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Culture urbaine: Tapha « Dabrains » vient d’être nommé PCA du…

Mamadou Moustapha DIENG, Entrepreneur culturel, est nommé Président du Conseil d’Administration du Fonds de Développement des Cultures Urbaines et des Industries Créatives.

Le promoteur culturel, plus connu sous le nom Tapha Dabrains, a été nommé lors du dernier Conseil des Ministres, de ce mercredi 29 novembre,  PCA, du Fonds de Développement des Cultures Urbaines et des Industries Créatives par M. Macky Sall.

Ancien rappeur, Tapha « Dabrains » du nom de son ancien groupe,  est l’initiateur  du projet « Taru Rap Galsen », dont le but est de valoriser le hip hop « made in galsen ».

II était également l’initiateur du projet EFOR qui a réuni 10 artistes chanteuses sénégalaise  pour prester sur 10 thèmes différents et 10 titres engagés contre la violence faite aux femmes, pour la prévention du cancer de col de l’utérus, l’autonomisation de la femme, entre autres.

Lamb : Lac 2 a choisi son prochain adversaire, « c’est lui que je préfère »

Il y a quelques semaines, Lac 2 s’est imposé devant Siteu, après décision arbitrale. Désormais, le lutteur du Walo veut passer un nouveau cap. Interrogé par ITV, le lutteur s’est fixé comme objectif le Roi des Arènes.

« Mon prochain adversaire ? Actuellement, je n’attends que le Royal. J’ai les yeux rivés sur le combat du 1er janvier (entre Modou Lo et Boy Niang, ndlr). J’attends ce que tout le monde attends, je veux le royal (la couronne de Roi des Arènes). Même s’il prend sa retraite (Modou Lo), j’irais jusque chez lui pour récupérer la couronne », a-t-il déclaré.

Interrogé sur un possible combat avec Tapha Tine, victorieux de Eumeu Séne, Lac 2 a soufflé le chaud et le froid. « Si c’est ce que les fans veulent, alors c’est comme ça, mais j’ai mon staff, je les laisse pour le moment récupérer. Mais après ce repos, on verra. Je n’exclus aucun combat, mais je préfère le vainqueur du combat du 1er janvier. Au moins, là-bas, quelque chose se passera », a déclaré Lac 2.

BRT : les tarifs dévoilés

Les Bus rapid transit (BRT) seront lancés le 27 décembre prochain. Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye, qui donne l’information, indique que les travaux de mise en place du projet sont exécutés à 95%. À quelques semaines du démarrage des rotations du BRT, le directeur général du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud), Thierno Birahim Aw, repris par Vox Pop, a annoncé que les tarifs varieront entre 300 et 500 francs CFA.

Le BRT sera lancé avec 150 véhicules. Les bus sont à 100% électriques, avec une autonomie d’une journée. Ils traverseront 14 communes et 23 stations, de Guédiawaye au centre-ville, en 45 minutes. Chaque bus a une capacité de 150 personnes avec 55 places assises.

Ngouda Mboup: »La candidature de Bassirou Diomaye Faye ne souffre d’aucun obstacle administratif ou judiciaire »

L’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Mouhamadou Ngouda Mboup est formel: « la candidature de Bassirou Diomaye FAYE ne souffre d’aucun obstacle administratif ou judiciaire ».

Selon Mouhamadou Ngouda Mboup, en droit sénégalais, seule une condamnation pénale définitive, accompagnée d’une déchéance automatique ou prononcée par le juge, peut affecter la recevabilité et la validité d’une candidature (cf, articles L.29, L.30 du Code électoral, article 34 du Code pénal).

« Analyser la recevabilité et la validité d’une candidature ne peut comporter la faculté de se tromper ou celle de commettre une erreur manifeste d’appréciation… », explique-t-il.

D’après lui, il n’existe pas de présomption de culpabilité. Mieux, la présomption d’innocence est un principe à valeur constitutionnelle qui n’admet pas d’exception.

Assemblée nationale : Pape Malick Ndour et les «chasseurs» de billets de banque

Le ministre de la Jeunesse, de l’Entreprenariat et de l’Emploi, Pape Malick Ndour, était ce mercredi à l’Assemblée nationale pour l’examen du budget de son département. Il était supporté dans les travées de l’Hémicycle par ses partisans, des jeunes et des femmes. Mais cette mobilisation s’est avérée «une catastrophe pour lui et des membres de son cabinet», rapporte Les Échos.

À la fin du passage de Pape Malick Ndour, souffle le journal, les jeunes et les femmes qu’il avait invités à l’Assemblée nationale lui réclamaient de l’argent. Un des membres de son staff a alors dégainé des billets de banque qu’il remit au chef de cabinet.

Les partisans de son patron ont alors assiégé ce dernier pour réclamer l’argent. «Il fallait voir le pauvre chef de cabinet. Il était pourchassé par les ‘gens transportés’, rapporte Les Échos. Excédé par le désordre et le vacarme créés, le gendarme en faction va leur demander de quitter les lieux.»

Fuite de Moustapha Diop : Le ministère de la justice dément et apporte des précisions

Dans un communiqué, publié ce mercredi, le Ministère de la Justice réfute énergiquement les allégations selon lesquelles un individu nommé Moustapha Diop aurait fui alors qu’il était placé sous bracelet électronique. Selon le communiqué, “il n’existe, dans la base de données du Centre de surveillance électronique, aucune personne répondant sous cette identité”.

Le Ministère de la Justice a pris la parole après qu’une information “erronée” a été largement diffusée par un média national et reprise par plusieurs organes de presse. L’institution affirme que « le nommé Moustapha Diop » est introuvable dans leur système de surveillance électronique et annonce qu’une enquête approfondie sera menée pour déterminer l’origine de cette fausse information.

L’institution d’ajouter qu’à ce jour, aucune personne sous bracelet électronique n’a réussi à s’en libérer. Le Ministère de la Justice a réitéré son engagement ferme contre toute tentative de désinformation, particulièrement sur des sujets aussi sensibles, déclarant que de telles actions visant à « décrédibiliser le fonctionnement ou l’administration de la justice » ne seront pas tolérées.

« La cour Suprême a semé la confusion, Sonko et BDF sont électeurs et éligibles », Me Ciré Clédor Ly

Ciré Clédor Ly, avocat dans les Collectifs de Défense de Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye. dans une tribune rendue publique ce jeudi, éclaire sur le rabat d’arrêt introduit mardi à la cour Suprême par son client. Ainsi, avance t-il, entre autres arguments, la Chambre administrative a commis quatre manquements majeurs qui affectent profondément la justice.

