On ne connaissait pas le Premier ministre aussi taquin. En voulant apporter la réplique à l’ancien Président Abdoulaye Wade, Mohamad Dionne s’est fendu d’une bonne boutade avant-hier. «Nous préférons largement le Pse aux petites histoires et autres rumeurs. Cette expression fait référence à la célèbre expression du ministre conseiller Youssou Ndour : «Thiep bou seew mo niou guenal wakh bou seew». Entendez par là : «Nous préférons largement le riz brisé aux petites histoires et autres rumeurs». Toi aussi Mahammed, « Bayil Wade »…Avant que sa colère ne s’abatte sur toi…Macky a eu sa dose…Il faut aussi rappeler que Feu le Père du Pm était l’ami de Wade. Et ce dernier l’aimait profondément dans sa ville de Kébémer d’où est originaire la famille du PM…
Les partisans du président de la République, Macky Sall qui l’encourage à faire arrêter son prédécesseur, Me Abdoulaye Wade, ne cultivent pas la paix au Sénégal. C’est la conviction de Serigne Khadim Diop, un des petits-fils de Mame Makhtar Diop de Koki qui prévient contre les conséquences d’unte acte. «Il ne faut pas plaider pour l’arrestation d’un grand leader comme Abdoulaye Wade, qui peut encore mobiliser des foules, qui est encore écouté par une grande partie du peuple, ne produira rien de bien. Si jamais Wade est arrêté, Macky Sall ne restera pas une minute au Sénégal, à Dakar», soutient-il. Interpellant les va-t-en-guerre de l’Alliance pour la République (Apr), Moustapha Cissé Lô, Mbaye Ndiaye ou encore Mame Mbaye Niang, sur la nécessité de «raisonner» leur mentor. Revenant sur les attaques de Me Abdoulaye Wade contre le président, Macky Sall, Serigne Khadim Diop les met sur le compte de la «persécution à outrance» de l’opposant. «Quiconque est persécuté, à le droit de se défendre avant d’être tué», estime M. Diop qui a rendu publique une déclaration en rappelant les «accusations de vols que le pouvoir a reproché à Me Abdoulaye Wade, ancien président de la République.» Voilà un homme qui, selon M. Diop, «Wade a été accusé de vol, ses proches arrêtés, son fils emprisonné». Doutant de la culpabilité de Wade fils, Serigne Khadim Diop fait remarquer qu’à ce jour, «aucune preuve, aucun milliard attribué à Karim Wade, n’a été montré devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).» Dans ce même sillage, pour être juste, soutient-il, «Awa Ndiaye, Idrissa Seck, Moustapha Niasse, Tanor Dieng doivent tous déférer une convocation de la Crei.»
2015 A 38 ans, Sourakhata Tirera, homme d’affaires sénégalais établi en Chine, est un véritable conte de… faits. Il a les yeux plissés par sa réussite. Sourakhata Tirera croule sur un chiffre d’affaires de 34 milliards de F Cfa construit en Chine. Il a 38 ans. Mais, il en paraît 50 cintrés dans une chemise blanche et un costume tendance. Voix caverneuse. Engagée. Et séduit par l’Empire du milieu qui l’a porté dans une autre dimension: «Je suis reconnaissant de la Chine. Ce sont des compatriotes.» L’appel de la réussite vient de loin.
Il est né à Bokidiawé, dans la région de Matam où les succès se construisent à coûts d’audace sous le ciel embué par la poussière jaune du désert qui guide leurs étoiles. En Chine, il a réussi à se faire un nom dans une ville perdue au milieu de nulle part. Yiwu…, située à 160 km des côtes, attire les commerçants du monde entier pour leurs achats en gros. Elle abrite un quartier des foulards, un marché des sacs en plastique, une avenue dont chaque magasin vend des élastiques, Binwang Zipper Professional Street, la rue de fermetures Éclair.
Le centre commercial China Yiwu International Trade City regroupe plus de 30 mille boutiques et les transactions conclues dans ces échoppes influent sur le prix de vente des objets aux quatre coins du monde. Son slogan est mondialement connu : «Un océan de marchandises, un paradis pour les consommateurs».Il a trouvé dans ce coin son paradis. Il a implanté deux entreprises spécialisées en Logistiques et dans l’export de compteurs et de coffre. Le business prospère à une vitesse exponentielle. Il dit: «Je me suis implanté assez rapidement. J’exporte dans plusieurs pays africains.
J’ai réussi à avoir un bon carnet d’adresses.»Au départ, il n’était jamais question de s’implanter dans l’Empire du milieu. Commerçant et importateur, il faisait la navette entre Dakar et Yiwu pour renforcer ses affaires. Subjugué par la Chine, il décide de rester trois mois pour observer le modèle chinois. Et une relation d’amour se noue : Il apprend l’anglais et le mandarin «langue du futur». Il explique : «Je n’étais jamais venu pour rester.
