Tractations en prélude à la Présidentielle : Cheikh Bamba Dièye et Abdoulaye Baldé dînent ensemble
Ils ont voulu se voir incognito, dîner tranquillement et surtout échanger. Ils, c’est le duo d’acteurs du microcosme politique à savoir Cheikh Bamba Dièye et Abdoulaye Baldé qui avait choisi de se voir à une heure assez tardive de la nuit, mais c’était sans compter avec Dakaractu, qui a ses radars un peu partout.
Figurez-vous que ces deux hiérarques ont dîné ensemble dans la nuit du jeudi à vendredi dans l’un des restaurants enchanteurs de l’hôtel « Terou Bi ».
Même si rien n’a rien n’a suinté de leur entrevue, l’on subodore qu’ils manœuvrent en direction des joutes Présidentielles de 2017, qui s’annoncent très disputées.
Nos tentatives de les joindre ont été vaines. Si l’un était en mode inaccessible, l’ex maire de Saint-Louis (Cheikh Bamba Dièye) nous a balancé ce message : « je vous rappelle plus tard! »
Quid de leur dénominateur commun?
Quoi qu’il en soit, ils ont un dénominateur commun : ils ont tous les deux été au cœur de l’Etat. D’ailleurs, nos confrères de l’Astre national (Quotidien « Le Soleil ») avaient attribué le titre de « chouchou de l’arène politique » à Cheikh Bamba Dièye.
Avant de le reconnaître comme un phénomène qui a surpris plus d’un observateur politique. Maire de Saint-Louis, il avait coiffé au poteau les caciques du Parti démocratique sénégalais, et pas des moindres : Cheikh Tidiane Sy, Ousmane N’gom, Ousmane Masseck N’diaye. On peut légitimement dire que son alliance avec Benno Siggil Senegaal a été décisive dans la ville du nord ; mais sa percée dans différents coins du pays, notamment dans les banlieues, fait de lui une sorte de nouveau « chouchou » de l’arène politique.
Cheikh Bamba Dièye, force est de le reconnaître « c’est la virginité politique par excellence ». Certes, il n’a jamais été chef de l’Etat, mais il connait les rouages et subtilités de l’administration. Élu pour la première fois à l’Assemblée nationale en 2007, il a naturellement endossé les habits du député du peuple, dans un hémicycle boycotté par l’opposition significative. A la place Soweto, il s’était fait le porte-parole remarqué des masses populaires sur des sujets aussi sensibles et divers que l’inondation dans la banlieue, la crise de l’énergie ou la cherté de la vie. Le principal atout de Cheikh Bamba Dièye est qu’il jouit d’un crédit certain au sein de l’opinion publique. Héritier politique de son père, Cheikh Abdoulaye Dièye, l’auteur du fameux slogan religieux, ‘Allahou Wahidoune’, il tient de celui-ci un discours intègre, porté volontiers sur l’assainissement des mœurs politiques. Sans être forcément charismatique, Dièye fils personnifie – ou du moins c’est l’image qu’il renvoie – la droiture morale et intellectuelle dans un environnement politique corrompu.
Quid de Baldé? Lui, a été l’une des figures de proue du Pds, qui peuvent bomber le torse devant Me Wade pour avoir fait ses preuves dans la jungle politique, allusion faite à sa prouesse d’avoir déboulonné ce vieux briscard politique qu’est Robert Sagna.
En somme, ce duo n’est pas à sous estimer, politiquement parlant…
Khadija Choupy s’est -elle pendue ?
La rumeur a circulé dans Dakar et la charmante Khadija n’a fait qu’envenimer la situation en annonçant sur les réseaux sociaux son mariage à venir. Réalité ou simple coup de buzz, en tout cas elle n’a rien changé de son style de vie.
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Les images exclusives du baptéme de Mame Ngor : la fille de la députée Fatou Thiam porte le nom de la mère de Cheikh Amar
Ibrahima Mendy sur la violence dans l’arène politique: «C’est Karim qui coordonne tout depuis Rebeuss»
Macky Sall doit bien surveiller ses arrières. Hier, une délégation du Parti socialiste conduite par son boss Ousmane Tanor Dieng a rencontré des émissaires de la Ligue démocratique (Ld) conduite par son secrétaire général Mamadou Ndoye. Même si pour le moment rien n’a filtré des débats, il y a de quoi avoir peur de l’autre côté quand on sait que les deux formations sont souvent en phase sur bien des questions d’ordre national car en 2007 les deux partis avaient appelé au boycott des législatives, puis en 2009 avec une participation remarquée aux Assises nationales, ils ont cheminé ensemble pour porter Khalifa Sall à la mairie de Dakar avec comme premier adjoint Cheikh Guèye de la Ld. Les deux délégations, ayant d’importantes convergences de vue, engagent leurs partis respectifs à poursuivre, chacun en ce qui le concerne, les initiatives communes déjà en cours sur le terrain.