Le rabat d’arrêt a été introduit introduit après que les avocats ont constaté que « quatre manquements majeurs ont affecté profondément la justice en tant que pouvoir, et la sécurité juridique des citoyens sénégalais qui ont perdu depuis le mois de mars 2021 leurs droits à la sûreté de leurs personnes et aux libertés publiques ».

Me Ly, donnant son opinion sur la décision de la cour Suprême, se désole, entre autres, de la confusion dans les esprits, décidant d’une cassation avec renvoi, au lieu de vider l’affaire séance tenante, le ministre de l’Intérieur qui s’abstient aussi de régler la question démocratique de la remise des fiches de parrainage par la DGE.

A en croire la robe noire, les responsabilités devraient être clairement indexées par la cour Suprême.

Arguant que ses clients, le leader de Pastef dissous, et Bassirou Diomaye Faye, sont toujours juridiquement électeurs et éligibles, et, au regard « des batailles judiciaires qui ont continué, c’est que l’État n’a pas toujours réussi à empêcher légalement et judiciairement Ousmane Sonko d’être candidat ». Alors que, raille t-il, « le capitaine du navire a abdiqué », gagné par « la solitude et à vivre l’amertume des fins de règnes »..

Voici l’éclairage de Ciré Clédor Ly, avocat dans les Collectifs de Défense de Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye.

Opinion sur le rabat d’arrêt introduit par Ousmane Sonko.

Les chambres réunies de la Cour Suprême sont saisies pour qu’elles se prononcent sur des erreurs de procédure qui relèvent de la seule responsabilité des hauts magistrats de la chambre administrative de cette juridiction.

La chambre administrative a commis quatre manquements majeurs qui affectent profondément la justice en tant que pouvoir, et la sécurité juridique des citoyens sénégalais qui ont perdu depuis le mois de mars 2021 leurs droits à la sûreté de leurs personnes et aux libertés publiques.

  1. La chambre administrative a renié sa fonction première qui est celle d’un gendarme chargé de sanctionner les abus, les excès de pouvoir et les violations de la loi par l’administration, au détriment d’un citoyen ou de la communauté.
  2. La chambre administrative a violé sans aucune pudeur ses propres règles de composition et de fonctionnement, garantissant une bonne administration de la justice et la sécurité juridique des justiciables par la collégialité.
  3. La chambre administrative a failli à son devoir d’assurer l’uniformité de la jurisprudence, qui est d’indiquer aux juridictions inférieures le sens et la portée de chaque disposition légale querellée devant elle.

Or, elle a non seulement semé la confusion dans les esprits en décidant d’une cassation avec renvoi, alors qu’elle avait affirmé dans l’affaire Yaya NIANG, qu’en matière électorale il n’y a lieu à renvoi après cassation et que le contentieux devait être vidé, mais en plus les juges ont ajouté à la loi électorale et à la loi organique sur la Cour Suprême une procédure non prévue par le législateur et qui est inconciliable avec les délais très courts, voire étriqués, dans tout le processus électoral.

  1. Le ministère de l’Intérieur, qui est le ministre des élections et dont dépendent les services de la direction de l’automatisation du fichier électoral et de la direction générale des élections, en s’abstenant de régler la question démocratique de la remise des fiches de parrainage et celle du rétablissement du citoyen Ousmane Sonko, engage sa responsabilité historique dans le dévoilement des acquis démocratiques et de l’État de droit.

La responsabilité du supérieur hiérarchique de la direction générale des élections et de la direction de l’automatisation du fichier électoral est avérée, de même que celle du ministère de la Justice, qui s’abstient de faire injonction au Procureur de la République pour qu’il enrôle le dossier après le non acquiescement au jugement rendu par contumace, qui est la pierre angulaire de tous les avatars.

Les responsabilités devraient être clairement indexées, d’autant qu’il suffit d’une petite loyauté envers les idéaux démocratiques et le peuple sénégalais, d’un tout petit courage politique et de deux minuscules traits de plume pour que la normalité soit rétablie, la paix revienne, l’ordre public se restaure et que quatre mains évitent de se tâcher de sang, du sang des leurs.

Ousmane Sonko est toujours juridiquement électeur et éligible, donc fondé en droit d’être candidat aux élections présidentielles de février 2024.

Mon client Bassirou Diomaye Faye est aussi électeur et éligible, et il n’existe aucun obstacle juridique à sa candidature pour les élections présidentielles de février 2024.

Les candidatures de mes deux clients sont conciliables et ne se gênent pas mutuellement, de sorte que l’important pour la communauté nationale et internationale est de savoir qu’à ce jour, les intrigues et les complots d’État pour empêcher Monsieur Sonko d’être candidat aux élections présidentielles de février 2024, malgré les moyens déployés par l’État et la répression aveugle de la jeunesse, n’ont à ce jour réussi à établir judiciairement ce qui peut empêcher les deux candidatures.

Si les batailles judiciaires ont continué, c’est que l’État n’a pas toujours réussi à empêcher légalement et judiciairement Ousmane Sonko d’être candidat, et cela doit être très bien compris par tout le monde.
Les Sénégalais et les Sénégalaises ainsi que les étrangers qui vivent parmi eux ne souhaitent et ne veulent que la paix.

C’est l’heure de choisir le Sénégal à la place de la fonction et de son confort personnel désormais très précaire, car le capitaine du navire a abdiqué. Il commence à sentir la solitude et à vivre l’amertume des fins de règnes ».

Les Propos élogieux de Me Ndiaye sur Sonko » djoulite leu niit geunouko, liko Sénégal djaral »

Les Propos élogieux de Me Ndiaye sur Sonko » djoulite leu niit geunouko, liko Sénégal djaral »

Les nominations du Conseil des ministres du 29 Novembre 2023

Macky Sall annonce l’octroi d’une motivation mensuelle de 25 000 F CFA aux 9138 Bajenu Gox
Macky Sall annonce l’octroi d’une motivation mensuelle de 25 000 F CFA aux 9138 Bajenu Gox

AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES
Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de classe exceptionnelle, précédemment Directeur de Cabinet du Ministre de la Fonction publique et de la Transformation du Secteur public, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Fonction publique et de la Transformation du Secteur public, en remplacement de Monsieur Mouhamed Mahmoud DIOP, appelé à d’autres fonctions.Monsieur Mamadou NDIAYE, Economiste- Financier, titulaire d’un Master en Gestion de la Politique économique, est nommé Président du Conseil d’Administration de la Banque régionaledes Marchés.Monsieur Mamadou Moustapha DIENG, Entrepreneur culturel, est nommé Président du Conseil d’Administration du Fonds de Développement des Cultures urbaines et des Industries créatives.

