12 août, sur la dissolution de l’assemblée nationale a soulevé des carences sur le système de parrainage en cas d’une organisation anticipée des élections législatives. Le COSCE a préconisé à tendre vers la simplification du système de collecte et de contrôle des parrainages par la digitalisation de la procédure pour réduire le délai de dépôt des candidatures. La société civile a aussi plaidé pour des modifications du code électoral et invite les acteurs au dialog

Hôpital de la Paix de Ziguinchor : l’intersyndicale des travailleurs bande ses muscles pour 48h

L’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital de la Paix composée du SAMES, du SUTSAS et du SYNTRAS, compte aller en grève, ce mardi 13 août avec respect des services d’urgence. Ces derniers fustigent bon nombre de problèmes qui plombent la structure sanitaire. Malgré la signature d’un protocole d’accord le 16 octobre 2023 entre la direction de l’hôpital et les partenaires sociaux, en présence de l’inspecteur régional du travail, les engagements pris n’ont pas été respectés.

Ces syndicalistes reclament « l’augmentation de la subvention d’exploitation ainsi que l’octroi d’une subvention spéciale; l’amélioration des conditions de travail, notamment par la résolution des problèmes d’étanchéité du bâtiment, de voirie, la régularisation et le versement régulier des cotisations sociales (IPRESS, CSS) ; le paiement sans délai de l’intégralité de la dette due aux travailleurs depuis 2017; le paiement régulier et en un seul versement de toutes les indemnités dues aux travailleurs avant le 5 de chaque mois; le versement régulier de la prime de motivation hospitalière avant le 10 de chaque mois; le rappel sans délai du reliquat de l’augmentation de la prime de transport depuis juillet 2023; la régularisation des CDI validés en conseil d’administration, ainsi que la régularisation des différents contrats de travail; le respect du plan de carrière des contractuels de l’hôpital; le renforcement des équipements médicaux et de bureaux dans tous les services; la réparation de l’appareil de radiographie numérique télécommandé (en panne depuis 2 ans); la réalisation de toutes les explorations biologiques au laboratoire de l’hôpital; la réparation de l’autoclave du bloc opératoire (en panne depuis plus de 2 ans); la mise en place d’une stérilisation centrale et d’une buanderie aux normes », liste Dr Marc Manga, le SG du SAMES à l’hôpital de la Paix de Ziguinchor.

 

Ainsi, l’intersyndicale décide de mettre en œuvre son plan d’action et décrète 48 heures de grève les mardi 13 et mercredi 14 août 2024, tout en assurant le respect des urgences.

L’ex Dg de l’Onas, Cheikh Dieng, reporte sa conférence de presse

L’ex DG de ONAS, Dr. Cheikh Dieng avait prévu de faire face à la presse demain mardi 13 Août à partir de 16 heures pour se prononcer de son limogeage.

Mais cette conférence de presse vient d’être reportée. En effet, la « Journée sans presse » annoncée demain par les patrons de presse serait le motif de ce report ».

Kaolack/Journée sans presse: « Il faut éviter que ça déborde et que rapidement les acteurs se retrouvent autour d’une table » (Amadou Bâ)

L’ancien PM sous Macky et candidat malheureux à la présidentielle 2024 était à Kaolack pour effectuer une visite de courtoisie à Médina Baye et à Léona Niassene et solliciter des prières auprès des guides religieux. En marge de cette visite, Amadou Bâ a été interpellé sur la situation que vivent les entreprises de presse avec l’avènement du nouveau régime Diomaye-Sonko. Laquelle situation a poussé les entreprises de presse à décréter une journée nationale sans presse. D’après Amadou Bâ, « il est de la responsabilité des entreprises de s’acquitter de leurs responsabilités fiscales. Il est de la responsabilité de l’état de préserver ses outils. Je souhaite que ce dossier reste un dossier technique et que l’administration fiscale puisse échanger avec les entreprises de presse et trouver une solution ». De son avis, « la presse est essentielle et sont existence est consubstantielles à une démocratie ». Il ajoute : »Je pense qu’il faut juste équilibrer. Aux entreprises de presse de s’acquitter de leurs obligations et à l’administration de trouver les voies et moyens pour aider ces entreprises à pouvoir survivre et travailler. Il faut éviter que ça déborde et que rapidement les acteurs se retrouvent autour d’une table ».

Visite d’amitié et de travail : Le Premier ministre Ousmane Sonko acceillit par le pm Soguel Maiga à Bamako…

Ousmane Sonko acceillit par le pm Soguel Maig
Ousmane Sonko acceillit par le pm Soguel Maig

Ousmane Sonko est arrivé à Bamako. Il a été accueilli à l’aéroport international Président Modibo Keita Senou par son homologue Dr Choguel Kokalla Maiga.

Le Premier ministre Ousmane Sonko, au cours de son séjour, va s’entretenir avec le chef de l’Etat malien, le colonel Assimi GOÏTA.  

Baccalauréat 2024 : Voici les chiffres clés

Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Sénégal a fait, ce lundi 12 août, le point sur les résultats du baccalauréat 2024. Avec  un taux de réussite de 50,50 %, « le nombre de bacheliers n’a jamais été aussi important en valeur absolue (78 246) ». Ceci, même si le ministère a souligné une « tendance légèrement baissière sur les trois dernières années ». 
 