Et les gens me sollicitaient pour que je leur trouve des contacts et je le faisais. Et je le faisais si bien que je multipliais les contacts.» Il sent les affaires et décide de rester à Yiwu. «Et pour me formaliser, j’ai décidé de mettre en place mes entreprises. Et le choix est plus que providentiel», sourit-il. Aujourd’hui, Sourakhata Tirera est heureux comme un môme. Dans sa vie, il n’a pas eu le temps de louvoyer entre le dur et le mou ou de glisser sous les roues. Ou d’ahaner dans la fournaise. Il pèse 34 milliards de chiffre d’affaires. «La Chine est la première puissance économique mondiale construite dans la discipline. On peut parler de rêve américain. Mais, la Chine permet de réaliser ses rêves. Moi, j’en ai accomplis parce que ce n’est pas un pays difficile. Il faut comprendre la langue et intégrer la société chinoise qui est très ouverte», dit-il. Presque confus. Dans la ville commerciale de Yiwu, le gamin de Bokidiawé est hélé dans les rues. Il est Vice-président du Bureau de médiation chargé d’arbitrer les conflits entre les Chinois et les étrangers dans un bureau composé de neuf étrangers. Même s’il est dirigé par un Chinois. Il est recruté alors qu’il était en compétition avec des Singapouriens, des Soudanais et des Egyptiens. Il passe haut la main. Le job est exaltant : «Notre travail consiste à arbitrer les différends entre les nationaux et les étrangers. S’il y a des cas d’escroquerie, d’abus de confiance, le bureau de médiation intervient pour arrondir les angles et éviter des contentieux judiciaires.» A Yiwu où vivent plus 13 mille étrangers dont une cinquantaine de Sénégalais, le travail auquel il est astreint est soutenu. Mais, il est ravi par ce job : «Oui ! Vous savez pourquoi ? Parce que le drapeau de mon pays flotte sur le toit de l’immeuble qui abrite notre service. Notre ambassadeur est venu me féliciter et toute la communauté sénégalaise est heureuse de cette consécration.» Ce n’est pas de la condescendance. Encore moins une vantardise. «Pas du tout ! Je partage ce que j’ai vécu en disant que rien n’est impossible dans la vie.» Récemment, la Cc Tv, Télévision publique chinoise, a fait une édition spéciale sur cette «réussite» pour susciter la multiplication de cet exemple dans d’autres provinces. Aujourd’hui, il vient changer les idées reçues sur les Chinois au Sénégal. Dans l’imaginaire sénégalais, les produits importés dans ce pays renvoient à la pacotille. Le représentant de la Société nationale d’électricité de la Chine au Sénégal essaie de gommer cette «fausse réputation».
«Au Sénégal, on peut tirer tellement profit de la présence chinoise. On n’a pas mis en place des mesures incitatives pour leur permettre de prendre des risques en investissant massivement dans plusieurs secteurs. En attendant, ils se contentent de faire du commerce et rapatrier leurs devises. Je parle en connaissance de cause.» Marié et père de quatre enfants, il n’a pas renoncé à son pays. «Je sens qu’on peut faire des affaires ici. C’est mon pays. Par exemple, mes enfants reviennent chaque année ici pour passer leurs vacances. Donc, le Sénégal reste au cœur de mes priorités. Et des investisseurs chinois veulent parier sur notre pays», avance-t-il. La vie de cet homme est un conte de… faits. Après avoir obtenu son Bac, il ne rêve pas d’études supérieures. Il part au Gabon après la bénédiction de son Papa connu dans la région de Matam comme un commerçant assez fortuné. C’était en 1995. «Il m’a donné les moyens pour que je rejoigne mon grand-frère. Par la grâce de Dieu, les affaires ont marché et nous avons ouvert des magasins au Congo», se souvient-il. Et il frétille de bonheur : «Ensuite, nous avons décidé de revenir au Sénégal pour mettre en place une quincaillerie et faire de l’export. C’est après que j’ai commencé à partir en Chine pour rentabiliser nos affaires.» Depuis 10 ans, l’étoile brille au milieu de l’Empire.
L’information est dans le journal Grand Place de ce samedi qui, rend compte du lancement hier vendredi par l’ancien ministre Malick Gackou de sa Fondation Maternité Solidarité.
La somme permettra surtout le financement d’un hôpital de niveau 3, un établissement sanitaire donc de plateau très relevé pour réussir les objectifs que se fixe le par ailleurs N°2 de l’Afp. C’est-à-dire : « qu’aucune femme ne meurt plus en donnant la vie », précise Gackou.