Monsieur Cheikh NDIAYE, Animateur culturel, précédemment Directeur de la Maison de la Culture Douta SECK, est nommé Directeur général du Fonds de Développement des Cultures urbaines et des Industries créatives.Madame Khady Diattou NDOYE, Psychologue Conseiller, précédemment Conseiller technique au Ministère de la Culture et du Patrimoine historique, est nommée Secrétaire général du Fonds de Développement des Cultures urbaines.Monsieur Cheikh Oumar GAYE, Ingénieur, est nommé Directeur du Projet de Promotion de la Gestion intégrée et de l’Economie des Déchets solides au Sénégal (PROMOGED) au Ministère del’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, en remplacement de Monsieur Ibrahima DIAGNE, appelé à d’autres fonctions Monsieur El Hadji Djily Mbaye LO, Socio-économiste, est nommé Coordonnateur national du Programme national de Développement des Agropoles du Sénégal.Monsieur Guéladio Abdoul SOW, Conseiller en Planification, est nommé Secrétaire général du Laboratoire national de référence dans le domaine du bâtiment et des travaux publics (LNR-BTP).Madame Faty SEYE, Professeur de l’Enseignement secondaire, est nommé Directeur de l’Ecolenationale de Formation en Economie familiale et sociale, poste vacant.Monsieur Sidy Faty NDIAYE, Professeur de l’Enseignement moyen, est nommé Directeur des Ressources humaines au Ministère de la formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, en remplacement de Madame Aminata DIOP, appelée à d’autres fonctions.Monsieur Alassane DJIGO, Professeur de l’Enseignement secondaire de classe exceptionnelle, est nommé Directeur des Examens, Concours professionnels et certifications, en remplacement de Monsieur Mamadou Mbenda FALL, appelé à d’autres fonctions.Madame Aminata DIOP, Inspecteur de spécialité, précédemment Directeur des Ressources humaines, est nommée Directeur du Centre national d’Information et de Documentation, en remplacement de Monsieur Khadim SYLLA, appelé à d’autres fonctions.Madame Ndèye Soukeyna FALL, Professeur de l’Enseignement secondaire, précédemment Conseiller technique au Ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, est nommée Secrétaire générale de l’Agence nationale de la Maison de l’Outil, poste vacant.

Suppression de la 3e tranche du Woyofal : Tout savoir sur la nouvelle grille tarifaire

L’annonce a été d’abord faite, le week-end dernier, par le ministre du Pétrole et des Énergies, Antoine Félix Abdoulaye Diome à l’Assemblée nationale, à l’occasion de l’examen du budget alloué à son département : la troisième tranche du Woyofal sera supprimée « avec effet immédiat ». La nouvelle avait été accueillie avec joie par certains consommateurs, même si beaucoup ignorent encore les modalités pratiques.
Le directeur général de la Senelec a apporté quelques éclairages. Sur la RTS, Papa Mademba Bitèye annonce ainsi la mise au point d’une nouvelle grille tarifaire. « Senelec a élaboré une nouvelle grille qui correspond à cette décision et l’a soumise au régulateur [la Commission de régulation du secteur de l’énergie, Crse] pour validation. Maintenant, nous attendons sa décision. Et à partir de ce moment, nous allons l’appliquer », explique M. Bitèye. 
Il espère que cette décision pourrait être « applicable et effective à partir du 1er décembre ». Le DG de la Senelec justifie la suppression de la troisième tranche par le souci de soulager les unités productives (les boulangeries, menuisiers, tailleurs, commerces…) qui utilisent le Woyofal.
Du côté de la cellule de communication de la Senelec, l’on explique que cette suppression de la troisième tranche vient soulager les usagers de l’électricité, en ce sens qu’elle permet aux clients domestiques dont la consommation est supérieure à 250 kilowattheures (kWh) de rester dans le tarif de la deuxième tranche qui est de 136 F CFA au lieu de 149 F CFA, soit un gain de plus de 13 F CFA sur chaque kWh. Autrement dit, les clients qui consomment jusqu’à la 3e tranche paieront cette énergie au coût de la 2e tranche. 
« Donc, tous les clients domestiques et professionnels paieront leur consommation de la 3e tranche au prix de la 2e tranche. Tel est le principal avantage pour les clients de cette tranche », précise la source contactée par le site d’informations du « Soleil ». Et vu le nombre de clients concernés (1 672 852 clients utilisent le Woyofal à fin octobre 2023), « c’est une importante somme d’argent que le gouvernement va devoir encore supporter pour le consommateur. Ceci, en plus de la subvention déjà faite pour la tranche sociale », estime la Senelec sans avancer un montant précis.
À noter que la 1re tranche va de 0 à 150 kWh ; la 2e de 151 à 250 kWh et la 3e tranche, au-delà des 250 kWh. Toutefois, le client situé dans la catégorie Domestique petite puissance (Dpp) peut atteindre la troisième tranche à partir de 250 kWh. Celui de la catégorie Domestique moyenne puissance (Dmp) au-delà de 300 kWh, mais pour les clients professionnels, la troisième tranche commence à partir de 500 kWh, qu’ils soient en petite ou moyenne puissance. 

Barthélémy Dias en rajoute une couche sur Sonko : « Je lui avais dit qu’il ne serait pas candidat » (vidéo)

Prison du Cap Manuel : Mimi Touré empêchée de voir Ousmane Sonko

Mimi Touré fixait à Ousmane Sonko
Mimi Touré fixait à Ousmane Sonko

Ce mercredi, Mimi Touré s’est rendue au Cap Manuel pour rendre visite à Ousmane Sonko. Cependant, Mimi a été empêchée de voir Sonko, a-t-elle fait savoir sur le réseau social X.

« Munie d’une autorisation de visite en bonne et due forme, je me suis rendue ce matin à la prison du Cap Manuel pour rendre visite à Ousmane Sonko. J’ai été normalement enregistrée comme visiteur et j’ai attendu dans la salle d’attente en compagnie de Mr. Déthié Fall et de l’Honorable député Ayib Daffé. Après 40 minutes d’attente, un agent de l’Administration pénitentiaire est venu me dire que je ne pourrais pas effectuer la visite car le tampon sur l’autorisation n’était pas…. nettement visible », a fait savoir sur son compte X.