La meilleure moyenne du baccalauréat 2024, toutes séries confondues, est de 17,85/20. Elle vient du lycée d’excellence de Diourbel. Le lycée Seydina Limamou Laye de Guédiawaye a obtenu le plus grand nombre de bacheliers en 2024. Les établissements publics affichent un taux de réussite à 60,52 %, suivis des établissements privés qui ont obtenu un taux de réussite de 45,22 %.
 
En 2024, la région de Matam a produit les meilleurs résultats, avec 59,08 % de réussite, suivie des régions de Dakar  et de Diourbel, avec respectivement 57,33 % et 53,39 %.  
 
Selon le MESRI, le nombre de bacheliers reste faible au Sénégal, avec seulement 1 587 étudiants pour 100 000 habitants. Le Sénégal n’a pas encore atteint la norme internationale  de l’UNESCO qui suggère 2 000 étudiants pour 100 000 habitants. 

Après Kigali, le PM Ousmane Sonko atterrit à Bamako

Poignée de main chaleureuse, échanges empreints de cordialité. C’est sous cette note très amicale que le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a été accueilli par son homologue malien Choguel Kokala Maïga.
 
 
Le chef du gouvernement sénégalais vient d’atterrir à l’aéroport international président Modibo Keïta de Bamako.
 
 
 
Le Premier ministre Sonko, qui a séjourné ces derniers jours à Kigali où il représentait le président de la République Bassirou Diomaye Faye, s’est ainsi rendu dans la capitale malienne, dans le cadre d’une visite d’amitié et de travail.

Magal de Touba : Les plateaux de télévision interdits dans la mosquée (Cheikh Bass)

Les chaînes de télévision n’ont plus le droit d’installer leurs plateaux dans l’enceinte de la grande mosquée de Touba. L’information est du porte-parole du khalife général des mourides. Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr invite le Dahira moukhadimatoul khidma à veiller au respect strict de cette interdiction.

 
« Nous avons constaté récemment que des plateaux de télévision ont été installés dans la grande mosquée de Touba.  Nous devons respecter la sacralité de ce lieu de culte », déclare le porte-parole de Serigne Mountakha Mbacké.

Kigali : Le Premier ministre Ousmane Sonko ovationné lors de la prestation de serment de Paul Kagamé (Vidéo)

Premier ministre Ousmane Sonko
Premier ministre Ousmane Sonko

Le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a été chaleureusement ovationné lors de sa présence à la cérémonie de prestation de serment du président rwandais, Paul Kagamé, à Kigali.

En tant qu’invité de marque, Ousmane Sonko a assisté à cet événement important, marquant ainsi le renforcement des relations entre le Sénégal et le Rwanda.

Mamadou Ibra Kane: « Des lobbies financent les groupes de presse et les médias, et parfois même des journalistes »

Mamadou Ibra Kane
Mamadou Ibra Kane

La presse est envahie par des lobbies. Une révélation de Mamadou Ibra Kane qui était l’invité de l’émision Jury du Dimanche. Le président du Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS) a, en effet, expliqué qu’il y a des lobbies dans le domaine politique qu’on connaît le plus, mais également le lobby économique, le lobby religieux. « Ces lobbies-là, aujourd’hui, malgré la crise qui sévit dans le secteur de la presse, ce sont eux qui financent les groupes de presse et les médias, et parfois même des journalistes », a-t-il laissé entendre.

Il ajoute que ces lobbies ne défendent pas l’intérêt général, parce que le rôle de la presse, c’est de défendre l’intérêt général, c’est de défendre les citoyens, de rendre l’information accessible à tous les Sénégalais, et de la manière la plus équilibrée qui soit, de la manière la plus indépendante.

A la question de savoir ce qui a rendu cette presse accessible à ces lobbies, le boss de Stades et Sunu Lamb fait savoir que c’est la crise économique. « Nous sommes tous des journalistes, nous avons besoin de vivre de notre métier et aujourd’hui beaucoup d’entreprises de presse n’ont plus les moyens, beaucoup d’entreprises de presse, entre guillemets, indépendantes, n’ont plus les moyens de recruter et de payer des journalistes de qualité. Aujourd’hui, les groupes de presse qui survivent, ce sont des groupes de presse dont l’objectif n’est pas la rentabilité économique, dont l’objectif c’est la défense d’intérêts particuliers, des intérêts de partis, des intérêts d’hommes politiques, des intérêts de confrérie, des intérêts d’hommes d’affaires. Aujourd’hui, c’est ça la majorité de la presse sénégalaise parce que la presse sénégalaise a, au fil des années, connu une crise économique. Et ça, c’est un drame et c’est une menace pour la démocratie ».

Selon Mamadou Ibra Kane, la liberté d’expression, la liberté de presse ne sont pas bafouée seulement par un régime, mais aussi par les forces occultes qui rentrent dans le secteur de la presse pour contrôler la conscience des citoyens.

Voici le salaire du Premier ministre Ousmane Sonko

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Un article de L’Observateur publié le 31 juillet dernier a dévoilé les salaires des principales figures occupant des postes publics au Sénégal, attirant particulièrement l’attention sur les émoluments du Premier ministre. Cette enquête fait suite à la divulgation du salaire du président de la République, Diomaye Faye, qui s’élève à 4,8 millions de francs CFA par mois, selon sa déclaration de patrimoine publiée le 29 juillet.

