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Remariage : Mia Guissé a pris une décision

À la question «à quand le remariage ?», Mia Guissé ne prend pas de détour. «Pas pour le moment», bloque-t-elle dans un entretien paru ce mercredi dans L’Observateur. Depuis quelques semaines, la rumeur prétend qu’elle est à nouveau en couple. «Je ne sais pas pourquoi il y autant de rumeurs infondées sur moi, s’agace l’ex-femme de No Face. Je ne suis pas encore prête pour le mariage. Pour l’instant mon amour c’est la musique. Tous les jours, on me rapporte de nouvelles rumeurs et Dieu seul sait d’où ça vient.»  

Mia Guissé d’ajouter : «C’est épuisant. Il faut une vraie force mentale pour supporter toutes les méchancetés qu’on lit ou entend sur soi. Il m’est même arrivé de pleurer. Je panique très vite et je n’aime pas les histoires. Parfois, c’est très dur. Après, je me ressaisis et je me dis que cela va avec la vie d’un personnage public.»  

Affaire Ndella Madior Diouf:Le corps sans vie de Bébé Akon était caché dans une bassine remplie de glace

Les révélations se poursuivent sur l’affaire «Keur Yeurmandé». Les unes plus renversantes que les autres. L’enquête de la Sûreté urbaine indique que les bébés de la pouponnière de Ndella Madior Diouf étaient pour la plupart mal nourris, que six d’entre eux sont morts et que les enfants décédés étaient conservés puis inhumés dans des conditions douteuses.

C’est le cas des nourrissons nommés «Akon» et «Bijou Ngoné», qui reposent au cimetière de Yoff. Le premier est mort à la pouponnière. Sa maman, A. Sarr, a confié aux enquêteurs que les responsables de «Keur Yeurmandé» l’ont informée du décès de son enfant en lui précisant qu’il se trouvait à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. «Ce qui était faux. Je l’ai trouvé dans une bassine remplie de glace dans une des chambres de la pouponnière», a rectifié la dame dans des propos relayés par L’Observateur.

«Bijou Ngoné», elle, est décédée à la clinique de l’Amitié. Selon A. Sarr, lorsque El Sène, qui a reconnu avoir inhumé les deux bébés, a voulu déposer son corps à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff, il a été éconduit parce qu’il ne disposait pas de certificat de décès.

El Sène a défendu le contraire face aux policiers. L’animateur de Saphir FM, déféré au parquet en même temps que Ndella Madior Diouf et les autres suspects de l’affaire, assure que les dépouilles de «Akon» et «Bijou Ngoné» ont bel et bien été gardés à l’hôpital de Grand-Yoff avant d’être inhumés à Yoff.

Sonko a effectivement déposé sa fiche de parrainages : révélations sur le dossier de sa candidature

Ousmane Sonko, le leader du Pastef récemment dissous, a choisi une voie alternative pour déposer son dossier de candidature au Conseil constitutionnel du Sénégal. Investi par le parti Sénégal En Tête (SET) de Moustapha Guirassy, Sonko fait face à des obstacles administratifs majeurs, notamment le refus de la Direction générale des élections de lui délivrer des fiches de parrainages. En réponse, un mémorandum détaillant les difficultés rencontrées par son mandataire Ayib Daffé, depuis les décisions judiciaires de Ziguinchor jusqu’à Dakar, a été joint à son dossier.

Selon les informations rapportées par ‘’SourceA’’, le dossier de Sonko ne serait pas complet faute de fiche officielle de parrainage. Néanmoins, il a soumis des fiches accompagnées d’un exploit de constat d’huissier, attestant la non-conformité de la Direction générale des élections avec une décision de justice. Sonko a opté pour un parrainage alternatif par les élus.

Par contraste, Bassirou Diomaye Faye, le numéro deux de Pastef, a présenté un dossier complet. Malgré les incertitudes planant sur la candidature de Sonko, le parti reste optimiste quant à l’acceptation de sa candidature par les sept sages. Le dossier de Sonko comprend également un autre exploit de constat d’huissier pour soutenir la quittance reçue de la Caisse des dépôts et consignations.

Présidentielle au Sénégal : Découvrez la liste des dossiers de candidature au Conseil constitutionnel

Le dépôt des dossiers de candidature au Conseil constitutionnel pour la prochaine présidentielle a été clôturé ce mardi à minuit. 70 candidats à la candidature ont officiellement déposé leur dossier de candidature au Conseil constitutionnel.

Alors que 266 personnes s’étaient initialement manifestées, seulement 70 ou un peu plus ont effectivement déposé leurs dossiers à la clôture. Nous ne manquerons pas de mettre à jour la liste à mesure que nous recevons des informations depuis le Conseil constitutionnel.

Ils seront départagés avant le print final du scrutin du dimanche 25 février prochain par les 7 sages qui ont programmé le tirage au sort qui devra déterminer l’ordre de passage des partis et coalition pour le traitement des parrainages. Ils ont jusqu’au 20 janvier pour donner la liste officielle des candidats à l’élection présidentielle.

La liste :

  1. Amadou Ba
  2. Papa Eugène Barbier
  3. Boubacar Camara
  4. Ibrahima Cissokho
  5. Ada Coundoul
  6. Bougane Gueye Dany
  7. Hamidou Dème
  8. Mamadou Lamine Diallo
  9. Mame Boye Diao
  10. Aminata Assome Diatta
  11. Cheikh Dieng
  12. Cheikh Bamba DIEYE
  13. Cheikh Tidiane Dièye
  14. Mamadou Dièye
  15. Boun Abdallah Dionne
  16. Babacar Diop
  17. Mouhamed Ben Diop
  18. Moussa Diop
  19. Mamadou Diop Decroix
  20. Abdourahmane Diouf
  21. Elhadj Diouf
  22. Jean Batiste Diouf
  23. Dethié Fall
  24. Pape Djibril Fall
  25. Adama Faye
  26. Bassirou Diomaye Faye
  27. Cheikh Tidiane Gadio
  28. Malick Gakou
  29. Malick Gueye
  30. Assane Kâ
  31. Amadou Aly Kane
  32. Mouhamadou Madana Kane
  33. Mouhamadou Fadilou Koné
  34. Ndiack Lakh
  35. Amadou Ly « Akilé »
  36. Aliou Mamadou Dia
  37. Birima Mangara
  38. Bara Doly Mbacké
  39. Abdoul Mbaye
  40. Aida Mbodj
  41. Serigne Mboup
  42. Momar Ndao
  43. Aly Ngouille Ndiaye
  44. Babacar Ndiaye
  45. Daouda Ndiaye
  46. Samba Ndiaye
  47. Souleymane Ndéné Ndiaye
  48. Anta Babacar Ngom
  49. Mary Teuw Niane
  50. Al Hassane Niang
  51. Thione Niang
  52. Abdou Khadre Sall
  53. Ibrahima Sall
  54. Khalifa Ababacar Sall
  55. Thierno Alassane Sall
  56. Alioune Sarr
  57. Amadou Seck
  58. Idrissa Seck
  59. Amsatou Sow Sidibé
  60. Ousmane Sonko
  61. Haguibou Soumaré
  62. Habib Sy
  63. Abdoulaye Sylla
  64. Alpha Thiam
  65. Hamidou Thiaw
  66. Abdoulaye Tine
  67. Aminata Touré
  68. Karim Wade
  69. Rose Wardini
  70. Mamadou Yatassaye

Affaire Ndella Madior Diouf : «Un enfant v£ndu à 8 millions»

La Sûreté urbaine (SU) a bouclé et déposé sur la table du procureur de la République l’enquête sur la pouponnière «Keur Yeurmandé». La principale suspecte, Ndella Madior Diouf, et ses neuf employés désignés complices, ont fait l’objet d’un retour de parquet, ce mardi. Ils devraient être fixés sur leur sort ce mercredi.

Parmi les accusations qui pèsent sur Ndella Madior Diouf, il y a celle de traite de personnes. Libération rapporte que l’auteur de la vidéo qui a révélé le scandale, A. S, a confié aux enquêteurs «avoir entendu du personnel que Ndella Madior Diouf avait vendu un enfant à huit millions de francs CFA».

