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Grand Magal : Le Président Bassirou Diomaye Faye attendu à Touba ce lundi !

Le Président Diomaye Faye à Touba ce lundi. Il va effectuer une visite de courtoisie auprès du khalife général des mourides A quelques jour du grand magal de Touba.

« Le Chef de l’Etat est attendu, le lundi 19 août 2024, chez Serigne Mountakha Mbacké », informe Seneweb visité par Senego.

La communauté mouride va célèbrer, vendredi prochain le départ en exil au Gabon du fondateur de la confrérie mouride, Cheikh Ahmadou Bamba.

Voiture octroyée à l’ex Dg Cheikh Dieng: ONAS donne sa version (Communiqué)

COMMUNIQUE

Lors de sa conférence de presse tenue le vendredi 16 aout 2024, l’ancien DG de l’ONAS, Docteur CHEIKH DIENG, a affirmé que le véhicule qui a été mis à sa disposition par une entreprise travaillant pour le projet du Collecteur Hann-Fann de l’ONAS et immatriculé à son nom a été acquis dans le cadre dudit projet.

L’Office National de l’Assainissement du Sénégal dément formellement cette information car le projet Hann-Fann ne prévoit nulle part dans les stipulations contractuelles et le montage y relatifs la possibilité d’acquérir un véhicule pour le DG sous quelque forme que ce soit.

Pour rappel, le Projet de renouvellement du Collecteur Hann-Fann, de 100 km de réseaux secondaires et tertiaires, avec acquisition d’équipements spécifiques de diagnostic et de curage, est un moyen développé avec l’approche partenariat public privé (PPP). Il comporte trois composantes que sont :

A. La Fourniture d’équipements et matériels spécifiques pour le service d’exploitation.
B. Le Renouvellement intégral du collecteur Hann-Fann ;
C. Le Renouvellement de 100 km de réseaux secondaires et tertiaires.

Les équipements fournis par la composante A portent sur 08 véhicules Pick-up, 28 camions hydrocureurs, des camions bennes, camions grues, camions citernes, du matériel d’inspection et dediagnostic réseaux, du matériel de génie civil, de l’outillage et du matériel d’égoutiers, des équipements de pompage.

Toutes ces acquisitions, y compris les véhicules pick-up, sont totalement et strictement dédiées aux activités de renforcement de l’exploitation. Et chaque article fait l’objet d’un poste de prix avec numéro sur le cadre de devis.

Le projet ne prévoit aucun véhicule ni pour le Directeur général ni pour les membres de l’Unité de gestion du projet (UGP). Le Directeur du Projet, le Chef du projet et les autres membres de l’équipe du projet ne disposent pas non plus de véhicule sur ce projet. Affirmer que l’ONAS peut acquérir un tel véhicule, dont prix est estimé à 80 millions de Francs CFA au moins dans ses projetspourrait nuire à l’image de l’office vis-à-vis de ses partenaires financiers.

L’ONAS réfute donc les propos de Docteur Cheikh DIENG tendant à faire croire que le véhicule qu’il a reçu a été acheté dans le cadre du projet Hann-Fann. Une telle acquisition serait techniquement et légalement impossible. D’ailleurs, l’ONAS se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires nécessaires en cas de fausse déclaration à son encontre.

La nouvelle Direction Générale de l’ONAS tient à préciser qu’elle appliquera rigoureusement les règles et procédures telles qu’elles sont prévues par les textes et veillera à la conduite diligente, transparente et efficace des projets.

La liste de tout le matériel roulant acheté dans le cadre de ce projet est disponible.

Dans les prochains jours, l’Office National de l’Assainissement et les autres structures du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement reviendront sur le processus de passation des marchés.

Fait à Dakar le 18 Aout 2024

La cellule de Communication

Ousseynou Ly, chargé Com présidence : « Ce n’est pas sous le magistère de Diomaye que des pratiques assimilables à promouvoir l’impunité fiscale, seront encouragées! »

Ousseynou Ly, chargé Com présidence
Ousseynou Ly, chargé Com présidence
Chargé de la communication digitale de la présidence, Ousseynou Ly estime que passer l’éponge sur les dettes fiscales des entreprises de presse n’a jamais été, n’est et ne sera jamais la solution. Il fait savoir que le président Bassirou Diomaye Faye a une proposition en lieu et place d’une exonération fiscale.

« Le Président de la République est foncièrement engagé pour une presse libre et responsable. À cet effet, il propose mieux qu’une absolution des engagements fiscaux des entreprises de presse : la réforme ! Une réforme pour assainir, réorganiser et être plus inclusif dans un cadre réglementaire plus exhaustif et par le mécanisme de la consultation et du dialogue » dit-il.

Dans une note envoyée à la presse, il rappelle la décision prise par le président de la République. À l’en croire, « le Président de la République Bassirou Diomaye Faye a juré de respecter la loi et de la faire respecter. Ce n’est pas sous son magistère que des pratiques assimilables à promouvoir l’impunité fiscale, seront encouragées. Pour la consolidation de la démocratie, sa conviction est qu’on devrait veiller au respect de la loi et à la justice sociale (fiscale également) », laisse-t-il entendre.

Autres articles

Cité Keur Gorgui : Barthélémy Dias rend visite à Bougane Guèye Dany…

Barthélémy Dias rend visite à Bougane Guèye Dany
Barthélémy Dias rend visite à Bougane Guèye Dany

Le maire de la Ville de Dakar, Barthélémy Das a rendu visite au leader de Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany.

Une visite de courtoisie que le patron de D-Média a salué sur sa page Facebook.

« Merci à l’honorable Député Maire de Dakar M. Barthélémy Diaz pour sa visite de courtoisie de ce jour. Il a officiellement lancé les travaux d’assainissement du Quartier Keur Gorgui. Merci Grand frère pour ce geste hautement fraternel« , a soutenu Bougane Guèye Dany.

« Canal+ et autres au Sénégal : Aucune licence, redevances dérisoires », selon le ministre Com

alioune sall

Lors du lancement officiel de la plateforme de déclaration des médias, vendredi, le ministre de la Communication et des Télécommunications a fait des révélations saisissantes concernant certaines entreprises, qu’elles soient nationales ou internationales.

Le Sénégal est un pays de paradoxes. Les étrangers qui y arrivent profitent des avantages sans contrepartie. C’est ce qu’a souligné le ministre de la Communication en révélant que Canal+, présent au Sénégal depuis plus de trois décennies, ainsi que d’autres entreprises internationales, ne disposent d’aucune licence de distribution.

Selon le ministre, ces entreprises, qu’elles soient de télévision ou de radio, n’ont pas d’autorisation formelle. Aujourd’hui, tous les distributeurs, qu’ils soient nationaux ou étrangers, opèrent sans autorisation.