Macky Sall doit faire attention à Tanor et ses alliances gauchistes…C’est pas bon pour BBY
Macky Sall doit bien surveiller ses arrières. Hier, une délégation du Parti socialiste conduite par son boss Ousmane Tanor Dieng a rencontré des émissaires de la Ligue démocratique (Ld) conduite par son secrétaire général Mamadou Ndoye. Même si pour le moment rien n’a filtré des débats, il y a de quoi avoir peur de l’autre côté quand on sait que les deux formations sont souvent en phase sur bien des questions d’ordre national car en 2007 les deux partis avaient appelé au boycott des législatives, puis en 2009 avec une participation remarquée aux Assises nationales, ils ont cheminé ensemble pour porter Khalifa Sall à la mairie de Dakar avec comme premier adjoint Cheikh Guèye de la Ld. Les deux délégations, ayant d’importantes convergences de vue, engagent leurs partis respectifs à poursuivre, chacun en ce qui le concerne, les initiatives communes déjà en cours sur le terrain.
La maman de Me Amadou Sall refuse de s’alimenter
Depuis la banlieue où elle vit, la maman de l’ex ministre de la Justice, et avocat de Karim Wade ne s’alimente plus. Elle refuse de manger malgré son âge très avancé. Elle est sortie de l’Hôpital il y’a trois jours, et refuse depuis lors de s’alimenter à cause de l’arrestation de son fils. Une situation qui risque ben de lui coûter cher vu son état de santé fragile compte tenu de son âge très avancé. Me El Hadji Amadou Sall est poursuivi pour atteinte à la sûreté de l’Etat et a été placé sous mandat de dépôt par le président de la Chambre d’accusation. En détail, il a dit lors d’une réunion tenue à Guediawaye que si Karim Wade est condamné, Macky Sall ne passera pas une nuit au Palais.
Le PDS et l’APR s’accusent mutuellement de ce qui pourrait arriver avant et après le verdict
Ça sent le roussi entre l’Apr), parti présidentiel, et le Pds, en prélude à la date de délibération du procès contre Karim Wade et co-prévenus, ce 23 mars prochain. Les deux formations politiques se crêpent les chignons, s’accusant mutuellement de vouloir installer la terreur au Sénégal. Sur les ondes de la Radio futurs média (privée) hier, mardi 17 mars, les responsables politiques de ces deux formations se sont renvoyé la balle.
Interpellé sur les arrestations des responsables du Pds, le ministre de la Jeunesse, Mame Mbaye Niang, a pointé d’un doigt accusateur sur le ‘’Pape du Sopi’’. A l’en croire, «c’est Abdoulaye Wade qui avait dit qu’il ne va jamais accepter que Karim soit condamné. Si cela devait arriver, il avait dit qu’il va mettre sens dessus sens dessous le pays pour faire partir Macky Sall et faire régner le désordre dans ce pays».
Pour lui, il ne devait pas y avoir de problèmes si les gens du Pds n’étaient pas montés d’un cran en mettant en œuvre les menaces proférées, notamment «en prenant des gens pour les préparer à brûler le pays». Pour le responsable apériste, il est clair que la police sénégalaise compte des éléments bien formés et ne fait pas dans l’arrestation arbitraire, d’autant plus que certains responsables libéraux ne sont pas inquiétés. Faisant dans la menace, il a déclaré que «celui qui veut brûler le pays doit faire face d’abord au gouvernement». Mieux, il a fait savoir que «le gouvernement ira jusqu’au bout de sa logique», pour assurer la sécurité à la population.