Selon le journal, cette dernière a réfuté ces accusations et clamé face aux policiers que son but, en créant la pouponnière, c’était de lutter contre l’infanticide, le refus de paternité et les violences faites aux femmes. L’enquête révèle autre chose. «Il s’avère, selon les policiers, que Ndella Madior Diouf ciblait des femmes enceintes, en état de détresse ou vulnérables, qu’elle acheminait à la pouponnière, rapporte Libération. Ensuite, ces dernières accouchaient sur place avant d’abandonner leurs bébés auprès d’elle. Par la suite, elle procédait au trafic de ces êtres en les offrant à d’autres personnes moyennant une compensation financière.»

L’Observateur informe que «l’affaire pourrait faire l’objet d’une information judiciaire» et que «le maître des poursuites fera aujourd’hui (mercredi) son réquisitoire introductif pour ensuite désigner un cabinet d’instruction».

Présidentielle 2024 : le nombre de candidats passe de 266 à…

Le dépôt des dossiers de candidature au Conseil constitutionnel pour la prochaine présidentielle a été clôturé ce mardi à minuit. Chose notable : le nombre de prétendants a encore fondu comme neige au soleil. D’après le décompte du journal Le Témoin, sur les 266 qui ont retiré les fiches de parrainages, seule une cinquantaine s’est présentée pour le dépôt des dossiers devant le Conseil constitutionnel.

La plupart des candidats à la candidature se sont donc désistés. Une petite poignée a pris la peine d’annoncer son retrait tandis que la plupart a disparu sans laisser de trace.

Le tri avait déjà commencé au moment du versement de la caution. Le Témoin rappelle en effet que 77 candidats à la candidature avaient versé la caution de 30 millions de francs CFA alors que 266 étaient sur la ligne de départ.

Et ce n’est pas fini. Le Conseil constitutionnel va se pencher sur les candidatures après avoir organisé, ce jeudi 28 décembre, le tirage au sort pour déterminer l’ordre de passage des dossiers devant la commission chargée de les éplucher.

Présidentielle 2024 : Sheikh Alassane Sène est passé au Conseil constitutionnel

Historique !!! Nous avons l’immense honneur de vous informer du dépôt de notre dossier de candidature MPG – SHASTY 2024 > JAMMI REEW MI, hier lundi 25 décembre 2024, en fin de matinée, au Conseil Constitutionnel. Félicitations à nos équipes, à nos sympathisants et à nos alliés. Nous sommes confiants et sereins quant à l’avis favorable que le conseil constitutionnel donnera à notre dossier qui a été élaboré avec lucidité, professionnalisme et responsabilité. Mentions spéciales au coordonnateur du pôle parrainage, au mandataire national et au Coordonnateur National. Nous prions pour une élection apaisée. Le travail continue #sheikhalassanesenepresident #coalitionjammireewmi #mpg-shasty2024

Pr Sidy Alpha Ndiaye explique : « Le dossier de Ousmane Sonko est recevable parce que.. »

À quelques heures de la clôture des dépôts de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, l’effervescence des candidats à la candidature s’intensifie au Conseil constitutionnel, où les sept sages auront la charge de décider de la recevabilité ou du rejet des dossiers de candidature.

Dans ce contexte, un professeur agrégé en droit public se penche sur le cas d’Ousmane Sonko, qui a déposé sa candidature dimanche dernier au Conseil constitutionnel sans les fiches de parrainage. Interrogé par les journalistes de Rfm, le professeur Sidy Alpha Ndiaye est convaincu que le dossier de candidature d’Ousmane Sonko doit être déclaré recevable par le Conseil constitutionnel. « Le juge du tribunal de grande instance de Dakar a ordonné la réintégration immédiate de M. Sonko. À partir de là, il garde intact ses droits civils et politiques et, à ce titre, il peut librement candidater », analyse-t-il.

Selon l’expert, le fait qu’Ousmane Sonko n’ait pas déposé ses fiches de parrainage et sa caution ne peut constituer un obstacle. « En cas de manquement de pièces du dossier, il faut chercher l’imputabilité du manquement. Si le manquement est imputable à l’administration qui refuse d’exécuter les décisions de justice, son dossier doit alors être déclaré recevable », explique-t-il.

Dossier de candidature incomplet : Ces jurisprudences qui pourraient sauver Ousmane Sonko

Ayib Daffé, mandataire du candidat Ousmane Sonko, a déclaré avoir déposé le dossier de candidature de ce dernier au Conseil Constitutionnel. Ce, malgré l’absence de fiche de parrainage devant être délivrée par la Direction Générale des Elections (DGE) et du quitus de la Caisse des Dépôts et des Consignations (CDC). Le leader de l’ex parti PASTEF a donc décidé de passer outre le refus de l’administration et de confier son sort aux sept sages. Mamadou Badio Camara et ses compères devront donc se prononcer sur la recevabilité ou non de la candidature de Ousmane Sonko.

Par le passé, les sages ont eu à se prononcer sur des cas assez similaires.

Seybani Sougou est formel. Selon lui, « les multiples obstacles (entraves) totalement infondés et dressés par l’administration sénégalaise (bras armé du pouvoir) pour barrer la route à Ousmane Sonko, dans sa volonté de briguer la magistrature suprême ne sauraient en aucun cas, constituer un frein du point de vue juridique pour la recevabilité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024 ». Pour étayer son propos, l’expert en Marchés Publics rappelle une jurisprudence du Conseil Constitutionnel en date du 15 avril 1998. Il s’agit en fait de la décision N°/E/3/98, du 5 avril 1998, Insa Sankharé, Mandataire R.P.J.S. Pour les élections législatives du 24 mai 1998, le mandataire du Rassemblement pour le Progrès, la Justice et le socialisme avait déposé un dossier de candidature sans un récépissé du Trésor General. N’empêche, le Conseil Constitutionnel avait tranché en faveur du parti du Professeur Insa Sankharé, pointant du doigt une défaillance de l’administration.

La décision n°9/C/2023 du 14 décembre 2023 peut aussi servir de jurisprudence en la matière. Professeur de droit l’Université Gaston Berger, Salif Saney estime même qu’il s’agit « d’un bon augure pour Ousmane Sonko ». En effet, se prononçant sur un recours déposé par les députés de l’opposition afin que le Conseil Constitutionnel déclare contraire à la Constitution la loi de finances de 2024, la juridiction avait affirmé « qu’un constat d’huissier, établi après que le requérant ait accompli toutes les diligences utiles, peut remplacer le refus de l’administration de livrer des documents demandés”, renseigne le juriste.

« Leur recours devrait être accompagné de deux copies de cette loi conformément à l’article 16 de la loi organique sur le CC. Cependant, selon les déclarations du député Madame Daba Wagnane, mandatée par le Président du groupe parlementaire Birame Soulèye Diop, le SG de l’Assemblée nationale a refusé de donner une copie de la loi. Ce sont ces déclarations du député qui ont fait l’objet d’un PV de constat d’huissier. Pour le Conseil Constitutionnel, le Président du groupe parlementaire devrait saisir directement le SG du parlement. En cas de refus de ce dernier, établir un procès-verbal de constat d’huissier. C’est la raison pour laquelle le recours a été déclaré irrecevable. »

Ngouda Mboup, juriste proche de PASTEF, déclare pour sa part : « En vertu de sa jurisprudence CONSTANTE (ancienne et récente), une réponse du Conseil constitutionnel, parfaitement justifiée et motivée, au regard de la finalité de la procédure de parrainage, doit permettre de déclarer recevable la candidature du Président Ousmane Sonko ». il affirme en effet que « dans toutes ces décisions, le Conseil constitutionnel a eu à préciser que le refus et les agissements de l’administration non-imputables au(x) concerné(s) donnent lieu au rétablissement de ses droits »

Conseil constitutionnel : Ousmane Sonko a déposé son dossier de candidature (Ayib Daffé)

Ayib Daffé à la DGE
Ayib Daffé à la DGE

« Nous avons bien déposé notre dossier au Conseil constitutionnel ! » : ce sont les mots de Ayib Daffé, mandataire de l’opposant Ousmane Sonko, qui refuse cependant de dire si c’est lui-même qui a posé cet acte tenu secret depuis dimanche dernier. 