La sortie musclée de l’ex chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade contre le président de la République, Macky Sall continue de saliver cette fois-ci dans la cité religieuse de Touba. Touba ne comprend plus l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade. Après plusieurs dignitaires politiques, place maintenant au Khalife général des Mourides. Serigne Cheikh Sidy Mokhtar Mbacké, comme c’est de lui qu’il s’agit s’érige en chantre de la sérénité. Visiblement très indigné par la sortie de Me Wade qui avait traité son successeur d’ « esclave » issu d’une famille d’ « anthropophage », il appelle au clame. Sur ces attaques,
« Les dérives actuelles de l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, confortent l’idée que je m’étais fait de l’homme et de la décision que j’avais prise de le combattre, lui et ses pratiques inadmissibles » a indiqué le ministre conseiller, Youssou Ndour dans un communiqué rendu public ce jeudi. Réagissant ainsi à la dernière sortie de l’ancien président, Me Abdoulaye Wade contre le président Macky Sall. « Son irresponsabilité politique, son manque de courtoisie républicaine, son irrespect total et désobligeant envers le peuple et son successeur démocratiquement élu avec 65% des suffrages exprimés, le Président Macky Sall, la Première Institution, qu’il a lui même incarnée de 2000 à 2012, ont fini de trahir une suffisance manifeste et indélicate relevant, on le sait maintenant, de la mégalomanie » poursuit M. Ndour. « Une mégalomanie devenue hélas dangereuse » dit-il. Face à cette situation fâcheuse et périlleuse, Youssou Ndour appelle « les Sénégalais et la Communauté internationale à inviter Me Wade à la raison, pendant qu’il est encore temps ».
L’ancien Président de la République, Abdoulaye Wade, a reçu, hier, des membres du mouvement “sauvons le Sénégal”, structure présidée par Babacar Mbaye Ngaraaf. Une occasion pour Abdoulaye Wade d’évoquer, encore une fois, le cas Karim Wade. “Macky Sall a peur de Karim”, déclare Me Wade, selon “L’Observateur”. Il regrette que le Sénégal en soit arrivé au stade où le président prend la décision de mettre en prison tous les adversaires dont il a peur.
Toutefois, pense-t-il, “la tentative de diabolisation a échoué parce que les Sénégalais savent bien que Karim Wade n’est pas poursuivi pour sa gestion. Aucun rapport ne l’a épinglé dans la gestion des affaires publiques”.
L’imam Sané de Guédiawaye, membre du mouvement de Ngaraaf, assimile même Macky et Karim au pharaon et au prophète Moussa. Selon lui, le pharaon voulait éviter que Moussa lui succède et a tout fait pour l’écarter. Mais en cherchant à le combattre, il a précipité son accession au trône. Une manière de dire que Macky Sall travaille pour Karim qui va le succéder au pouvoir
Le chef de l’État entame une tournée qui le mènera dans toutes les capitales régionales du sud du pays. En effet, l’homme fort du régime va dérouler une semaine d’activités socioéconomiques sur fond de mobilisation de ses militants et sympathisants. L’effervescence politique de ces derniers jours en Casamance, pousse les observateurs et analystes politiques les plus chevronnés à parler d’une pré campagne électorale en vue de la présidentielle de 2017. Macky se donne ainsi une longueur d’avance sur ses éventuels adversaires. A partir de demain, Macky Sall sera à Ziguinchor pour d’abord inaugurer les deux bateaux devant assurer la desserte maritime entre Dakar et la Casamance.
Mais il se rendra ensuite à Kolda et Vélingara où il va passer le prochain week-end à accorder des audiences et à visiter des champs. Avant de faire cap sur Sédhiou où il présidera la réunion du Conseil des ministres le 25 février, il sera à Vélingara pour visiter le barrage de Niandouba qui fournit de l’eau à la vallée de l’Anambé, cheville ouvrière de son programme d’autosuffisance en riz. Macky va aussi visiter les magasins agricoles du bassin de l’Anambé avant de présider un forum avec les producteurs. Dès lundi, le chef de l’État sera à Sédhiou où se tiendra un Conseil interministériel le mardi, en prélude du conseil des ministres du mercredi.
Dans toute la Casamance naturelle, l’heure est à la mobilisation et aux préparatifs de la visite du Président. Des dizaines de millions ont été dégagés par le Président, le parti, et les principaux responsables locaux pour offrir à Macky Sall un accueil mémorable.
Actuellement à Paris pour la distribution de son nouvel album « Diam ak Salam »qui se vend comme de petits pains. La Sénégalaise de Paris Awa Yaffa achète 100 albums.
Le jeune Sénégalais Alassane Sow dit Meissi vient de signer son entré dans la liga Espagnol avec le club Real Saragosse par le biais du Manager de l’avenir football club de Dakar Saliou Fall. Un jeune prodige à suivre.