« Depuis quand les citoyens sont-ils responsables de la qualité des tampons de l’Administration ? Cet excès de zèle est inacceptable surtout après une première acceptation du permis de visite », a ajouté Mimi Touré.

Cap Manuel : Dethié Fall donne des nouvelles d’Ousmane Sonko

À l’issue d’une visite de courtoisie au président de l’ex-parti Pastef ce mercredi 29 novembre 2023, Déthié Fall donne des nouvelles de son ami et frère Ousmane Sonko.

Dans une note, le président du PRP « loue la grande sérénité et la haute dignité du maire de Ziguinchor face à cette épreuve », renseigne-t-il.

Dans les liens de la détention depuis le mois de juin dernier, Dethié Fall plaide pour la libération de Sonko dans les plus brefs délais. « Sa place n’est pas la prison et je demande au président Macky Sall d’œuvrer immédiatement à sa libération », lance le candidat à la candidature de l’élection présidentielle de 2024.

Dans la foulée, il réitère son total et indéfectible soutien et milite ainsi pour une élection présidentielle inclusive et transparente qui verra la participation de tous y compris le président Ousmane Sonko.

Transplantation rénale : Macky Sall a reçu les équipes médicales sénégalaises et turques

C’était l’événement du week-end. L’hôpital de Ouakam a abrité la première opération de transplantation rénale couronnée de succès. Cette prouesse a suscité l’attention et la reconnaissance du Président Macky Sall. Le chef de l’Etat a reçu les équipes médicales sénégalaise et turque responsables de cette avancée médicale.

Ce triomphe médical découle d’un processus de collaboration approfondie entre le Sénégal et la Turquie. Le Professeur Elh Fary Ka, à la tête du Comité National du Don et de la Transplantation d’Organes, a exprimé avec “émotion” ses remerciements aux autorités pour leur soutien continu tout au long de ce processus.

Cependant, la route vers le succès ne s’arrête pas là. “La poursuite du processus nécessite des moyens conséquents”, évoque le communiqué de la présidence. Dans cette perspective, la Fondation turque de la transplantation d’organes a salué la collaboration fructueuse avec les équipes médicales sénégalaises.

BRT: Mansour Faye annonce le début des rotations Guédiawaye-Petersen

L’exploitation commerciale du Bus Rapid Transit (BRT) va démarrer le 27 décembre prochain. L’annonce a été faite ce mardi par le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Amadou Mansour Faye.

Le ministre réceptionnait ce mardi 121 bus devant constituer la flotte du Bus Rapid Transit (BRT), un système de transport collectif qui reliera la ville de Guédiawaye à la ville de Dakar. La cérémonie de réception de ces bus a eu lieu à l’aéroport militaire Léopold Sédar Senghor de Yoff.

Ces bus d’une longueur de 18 mètres peuvent transporter 150 passagers, avec 55 places assises. « Ils sont équipés de wifi, de port USB, climatisés, mais 100% électriques avec une capacité d’exploitation d’à peu près une journée », a expliqué le ministre.

« Ce projet important qui va transporter de Gadaye [Guédiawaye] à Petersen environ 300 mille personnes par jour, va contribuer fortement à l’amélioration de la mobilité au niveau de Dakar », a-t-il assuré.

« Je n’ai pas peur des combats politiques et je vais sécuriser les universités », Macky Sall

« Toutes les dispositions seront prises pour assurer la sécurité dans les universités ». Dixit le chef de l’Etat, qui présidait mardi l’ouverture de la Biennale de la recherche de l’innovation et de l’industrialisation en Afrique, à l’Université Amadou Makhtar Mbow.

« Je ‘ai pas peur des combats, je suis un politique. Quand il faut peser les problèmes,, il faut le faire, nous sommes à l’université et c’est ici que je vais les poser. Aucun enseignant ne doit aller à l’amphi avec la peur d’être agressé, ce n’est pas acceptable dans une université. Aucun étudiant ne doit être inquiété dans l’espace universitaire », a martelé le Président Sall.

Des universités du Sénégal, à l’instar de Cheikh Anta Diop, ont été brûlées ou balafrées et chahutées, lors des émeutes politiques de juin dernier. Et 6 mois après, on balbutie entre enseignements présidentiel et à distance pour amorcer leur ouverture.

Et pacifier les espaces universitaires reste aussi le combat du président de la République.
« Il faut que les étudiants, les enseignants nous aident pour pacifier l’espace universitaire. nous allons prendre toutes les dispositions pour sécuriser les universités », a t-il lancé aux acteurs.

Entre autres, le Sénégal met plus de 20% du budget sur l’Education. « Autant d’effort, ajoute t-il, qu’on ne s’attend pas à avoir un secteur en ébullition permanente ».

Ousmane Sonko : ses avocats déposent un rabat d’arrêt à la Cour suprême suite à un vice de forme

Les représentants légaux de Ousmane Sonko ont soumis, hier, un rabat d’arrêt auprès de la Cour suprême. Ils contestent un vice de forme qui serait survenu lors du délibéré du procès concernant la radiation du fichier électoral du maire de Ziguinchor par les juges suprêmes, selon les informations recueillies sur le site Walf-groupe.com.

«Le rabat d’arrêt a effectivement été déposé. Les raisons sont évidentes. Les Sénégalais qui ont suivi l’audience du vendredi relative au pourvoi concernant la décision du juge de Ziguinchor, ont pu observer qu’un des membres qui avait participé à la composition de cette audience n’a pas signé l’arrêt. La loi stipule qu’il y a une irrégularité à ce niveau», précise Me Babacar Ndiaye.

Il souligne que l’enjeu majeur de cette affaire repose sur la question de la participation ou non du leader de l’ex-Pastef à la présidentielle de 2024. Ce qui signifie que la procédure est toujours en cours. «Il est prématuré de parler de radiation, car Ousmane Sonko conserve toutes ses chances d’éligibilité à cette élection. C’est pourquoi il est urgent d’agir», fait remarquer Me Ndiaye.

«La participation de Sonko à la prochaine présidentielle dépendra de cette procédure que nous avons initiée. La balle est maintenant dans le camp de la Cour suprême. La participation de Sonko est entre ses mains. Elle se doit d’agir rapidement. C’est une obligation morale, éthique et républicaine», conclut Me Ndiaye.