En fait, même les journalistes qui font le pied de grue devant le siège du Conseil constitutionnel affirment n’avoir pas vu le mandataire officiel d’Ousmane Sonko ni avoir recueilli une quelconque réaction de sa part, comme c’est toujours le cas pour les autres mandataires au sortir du bureau du greffe du Conseil.   

Selon une source du parti, dissout, Pastef, cité par RFI, c’est une consigne qui a été donnée dans ce sens.

Une manière de « détourner les attentions de l’administration centrale qui a même refusé d’accepter la caution de notre candidat et les fiches de parrainage », selon  celui-ci. 

Candidature de Sonko : Pourquoi son dossier a été déposé discrètement ?

À moins de 24 heures de la clôture des candidatures pour les élections présidentielles au Sénégal, le dépôt de la candidature de Ousmane Sonko, figure de proue de l’opposition et leader du parti Pastef, a été enveloppé dans un voile de discrétion. Selon les informations relayées par RFI et corroborées par divers médias, ce dépôt a été effectué le dimanche 24 décembre, échappant ainsi aux regards et anticipations du public et des médias. Cette manœuvre suscite une interrogation cruciale : pourquoi cette discrétion ?

Pourquoi son dossier a été déposé discrètement :

Derrière cette discrétion se cache une série de défis judiciaires et administratifs qui ont marqué le parcours de candidature de Sonko. Suite à son retrait de la liste électorale par le gouvernement, Sonko s’est retrouvé au cœur d’une bataille judiciaire. Malgré les ordonnances des tribunaux de Ziguinchor et de Dakar demandant sa réinscription, l’administration sénégalaise n’a pas exécuté ces décisions. Ce refus s’est manifesté concrètement lorsque le mandataire de Sonko, le député Ayib Daffé, s’est vu refuser l’accès aux fiches de parrainage par la Direction générale des élections (DGE), prétextant que Sonko n’était pas régulièrement inscrit sur les listes électorales.

La quête pour déposer la caution nécessaire à la candidature a également été entravée. Daffé s’est confronté à un refus similaire de la part de la Caisse de dépôt et de consignation, illustrant une stratégie d’obstruction systématique de la part des autorités.

Face à ces obstacles, la stratégie de la discrétion adoptée par Daffé semble être une tentative d’éviter davantage de blocages, notamment de la part des forces de l’ordre ou d’autres instances gouvernementales. Cette méthode, bien que non explicitée dans ses détails, a permis le dépôt du dossier au Conseil constitutionnel, un fait confirmé mais entouré de mystère quant à son exécution exacte.

Que va-t-il se passer ?

Le dossier de Sonko se distingue par son incomplétude apparente, dépourvu des fiches de parrainage officielles et de l’attestation de dépôt de caution. Cette situation place le Conseil constitutionnel face à un dilemme interprétatif : valider la candidature en reconnaissant les efforts de Sonko malgré les entraves gouvernementales, ou la rejeter en se basant sur l’absence de documents requis. La décision du Conseil aura des implications profondes, non seulement pour Sonko mais pour le paysage politique sénégalais dans son ensemble.

Présidentielle 2024 : tous les regards tournés vers le Conseil constitutionnel ce jeudi

À moins de deux mois de la présidentielle du 25 février prochain, le ballet des candidats à la candidature s’accélère au niveau du Conseil constitutionnel où leurs dossiers seront jugés recevables ou pas. Dernier délai pour les dépôts ce mardi à minuit. Durant la journée d’hier, les médias ont aperçu chez les «Sept sages» les mandataires de Anta Babacar Ngom, de Mary Teuw Niane, de Mame Boye Diao, de Ousmane Sonko, de Bassirou Diomaye Faye et de Mimi Touré, notamment.

Ces derniers été tous venus remettre les pièces censées rendre recevable la candidature de leurs champions respectifs. Ils devront repasser dans deux jours. En effet, rappelle Les Échos, le Conseil constitutionnel a fixé la date du 28 décembre pour le tirage au sort de l’ordre de traitement des dossiers de candidature. Moment crucial. «Tous les candidats à la candidature voudraient faire partie des premiers à passer parce que c’est à ce niveau que se jouent le problème des doublons (des parrainages)», signale le journal.

Celui-ci rappelle que pour la présidentielle de 2019, «il y avait quelques frictions entre Mimi Touré, qui déposait pour Macky Sall, et Malick Gakou qui déposait pour Idrissa Seck». Les dossiers étaient traités par ordre d’arrivée. Cette méthode avait créé un grand désordre devant les locaux de l’institution et suscité de vives tensions entre les états-majors des candidats. L’instauration du tirage au sort devrait permettre d’éviter une telle situation.

Affaire Ndella Madior Diouf : c’est bien pire que ce qui a été dit jusque-là

L’enquête de la Sûreté urbaine (SU) sur l’affaire «Keur Yeurmandé» continue de révéler de nouveaux éléments. D’après L’Observateur, qui relaye les derniers en date dans son édition de ce mardi, six morts ont été enregistrés parmi les bébés de la pouponnière de Ndella Madior Diouf. Au début de l’affaire, il était question deux morts. Si l’on en croit le journal, les noms des victimes renvoient à de grandes personnalités (artistes, animatrice, ministre, voir la liste).

Ces enfants sont tous décédés en octobre dernier, renseigne la même source. Qui ajoute qu’ils ont rendu l’âme au niveau de quatre structures sanitaires : Dalal Diam, Albert Royer, Samu Municipal et Clinique de l’Amitié.

L’Observateur révèle par ailleurs que «Ndella Madior Diouf signait les actes de décès à travers sa structure SOS Santé» et que l’un de ses employés, l’animateur El Sène de Saphir FM, était chargé de… l’inhumation des bébés morts.

Le journal du Groupe Futurs Médias informe que ce dernier a été arrêté et placé en garde à vue par la SU. Il rejoint ainsi sa patronne, interpellée jeudi, et sept nounous et deux assistants de la pouponnière, incarcérés à leur tour vendredi.

«Keur Yeurmandé» a été fermée. Les quarante-huit bébés trouvés sur place ont été évacués dans des structures de santé de la place. L’Observateur renseigne que les enquêteurs ont démarré le processus d’identification des parents des enfants.

Bougane Gueye a déposé son dossier de candidature au Conseil constitutionnel

La coalition Bougane2024 a déposé son dossier de candidature à l’élection présidentielle au Conseil constitutionnel. Les détails dans un communiqué que nous publions in extenso.

 » En ce jour béni de Noël, le mandataire de Bougane2024 a déposé le dossier de candidature de la coalition au conseil constitutionnel pour l’élection présidentielle du 25 février prochain. Ensemble nous allons amorcer la transformation du Sénégal et la lutte contre la corruption dans notre pays. J’en profite pour remercier les membres de la coalition Bougane 2024,les militants et sympathisants de Gueum Sa Bopp.

Mention spéciale aux jeunes et les 2700 facilitateurs qui se sont mobilisés pour la collecte,le tri,la sélection et le filtrage des parrainages. En plus du parrainage sur la fiche de collecte, les 58975 sénégalais qui ont sponsorisés ma candidature, nous ont également remis la copie de leur CNI pour parer à toutes éventualités.

Merci pour cette marque de confiance et rendez-vous le 02 Avril 2024 au Palais de la République pour servir ensemble notre cher pays. Que Dieu bénisse le Sénégal.

Bougane Guéye Dany
Candidat de Bougane2024
Leader du mouvement Gueum Sa Bopp

Présidentielle 2024 : Mimi Touré acte sa candidature

Aminata Touré a déposé son dossier de candidature auprès du Conseil Constitutionnel ce 25 décembre, veille de la clôture des dépôts. L’ancienne première ministre en a fait l’annonce sur ses réseaux.

« Notre candidature a été déposée ce matin au Conseil Constitutionnel. Je félicite notre mandataire national, nos délégués régionaux, tous les responsables et militants de #Mimi2024 » a-t-elle écrit.

Au delà de ce cap franchi, Mimi Touré promet de continuer de lutter pour « une élection inclusive et transparente continue ».

Le département de Mbour élit son jeune le plus influent en 2023

Vendredi 22 décembre 2023, la 3e édition des Mbour Elite Awards a couronné Guedji Diouf, Coordonnateur du cadre Unitaire de la jeunesse Départementale de Mbour (CUJEM), en tant que Jeune le plus influent du Département de Mbour.

