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Février 2024 : « Allons aux urnes dans le calme, la sérénité et le fair-play », Macky Sall

Ce dimanche 32 décembre 2024, le président Macky Sall a sacrifié devant le peuple sénégalais au rituel du message à la nation. Le dernier message solennel de fin d’année qui lui a permis, entre autres, de faire ses adieux, après 11 ans d’administration du pays. Et le Président Sall de rassurer en perspective de février 2024 d’organiser des élections paisibles.

« Je ferai en sorte que l’élection Présidentielle du 25 février 2024 se déroule, comme les précédentes, de façon paisible et dans les meilleures conditions d’organisation.

J’invite tous les candidats à œuvrer dans le même esprit. Tous, ensemble, allons aux urnes dans le calme, la sérénité et le fair-play.

Et le 2 avril 2024, s’il plait à Dieu, je transmettrai le pouvoir à mon successeur.

Je resterai ensuite disponible et de bonne volonté, car j’ai le Sénégal chevillé au corps et j’ai le Sénégal au cœur.

Mon cœur battra toujours pour notre pays, parce que ce qui nous lie -notre histoire et notre destin communs- transcende mes fonctions officielles.

Sénégal: Le président SALL fait ses adieux avec un bilan positif malgré les troubles

Dimanche 31 décembre, le président du Sénégal, Macky SALL, a prononcé son ultime discours à la Nation, marquant la fin de près de douze années de présidence. Dans cet adieu institutionnel, le président SALL a présenté un bilan des réalisations de son gouvernement tout en mettant en perspective les récents défis, notamment les manifestations violentes ayant causé des pertes humaines et matérielles. L’annonce imminente d’un rapport détaillé sur ses douze années d’administration précède le passage de pouvoir à son successeur élu lors des prochaines élections présidentielles du 25 février 2024.

Le chef de l’État s’est félicité des avancées économiques, notamment une croissance forte et la hausse significative du budget. Il a mis en avant des projets phares tels que le BRT et le lancement envisagé du premier satellite fabriqué par des ingénieurs sénégalais. En soulignant l’amélioration notable du réseau électrique du pays, SALL a rappelé les progrès réalisés depuis son arrivée au pouvoir, avec une augmentation triplée de la production d’électricité et de meilleures infrastructures.

Ce discours fut également l’occasion pour le président SALL d’appeler à la tenue d’une élection paisible et organisée dans un contexte mondial qu’il décrit comme ‘troubles et incertains’. Il conclut ses adieux en annonçant son intention de continuer à servir le Sénégal à travers une fondation dédiée à la paix, au dialogue et au développement, affirmant un engagement prolongé au-delà de ses fonctions présidentielles.

Macky Sall va mettre en place une fondation dédiée à la paix, au dialogue et au développement

Lors de son discours à la nation, le président Macky Sall appelle à la préservation de vivre ensemble afin de conserver l’identité du pays basée sur la diversité, la paix, la sécurité, la stabilité et la protection de son héritage spirituel et socioculturel. Dans ce cadre, Macky Sall a pris la décision de mettre en place une Fondation dédiée à la paix, au dialogue et au développement après avoir transmis le pouvoir à son successeur aprés la transmission du pouvoir.

« Après la transmission du pouvoir, je mettrai en place une Fondation dédiée à la paix, au dialogue et au développement, pour continuer à m’investir dans des causes qui me sont chères. «

Et pour le chef de l’Etat, la fondation va œuvrer en faveur de la coexistence pacifique des peuples, du dialogue des cultures et des civilisations, du développement durable et inclusif, de la justice climatique.

« D’ici là, mes chers compatriotes, continuons notre marche commune, main dans la main, pour un Sénégal uni et prospère, dans la paix, la sécurité et la stabilité’’, a conclu Macky Sall pour ce qui constitue son dernier discours prononcé à la veille du nouvel an en tant que chef de l’Etat.

Vidéo – À 24 du combat Modou Lo/Boy Niang: Père Birahim dévoile presque la chute“h¥m!liation dina am sou féké

Mais pourquoi Amadou Bâ s’est rendu chez Serigne Mountakha Mbacké en pleine nuit ?

C’est avec la plus grande discrétion que le chef du gouvernement sénégalais, Amadou Bâ, a mis le pied à Touba dans la nuit du vendredi, accompagné d’une délégation très restreinte.

Le Premier ministre, Amadou Ba, a été accueilli par le Khalife Général des Mourides à Darou Miname, selon seneweb. L’entretien nocturne entre les deux hommes n’a pas été prolongé. M. Bâ était dans la capitale du mouridisme pour une visite privée.

« Amadou Bâ avait l’habitude de rendre visite à Serigne Mountakha Mbacké avant le séjour annuel du khalife à Porokhane. Le Premier ministre a perpétué hier cette tradition », précise une source proche du candidat.

La révélation de Mia Guissé qui surprend : « J’ai dépensé 18 millions de Fcfa pour.. »

La chanteuse Mia Guissé a levé le voile sur les dessous financiers de la réalisation de son dernier clip, « Lonkotina ». Un projet artistique audacieux qui a demandé un investissement conséquent de près de 18 millions de Fcfa.

La chanteuse, qui s’est lancée en solo après une collaboration remarquée avec son ex-mari No Face, a partagé ces détails lors d’une récente entrevue. « Combien j’ai dépensé dans le clip ‘Lonkotina’ ? C’est à peu près 18 millions de Fcfa pour réaliser la vidéo », a-t-elle révélé.

Sorti le 2 novembre dernier, le clip « Lonkotina » a connu un succès fulgurant, totalisant à ce jour 7 375 000 lectures. Cette réalisation artistique a permis à Mia Guissé de s’affirmer en tant qu’artiste solo avec une présence remarquée sur la scène musicale.