Soda de la série Un Café Avec dans une magnifique robe de mariage. Serait-elle en réception de mariage avec le comique Milkzo? Nous en saurons plus dans les prochains épisodes de la série Un Café Avec…
C’est un Abdoulaye Wade, tout ému, qui a rendu visite à son fils à la Maison d’arrêt de Rebeuss. Selon des témoins, il l’a pris longuement dans ses bras. Karim affichait un visage radieux, très content de recevoir la visite de son père. Wade lui a alors fait savoir qu’il était fier de lui parce que la prison l’a mis dans le coeur des Sénégalais.
“Moi-même j’ai été emprisonné plusieurs fois alors que j’étais opposant. Vingt-et-un ans après mon dernier séjour dans cette prison, j’y reviens librement. L’emprisonnement ne m’a pas empêché de revenir à Rebeuss, libre, avec un titre d’ancien Président de la République. C’est largement suffisant pour t’encourager, même si je te connais une certaine endurance”, ajoute Me Wade à l’endroit de son fils, rapporte “Grand Place”.
« Joyeuse saint valentin à nous ! Djiguène bou ci beugue am thiaathie, topatol seu djeukeur ba mélni Adjaratou Sokhna Aidara. Aidara karaara fitnaa loma bène yone. Yow rek laa nope. Longue vie à notre amour ! Je t’aime mon bébé, my everything ».Ma femme émoticône heart , ma bien aimée, mon amie, ma complice, mon rayon de soleil, mon clair de lune, mon plus-que-tout. Diabar diou matt diabar. Taarkala ! Nékhoul ba nékhoul mais maa fi gueune diabar.
Les relations entre les chanteurs Youssou Ndour et Thione Seck se sont invitées dans la presse de ce matin, qui donne la parole au griot El Hadj Mansour Mbaye, président de l’Association des communicateurs traditionnels du Sénégal. «J’ai entrepris des démarches dans ce sens et c’est à c’est à cet effet que j’ai désigné Bécaye Mbaye afin qu’il joue les bons offices», dira, El Hadj Mansour au sujet d’éventuelles retrouvailles entre You et Thione.
D’ailleurs, «Il (Thione Seck : ndlr) ne gardait plus aucune rancune envers Youssou Ndour et que plus jamais je ne l’entendrai dans des histoires avec Youssou. Il continue de porter la même estime pour Youssou Ndour», a confié, dans les colonnes de L’Observateur, le communicateur traditionnel qui rapporte les propos de Thione Seck. A l’en croire, les retrouvailles se feront sous peu
Un mariage qui avait fait beaucoup de bruit dans la presse people avec plusieurs démentis et confirmations non certifiés. L’idylle entre le producteur Baba Hamdy et la chanteuse Viviane, qui avaient scellé leur union par un « takku suff » (mariage en cachette), n’a su tenir longtemps. Viviane a divorcé, d’après nos sources qui sont très proches des deux artistes, de Baba Hamdy. Aujourd’hui, la chanteuse n’a pas perdu du temps pour trouver un remplaçant à son Baba. L’heureux élu serait un riche homme d’affaires et le remariage est prévu pour bientôt.
Déjà qu’il y travaille depuis un temps, le single à paraitre du patron de 1000 mélodies est un clin d’œil à l’histoire. En effet, au moment où sa séparation supposée avec Viviane est au gout du jour, l’artiste se prépare à lancer un nouveau single dénommé Habibatou. Dans cette chanson où l’artiste dit enfin avoir trouvé sa moitié, les allusions sont claires et le compositeur, en véritable professionnel, décline simplement son carnet de cœur.
Avec presque soixante berges, le chanteur Youssou Ndour n’a pas encore assouvit sa passion amoureuse. Le mari de la très belle Aida Champagne est soit amoureux ou bien le roi du Mballax veut profiter de ce plateau pour se faire des sous. En tout cas, il promet de mettre le feu le 14 février à Dakar. Dans la bande annonce, en plus des chansons dédiées à l’amour, l’artiste compte déployer tout un arsenal de séduction pour rendre la fête des amoureux belle. Seulement, si le thème est cher à l’artiste qui a chanté l’amour dans plusieurs déclinaisons, le réflexe du business man a été plus fort pour ce monstre du spectacle qui compte ramasser une petite fortune sur le dos des amoureux.
De son vrai nom Sokhna Khadijatou Mbaye, plus connue sous le surnom de Fleur,elle est originaire de Mbacké, une ville située à quelques encablures de la ville sainte de Touba. Mannequin professionnel, elle est aujourd’hui l’objet des plus folles rumeurs et des plus grandes controverses dans sa vie privée dans un milieu de JET SET qui est parfois assimilable a une jungle où les plus féroces ou les plus dangereuses survivent des coups et contrecoups du métier.
Hélas Fleur Mbaye n’échappe à ce harem, elle est aujourd’hui connue pour de multiple faits et scandales ce qui a fait que son nom est ainsi associé à une mauvaise image pour la presque majorité des sénégalais.
Fleur Mbaye, donne t- elle vraiment cette image ?