Ce montant reflète, selon L’Observateur, les salaires mensuels approximatifs des autres hauts dirigeants des institutions sénégalaises, notamment ceux de l’Assemblée nationale, du Haut conseil des collectivités territoriales et du Conseil économique, social et environnemental. En plus de ces salaires, ces responsables bénéficient de fonds sociaux mensuels variant entre 10 et 15 millions de francs CFA, déterminés par le président de la République, ainsi que d’autres avantages supplémentaires.

Concernant le Premier ministre, L’Observateur précise qu’il perçoit un salaire mensuel d’un peu plus de 4 millions de francs CFA. Bien qu’il ne bénéficie pas de fonds politiques, il peut, selon le journal, avoir accès à une « ligne de crédit » discrétionnaire fournie par le président de la République.

Le quotidien détaille également les salaires des ministres, qui ont été augmentés en 2012, passant de 2,5-2,8 millions à 3,8 millions de francs CFA suite à la suppression des logements conventionnés. Les ministres d’État, quant à eux, touchent 4 millions de francs CFA par mois. Certains ministres, comme ceux de l’Hydraulique et des Finances, perçoivent des rémunérations supplémentaires grâce à des indemnités liées à leurs fonctions spécifiques. Par exemple, le ministre des Finances peut voir son salaire atteindre 20 à 25 millions de francs CFA par mois, en raison de ses multiples fonctions d’administrateur dans divers établissements financiers.

Les députés du Sénégal, pour leur part, touchent des salaires allant de 1,3 million de francs CFA pour un simple député à 2 millions pour les membres du bureau. À cela s’ajoute une indemnité de 900 000 francs CFA pour compenser l’absence de véhicule de fonction, ainsi qu’une dotation en carburant.

Du côté des élus locaux, bien que leurs rémunérations aient été augmentées par le président Macky Sall, elles restent inférieures à celles des autres personnalités publiques. Les maires perçoivent désormais 800 000 francs CFA par mois, leurs adjoints 100 000 francs CFA, tandis que les édiles des chefs-lieux de département et des villes touchent respectivement 1 million et 1,5 million de francs CFA.

Enfin, L’Observateur rapporte que les salaires des directeurs généraux et des administrateurs des agences et entreprises publiques varient selon plusieurs critères, tels que le budget, le positionnement stratégique et l’effectif. Ces salaires se situent entre 2 et 5 millions de francs CFA, incluant les indemnités de fonction et de logement.

Vide juridique après une probable dissolution de l’Assemblée nationale : les préoccupations de la société civile »

société civile
société civile

Les organisations de la société civile expriment leur vive préoccupation face au vide juridique concernant les élections législatives anticipées, notamment sur le code électoral qui ne prévoit pas le parrainage des élus. Selon elles, il existe un « décalage entre les dispositions du code électoral et celles prévues par la Constitution par rapport à cette situation. »

Considérant que l’article 87 de la Constitution dispose qu’en cas de dissolution, le scrutin a lieu soixante (60) jours au moins et quatre-vingt-dix (90) jours au plus tard après la date de publication du décret de dissolution ;

Considérant que les entités politiques et indépendantes qui se portent candidates sont astreintes au dépôt de listes de parrainages représentant au moins 0,5 % des électeurs, conformément à l’article L.149 du code électoral ;

Considérant qu’en prévoyant la fixation du modèle de fiche de collecte des parrainages au plus tard 150 jours avant la date du scrutin, il est évident que le code électoral n’a pas prévu la gestion des parrainages en cas de dissolution de l’Assemblée nationale ;

Considérant que les candidatures sont déposées à partir de 85 jours avant la date du scrutin, afin de permettre le contrôle et la régulation des parrainages ;

Constatant qu’il apparaît manifestement qu’en l’état des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, les listes de candidats ne pourront pas remplir convenablement les formalités du parrainage dans les délais prévus ;

Face à ce vide juridique, la société civile conseille aux autorités de travailler à un consensus afin de corriger les lacunes constatées dans le code électoral.

En ce sens, elles ont préconisé de réduire le nombre de parrainages requis, de simplifier le système de collecte et de contrôle des parrainages, de présenter le quitus attestant du dépôt de la caution lors du retrait des documents relatifs à la collecte des parrainages, de réduire le délai de dépôt des candidatures, et d’élargir la commission de contrôle et de validation des parrainages aux personnalités indépendantes…

Menacé par une plainte de Sonko, Madiambal Diagne affirme qu’il continuera à s’exprimeR «LIBREMENT»

Sonko, Madiambal Diagne
Sonko, Madiambal Diagne

Madiambal Diagne, directeur de la société Avenir Communication qui édite le journal Le Quotidien, a réaffirmé sa détermination à répondre aux menaces judiciaires formulées par les avocats du Premier ministre Ousmane Sonko. Dans un message publié ce lundi 12 août 2024 sur le réseau social X, le journaliste a exprimé sa gratitude envers ceux qui lui ont témoigné soutien et encouragements dans cette situation. Il a assuré qu’il affrontera cette plainte en restant fidèle à ses principes, notamment sa liberté d’expression. Madiambal a souligné qu’il continuera à s’exprimer « librement sur toutes questions avec le respect, la courtoisie et la rigueur » qui ont toujours guidé sa carrière.