Vidéo – Incroyable Échange entre Ousmane Tounkara et Aly Ngouye Ndiaye « Dagnouye khoulo ba paré gnou wakh

Plus de 1300 détenus graciés par Macky Sall

En cette veille de nouvel an, le Président de la République, Macky Sall a accordé sa grâce à mille trois cent soixante-douze (1372) personnes condamnées pour diverses infractions et détenues dans les différents établissements pénitentiaires.

Les bénéficiaires de cette mesure de clémence sont des délinquants primaires et des détenus présentant des gages de resocialisation.

« Le Chef de l’État offre ainsi à une catégorie de citoyens, momentanément en conflit avec la loi, l’opportunité de retrouver leur famille et de profiter de cette chance qui leur est accordée pour se réinsérer dans la société », informe un communiqué du ministère de la Justice.

Contrôle des parrainages : Le mandataire de Sonko ne s’est pas présenté…

Me Ciré Clédor Ly mandataire d’Ousmane Sonko ne s’est pas encore présenté au Conseil constitutionnel pour la vérification des parrainages par la commission de contrôle.

Alors que le dossier d’Ousmane Sonko devait être contrôlé en quatrième position, après celui Boubacar Camara, Aguibou Soumaré, Ousmane Kane, l’ombre de Ciré Clédor Ly n’a pas encore été aperçu par nos radars.

Les conséquence de ce défaut de présence pour Ousmane Sonko sont à distinguer en cas de retard ou en cas d’absence de la journées.

  • En cas de retard: Les parrainages d’un candidat dont le représentant est en retard seront examinés après ceux de tous les autres candidats présents pour la même journée.
  • Absence du candidat ou représentant: Si l’absence est notée le jour prévu, les parrainages ne seront traités qu’après l’examen complet de ceux de tous les autres candidats.

Interdiction meeting d’investiture de Sonko: El Malick Ndiaye invite les militants à rester à l’écoute

El Malick Ndiaye a réagi suite à l’interdiction, par le préfet de Dakar, du meeting d’investiture de Sonko prévu ce samedi 30 décembre 2023, aux Parcelles Assainies. Le responsable de la communication de Pastef parle de « provocation« .

« Nous venons de recevoir l’arrêt portant interdiction de notre cérémonie d’investiture du 30 décembre 2023« , a fait savoir M. Ndiaye sur sa page Facebook.

Avant de poursuivre : « Au même moment, le candidat de la servitude volontaire est en train de multiplier les meetings d’investiture un peu partout dans le pays. Ceci n’est qu’une provocation de plus, mais nous invitons les militants et sympathisants à rester à notre écoute« .

6 069 parrainages rejetés par le Conseil constitutionnel : ce mandataire pousse un coup de gueule

Le processus de validation des candidatures pour la prochaine élection présidentielle sénégalaise a officiellement commencé. Le Conseil constitutionnel a entamé les travaux de vérification des parrainages et des documents nécessaires pour l’éligibilité. Boubacar Camara, le premier à être tiré au sort, bénéficie d’une position avantageuse pour valider ses parrainages sans rencontrer de doublons, car un électeur ne peut parrainer qu’un seul candidat.

Mor Ndiaye, mandataire national du candidat Boubacar Camara, a confirmé devant les médias : « Dieu merci, le Conseil constitutionnel a validé notre candidature. Parmi les 58 975 parrains déposés, 6 069 ont été jugés incorrects. » Il a exprimé son mécontentement face à l’impossibilité pour les candidats d’accéder au fichier électoral, qualifiant cette situation d’injuste et responsable de l’invalidation de nombreux parrains. Ndiaye a réclamé : « une meilleure gestion du fichier électoral et permettre aux candidats dans le futur de pouvoir accéder au fichier électoral. » Cette revendication vient après la découverte que des milliers de parrains n’étaient pas inscrits sur les listes électorales, un fait qu’ils ne pouvaient pas vérifier avant de se présenter devant le Conseil constitutionnel.

Bien que Ndiaye ait annoncé que la candidature de Boubacar Camara a été validée, il est important de préciser que seule la complétude du dossier a été vérifiée à ce stade. « Notre dossier est désormais complet, » a-t-il déclaré.

La vérification définitive des autres documents est encore à venir pour confirmer leur originalité et leur conformité. La validation définitive des candidatures, incluant celle de Boubacar Camara, sera annoncée par le Conseil constitutionnel d’ici le 20 janvier, en vue de l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024.

Démarrage du contrôle des parrainages : les précisions de Mamadou Badio Camara

Le Conseil constitutionnel a procédé hier vendredi au tirage au sort dirigé par le premier  président de l’Ordre national des huissiers de justice du Sénégal, Me Adama Dia, et déterminant l’ordre de passage en vue du contrôle des parrainages des candidats déclarés à la présidentielle du 25 février 2024. 

La vérification démarre ce samedi 30 décembre à 09h30 pour se poursuivre jusqu’au vendredi 5 janvier. Tiré en premier, Boubacar Kamara ouvre le bal aujourd’hui. 

Mais, avant le démarrage des travaux, le président du Conseil constitutionnel a fait des observations pour, dit-il, lever toutes équivoques. 

« Parmi les dossiers, seuls ceux qui présentent les neuf pièces exigées à l’article 121 du Code électoral, et qui comprennent un nombre de parrains au moins égal au minimum requis par la loi feront l’objet d’un contrôle de parrainages ».