Transplantation rénale : Macky Sall a reçu les équipes médicales sénégalaises et turques

C’était l’événement du week-end. L’hôpital de Ouakam a abrité la première opération de transplantation rénale couronnée de succès. Cette prouesse a suscité l’attention et la reconnaissance du Président Macky Sall. Le chef de l’Etat a reçu les équipes médicales sénégalaise et turque responsables de cette avancée médicale. 
Ce triomphe médical découle d’un processus de collaboration approfondie entre le Sénégal et la Turquie. Le Professeur Elh Fary Ka, à la tête du Comité National du Don et de la Transplantation d’Organes, a exprimé avec “émotion” ses remerciements aux autorités pour leur soutien continu tout au long de ce processus.

Cependant, la route vers le succès ne s’arrête pas là. “La poursuite du processus nécessite des moyens conséquents”, évoque le communiqué de la présidence. Dans cette perspective, la Fondation turque de la transplantation d’organes a salué la collaboration fructueuse avec les équipes médicales sénégalaises.

Sora le révolutionnaire envoyé en prison, informe Me Khoureïchi Ba

Selon Me Khoureïchi Ba, « Sora le révolutionnaire » a été envoyé en prison pour les délits d’association de malfaiteurs, participation à une manifestation non autorisée, appel à l’insurrection, offense au chef de l’État, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique, à occasionner des troubles politiques graves ou à enfreindre les lois, recel, faux et usage de faux dans des documents administratifs ».
Sur sa page Facebook, l’avocat indique : « L’espionnage du mur Facebook, de l’exploitation de ses communications téléphoniques démontrant des échanges avec des personnes certainement des plus dangereuses au monde – écoutes que les enquêteurs se sont bien gardés de lui présenter malgré sa demande pressante ; la découverte chez lui de copies scannées et en couleurs de permis de visite vierges et à remplir pour rendre visite à son frère et ses nombreux amis détenus, sa « retraite » douteuse de quelques mois dans sa commune villageoise de Fass, tout cela a été recensé comme autant d’éléments inculpatoires versés au dossier » de Mansour Diop dit « Sora le révolutionnaire ».

Selon toujours Me Ba, Sora est propriétaire « malgré son jeune âge, de deux boutiques de prêt-à-porter et de commerce de marchandises générales, que l’on présente faussement sous les traits d’un criminel faisant d’ailleurs l’objet d’intenses recherches de la part des services de sécurité pour une supposée participation active aux événements de mars 2021 en compagnie des nommés Laurent Ngandoul, Kaoussou Cissé sans autre précision et X, autres fugitifs visés au réquisitoire du procureur et également objet de mandats d’arrêt ».

Pour rappel, il a été interpellé au Cap Manuel vendredi dernier, suite à sa visite aux prisonniers politiques.   

Présidentielle 2024 : Cheikh Abdou Bara Dolly dépose sa caution à la CDC

Après Karim Wade, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a posé un important acte pour la Présidentielle de 2024. Le président du mouvement Nékal Fi Askan a déposé sa caution de 30 millions de francs CFA à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), a appris Seneweb.   

Parrainage : 3 personnes arrêtées au QG de Bassirou Diomaye pour une raison très surprenante

Parrainage : 3 personnes arrêtées au QG de Bassirou Diomaye pour une raison très surprenante

Agro-Business : comment Frank Timis menace la fourniture en eau de Dakar

Frank Timis
Frank Timis

Dans un article repris par Enquête ce mardi 28 novembre, Bloomberg révèle que Frank Timis menace la fourniture en eau potable de Dakar avec son projet de faire pousser la luzerne sur 26 000 hectares au niveau de la réserve de Ndiael (Saint-Louis). Le média américain indique que l’homme d’affaires franco-roumain, naguère connu au Sénégal dans le secteur des hydrocarbures (affaire Petro-Tim), prévoit d’exporter 70% des récoltes de ce fourage riche en protéines et gourmand en eau dans le Golfe persique pour nourrir le bétail.

«Le moins que l’on puisse dire c’est que cette culture menace doublement la souveraineté alimentaire au Sénégal. Au-delà des surfaces importantes amputées aux paysans locaux, (elle) représente également une grave menace sur le Lac de Guiers qui fournit une bonne partie de l’eau potable consommée à Dakar et dans d’autres grandes villes», alerte Enquête.

Bloomberg martèle : «La luzerne, à échelle, consommera quotidiennement environ deux fois plus d’eau du lac que les pompes et les pipelines acheminent actuellement vers Dakar.» L’affaire est d’autant plus grave que la Banque mondiale, souligne Enquête, estime que la demande en eau dans la capitale sénégalaise devrait augmenter d’environ 300% au cours des 25 prochaines années.

D’après Bloomberg, Frank Timis a acquis les terres de Ndiael à 8 millions de dollars (près de 5 milliards de francs CFA). Un collectif regroupant 37 villages de la localité conteste cette opération. Mais leurs protestations semblent vaines.

(Urgent) Pikine : Trois responsables du candidat Bassirou Diomaye Faye arrêtés

Bassirou Diomaye Faye arrêtés
Bassirou Diomaye Faye arrêtés

La police de Pikine a fait une descente dans le quartier général (QG) du candidat à la candidature Bassirou Diomaye Faye, ce mardi. Trois responsables y ont été arrêtés. Il s’agit d’El Hadj Loum, Amina Dicko et Atoumane. Ces trois membres de l’ ex-parti Pastef d’Ousmane Sonko sont actuellement dans les locaux du commissariat de Pikine.
Selon nos sources, il leur avait été notifié au commissariat d’arrondissement de Pikine qu’ils n’avaient pas le droit d’ouvrir un QG.

Nous y reviendrons.

Présidentielle 2024 : le PS prépare une surprise à Amadou Bâ

Le PS, membre de Bennoo Book Yakaar, a validé la décision de la coalition de faire de Amadou Bâ son candidat pour la présidentielle de 2024. Le choix fait, vient le moment de le matérialiser. Les Socialistes seront au rendez-vous. Ils prévoient d’investir officiellement le Premier ministre le 16 décembre prochain à la salle du Congrès de la Maison Léopold Senghor, siège des Verts.

D’après Les Échos, qui donne l’information, deux réunions ont été tenues en direction de cet événement. La dernière a eu lieu il y a une semaine, mardi 21 novembre. Une troisième se tiendra avant l’investiture, signale le journal.