Une reconnaissance méritée pour cet acteur dynamique qui a su se démarquer par son engagement et sa contribution significative au développement de la jeunesse locale. Le CUJEM, sous la direction de Guedji Diouf, a été un moteur essentiel dans la mobilisation des jeunes pour des initiatives communautaires et des projets sociaux. Cette distinction souligne l’impact positif de son leadership sur la vie de la communauté et renforce son rôle en tant que modèle inspirant pour les jeunes générations de Mbour.

Cette soirée des Mbour Elite Awards a ainsi célébré non seulement l’excellence de Guedji Diouf, mais également le dynamisme et l’ingéniosité de la jeunesse de Mbour, faisant de cet événement une vitrine incontournable des talents et des réussites locales.

Noël 2023 : Le président Macky Sall formule « des prières pour un Sénégal de paix, de stabilité »

À l’occasion de la fête de Noël 2023, le président sénégalais Macky Sall a adressé un message vibrant à la nation via les réseaux sociaux. Mettant l’accent sur l’unité et la solidarité, le président a formulé des prières pour un Sénégal caractérisé par la paix, la stabilité et la prospérité. Son message, imprégné d’espoir et de fraternité, résonne comme un appel à l’harmonie et au bien-être collectif, soulignant ainsi l’importance de la coexistence pacifique entre les diverses communautés religieuses du pays.

Le chef de l’État sénégalais se trouve à un moment charnière de sa carrière politique. En effet, alors qu’il célèbre sa dernière fête de Noël en tant que président, Macky Sall a confirmé qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat lors des élections prévues le 25 février 2024. Cette décision marque la fin d’une ère et le début d’une transition politique importante pour le Sénégal.

Dans un message empreint de chaleur et de fraternité, le président Macky Sall a adressé ses vœux à la communauté chrétienne du Sénégal, reconnaissant la cohabitation religieuse paisible entre musulmans et chrétiens comme un pilier de la société sénégalaise. Il a déclaré : “Très joyeux Noël à la communauté chrétienne en cette période de grâces et de ferveur religieuse, marquée par des prières pour un Sénégal de paix, de stabilité, de prospérité et de solidarité. Que cette fête d’espoir et de partage vous apporte joie et amour.” Ces mots ne sont pas seulement des vœux; ils incarnent l’esprit de tolérance et de solidarité qui caractérise le Sénégal.

Message de Noël : Mgr Benjamin Ndiaye invite les Chrétiens sénégalais à s’engager dans la…

Le temps de Noël est traditionnellement marqué par la joie, la paix et la célébration de l’esprit de générosité. Cependant, cette année, en marge d’un entretien sur Oficom, le site de l’église, Monseigneur Benjamin Ndiaye, archevêque de Dakar, revêt une dimension particulière en appelant les Chrétiens sénégalais à s’engager activement dans la politique.

Dans son message, Mgr Ndiaye a souligné l’importance pour les membres de la communauté chrétienne de prendre part au processus politique de leur pays. Il a mis en lumière le rôle crucial que peuvent jouer les Chrétiens dans la construction d’une société juste et équitable, en mettant en avant les valeurs fondamentales de l’Évangile.

Présidentielle 2024 : Dr Abdourahmane Diouf est passé au Conseil constitutionnel

Dr Abdourahmane Diouf fait aussi focus sur Février 2024, déposant sa candidature dimanche au Conseil constitutionnel. Et c’est avec plaisir que le leader du parti Awalé en informe ses compatriotes.

La coalition Abdourahmane Diouf 2024 franchit un pas décisif en perspective de la prochaine Présidentielle.

« Nous avons procédé au dépôt du dossier de ma candidature pour l’élection présidentielle de 2024, ce dimanche 24 décembre au Conseil Constitutionnel », s’est réjoui le Candidat à l’élection présidentielle de 2024

JLe Président du parti Awalé n’a pas manqué de remercier « tous les Jàmbaar du parti, les alliés de la coalition Abdourahmane Diouf 2024 et tous les Sénégalais d’ici et de la diaspora pour leur soutien et leur confiance ».

Dépôt des candidatures d’Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye au Conseil Constitutionnel

L’ex-parti Pastef, représenté par ses figures Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, a adopté une stratégie singulière en vue des prochaines élections présidentielles au Sénégal. Sources proches du mouvement révèlent que les deux hommes ont soumis leurs dossiers de candidature au Conseil constitutionnel, intégrant ainsi un groupe restreint de 28, cette étape cruciale. Cette démarche semble être une manoeuvre visant à maximiser les chances de présence du parti dissous dans la course électorale, espérant qu’au moins une des deux candidatures soit validée.

Particulièrement notable est le cas d’Ousmane Sonko, confronté à des défis administratifs significatifs. Incarcéré, Sonko fait face à des obstacles dans la collecte des parrainages et le dépôt de la caution requise, principalement en raison de controverses autour de son éligibilité liée à son statut sur les listes électorales. Malgré les ordonnances de réinscription émises par les tribunaux de Ziguinchor et Dakar, les autorités restent inflexibles.

À ce jour, aucune communication officielle n’a été faite par la formation politique concernant ces dépôts.

Candidats enregistrés au Conseil Constitutionnel par ordre alphabétique

À au soir du 24 décembre 2023: Voici la liste ordonnée des individus ayant franchi cette étape décisive :

Abdoulaye Sylla
Abdourahmane Diouf
Ada Coundoul
Aida Mbodj
Aliou Mamadou Dia
Alioune Sarr
Amadou Ba
Amadou Seck
Babacar Ndiaye
Bara Doly Mbacké
Bassirou Diomaye Faye
Birima Mangara
Boun Abdallah Dionne
Daouda Ndiaye
Dethié Fall
Hamidou Dème
Idrissa Seck
Jean Batiste Diouf
Karim Wade
Khalipha Ababacar Sall
Mame Boye Diao
Mamadou Lamine Diallo
Malick Gakou
Momar Ndao
Ousmane Sonko
Pape Djibril Fall
Serigne Mboup
Thierno Alassane Sall

NECROLOGIE / Décès de Boubacar Diop, trajectoire d’un journaliste atypique, pionnier de la presse libre au Sénégal

Boubacar Diop, fondateur de l’ancienne publication “Promotion’’ et pionnier de la presse libre au Sénégal, est décédé samedi à Rufisque à l’âge de 86 ans des suites d’une courte maladie, a appris l’APS de son fils Sidy Diop.
“Mon père se portait bien malgré son âge. Il est parti suite à une courte maladie. Il était malade depuis une semaine. Mais il est parti paisiblement dans un sommeil’’, a expliqué Sidy Diop.
“Boubacar Diop et son ami le défunt Mame Less Dia étaient des journalistes militants, mais libres. Leur empreinte dans la profession journalistique reste intacte, même la jeune génération de journalistes en parle’’, a témoigné Sidy Diop contacté par l’APS.
Fondateur et directeur du mensuel “Promotion’’, Boubacar Diop a connu un parcours atypique. Natif de Rufisque, Il a été tour à tour, militaire en tant que citoyen français avant l’indépendance avant de devenir greffier puis journaliste.
Même si son nom se confond avec le mensuel “Promotion’’ qu’il a créé en 1972, Boubacar Diop a fondé son premier journal en 1965, soit cinq années après l’indépendance du Sénégal.
“Ce journal s’appelait +Les Echos du Sénégal+. Il l’a créé en 1965. Sa création avait coïncidée à un congrès de l’Union progressiste sénégalaise (UPS, devenue en 1976 le Parti socialiste) à Kaolack’’, rappelle son fils Sidy Diop.
“A l’époque il y avait un débat houleux sur le code de la famille entre le régime socialiste et les familles religieuses. Boubacar Diop en avait rajouté une couche à la polémique en consacrant le premier numéro de Les Echos du Sénégal au code de la famille’’, a poursuivi le fils de Boubacar Diop.
C’est en 1972 que Boubacar Diop a fondé le fameux mensuel Promotion pour exercer un journalisme indépendant malgré son militantisme affiché.
Ce journal réputé dans les années 1970-1980 avait son siège au centre-ville à la rue Valmy. “Le siège était devenu un point de chute pour beaucoup d’hommes libres à l’époque (…) le siège hébergeait également le journal +Le Politicien+ de Mame Less Dia à partir de 1974’’, a fait observer Sidy Diop.
Boubacar Diop “Promotion’’ a été emprisonné à plusieurs reprises sous le régime socialiste. “A chaque fois qu’il sortait de prison, le journal Promotion connaissait une nouvelle vie. Il y a eu Promotion 1, Promotion 2, Promotion 3. C’était au gré de ses séjours carcéraux’’, a rappelé son fils Sidy Diop qui a lui-même travaillé au journal Promotion.
Au milieu des années 1990 Boubacar Diop s’est peu à peu retiré du mensuel Promotion pour se consacrer à une nouvelle expérience dans les médias.
Gagné par l’âge, M. Diop se consacre exclusivement à la spiritualité. “Takhwa’’ (crainte d’Allah) est la dernière publication qu’il a créée. Ce bimensuel traitait des choses religieuses et des sujets consacrés à la spiritualité.
Cet ancien militaire, membre de la classe 57 fut un soldat de l’information dans un pays nouvellement indépendant où bousculer l’ordre établi correspondait à s’exposer à des risques.