L’article L. 121 stipule que la déclaration de candidature doit être accompagnée, entre autres pièces, d’un certificat de nationalité ; une photocopie légalisée de la carte d’identité biométrique Cedeao faisant office de carte d’électeur ; un extrait de naissance datant de moins de six mois ; un bulletin n°3 du casier judiciaire datant de moins de trois mois et une quittance confirmée par une attestation signée par le Directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (CDC). 

Le magistrat a tenu à préciser « que l’obtention du nombre requis de parrainages validés est une condition nécessaire mais non suffisante à la recevabilité des candidatures », ajoutant que « celle-ci est en outre soumise aux conditions de fond prévues par l’article 28 de la Constitution et aux autres conditions de l’article L. 121 du Code électoral ».

Sur les 93 dossiers reçus, 88 candidats sont parrainés par les citoyens et 5 ont choisi le parrainage des élus. 

LE MINISTRE MODOU DIAGNE FADA PRÉSIDE LE CONSEIL SUPÉRIEUR DE LA FONCTION PUBLIQUE LOCALE

Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, Monsieur Modou Diagne Fada, a présidé, jeudi 28 décembre2023, la session du Conseil supérieur de la Fonction publique locale (CSFPL).

Le CSFPL constitue un organe de premier plan dans le processus de mise en place d’une fonction publique locale, conformément à la volonté affirmée par le Gouvernement du Sénégal.

Il a un caractère consultatif et donne son avis sur toutes les questions intéressant les fonctionnaires des collectivités territoriales ou la Fonction publique locale.

Selon le Ministre, la tenue régulière des sessions du CSFPL constitue un indicateur pertinent dans le processus de mise en place de la Fonction publique locale dont les étapes phares ont été consignées dans une feuille de route qui a été adoptée.

Pour rappel, cette feuille de route avait pour actions phares l’élaboration et l’adoption de l’ensemble des textes devant constituer le dispositif légal et règlementaire, l’identification des agents éligibles, à travers la tenue des commissions ad hoc d’intégration (CAHI), la mise en place du Centre national de la Fonction publique locale et de la Formation.

L’objectif de cette session est de procéder à l’étude de trois (03) projets de décrets. Il s’agit :

  • du projet de décret abrogeant et remplaçant les articles 5 et 12 du décret n° 2011-659 du 1er juin 2011 fixant les attributions, la composition, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la Fonction publique locale, modifié par le décret n° 2017-1184 du 06 juin 2017. Il s’agit de suppléer la DCT par le CNFPLF qui a la mission de coordonner la mise en place de la FPL ;
  • du projet de décret fixant la liste des postes, emplois ou fonctions dont les occupants peuvent faire l’objet de réquisition dans les collectivités territoriales.
  • du projet de décret modifiant et complétant le décret n° 2012-973 du 18 septembre 2012 portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la Santé publique et de l’Action sociale des Collectivités territoriales.

Il vise à mettre en cohérence le décret n° 2012-973 du 18 septembre 2012 portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la Santé publique et de l’Action sociale des Collectivités territoriales et le décret n° 2009-752 du 03 août 2009 modifiant le décret n° 96-634 du 18 juillet 1996 portant organisation de l’Ecole nationale de Développement sanitaire et social (ENDSS).

FONDS DE TRANSFERT: PLUS DE 74 MILLIARDS DE FCFA DESTINÉS AUX COLLECTIVITÉS TERRITORIALES EN 2024

Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du développement des Territoires, Monsieur Modou Diagne Fada, a présidé, au nom de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, la réunion de la Commission restreinte du Conseil national de Développement des Collectivités territoriales (CNDCT), conformément aux dispositions du décret n° 2011-340 du 16 mars 2011 et de l’arrêté n°010443 du 30 septembre 2011 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission restreinte au sein du CNDCT

Selon le Ministre, la réunion de ce matin est importante à plus d‘un titre.
En effet, la répartition, en grandes masses, du Fonds de Dotation de la Décentralisation (FDD) et du Fonds d’Equipement des Collectivités territoriales (FECT), intervient dans un contexte où les collectivités territoriales, acteurs incontournables du développement territorial, sont confrontées à de nombreuses problématiques liées à la prise en compte des besoins de leurs populations avec une hausse de la cherté de la vie au Sénégal.

Les ressources affectées à ces fonds ont enregistré une augmentation de 5 milliards de francs CFA ; cela en parfaite cohérence avec les orientations d’accélération de la croissance, chères à Son Excellence Monsieur le Président Macky SALL, selon le Ministre Modou Diagne Fada.

Pour rappel, en 2023 les transferts financiers de l’Etat aux Collectivités territoriales étaient de 69 608 826 520 francs CFA répartis comme suit :

  • Fonds de Dotation de la Décentralisation 30 381 893 371 francs CFA ;
  • Fonds d’Equipement des Collectivités territoriales 39 226 933 149 francs CFA.

Pour une mise à disposition des fonds à temps, le Ministre Modou Diagne Fada a instruit ses services, aussitôt après la réunion, de prendre toutes les diligences pour permettre la signature des arrêtés et la notification aux collectivités territoriales de leurs allocations dans les meilleurs délais.

Selon lui, le Ministre chargé des Finances s’est, également, engagé à affecter les ressources aux collectivités territoriales au plus tard le 31 mars 2023 et cela en dépit du contexte électoral dans lequel le Sénégal sera engagé.

(Clip officiel)—Dior Mbaye chante Wally Seck dans son nouvel opus «Gouy Gui»

L’artiste chanteuse Dior Mbaye vous revient avec un beau cadeau de fin d’année

L’interprète de «Mala Fal» vient de sortir son tout nouveau single intitulé «Gouy Gui»

Une très belle chanson avec des paroles riches et pleins d’enseignements dont il rend hommage Wally Ballago Seck

Regardez

Tirage au sort contrôle des parrainages: La réaction de Mme Aminata Touré…

Le conseil constitutionnel a procédé, ce vendredi, au tirage au sort pour déterminer l’ordre de contrôle des parrainages. La réaction de Mme Aminata Touré n’a pas tardé, à cet effet.