Il a découvert que certaines entreprises, présentes depuis 33 ans au Sénégal, n’ont jamais obtenu d’autorisation. De plus, les redevances qu’elles paient sont dérisoires et ne permettent pas de s’acquitter des impôts dus. Parmi ces entreprises, il a cité Canal+ comme exemple, mais il en existe d’autres dans la même situation.

L’ancien Directeur de la RTS, Matar Sylla, sur Ousmane Sonko et Diomaye : « Ils sont… »

Matar Sylla
Matar Sylla

Matar Sylla a appelé à des critiques objectives. Selon l’ancien directeur de la RTS, le président Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko sont sur la bonne voie.

Pour Matar Sylla, le débat sur l’appel à candidature de certains postes n’a pas de sens, dans la mesure où il existe plusieurs mécanismes pour le faire. Il peut même passer par un cabinet de ressources humaines ou le dépôt de CV, entre autres.

Il pense « qu’ils sont sur la bonne voie. Et pour ceux qui critiquent, ils doivent le faire de manière objective. Ce qui est bon, ils le disent ; ce qui est mauvais, ils le dénoncent et les autorités doivent le redresser. »

Le Président Bassirou Diomaye Faye s’est entretenu avec Omaro Sissoko Embalo

Bassirou Diomaye Faye s'est entretenu avec Omaro Sissoko
Le Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a rencontré à Dakar son homologue bissau-guinéen, Omaro Sissoko Embalo. Ce dernier était dans la capitale sénégalaise pour une visite de quelques heures.
 
Selon nos informations, les deux chefs d’Etat ont discuté sur le renforcement des relations séculaires entre le Sénégal et la Guinée-Bissau et d’autres sujets d’intérêt commun

Répartition du fonds d’appui et de développement à la presse : Les révélations explosives du ministre Alioune Sall

ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique
ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique
Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a profité de la cérémonie officielle de lancement de la plateforme numérique pour l’identification des entreprises de presse du Sénégal pour éclairer la lanterne des Sénégalais sur la situation des organes de presse. En effet, Alioune Sall, après avoir fait un diagnostic sans complaisance du secteur, en se basant notamment sur le rapport de la Convention des jeunes reporters du Sénégal, a fait des révélations explosives sur l’octroie de l’aide à la presse, qui a été institué depuis 1996 par l’Etat du Sénégal. Selon lui, le président de la république, Bassirou Diomaye Faye, et son gouvernement ne sont pas dans un processus de « musellement ou d’affaiblissement » de la presse mais plutôt dans un processus de « transparence ».
 
Au cours de la rencontre, qui s’est tenue ce vendredi 16 août 2024, à la Maison de la presse Babacar Touré, à Dakar, la tutelle, sur la cartographie du secteur des médias au Sénégal, a révélé qu’il y a 50 quotidiens, hebdos et mensuels ; 150 sites d’information enregistrés ; 300 radios privées, commerciales et communautaires et 35 chaines de télévision. « Selon la loi, toutes les structures audiovisuelles (radios et TV), doivent, pour être en conformité, disposer d’une autorisation délivrée par le ministre chargé de la communication (Cf art 94 loi 2017-27 du 13 juillet 2017 portant code de la presse). A ce jour, aucune structure n’en dispose, d’où la nécessité d’une régulation », a-t-il fustigé.
 
« Plus de 800 millions ont été alloués à des activités ou structures autres que des entreprises de presse directement »
 
Par rapport à la répartition du fonds d’appui et de développement à la presse, le successeur de Moussa Bocar Thiam s’est dit curieux de constater que « plus de 800 millions de francs Cfa ont été alloués à des activités ou structures autres que des entreprises de presse directement ». A l’en croire, en 2023, les dépenses de fonctionnement sont estimées à 190 millions et l’étude, la formation, salon et autres, s’élèvent à 226 millions.
 
Pour avoir une idée claire et nette sur cette situation, le ministre Alioune Sall a annoncé qu’il a commandité un audit de l’IGE qui est en cours.
 
Porté à partir de 2012 à 700 millions de francs Cfa, le budget alloué au fonds d’appui et de développement à la presse a connu une évolution fulgurante sous le régime de l’ancien président de la république, Macky Sall, en passant par 1 milliard 400 millions en 2022 à 1 milliard 900 millions en 2023.

Côte d’Ivoire: 8 morts dans l’effondrement d’une mosquée en construction à Abidjan

Côte d'Ivoire: 8 morts dans l'effondrement d'une mosquée
Côte d'Ivoire: 8 morts dans l'effondrement d'une mosquée
L’effondrement partiel d’une mosquée en construction à Abidjan a fait huit morts et deux blessés, a appris l’AFP vendredi auprès du Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) de Côte d’Ivoire.
 
Le pronostic vital des deux blessés n’est pas engagé, a déclaré le commandant des opérations et des secours du GSPM, Alban Konan.
 
Le bilan est « définitif » et les fouilles « terminées », a-t-il déclaré en fin d’après-midi.
 
« Hier (jeudi) aux environs de 16H00, nous avons été alertés pour l’effondrement d’un immeuble, il s’agissait de l’effondrement partiel d’une mosquée en construction, qui abritait une prière » quand « le plancher au niveau du deuxième étage s’est effondré », a-t-il dit.
 
La mosquée est située dans le centre d’Abidjan, dans la commune de Cocody. Le ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme n’a pas encore annoncé si sa construction était légale.
 
Trois bâtiments se sont effondrés ces trois derniers mois dans la même commune, a indiqué le commandant des sapeurs-pompiers Alban Konan.
 
En juillet 2023, six personnes avaient perdu la vie dans l’effondrement d’un immeuble en construction sans autorisation, dans la capitale économique ivoirienne.
 
En février et en mars de la même année, 13 personnes avaient été tuées dans l’effondrement de deux immeubles, l’un en construction, l’autre construit illégalement.
 
Plusieurs mesures avaient alors été adoptées pour renforcer la surveillance des bâtiments.
 
Abidjan, métropole de plus de 6 millions d’habitants en pleine croissance démographique, connaît une explosion des constructions ces dernières années, parfois sans autorisation officielle.
 

Dette fiscale des entreprises de presse : GFM détient 40 % de la dette, suivi de la RTS avec 28 %

rts: GFM
rts: GFM

Le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a fait le point sur la situation dans le secteur des médias. Sur la dette fiscale des entreprises de presse, la tutelle a révélé la liste des principaux détenteurs de cette dette. Le Groupe futurs médias (GFM) détient 40 % de la dette fiscale des entreprises de presse, suivi de la Radiodiffusion télévision sénégalaise avec 28 % et du groupe Dmedia avec 11 %.

S’agissant du Fonds d’appui et de développement de la presse (FADP), en 2023, 227 entreprises de presse et 169 radios communautaires ont eu accès à l’aide à la presse. Le budget alloué a connu une importante évolution.

