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Gros coup dur pour Idrissa Seck à près de 2 mois de la Présidentielle

Idrissa Seck
Idrissa Seck

C’est un gros coup dur pour le leader du parti Rewmi, Idrissa Seck, à près de deux mois de la Présidentielle, prévue le 25 février prochain. En effet, la coordination communale dudit parti à Khombole a jugé nécessaire, à travers une correspondance, de mettre fin à son compagnonnage avec Idrissa Seck

En effet, la coordination communale du parti Rewmi à Khombole coiffée par M. Ndary Ndiaye, conseiller municipal et président de la commission domaniale à la mairie de Khombole, la coordination des jeunes dirigée par M. Elhadji Omar Pouye, conseiller municipal et membre de la Commission Jeunesse, Sports et loisirs à la mairie de Khombole, la coordination des élèves et étudiants sous la houlette de M. Massaer Thiam, la coordination des femmes à sa Mme Ndeye Anta Boye, M. Bassirou Hanne, responsable des sages, ont décidé de quitter Idrissa Seck

Ci dessous leur communiqué !

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Yoro Dia : « Ce qui différencie l’opposition de Wade à celle de Sonko »

Ministre et coordonnateur de la communication de la présidence, Yoro Dia s’est prononcé sur l’actualité politique. Invité de l’émission Tolluway, ce lundi 4 décembre 2023, l’ancien journaliste pense que  l’opposition au temps de Me Abdoulaye Wade et celle d’aujourd’hui sont complètement différentes.
 « Si on a une démocratie, aujourd’hui au Sénégal, c’est grâce à Abdoulaye Wade, parce qu’il a tenté une opposition légale», a fait savoir M. Dia. Ce dernier a également estimé que les militants de l’ex Pastef sont des  » frères égarés ». « Cette opposition qui existe maintenant au Sénégal n’est pas légale, elle est insurrectionnelle. On n’a jamais entendu Maître Wade insulter Léopold Sédar Senghor, il n’a jamais injurié un magistrat, il n’a jamais menacé un magistrat. On a entendu un opposant menacer de mort le Président de la République, donc c’est ça la différence », a expliqué le « monsieur communication » du palais. 
De l’avis de M. Dia, on doit la démocratie sénégalaise au Président Abdoulaye Wade car, dit-il, « le code électoral sénégalais est le résumé des 26 ans de lutte du président Wade pour une transparence électorale ».  

Fonds reçus par Sonko : La réplique salée de Birahim Seck à Madiambal Diagne

Birahime Seck
Birahime Seck

Face aux accusations du député Matar Diop de la coalition BBY qui avait, devant les parlementaires, fait état des « ignominies » du maire de Ziguinchor qui aurait reçu des fonds de bailleurs intéressés par une remise en cause d’accords et de contrats sur l’exploitation du pétrole et du gaz découverts au  Sénégal. 
Madiambal Diagne avait interpellé le coordonnateur du Forum civil en se demandant si le poisson était si gros qu’on chercherait à le noyer. Pour lui, au-delà de l’assurance dont le député Matar Diop a fait montre, le silence de Birahime Seck et Cie laisse perplexe.
La réponse du coordonnateur du Forum civil n’a pas tardé. Birahime Seck renvoie la balle à celui qu’il appelle « l’ami du président ». Pour le coordonnateur du Forum civil, Madiambal Diagne est mieux placé pour édifier sur les accusations du député. 
« Madiambal Diagne, vous êtes un homme des médias, en plus d’être l’ami du président de la République Macky Sall. Vous devez être en mesure de nous édifier de l’exactitude ou non des faits rapportés par le député Matar Diop », a posté Birahime Seck.   

Ce que le Premier ministre sénégalais Amadou Ba vient faire à Paris

Amadou Ba
Amadou Ba

Candidat à la présidentielle de février 2024, Amadou Ba est attendu début décembre dans la capitale française. L’occasion de convaincre une diaspora qui s’est laissée tenter par l’opposition aux dernières législatives sénégalaises.

Amadou Ba, Premier ministre du Sénégal et désormais candidat à la présidence pour la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), est attendu à Paris au début de décembre. Selon « Jeune Afrique », repris par Sanslimitesn, ce déplacement s’inscrit dans une démarche de rapprochement avec la diaspora sénégalaise en France, notamment après un glissement de cet électorat vers l’opposition lors des dernières législatives.

Cet événement marque le deuxième voyage de Amadou Ba à Paris depuis sa nomination comme Premier ministre en septembre 2022, mais il s’agit de son premier déplacement officiel en tant que candidat à la présidentielle de février 2024. Ce voyage survient après une tournée économique débutée le 20 octobre 2023, qui a mené Ba dans plusieurs régions du Sénégal. Cette tournée, perçue par certains comme le début de sa campagne présidentielle, a mis l’accent sur le développement économique et les enjeux locaux.

CDC – Le député Pape Djibril Fall a déposé sa caution

Pape Djibril Fall
Pape Djibril Fall

Par ce message, nous vous informons du dépôt de la caution de notre leader, le Candidat Papa Djibril Fall.
Une importante déclaration sera livrée après le dépôt devant les locaux de la Caisse des dépôts et consignations.
Nous vous convions donc à venir assurer la couverture médiatique et participer ainsi à la diffusion auprès du grand public.
Ce sera à 15 heures précises à la CDC.

Nous comptons sur votre présence.