La candidate déclaré pour la Présidentielle de 2024 s’en est pris à Macky.

Texte un extenso :

Que le sort de notre cher Sénégal soit tiré au sort est en soi une tragédie en sus des 2500 prisonniers politiques qui croupissent en prison. C’est hélas la signature du bon de sortie du Président Macky Sall.

Quelque soit le sort des uns et des autres, tous les démocrates devront continuer à se battre jusqu’à la dernière énergie pour remettre notre Démocratie à sa vraie place et engager le changement véritable pour un Sénégal de Justice, de Paix et de Dignité retrouvée pour tous nos compatriotes.

Vérification des parrainages : Boubacar Camara ouvre le bal, Sonko 4e, Amadou Ba 63, Diomaye Fay…

C’est un peu avant 12 heures que la commission de contrôle du parrainage a procédé au tirage au sort pour l’ordre de passage de vérification des parrainages. Et c’est le candidat de « Jengu Tabax », Boubacar Camara qui va ouvrir le bal.

L’enveloppe qui contenait son nom a été tirée en premier. Le candidat déclaré Boubacar est suivi de Cheikh Hajibou Soumaré qui vient avant Ousmane Kane.

Le candidat de la coalition Sonko Président 2024, Ousmane Sonko vient en quatrième position.

Me Clédor Ciré Ly devient le mandataire de la «Coalition Sonko 2024» pour la présidentielle

L’avocat Me Clédor Ciré Ly a été désigné mandataire de la Coalition Sonko Président, soutenant la candidature d’Ousmane Sonko du parti Pastef. Selon des sources proches de l’avocat, citées par PressAfrik, ce choix stratégique a été fait par « mesure de prudence » face à l’incertitude entourant les procédures au Conseil constitutionnel. Depuis le 11 décembre, Me Clédor Ciré Ly gère toutes les formalités nécessaires pour la coalition.

La Coalition Sonko 2024, s’apprête à investiture officiellement Ousmane Sonko comme candidat le 30 décembre 2023.

Conformément aux directives récentes du Conseil constitutionnel, le mandataire, représentant le parti politique, la coalition, ou l’entité indépendante, doit se présenter au Conseil constitutionnel pour déposer les dossiers de candidature. En cas de représentant différent du mandataire, les deux doivent justifier de leur qualité lors de la présentation.

Me Clédor Ciré Ly a ce 29 décembre représenté Ousmane Sonko lors du tirage au sort au Conseil constitutionnel.

CAN 2023 : Aliou Cissé dévoile la liste des 27 Lions du Sénégal

Le sélectionneur Aliou Cissé a dévoilé ce vendredi 29 décembre 2023, la liste des 27 joueurs sélectionnés pour représenter le Sénégal à la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, qui se tiendra en Côte d’Ivoire en janvier 2024. Cette annonce intervient alors que l’équipe nationale, en tant que tenante du titre, se prépare à défendre son trophée dans ce prestigieux tournoi continental.

L’attaque : Un mélange de force et de finesse

L’attaque sénégalaise sera menée par des joueurs de renom tels que Sadio Mané, et Ismaila Sarr, connus pour leur rapidité et leur précision. Boulaye Dia, incertain pour débuter la compétition suite à une blessure et Nicolas Jackson, seront également des atouts précieux pour percer les défenses adverses.

Voici la liste des joueurs de l’équipe nationale du Sénégal pour la Coupe d’Afrique des Nations 2023 :

Gardiens:

Mory Diaw (Clermont Foot 63)
Sény Timothy Dieng (Middlesbrough Football Club)
Edouard Mendy (Al Ahli SC)
Défenseurs:

Abdou Lahad Diallo (Al-Arabi SC)
Kalidou Koulibaly (Al-Hilal FC)
Ismail Joshua Jakobs (AS Monaco)
Formose Mendy (FC Lorient)
Fodé Ballo-Touré (Fulham FC)
Abdoulaye Niakhate Ndiaye (ES Troyes AC)
Moussa Niakhaté (Nottingham Forest)
Youssouf Sabaly (Real Betis)
Abdoulaye Seck (Maccabi Haïfa)
Milieux de terrain:

Krépin Diatta (AS Monaco)
Lamine Camara (FC Metz)
Nampalys Mendy (RC Lens)
Pape Matar Sarr (Tottenham Hotspur FC)
Pathé Ismail Ciss (Rayo Vallecano)
Pape Alassane Gueye (Olympique de Marseille)
Idrissa Gana Gueye (Everton FC)
Cheikhou Kouyaté (Nottingham Forest)
Attaquants:

Boulaye Dia (Salernitana FC)
Habibou Mouhamadou Diallo (Al-Shabab FC)
Sadio Mané (Al-Nassr FC)
Iliman Cheikh Baroy Ndiaye (Olympique de Marseille)
Ismaila Sarr (Olympique de Marseille)
Nicolas Jackson (Chelsea FC)
Abdallah Sima (Rangers FC)

Tirage au sort au Conseil constitutionnel : Sonko en fera-t-il partie ? Voici le mode d’emploi

Face à une affluence inédite de dossiers de candidatures, le Conseil constitutionnel a dû reporter le tirage au sort initialement prévu. Ce tirage, reprogrammé aujourd’hui 29 décembre à 10h, déterminera l’ordre de vérification des parrainages, une phase cruciale dans la validation des candidatures à la présidentielle. Bien que ce report ait ajouté une couche d’anticipation, il met en lumière la rigueur nécessaire à l’organisation d’élections équitables.