En effet, « porté à partir de 2012 à 700 millions de francs CFA, le budget est passé à 1 milliard 400 millions de francs CFA en 2022 et à 1 milliard 900 millions de francs CFA en 2023 », précise le document.

Sur le tableau récapitulatif des aides allouées par média en 2023, 1 milliard 555 millions a été attribué aux médias catégorisés « autres » sans aucune précision des noms des organes bénéficiaires.

Par ailleurs, il a été constaté, dans le cadre d’un audit de l’IGE en cours, que   « plus de 800 000 000 F CFA ont été alloués à des activités ou structures autres que des entreprises de presse directement ».

Épidémie de Variole du singe : Le Sénégal en alerte

Variole du singe
Variole du singe
Déclarée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme une urgence de santé publique depuis le 14 août, la variole du singe inquiète. Le ministère de la Santé et de l’Action sociale invite les Sénégalais « à plus de vigilance » et a annoncé ce vendredi 16 août à travers un communiqué une mise en place d’un système de surveillance graduelle.
 
 
 
En effet, la Direction générale de la santé va renforcer la surveillance épidémiologique des maladies cibles avec un accent particulier sur les symptômes associés à cette maladie et « mettre  en alerte toutes les structures sanitaires par la diffusion d’information sur la variole du singe à l’intention des agents de santé avec notamment l’envoi des fiches techniques et de notification de la maladie aux 79 districts sanitaires, aux 14 directions régionales de santé, à l’ensemble des hôpitaux du pays et aux structures privées ».
En plus, le comité national de gestion des épidémies (CNGE) sera mobilisé pour une coordination et un suivi. Le ministère de la Santé et de l’Action sociale assure par ailleurs une « concertation permanente » avec notamment le ministère de l’Environnement ainsi que celui de l’Elevage pour le contrôle et la mise en œuvre des mesures préventives sera faite. 

« Annuler dettes fiscales entreprises de presse : Une solution inappropriée hier, aujourd’hui, et demain », Ousseynou Ly

Ousseynou Ly, ministre conseiller, Porte-parole de la Présidence et Chef de la cellule digitale Présidence de la République du Sénégal, dans une note, s’est prononcé sur l’annulation des dettes fiscales des entreprises de presse.

Selon M. Ly, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a affirmé que l’annulation des dettes fiscales des entreprises de presse n’a jamais été, n’est pas, et ne sera jamais une solution.

Il insiste sur l’importance de respecter la loi et de garantir la justice sociale, y compris fiscale, pour consolider la démocratie.

Plutôt que d’effacer les dettes fiscales, le Président propose une réforme visant à assainir, réorganiser et inclure davantage les entreprises de presse dans un cadre réglementaire plus complet, par le biais de la consultation et du dialogue.

Voici la Contribution de Ousseynou Ly
Passer l’éponge sur les dettes fiscales des entreprises de presse n’a jamais été, n’est et ne sera jamais la solution. Le faire, n’est vraiment pas rendre service à la presse dont le rôle dans la démocratie et la bonne gouvernance n’est plus à débattre.

Le Président de la République Bassirou Diomaye Faye a juré de respecter la loi et de la faire respecter. Ce n’est pas sous son magistère que des pratiques assimilables à promouvoir l’impunité fiscale, seront encouragées. Pour la consolidation de la démocratie, sa conviction est qu’on devrait veiller au respect de la loi et à la justice sociale (fiscale également).

Le Président de la République est foncièrement engagé pour une presse libre et responsable. À cet effet, il propose mieux qu’une absolution des engagements fiscaux des entreprises de presse : la RÉFORME !

Une réforme pour assainir, réorganiser et être plus inclusif dans un cadre réglementaire plus exhaustif et par le mécanisme de la consultation et du dialogue.

Cité Keur Gorgui : Barthélémy Dias rend visite à Bougane Guèye Dany…

Le maire de la Ville de Dakar, Barthélémy Das a rendu visite au leader de Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany.

Une visite de courtoisie que le patron de D-Média a salué sur sa page Facebook.

« Merci à l’honorable Député Maire de Dakar M. Barthélémy Diaz pour sa visite de courtoisie de ce jour. Il a officiellement lancé les travaux d’assainissement du Quartier Keur Gorgui. Merci Grand frère pour ce geste hautement fraternel« , a soutenu Bougane Guèye Dany.

Guy Marius Sagna: « cette modification du RI de l’Assemblee Nationale n’est pas motivée par une bonne foi »

Guy Marius Sagna, député appartenant au groupe parlementaire Yewwi Askan Wi a émis au préalable, une motion préjudicielle. « Si nous voulons corriger une injustice, on doit sanctionner une injustice » a indiqué le député qui a pris la parole ce vendredi lors de la plénière sur la proposition de loi organique 10/2024 modifiant et complétant la loi organique 2002-20 du 15 mai 2002 , modifié, portant règlement intérieur de l’assemblée nationale.

Selon Guy Marois Sagna, « ce chargement sur le règlement intérieur n’est pas motivé par le Jub Jubël Jubënti ». Selon le député qui a pris part récemment aux travaux du parlement de la CEDEAO, la réalité est que l’assemblée nationale se fout des préoccupations des sénégalais. « En 2 ans, j’ai écrit 20 propositions sur la situation des travailleurs au Sénégal. Le 17 mai dernier j’ai émis une proposition de loi sur l’impact environnemental de la falémé. Mais l’assemblée ferme les yeux sur tout » s’est plaint GMS.

Assemblée nationale : Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly dénonce des « vices de procédure », Abdou Mbow contre-attaque

Les parlementaires se sont réunis ce vendredi 16 août 2024 en séance plénière extraordinaire du vote de la proposition de loi organique portant modification du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

Prenant la parole, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, après la lecture du rapport de la Commission des lois, de la décentralisation, du travail et des droits humains, a décelé des « vices de procédure« .

 

D’après le député; « l’Assemblée a le droit de se réunir pour une session extraordinaire sur décision du bureau, sur demande écrite des collègues députés et sur la volonté du président de la République. Aujourd’hui, on nous dit que cette séance plénière a été convoquée sur la base d’un arrêté… La décision du bureau et l’arrêté du bureau, ce n’est pas la même chose. Donc, cette proposition de loi doit être retirée. Pis, on devait voter la procédure d’urgence. C’est encadré par l’article 60 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Pour tous ces manquements, je demande la dissolution de l’Assemblée nationale« .

Une motion soumise au vote et qui n’a pas été adoptée par ses collègues.

Abdou Mbow n’a pas tardé à apporter la réplique au député de Touba. Le président du groupe parlementaire de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), repris par Senewweb, de rappeler que « l’opinion nous écoute« .