Ces accusations battues en brèche par Amadou Diarra, maire de Pikine Nord, qui dit être étonné des propos tenus par le ministre de la Jeunesse. D’autant plus que «c’est lui-même qui a dit que le 27 juin 2012, lui et ses partisans étaient en train de coordonner leurs actions pour brûler le pays», a-t-il rappelé. D’ailleurs, a-t-il indiqué, c’est à cause de cette affaire qu’il a été récompensé par Macky Sall qui l’a nommé ministre de la Jeunesse. A en croire le responsable libéral, depuis que le Pds s’est retrouvé dans l’opposition, on n’a jamais constaté des dérives occasionnées par son camp. Par conséquent, il a estimé que «le pouvoir est en train de mettre en place une stratégie d’intimidation. Ils veulent commettre une forfaiture le 23 mars prochain». Pour lui, il est clair que le pouvoir cherche à neutraliser les gens pour leur empêcher de manifester. D’où, selon lui, les arrestations des responsables libéraux de la banlieue, à l’image «d’El Hadj Amadou Sall qui habite Thiaroye, Cheikh Dieng de Djidah Thiaroye Kaw, Babacar Ngaraaf de Guédiawaye, Aminata Nguirane de Pikine, mon directeur de cabinet Cheikh Gueye qui est de Pikine Nord».
Toutefois, les tensions notées dans le pays n’ont pas laissé de marbre les observateurs de la scène politique à l’image d’Alassane Seck, secrétaire exécutif de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme, qui se dit inquiet. Pour lui, la liberté d’expression ne veut pas dire qu’on peut se permettre de dire tout ce qu’on veut. S’attaquant à l’Etat, il a estimé que le régime exagère avec ces arrestations tous azimuts. Par conséquent, il a appelé l’ensemble des parties à la sérénité avant le 23 mars prochain.
Wade ne voulait pas de la « Génération du Concret » de Karim…Un conflit les opposait
Ancien membre de la “Génération du concret”, ex-ministre de l’Education et actuel allié de Macky Sall, Kalidou Diallo tient à témoigner que Me Abdoulaye Wade n’a jamais voulu de la génération du concret encore moins de la dévolution du pouvoir au profit de son fils Karim Wade. Il apporte son témoignage dans un entretien avec le quotidien “L’As”.
“En 2009, après les élections locales, le Président Wade a convoqué Karim Wade et moi. Il a dit à Karim Wade : “beaucoup de gens se sont plaints en disant que la “Génération du concret” a gêné le Pds lors des élections, il faut donc que tu dissolves la structure”. Karim a répondu à Me Wade : “M. Le Président, je dis non parce que “la Génération du concret”, c’est mon bébé comme le Pds est le vôtre. Moi, je considère que le Pds et le Ps, c’est la même chose du point de vue des pratiques et des hommes. Avec la “Génération du concret”, je veux créer une structure qui voit la politique autrement”. On s’est séparé dans le désaccord. Me Wade lui a dit : “tu penses que tu peux réussir en politique sans le Pds et les hommes qui ont toujours été avec moi ?”. Karim Wade répond : “Oui, je peux réussir en politique avec les gens de ma génération, de ma vision, qui sont dans tous les partis d’ailleurs. On va se retrouver en tant que nouvelle génération”, raconte Kalidou Diallo.
Karim en prison, son avocat en prison, ses souteneurs en prison…Macky remplit les prisons, la presse est muette
Il fait tout ce qu’il veut sans être inquiété par les opposants qui sont matés par ses forces de l’ordre qui obéissent aveuglément à ses ordres. Macky n’a même peur d’être interpellé par la presse. Il s’en fout parce qu’il sait qu’il a avec lui, la police, La gendarmerie, l’armée, les marabouts et la presse. Le seul élément qui devait empêcher Macky de verser dans un régime totalitaire est maintenant acquise à sa cause et c’est la presse.
Depuis hier, c’est l’inquisition au Sénégal et la presse se réjouit. Au contraire elle tire sur les victimes. Wade et le PDS, Karim et ses coaccusés, le peuple et ses problèmes. La presse est devenue le persécuteur de ces trois entités. La presse va jusqu’à écrire, en parlant des séries d’arrestations politiques, que la « police traque les pyromanes ». On arrête un maire parce qu’on a retrouvé des pneus dans la cour de sa mairie. Alors qu’au même moment, il y a des dizaines de pneus qui traînent dans la cour de la mairie de Guédiawaye dirigée par le frère du Président. Et tout ça, la presse ne dit rien. Mais comment ces journalistes peuvent-ils sacrifier la démocratie de notre pays acquis après de longues années de souffrance ?