Ce processus, bien que techniquement nécessaire, soulève des questions quant à son équité et son efficacité. L’ordre de tirage influence directement la probabilité de doublons dans les parrainages, un enjeu de taille compte tenu de la méthode de parrainage employée par de nombreux candidats, comme le fait de solliciter d’être parrainer par des citoyens. Les règles entourant ce tirage sont donc scrutées de près, tant par les acteurs politiques que par le public, pour s’assurer de leur conformité aux principes démocratiques.

Suite au tirage, le Conseil constitutionnel entamera la vérification des parrainages, un processus qui s’annonce aussi laborieux que crucial. Les candidats dont les dossiers présentent des irrégularités, notamment des doublons, seront notifiés et auront 48 heures pour rectifier le tir. Cette étape est vitale pour préserver l’intégrité de l’élection et garantir que chaque candidature répond aux critères légaux et réglementaires établis.

L’examen du dossier d’Ousmane Sonko, leader de l’opposition, est particulièrement attendu. Confronté au refus de l’Administration de lui fournir des documents essentiels, son cas illustre les tensions et les enjeux politiques qui peuvent influencer le processus électoral. La manière dont son dossier sera traité par le Conseil constitutionnel pourrait avoir des répercussions significatives sur la perception de l’élection par le public et sur la dynamique politique globale.

Alors que la date du 20 janvier approche, tous les yeux sont rivés sur le Conseil constitutionnel, dont la tâche n’est pas seulement technique mais aussi profondément ancrée dans le tissu démocratique. La liste définitive des candidats à la présidentielle ne sera pas seulement le résultat d’un processus administratif, mais aussi le reflet de la santé démocratique du pays.

Voici le mode d’emploi du tirage au sort :

  1. Le jour du tirage :

Convocation : Les candidats ou leurs mandataires sont convoqués à assister au tirage au sort.
Préparation : Le Conseil constitutionnel prépare les urnes ou tout autre mécanisme de tirage.
Déroulement : À l’heure annoncée, le tirage au sort est effectué publiquement en présence des candidats ou de leurs mandataires pour déterminer l’ordre de vérification des dossiers.

  1. Vérification des parrainages :

Ordre de vérification : Les dossiers sont vérifiés dans l’ordre établi par le tirage.
Examen des parrainages : Chaque parrainage est contrôlé pour sa validité, y compris la vérification des doublons et d’autres critères établis par la loi.

  1. Notification des irrégularités :

Communication avec les candidats : Les candidats ou leurs mandataires dont les dossiers présentent des irrégularités sont notifiés.
Délai de rectification : Un délai de 48 heures est généralement accordé pour corriger les anomalies.

  1. Finalisation :

Clôture de la vérification : Une fois tous les dossiers vérifiés et les irrégularités adressées, le processus de vérification se conclut et le Conseil peut démarrer la vérification des autres aspects du dossier, Identité, quitus fiscale, casier judiciaire, etc…

Pourvoi en cassation: « Tout le monde sait, qu’actuellement, le sort de Sonko n’est pas encore connu… »

« L’AJE a déposé un pourvoi à la cour suprême. Maintenant, c’est à la juridiction de nous dire si Ousmane Sonko est électeur ou pas« , d’après El Hamath Thiam. Le juriste interrogé, ce jeudi 28 décembre 2023, par la Rfm s’est prononcé sur le pourvoi de cassation déposé par l’Agent judiciaire de l’Etat.

El Amath Thiam, qui invite la cour suprême à se pencher sur le dossier du maire de Ziguinchor, rappelle que la juridiction doit le plus rapidement possible statuer sur le sort du leader de Pastef.

« L’AJE a déposé un pourvoi à la cour suprême. Maintenant, c’est à la juridiction de nous dire si Ousmane Sonko est électeur ou pas« , d’après El Hamath Thiam. Le juriste interrogé, ce jeudi 28 décembre 2023, par la Rfm s’est prononcé sur le pourvoi de cassation déposé par l’Agent judiciaire de l’Etat.

El Amath Thiam, qui invite la cour suprême à se pencher sur le dossier du maire de Ziguinchor, rappelle que la juridiction doit le plus rapidement possible statuer sur le sort du leader de Pastef.

DIAMNADIO : Le marché d’intérêt national reçoit désormais les gros porteurs de fruits et légumes… (Arrêté du Gouverneur de Dakar)

Dakar qui devrait se passer de près de 200 gros porteurs, camions de fruits et de légumes. Ce n’est pas une fiction. C’est le résultat d’un accord trouvé entre le gouverneur de Dakar El Hassan Sall et la directrice générale du Marché d’intérêt national et la Gare des Gros porteurs de Diamnadio Mme Fatoumata Niang Ba. La mesure entre en vigueur le 01 janvier 2024.

A travers un communiqué de presse, le gouverneur de Dakar indique que dans le cadre de la mise en service de la Gare des gros porteurs de Diamnadio, il a été tenu une séance de travail le jeudi 21 décembre avec les autorités de la Société d’exploitation du Marché d’intérêt national et de la Gare des gros porteurs (SEMIG) en présence des représentants des transporteurs, des commerçants, des exploitants agricoles et autres acteurs.

« A l’issue de la rencontre, il a été retenu, entre autres mesures que les gros porteurs, transportant des légumes et fruits en provenance de l’intérieur du pays ou de l’étranger pour ravitailler les différents marchés de Dakar devront désormais décharger leurs produits au Marché d’intérêt national de Diamnadio. La mise en service de la Gare des gros porteurs leur offrant un site de stationnement adéquat » écrit le gouverneur de Dakar Al Hassan Sall.