Pour en savoir un peu plus sur cette déesse de la mode, la rédaction de Sans Limitesa choisi de creuser l’abcès sur l’intimité de cette « touche à tout ». D’après nos radars qui ont parcouru l’entrée de la jeune Top Model sénégalaise, Fleur Mbaye est décrite par ses proches comme un ange de par sa générosité, son ouverture et sa disponibilité. Elle est l’un des mannequins les plus dynamiques et les plus réguliers du Sénégal, elle a des références aux normes internationales, ce qui n’est pas souvent le cas dans le milieu de la mode au Sénégal nous dit un professionnel de la mode qui gère une grande maison de stylisme sis dans la capitale Sénégalaise… Elle est souvent présente dans les plus grands rendez vous de la mode en Afrique, son statut de mannequin international et sa réputation de bonne viveuse ne l’a jamais empêchée d’oublier ses proches« elle œuvre dans le social sans pour autant le faire savoir dans la presse comme c’est souvent le cas chez les célébrités » nous dit une source proche de l’intéressée. Fleur est aujourd’hui une femme aux ambitions illimitées qui a notamment essayé dans le cinéma avec la fameuse série « Chez Fleur » qui cartonne à merveille présentement dans une chaine télévisé de la place.
Elle a une fibre patriotique très développée et elle est une vraie femme de culture, relationnelle et discrète. Son père est un chef religieux vénéré à Mbacké qui compte des centaines de fidèles musulmans, Mieux son Père est entouré de talibés dont des “Baay Fall”, à Mbacké.
D’après cette même source qui nous raconte une anecdote que lui a confiée fleur sur sa rencontre avec Feu Serigne Saliou Mbacké, « J’ai été touchée au plus profond de moi comme tous les Mourides par sa disparition. Serigne Saliou a eu à opérer beaucoup de miracles dans ma vie. Il a prié pour moi. Alors que je n’étais qu’un enfant, mes parents m’ont amenée le voir pour la première fois. Je ne peux pas expliquer ce que j’ai ressenti en ce moment, car je n’étais pas en âge de comprendre. Mais, lorsque j’ai grandi, j’ai mesuré la dimension de l’homme, ce qu’il représentait. La dernière fois que je l’ai vu, j’étais assise devant chez moi à Mbacké, il m’a dépassée à bord de sa voiture. J’ai aussitôt détalé à sa poursuite. J’ai réussi à mettre ma main sur le véhicule et il a posé la sienne sur la mienne »…
Apparemment c’est ça le vrai visage de ce mannequin …
La belle notaire Tamaro Seydi, celle qui faisait briller la salle du tribunal où est jugé Karim Wade s’est mariée avec Abdoulaye Daouda Diallo le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique…Le patron des flics. 51.254.129.182 leur souhaite heureux ménage.
Lors de sa rencontre avec la presse hier à Dakar Thierno Lô a tiré à boulets rouges sur la(Crei). Il a estimé que cette Cour exceptionnelle est une Cour hypocrite. « Je suis contre la(Crei) et personne n’a le droit de l’utiliser pour contrôler la gestion des institutions publiques », averti-il. Pour lui, l’Etat dispose de moyens de contrôle suffisants pour s’assurer de la bonne gestion de nos institutions. Seulement, Thierno Lô aussi soutenu qu’il est pour la reddition des comptes et pour la bonne gouvernance. Mais, ajoute t-il « la Crei est une source de danger puisqu’elle risque surtout d’instaurer une justice revancharde ».
Macky SALL, qui pourtant a participé à la marche de Paris pour la « liberté d’expression » et notamment la liberté de blesser les musulmans du monde entier, vient d’interdire la marche du PDS de ce mercredi 28 Janvier pour risques de troubles à l’ordre public.
Il déroule un plan pour, comme il l’a lui même dit, se venger et solder ses comptes personnels avec le PDS. C’est ainsi qu’il interdit toutes nos manifestations et multiplie les arrestations et interdictions de sortie du territoire de responsables de premier plan dont les responsables des jeunes, des femmes, des cadres et du comité directeur.
Macky SALL veut mettre en œuvre un processus qui s’achèvera par l’interdiction de notre parti.
Le Parti Démocratique Sénégalais qui porte encore les stigmates du combat de notre peuple pour une démocratie apaisée ne saurait accepter un tel état de fait et se battra de toutes ses forces pour éviter les forfaits d’un homme incompétent prêt à tout pour s’assurer une improbable réélection.
Le Sénégal ne va pas bien, c’est le moins qu’on puisse dire. Tous les secteurs sociaux sont en ébullition. Un mouvement général pour en finir avec Macky SALL et son régime se met peu à peu en place.
Le PDS et ses alliés sont décidés d’accompagner ce mouvement pour ouvrir à notre peuple de nouvelles perspectives aptes à lui assurer la place que lui assignent ses mérites et sa volonté.