Présidentielle 2024 : « Ousmane Sonko ne sera pas candidat… » (Mamadou Goumbala)

Le leader du parti ex-Pastef sera-t-il candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024? En tout cas, pour l’homme politique, Mamadou Goumbala, Ousmane Sonko ne sera pas candidat. Selon lui, le régime en place a réussi à écarter le maire de Ziguinchor de la présidentielle. Il invite l’opposition à s’unir. Au cas contraire, Amadou Ba va gagner la présidentielle.

« Ce qui est arrivé à Ousmane Sonko est injuste. C’est toujours ma position sur les déboires judiciaires de Sonko. C’est d’ailleurs la même chose qui est arrivée à Khalifa Sall et Karim Wade. Je savais dès le début que tout ça a été orchestré pour empêcher la candidature de Sonko« , a déclaré Mamodou Goumbala, ce vendredi, dans l’émission Ndoubélane, sur la Sen Tv.

Pour lui, le maire de Ziguinchor reste favori pour sortir vainqueur au soir du 25 février 2024. « Sonko est majoritaire, dans les sondages, dans ce pays. S’il participe à l’élection, il va gagner sans détours…Mais, c’est dommage, il ne sera pas candidat. On veut aussi empêcher la candidature de tous les membres de Yewwi Askan Wi…« , a-t-il dit

Mamadou Goumbala appelle l’opposition à faire bloc. « J’interpelle l’opposition et la coalition Yewwi Askan Wi à s’unir. Sinon Amadou Ba va gagner la présidentielle. Cette opposition Sénégalaise a l’obligation de trouver un candidat pour espérer gagner l’élection. Je suis persuadé que Ousmane Sonko ne sera pas candidat mais son électorat compte. Donc il faut s’unir« , dixit-il.

Regardez

https://youtube.com/watch?v=cswL4uDyIa0%3Fsi%3DLR_dFOK94U-ATXo-%26start%3D1007

Présidentielle 2024 : « Sonko sera rétabli dans ses droits par le Conseil constitutionnel » (Ngouda Mboup)

Ngouda Mboup
Ngouda Mboup

Ngouda Mboup continue de croire à la candidature de Ousmane Sonko à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Selon le juriste, le leader du parti ex-Pastef sera rétabli dans ses droits par le conseil constitutionnel. Le constitutionnaliste estime que le maire de Ziguinchor sera bel et bien candidat.

Voici en intégralité son post :

A l’image des juges de Ziguinchor et de Dakar, Ousmane SONKO sera rétabli dans ses droits par le Conseil constitutionnel et sa candidature déclarée recevable !

La délivrance des fiches de collecte de parrainages ne saurait être le prétexte ou l’occasion pour procéder à des actes de discrimination, de confiscation des droits constitutionnels, d’atteinte à la liberté d’un candidat à la candidature.

Le refus de délivrer des fiches de collecte de parrainages au candidat Ousmane SONKO pose, naturellement, un problème de principe dans un Etat de droit.

La Direction Générale des Elections (DGE), simple administration, peut-elle refuser de délivrer des fiches de collecte de parrainages à un mandataire légal d’un candidat à la candidature ?

En vertu de la jurisprudence CONSTANTE du Conseil constitutionnel, une réponse négative s’impose immédiatement. (Voir Décisions N°/E/3/98, du 5 avril 1998, Insa SANKHARE, Mandataire R.P.J.S, N°8/E-2022, du 21 mai 2022, Affaire Yewwi Askan Wi c/Ministre de l’Intérieur, N°9/C/2023 du 14 décembre 2023, Groupe Yewwi Askan Wi, N°5/C/2023, du 12 juillet 2023, Groupe Yewwi Askan Wi).

Dans toutes ces décisions, le Conseil constitutionnel a eu à préciser que le refus et les agissements de l’administration non- imputables au (x) concerné (s) donnent lieu au rétablissement de ses droits. En effet, le Conseil constitutionnel estime toujours que l’existence d’un PROCÈS-VERBAL INTERPELLATIF d’HUISSIER qui permet de démontrer la CARENCE et la DÉFAILLANCE IMPUTABLES à l’administration doit conduire à rétablir le (s) concerné (s) dans ses droits.

La fiche de collecte de parrainage est le support de l’expression d’un choix, elle ne saurait faire l’objet d’un détournement de pouvoir, ni donné lieu à un abus d’autorité, ni permettre de discriminer un candidat à la candidature dans le but de porter atteinte à sa liberté de candidature.

Le refus volontaire, manifestement illégal, de la DGE opposé au mandataire d’Ousmane SONKO, de manière inédite, à cette délivrance des fiches de parrainage, et la réaction de la CENA, qui a finalement été confrontée, concrètement, à l’affaissement de l’Etat de droit, la DGE l’ayant publiquement désavoué par actes de défiance, soulève plusieurs problèmes juridiques dans un Etat qui s’est baptisé Etat de droit démocratique.

En vertu de sa jurisprudence CONSTANTE (ancienne et récente), une réponse du Conseil constitutionnel, parfaitement justifiée et motivée, au regard de la finalité de la procédure de parrainage, doit permettre de déclarer recevable la candidature du Président Ousmane SONKO.

Ousmane SONKO est candidat et il participera à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Partout où le Droit sera dit, Ousmane SONKO aura raison et il triomphera.

Que ceci nous serve d’avertissement !

Mouhamadou Ngouda MBOUP

Enseignant-chercheur de droit public FSJP/UCAD

Équipe nationale: Aliou Cissé sans salaire depuis 6 mois

Le sélectionneur de l’équipe nationale du Sénégal, Aliou Cissé, ne va certainement pas fêter Noël dans la tranquillité. Avec la pression qui pèse sur lui à la veille de la Can et à quelques jours de la publication de la liste des Lions pour cette compétition, Cissé a des soucis financiers. Selon Dsport sn, il est resté six mois sans salaire. 
‘’Aliou Cissé dans la tourmente A moins d’un mois de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, Côte d’Ivoire 2023, prévue du 13 janvier au 11 février prochain, Aliou Cissé est en train de vivre une situation rocambolesque pour être resté 6 mois sans salaire’’, lit-on sur les pages des réseaux du nouveau média sportif. 

Scandale «Keur Yeurmandé» : ce que risque le personnel

L’enquête s’emballe. Sept (7) nounous et deux (2) assistants ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête ouverte pour élucider le scandale de la pouponnière «Keur Yeurmandé».
L’Observateur, qui donne l’information, précise que leur patronne, Ndella Madior Diouf, cueillie jeudi dernier, et poursuivie pour « homicides involontaires, maltraitance sur des enfants, et exploitation d’une pouponnière sans autorisation » pourrait entraîner « une bonne partie » de ses employés retenus pour nécessité d’enquête.
En effet, poursuit le journal, les enquêteurs cherchent à se faire une religion sur leur responsabilité dans la maltraitance des nourrissons.
« S’il est avéré que ces nounous, assistants et autres employés ont posé, en toute connaissance de cause, des actes favorisant la mise en danger de la vie de bébés, ils seront retenus dans les liens de la détention. Par contre, si l’enquête ne parvient pas réunir des charges suffisantes de nature à motiver leur défèrement, ils seront remis en liberté à charge pour eux de répondre à toute réquisition ultérieure de la Justice », susurrent des sources de L’Obs.
Les employés ont livré des réponses à charge contre leur patronne, lors de leur audition, notamment sur les questions relatives à la prise en charge des nourrissons.