Bien cordialement,

Mohamed SEYE
Secrétaire National à la communication

MAF de liberté VI: Coline Fay a mis fin à sa diète

Coline Fay

Après neuf jours de grève de la faim, « Coline Fay arrêtée le 17 novembre dernier a finalement mis fin à sa diète » apprend le quotidien Libération. La dame originaire de la ville française d’Échirolles est présente au Sénégal depuis près d’un an. Coline Fay avait été interpellée devant la Cour suprême lors d’une mobilisation en soutien à Ousmane Sonko. Elle est présentement à la maison d’arrêt pour femmes de Liberté VI. 

Le parquet a demandé, contre tous, l’ouverture d’une information judiciaire pour association de malfaiteurs, actes et manoeuvres de nature à compromettre la sécurité publique mais aussi complot contre l’autorité de l’Etat. Coline Fay et les 5 autres militants interpelés, avaient été placés sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet. 

[EXCLUSIF] Keur Massar: 2 milliards FCFA en faux billets saisis, deux hommes arrêtés

deux hommes arrêtés
deux hommes arrêtés

La Brigade de Recherches (BR) de la compagnie de Gendarmerie de Keur Massar vient de réaliser un nouveau grand coup de filet dans la banlieue dakaroise. Selon des informations exclusives de Seneweb, les éléments de cette unité ont procédé à la saisie de billets noirs d’une contre-valeur de 2 milliards francs cfa. Un ressortissant gambien et un sénégalais ont été arrêtés hier dimanche. Détails !N’eût été la vigilance et la persévérance des gendarmes de la Brigade de Recherches (BR) de Keur Massar, deux milliards francs CFA en billets noirs allaient être lavés puis écoulés sur  le marché.Les éléments de cette unité d’élite ont réussi à mettre la main sur les auteurs de ce trafic de faux billets.Comment la BR de Keur Massar a réussi cette prouesseTout a commencé lorsque les hommes du Major Abdou Aziz Kandji ont été informés de l’existence d’un vaste réseau de faux-monnayeurs. Séance tenante, les gendarmes ont réussi à infiltrer cette mafia.Le cerveau, M.T, de nationalité gambienne et son compère de nationalité sénégalaise, B.C, ont voulu laver leurs billets noirs, selon des sources de Seneweb. L’agent infiltré a, alors, fixé un rendez-vous à ces faux-monnayeurs.2 milliards francs cfa en billets noirs saisisC’est dans ces circonstances que le duo incriminé a été arrêté hier dimanche. Les gendarmes de la Brigade de Recherches (BR) ont procédé hier à Keur Massar, à la saisie de 2 milliards FCFA en billets noirs.
Le businessman M.T et le technicien en génie civil B.C placés en garde à vueLe technicien en génie civil B.C et le ressortissant gambien M.T sont en garde à vue dans les locaux de cette unité de la compagnie de Gendarmerie de Keur Massar pour les besoins de l’enquête. 

Semaine nationale de la petite enfance : Macky Sall appelle à la culture de la paix dès le berceau

A l’occasion de la Semaine nationale de la petite enfance et de la case des tout-petits, le Président de la République a adressé un message fort aux parents ainsi qu’au corps professoral. « Cultivons la paix dès le berceau ! La Semaine Nationale de la Petite Enfance et de la Case des Tout-petits célèbre les valeurs d’éducation à la paix dès le plus jeune âge », lance le Chef de l’Etat.

Ouverte ce lundi 4 décembre jusqu’au 11 sur toute l’étendue du territoire national, la 17eme édition est centrée sur « L’éducation dès le la petite enfance ».

Ainsi, Macky Sall appelle à la culture de la paix, la tolérance, le dialogue et l’amour pour un monde meilleur pour nos tout-petits. Car ajoute-t-il, « l’avenir de nos enfants interpelle notre Nation »

Le Conseil Constitutionnel dévoile le logiciel développé pour contrôler les parrainages

Dans le cadre des préparatifs de l’élection présidentielle sénégalaise de 2024, une avancée notable a été réalisée par le Conseil Constitutionnel du Sénégal. D’après la décision nº 1/E/2023 de cette institution, un logiciel spécifique a été développé pour renforcer le processus de vérification des parrainages.

Le Rôle Central du Nouveau Logiciel

Le logiciel mis en place joue un rôle essentiel dans le processus de vérification. Il est conçu pour contrôler l’authenticité des signatures de parrainage, un élément crucial pour l’éligibilité des candidats. Sa fonctionnalité principale réside dans la détection des doublons et la validation de l’exactitude des informations fournies par les parrains. Cette étape assure que chaque parrainage respecte les critères établis, notamment en termes d’identité des parrains et de distribution géographique.

Méthodologie et Précision

Le Conseil Constitutionnel a intégré dans ce logiciel des algorithmes avancés pour effectuer des vérifications minutieuses. Ces vérifications incluent, mais ne se limitent pas à, l’authentification de l’identité des parrains et la conformité avec les critères régionaux et quantitatifs exigés par la loi. L’objectif est de s’assurer que chaque parrainage est légitime et conforme aux normes électorales, éliminant ainsi les risques de fraude ou d’irrégularités.

PDS : Karim Wade nomme son « homme de main »

Karim Wade nomme Magatte Sy mandataire national. D’après Les Échos, qui donne l’information, ce dernier devra représenter le candidat du Parti démocratique sénégalais (PDS) pour la présidentielle du 25 février 2024 à toutes les étapes du processus électoral.