Ce tweet constitue la deuxième réaction publique de Madiambal Diagne depuis que les avocats d’Ousmane Sonko ont annoncé leur intention de porter plainte contre lui. Dès samedi 10 août 2024, à l’annonce de cette démarche judiciaire par Me Bamba Cissé, l’un des avocats du Premier ministre, Madiambal Diagne avait immédiatement réagi sur X, qualifiant ces accusations de « dénonciation calomnieuse ». Il avait également rappelé les propos de Sonko lors d’une journée de nettoyage symbolique (Set Setal), où ce dernier avait évoqué son désir de réformer la justice en remplaçant les « mauvais magistrats » par des « bons ».

Me Bamba Cissé, avocat de Sonko, avait déclaré samedi que son client faisait l’objet de « systématiques agressions, injustifiées, parfois insultantes et même séditieuses ». Ces attaques, selon l’avocat, allaient au-delà de la critique légitime du pouvoir et constituaient des infractions graves selon le code pénal sénégalais. En conséquence, une plainte visant Madiambal Diagne sera déposée ce lundi 12 août au Parquet de Dakar. L’avocat a précisé que bien que Sonko reste indifférent à ces attaques, son équipe juridique n’acceptera plus aucune diffamation sans réponse judiciaire appropriée.

Kédougou: Un bus Dakar Dem Dikk a pris feu à Afia Magasin

Dakar Dem Dikk a pris feu
Dakar Dem Dikk a pris feu
Un accident s’est produit, ce lundi vers 7h du matin sur la route de Kédougou. Le seul bus Dakar Dem Dikk qui assure la liaison Salemata-Kédougou a eu une défaillance technique en cours de route alors que les passagers étaient à bord. En pleine brousse, le bus a pris feu à hauteur de Afia Magasin, nous dit-on. Selon un témoin qui a partagé une vidéo du bus en feu, tous les passagers ont réussi à sortir indemne, toutefois les bagages n’ont pas été sauvés.

Pôle financier judicaire : « Un pas important contre la délinquance en col blanc » (Aminata Touré)

Aminata Touré
Aminata Touré
Le superviseur général de la coalition Diomaye Président s’est réjoui de la mise en place du pôle financier judiciaire qui est désormais dirigé par El Hadj Alioune Sylla depuis les changements intervenus vendredi dernier lors de la réunion du Conseil supérieur de la magistrature. « Je salue l’effectivité du pôle financier avec la nomination des procureurs qui auront pour mission d’instruire les dossiers relatifs à la mauvaise gestion de nos deniers publics. C’est un pas important dans la lutte contre la grande délinquance à col blanc », a reconnu la présidente de MIMI 2024 dans un post sur sa page Facebook.

Pikine Icotaf : A cause d’une banale histoire de crachat, Ch. Sarr tue Oustaz Cissokho

Pikine Icotaf
Pikine Icotaf
Encore une banale dispute qui vire au drame au quartier Pikine Icotaf.

Les faits se sont passés le mercredi 7 août dernier, vers 12h, quand Oustaz Cissokho finit son travail de boucher à la Seras et rentre chez lui… Il tire rageusement sur sa clope, rejette à tout va la fumée de la bouche et se met à crachoter.

 

Son voisin Ch. Sarr lui reproche de lui avoir crachoté. Cissokho s’étonne des réprimandes du jeune homme et balaie d’un revers de main. Sarr revient à la charge et débite des grossièretés. Une vive prise de bec éclate. Les deux garçons se livrent à des piques acerbes, lit-on dans les colonnes du journal « Les Echos » de ce lundi 12 juillet 2024 qui explique qu’ils ont des rapports heurtés qui remontent au mois de Ramadan dernier.

Des habitants du quartier s’interposent entre les deux protagonistes. Le journal raconte que Sarr file droit chez lui, s’empare d’une pompe à gaz asphyxiant et d’un couteau et retourne sur les lieux. L’insulte à la bouche, il pulvérise la pompe asphyxiante et jure de sévir dans le sang. Cissokho reste inflexible dans son coin et continue à siroter son café. Sarr l’abreuve à nouveau d’insultes et fonce à pas décidés sur lui. Une violente rixe survient.

Sarr se défait de l’étreinte de son voisin et tombe sur un gros bâton. Il le ramasse et assène un violent coup sur la tête de son antagoniste. Celui-ci accuse le coup et reste groggy debout tout de même. Il s’effondre brusquement au sol, perd connaissance.

Des passants assistent à la scène d’horreur et tentent de voler au secours du blessé. Ils embarquent celui-ci à bord d’un véhicule et l’évacuent d’urgence dans un centre hospitalier.

Pris de peur, Sarr se débarrasse de l’arme blanche, profite de la mêlée et disparaît dans la nature. Informés, des agents du commissariat d’arrondissement de Pikine se rendent sur les lieux et procèdent aux traditionnelles constatations des faits. Tandis que leurs collègues de la brigade de recherche se renseignent sur les filiations du mis en cause fugitif et engagent une vaste opération de recherche.

Deux jours après son admission au service des urgences de l’hôpital de Grand-Yoff ex Cto, le boucher nommé M. Cissokho, alias Oustaz, succombe à ses graves blessures.