On arrête un avocat et c’est normal…Parce qu’il a parlé de cuillère et gourdin contre les armes à feu des policiers. Il est mis sous mandat de dépôt. L’ordre des avocats ne parle pas. La presse se tait et fait comme si de rien n’était. Et pourtant l’avocat Me Amadou Sall est tombé sous le coup de l’article 80 que les journalistes combattent à longueur de journée. Mais puisque c’est l’avocat de Karim Wade, alors il n’intéresse pas la presse car pour ses tables et fables de la presse, la seule morale qu’il faut tirer est que Karim croupisse en prison et que Macky ait un second mandat.
Aujourd’hui, la presse a choisi le camp de l’argent contre la volonté populaire. Et cette presse assise sur une table et se gavant de fables populistes du Palais, n’a plus de raison. Elle est devenue une presse malade de sa plume et barbare envers les sans voix et les faibles. Pauvre pays, où est ta presse ?
Kalidou DIallo: « Le jour où Karim a dit non à son père »
S’il y’a quelqu’un qui maitrise bien les relations entre Karim et son père c’est bien Kalidou Diallo. Ex membre de la “Génération du concret”, l’ancien ministre de l’Education aujourd’hui devenu allié de Macky Sall, en sait sur les rapports qu’entretenaient les deux hommes dans le domaine politique à l’époque où la fameuse GC montait en puissance. Témoin privilégié, Kalidou Diallo a tenu à faire remarquer que Wade et Karim, n’ont jamais pensé à une dévolution monarchique.
“En 2009, après les élections locales, le Président Wade a convoqué Karim Wade et moi. Il a dit à Karim Wade : “beaucoup de gens se sont plaints en disant que la “Génération du concret” a gêné le Pds lors des élections, il faut donc que tu dissolves la structure”. Karim a répondu à Me Wade : “M. Le Président, je dis non parce que “la Génération du concret”, c’est mon bébé comme le Pds est le vôtre. Moi, je considère que le Pds et le Ps, c’est la même chose du point de vue des pratiques et des hommes. Avec la “Génération du concret”, je veux créer une structure qui voit la politique autrement”. On s’est séparé dans le désaccord. Me Wade lui a dit : “tu penses que tu peux réussir en politique sans le Pds et les hommes qui ont toujours été avec moi ?”. Karim Wade répond : “Oui, je peux réussir en politique avec les gens de ma génération, de ma vision, qui sont dans tous les partis d’ailleurs. On va se retrouver en tant que nouvelle génération”, raconte Kalidou Diallo dans un entretien avec le quotidien “L’As”. Une manière pour qui de dire qu’il n’a jamais accordé du crédit à ceux qui théorisaient la dévolution monarchique
Revivez les images de la dernière soirée de Pape Diouf au Baramundi avant le « Grand Bégué » du 28 mars au grand théâtre.
Y en a marre dans de sales draps…L’Ambassade des Etats-Unis reconnait financer les activités de Y’en a marre
D’après des investigations, le trio de Y en à marre a été invité par le groupe Filimbi qui veut siffler la fin du règne de Kabila qui veut tripatouiller la Constitution pour s’éterniser au pouvoir. Toutefois, après leur arrestation, le promoteur était introuvable. Selon les radars de l’As, si Fadel Barro et ses amis ont eu tant d’ennuis, c’est parce qu’ils sont soupçonnés de travailler pour l’ancien gouverneur du Katanga qui est un farouche opposant au régime. Lumbubassi Fatoundé est accusé d’être le bailleur de Filimbi. En réalité, selon les renseignements congolais, le trio de Y en a marre a été arrêté alors qu’il préparait un concert.Mais c’est l’ambassade des Etats Unis qui va enfoncer le clou sur les Y en a marristes. Un porte-parole de l’ambassade des Usa à Kinshasa a fait une révélation qui va enfoncer davantage les membres du mouvement Y’en a marre accusés, entre autres, de « chambouler le calendrier électoral de la Rdc ». A en croire ce dernier, «cet événement, parrainé en partie par le gouvernement américain, est l’une des nombreuses activités que les Américains encouragent. Les activités de Washington concernent les jeunes et la société civile pour les encourager à se faire entendre». C’est dire que l’affaire est en train de prendre une autre tournure. Si les autorités sénégalaises ne font rien, les membres de “Y en a marre”, Fadel Barro, Malal Talla alias “Fou Malade” et Aliou Sané, arrêtés dimanche en République démocratique du Congo (Rdc), risquent très gros. Ils pourraient même être inculpés pour “atteinte à la sûreté de l’Etat”.