Le journal rapporte que le fils de l’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade, n’a pas tari d’éloges à l’égard de Magatte Sy, le félicitant sur X (ex-Twitter) pour « l’excellente gestion des parrainages. » Il a aussi salué « son leadership ».

Université Ziguinchor: Un enseignant accusé de détournement d’une dizaine de millions…

Une affaire de détournement de fonds pollue l’atmosphère à l’Université Assane Seck de Ziguinchor. Des femmes membres d’un GIE, regroupées autour d’une association de gestion, accusent un enseignant-chercheur d’avoir détourné une dizaine de millions de francs CFA.

Cette affaire fait grand bruit non seulement au sein de l’université mais également dans toute la ville. Selon Sudfm, les femmes, techniciennes de surface responsables de la propreté à l’université Assane Seck de Ziguinchor, accusent l’enseignant-chercheur Daouda Gnagne Diatta d’avoir détourné l’argent de leur GIE, qui s’élève à environ une dizaine de millions de francs CFA. L’une des plaignantes déclare : « Il a détourné notre argent. Sur le compte, il y avait 22 millions de francs CFA, aujourd’hui, il ne reste que 1,8 million. Il est allé changer notre signature à la banque… »

Ces accusations sont contestées par l’enseignant-chercheur Daouda Gnagne Diatta, qui parle d’un complot fomenté : « Ce sont des accusations que je récuse naturellement. C’est un complot ourdi par des individus malintentionnés qui agissent dans l’ombre et manipulent ces femmes anxieuses pour les pousser à m’accuser devant tout le monde, sans aucune preuve… ».

CREI: Mimi Touré solde ses comptes avec Marwane Ben Yahmed, le Dirpub de Jeune Afrique

Tout est parti d’un post de l’ex PM du Sénégal, le 29 novembre dernier, sur X (ex Twitter) où elle racontait sa mésaventure à la prison du Cap Manuel. Le Directeur de la publication de Jeune Afrique l’a repris et cité hier dimanche en l’accusant d’avoir envoyé « Karim Wade en prison sans éléments valables si ce n’est les enquêtes minables de la CREI ».

La réponse de Aminata Touré ne s’est pas fait attendre. Elle n’a pas apprécié l’expression « enquêtes minables de la CREI » utilisée par le journaliste. « Enquêtes minables de la CREI dites-vous Marwane Ben Yahmed ? Même en politique, la politesse reste une vertu », lui dit-elle.

Et d’ajouter : « Si cela vous intéresse tant, vous êtes journaliste, accordez une interview aux magistrats qui avaient en charge la CREI, bon nombre sont encore en vie et départis de l’obligation de réserve. Ils vous diront généreusement ce qu’il en est des éléments valables et enquêtes dont vous faites état ».

L’ex Présidente du CESE a apporté des précisions avant de se blanchir. « Et ils vous diront certainement que la ministre de la Justice que j’étais n’avait pas pour rôle de donner des ordres aux magistrats – peut-être que les rôles ont évolué – mais de s’assurer qu’ils puissent faire leur travail convenablement », a raconté la candidate à la candidature de la présidentielle 2024.

Situation de Ousmane Sonko : Pape Mahawa Diouf écarte l’accusation de règlement de compte politique

Ousmane Sonko, leader de l’ex-pastef, est en prison. Sa candidature est jusque-là compromise. D’ailleurs ses partisans parlent de « volonté manifeste de l’Etat d’empêcher sa candidature ». Invité du Jury du  dimanche sur I Radio, Pape Mahawa Diouf écarte la thèse du règlement de compte politique. « Il s’agit plutôt d’un bras de fer entre M. Sonko et l’institution judiciaire », affirme-t-il. 
Le Directeur de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT)  et membre de la cellule de communication de Benno Bokk Yaakar souligne qu’en “démocratie, il  y a des limites infranchissables”. « On ne peut pas menacer les institutions publiques, puis menacer les institutions en général, semer le désordre dans le pays. La violence verbale n’a pas suffi, on est passé à la violence physique, à la destruction des biens privés et des biens publics pour finalement attenter à la vie humaine dans ce pays pour finir par faire recours à cette même justice », a-t-il fustigé. Interpellé sur ses allusions concernant l’attentat sur les vies humaines, il a rétorqué : « Il ne nous appartient pas de mettre ceci ou cela sur le dos de qui que ce soit. Nous avons constaté des faits. Il appartient à la justice de dire le droit au nom du peuple Sénégalais et de clarifier toutes ces questions-là »
En conclusion, Pape Mahawa Diouf a rappelé que des soupçons graves pèsent sur Ousmane Sonko : « Les faits sont très simples. Il faut revoir la conférence de presse du procureur sur les faits qui sont reprochés à Sonko. Il doit y répondre au nom du droit sénégalais, au nom de la justice sénégalaise. Il attend d’être jugé pour ces faits, mais pour le moment, je pense qu’il n’y a pas encore de décision définitive qui ait été rendue dans ce sens.    

Fatick: Marième Faye Sall honorée, un nouveau centre de sante porte son nom

Ce samedi, le Conseil d’administration du nouveau Centre hospitalier régional de Fatick a tenu une réunion et les membres ont décidé de donner le nom de l’établissement à la Première Dame, Marième Faye Sall. Cette dernière est originaire de la région de Fatick.