Dahra Djoloff : Une moto Jakarta en collision avec un véhicule fait un mort et un blessé grave

Une moto Jakarta en collision avec un véhicule
Une moto Jakarta en collision avec un véhicule

La route a encore fait une victime. En effet, un accident a eu lieu à Dahra Djoloff samedi soir vers les coups de 00 heure. Il s’agit d’une moto Jakarta et un véhicule de type 7 places) qui  sont entrés en collision  à hauteur du virage mortel  non loin de l’intersection Dahra-Touba et Dahra-Louga . Gravement touchés, le conducteur de la moto et son passager sont  acheminés  à l’hôpital de la place  où malheureusement tard dans la nuit l’un d’eux du nom de Mamadou Mime âgé d’une vingtaine d’années a finalement succombé à ses blessures , l’autre garçon gravement blessé  Matar Kandji ( 20 ans) est acheminé à Louga .

Selon des témoignages, la moto Jakarta roulait  à vive allure alors qu’elle venait du Magal de Mbacké Barry, célébré  le samedi .

Suite à cet accident  mortel, les populations réclament des ralentisseurs et de l’éclairage sur  ce virage mortel pour éviter ces cas de dégâts.

Le procureur envoie des enquêteurs chez la mère de Marième Faye Sall (Madiambal Diagne)

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne
À la Une de son journal de ce lundi, “Le quotidien” a donné l’information selon laquelle la mère de l’ex première dame Marieme Faye Sall a été convoquée. « La mère de Marième Faye Sall convoquée à la gendarmerie, elle sera entendue avec son fils Adama Faye sur des problèmes de terre” a écrit le journal du groupe Avenir Communication.
 
Sur sa page X, Madiambal Diagne a indiqué que « cette Une du journal Le Quotidien, par l’émoi suscité, a sans doute permis de sauver la situation et de mettre une dose d’humanisme dans cette affaire »
Non sans ajouter que « le Procureur vient d’ordonner aux enquêteurs de se déplacer au domicile de la vieille qui souffre de mobilité réduite et qui de surcroît ne sera entendue qu’à titre de témoin ».

Baccalauréat 2024 : Voici les chiffres clés

Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Sénégal a fait, ce lundi 12 août, le point sur les résultats du baccalauréat 2024. Avec un taux de réussite de 50,50 %, « le nombre de bacheliers n’a jamais été aussi important en valeur absolue (78 246) ». Ceci, même si le ministère a souligné une « tendance légèrement baissière sur les trois dernières années ».

La meilleure moyenne du baccalauréat 2024, toutes séries confondues, est de 17,85/20. Elle vient du lycée d’excellence de Diourbel. Le lycée Seydina Limamou Laye de Guédiawaye a obtenu le plus grand nombre de bacheliers en 2024. Les établissements publics affichent un taux de réussite à 60,52 %, suivis des établissements privés qui ont obtenu un taux de réussite de 45,22 %.

En 2024, la région de Matam a produit les meilleurs résultats, avec 59,08 % de réussite, suivie des régions de Dakar et de Diourbel, avec respectivement 57,33 % et 53,39 %.

Selon le MESRI, le nombre de bacheliers reste faible au Sénégal, avec seulement 1 587 étudiants pour 100 000 habitants. Le Sénégal n’a pas encore atteint la norme internationale de l’UNESCO qui suggère 2 000 étudiants pour 100 000 habitants.

E-media : Ces actionnaires qui ne veulent pas de bataille judiciaire…

Depuis quelques jours, le Groupe E-media Invest fait l’actualité avec cette action judiciaire enclenchée par l’homme d’affaires Abdoulaye Sylla contre Mamoudou Ibra Kane et Alassane Samba Diop. Le patron d’Ecotra a porté plainte contre les dirigeants du groupe pour abus de biens sociaux. Mais il n’est pas suivi dans cette initiative par les autres actionnaires. L’homme d’affaires, Demba Kâ, qui a mis au moins d’après ConfidentielDakar, 1 milliard dans le Groupe, « ne souhaite pas poursuivre ses associés de journalistes dans le bras de fer entamé par Abdoulaye Sylla ». Selon la Revue, le propriétaire de EDK préfère s’en référer à la sagesse. De même, l’autre actionnaire, Tahirou Sarr qui a mis au moins un demi milliard dans le groupe ne veut pas d’une procédure judiciaire avec Mamoudou Ibra Kane et compagnie.

Aminata Touré salue ces nominations de Diomaye Faye : ils auront « pour mission d’instruire les dossiers… »

Le superviseur général de la coalition Diomaye Président s’est réjoui de la mise en place du pôle financier judiciaire qui est désormais dirigé par El Hadj Alioune Sylla depuis les changements intervenus vendredi dernier lors de la réunion du Conseil supérieur de la magistrature. « Je salue l’effectivité du pôle financier avec la nomination des procureurs qui auront pour mission d’instruire les dossiers relatifs à la mauvaise gestion de nos deniers publics. C’est un pas important dans la lutte contre la grande délinquance à col blanc », a reconnu la présidente de MIMI 2024 dans un post sur sa page Facebook.

JOURNÉE SANS PRESSE: « Je pense que les patrons sont plus préoccupés par la sauvegarde de leurs affaires que par l’amélioration des conditions de travail des reporters.» Aissata Ndiathie Fall journaliste à Emedia.