Le thème général de la cérémonie est fixé : «La continuité pour un Sénégal de progrès ; uni et solidaire, le PS investit Amadou Bâ». Il s’agit de l’une des trois propositions faites, souffle Les Échos, qui vend la mèche. La même source indique que la commission politique et thématique du PS devait remettre ce lundi l’avant-projet du texte d’introduction que doit prononcer la secrétaire générale, Aminata Mbengue Ndiaye.

Présidentielle : Karim Wade fait un pas important vers la candidature

Karim Wade a fait lundi un pas important vers la présidentielle de 2024 en déposant la caution exigée pour se présenter, malgré les doutes persistants sur sa candidature.

Karim Wade, 55 ans, fils et ancien ministre de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000-2012), a fait déposer la caution de 30 millions de FCFA (à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), a dit Nafissatou Diallo, responsable de la communication du Parti démocratique du Sénégal (PDS).

Le PDS a désigné Karim Wade comme son candidat à la présidentielle du 25 février, désignation qu’il a acceptée de longue date.

Mais les interrogations subsistent sur les implications légales d’une condamnation ancienne de M. Wade, sur sa faculté à rentrer au pays et à obtenir du fisc le quitus indispensable à sa candidature.

Karim Wade a été condamné en 2015 à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Détenu pendant plus de trois ans, il été gracié en 2016 par le président Macky Sall, et vit depuis en exil, le Qatar étant communément cité comme un de ses lieux de résidence.

Sa condamnation l’a empêché d’être candidat à la présidentielle de 2019, remportée par Macky Sall.

L’Assemblée nationale a voté en août une loi rendant leur éligibilité à Karim Wade ainsi qu’à une autre figure de l’opposition et ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, à la suite d’un dialogue politique initié par le président Sall et boycotté par une partie de l’opposition.

Kolda : Des conseillers municipaux vent debout contre l’absentéisme de Mame Boye Diao

Le respect, c’est ce que réclame les conseillers municipaux au Maire Mame Boye Diao. Pour eux, il n’est pas question de « politique politicienne » mais plutôt donner aux populations une feuille de route claire et de poser des actions concrètes.

Arrivé nuitamment et en catimini dans la ville de Kolda, le maire et candidat à la présidentielle voulait poser le débat d’orientation budgétaire mais il a été plombé par ses absences répétées qui ont pesé sur le déroulement des travaux.

En effet, dans la salle du conseil municipal, il n’y a pas eu de débats autour des points retenus, de manière unilatérale, par le Maire décrit comme « fantôme » par certains conseillers.

Après moult tergiversations et approximations, « des tensions ont commencé quand le Maire a demandé l’évacuation de la salle par des nervis qu’il a amené de Dakar », raconte un témoin. S’en est suivi un début de bagarre à l’intérieur et à l’extérieur de la salle mettant ainsi prématurément fin à ce conseil municipal. Un nouveau coup dur pour Mame Boye Diao dont plusieurs alliés ont décidé de rester fidèles à la coalition Benno Bokk Yaakar en soutenant la candidature de Amadou Ba.

Affaire Sonko à la Cour suprême : Pourquoi la magistrate Aïssatou Diallo Bâ n’a pas signé le document?

La magistrate Aïssatou Diallo Bâ n’a pas signé l’arrêt de la Cour suprême cassant la décision du tribunal de Ziguinchor réintégrant le leader de ex-Pastef, Ousmane Sonko, sur les listes électorales. L’arrêt a été publié ce lundi 27 novembre 2023. Sur les cinq juges qui ont siégé à l’audience du vendredi 17 novembre 2023, seuls quatre ont apposé leurs signatures au bas de la décision.

Selon la Libération et Les Échos, Aïssatou Diallo Bâ a « refusé de signer pour n’avoir pas participé au prononcé« .

La magistrate n’a pas assisté à la lecture du verdict de l’affaire opposant l’Agent judiciaire de l’État (AJE) aux avocats de Ousmane Sonko. Elle avait prétexté qu’elle devait aller chercher ses enfants. Mais en réalité, selon Les Échos, Aïssatou Diallo Bâ manifestait ainsi son désaccord avec ses collègues à propos du délibéré.

Le journal rapporte que la juge, considérant que l’État du Sénégal n’était pas partie au procès, avait estimé que l’AJE n’avait pas à assister à l’audience du tribunal de Ziguinchor. En plus, ajoute la même source, elle estimait que la Cour suprême devait vider l’affaire à l’audience et non casser la décision et renvoyer le dossier devant le tribunal de Dakar.

Macky Sall: « Les parents n’ont plus le temps d’éduquer leurs enfants à la maison »

Macky Sall regrette la perte progressive de nos valeurs. A l’occasion de la neuvième édition du Forum International de Paix et de la Sécurité en Afrique, le chef de l’Etat a exprimé ses inquiétudes face à la mondialisation mal maîtrisée qui peut menacer l’identité profonde des Africains. Selon lui, les valeurs sont en train de disparaitre.

Quels sont les valeurs que nous avons hérité de nos parents, que nous devons surtout léguer à nos enfants? Ils sont perdus. Les parents eux-mêmes n’ont plus le temps d’éduquer leurs enfants à la maison, l’école n’a plus également les mêmes moyens qu’auparavant », a laissé entendre Macky Sall. Et d’expliquer dans les colonnes de Pressafrik: « auparavant, il y avait un peu la chicotte. On n’ose plus parce qu’on dit: c’est violer les droits de l’homme. Même le policier n’ose pas toucher à une personne, on va dire, violation des droits de l’homme. Donc toutes ces valeurs, nous les avons perdues aujourd’hui à cause d’une mondialisation ».

Toutefois, le chef de l’Etat pense qu’il est essentiel que la jeunesse africaine s’enracine davantage dans la réalité du continent, en étant consciente de ses valeurs de civilisation et culturelles. « Il est bon de s’ouvrir, c’est clair moi je suis un homme de progrès, je suis pour l’ouverture, je suis pour l’apprivoisement de la science de tout ce qui peut être moderne, mais il faut rester quand même enraciner dans les valeurs sinon, cette ouverture n’a pas de sens, donc ça c’est un gros problème mondial. (…) Cette jeunesse là, elle doit être accompagnée, elle doit être formée, surtout en Afrique », a-t-il souligné.