Originaire de Yayeme, village niché dans la commune de Fimela, dans le département de Fatick, Marième Faye Sall a reçu un bel hommage de la part des Fatickois. En effet, le nouvel Hôpital de la Région a été baptisé à son nom. La décision a été prise par le Conseil d’administration du nouveau Centre hospitalier régional de Fatick, qui a tenu une réunion ce samedi. Selon Dakaractu, le président du conseil départemental de Fatick, le Dr Cheikh Kanté, qui présidait le conseil, a émis cette proposition, qui a été accueillie avec enthousiasme et adoptée à l’unanimité.

Matam : Face aux désagréments de son convoi, la décision radicale de Khalifa Sall

Matam : Face aux désagréments de son convoi, la décision radicale de Khalifa Sall

Me Koureyssi Ba donne des nouvelles de Ousmane Sonko : « Il vit ça étonnamment »

La robe noire Me Cheikh Koureyssi Ba a, dans un récent post paru, dans la nuit du samedi au dimanche, donné des nouvelles de Ousmane Sonko, Pape Abdoulaye Touré et Coline Fay.

Voici l’intégralité de sa publication !

« ……… Coline FAY sort affaiblie de neuf jours de diète. Son accueil et sa prise en charge par ses sœurs et tantes Pastéfiennes détenues à la prison pour femmes de Liberté VI ont été impeccables. Mais elle n’en ressent pas moins une vive amertume vis-à-vis de la tournure insolite de sa mésaventure et du retard accusé dans le traitement de son dossier.

……. Pape Mamadou TOURÉ sous perfusion au pavillon spécial de l’HALD se remet difficilement des dommages collatéraux de 22 jours de grève de la faim. La libération de ce brillant leader estudiantin est devenue urgente et impérative. P. M. TOURÉ ne possède pas un seul diplôme universitaire à force de se battre pour la cause de ses camarades. Exclu de l’UCAD, réinscrit à Ham pathé BÂ il est arbitrairement jeté en prison, privé d’examens et sans plus grande espérance de rattraper le temps perdu. La dégradation continue de l’état général de la santé physique, mentale et psychologique de ce garçon l’oblige à être pris en charge désormais par des spécialistes appartenant à des branches diverses.

…….. Le président Ousmane SONKO que nous avons quitté après la prière de ASR acquittée ensemble vit étonnamment avec la même philosophie et sans stress aucun l’épreuve qui lui est imposée. Le visiteur sort de l’entrevue avec un tel animal politique -que cette épreuve a mué en maître incontestable du jeu- complètement revigoré, remotivé, réénergétisé et regonflé à bloc._ »

Présidentielle 2024 : Le message de Karim Wade sur les réseaux sociaux

Karim Wade
Karim Wade

En exil au Qatar et candidat à la Présidentielle de 2024, Karim Wade a déjà déposé sa caution et ses hommes se sont lancés sur le parrainage. Aujourd’hui, le leader du Parti démocratique sénégalais (PDS) a publié un message sur les réseaux sociaux pour féliciter qui s’est occupé de ses parrainages et qu’il a officiellement désigné comme son mandataire national.

« Félicitations à Magatte Sy pour l’excellente gestion des parrainages, un jalon essentiel pour notre campagne. Son leadership est un atout majeur. C’est avec une confiance totale que je le nomme mandataire national, pour me représenter dans toutes les étapes du processus électoral de 2024. #EnsemblePourLeChangement #KarimWade2024 », a-t-il écrit sur ses réseaux sociaux.

Pour rappel, depuis qu’il a été a été reconnu coupable d’avoir illégalement acquis plus de 123 milliards de Franc CFA et a été condamné à six ans de prison, Karim Wade s’est eilé au Qatar. Il a longtemps annoncé son retour au Sénégal, en vain. Pour la présidentielle de 2024 qui aura lieu en janvier, il est fortement annoncé par ses hommes.

Affaire Viviane – Aby Ndour : Youssou Ndour brise le silence

Youssou Ndour
Youssou Ndour

Youssou Ndour a accordé une interview à IGFM. Plusieurs questions importantes ont été soulevées notamment la plainte de la reine du Djolof Bande contre la soeur du chanteur, Aby Ndour. Le roi du mbalakh réagit très ferme et soutient que le linge sale se lave en famille.

Lutte : Le manager de Ama Baldé a choisi son prochain combat, « kou yor avance bi nako andi »

Ama Baldé
Ama Baldé

Il y a quelques semaines, Ama Baldé faisait face à Modou Lo. Le lutteur de Pikine avait l’opportunité de battre le Roi des Arènes pour devenir Roi. Finalement, le combat ne s’est pas passé comme il l’espérait à le rock des Parcelles assainies a été impérial.

Pour rebondir, Ama Baldé ne manquera pas d’adversaires. Son manager, Cheikh Bakhoum, a été interrogé sur le prochain combat de son poulain. Questionné sur un potentiel choc entre Ama Baldé et le phénomène de Lansar, Siteu, il s’est totalement d’accord. « Kou Yorr avance bi nako indi ! », a-t-il déclaré à Dakaractu. Autrement dit, le camp de Ama Baldé est prêt à combattre avec Siteu, il ne reste plus que le lutteur reçoive l’avance.

Pour rappel, Ama Baldé est actuellement blessé selon son frère Jules Baldé, alors qu’il doit combattre en janvier 2024 face à Gris Bordeaux. Siteu, lui aussi, pourrait affronter Balla Gaye 2, après sa défaite face à Lac 2 sur décision arbitrale. Affaire donc à suivre.