Selon ce dernier, cette mesure va faire jouer au Marché d’intérêt national son véritable rôle, contribuer au décongestionnement des artères de Dakar et un contrôle sanitaire de ces produits de grande consommation par le Laboratoire national d’analyse et de contrôle (Lanac)

Saisie du bâtonnier de Paris par Me Moussa Diop : Un professeur de droit donne son avis

Alors qu’il est actuellement en prison, Me Moussa Diop a saisi le bâtonnier de Paris pour lui demander d’intervenir dans son dossier au nom de la coopération judiciaire entre la France et le Sénégal. Il estime que ces droits ont été violés par la justice sénégalaise.  

Sur les ondes de la RFM, le professeur de droit et avocat au barreau de Paris, Samba Thiam, atteste que le bâtonnier des avocats de Paris peut intervenir pour connaître les tenants et les aboutissants de ce dossier, mais il précise que Me Moussa Diop a tenu les propos qui lui valent sa détention dans un cadre politique et non sous sa casquette d’avocat. 

« Les règles qui nous protègent nécessitent que nous soyons interpellés, inquiétés lors de l’exercice de notre fonction d’avocat et que la coopération judiciaire respecte une chose : les règles particulières de chaque barreau, chaque pays a sa souveraineté, les avocats sont organisés. Le fait que je sois avocat ne me donne pas la possibilité et la liberté totale de fonctionner comme je veux, comme je le fais dans le pays ou je suis régulièrement inscrit et établi comme avocat », précise-t-il. 

 Face à cette situation, il renseigne que « le bâtonnier peut s’informer, peut chercher à savoir ce qui s’est passé réellement. Il peut chercher à savoir dans quelle mesure, on peut intervenir au nom de l’ordre du barreau pour protéger, répondre à l’aide sollicitée par cet avocat ».

 Mais dans tous les cas, on pourrait lui opposer le fait que ce n’est Me Moussa Diop, en tant qu’avocat qui a tenu ses propos mais Me Moussa Diop, homme politique, souffle-t-il. « Oui parfaitement, parce que je disais tout à l’heure qu’on est protégé. On peut réclamer l’assistance lorsqu’il s’agissait de l’exercice de sa fonction d’avocat. Je suppose que vous soyez avocat et que vous soyez dans vos missions d’avocat. Mais si vous exercez une autre fonction, à l’occasion de laquelle vous avez eu des difficultés, ce serait un peu embêtant de recourir aux règles de la profession d’avocat ».

Avec Dakaractu

Affaire Ndella Madior Diouf : Six nounous de Keur Yeurmandé placées sous contrôle judiciaire

Awa Mbaye, Fanta Cissokho, Fatou Sène, Sadio Keita, Anta Sarr et Yacine Sow sont libres. Inculpées dans l’affaire de la pouponnière « Keur Yeurmande » de Ndella Madior Diouf, ces nounous ont échappé à la détention. Elles sont sous contrôle judiciaire. Le doyen des juges, Oumar Maham Diallo, les a inculpées. 
Après avoir envoyé leur patronne, Ndella Madior Diouf en prison, il a tranché le sort des six (6) nounous de la pouponnière « Keur Yeurmandé » de Sacré Cœur. Contrairement à Ndella, Awa Mbaye, Fanta Cissokho, Fatou Sène, Sadio Keita, Anta Sarr et Yacine Sow sont libres. Elles ont bénéficié d’un contrôle judiciaire après leur face à face avec le magistrat instructeur.
.Même si elles rentrent chez elles, de lourdes charges pèsent sur ces femmes inculpées pour complicité de traite de personnes, d’exercice illégal de la fonction de médecin,  privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort sans intention de la donner, mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance de personnes en danger,  complicité d’homicides involontaires, d’obtention indue de certificats aux fins d’inhumation et d’infractions aux lois sur les inhumations.    

Avec Seneweb

Vidéo – Fadam & Lambalogue décortiquent combat ModLô « Boy Niang sou begué daan Modou fokmou dieul risque songu

Urgent : Mauvaise nouvelle pour Ndella Diouf, la décision vient de tomber

Ndella Madior Diouf a été placée sous mandat de dépôt et transférée en prison pour une détention préventive ce jeudi 28 décembre 2023.

Cette mesure fait suite à sa garde à vue initiée la semaine dernière. L’arrestation de Diouf est intervenue après plusieurs signalements concernant une pouponnière qu’elle avait mise en place. Ces alertes émises par des sources, mettaient en lumière de sérieuses défaillances dans la gestion et la sécurité des enfants accueillis dans l’établissement.

Conseil constitutionnel : 93 dossiers de candidature reçus

Sur les 266 candidats à la candidature pour la prochaine présidentielle ayant retiré des fiches de parrainages, moins d’une centaine devraient voir leurs dossiers examinés par le Conseil constitutionnel. En effet, rapporte Le Soleil, 70 dossiers ont été effectivement enregistrés mardi dernier à minuit, dernier délai pour le dépôt des candidatures auprès des «sept Sages», et 23 autres étaient en attente à l’intérieur du Conseil. Leurs porteurs (mandataires) sont arrivés quelques minutes avant la fermeture des portes.

Cela fait au total 93 prétendants potentiels pour le fauteuil présidentiel. Les 23 «retardataires» ont poussé le Conseil constitutionnel à reporter d’un jour le tirage au sort pour déterminer l’ordre de contrôle des parrainages, qui était prévu ce jeudi. Les mandataires des candidats à la candidature sont donc convoqués ce vendredi à 10 heures dans les locaux de la juridiction.