Et c’est important, selon lui, « que les gens comprennent. On est en train d’examiner une proposition de loi. C’est une affaire sérieuse qui concerne la République, le Sénégal. Nous avons été élus par le peuple. De ce fait, il ne faudrait pas qu’un politicien qui n’a pas de base politique, qui est en perte de vitesse, essaye d’attirer l’attention des nouvelles autorités de ce pays pour espérer une place de député aux prochaines élections législatives« .

Le journaliste Momar Diongue quitte la 2Stv

Le journaliste Momar Diongue quitte la 2Stv

 

Journaliste et analyste politique, Momar Diongue a mis fin à sa collaboration avec la 2Stv, a appris Seneweb.

Le journaliste animait l’émission « Débat de fond » à la première télévision privée.

D’après nos informations M. Diongue, figure d’expérience du journalisme, compte se consacrer au développement et à l’expansion de son média groupe Mediapro Sn, qui compte notamment la Web Tv Le Vrai Journal.

Joint au téléphone, l’ancien rédacteur en chef du magazine Nouvel horizon donne rendez-vous aux internautes prochainement dans le cadre de émission Face à Momar et sa chronique Le Regard de Momar.

Malicounda : Maguette Sene forme 600 femmes à la transformation des produits locaux

La mairie de Malicounda, sous la direction éclairée de son maire Maguette Sène, a lancé une initiative ambitieuse destinée à transformer la vie de centaines de femmes au sein de la commune. En ligne de mire, un objectif clair : valoriser les produits locaux à travers des formations dédiées, permettant ainsi à plus de 600 femmes de se former aux techniques de transformation.

Lors de la journée de lancement, Mme Marone Khoudia Faye, adjointe au maire, a souligné l’importance cruciale de cette initiative. « Nous avons observé la nécessité d’accompagner nos femmes pour qu’elles puissent tirer le meilleur parti des ressources locales. Cette formation leur donnera non seulement les compétences nécessaires mais aussi la confiance pour créer de la valeur ajoutée, » a-t-elle déclaré, insistant sur l’impact social et économique de ce projet.

Ce programme de formation, qui s’inscrit dans une dynamique plus large de développement local, s’avère être une bouffée d’oxygène pour les ménages de Malicounda. Les femmes bénéficiaires de cette formation pourront non seulement subvenir aux besoins de leurs familles, mais aussi renforcer leur indépendance financière.

Mais l’initiative ne s’arrête pas là. La mairie, dans sa vision de long terme, projette de financer les 22 réseaux de femmes de Malicounda. L’idée est de créer un effet multiplicateur où les 600 femmes formées joueront le rôle de relais pour transmettre leur savoir à d’autres femmes, touchant ainsi l’ensemble de la communauté.

Cette démarche innovante, placée sous le signe de la solidarité et du développement durable, est un véritable témoignage de l’engagement de la mairie de Malicounda envers l’autonomisation des femmes et la valorisation des ressources locales. Un modèle inspirant qui, sans nul doute, aura des répercussions positives sur l’ensemble de la commune et au-delà.

Passation de service: Serigne Kosso Sene Succède à Aliou Badara Ly à la Direction du Cadre de Vie de l’hygiène publique

La passation de service à la Direction du Cadre de vie et de l’hygiène publique s’est déroulée dans un contexte politique marqué par un changement de régime. M. Aliou Badara Ly, représentant du régime sortant, a officiellement remis les rênes de cette direction à M. Serigne Kosso Sene, un cadre éminent de PASTEF, le parti de l’actuel président Ousmane Sonko.

Dans son discours de prise de fonction, M. Sene a exprimé son engagement à poursuivre et à approfondir les réformes initiées par son prédécesseur, tout en introduisant de nouvelles initiatives conformes à la vision de PASTEF. Il a souligné l’importance de la participation citoyenne et de la collaboration interinstitutionnelle pour relever les défis auxquels fait face la Direction du Cadre de vie et de l’hygiène publique.

Le ministre ébahie par ces chiffres alarmants : « C’est ça qui aurait mérité une journée sans presse… »

Parlant de la situation précaire des travailleurs de la presse et des techniciens des médias, le ministre de la Communication et des Télécommunications a dévoilé des chiffres alarmants lors d’une conférence de presse . Selon lui, c’est cela qui nécessite d’une journée sans presse…

Aliou Sow a d’abord souligné que les entreprises de presse ne se résument pas seulement aux patrons. Elles englobent également les personnes sur le terrain, comme les journalistes et les techniciens, qui travaillent constamment.

Dans le rapport qu’il détient, le ministre de la Communication révèle que 62 % des travailleurs n’ont pas de contrat. « Cela, honnêtement, aurait mérité une journée sans presse », s’étonne le ministre.

De plus, 86 % des travailleurs n’ont pas de couverture maladie, ce qui signifie que lorsqu’ils tombent malades, ils ne peuvent pas se soigner…

Macky Sall privé de certains de ses privilèges d’ancien président du Sénégal

(FILES) This file photo taken on December 01, 2015 shows Senegal's President Macky Sall talking to journalists during the United Nations conference on climate change COP21, on December 1, 2015 at Le Bourget, on the outskirts of the French capital Paris. / AFP / LOIC VENANCE

Depuis son départ de la présidence, Macky Sall, ancien chef d’État, n’a toujours pas reçu les avantages matériels et humains garantis par la Constitution sénégalaise aux anciens dirigeants. Contrairement à ses prédécesseurs, il doit assumer personnellement les frais liés à sa sécurité et à ses déplacements. Selon des informations relayées par « Le Quotidien », le gouvernement actuel, dirigé par Bassirou Diomaye Faye, semble ignorer ces droits constitutionnels, et les raisons de cette omission restent inexpliquées. Cette situation s’inscrit dans un contexte où d’autres figures, telles que des journalistes et des employés d’entreprises publiques, font également face à des pressions de la part des autorités.

Macky Sall a été privé de la majorité de ses services de sécurité et de son personnel administratif, ne conservant que son chef de sécurité. Habituellement, un ancien président bénéficie de l’accompagnement d’un aide de camp, d’un chauffeur, d’un garde du corps et d’autres services pris en charge par l’État. Face à cette situation inédite, Macky Sall reste discret, demandant à ses proches de ne pas commenter publiquement cette affaire. En attendant une résolution, il a renforcé sa sécurité par le biais de services privés et a renouvelé son parc automobile.

Cette privation de privilèges survient peu après que la belle-mère de Macky Sall ait été convoquée par la gendarmerie pour des questions foncières dont elle simple témoin, bien que son état de santé ait finalement conduit à son audition à domicile.

Par ailleurs, Macky Sall a été récemment nommé par le président français Emmanuel Macron comme envoyé spécial pour le « Pacte de Paris pour les peuples et la planète ». Ce rôle, qui lui confère un statut diplomatique, implique de fréquents déplacements internationaux, pris en charge par l’organisation soutenue par la présidence française.