Wade révèle enfin le contenu de son entretien avec Malick Gackou…Il dit tout sans exception
Le président Wade révèle le contenu de son entretien avec Malick Gackou, le numéro deux déchu de L’AFP…C’est le site officiel du PDs qui rapporte les faits à travers un entretien avec Wade
pdsonline : Vous avez reçu récemment Malick Gackou et votre entretien a duré 2 h.
Pourquoi n’avez-vous fait aucune déclaration pour éclairer vos compatriotes sur cette importante rencontre dans le contexte politique actuel ?
AW : Pourquoi voulez-vous qu’après une rencontre à caractère familial qu’on fasse une déclaration ?
pdsonline : Parce que votre rencontre a une dimension familiale ? Comment cela ?
AW : Malick Gackou est mon fils et c’est moi qui lui ai écrit pour lui demander de passer me voir pour un échange sur le problème de notre pays et de l’Afrique. Je connais Malick Gackou et nos relations remontent avant l’alternance de 2000. Pour moi il fait partie des jeunes qui vont faire le Sénégal et l’Afrique de demain. Je suis son évolution tant au sein de son parti que dans la galaxie politique nationale. Je sais depuis très longtemps que nous sommes très proches doctrinalement, à travers le centre gauche qui l’inspire – et le libéralisme social que je défends. Cela dit, je voudrais vous préciser deux choses
– Nous n’avons pas parlé d’alliance politique. Je serai d’ailleurs mal placé pour le faire. Lui, il a son avenir politique devant lui et moi, je suis en train de fermer le mien.
– Nous n’avons pas par conséquent parlé d’aide ou de financement. Au demeurant, dans nos relations il n’en a jamais été question.
Nous avons évoqué la situation sociale difficile, du fait de la pauvreté galopante, des problèmes de l’enseignement au vu des grèves des professeurs, des manifestations quasi-permanentes des étudiants et des problèmes du monde rural sénégalais en déliquescence.
Nous sommes arrivés à la conclusion que le Sénégal a besoin d’un sursaut national qui, par sa dimension, dépasserait les clivages politiques sur la seule base de ralliement qui vaille : la défense et la promotion des valeurs cardinales de la république.
Les images de la soirée 100% Sénégal avec Soda Bousso et Ngoné Ndiaye Guéweul au Star Night
La nouvelle destination des Sénégalais de Paris, le Star Night a vibré au rythme de Soda Bousso et Ngoné Ndiaye Guéweul ce dimanche. L’ambiance du « leumbeul et du tassou » était au rendez-vous.
Arrestation de membres de Y’en a marre en RDC : Macky Sall engage Mankeur à trouver une solution rapide
Le président de la République du Sénégal est en train de suivre de très près l’arrestation des membres de « Y’en a marre » en République démocratique du Congo (RDC) le week-end.
« La Tribune » rapporte que le président Macky Sall a joint au téléphone le ministre des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye pour lui instruire de suivre cette affaire pour obtenir la libération de Malal Talla, alias Fou Malade, Alioune Sané et Fadel Barro dans les plus brefs délais. Macky Sall a demandé son ministre en charge des affaires étrangères d’entrer en contact avec son homologue congolais pour que ses compatriotes soient libérés dans les plus brefs délais.
Les autorités sénégalaises auraient même joint au téléphone les membres de « Y’en a marre » pour leur assurer que l’Etat est en train de tout faire pour trouver une issue heureuse à cette affaire.
Ousmane Tanor Dieng: « Le Ps n’est pas l’Afp »
La comparaison entre le Ps et l’Afp n’est pas tenable pour Ousmane Tanor Dieng. Pour le patron du Ps, son parti est organisé et bien structuré où les débats ont lieu sans que le désordre ne puisse s’installer.
« Le Ps n’est pas l’Afp. Le parti socialiste est un parti structuré, organisé. Il peut y avoir des discussions, des invectives entre responsables, mais nous retombons sur nos pieds parce que nous avons des structures qui sont faites pour gérer les problèmes. En fin de compte, je ne me laisse pas faire. Je ne vais pas laisser les gens installer le désordre dans le parti. le débat est utile mais il ne doit pas être source de division », a indiqué Ousmane Tanor Dieng dans les colonnes de Walfadjri.