Douane du Bénin : Boubacar Camara officialise sa démission de son poste de directeur général adjoint

Dans un message parvenu à Seneweb, l’ancien directeur général des douanes du Sénégal (de 2000 à 2004) a fait une annonce importante. Nommé directeur général adjoint des Douanes du Bénin le 21 octobre 2021, Boubacar Camara a informé avoir démissionné de ce poste le 24 novembre dernier.
Remerciant le président du Bénin, Patrice Talon, il a tenu à citer les personnes qui ont participé à faciliter son séjour, notamment le Ministre d’État, chargé de l’Économie et des Finances, Romuald Wadagni, le directeur général des douanes sortant, Alain Hinkati, l’ensemble du personnel des douanes béninoises et les partenaires de cette administration.
Il a lancé un message d’encouragement à l’équipe entrante composée de Adidjatou Hassan Zanouvi, Directrice générale, et Karegire Aimé Yvan, Directeur général adjoint, son remplaçant.

Khalifa Sall : « Je comprends Ousmane Sonko, j’ai vécu ce qu’il vit »

Khalifa Sall réplique à Ousmane Sonko
Khalifa Sall réplique à Ousmane Sonko

Actuellement incarcéré, Ousmane Sonko, avec ses hommes, se battent pour être candidat à la Présidentielle de 2024. Khalifa SAll, qui a connu le même combat en 2017 avant de se voir écarter, s’est livré sur la bataille judiciaire du leader de l’ex-Pastef.

« Je pense qu’ils ont raison de se battre, ils ont raison d’insister, d’ouvrir toutes les voies qui leur permettraient d’âtre acceptés. Comme je dis toujours, ‘Dara bessufi’ (ce n’est pas nouveau). Je l’ai vécu moi 2017- 2019. J’ai vécu 28 mois de parcours judiciaire pour pouvoir être candidat. Il avait fallu faire une violation de la loi pour dire que le rabat-d‘arrêt n’est pas suspensif pour écarter ma candidature. Mon parrainage a été validé, mon dossier était valide, j’étais électeur, mon casier judiciaire était vierge et pourtant on m’avait éliminé sous prétexte que le rabat-d‘arrêt, qui est une loi organique, n’était pas suspensif. Et 6 mois après ils l’ont changé« , a expliqué Khalifa Sall dans des propos rapportés par Igfm.

« Moi je comprends qu’ils puissent se battre jusqu’au bout. C’est ça un homme politique. Il faut qu’il sache ce qu’il veut et qu’il aille jusqu’au bout. Maintenant le processus est le même on verra ce que ça va donner« , a ajouté Khalifa Sall.

Pr. Sanousi recadre Farba :«Tes mains sont sales, tu n’es pas un modèle pour donner des leçons… »(vidéo)

C’était chaud ce vendredi dans l’émission Ndoumbélan, entre l’ancien ministre sous Wade, Farba Ngom, et le Professeur Sanoussi.

Le chroniqueur de la SenTv a sévèrement recadré Farba Ngom en lui rappelant son passé sombre dans le régime de Me Abdoulaye. « Tu as les mains sales trempées dans le bourbier… Tu n’es pas vraiment un modèle pour donner des leçons. Tu as tout fait dans ce pays… », tacle-t-il.

Après le Covidgate, un autre scandale à 65 milliards FCFA secoue le MSAS

Des accusations de deal sur un marché de 65 milliards FCFA relatif à la fourniture d’équipements médicaux éclaboussent le ministère de la Santé.

Après le scandale de la gestion des fonds Covid, un autre secoue le ministère de la Santé. Selon African Intelligences, un important et très discret contrat public de gré à gré pour la fourniture d’équipements médicaux auprès d’un groupe allemand interpelle au sein de l’écosystème sanitaire local. En coulisses, certains acteurs soupçonnent une vaste opération de surfacturation à quelques mois de l’élection présidentielle de février 2024.

Il s’agit selon ce quotidien, d’un marché de 108, 7 millions d’euros récemment passé en toute confidentialité par les autorités sénégalaises auprès d’une société locale de distribution de matériel médical dénommée Afrique Conception Distribution (ACD).

Approuvé par le ministère des Finances et du Budget le 15 septembre, le contrat porte notamment sur la construction d’un nouvel hôpital clé en main dans le département de Bakel. Mais aussi d’un centre de diagnostic et d’imagerie médicale afin de renforcer le centre hospitalier régional de Fatick.

Il conclut également la fourniture d’un ensemble d’équipements destinés à moderniser les services d’imagerie médicale des hôpitaux du pays, ainsi qu’un lot d’une centaine d’ambulances. Tout s’est fait, selon, eux, sous la houlette du ministère de la Santé, Doc Marie Khemesse Ngom Ndiaye qui, dans un courrier adressé, le 15 juin, à la Direction centrale des marchés publics, la nécessité de mieux prévenir les menaces épidémiques, parmi lesquelles, la dengue, le Covid ou encore la fièvre hémorragique de Crimée-Congo.

L’argumentaire a convaincu la DCMP, qui lui a signifié son accord pour une procédure de gré-à-gré dans une lettre estampillée « Confidentiel » datée du 16 juin 2023. Des motifs jugés fallacieux par certains acteurs de la Santé ayant eu vent des négociations.

Centre de santé de Ngor : la trésorière aurait détourné 41 millions FCFA

La trésorière du Centre de Santé de Ngor, a été pour détournement de 41,8 millions FCFA.