En tant que jeune journaliste, je me sens plus concerné par la précarité des reporters que par les revendications des patrons de presse.

Je pense qu’ils sont plus préoccupés par la sauvegarde de leurs affaires que par l’amélioration des conditions de travail des reporters.Nos employeurs J’espere de tout coeur que vous allez vous relevez, vous reinventer et sortir de cette crise mais après n’oubliez pas que :

Vous n’avez pas le droit de prélever les impôts sur nos revenus sans les reverser au fisc.Vous n’avez pas le droit de nous priver de retraite en négligeant nos cotisations sociales.

Vous n’avez pas le droit de nous faire payer vos erreurs.

Nous aussi avons le droit de prétendre à une vie décente, une retraite paisible, un accès à l’IPM, une maison, une voiture

Courage à ceux d’entre nous qui traversent des difficultés financières depuis plusieurs mois, années et qui malgré tout se tuent à la tâche nuit et jour.

Vivement l’amélioration des conditions de travail et de vie des journalistes, la sauvegarde de notre dignité professionnelle.

Tête à tête entre Sonko et Kagame

Ousmane Sonko était au Rwanda pour représenter le président Bassirou Diomaye Faye pour les besoins de la cérémonie d’investiture présidentielle de Paul Kagame.

Le premier ministre du Sénégal a profité de l’événement pour avoir un tête à tête avec le chef de l’Etat Rwandais. À 66 ans, Paul kagame a prêté serment ce dimanche pour un quatrième mandat devant plusieurs chefs d’État et d’autres dignitaires africains

PASTEF/ L’alerte de Djamil Sané: « Il y’a des difficultés à la base…si les nouveaux dirigeants ne réagissent pas, le réveil sera brutal… »

L’intervention du maire de la commune des Parcelles assainies a constitué un appel fort pour le parti au pouvoir, PASTEF. À la tête de la section du parti aux Parcelles assainies depuis 2015, Djamil Sané s’estime bien placé pour faire le diagnostic de la gestion de l’entité politique dirigée par le premier ministre, Ousmane Sonko. « Je le dis en toute responsabilité. Il faut qu’on dise la vérité en face. Pas pour les beaux yeux de qui que ce soit. Nous avons beaucoup sacrifié. Il y’a beaucoup de personnes qui ont perdu leur travail à cause du parti. Il faut que les nouveaux dirigeants du pays pensent à cela. Il ne faut jamais affaiblir la base. Et je constate malheureusement que c’est ce qui est en train de se produire. Nous avons intérêt à trouver d’autres alternatives pour remédier à cela. Nous nous acheminons vers des élections très importantes. Et on aura du mal a mobiliser si on n’y remédie pas » a alerté l’édile des Parcelles Assainies qui prenait part ce dimanche , à une activité du mouvement national des cadres de Pastef (MONCAP).

 

Selon Djamil Sané, il est nécessaire de donner de la confiance à ces membres du parti qui sont au niveau de la base parce que c’est eux qui sont en contact direct avec les populations. « Je constate qu’il n’y a pas une oreille attentive pour remédier à cette situation. Je tiens à le rappeler devant les responsables pour que tout le monde sache ce qui se passe au niveau de la base. Dans le parti, il y’a des gens qui ont la légitimité. Il faut les aider à asseoir leur base » ajoute le maire qui précise qu’il existe des choses qui se passent et que le parti, à travers les hauts responsables qui ont été porté à la tête de l’État, doivent prendre au sérieux.

Ce que gagne le Premier ministre, les ministres, les maires, les DG…

Dans un article paru le 31 juillet dernier, L’Observateur dévoile les salaires de la plupart des personnalités titulaires de charges publiques. Le prétexte ? La révélation du montant que touche Diomaye Faye en tant que président de la République : 4,8 millions de francs CFA.

Cette somme est inscrite dans sa déclaration de patrimoine publiée lundi 29 juillet. Elle représente «à peu près», selon le journal du Groupe futurs médias (GFM), ce que perçoit mensuellement chacun des dirigeants des autres institutions de la République (Assemblée nationale, Haut conseil des collectivités territoriales, Conseil économique, social et environnemental).

La même source signale que ces derniers «peuvent aussi bénéficier de fonds sociaux, allant de 10 à 15 millions de francs CFA par mois, fixés par le chef de l’exécutif. D’autres avantages peuvent se joindre à l’émolument».

Une «ligne de crédit» pour le PM

S’il ne bénéficie pas de fonds politiques, le Premier ministre, «qui touche mensuellement un peu plus de 4 millions de francs CFA», selon L’Observateur, «peut jouir d’une ligne de crédit alimentée de manière discrétionnaire par le président de la République», souligne le quotidien d’information.

Le journal rapporte que pour les ministres, le salaire est passé de 2,5-2,8 millions à 3,8 millions à partir de 2012 et la suppression des logements conventionnés tandis que les ministres d’État gagnent 4 millions. Il signale que certains membres du gouvernement encaissent bien plus grâce à des indemnités attachées à la particularité de leurs charges.

L’Obs cite, en guise d’exemples, le ministre de l’Hydraulique et son collègue des Finances. Il précise que le premier touche, en plus de son salaire de ministre, une indemnité de 1,5 million comme membre du Conseil des ministres de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS).