Parrainage: Le président du mouvement « Nieup »KHADIM DIA décroche 28.353 parrains en faveur de AMADOU BA… (Photos)

Le président du mouvement « Nieup », Khadim DIA a procédé, ce lundi, à la remise d’un lot de 28.353 parrains dont plus 10.000 pour la région de Dakar, à Mr Abdoulaye Diagne le délégué national au parrainage et Abdoulaye Diouf Sarr, délégué régionale de Dakar, pour soutenir le candidat de la mouvance présidentielle, le Premier ministre, Amadou Ba.
Khadim DIA invite ses collaborateurs à continuer le travail de terrain déjà entamé.
Poursuivant son allocution, le président du mouvement « Nieup » s’est réjoui de l’effort incontestable de ses militants, collaborateurs et sympathisants et les exhorte à s’engager davantage pour transformer ces parrains en suffrage afin d’offrir une victoire dès le premier tour au candidat Amadou BA le 25 février 2024.
Revenant sur l’incident qui a récemment eu lieu au siège de l’APR, le leader du mouvement « Nieup » a fait savoir devant les délégués au parrainage que la «bataille doit se faire sur le terrain et non à la permanence»
Le Mouvement se donne les moyens d’atteindre cet objectif dans la mesure où les militants se sont organisés en pôles pour le travail scientifique, technique et animation politique.

Khadim Dia a, par ailleurs, remercié l’ensemble des membres de son mouvement ainsi que ceux venus des quatre coins du Senegal et donne rendez-vous pour un grand rassemblement le 23 décembre prochain au Monument de la Renaissance.

Collecte de parrainage : Cheikh Tidiane Dièye annonce la bénédiction de Sonko après leur rencontre

Cheikh Tidiane Dièye annonce la bénédiction de Sonko
Cheikh Tidiane Dièye annonce la bénédiction de Sonko

Le Dr. Cheikh Tidiane Dièye, leader de la Plateforme Avenir Senegaal Bi Nu Begg, a officiellement lancé ses opérations de collecte de parrainage pour la candidature à l’élection présidentielle de 2024. Dans un communiqué du parti largement partagé, il est indiqué clairement les intentions et les ambitions politiques de l’ami de Ousmane Sonko…

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Mbodjéne : C’est déjà la fin pour Akon City !

fin pour Akon City
fin pour Akon City

Annoncé comme un projet d’envergure, la ville futuriste Akon City ne verra finalement pas le jour. La SAPCO (Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal) a décidé de mettre un terme au contrat liant l’état du Sénégal et Akon.

«La Sapco va faire parvenir dans les prochains jours une lettre mettant un terme au partenariat (entre l’État et Akon) pour non-respect total (par le chanteur) de la convention signée entre les parties. La décision a été actée lors de la récente réunion de coordination», rapporte le journal Libération dans son édition de ce lundi.

Ce projet, qui devait mobiliser environ 4000 milliards Fcfa et s’étendre sur 55 hectares à Mbodjéne, devait être livré en décembre 2023. Mais depuis la pose de la première pierre, en septembre 2020, aucun grand travaux n’a été entrepris. «La triste réalité est que le site est devenu une vaste zone de pâturage pour le bonheur des bœufs, moutons et chèvres», ajoute Libération.

L’opposition récuse Sidiki Kaba : «Vous n’avez pas la légitimité d’organiser les élections»

L'opposition récuse Sidiki Kaba
L'opposition récuse Sidiki Kaba

L’opposition a profité de l’examen du budget du ministère de l’Intérieur pour récuser le nouveau ministre chargé de l’organisation de la Présidentielle du 25 février 2024, Me Sidiki Kaba. Par la voix de ses députés, l’opposition a invité le président Macky Sall à s’inspirer de ses prédécesseurs Abdoulaye Wade et Abdou Diouf, qui avaient nommé une personnalité neutre pour organiser les élections en 2000 et en 2012. 

« Monsieur le Ministre, vous avez la légalité d’occuper le poste de ministre de l’Intérieur. Vous êtes un excellent avocat, nous le reconnaissons. Mais il faut avouer et accepter avec nous que vous n’avez pas la légitimité d’organiser les élections», lance Bara Gaye, député-maire de Yeumbeul et membre de l’opposition. 
Ses collègues du même bord, Abass Fall et Ayib Daffé, n’en diront pas moins à leur tour. «En tant que militant de l’Apr, vous êtes disqualifié pour organiser ces élections», martèle le mandataire de la coalition Sonko2024, Ayib Daffé. Abass Fall de renchérir : «Nous nous battrons pour que vous n’organisiez pas les élections.» 

Présidentielle 2024 : Dr Cheikh Tidiane Dièye, plan C de Sonko ?

Dr Cheikh Tidiane Dièye, plan C de Sonko ?
Dr Cheikh Tidiane Dièye, plan C de Sonko ?

Après Bassirou Diomaye Faye, Secrétaire général de l’ex-Pastef, c’est au tour du Dr Cheikh Tidiane Dièye d’annoncer le lancement (tardif) de la collecte de ses parrainages, à quelques jours de la fin du délai imparti (le 11 décembre). Ce, après avoir rencontré son « ami » et « allié » Ousmane Sonko, en prison depuis quelques mois, pour plusieurs chefs d’inculpation. 
« Dans la perspective de l’élection présidentielle de février 2024, le président de la plateforme Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg, le Dr Cheikh Tidiane Dièye, lance ses opérations de collecte du parrainage citoyen, ce lundi 27 novembre 2023 », lit-on dans une note. 
Celle-ci relève que « porteur de la fiche de parrainage n°116, le docteur Cheikh Tidiane Dièye avait annoncé, après sa rencontre cordiale et stratégique avec son frère et allié le président Ousmane Sonko, qu’il poserait des actes tendant à garantir toutes les chances de victoire au camp de la souveraineté, de la refondation, du panafricanisme et du patriotisme ».
Alors pourquoi cette déclaration tardive ? Le juriste est-il le plan C du maire de Ziguinchor ? Nous avons posé ces questions à des responsables de l’ex-Pastef. L’un d’eux préfère rester prudent. « Aujourd’hui, personne ne doute plus de leur rapprochement et de leur amitié sincère, mais on ne peut pas affirmer que Dièye est le plan C de Sonko. Seulement, nous sommes en politique et il y a toujours des tactiques et des manœuvres, surtout à l’approche de ces élections à multiples enjeux », a-t-il précisé.
En tout cas, dans son communiqué, le Dr Dièye s’est engagé à tout faire pour « la victoire du camp de la souveraineté, de la refondation, du panafricanisme et du patriotisme ». 