Guy Marius Sagna critique le mode d’élection des parlementaires de la Cedeao

Guy Marius Sagna continue ses critiques contre l’institution d’intégration parlementaire. Évoquant le thème retenu pour la rencontre de la CEDEAO à Abidjan intitulé : « Rôle du parlement de la CEDEAO dans l’élaboration et le suivi du budget de la communauté », le député panafricaniste et souverainiste remonte les bretelles au parlement de la CEDEAO.

« Le Parlement de la CEDEAO doit d’abord balayer dans sa maison avant de balayer la maison des autres institutions de la CEDEAO. Ou du moins simultanément. Mais le Parlement de la CEDEAO ne peut pas refuser de « suivre l’argent » de son budget et vouloir avoir la crédibilité de « suivre l’argent » mis à la disposition des autres institutions de la CEDEAO », fait t-il remarquer à l’institution parlementaire.

Il a aussi critiqué le mode d’élection des parlementaires et a suggéré le renforcement des prérogatives du parlement. « De plus, les députés de la CEDEAO doivent être élus directement par les populations et non comme c’est le cas actuellement par les différents parlements nationaux. Le Parlement de la CEDEAO doit avoir un pouvoir législatif et de vrais pouvoirs de contrôle du budget et non des « avis » à émettre sur les budgets. Ces ruptures contribueront à transformer la CEDEAO de syndicat des chefs d’État qu’elle est aujourd’hui à une CEDEAO des peuples », affirme-t-il.

Ainsi, le parlementaire est déterminé à mener le combat pour une réforme en profondeur de l’institution parlementaire sous- régionale.

Me Abdoulaye Tall sur l’affectation des magistrats à Tambacounda : « La justice doit être rendue partout »

Me Abdoulaye Tall, avocat et responsable politique du parti Pasfef, a exprimé son point de vue sur la controverse entourant les récentes affectations de magistrats à Tambacounda.

Selon lui, ces mutations ne doivent pas être perçues comme des mesures punitives, mais plutôt comme un processus de rotation ordinaire au sein de la fonction publique. Il a affirmé : « Les magistrats sont avant tout des fonctionnaires, et Tambacounda est une région comme Kédougou. »

Me Tall a également rappelé que chaque année, de nombreux fonctionnaires sont affectés dans diverses régions du pays sans que cela ne suscite de débat. « Toute personne travaillant dans la fonction publique doit s’attendre à être affectée, y compris à Tambacounda. Les habitants de Tamba méritent une justice de proximité, rendue par des juges compétents », a-t-il conclu.

Le ministre de l’Hydraulique fait le point sur les systèmes d’accès à l’eau potable à Touba

Selon le ministre de l’Hydraulique et de l’assainissement, Cheikh Tidiane Dièye leurs équipes sont déjà déployées à Touba pour mettre en place le dispositif spécial pour le Magal. Et dans l’ensemble, le système est fonctionnel et les moyens mobilisés sont déjà au-delà de se qui se faisait habituellement. Les améliorations vont se poursuivre.

 

« Mais je dis toujours à mes collaborateurs qu’en matière de satisfaction des besoins de nos concitoyens, je verrai toujours le verre à moitié vide plutôt qu’à moitié plein. Cela nous met en situation d’alerte permanente. Même si un seul quartier connaît des problèmes, il retiendra toute notre attention », explique Cheikh Tidiane Dièye.

« Nous avons identifié quelques zones qui connaissent de perturbations sur la distribution d’eau. Nous sommes en train d’y apporter des solutions », poursuit le ministre.

1. Ndam Darou Salam et Darou Marnane (Sous-Préfecture) :
2. ⁠Ces zones ont subi des interruptions d’eau dues à des casses de conduites provoquées par les travaux d’assainissement le long de la route de Mbacké, entraînant la déconnexion de certains branchements domestiques. Actuellement, des réparations sont en cours et les branchements endommagés sont en train d’être reconnectés.

2. Ndam Darou Khalimoul Khabir et une partie de Darou Marnane Ouest :

Les travaux de raccordement du nouveau forage d’Héliport ont nécessité l’arrêt temporaire des forages F19 Arafina et F33 Touba Ndiarème, causant des interruptions d’eau. Le raccordement est désormais terminé, les forages ont été remis en service, et un retour progressif à la normale est attendu sous 72 heures.

3. Ndindy et une partie de Mbacké Bary :

Cette zone a été affectée par des baisses de tensions dues aux travaux de la SENELEC, provoquant l’arrêt du forage de Ndindy. De plus, l’évolution démographique rapide a dépassé la capacité de l’infrastructure existante. L’équipe d’intervention dépêchée en urgence pour diagnostiquer et réparer le problème a vu que la pompe est hors d’usage. Elle sera remplacée dès demain. Un système complet de forage, château d’eau et réseau a été prévu en janvier 2025 pour résoudre définitivement ce manque d’eau.

4. Route de Darou Rahmane :

Des baisses de pression ont été enregistrées dans cette zone, principalement à cause d’installations hors normes telles que des pompes surpresseur que certains installent dans leurs domiciles et des branchements anarchiques. Ces problèmes seront prochainement pris en charge.

5. Penth Sam Serigne Bara Khouradia :

Cette zone située en altitude a connu une amélioration de la distribution d’eau depuis la dernière intervention. Des travaux d’extension du réseau sont prévus après le Magal pour renforcer le système.

6. Dianatou (Penth Cheikh Béthio Boulevard Ndongo LO) et une partie de Madiyana :

Une baisse de pression a été constatée, en partie à cause d’installations hors normes. Des travaux d’extension de réseau et de rectification des branchements sont en cours. Pour Madiyana, la mise en service du forage de Touba Darou Khafor devrait renforcer l’approvisionnement en eau.

7. Khaïra et Darou Minam :

Le forage F13 Kébé étant détérioré et à l’arrêt, une conduite spéciale est en cours de réalisation à partir du nouveau forage d’Héliport. La fin des travaux est prévue avant le Magal, ce qui devrait améliorer la situation dans ces zones.

Dans tous les cas, des camions citernes seront envoyées dans toutes les zones qui connaissent des perturbations pour soulager les populations, en attendant que les solutions soient finalisées.

Préparatifs du Grand Magal : Le ministre Serigne Guèye Diop fait le bilan de la disponibilité des denrées

À quelques jours du Grand Magal de Touba, prévu le 23 août 2024, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Dr. Serigne Guèye Diop, a effectué une visite sur le terrain pour évaluer la disponibilité des denrées alimentaires essentielles. Accompagné du Secrétaire d’État au Développement des PME-PMI, Ibrahima Thiam, et du Gouverneur de la région de Diourbel, il a constaté que les stocks d’oignons, de pommes de terre, d’huile et de sucre sont largement suffisants pour répondre aux besoins des fidèles durant cet événement majeur.