Carnet Rose: Mariama Sarr est désormais Mme Ndiaye
Appelons la désormais Mme Ndiaye. Le ministre de la Femme s’est mariée ce dimanche à 17 heures avec un monsieur nommé Mohamed Ndiaye. L’union a été célébrée par le porte parole du Khalife général des tidianes, Serigne Abdoul Aziz Sy Al Almine.
Les Promesses de Serigne Mbacké Ndiaye: « Quand je serai président… »
Candidat à la candidature du Pds, Serigne Mbacké Ndiaye a fait face à la presse ce samedi pour dévoiler son projet de société.
« Notre pays, le Sénégal, traverse des moments difficiles qui demandent, non seulement la mobilisation de tous ses fils, mais aussi et surtout des mesures courageuses et patriotiques ne prenant en compte que les intérêts exclusifs de notre pays et de l’Afrique.
C’est parce que je suis sûr, avec une équipe compétente, intègre et patriotique, de prendre une orientation révolutionnaire capable de sortir le Sénégal de sa situation actuelle.
Bien sûr je proposerai aux Sénégalaises et aux sénégalais un projet de société qui s’appuie, pour l’essentiel, sur le WADISME mais qui s’ouvre également aux autres stratégies, démarches et politiques pour prendre en charges les aspirations de notre peuple.
En attendant, j’évoque ici et maintenant quelques axes de ce projet.
I.
1. La réalisation des Etats Unis d’Afrique est pour moi une priorité.
2. Sans remettre en cause nos rapports avec la France, un accent particulier sera mis sur les relations et la coopération avec la Chine, le Monde Arabe, l’Inde et les Etats-Unis d’Amérique.
3. Les Représentants Diplomatiques de prestige seront supprimées.
4. Les Sénégalais de l’Extérieur seront associés à toutes les décisions et mieux pris en compte.
II.
5. Le régime présidentiel sera maintenu.
6. Le Président de la République sera élu pour un mandat de sept (7) ans non renouvelable.
7. Le poste de Premier Ministre sera supprimé.
8. Le Gouvernement sera composé de quinze (15) à vingt (20) Ministres.
9. Les Présidents de Région siègeront au Conseil des Ministres avec un rang de Ministre d’Etat sans portefeuille.
10. Les Régions ou Provinces seront au nombre sept (7).
11. Les Collectivités Locales actuelles seront maintenues.
12. Les Députés seront élus au scrutin uninominal à deux (2) tours.
13. Les Députés n’auront plus de salaire mais des indemnités de session, par contre ils seront dotés d’outils de travail.
14. Le nombre de Députés sera de quatre vingt (80).
15. Le Senat, chambre des Collectivités Locales sera recréé.
16. Le Conseil Economique Social jouera pleinement son rôle.
17. Les Bureaux Municipaux (Maitres et Adjoints) et les Bureaux Départementaux (Présidents et Vices) seront élus au suffrage universel direct.
18. Le nombre de Partis sera réduit en concertation et collaboration avec tous les acteurs.
III.
19. Les caisses noires ou fonds politiques seront supprimés.
20. 7% du Budget National seront affectés au Sport ; le Sport est un moyen d’éducation, il est créateur d’emploi ; il est régulateur Social.
21. La revitalisation des Vallées Fossiles sera poursuivie ainsi que le Canal de Cayor, le Canal du Baol, les vallées du Dibass dans la Région de Thiès, ect ….
IV.
Un Groupe d’études, de Conseil et de recherche de financement sera mis sur pied et comprendra des personnalités, organisations et mouvements que je n’ai pas contactés tels que :
– Le Président Abdoulaye WADE,
– Le Président Babacar NDIAYE de la BAD,
– Jacques DIOUF de la FAO,
– Président Baba DIAW – ITOC
– Pierre GOUDIABY – Architecte
– Youssou NDOUR,
– L’UNACOIS,
– Mansour KAMA
– Beydi AGNE
– Bara TALL ;
La liste n’est pas exhaustive.
Bien sûr, j’aurais l’occasion de revenir sur toutes ces questions pour présenter aux Sénégalais un projet de société si mon parti m’investi de sa confiance pour défendre ses couleurs en 2017.
J’ajoute que je crois fondamentalement aux retrouvailles de la Famille Libérale et si tel est le cas, je proposerais le projet de société que je porte à cette alliance.
Egalement, je n’exclus pas de prendre contact avec mes autres frères et sœurs qui, comme moi, sont candidat à la candidature du Parti pour l’élection présidentielle de 2017. L’essentiel étant pour moi d’avoir un bon candidat entouré d’une bonne équipe portant un bon projet de société ».