« L’essentiel est que le pouvoir sorte des mains de Macky Sall » 
Un autre responsable de la formation politique (dissoute) est certain qu’« Ousmane Sonko choisirait la victoire du Dr Cheikh Tidiane Dièye  à celle de l’actuelle mouvance présidentielle. Tout comme la coalition Benno, qui a ses candidats, Ousmane Sonko aussi peut avoir ses candidats. L’essentiel, c’est que le pouvoir ne reste pas entre les mains de Macky Sall et ses hommes ».
Quoi qu’il en soit, le fait que le leader de la plateforme Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg décide d’attendre ce lundi pour lancer ses opérations de parrainages signifie, aux yeux de bon nombre d’observateurs, qu’il est sûr d’en avoir le nombre requis. « Il peut aussi bénéficier du parrainage des députés de Yewwi Askan Wi », sourit notre interlocuteur.
Bassirou Diomaye Faye a été arrêté, en mi-avril 2023, par les agents de la Division des investigations criminelles (DIC) devant les locaux de la Direction générale des Impôts et des Domaines, à Dakar. Inculpé pour « outrage à magistrat » et « diffamation à l’encontre d’un corps constitué », il est désormais poursuivi pour une multitude de nouvelles charges, dont « atteinte à la sûreté de l’État » et « association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste ». Les mêmes charges pèsent sur Ousmane Sonko, également condamné en juin à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse » dans une affaire distincte.    
Mais contrairement à Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye n’a pas été jugé, encore moins condamné. Il peut donc légalement être candidat – et éventuellement être élu – à la Présidentielle du 25 février 2024.

Macky Sall décline les trois priorités de l’Afrique pour une gouvernance mondiale plus juste

Macky Sall
Macky Sall

Le Président de la République, Macky Sall, a fait du combat pour une  gouvernance politique, économique et financière mondiale plus juste et plus équitable, une de ses priorités sur la scène internationale. Lors de son discours, ce lundi  27 novembre, à l’ouverture du Forum Paix et Sécurité, le chef de l’État a encore lancé un plaidoyer dans ce sens en rappelant les priorités de l’Afrique pour une gouvernance mondiale plus équitable. 
Il a cité “la réforme du Conseil de sécurité des Nations Unies, et celle de l’architecture financière mondiale, y compris les Institutions de Bretton Woods, afin que le système international, hérité de la seconde guerre mondiale, soit plus représentatif des réalités de son temps”. 
Il a également évoqué “la révision des règles de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur l’accès au crédit, la durée des délais de grâce et des périodes de remboursement ; ce qui permettrait de mobiliser des ressources plus conséquentes pour financer les besoins de développement”. 
Enfin, il a souligné la nécessité de lutter “contre les pratiques fiscales anormales, notamment l’évasion fiscale et les congés fiscaux abusifs, pour que l’impôt soit dûment payé là où la richesse est créée, surtout s’agissant de l’industrie extractive”. 
“Une gouvernance mondiale plus juste et plus équitable contribuerait à faire émerger l’Afrique des solutions, c’est-à-dire une Afrique qui compte davantage sur ses propres ressources pour financer ses efforts de développement et offrir de nouvelles opportunités de commerce et d’investissement à ses partenaires”, a indiqué M. Sall.
Macky Sall s’est néanmoins réjoui de quelques avancées engrangées récemment : l’adoption par l’OCDE, en octobre 2021 de l’Accord historique sur un impôt minimum mondial de 15% afin de lutter contre l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices par les multinationales ;  l’adhésion de l’Afrique au G20 ; et la décision des instances du FMI d’octroyer au continent un 3e siège au Conseil d’Administration du Fonds.  
“Cette dynamique pourrait être renforcée par la réforme du Conseil de Sécurité et la mise en œuvre du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète, qui comprend, entre autres, la réforme de l’architecture financière mondial”, a-t-il observé.

Présidentielle 2024 : Aïssatou Billy Bâ, épouse du candidat Amadou Bâ apporte 375674 parrains pour Benno

Comme elle l’avait fait lors des élections législatives de 2017, l’épouse de l’actuel Premier ministre s’est encore illustrée pour la coalition Benno Bokk Yakaar. C’est un record de parrains qu’Aïssatou Billy Bâ a apporté au délégué régional de Dakar. Ce dimanche, Abdoulaye Diouf Sarr a reçu des mains de Mme Bâ, épouse du candidat Amadou Bâ, 375.674 parrains pour le compte de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar.

Cette collecte dont les 260.000 signatures sont issues de la région de Dakar, est selon Abdoulaye Diouf Sarr, « à l’image de Madame Aïssatou Billy Bâ qui peut être qualifiée de la dame des records », juge le chargé de la collecte dans la région de Dakar, rejoint en celà par son camarade, le jeune Abdoulaye Diagne, délégué national.

Le candidat de Benno qui a assisté à la remise de cette collecte record, s’est réjoui de l’engagement de tous les acteurs et appelle à renforcer la mobilisation pour la victoire finale au soir du 25 février 2024…

Nécrologie : Décès du père de Tanor Thiendella Sidy Fall, Directeur général des élections

Le ministère de l’Intérieur du Sénégal, dirigé par Me Sidiki Kaba, a annoncé le décès de Cheikh Ahmadou Macodou Fall, père de Tanor Thiendella Sidy Fall, Directeur général des élections.

Le Ministre de l’Intérieur, Me Sidiki Kaba, en compagnie de personnalités clés du ministère, dont le Secrétaire Général, le Gouverneur Alioune Aïdara Niang, le Directeur de cabinet Cheikh Bâ, et l’Inspecteur Général de Police Seydou Bocar Yague, a exprimé sa profonde tristesse face à cette perte. Dans un élan de solidarité, l’ensemble des directeurs généraux, des chefs de service et tout le personnel du ministère de l’Intérieur ont également partagé leur compassion.

La levée du corps de Cheikh Ahmadou Macodou Fall est prévue le lundi 27 novembre à 9h à la mosquée des HLM Las Palmas, nous indique Dakaractu, un moment qui promet d’être empreint de recueillement et de respect. L’enterrement aura lieu à Touba, un lieu significatif pour de nombreuses familles et communautés au Sénégal.

Une cérémonie religieuse se tiendra le lendemain à la villa du défunt, située aux HLM Las Palmas, près du siège du Pai. Cette cérémonie du 3ème jour sera un autre moment important de rassemblement et de souvenir en l’honneur de Cheikh Ahmadou Macodou Fall.

Dans cet esprit de fraternité, Senego.com a tenu à présenter ses condoléances à la famille éplorée de Tanor Thiendella Sidy Fall ainsi qu’au ministère de l’Intérieur.