« Ce jeudi 15 août 2024, en prélude au Grand Magal prévu le 23 août, je me suis rendu à Touba en compagnie du Secrétaire d’État au Développement des PME-PMI, Monsieur Ibrahima Thiam, pour m’assurer de la disponibilité des stocks de denrées essentielles telles que l’oignon, la pomme de terre, l’huile, et le sucre.

Je suis heureux de constater que les stocks sont amplement suffisants pour répondre aux besoins des populations durant cet événement religieux majeur. En compagnie du Gouverneur de la région de Diourbel, Monsieur Ibrahima FALL, et des autorités locales, nous avons visité les marchés Mame Bineta et Ocass, ainsi que le marché « Gare bou Ndaw », où nous avons rencontré importateurs, détaillants et demi-grossistes.

Grâce à une stratégie d’anticipation, les denrées ont été obtenues en grande quantité, garantissant ainsi une couverture adéquate pour le Magal. J’ai également exhorté le Gouverneur et le Maire de Touba à veiller à ce que les gros porteurs de denrées aient un accès facile à l’intérieur de la ville pour approvisionner correctement les commerçants avant la tenue du Grand Magal.
Cet événement, qui réunit chaque année plus de 5 millions de fidèles mourides, est un moment crucial pour notre économie, avec des dépenses estimées entre 250 et 350 milliards de francs CFA. »

Mamadou Lamine Diallo : « Il est temps de dissoudre l’Assemblee nationale pour que le peuple… »

Dans un récent texte, le député Mamadou Lamine Diallo exprime sa frustration face à ce qu’il considère comme des incohérences et des dérives dans le fonctionnement de l’Assemblée nationale du Sénégal.

 

M. Diallo critique sévèrement l’utilisation abusive de la procédure d’urgence, qu’il avait précédemment dénoncée sous le régime de Macky Sall.

Il souligne que, paradoxalement, les députés eux-mêmes recourent à cette procédure pour modifier le règlement intérieur de l’Assemblée lors d’une séance extraordinaire, alors que ce règlement est en réalité un faux document connu depuis novembre 2022.

Texte in extenso :

Je suis peut-être compliqué, mais cohérent : j’avais critiqué le régime de Macky Sall sur l’abus de la procédure d’urgence dans l’examen des projets de loi par l’Assemblee nationale.

Voilà que les députés nous proposent une procédure d’urgence pour modifier le règlement intérieur de l’Assemblee nationale dans une séance extraordinaire qui n’admet qu’un seul point à l’ordre du jour par définition.

Or l’Assemblee nationale, – le Président, le Bureau, la Conférence des Présidents, les Députés – savent depuis novembre 2022 que le règlement intérieur distribué en octobre 2022 aux députés est un faux. La Société civile était au courant aussi. On a rien fait.
Brusquement, voilà qu’on nous convoque en procédure d’urgence après 21 mois.

Bien que la correction du règlement intérieur s’impose évidemment,
Il est temps de dissoudre l’Assemblee nationale pour que le peuple élise des députés plus responsables et plus rigoureux, d’ailleurs seuls aptes à écouter un discours de politique générale de rupture. N’oublions pas que c’est cette assemblée qui a voulu prolonger le mandat du Président Macky Sall en reportant l’élection présidentielle de février 2024 en violation flagrante de la constitution. N’eut été la vigilance du Conseil Constitutionnel, le Senegal aurait sombré.

Cela dit, cette affaire de faux règlement intérieur doit être tirée au clair par la justice pour situer les responsabilités et faire leçon à notre élite politique.
Bonne fête de l’assomption.

Port de Dakar: l’intersyndical des travailleurs crache sur le « Dëng Dëngël – Weng Wengal » du DG et annonce un plan d’actions de grève

L’intersyndicale des travailleurs du port autonome de Dakar est déjà au front contre la nouvelle direction dirigée par Waly Diouf Bodian. Il dénonce une série de violations des règles établies qui régissent le fonctionnement du port et de toutes les activités y afférentes. Dans un communiqué, l’intersyndicale rappelle que le directeur général avait expliqué qu’une mission d’audit a été lancée et confiée à un cabinet externe sélectionné sur appel d’offres. En attendant les conclusions de la mission d’audit, le renouvellement des contrats à durée déterminée arrivés à terme est suspendu.

Après investigation, l’intersyndicale, dans son communiqué, dit avoir découvert également que le DG a déclaré, par modification, sur le portail des marchés de la DCMP, Version 23, du 24 juillet 2024, « qu’il procède à un audit du fichier du personnel et non à une évaluation globale des ressources humaines, comme indiqué sur la note adressée aux travailleurs ».

De plus, le DG a déclaré, sur le portail, avoir lancé le marché de l’audit du fichier du personnel du PAD le 19 juin 2024 et l’avoir attribué le 03 juillet 2024 par une Demande de Renseignements et de Prix (DRP) à compétition restreinte. Alors que le rapport d’évaluation technique relatif à cet audit précise que le marché fut lancé le 14 juin 2024, clôturé el 28 juin et attribué le 02 juillet 2024. Plus grave encore, remarquent les syndicalistes du Port, le Directeur Général du Port Autonome de Dakar, par note d’information, en date du 06 aout 2024, a désigné ce même conseiller technique comme point focal de cette mission d’audit, alors que le marché est attribué à son cabinet dénommé MCA. L’intersyndicale remarque que ce conseiller technique est à la fois « un employé du Port Autonome de Dakar, le titulaire du marché et le point focal pour le compte du Directeur Général ».

Dans le rapport d’évaluation technique, l’intersyndicale a constaté également que l’équipe d’audit du cabinet MCA est composée de cinq (05) membres, dont le frère du conseiller technique, présenté comme le Directeur Associé de MCA. « Le chef de mission, durant toute sa carrière, (31 ans de service) n’a participé qu’une seule fois à une mission d’audit c’était un audit organisationnel et social effectué à la SONES il y a plus de dix (10). Il n’a jamais été chef d’une mission d’audit et n’a aucune connaissance du milieu portuaire ; de même que le reste de l’équipe. Par ailleurs, le cabinet n’a pas fourni les attestations de bonne exécution de prestations de nature et d’envergure équivalente, exigées dans l’évaluation de l’offre tout simplement parce que de telles attestations sont au nom du conseiller technique précité » dénoncent les travailleurs qui estiment que les marchés publics doivent respecter les principes de liberté d’accès, d’égalité de traitement et de transparence des procédures ».

Le cadre des syndicats du PAD, forte de ces manquements dénoncent la mise à l’écart du Président de la commission des marchés et de son adjoint, l’absence de sincérité et l’illégalité de la note du DG en date du 25 juin 2024, la violation des procédures de passation du marché, la violation des délais de passation du marché, celle de la charte de transparence et d’éthique en matière de marchés publics, du code des marchés publics. Par conséquent, ils exigent la levée de la suspension des contrats à durée déterminée et le rétablissement dans leurs droits de tous les travailleurs impactés par cette décision injuste, l’arrêt de cet audit en cours et la relance du marché sur l’audit général des ressources humaines, dans le respect des lois et règlements. L’intersyndicale interpelle l’autorité suprême et compte se faire entendre à travers un plan d’actions de grève.