Affaire Ndella Madior Diouf : les nounous déballent, de graves révélations

Les choses se corsent pour Ndella Madior Diouf. Placée en garde à vue par la Sûreté urbaine (Su) depuis jeudi, et poursuivie pour homicides involontaires, il lui est reproché, entre autres, la mort de deux pensionnaires de sa pouponnière, «Keur Yeurmandé».
Selon Libération, l’enquête a confirmé que les deux nourrissons sont décédés suite à « une dénutrition. »
Embarqué jeudi par la Brigade de protection des mineurs de la Su, le personnel de la pouponnière a été aussi auditionné. Une des nounous a révélé que des avortements clandestins ont été perpétrés dans la pouponnière, rapporte le journal.
« C’était un business pour elle », accuse un autre membre du personnel. Qui renseigne que Ndella Madior Fall « recevait énormément d’argent de gens célèbres à qui elle faisait croire que tel ou tel enfant portait le nom. » Mais, elle n’avait « aucun sentiment » pour les enfants qui évoluaient dans « un milieu chaotique. »
Pour rappel, Ndella Madior Diouf a été cueillie pour avoir refusé de déférer à une convocation suite à une plainte. « Auteure de la plainte, la femme, qui réclamait son bébé donné après accouchement à la pouponnière s’était ainsi vu réclamer 5 millions de frais Cfa pour les frais », souffle la source.

(Clip officiel)- «Gouy Gui», Dior Mbaye tape encore fort avec un tube de fin d’année

L’artiste chanteuse Dior Mbaye vous revient avec un beau cadeau de Noël.

L’interprète de «Mala Fal» vient de sortir son tout nouveau single intitulé «Gouy Gui» dans cette fin d’année

Une très belle chanson avec des paroles riches et pleins d’enseignements

Regardez

(Clip officiel)- «Sama Seytané»; Pape Diouf, dévoile son tube de fin d’année

L’artiste chanteur Pape Diouf a dévoilé ce vendredi son tout nouveau clip, intitulé «sama seytané ». Une magnifique chanson d’amour, extrait de son nouvel album «L’Alchimie Live»

Regardez

« Ouverture Solennelle de la Conférence Nationale des Chefs de Parquet au Sénégal : Un Rassemblement Déterminant pour la Justice »

Dans un contexte où la justice joue un rôle crucial, la conférence nationale des chefs de parquet a débuté aujourd’hui au Sénégal avec une cérémonie d’ouverture solennelle. L’événement, qui réunit des procureurs de tout le pays, vise à aborder des enjeux majeurs liés à la justice, à partager des expériences et à discuter de stratégies pour renforcer le système judiciaire.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par la présence de dignitaires gouvernementaux, de représentants de la magistrature, ainsi que de membres éminents du barreau. Le discours d’ouverture a été prononcé par Me Aissata Tall ,ministre de la justice du sénégal,soulignant l’importance de la conférence dans le contexte actuel de l’administration de la justice.

Au cours des prochains jours, les participants auront l’occasion d’assister à des sessions plénières, des ateliers et des discussions approfondies sur des questions telles que la lutte contre la criminalité, l’amélioration de l’efficacité judiciaire et la protection des droits fondamentaux. Des experts nationaux et internationaux interviendront pour partager leurs connaissances et leurs meilleures pratiques.

La conférence vise également à renforcer la coopération entre les parquets, favorisant ainsi une approche collaborative pour résoudre les défis judiciaires complexes. Des séances interactives permettront aux participants d’échanger des idées novatrices et de formuler des recommandations concrètes pour améliorer le système judiciaire.

Cet événement promet d’avoir un impact significatif sur l’avenir de la justice au Sénégal, renforçant la crédibilité et l’efficacité des parquets. Restez informés pour des mises à jour détaillées sur les développements clés au cours de la conférence.

Cour Suprême : Le recours de Barthélemy Dias dans l’Affaire Ndiaga Diouf a été rejeté

La Cour suprême du Sénégal a rejeté le pourvoi en cassation déposé par Barthélémy Dias, député maire. Cette décision clé confirme le jugement précédemment rendu en appel.

Tous les moyens présentés par la défense ont été jugés irrecevables par la Cour. Ce verdict signifie que les arguments avancés, dont l’exception d’inconstitutionnalité, n’ont pas été considérés comme valables pour remettre en cause la décision d’appel. L’ultime conviction exprimée par les conseils de Dias n’a pas suffi à influencer le jugement de la Cour suprême.

La Cour a condamné Barthélémy Dias aux dépens, impliquant qu’il devra supporter les frais judiciaires associés à cette procédure de cassation. Cette décision met un point final à la tentative de Dias de renverser le jugement en appel,

Scandale à la pouponnière Ndella Madior : Des dizaines de bébés évacués à l’hôpital…

Le scandale à la pouponnière Keur Yeurmandé continue de susciter une vague d’indignation. Après la garde à vue de Ndella Major Diouf à la police centrale, les bébés ont été récupérés hier soir par quatre ambulances. Il s’agit d’une dizaine de bébés évacués vers une structure sanitaire hospitalière pour y être pris en charge.

Selon Sudfm, la Police nationale a mené une perquisition à la pouponnière Keur Yeureumandé de Ndella Madior Diouf, qui est poursuivie pour « homicides involontaires, maltraitance sur des enfants, et exploitation d’une pouponnière sans autorisation ».

Un scandale qui a éclaté après la publication d’une vidéo montrant des images désolantes de la pouponnière. Des images qui ont indigné la majeure partie des Sénégalais, les poussant à lancer une pétition pour la fermeture immédiate et sans délai de l’orphelinat de Ndella Madior Diouf.

Congrès d’investiture de l’APR : Le candidat Amadou Ba rend un vibrant hommage au président Macky Sall et assure la victoire pour BBY

CONGRES D’INVESTITURE DE L’ALLIANCE POUR LA REPUBLIQUE

ALLOCUTION DE MONSIEUR AMADOU BA, 

CANDIDAT DE LA COALITION BENO BOKK YAAKAAR

Dakar, le 21 décembre 2023

Monsieur le Président de la République, Président de l’Alliance pour la République,Son Excellence, Monsieur Macky SALL,

Mesdames, Messieurs les dirigeants de parti politique et d’organisation,

Mesdames, messieurs les membres du Secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République,

Honorables membres de l’Alliance pour la République,

Distingués membres de la coalition Benno Bokk Yaakaar, 

Chers congressistes,

Chers invités,

Mesdames, messieurs,

C’est avec une immense gratitude que je me retrouve ici avec vous, en famille. Une famille à laquelle je suis fier et honoré d’appartenir, l’Alliance pour la République, l’APR

Cette grande famille que nous sommes, nous la devons à l’audace, à la vision et à l’ambition que le Président de la République Macky SALL, Président de l’APR, a pour notre pays.

L’histoire de l’APR est tout simplement extraordinaire, à l’image de celle de son père fondateur dont le parcours est tout aussi exceptionnel. L’APR, qui, en un temps record, a su conquérir le pouvoir. Cela témoigne de la justesse de son combat et du courage de son chef. 

Malgré les défis, l’APR est restée un parti ouvert, accueillant les idées et les aspirations diverses de notre peuple etinvitant ses précieux alliés à travailler main dans la main pour le bien-être de notre nation. L’APR est la locomotive de notre coalition Benno Bokk Yaakaar. Cette alliance à laquelle le Président de la République Macky SALL tient tant, et qui a battu tous les records de longévité politique.

Mesdames, messieurs,

Je tiens à exprimer ma reconnaissance au Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, ainsi qu’à l’ensemble des responsables, militants et sympathisants de l’APR, pour la confiance placée en ma personne, en me choisissant comme candidat à l’élection présidentielle de 2024

Je suis honoré de vous dire que j’accepte d’être votre candidat, le candidat de l’APR et le seul candidat de Benno BokkYaakaar pour l’élection présidentielle à venir. 

Oui, j’accepte votre investiture !