Nous appelons tous les partis, tous les syndicats, toutes les organisations de la société civile et de défense des droits à l’homme, tout le peuple, à déjouer le lamentable plan de confiscation des droits et libertés et à se lever pour la défense de la démocratie, des espaces de liberté et des acquis de notre peuple pour sortir de la médiocrité.
Nous appelons tout le parti, ses alliés, ses sympathisants, ses structures, ses militants et ses responsables à tous les niveaux, à refuser ces interdictions politiques et à tenir partout des manifestations de protestation.
Nous demandons à toutes les populations de s’organiser dans l’unité, dans les quartiers, dans les communes, dans les lieux de travail, dans les villages, partout, pour porter ce combat.
Dakar, le 28 janvier 2015 Pour le Comité Directeur Oumar SARR, Coordonnateur
Le Parti socialiste anonce déjà les couleurs. En 2017, il présentera son candidat contre Macky Sall. Et ce sera au Maire de Dakar Khalifa Sall d’affronter le président Sall. Son équipe de campagne est mise en place avec un service de communication qui s’active dans le net. Le site de campagne www.khalifaababacar2017.com est fonctionnel. Dans les cités religieuses de Touba et Tivaouane, le Maire de Dakar s’active pour contrer le futur candidat de l’Apr. La Coalition « Taxawu Senegal » qui sera composée du Ps et de plusieurs autres formations politiques portera la candidature de Khalifa Sall en 2017.
Macky Sall n’a certainement pas pris à la légère la candidature de son beau-frère, Abdoulaye Baldé, pour la Présidentielle de 2017. En effet, dans une déclaration publique, le président du l’Union centriste du Sénégal (Ucs) portait à l’attention de l’opinion qu’il sera candidat à la Présidentielle de 2017 pour chasser Macky hors du palais. Cette déclaration du député-maire de Ziguinchor a été suivie par des actions concrètes sur le terrain avec entre autres des tournées nationales à l’intérieur du pays, visites au monde rural, aux acteurs du monde informel, la tenue de l’université centriste à Mbour… C’est ainsi que le président a de son côte organisé la riposte en lançant une vaste opération de charme en direction du Sud du Sénégal pour éliminer la fièvre « Baldé ». la présidence annonce un séjour d’une semaine de Macky courant de la deuxième semaine du mois de févier prochain en Casamance. Le président sera à Ziguinchor à partir du 19 février pour deux jours afin de procéder à l’inauguration de l’hôpital de la Paix. Les travaux d’entretien routier de la voierie de Ziguinchor seront aussi réceptionnés de même que le stade Aline Sitoé Diatta… Le président de l’Apr va profiter de sa visite dans la région sud pour tenter recoller les morceaux et faire parler le même langage les multiples petites sensibilités dans le but de sceller l’unité pour neutraliser Abdoulaye Baldé à Ziguinchor. Car pour rappel, rien que dans la ville de Ziguinchor, on note cinq responsables (Benoît Sambou, Mamadou Barry, Doudou Kâ, Courfia Diawara, Aminata Angélique Manga) qui malheureusement sont divisés. Du 21 au 23 février, le leader de l’écurie de Benno bokk yakaar se rendra à Kolda pour une tournée politique. Puisqu’en dehors de l’opération de charme, Macky va également éteindre le feu qui gagne sa case dans le Fouladou avec les micro-tendances dirigées par-ci par le ministre Abdoulaye Bibi Baldé et par-là par Mame Boye Diao. Et du 23 au 24, Macky sera dans le Pakao, à Sédhiou avec comme prétexte la tenue d’un Conseil des ministres décentralisé. C’est donc dire que pendant une semaine, la République et Benno Bokk Yakaar seront en Casamance pour essayer de neutraliser un potentiel candidat pour 2017 qui est Abdoulaye Baldé. Mais en attendant, le député-maire de Ziguinchor est en roue libre dans son fief, en atteste les dernières échéances locales où il a largement battu la coalition au pouvoir Benno bokk yakaar (Bby) avec 19 745 voix contre 6 606 dans les 143 bureaux des 29 centres de votes que compte la commune de Ziguinchor.
Les jeunesses de l’Apr ont commencé à sa chamailler. Alors que leur patron est en Guinée- Equatoriale pour supporter les Lions du Sénégal, ses potentiels successeurs se mènent une guerre ouverte. Hier, deux conférences de presse interposées ont failli avoir lieu, pour une même cause. La première est pilotée par Bara Ndiaye assisté de cheikh Bakhoum, tandis que la seconde prévue dans l’après-midi par Thérèse Faye et son camp a été reportée sine die. Une bataille qui vient juste de commencer pour le contrôle de la Convergence des jeunes républicains (Cojer).