Le Nouveau Journal de Sans Limites TV : Un Phénomène sur Youtube

Ngoné Saliou Diop
Ngoné Saliou Diop

Le nouveau format du journal en ligne de Sans Limites TV, présenté par Ngoné Saliou Diop, connaît un grand succès sur YouTube, grâce à son approche dynamique et interactive. Suivi par plus de 5000 personnes en direct,le nouveau journal du groupe Sans limites,est devenu le sujet de discussion des senegalais sur les reseaux sociaux.En effect le contexte de la journée « Sans presse » a permi àux nombreux internautes de decouvrir en exclusivité cette nouvelle concept de journal en ligne avec informations fiables ,des reportages,avec une innovation de taille sur paysage médiatique au sénégal.Le programme est conçu pour capter l’attention des internautes avec des contenus concis et multimédias, répondant aux attentes actuelles de rapidité et d’interactivité. Le choix pertinent des thèmes, allant des enjeux politiques aux avancées technologiques, attire un large public. La stratégie de distribution sur les réseaux sociaux renforce également l’engagement des spectateurs. Le charisme de Ngoné Saliou Diop joue un rôle clé dans ce succès, faisant de Sans Limites TV un leader des tendances en ligne.

« Madiambal n’a pas dit la vérité. Macky ne l’a pas avisé ni consulté… »Ch. O. Touré

Madiambal n’a pas dit la vérité
Madiambal n’a pas dit la vérité

« C’est faux, Madiambal Diagne n’a pas dit la vérité, et je peux le jurer. Il n’a pas été avisé ni consulté par l’ancien président Macky Sall pour la libération de Ousmane Sonko. » D’ailleurs, il n’a jamais voulu que le leader de Pastef sort de prison, a déclaré Cheikh Ousmane Touré.

Le chroniqueur de Senegal7 explique que « Madiambal faisait partie des faucons qui disaient à Macky Sall de ne pas céder à la pression et de devoir aller jusqu’au bout. »

Il ajoute : « Mais Macky Sall, au final, ne les écoutait plus parce qu’il savait qu’ils travaillaient pour Amadou Ba. Le chroniqueur révèle que « Macky Sall, contrairement à ce que disent certains, n’a pas eu de protocole lorsqu’il a voulu parler avec Sonko. »

Fête 15 août :  » L’Assomption de la Très Sainte Vierge Marie n’est pas une histoire passée « , Abbé Gérard Sambou vicaire Paroisse Notre-Dame de Lourdes Bignona

Fête 15 août
Fête 15 août
Ce 15 août les chrétiens catholiques du monde entier ont célèbré l’Assomption, c’est-à-dire l’élévation de la Très Sainte Vierge Marie au ciel. Une occasion pour l’église dans son universalité de revisiter la vie d’une jeune fille choisie par Dieu pour devenir la Mère de son fils, le  Christ Jésus, et de l’Église.
 
 
 
L’Abbé Gérard Martial Sambou, vicaire de la Paroisse Notre-Dame de Lourdes de Bignona, dans son homélie, en ce jour de la fête du 15 août remet au goût du jour la pertinence de la célébration de l’Assomption. Pour lui, l’Assomption de la Très Sainte Vierge Marie n’est pas une histoire passée. Le prêtre ajoute que cette Assomption de Marie s’adapte bien dans notre contexte actuel, où  »l’appel du Seigneur a tressailli  d’allégress dans le monde entier par des pèlerinages communautaires ou familiaux auprès de nombreux sanctuaires dédiés à la Vierge Marie ».
 
Le prêtre relate que les chrétiens catholiques peuvent confesser que Marie est une mère joie. Une mère très humble qui a accueilli la parole de Dieu avec beaucoup de joie. « En revisitant l’histoire de Marie, l’occasion est offerte aux chrétiens d’avoir une pensée pieuse aux vaillantes femmes qui se donnent avec dévouement au service de l’église, de leurs communautés et familles respectives, au service de la société », a livré comme message l’Abbé Gérard aux fidèles de Bignona.

Axe Ndoulo et Mbacké: 6 personnes d’une même famille périssent dans un accident

Axe Ndoulo et Mbacké: 6 personnes
Axe Ndoulo et Mbacké: 6 personnes
Un camion et un minicar sont entrés en collision sur la route de Diourbel précisément entre Ndoulo et Mbacke, nous renseigne Dakaractu. D’après la même source, le bilan provisoire fait état de 6 morts, tous d’une même famille. On a également dénombré des blessés. Nous y reviendrons.

Matam : Un sexagénaire retrouve son téléphone disparu… dans une tombe

Matam
Matam
On perd souvent son téléphone dans des endroits insolites où il est quasiment difficile de le retrouver. À moins que la chance vous sourie !  Ce qui est arrivé à un sexagénaire qui, par mégarde, a fait tomber son portable dans la tombe, au moment de l’inhumation de la dépouille d’un enfant.
 
Compatissant à la douleur de ses voisins dans leur deuil, Dembo, qui a accompagné la famille au cimetière, s’est impliqué, après la prière mortuaire, dans l’enterrement du corps. 
 
 Après avoir pris congé de la famille endeuillée, il s’est rendu compte, une fois chez lui, de la disparition de son téléphone. Son entourage à alors appeler son numéro qui était bien en ligne sur le réseau. Perte ou vol, les commentaires sont allés bon train. Jusqu’au moment où une vieille femme de la famille endeuillée l’a interpelé et lui a suggéré d’aller voir au niveau du cimetière. 
 
Sur place, ils ont entendu le téléphone sonner… dans la tombe. On l’avait enseveli avec les dernières couches de terre.

« Il a montré qu’il est un vrai artiste » : Quand Choguel Maiga encense Ousmane Sonko

Choguel Maiga encense Ousmane Sonko
Choguel Maiga encense Ousmane Sonko
Le Premier ministre malien Choguel Maiga a profité du dîner offert à son homologue sénégalais, en début de semaine, pour lui tresser des lauriers. Il trouve que le chef du Pastef a montré que la politique est un art, lors de la dernière élection présidentielle au Sénégal.
 
« La politique c’est un art »
 
« La politique, certains pensent que c’est dribbler, tromper, mentir. Non. La politique c’est un art. Le Premier ministre (sénégalais) a montré qu’il est un vrai artiste. La politique c’est l’art de réaliser ce qui est possible. De faire rendre possible ce qui est nécessaire. Ce qui était nécessaire pour les Sénégalais, c’est notre analyse et nous pouvons nous tromper, c’était un changement de paradigme » a déclaré Choguel Maiga.
 