Je l’accepte volontiers, avec honneur et fierté, d’autant qu’elle me place sur les traces de mon mentor, mon leader. Un homme d’État exceptionnel, un visionnaire, le bâtisseur du Sénégal nouveau. Je sais que les Sénégalais souhaitent avoir comme successeur du Président de la République Macky SALL, quelqu’un qui saura consolider ce qu’il a fait, quelqu’un qui saura puiser dans son héritage, pour aller encore plus loin, faire encore plus, faire encore mieux et plus vite.

Oui, j’accepte votre investiture, avec engagement et confiance, car elle me donne l’opportunité de poursuivre la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent. Ensemble, nous allons progresser dans le potentiel ouvert du PSE pour plus de paix, plus de prospérité et plus de partage.

Oui, j’accepte de continuer la mise en œuvre du PSE, avec loyauté et fidélité.

J’accepte l’investiture aussi avec humilité, car je sais que, de nos rangs, des rangs de ce grand parti qu’est l’APR, peuvent émerger bien d’autres responsables, tous aussi capables que moi d’accomplir cette mission. Parce qu’en réalité, le Président de la République, le Président de l’Alliance pour la République Macky SALL a su former, préparer nombre d’entre nous à cet exercice.

Oui, je l’accepte avec ferveur et ouverture, car l’APR et Benno BokkYaakaar n’ont pas encore fini d’écrire les plus belles pages de l’histoire de notre pays. 

Oui, l’APR sera renforcée. Benno sera renforcée.

Je l’accepte avec espoir, car votre confiance me rassure. Votre confiance m’oblige. Et je suis convaincu que je peux mener notre coalition à la victoire.

Mesdames, messieurs,

Je tiens à saluer, avec chacun d’entre vous, la vision d’un homme d’exception, un leader multidimensionnel dont l’œuvre a profondément marqué et continuera de marquer notre pays. Je veux nommer le Président de la République, le Président de l’Alliance pour la République, Son Excellence, Monsieur Macky SALL. Je lui rends hommage pour la confiance qu’il m’accorde en m’apportant son soutien et ses conseils.

[Je demande, à tous, de vous lever et de l’applaudir]

Mesdames, messieurs,

Je voudrais insister particulièrement et apporter des remerciements sincères, respectueux, reconnaissants à l’un des meilleurs présidents que le Sénégal ait connus, Son Excellence Monsieur Macky SALL, une inspiration, celui que j’appelle le Président du Sénégal moderne.

Celui qui a pu se nourrir de l’œuvre de ses prédécesseurs pour pousser le plus loin le développement du Sénégal. 

Celui qui m’a fait siéger dans les instances les plus importantes de notre parti et d’être au contact de personnalités remarquables qui ont contribué à faire de l’APR ce qu’elle est devenue aujourd’hui, c’est-à-dire un grand parti.

Celui auprès de qui j’ai appris à diriger des ministères et parmi les plus importants. 

Celui auprès de qui j’ai compris beaucoup de choses sur ce que c’est que diriger un État, une Nation, une République et une démocratie moderne, une coalition politique plurielle. 

Monsieur le Président de la République, 

Président de l’Alliance pour la République,

Votre vision audacieuse et vos efforts inlassables ont contribué à transformer positivement notre pays, dans tous les domaines ; de l’économie à l’éducation, en passant par les infrastructures et bien plus encore. 

Votre amour et votre dévouement envers notre pays est une source d’inspiration pour nous tous. Votre détermination à placer le Sénégal sur la voie de l’émergence mérite notre reconnaissance et notre respect. 

Votre leadership, votre caractère qui associe fermeté et ouverture. Votre intransigeance lorsqu’il faut protéger l’État, la Nation, la République. Votre détermination lorsqu’il faut assurer la paix sociale et la stabilité du pays ont maintenu le Sénégal debout. 

Sous votre leadership, le Sénégal a su allier la robustesse du baobab et la souplesse du roseau. Ainsi notre pays est sous bonne garde et outillé pour le demeurer.

Aujourd’hui et demain, plus que par le passé, votre intelligence politique, votre sagesse, votre expérience et votre présence seront essentielles pour remporter la victoire et pour gouverner avec succès notre pays. 

Votre clairvoyance, forgée par des années d’engagement dévoué envers le Sénégal, est une lumière qui nous guidera vers un avenir paisible et prospère pour tous.

Monsieur le Président de la République,

Mesdames, messieurs,

Je tiens à remercier aussi les leaders, membres et sympathisants des partis politiques, mouvements et structures qui composent notre coalition, la grande coalition Benno Bokk Yaakaar. 

Permettez-moi de citer Madame Aminata MBENGUE NDIAYE et Monsieur Moustapha NIASSE. 

Je connais votre attachement au Sénégal, votre grand souhait d’un Sénégal de paix, de progrès et d’inclusion. 

Vous avez choisi de rester dans la coalition, de poursuivre cette alliancecar, si même tout n’est pas parfait, vous avez vu qu’ensemble nous avons fait de grands pas, de grandes réalisations. 

Vous avez choisi de poursuivre cette alliance, car vous pensez qu’elle est porteuse d’avenir pour le développement du Sénégal. 

Vous avez choisi de poursuivre cette alliance car nos leaders ont su toujours se concerter, surtout dans les grands moments, en plaçant l’intérêt du Sénégalau-dessus de tout autre. 

Vous voulez poursuivre cette alliance et porter ma candidature, car vous savez que chaque fois que l’on a été unis, solidaires, alors nous avons gagné. 

Et vous voulez poursuivre cette alliance,car vous savez qu’ensemble et derrière le Président de la République Macky SALL, nous avons su oser, innover dans nos actions, dans nos projets, dans notre vision pour faire accomplir au Sénégal ses avancées les plus marquantes, les plus tangibles dans la voie du développement et dans la voie de l’inclusion sociale. 

Monsieur le Président de la République,

Mesdames, messieurs,

Mon engagement envers notre parti et notre coalition est sans faille. Je ressens une responsabilité immense envers chaque militant et chaque sympathisant qui place sa confiance en notre coalition pour bâtir un avenir meilleur. 

Je suis déterminé à œuvrer pour l’unitéde notre coalition, à rassembler toutes les forces et les voix en son sein. Car c’est en restant unis, que nous pourrons faire face aux défis et saisir les opportunités qui se présenteront à nous.

Je crois en la force de l’unité. Je suis résolu à être le rassembleur dont notre coalition a besoin en ces temps précis. Mon engagement premier est de maintenir l’unité de notre parti et de préserver la cohésion de notre coalition.

Nous sommes une alliance diversifiée, avec des opinions et des perspectives variées. Mais la diversité de notre coalition et de notre parti est une richesse et un atout. C’est dans cette diversité que nous puisons notre capacité à proposer des solutions innovantes et à répondre aux besoins de notre peuple.

Notre capacité à réaliser cette unité est réelle, car nous avons des valeurs et une vision communes pour notre pays. C’est sur ces valeurs et cette vision que nous bâtirons notre unité, notre solidarité et notre cohésion. Ensemble, nous pouvons transcender nos différences pour atteindre un objectif commun : maintenir Benno Bokk Yaakaar au pouvoir en 2024.

Je favoriserai un dialogue ouvert et inclusif, où chaque opinion est entendue, où chaque voix compte. Je maintiendrai une communication transparente et régulière avec tous les responsables de notre parti et de notre coalition. Je veillerai à ce que chacun d’entre eux se sente impliqué et écouté dans le processus décisionnel. Nous nous appuierons sur nos forces respectives pour bâtir une campagne forte, porteuse d’espoir pour le Sénégal de demain.

Je considère la préservation de la cohésion nationale comme l’une des priorités les plus essentielles. Notre pays traverse, en effet, une période délicate, marquée par des défis majeurs, tels que la montée de l’insécurité dans la sous-région dans le contexte d’exploitation du pétrole et du gaz sur notre territoire. Face à ces enjeux, la cohésion nationale est le ciment qui nous permettra de surmonter les obstacles et de bâtir un avenir plus stable et prospère.

Aussi, ne ménagerai-je aucun effort pour que notre coalition continue d’être une force pour la paix et la stabilité de notre pays. Je prends la menace sécuritaire très au sérieux. Je m’engage à renforcer nos forces de défense et de sécurité pour assurer la protection de nos frontières et garantir la sécurité de nos concitoyens. Nous devons également coopérer avec nos voisins et la communauté internationale pour lutter contre le terrorisme et les autres menaces transfrontalières.