Serigne Mbacké NDIAYE, Candidat à la candidature du PDS
Me Madické Niang, plan B de Wade ?
Abdoulaye Wade est en train de manœuvrer fort pour faire revenir le Parti démocratique sénégalais au pouvoir en 2017. Les audiences accordées à certains responsables libéraux ne sont que la partie visible de l’iceberg. L’ancien président de la République a reçu récemment Aminata Lô Dieng. Il a aussi fait la même chose avec d’autres responsables comme Malick Gackou et Aïssata Tall Sall. Un autre acte aussi posé, est la mise en place de la commission chargée de recevoir les candidats à la candidature du Pds pour la prochaine élection à venir.
Pourquoi Madické Niang a donc renoncé à diriger cette commission ? Selon une source proche du Pape du Sopi, l’ancien ministre de la Justice, ancien ministre des Affaires étrangères et avocat célèbre, constitue le plan B d’Abdoulaye Wade si Karim Wade est condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite. C’est lui qui sera choisi pour faire face à Macky Sall.
Selon notre informateur, ce ne sera ni Oumar Sarr ni Modou Diagne Fada à plus forte raison Me Souleymane Ndéné Ndiaye. Madické Niang, ajoute-t-il, «est un homme très respectueux et très respecté par les familles maraboutiques. De Touba en passant par Tivaouane, Ndiassane et Médina Baye, chez la communauté chrétienne, toutes ces familles religieuses manifestent une grande considération envers sa personne. Un atout que ne compte pas négliger l’ancien président de la République».
Non sans indiquer qu’«Abdoulaye Wade est prêt à porter son choix sur lui pour devenir le candidat idéal du parti et pour en découdre avec le régime en place. D’ailleurs, certains caciques du parti ont reçu l’information. Après le verdict du 23 mars, la nouvelle sera donnée par Abdoulaye Wade lui-même au cours d’un bureau politique qui sera convoqué à la permanence Omar Lamine Badji».
Quand You chassait Wade du pouvoir
Le chanteur et artiste planétaire est monté au créneau pour empêcher la candidature de Wade surprenant du coup les sénégalais qui ne l’ont jamais vu aussi engagé.
Urgent: Affaire des nervis du PDS, Amina Nguirane arretée par la police
Selon nos sources, la jeune Amina Nguirante, présidente de «Horizon 2017 Ak Karim Wade», vient d’étre arretée par police de la commune Guédiéwaye. Selon ses proches, son arrestation pourrait liée sur l’affaire des nervis, que le PDS aurait recruté pour semer le trouble le 23 mars prochain.
Ce matin, le chef de file de l’écurie Guinaw Rail, a été aussi convoqué par la police. Ce dernier est soupçonné de poser des actes de sabotage en vue du 23 mars prochain, jour du verdit du procès de Karim Wade et ses co-accusés poursuivis pour enrichissement illicite présumé et qui risquent plusieurs années derrière les barreaux.
Bathie Seras aurait procédé au recrutement massif, pour le compte du Parti démocratique sénégalais (Pds), de nervis pour semer le trouble le jour marquant probablement la fin de ce feuilleton judiciaire. D’autres jeunes libéraux de la banlieue ont été convoqués par les enquêteurs. Nous y reviendrons.
K DIEME
De quoi souffre Adja Diallo !
Alitée depuis plus d’une semaine, la Diva Adja Diallo ne reçoit plus et même son téléphone sonne inaccessible. Absente du Dakar by night depuis sa bagarre avec Karina, il se dit qu’elle a été sévèrement tabassée par l’ex escort girl de Khadafi. D’autres sources disent simplement qu’elle a un méchant Palu pendant qu’une de ses fidèles copines versent toutes ces infos dans la corbeille des racontars estimant être sortie avec sa copine, saine et sauve, pour un diner.
« On constate que le compte de Singapour est toujours tabou », défense de Karim Wade
Ce sont là les propos de Me Ciré Clédor LY contre le renvoi du procès qui oppose Karim et l’expert-comptable, Alboury Ndao. « Le Tribunal a renvoyé à la demande du ministère public après que la défense a épuisé ses plaidoiries», sert la robe noire de la défense de Wade-fils dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis. Selon lui, «le 26 mars, on constate toujours que le compte de Singapour est un tabou ». Car il en est convaincu : «Tant que la CREI ne l’écartera pas, personne ne devrait certainement en parler ».