JOJ 2026 : Zappé du conseil interministériel, Barth menace

Les Jeux Olympiques de la Jeunesse doivent se tenir en 2026 à Dakar. En tant que maire de la ville, Barthélémy DIAS se sent mis à l’écart par le gouvernement parce qu’un conseil ministériel a été organisé au Palais sans sa présence. Ainsi, il s’est fendu communiqué pour dénoncer une «démarche sélective et sectaire» dans l’organisation de ces jeux. En effet, selon l’édile, si une autre réunion se tient encore sans la ville de Dakar, les JOJ ne vont pas se tenir dans la capitale.

«Si une autre réunion se tient sans la ville de Dakar, il n’y aura pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse à Dakar. Le choix de la Capitale Sénégalaise pour abriter ces jeux, est d’abord le résultat des multiples et dynamiques actions menées par les autorités municipales et leurs services compétents. La flamme Olympique a été remise au maire de la Ville de Dakar, revendiquant toute sa place dans l’organisation de cet évènement sportif mondial. L’Etat doit faire preuve de transparence et respecter l’esprit du mouvement olympique en s’inscrivant dans une démarche inclusive et participative», indique la note.

Ne s’arrêtant pas là, Barthélemy DIAS menace aussi de saisir le Comité International Olympique (CIO) si besoin.

Dossier de candidature : Ce que Ousmane Sonko a déposé au Conseil constitutionnel

Le dossier du candidat de la Coalition Sonko2024 est constitué en réalité d’une fiche de parrainage différente des fiches fournies par la Direction Générale des élections (DGE). En conférence de presse hier ce mercredi 27 décembre, le mandataire de Ousmane Sonko, Ayib Daffé a fait savoir que « pour les fiches, l’huissier a fait un procès-verbal pour montrer que nous (la coalition) avons posé tous les actes nécessaires pour obtenir ces documents mais nous avions en face, une administration bandit qui était dans la rébellion administrative ». A ce propos, la candidat Ousmane Sonko a opté pour le parrainage des élus.

Par rapport au dépôt de la caution, Ayib Daffé informe n’avoir jamais reçu le chèque retourné par la Caisse des dépôts et des consignations (CDC). Il déclare, en revanche, avoir « déposé la quittance délivrée par la Cdc après le versement de la caution et le relevé du compte bancaire ». « La Cdc a refusé de nous délivrer l’attestation malgré les vas-et-vient de l’huissier. Cheikh Issa Sall a refusé de recevoir l’huissier envoyé pour retirer l’attestation et c’est pour cette raison que nous avons déposé un relevé du compte bancaire, pour montrer que l’argent est bien disponible”, a expliqué le député qui précise que les autorités voulaient une forclusion d’Ousmane Sonko mais « elles n’ont pas réussi ».

El Malick Ndiaye, de son côté, a fait savoir que Ousmane Sonko a déposé un casier judiciaire vierge parce qu’”actuellement, il ne fait l’objet d’aucune condamnation définitive”. Et par rapport à la formation politique qui a investi le pensionnaire du camp pénal, des indiscrétions rapportent que Ousmane Sonko est investi par trois partis politiques légalement constitués.

À noter qu’au Sénégal, pour pour postuler à la Magistrature suprême, le dossier de candidature doit être composé de six mentions et 9 pièces que sont:

1- les prénoms, nom, date, lieu de naissance et filiation du candidat;

2- la mention que le candidat est de nationalité sénégalaise et qu’il jouit de ses droits civils et de ses droits politiques, conformément aux dispositions du titre premier du Code électoral;

3- le numéro de la carte d’électeur;

4- la mention que le candidat a reçu l’investiture d’un parti politique légalement constitué ou d’une coalition de partis politiques légalement constitués ou d’une entité regroupant des personnes indépendantes;

5- la photo et la couleur choisie pour l’impression des bulletins de vote et éventuellement le symbole et le sigle qui doivent y figurer;

6- la signature du candidat.

S’agissant des pièces à fournir :

Un certificat de nationalité;

Une photocopie légalisée de la carte d’identité biométrique CEDEAO faisant office de carte d’électeur;

Un extrait d’acte de naissance datant de moins de six (06) mois;

Un bulletin n°3 du casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois;

Une attestation par laquelle un parti politique légalement constitué, une coalition de partis politiques légalement constitués ou une entité regroupant des personnes indépendantes a investi l’intéressé en qualité de candidat;

La liste des électeurs ou des élus (députés, présidents de conseil départemental et maires) ayant parrainé le candidat, présentée sur fichier électronique et en support papier, conformément au modèle prévu à l’article L.57 du présent code;

Une déclaration sur l’honneur par laquelle le candidat atteste que sa candidature est conforme aux dispositions des articles 4 et 28 de la Constitution, qu’il a exclusivement la nationalité sénégalaise et qu’il sait écrire, lire et parler couramment la langue officielle; une déclaration sur l’honneur par laquelle le candidat atteste être en règle avec la législation fiscale du Sénégal;

Une quittance confirmée par une attestation signée par le Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) attestant du dépôt du cautionnement prévu à l’article L.122 du présent code.

Février 2024 : « Possibilité pour l’électeur de choisir librement son candidat », A. Tine

Dans le cadre de sa campagne de plaidoyer pour une élection présidentielle transparente, apaisée et inclusive, Le Président de Afrika Jom Center a organisé à Saint-Louis une journée de conférence et de sensibilisation à l’endroit des partis politiques, des OSC et des syndicats. Occasion pour Alioune Tine, en perspective de la Présidentielle 2024, revisitant la démocratie sénégalaise, d’appeler à une participation inclusive.