Mesdames, messieurs,

Je suis déterminé à mener le Sénégal vers l’émergence avec dévouement, loyauté et passion. J’ai participé à l’opérationnalisation, à la mise en acte, aux ajustements et améliorations de la vision la plus ambitieuse du développement du Sénégal : le Plan Sénégal Emergent. 

Le PSE, une vision qui porte le présent et un énorme potentiel pour le devenir de notre pays. Je poursuivrai sa mise en œuvre, en veillant à ce que chaque mesure prise contribue réellement au progrès et à l’amélioration des conditions de vie de nos concitoyens. 

Nous continuerons à favoriser l’investissement, à promouvoir l’innovation et à soutenir nos entrepreneurs pour stimuler la croissance économique et créer des emplois durables. 

Monsieur le Président de la République,

Mesdames, messieurs,

Je suis conscient de la lourdeur de la tâche surtout lorsqu’il s’agit de succéder à quelqu’un qui en a tant fait. Mais nous avons appris auprès de lui à savoir relever des défis. Ce que le Président Macky SALL nous demande, c’est d’avancer dans la voie de l’émergence, de maintenir le Sénégal en paix. Et la prospérité, partagée par tous les Sénégalaises et Sénégalais.

Je suis persuadé qu’avec votre soutien, je vais marquer le Sénégal comme le Président de l’emploi et de l’épanouissement des jeunes. Je promets des avancées majeures, une mobilisation des ressources, des idées et des expertises jamais atteinte pour offrir de bons emplois et le bien-être à nos jeunes. 

Je vous invite aussi à m’accompagner pour aller encore plus loin dans la lutte contre les fractures sociales. Je promets de travailler fort pour que nous soyons une société de plus d’équité sociale, une société de la prospérité partagée, une société de la prospérité pour tous.

Je lance donc un appel vibrant à chaque citoyen, à chaque leader politique, à chaque responsable, à chaque homme et femme de ce pays : unissons-nous pour le bien supérieur de notre nation. 

Avant de clore mon propos, je tiens à rendre hommage appuyé à nos chefs religieux de toutes les religions, à nos chefs coutumiers dont les prières et les sages conseils ont aidé à la stabilité du Sénégal et à son ancrage dans la paix et dans le précieux savoir vivre ensemble. 

Monsieur le Président de la République,

Mesdames, messieurs,

Encore une fois, je vous remercie pour l’honneur que vous me faites et je vous dis que nous vaincrons au soir du 25 février2024. 

Vive l’APR !

Vive la coalition Benno Bokk Yaakaar ! 

Vive le Sénégal !

SEMIG: La directrice Mme Fatoumata Niang Ba a reçu la délégation….

Ce jeudi 21 décembre 2023
La directrice Générale de la SEMIG Mme Fatoumata Niang Ba a eu l’honneur de recevoir, en compagnie de ses proches collaborateurs, une délégation des autorités administratives de la région de Dakar, à sa tête Le Gouverneur de de Dakar, le président de CCIAD.
Le but de cette rencontre, qui a vu la participation du représentant du ministre du commerce de la consommation et des pme, des acteurs du sous secteur du transport routier et d’autres représentants de structures assimilées, était de mener une réflexion stratégique sur les modalités de d’exploitation effective et optimale de la Gare des gros porteurs de Diamniadio.
En effet cette infrastructure routière jumelée au marché d’intérêt national avec ses aires de stationnement gros porteurs devrait contribuer significativement à l’amélioration et à la fluidité du trafic intra urbain.
Le dispositif de la GGP est une parfaite illustration de l’engagement du Président de la République Macky Sall à faciliter le commerce intérieur par une meilleure régulation du trafic routier.
Ceci prouve à suffisance sa volonté de renforcer les échanges internes et notre économie pour un Sénégal émergent.
Les échanges ont été fructueux.
À l’issu de la rencontre un comité restreint à été mis sur pied pour approfondir la réflexion et définir un calendrier d’exécution des points de diligence évoqués.

La réponse sèche de Dj Kheucha à Diamil Vibe Radio «Y’a ngui wakhé ak khol…»

Dj Kheucha, l’animateur vedette de la 2stv, n’est plus à présenter grâce à son talent dans le milieu audiovisuel.

Sur son compte Instagram, visité par kawtef.com, l’animateur vedette de 2stv semble être en froid avec Dj Diamil de Vibe Radio.

Le présentateur de 11 – 13 a posté une vidéo de Dj Diamil de ce dernier sur son compte Instagram ajoutant un texte «Ya ngui wakhé ak khol» comme pour dire «Tu parle avec une rancune »; dit-il, en répondant Dj Diamil qui avait dit qu’il est le meilleur animateur que lui

Rétrospective : Les couples qui se sont séparés en 2023

« On s’est aimé comme on se quitte… » Cette année 2022 n’a pas été épargnée par les séparations et divorces de couples de stars emblématiques du show biz. Le grand public les croyait inséparables, mais la vie commune en a décidé autrement, constate kawtef.come

Astou Dione et Cheikh Yerim Seck ouvrent le bal des divorces

Le célèbre journaliste Cheikh Yerim Seck et Astou Dione se sont séparés en début 2023. Un divorce qui a suscité beaucoup de polémiques sur les réseaux sociaux, car l’union n’a duré que quatre mois.
Après son divorce avec le journaliste, Astou Dione s’est remariée avec un cadre de la Sonatel

Bijoux Ngoné, le 4e divorce

Bijou Ngoné, l’animatrice phare de l’émission « Confrontation » sur la 2sTV, a mis fin à son mariage avec Ibou Ndao, après trois ans de vie commune.
Il s’agit du quatrième divorce de l’animatrice

Ndeye Ndiaye Banaya divorce deux mois après son mariage

L’ex danseuse de Sidy Diop, Ndeye N’diaye Banaya a divorcé avec son mari Maguette Fall après juste deux mois de mariage.

Coumba Bou Ndaw jette son mari après 5 mois de mariage

Connue sous le nom de « Coumba Bou Ndaw » dans la série sénégalaise « Infidèles », Khady Ndiaye de son vrai nom, a mis fin à son mariage avec M. Ndiaye après 5 mois de vie commune.

Le couple Ndakhté Lo et Mario Mbaye bat de l’aile.

La chanteuse Ndakhté Lo a quitté définitivement son mari Mario Mbaye après 11 mois de mariage.
Selon plusieurs sources concordantes, la starlette de Sen Petit Gallé reproche à son mari une infidélité.

Apres un an de mariage: Penda Guissé divorce pour la deuxième fois

L’impensable s’est aussi produit entre Pendo Guissé et son mari. Le couple qui reflétait un parfait amour sur les réseaux sociaux est au point mort.
La chanteuse a mis fin son union avec Pape Diouf.

Rita Hora et Feuneu se séparent après 5 mois de mariage

Connue sous le nom de «Nathalie » dans la série sénégalaise «Karma », Maguette Fall, de son vrai nom, Rita Hora sur les réseaux sociaux a divorcé avec Feuneu, célèbre producteur français d’origine ivoirien.
La planète people a été secouée par l’annonce de leur divorce

Kawtef.com

Présidentielle 2024 : comment Khalifa Sall a rassemblé sa caution

Candidat de Taxawu Sénégal, Khalifa Sall devrait dans les prochaines heures déposer sa caution pour la présidentielle de février 2024. L’ancien maire de Dakar a reçu les 30 millions de francs CFA nécessaires, ce mercredi au cours d’une cérémonie au QG de la coalition à Sacré Cœur.

D’après Les Échos, qui donne l’information, les fonds proviennent des contributions des partisans Khalifa Sall. Le journal rapporte que les femmes de Taxawu ont contribué pour 8 millions tandis que les articles aux couleurs du mouvement et à l’effigie de son leader, ont rapporté 15 millions. Les ventes étaient coordonnées par Soham Wardini, souligne la même source. Celle-ci ajoute que les 7 millions restants ont été versés par «les anciens, les élus et autres mouvements».

«La manne financière ainsi que les parrainages collectés ont été mis à la disposition de Khalifa Sall», renseigne Les Échos.