Le second pour sa part est mieux servi. Le journal renseigne que le salaire mensuel de l’argentier de l’État peut atteindre 20 à 25 millions, «compte non tenu des fonds communs». Ce niveau de traitement est justifié, selon l’explication de L’Obs : «le ministre des Finances est administrateur dans presque tous les établissements financiers où l’État est actionnaire [ou est partie] : BCEAO, UEMOA, banques, compagnies d’assurance, organismes internationaux…».

Les députés pour leur part émargent pour 1,3 (‘député simple’), 1,7 (présidents de commission) et 2 millions (membres du bureau) net par mois. Et en plus du salaire, chaque parlementaire a droit à une indemnité de 900 000 francs CFA, compensant le retrait du véhicule de fonction, et à des centaines de litres de carburant.

Malgré les efforts de Macky Sall…

Les élus locaux sont moins bien lotis. Pourtant, le Président Macky Sall a doublé et presque triplé, dans certains cas, leurs rémunérations. Les maires gagnent 800 000 francs CFA, soit presque trois fois les 300 000 d’avant. Leurs adjoints sont passés de 50 000 à 100 000. Les édiles des chefs-lieux de département touchent 1 million et ceux des villes sont à 1,5 million.

Les salaires des directeurs généraux, directeurs, présidents et membres des conseils de surveillance des agences sont fixés suivant les quatre catégories de ce groupe, qui sont fonction de trois critères (le budget, le positionnement stratégique et l’effectif), rapporte L’Obs. Niveau 1 (Anacim, Ageroute, Société Sénégal numérique…) : 5 millions. Niveau 2 (Anam, Armp, Anat…) : 4 millions. Niveau 3 (Anida, Agence de l’aquaculture…) : 3 millions. Niveau 4 (Agence nationale pour la relance des activités en Casamance…) : 2 millions.

Pour les entreprises du secteur parapublic et les autres établissements publics, classés en trois catégories, les salaires des directeurs généraux, directeurs et administrateurs, sont de 5 millions (catégorie 1), 4 millions (2) et 3 millions (3), selon la même source.

L’Obs signale que «ces montants incluent le salaire de base, les indemnités de fonction et de logement». Le journal ajoute que «le directeur général ou le directeur [concerné] bénéficie d’une indemnité forfaitaire annuelle pour les frais de représentation, suivant présentation des pièces justificatives», précisant que cette indemnité est plafonnée à 2 millions de francs CFA.

Changements dans la magistrature : « Ils ne sont pas conformes à la rupture promise » (Birahim Seck)

Le coordonnateur national du forum civil, Birahim Seck a commenté les dernières informations sur le chamboulement au sein de la magistrature. Ce vendredi, le président Bassirou Diomaye Faye a assisté à la réunion du conseil supérieur de la magistrature et approuvé les changements qui sont loin de convaincre le membre de la société civile.

 

« Les dernières nominations du CSM ne sont ni fondées sur des critères objectifs connus ni conformes à la rupture promise. A nos yeux, il n’y a encore aucune diffirence avec les régimes précédents concernant le système de nomination des Magistrats » a déclaré Birahim Seck sur le réseau social X.

(Vidéo) Port du voile à l’école: La position ferme de Guy Marius Sagna

Invité de l’émission Point de vue sur la Rts, Guy Marius Sagna a été interpelé sur le débat concernant le port du voile à l’école. Le député semble comprendre la position des écoles privées catholiques qui disent que « nous ne pouvons pas avoir en notre sein des élèves qui disent qu’ils ne peuvent pas porter les habits de l’école, des élèves qui disent qu’ils ne peuvent pas s’asseoir sur le même banc qu’un de leurs camarades du sexe opposé, qu’ils ne veulent pas se mettre dans les rangs avant d’entrer en classe et en ayant des élèves de sexe opposés devant et après eux. Que ce n’est pas leurs projets éducatifs ».

Pour lui, on peut accepter que, dans les écoles privées catholiques, le projet c’est cela et que si on y va, c’est parce qu’on accepte ce projet. « Si on ne veut pas de ce projet, il faut aller dans une autre école. Si je veux que ma fille ou mon garçon dans son école, s’assèye avec des gens d’un autre sexe qu’eux, je vais dans des écoles où c’est cela la règle. Pour moi si c’est cela, il n’y a pas de problème.

Toutefois, Guy Marius Sagna a appelé à « renforcer, développer, augmenter les moyens au niveau de l’école publique, l’école du peuple, l’école de l’État. Parce que, en réalité, s’il y a beaucoup d’écoles privées, confessionnelles ou pas, c’est parce que l’école publique a failli, c’est parce que l’école publique recule, c’est parce que l’école publique ne prend pas en charge les préoccupations de beaucoup de parents d’élèves ».

Le député membre de la mouvance présidentielle est convaincu que le « gouvernement du président Bassirou Diomaye Faye va renforcer cette école publique afin que le maximum des parents amènent leurs enfants dans cette école publique là.

Affaire Foncière : La Belle-Mère de Macky Sall Bientôt Convoquée par la Gendarmerie

La mère de l’ex-Première dame, Marième Faye Sall, Oumou Diallo, est convoquée à la Section de recherches de la gendarmerie. «La belle-mère du Président Macky Sall devrait être entendue dans une procédure concernant une affaire foncière», rapporte Le Quotidien, qui donne l’information dans son édition de ce lundi 12 août.