La dame K. Mb a été présentée hier vendredi, au procureur pour détournement de deniers publcis. Trésorière générale au centre de Santé de Ngor, K. Mbengue est accusée d’avoir détourné 41,8 millions de francs Cfa. Selon L’Observateur, la mise en cause a été arrêtée par la Section de recherches (Sr) de la gendarmerie de Colobane suite à la plainte de l’Agent judiciaire de l’État (AJE).

Les fonds en cause proviennent des recettes des prestations et fourniture de médicaments. Il ressort des premiers éléments de l’enquête que K. Mbengue, après le décompte fait sous le contrôle du comptable T. O. M. Thiello, était chargée quotidiennement de procéder au versement à la banque.

Un audit interne a été initié par le médecin chef district Dakar-Ouest, Dr Abdou Karim Diop a conclu à des malversations concernant la période du 26 décembre 2021 au 7 mars 2023. Auditionnée, le chef secrétaire du Centre de santé en poste depuis 2017, A. Diaw a enfoncé la trésorière, arguant qu’elle était la seule responsable des versements. Convoquée, la mise en cause a clamé son innocence, mais ses explications n’ont pas convaincu les enquêteurs.

Rabat d’arrêt : Les précisions de Me Koureyssi Ba…

« Faites doucement, on est pressés« Me Koureyssi Ba, prévient Me Koureyssi Ba. L’avocat de Sonko a tenu à apporter des précisions sur la situation du leader de Pastef.

Texte in extenso :

La Cour Suprême a refusé ce 1er Décembre à Ousmane SONKO le droit, ainsi qu’il l’a exigé via une requête déposée hier jeudi 30 Novembre, d’obtenir un examen diligent et accéléré de la procédure de rabat d’arrêt intentée contre l’arrêt du 17 Novembre dernier rendu -au mépris du principe sacro-saint de l’imparité- par 4 membres alors que 5 avaient siégé au cours des débats.

Pour la haute juridiction le rabat d’arrêt tout comme le délai de recours en rabat n’étant pas suspensifs, il convient alors de saisir en priorité le président du Tribunal d’Instance Hors-Classe de Dakar seul investi du pouvoir de juger en urgence, ce que soit dit en passant la Cour Suprême a déjà fait en refilant la patate chaude à ce même juge.

Si vous avez bien compris c’est parce que l’on vous a mal expliqué. Retenons donc que selon la couleur du demandeur, et en vertu du principe « force restera à la loi du plus fort », tantôt c’est suspensif tantôt ça ne l’est pas. Dans l’un ou l’autre cas il y a grand intérêt à accélérer ou à décélérer. Là c’est bien expliqué… mais vous n’avez rien compris ! Retenons au moins une chose : il n’y a rien d’urgent, rien ne presse et ce rabat d’arrêt sera jugé tôt ou tard, fut-ce en février 2024 par les Chambres réunies …

Pr Babacar Diao rassure la popualtion : « donner son rein ne comporte pas de risques majeurs »…

La Fac médecine avec le doyen Bara Ndiaye a organisé une conférence de presse ce vendredi pour revenir sur la réalisation de la première transplantation rénale de l’histoire du Sénégal. Le Dr Babacar Diao et ses collègues ont dissipé les doutes concernant de nombreux questionnements, notamment les critères de compatibilité, le suivi des donneurs et des receveurs, précisant que « donner un rein ne comporte pas de risques majeurs ».

D’emblée, le Dr Diao a affirmé que la greffe rénale n’est pas compliquée, et que les médecins sénégalais n’ont pas de difficulté à la réaliser. Selon lui, le seul problème réside dans la mise en place d’une équipe solide du début à la fin, sans aucun maillon faible.

Ils ont également rassuré la population, en particulier ceux prêts à aider les malades, en affirmant que « donner son rein ne comporte pas de risques majeurs. Toutes les précautions seront prises avant l’opération. Il est important que les Sénégalais en soient conscients. Après plusieurs tests, si l’on constate que le donneur risque d’avoir des complications, l’opération n’aura pas lieu. »

Dans le même contexte, ils ont souligné que « le Sénégal est capable d’effectuer des transplantations de rein de manière autonome, et que toutes les personnes sous dialyse ne sont pas candidates à la greffe. Il est nécessaire de passer par une évaluation complète avant de pouvoir être greffé. »

Plainte de Mimi Touré : la réplique de Yaxam Mbaye

Ce sera plainte contre plainte. Le Directeur de publication du quotidien national Le Soleil porte la réplique à l’ancien Premier ministre, Aminata Touré. Celle-ci a saisi la justice pour diffusion de fausses nouvelles. La candidate de la coalition « Mimi 2024 » reproche à Yaxam Mbaye sa Une titrant « Amadou Ba est à 3 782 052 parrains ». Cette information ne reflète pas la réalité, accuse l’ancienne présidente du Conseil économique, sociale et environnemental (Cese) et ex Envoyée spéciale du chef de l’État, Macky Sall, invoquant l’article 255 du Code pénal. Qui stipule : « la publication, la diffusion, la divulgation ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers, sera punie d’un emprisonnement d’un à trois ans et d’une amende de 100 000 à 1 500 000 F CFA. »
Le journaliste n’a pas tardé à répondre. Il n’exclut pas d’actionner à son tour le parquet contre Mimi Touré pour diffusion de fausses nouvelles jetant le discrédit sur « les justes nouvelles » qu’il affirme avoir diffusées, souligne L’Observateur de ce samedi 2 décembre. 
« Depuis cette annonce, j’ai posé à nombre d’interlocuteurs la question que voici : quand est-ce que l’ancien Premier ministre, ancien ministre de la Justice, Garde des Sceaux, ancien membre du Secrétariat exécutif national (Sen) est revenue au sein de la formation politique qui l’a fait connaître des Sénégalais pour entrer en possession des vrais chiffres de collecte de parrainages de la coalition présidentielle, Benno Bokk Yakaar (BBY) et ainsi pouvoir prétendre me démentir ? », ironise Yaxam Mbaye, pointant du doigt « l’incohérence » de son accusatrice.