C’est malheureux, Macky n’aime pas voir les personnes à qui il doit tout. Quel infidèle! Il « égorge » et « jette » ses amis de la période des vaches maigres ainsi que les journalistes après les avoir utilisé comme papier toilette. La politique a ses raisons que la raison ignore. Frontalement confronté à l’exercice du pouvoir, Macky ne veut pas se laisser aller tout seul dans sa descente aux enfers. Et ce sont ses collaborateur et ses journalistes qui paient le prix de sa hardiesse politique : Abdoul Mbaye, Mimi Touré, Me Alioune Badara Cissé (ex-numéro 2 de l’APR), Mbaye Ndiaye (ex-numéro 3), Mor Ngom (numéro 4), Youssou Ndour, Benoit Sambou, Ibrahima Sall, Cheikh Bamba Dieye, Amadou Kane, Mata Sy Diallo, Malick Gakou, Ali Haiddar, Pape Diouf, Abou Lô, Thierno Alassane Sall, Abdou Latif Coulibaly, Abdoul Aziz Mbaye, Alioune Sarr, Marieme Badiane, Aly Kotto Ndiaye, Fatim Bâ, Abou Abel Thiam, El Hadji Hamidou Kassé, Abou Abel Thiam, Souleymane Jules Diop, Yakham Mbaye. Son tout nouveau conseiller en communication Mamadou Thiam échappera-t-il au carnage? Le locataire du Palais les a tous balancés vers la pente raide. A presque 3 ans de gestion du pouvoir, le Président Macky a pris un malin plaisir à s’éloigner du carré de ses fidèles et amis. Il les piétine, les humilie et les voue aux gémonies. Ceux qui sont encore en service au cœur du pouvoir, devront faire montre de grands talents d’équilibristes pour se maintenir debout. Tel est un apprenti au pouvoir, Macky Sall a fragmenté son parti l’APR, abandonné ses fidèles compagnons, oublié ses souteneurs et détruit la carrière de bons nombres de journalistes avec l’abnégation d’un bûcheron. Qui veut aider le Président Macky ne devrait pas le diviser ni l’éloigner de tout ce monde. Alors que l’heure est à l’union des forces, les faucons continuent leur sale boulot. Tout ceci affaiblit et fragilise d’avantage le règne de Macky au bénéfice de l’opposition qui affûte ses armes pour la présidentielle de 2017. Si Macky ne fait pas gaffe, son parti risque de connaître une humiliation plus douloureuse que celle de Diouf et de Wade.
C’est ainsi que d’ici le mois d’avril, les avocats choisiront un vice-bâtonnier qui va seconder Me Ameth Bâ pendant un an avant de le succéder. Beaucoup pensent que l’ancien Premier ministre a le profil de l’emploi et saura défendre les intérêts de ses confrères dans les conflits qui les opposent avec les particuliers, mais aussi avec les juridictions. «Le Témoin » se demande si Souleymane Ndéné Ndiaye va franchir le Rubicond, lui qui est très assidu ces derniers temps au tribunal et qui s’est constitué dans pratiquement tous les dossiers importants de l’heure.
Le manque de solidarité des leaders du PDS (parti démocratique sénégalais), suite à la traque et aux persécutions dont les jeunes de l’UJTL (Union des jeunesses travaillistes libérales) sont victime ces derniers jours, en particulier le responsable du MEEL Victor DIOUF, conforte nettement l’idée que l’ennemi du PDS manœuvre paisiblement à son sein. Le PDS est victime aujourd’hui de l’égoïsme et des intérêts crypto personnels de ses anciens ministres et DG. Et cela constitue le problème principal du dysfonctionnement du parti. La fraternité et la solidarité qui sont des valeurs de ce parti mais aussi des éléments unificateur de l’ensemble des militants de cette formation politique, ne sont plus d’actualité pour certains militants, particulièrement ceux qui se disent « responsables du parti » et prétendraient remplacer le président Wade a la tête du PDS. Ces soi-disant responsables politiques du PDS méritent-ils le respect et la considération de ces jeunes du parti qui sont au-devant du combat politique pour la démocratie et la liberté des prisonniers politiques ? La réponse est non. Car un officier n’abandonne jamais ses soldats dans les moments critiques. La réaction tardive par communiqué du Comité directeur du PDS à travers son coordonnateur est une des preuves du manque de réactivité et d’anticipation du pds face aux actes politiques posés par l’APR et le pouvoir en place dont le seul dessein est la destruction du pds. Le silence des parlementaires du PDS, en l’occurrence le député Diagne Fada, face aux agressions et l’oppression que subissent les jeunes du Parti est à la fois complice, irresponsable et démotivant pour ces centaines de jeunes qui se battent toujours pour défendre les idéaux et les valeurs du parti. De la même occasion, cette duplicité des responsables du PDS étouffe l’ardeur des milliers de militants et des jeunes qui veulent réellement en découdre et défier le régime dictatorial de la Famille Faye-Sall. Macky Sall a compris qu’au PDS beaucoup de « responsables » n’existent qu’à travers Wade. Comme lui l’a été…Raison pour laquelle en l’absence de WADE, il peut tout se permettre. Aujourd’hui tous les jeunes sont conscients que ceux qui se sont accaparés la direction du PDS sont bleus la journée et marrons le soir Sinon comment comprendre que les Ousmane NGOM, Diagne Fada, Babacar Gaye, Mamadou Lamine Thiam, Fatou Thiam attendent toujours Wade pour investir la rue et défier MACKY SALL ?