« Maturité stratégique »
 
Il estime que M. Sonko « a eu la vision et la maturité stratégique de faire ce qu’on a rarement vu en Afrique (positionner Diomaye Faye). Si c’est dans un autre pays, on dira non, on préfère ne pas aller aux élections. Si ce n’est pas le chef, c’est zéro. Mais eux ils ont eu le sens de l’histoire » a  apprécié le Premier ministre malien.

Épidémie du sida au Sénégal : Voici les chiffres officiels

Épidémie du sida au Sénégal
Épidémie du sida au Sénégal
« Sénégal : Plus de 22. 000 filles âgées de 15 ans, et plus, sont atteintes du sida ». Cette information, donnée par Pulse dans son compte TikTok et largement partagée sur Facebook a fait le tour de la toile. Seneweb, qui tente d’en savoir plus, a contacté des spécialistes du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
 
Mais en réalité, les données officielles sont en deçà de ces chiffres avancés. Pour le Dr Karim Diop, secrétaire général du Centre régional de recherche et de formation à la prise en charge clinique de Fann (Crcf), le Sénégal est un pays de basse prévalence pour le VIH/sida. Il se distingue des autres pays de la sous-région, mais également de la zone Afrique. 
 
« Cette basse prévalence qui est constante depuis de longues années, grâce au travail qui est mené par le programme. La prévalence actuelle est de 0,3 %, selon les dernières estimations de spectrum de l’Onusida ».
 
Le professionnel soutient que « si on se base sur les résultats du recensement qui fait état d’une population de plus de 18 millions de personnes, la prévalence actuelle est de 41 584 personnes qui vivraient avec le VIH/sida au Sénégal ».
 
Il admet, toutefois, que l’épidémie a tendance à se féminiser, rappelant que le VIH atteint généralement les populations qui sont sexuellement actives donc qui ont plus de 15 ans. « Si on distingue les différentes proportions, on a un nombre d’hommes qui vivent avec le VIH/sida estimé à 18 931 tandis que celui des femmes de plus de 15 ans qui vivraient avec le VIH/sida est estimé à 19 024 », a assuré le Dr Diop. 
 
De son avis, « il faut considérer plutôt les valeurs relatives que des valeurs absolues en sachant également que c’est un cumul de chiffres existants, puisque c’est le nombre total des personnes qui vivraient avec le VIH/sida ».
 

Le torchon brûle-t-il entre Macky Sall et le nouveau régime ? Les signes de la fin de l’accalmie

Bassirou Diomaye et Macky
Bassirou Diomaye et Macky

Jeune Afrique évoquait récemment le rapprochement entre les deux ennemis jurés, Macky Sall et Ousmane Sonko quelques semaines avant l’élection présidentielle.  Un apaisement qui a abouti au vote d’une loi d’amnistie, la libération de détenus politiques, celle de Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye, et l’élection finalement de ce dernier. 

Avec cet enchaînement d’événements, Macky Sall a même été accusé par certains dans son camp d’avoir précipité la défaite du candidat qu’il a lui-même choisi, Amadou Ba. “Macky Sall, seul responsable de l’échec de notre candidat, doit venir faire le bilan et nous expliquer ce qu’il s’est passé”, s’emporte un responsable de sa famille politique. 
 
Lors de la campagne présidentielle, il est vrai que Ousmane Sonko a été moins vindicatif avec Macky Sall. “Laissez Macky Sall, c’est Amadou Ba, notre adversaire”, lançait-il à ses partisans surchauffés lors d’un meeting à Pire. Après la présidentielle, avant et après la cérémonie d’ouverture, la courtoisie était de rigueur également entre M. Sall et le duo Ousmane Sonko-Diomaye Faye. 
 
Si pour le moment le contenu de ce “deal” n’a pas livré tous ses secrets, on décèle quelques signes de tensions entre le nouvel exécutif et l’ancien chef de l’État. 
 
En effet, la justice s’intéresse de très près à la famille de l’ancienne Première dame, Marième Faye Fall, qui, révèle Jeune Afrique, a joué un rôle prépondérant dans le dégel entre Macky Sall et Ousmane Sonko. Le frère de Marième Faye Sall, Adama Faye, a ainsi été arrêté. Sa mère a également été interrogée par les enquêteurs.
 
De sources sûres, on appris également que l’on a pas affecté à Macky Sall des agents chargés d’assurer sa sécurité, comme il est de coutume pour d’anciens chefs de l’État. 
 
Si “deal”, il y a, nos interlocuteurs s’interrogent sur la réelle contrepartie pour l’ex chef de l’État qui, rappelons-le, n’est pas revenu à Dakar depuis qu’il a quitté le pouvoir. 

Le Président Bassirou Diomaye Faye sera en visite d’État en Chine…

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a annoncé lors du conseil des ministres de ce mercredi qu’il effectuera une visite d’État en République populaire de Chine les 3 et 4 septembre 2024. Ce déplacement s’inscrit dans le cadre du 4ème sommet du Forum de coopération sino-africain (FOCAC), qui se tiendra les 5 et 6 septembre 2024.

La conférence du Forum sur la coopération sino-africaine, qui se déroulera entre septembre et décembre 2024 à Beijing, rassemblera les dirigeants chinois et africains. Au programme, des discussions sur le développement futur, la coopération et l’échange d’expériences en matière de gouvernance

Par ailleurs, plusieurs médias avaient rapporté la présence du président Bassirou Diomaye Faye en France pour la commémoration du 80ème anniversaire du débarquement en Provence, initialement prévue le 15 août 2024. Cependant, ce déplacement n’a pas eu lieu, et le chef de l’État sénégalais n’était pas présent à la cérémonie, contrairement à certains de ses homologues africains qui ont été reçus par le président français Emmanuel Macron.

Macky Sall assume ses décisions sur les attributions foncières à Dakar et affirme être « droit dans ses bottes »

L’ancien président sénégalais Macky Sall a affirmé être « droit dans ses bottes » face aux récentes enquêtes sur les attributions foncières à Dakar, initiées par le président actuel, Bassirou Diomaye, et le Premier ministre. Selon les informations publiées ce mercredi par Confidentiel Dakar, citées par Dakaractu, Macky Sall a assuré à ses proches n’avoir « rien à se reprocher » en ce qui concerne les terrains distribués, notamment dans la zone de l’aéroport.

Macky Sall aurait précisé qu’il a agi dans le cadre de ses « prérogatives de président de la République », en demandant aux services compétents de traiter les demandes de manière conforme. La revue souligne que, bien qu’il soit demandé au Sénégal pour « rendre compte », l’ancien chef d’État ne cherche « aucune protection », insistant sur le fait qu’il n’a tiré aucun bénéfice économique des attributions foncières dans la région de Dakar.