(Clip officiel)- Cherifou surprend avec «Tamarin»

L’artiste chanteur cherifou vient de sortir son troisième single en solo. Après «Varadj Varadj» et «Pop pop» qui ont fait du buzz, Cherifou a dévoilé une nouvelle chanson intitulé «Tamarin». Cet opus commence déjà a fait des tabac sur les réseaux sociaux.

Écoutez !

Saly / Sécurisation du domaine portuaire : « Les audits des gardes côtes américaines révèlent le port de Dakar comme étant le plus sûr, le plus sécurisé » (Dg port)

Le Port autonome de Dakar  organise à partir de ce vendredi 01 décembre jusqu’au dimanche 03 décembre, un séminaire sur « la sécurisation du domaine portuaire ».

La rencontre réunit la direction générale du Port autonome de Dakar, les acteurs portuaires et surtout les forces de défense et de sécurité maritime.  

Occasion saisie par le dg du port de Dakar, Mountaga Sy, de souligner le poids économique voire l’importance du port. 

Par ailleurs, Mountaga Sy de souligner que « les audits des gardes côtes américains révèlent que le port de Dakar est le plus sûr et le plus sécurisé de la zone… » (vidéo)

Dette et Justice climatique : Macky Sall porte-voix de l’Afrique à la Cop28

Macky Sall
Macky Sall

 Le Président de la République, Macky Sall, a proposé la “réorientation des ressources prévues pour le remboursement de la dette vers le financement de l’action climatique”, ce vendredi 1 décembre à Dubaï dans le cadre de la Cop28. M. Sall s’exprimait lors d’une réunion sur le financement de l’adaptation pour l’Afrique. 
«Les pays africains s’endettent pour financer leurs projets verts, ce qui constitue une double peine pour le continent qui pollue le moins, a déclaré Macky Sall. L’Afrique ne demande pas une faveur particulière mais une approche juste et équitable de la lutte contre le réchauffement climatique”. 

“Quand nos pays sont appelés à renoncer aux schémas pollueurs que d’autres ont empruntés pendant plusieurs siècles pour mettre la planète dans son état d’urgence actuel, il est juste qu’en contrepartie, le coût de l’adaptation soit équitablement partagé”, a-t-il souligné.

Poursuivant son plaidoyer, Macky Sall a relevé que les pays africains “ne doivent pas être condamnés à choisir entre le développement et la protection de l’environnement. Le bon choix, c’est se développer en protégeant l’environnement”.

Il appelle ainsi à une mobilisation effective du financement international de l’adaptation aux risques climatiques dans les pays en développement, soit 40 milliards de dollars d’ici 2025, comme convenu à la COP26 de Glasgow

“Nos pays ne doivent pas être condamnés à choisir entre le développement et la protection de l’environnement. Le bon choix, c’est se développer en protégeant l’environnement”, a-t-il lancé.

Amadou Ba : « Je vous le dis, les démons sont toujours là »

Premier ministre et candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar pour la Présidentielle de 2024, Amadou Ba recevait hier les femmes de la coalition BBY des Parcelles Assainies. Lors de cette rencontre, le Premier ministre a fait savoir que le Sénégal ne tenait qu’à un fil lors des dernières manifestations, en juin.

« Le chaos s’était déjà installé. Le pays ne tenait qu’à un fil (…) Je vous le dis, les démons sont toujours là. On n’est pas à l’abri », a déclaré Amadou Ba aux femmes de Benno Bokk Yakaar, rapporte Dakaractu. Amadou Ba a ensuite fait une demande aux femmes de sa coalition : « Je vous demande de conscientiser les jeunes pour qu’ils reviennent à la raison ».

« Dieu a fait que Parcelles enregistre le plus grand électorat de Dakar. La capitale compte aussi le plus grand nombre d’habitants. C’est pourquoi les fossoyeurs de la République ont démarré leur entreprise de destruction ici aux Parcelles Assainies. C’est pourquoi j’invite la jeunesse à ne pas les suivre », a ajouté le Premier ministre.

« Je suis subitement devenu un homme riche », Madiambal Diagne révèle l’origine de sa fortune

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne

Dans un entretien avec le journal Jeune Afrique, Madiambal Diagne a évoqué une partie de sa vie. Le journaliste, patron de Avenir Communication et du journal Le Quotidien, a dévoilé l’origine de sa fortune.

Selon Madiambal Diagne, tout part en dans les années 90. Alors travailleur dans la filiale de l’USAID au Sénégal, il a vu son contrat être rompu par ses supérieurs. Il décide alors de porter l’affaire devant la justice américaine. « En 1999, l’administration américaine reconnaît sa faute et me propose un règlement à l’amiable. Jackpot ! Ils m’ont proposé une transaction, qui était à mon avantage, et je suis devenu subitement un homme riche », confie-t-il à Jeune Afrique. Toutefois, le montant exact de la transaction n’a pas été révélé.