Après le départ d’Alioune Diop, l’ex procureur de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), l’on pensait avoir fini avec les déclarations fracassantes de la CREI. Le Show à l’américaine, c’était le propre de Alioune Ndao : méga conférence de presse, caméras, flashs, une trentaine de journaliste, et le tour est joué pour attendre la déclaration qui va faire la Une de tous les journaux du Palais. Et le lendemain on voit des titres du genre : « le FBI entre dans la danse et découvre un compte caché de Karim » ou « 47 milliards CFA appartenant à Karim découvert dans un compte à Singapour »…Toutes ces déclarations d’Alioune Ndao étaient des artifices…Comme la dernière déclaration du président de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI). Henri Grégoire Diop se lance aussi dans le show à l’américaine. Hier lors du procès Karim Wade, le président de la CREI, fier comme un indien qui vient de scalper sa victime, lance fièrement au public ce qui apparait à ses yeux comme un trophée : « La Cour d’appel de Luxembourg a rejeté la demande de restitution des avoirs de Karim Wade qui se trouvent dans ce pays européen ». Comme si c’était une victoire…Et ne soyez pas étonnés de voir toutes les presses du Palais de ce mardi, titrer sur le « Luxembourg rejette la demande de Karim Wade ». Ou Encore « les 400 millions de Karim bloqués au Luxembourg. ». 400 millions Effectivement Karim Wade possède un compte au Luxembourg d’un montant de 400 millions. Mais cette somme n’a jamais fait l’objet de poursuites par la CREI. Cette somme n’est même pas listée dans biens présumés mal acquis de Karim Wade. Alors pourquoi le juge en parle. Si l’on prend la liste des biens estimés à 117 milliards, il n’existe nulle part dans ladite liste, le montant de 400 millions de Luxembourg. Ce qui veut dire que les 400 millions de Karim au Luxembourg sont propres et ne souffre d’aucune poursuite. Donc pourquoi le juge Henry Grégoire Diop parle-t-il du blocage de cette somme par le Luxembourg ? Blocage Henry Grégoire parle du blocage des 400 millions mais omet le pourquoi de ce blocage. Il ne dit pas non plus que ces 400 millions sont une assurance-vie à laquelle Wade-fils avait souscrit le 13 novembre 2002. Et encore le juge ne dit pas non plus que cette décision du Luxembourg date du mois de novembre 2014. Et il en parle maintenant…Et ce qu’il a aussi caché c’est qu’il n’a pas dit que « le Luxembourg a demandé à Karim d’attendre la fin du procès avant qu’il puisse accéder à son compte ». Henry Grégoire Diop n’agit pas comme un juge impartial. Il a chopé le même virus qui a liquidé l’ex procureur de la CREI : les déclarations artificielles. Alioune Ndao était accroc aux déclarations rocambolesques. Maintenant c’est le juge qui est atteint…Il faut qu’il parle tout le temps. Et s’il n’y a rien à dire, alors il invente…
Le témoin Mamadou Seck est passé, hier, devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). En tant qu’ancien ministre des Transports, il est intervenu dans la constitution de la société AHS pour l’agrément. Selon l’ancien président de l’Assemblée nationale, l’intervention de Karim Wade s’est limitée à la présentation de Mamadou Pouye et Ibrahima Abdoukhalil Bourgi. « C’est Karim Wade qui m’a recommandé Ibrahima Aboukhalil Bourgi et Mamadou Pouye comme ses amis d’enfance. Ils sont venus me voir pour l’agrément, et je leur ai dit d’aller voir avec le service qui s’en occupe », a précisé Mamadou Seck. Certains ont dénoncé des vices de procédure dans l’octroi de l’agrément, ce qui aurait d’ailleurs été à l’origine du limogeage d’Aminata Diouf Sall, directrice de l’avion civile d’alors. Des allégations rejetées par l’ancien ministre selon qui la dame Aminata Diouf a fait un dossier en bonne et due forme qu’il a signé. « Elle n’a pas été limogée à cause de AHS, c’est pour autre chose. Franchement, cela n’a rien à voir avec AHS, et je le lui ai dit. J’aide quelqu’un selon les règles et les droits. Je n’aiderai personne en tordant la loi. J’ai essayé autant que faire se peut d’aider AHS dans le cadre e la loi », a indiqué Mamadou Seck.
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Vidéo archive – Voici comment Macky Sall a fait sa démission à son poste de Premier Ministre sous Wade. Regardez