Des journées de réflexions, s’inscrivant dans une logique de promouvoir des élections présidentielles sans violence, étaient axées sur la Formation et sensibilisation des jeunes des Partis politiques, syndicaux et de la société civile .

Dans son message d’ouverture, et face à la presse, le Fondateur d’Afrikajom Center appelle à une participation inclusive pour « permettre aux Sénégalais/ses de choisir librement leurs candidats. Il faut qu’il ait possibilité pour l’électeur de choisir librement son candidat ».

Il s’est exprimé aussi sur le rôle que les universitaires et intellectuels jouent dans le renforcement de la démocratie sénégalaise, non sans placer beaucoup d’espoir en eux.

« Ce qui rend la démocratie sénégalaise fascinante, c’est le courage, l’engagement et la prise de position de ses intellectuels. Aujourd’hui, nous avons de très jeunes juristes, très courageux. Cela fait que nous avons beaucoup d’espoir sur le développement de la démocratie sénégalaise ».

Entre autres interventions, le journaliste, Gabriel Barbier, a insisté sur le rôle de presse, notamment sa neutralité dans le traitement de l’information. Dr. Papa Fara Diallo, Enseignant-chercheur à UGB, est revenu sur le rôle de la société civile afin d’assurer le respect des décisions de justice. Et Dr. Mamadou Sané, Enseignant-chercheur à UGB s’est exprimé sur le rôle de l’administration dans le processus électoral. Il a évoqué l’incident de Touba en 2017, lors des législatives.

Exclusif : El Malick dévoile enfin tout sur la date du 30 Décembre “ Sonko sera investi «  Nena dîna.. » (Vidéo)

Vidéo – Dame Mbodj fait le show devant El Malick & Imam Dramé & détruit Ismaila Madior“mo yakal Macky..

Vidéo – Ayib Daffé lâche une exclu & dévoile le récépissé de dépôt de candidature de Sonko au CC“dossier complet lagn deposé

UCAD : La date de la reprise des cours en présentiel enfin connue

UCAD
UCAD

Le 3 janvier 2024. C’est la date retenue pour la reprise des cours en présentiel à la faculté des lettres et sciences humaines de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).

Suivant le communiqué publié ce mardi 26 décembre, les cours du second semestre de l’année universitaire 2022-2023 iront du 03 au 31 janvier 2024.

Néanmoins, l’amicale de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Ucad s’inquiète de la conséquence de cette reprise sans la réouverture du campus social.


«C’est une décision qui a été prise par l’Assemblée de facultés. Nous avons toujours réclamé la réouverture totale de l’université. Nous avons posé toutes les inquiétudes par rapport à cette reprise parce que l’ouverture ne concerne pas le campus social. C’est une instance qui ne décide pas du campus social », a fait savoir Alla Kane, président de l’amicale de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’UCAD

« L’Assemblée de facultés est dans les démarches et nous allons continuer à combattre encore pour la réouverture du campus pédagogique et du campus social », a-t-il dit.

Remariage : Mia Guissé a pris une décision

À la question «à quand le remariage ?», Mia Guissé ne prend pas de détour. «Pas pour le moment», bloque-t-elle dans un entretien paru ce mercredi dans L’Observateur. Depuis quelques semaines, la rumeur prétend qu’elle est à nouveau en couple. «Je ne sais pas pourquoi il y autant de rumeurs infondées sur moi, s’agace l’ex-femme de No Face. Je ne suis pas encore prête pour le mariage. Pour l’instant mon amour c’est la musique. Tous les jours, on me rapporte de nouvelles rumeurs et Dieu seul sait d’où ça vient.»  

Mia Guissé d’ajouter : «C’est épuisant. Il faut une vraie force mentale pour supporter toutes les méchancetés qu’on lit ou entend sur soi. Il m’est même arrivé de pleurer. Je panique très vite et je n’aime pas les histoires. Parfois, c’est très dur. Après, je me ressaisis et je me dis que cela va avec la vie d’un personnage public.»  

Affaire Ndella Madior Diouf:Le corps sans vie de Bébé Akon était caché dans une bassine remplie de glace

Les révélations se poursuivent sur l’affaire «Keur Yeurmandé». Les unes plus renversantes que les autres. L’enquête de la Sûreté urbaine indique que les bébés de la pouponnière de Ndella Madior Diouf étaient pour la plupart mal nourris, que six d’entre eux sont morts et que les enfants décédés étaient conservés puis inhumés dans des conditions douteuses.

C’est le cas des nourrissons nommés «Akon» et «Bijou Ngoné», qui reposent au cimetière de Yoff. Le premier est mort à la pouponnière. Sa maman, A. Sarr, a confié aux enquêteurs que les responsables de «Keur Yeurmandé» l’ont informée du décès de son enfant en lui précisant qu’il se trouvait à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. «Ce qui était faux. Je l’ai trouvé dans une bassine remplie de glace dans une des chambres de la pouponnière», a rectifié la dame dans des propos relayés par L’Observateur.

«Bijou Ngoné», elle, est décédée à la clinique de l’Amitié. Selon A. Sarr, lorsque El Sène, qui a reconnu avoir inhumé les deux bébés, a voulu déposer son corps à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff, il a été éconduit parce qu’il ne disposait pas de certificat de décès.

El Sène a défendu le contraire face aux policiers. L’animateur de Saphir FM, déféré au parquet en même temps que Ndella Madior Diouf et les autres suspects de l’affaire, assure que les dépouilles de «Akon» et «Bijou Ngoné» ont bel et bien été gardés à l’hôpital de Grand-Yoff avant d’être inhumés à Yoff.