Madiambal Diagne ne révèle pas la somme exacte reçue, mais elle était suffisante pour faire de lui un homme très riche. Ce qui lui a permis d’acheter un immeuble qu’il mettra en location, de construire sa propre maison et de fonder le journal Le Quotidien.

Cour suprême : Sonko renforce son dossier

Les avocats de l’opposant Ousmane Sonko passent à la vitesse supérieure. Après un recours en rabat de l’arrêt rendu par la première chambre administrative de la Cour suprême le 17 novembre dernier, cassant et annulant la décision du juge de Ziguinchor réintégrant l’opposant Ousmane Sonko sur les listes électorales, Me Ciré Clédor Ly et Cie ont déposé une nouvelle requête.

D’après Libération, qui donne l’information, la requête a pour objectif d’accélérer la procédure concernant le rabat d’arrêt introduit après la décision de la Cour suprême.

« Comme tout le monde le sait, notre client (Ousmane Sonko) est candidat à l’élection du 25 février 2024, même s’il est en détention provisoire aujourd’hui à la Maison d’arrêt du Cap Manuel », campe la défense de Sonko.

Les avocats ajoutent : « L’objet de la présente est d’attirer votre attention sur l’urgence qu’il y a à traiter ledit recours compte tenu précisément de l’étroitesse des délais ouvert à notre client pour faire valoir sa candidature dont la recevabilité est tributaire de son inscription sur les listes électorales ».

Crédit mutuel du Sénégal : une mafia cernée, plus de 500 millions volés

L’ancien chef de l’agence du Crédit mutuel Sénégal (CMS) de la Médina, R. Ngom, et une femmes d’affaires, A. Kounta, arrêtées. D’après Libération, qui donne l’information, le premier a été cueilli par les éléments de la Section de recherches (Sr) de la gendarmerie de Colobane à Saly avant d’être transférés à la Caserne Samba Diéry Diallo sous le régime de la garde à vue en compagnie de la seconde mise en cause.

Les deux pourraient être déférés aujourd’hui, annonce le journal. Celui-ci renseigne que leur arrestation fait suite à une plainte de la Direction générale du CMS. L’enquête a établi que la dame s’est servie de plusieurs cartes d’identité pour monter plusieurs prêts frauduleux au niveau de l’agence de la Médina grâce à des complicités internes.

Le montant en cause est évalué à 540 millions de francs Cfa. Face aux enquêteurs, la mise en cause a reconnu les faits et propose de rembourser, dans un premier temps, 200 millions qu’elle avait gardés.

De son côté, R. Ngom a partiellement reconnu les faits, affirmant qu’il était au courant mais qu’il a rendu compte à la hiérarchie. Ce que la direction dément.

Présidentielle – Convocation du collège électoral : Macky confirme le 25 février 2024

Il y aura bel et bien élection présidentielle au Sénégal le 25 février 2024. En effet, Macky Sall a pris hier un décret pour convoquer le collège électoral. Le communiqué du Conseil des ministres l’a indiqué hier.

Faut-il le rappeler, l’idée d’un report de la Présidentielle a été agitée par Boubacar Camara, candidat déclaré à la présidentielle. Le leader du Parti pour la construction et la solidarité (Pcs)/Jengu Tabax a appelé, le 30 octobre passé, à un report consensuel de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024.

Pour lui, « le Sénégal ne peut pas supporter une élection présidentielle dans quatre mois». Dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux, il a déclaré que «la situation de tension » qui prévalait dans le pays ne permet pas l’organisation d’une élection présidentielle démocratique et transparente.

Souleymane Jules Diop, l’ambassadeur représentant du Sénégal à l’Unesco et membre de la coalition Bby, est du même avis. Une position que le ministre porte-parole du gouvernement avait balayée d’un revers de la main en déclarant : « La tenue à bonne date de la Présidentielle est «Le marqueur» de l’esprit démocratique et républicain de notre Nation. Depuis la première Présidentielle de 1963, jamais ce rendez-vous n’a fait l’objet d’un report. Et le Président Macky Sall (…) ne fera pas moins que ses prédécesseurs en la matière ».

L’affaire de sa radiation des listes électorales non encore réglée : La CDC rejette logiquement la caution de Ousmane Sonko..

Ce jeudi, à l’assemblée nationale, le mandataire de leader de l’ex Pastef, Ayib Daffé avait annoncé avoir déposé la caution de Ousmane Sonko à la Caisse de Dépôt et de Consignations (CDC).
Après vérification, la Caisse de dépôts et de consignations (CDC) a rejeté cette caution pour la bonne et simple raison que le nom de Ousmane Sonko ne figure plus sur les listes électorales après sa radiation dans celles-ci. De ce fait, le leader de l’ex Pastef n’est pas apte à déposer une caution.
Une attestation définitive de dépôt ne lui a pas été remise et le chèque déposé par Ayib Daffe au nom de Ousmane Sonko lui a été retourné.
Une décision qui suit la logique judiciaire car l’affaire de la radiation de Ousmane Sonko des listes électorales n’est pas encore réglée, la Cour suprême ayant cassé le verdict donné par le Juge Simassy Faye de Ziguinchor.
La CDC est alors dans la logique des lois et règlements de ce pays qui indiquent qu’on ne peut pas recevoir la caution d’une personne qui ne figure pas sur les listes électorales pour prétendre être candidat…