Me Ciré Clédor LY de préciser «simplement que la Tribunal l’a fait de bonne foi. Même si l’argument qui a été soulevé par le ministère public est un argument qui ne rencontre pas la loi. L’article 414 dit en son alinéa 2 que les juges en parlant des juridictions de jugement ne peuvent former leur conviction que sur les éléments de preuves apportées au cours du débat et discutées devant le juge ».
«Alboury interrogé, se réfugie sur des personnes fantomatiques, il refuse de répondre, donner des éléments parce qu’il n’avait rien. Et nous nous avons estimé devoir ne pas nous en tenir à cela seulement, nous avons apporté des preuves au moment de l’interrogatoire donc des éléments prouvant effectivement que le rapport avait des énonciations qui étaient fausses », dit-il.
Candidature au Pds : Mécontente, Aïda Mbodji écrit à Wade
Aïda Mbodji ne serait pas d’accord avec la manière dont l’investiture au sein du Pds se déroule. Une investiture que d’aucuns qualifient de simulacre pour juste avaliser le choix porté sur Karim Wade par son père, Abdoulaye Wade, secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds).
Selon “L’As”, Aïda Mbodji a d’ailleurs adressé une correspondance à Me Abdoulaye Wade pour lui dire le fond de sa pensée. Elle compte également organiser un face à face avec la presse ce vendredi dans un hôtel de la place, informe le journal.
Le député El hadji Diouf veut faire «auditer» tous les milliardaires, de Senghor à nos jours
L a tâche n’est as aussi difficile, à en croire le député El Hadji Diouf, qui estime que la traque des biens mal acquis ne doit pas s’arrêter après le procès Karim Wade. Pour lui, il faut aller au-delà et auditer tous les milliardaires que compte le Sénégal, de Senghor à nos jours. Une manière pour lui de lever toute équivoque sur l’origine licite de leurs fortunes, et éviter ainsi aux personnes poursuivies, toute discrimination qui pourrait être liée à l’appartenance politique ou autre.
Paganon sur sa sortie polémique : « si c’était à redire, je le redirais… »
L’ambassadeur de France ne semble pas regretter sa sortie dans l’émission « Grand Jury » de dimanche dernier où il indiquait qu’un non « lieu dans l’affaire Karim Wade l’étonnerait ». « Si c’était à redire, je le redirais… » dit il même à nos confrères de « l’Obs ». Et d’ajouter « ce qui me désole le plus, c’est le procès d’intention de l’ingérence, je n’ai porté aucun jugement de valeur. J’ai simplement dit ce que pensent 90% des sénégalais La question ce n’est pas qu’il est coupable ou innocent, mais de savoir s’il va être condamné ou non ? Même ses avocats disent qu’il va être condamné. Si c’était à redire je ne vois pas pourquoi je ne le redirais pas. Beaucoup de Sénégalais pensent que Karim Wade va être condamné, d’autres pensent que c’est un déni de justice. Là dessus je n’ai rien à dire, parce que ce serait de l’ingérence. Ou ce ne serait pas respecter la présomption d’innocence. »
Il a par ailleurs noté qu’il n’a pas été recadré par son patron au quai d’Orsay. « Mais qu’est-ce qu’il y a recadrer ? »
Mohamed Dionne : « On ne nous avait pas entendu lorsque vous aviez lancé un appel à l’ingérence à la France, on ne nous entendra pas aussi sur ce cas »
« On n’avait pas entendu le Gouvernement lors de l’appel à l’ingérence de l’ancien Président Abdoulaye Wade, on ne l’entendra pas non plus sur ce que vous appelez ingérence ».
Cette réponse est du Premier ministre Mohamed Dionne au sujet de ce que l’opposition présente à l’Assemblée comme «l’ingérence de l’ambassadeur de France dans le dossier Karim Wade ». « Qui a sollicité les Président Obama et Hollande sur un procès qui se déroule entre Sénégalais, qui a demandé que des juges français viennent gérer un dossier qui nous concerne? Nous devons être conséquents et faire confiance à la justice de notre pays. Ceux qui sont aujourd’hui entre les mains de la justice, s’ils prouvent leur innocence seront libérés, le cas échéant ils seront condamnés. Nous ne sommes pas des manipulateurs, du droit, de la justice et du peuple, nous travaillons aujourd’hui pour servir et non nous servir ».
Arrêt sur image Kouthia et Aissatou Diop Fall No Comment