Le journal du groupe Avenir communication ne précise pas le jour inscrit dans la convocation, mais il croit savoir que l’audition de la dame «devrait se dérouler de manière incessante».

La convocation de Oumou Diallo pose problème à sa famille. Celle-ci a fait remarquer aux gendarmes, d’après Le Quotidien, que sa santé chancelante ne lui permettrait de répondre à leur convocation. Réponse de la Section de recherches, selon le journal : «si elle ne pouvait pas se déplacer, un panier à salade pouvait être mis à sa disposition pour la convoyer. Une manière, comme une autre, de mettre en évidence qu’il ne pouvait pas être fait d’exception, et que les règles s’appliqueraient à tous.»

La mère de Marième Faye Sall a été convoquée en même temps que son fils Adama Faye, «impliqué dans le même dossier», selon le journal du groupe Avenir communication.

Justice : Mahamadou Mansour Mbaye nouveau Président de la Cour Suprême

Mahamadou Mansour Mbaye
Mahamadou Mansour Mbaye

Les décisions sont tombées lors du Conseil supérieur de la Magistrature. Le magistrat, Mahamadou Mansour Mbaye, a été nommé Président de la Cour suprême par le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye.  Il remplace Ciré Aly Ba.M. Mbaye était précédemment Procureur général près de la Cour suprême.

[Document] Conseil supérieur de la Magistrature : Bassirou Diomaye Faye opère un vaste chamboulement

Bassirou Diomaye Faye
Bassirou Diomaye Faye

3 Commentaires

    1. Auteur

      Poseidon Badji

      il y a 1 heure (17:42 PM)

      Mamadou Seck, maham et Abdou Karim à Tambacounda

      Top Banner

Auteur

Jdj

il y a 1 heure (17:46 PM)

Leigui nak que justice se fasse

    1. {comment_ads}
Auteur

Jdj

il y a 1 heure (17:46 PM)

Leigui nak que justice se fasse

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CSM : Amady Diouf et Ibrahima Bakhoum quittent la Cour D’appel de Dakar

Amady Diouf et Ibrahima Bakhoum
Amady Diouf et Ibrahima Bakhoum
Le Conseil supérieur de la magistrature s’est tenu, ce vendredi. Plusieurs décisions ont été prises au cours de cette réunion présidée par le Chef de l’État, Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Cependant, il est à souligner que Amady Diouf et Ibrahima Bakhoum ont quitté les juridictions de jugement pour rejoindre l’administration centrale.
 
« Amady Diouf, précédemment Premier Président de la Cour d’Appel de Dakar, est affecté à l’Administration centrale du Ministère de la Justice. Ibrahima Bakhoum, précédemment Procureur général près la Cour d’Appel de Dakar, est affecté à l’Administration centrale du  Ministère de la Justice », lit-on dans le document reçu.
 

Ibrahima Ndoye nommé Procureur de la République

Ibrahima Ndoye
Ibrahima Ndoye
Monsieur Ibrahima Ndoye est nommé procureur de la République près le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Une décision prise par le Président Bassirou Diomaye Faye lors du conseil supérieur de magistrature.

M. Ndoye remplace Abdou Karim Diop. D’autres nominations ont été également faites par le Chef de l’Etat. Ainsi, Mbacké Fall est nommé Procureur général et Mamadou Diouf, président du Tribunal de grande instance de Dakar.

Nécrologie: Un des personnage de la série Yaye 2.0 n’est plus

Un des personnage de la série Yaye 2.0 n’est plus
Un des personnage de la série Yaye 2.0 n’est plus

Dans un communiqué, la production de la série « Yaye 2.0 » a annoncé le décès d’un des personnages de la série. En raison de cet événement tragique, la diffusion du premier épisode de la saison 2 a été reportée à une date ultérieure. Cette décision a été prise par respect pour la mémoire du défunt et pour permettre à l’équipe et aux fans de faire leur deuil.

TOUBA: Le porte-parole du Khalife rejette toute réouverture des écoles publiques de langue française

TOUBA: Le porte-parole du Khalife
TOUBA: Le porte-parole du Khalife

Le porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr, a catégoriquement rejeté jeudi, toute possibilité de réouverture des écoles publiques de langue française à Touba, réaffirmant ainsi la décision irrévocable prise par le défunt khalife Serigne Saliou Mbacké (1915-2007).

‘’(…) il est impossible d’implanter une école publique dans le périmètre du titre foncier. On ne revient pas sur une décision prise par un fils de Cheikh Ahmadou Bamba Khadim Rassoul’’, a-t-il martelé.

Serigne Bass Abdou Khadre Mbackè s’exprimait lors d’une séance de récital du Coran en préparation du Grand Magal, prévu le 23 août prochain.i

l a rappelé que la décision de fermer ces écoles prise par le défunt khalife Serigne Saliou Mbacké demeure ‘’irrévocable’’.

Cette déclaration réaffirme, selon le porte-parole du khalife des mourides, la volonté des autorités religieuses de Touba de préserver la ‘’sacralité’’ de la ville, par l’interdiction de l’implantation d’écoles publiques en langue française dans la cité religieuse.

Avec APS