Accueil Blog Page 6717

C’est officiel ! Le DG du Port Autonome de Dakar s’est convolé en justes noces avec Mme Awa NDIAYE .

C’est officiel ! Le DG du Port Autonome de Dakar s’est convolé en justes noces avec Mme Awa NDIAYE .

couple entre l’ex ministre de Wade et le nouveau guichet automatique du régime de Macky Cheikh Kanté Dg du port ont finit de nouer leur relation en cachette leur dernier apparition c’était au mois d’Avril à Paris pour quelques jours de vacances pour mieux réfléchir sur leur sort. En effet ils ont embarqué à bord du vol Air France le 08 avril à l’aéroport Charles de Gaulle destination Dakar pour enfin finaliser leur union.
C’est officiel ! Le DG du Port Autonome de Dakar s’est convolé en justes noces avec Mme Awa NDIAYE .

Le couple a scellé son union et le « al khayri » a été prononcé il y a plus d’une semaine. À Saint-Louis, les prémisses d’une cette symbiose était flagrante, perceptible dans plusieurs événements, dont le Fanal et l’inauguration du pont Masseck NDIAYE. Les deux tourtereaux avaient manifesté une complicité suspecte qui, maintenant, s’officialise devant Dieu et les hommes.

Vipeoples

Nécrologie : El Hadj Ousseynou Diouf en deuil.

el hadji diouf

L’international Sénégalais double ballon d’or El Hadj Ousseynou Diouf est en deuil. En effet sa grand-mère vient de rendre l’âme ce jeudi à 3h 30 du matin à St Louis. Nous présentons nos condoléances à toute sa famille paix à son âme.

Bébé Basse, la charmante épouse de Pape Diouf fait enfin sa première sortie en public depuis la naissance de leur fils. Regardez comment elle est sublime

Futur Gouvernement : Les potentiels remplaçants de Mahammed Dionne applaudissent … lors de la décoration du PM

Futur Gouvernement : Les potentiels remplaçants de Mahammed Dionne applaudissent ... lors de la décoration du PM

Conseil des ministres décentralisé : Fatick se mobilise

Le Conseil des Ministres s’est réuni le mercredi 1er juillet 2015, au palais de la République, sous la présidence, de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République.

La permanence de l’Apr a refusé du monde, hier, après midi, renseigne le Populaire qui indique que les responsables et militants apéristes du département de Fatick ont massivement répondu à l’appel de Mbagnick Ndiaye, responsable départemental, et ont montré leur détermination à œuvrer pour réserver un accueilli mémorable à leur boss, Macky Sall qui y débarque avant la fin de ce mois pour un Conseil des ministres décentralisé. Au sortir de cette rencontre dont la pluie n’a pas tempéré l’ardeur des apéristes, le journal rapporte que tous ont fait vœu d’unité. De Matar Bâ (maire de Fatick) à Oumar Bâ (maire de Ndioh), Amadou Sène (maire de Niakhou), Thérèse Faye (maire de Diarrère), Sogui Niane de Thiaré en passant par Abdoulaye Mbodji (Dg Aibd), Bouba Diallo (Dg Snr), Ndèye Bineta Gassama, conseillers du président de la République et à Abdoulaye Ndome (ministre Dage de la Présidence), entre autres, tous les 36 intervenants ont promis une mobilisation populaire pour Macky Sall. D’ailleurs, ils ont décidé d’avoir un tissu unique, des tee-shirts à l’effigie du chef de l’Etat uniquement, pour réussir un accueil unitaire, populaire et massif.

Ama Baldé : « J’ai été très ému par l’accueil des Pikinois »

Ama Baldé : « J’ai été très ému par l’accueil des Pikinois »

Ama Baldé remercie son marabout, ses amis lutteurs et les organisateurs du tournoi TNT
«D’abord, je rends grâce à Dieu, prie sur Son Prophète (PSL), prie pour le repos de l’âme de mon père et remercie ma mère. Je rends grâce à Serigne Saliou Mbacké. Je remercie grandement mon guide spirituel, Serigne Abdou Karim Mbacké. Je remercie toute la famille Mbacké. J’ai été très ému par l’accueil des Pikinois», a dit Ama Baldé , mardi dernier à son retour à Pikine.
le fils de Falaye Baldé n’a pas oublié tous les lutteurs qui se sont déplacés pour le soutenir. Il a nommément cité Eumeu Sène, Balla Gaye 2, Tyson, Baboye, Boy Niang 2, Khadim Ndiaye 1 et 2, less 2… la liste est loin d’être exhaustive. Ainsi, il a fait savoir qu’il ne les remerciera jamais assez.
dans s es remerci ement s, Ama Baldé n’a pas oublié les organisateurs du tournoi de la TNT. le frangin de Jules Baldé a fait allusion à Mouhamed Ndiaye et à Madame Mayé Tall. Il a dit que ces derniers n’ont ménagé aucun effort pour le soutenir et le sortir de prison. Il a également pensé à Sidy diagne, directeur général du Groupe Excaf Telecom. l’adversaire de Gouye Gui a prié pour que la TNT soit un grand succès.

SUNULAMB

Après 3 mois d’absence: ABC de retour, pour occuper une place importante ….

abc-avocat

 

En « exil » aux Usa et en Europe depuis plus de trois mois, Me Alioune Badara Cissé l’ancien N° de l’Alliance pour la République est de retour au bercail. Il arrive au moment où d’autres ténors qui étaient en retrait dans le dispositif politico-institutionnel du président de la République font leur come-back.

La même logique va-t-elle prévaloir pour le natif de Saint-Louis ? L’ancien N°2 de l’Apr était en disgrâce depuis son limogeage du poste de ministre des affaires étrangères. Ce départ avait semblé pousser Me Cissé à entrer dans le « maquis en prenant ses libertés ». Pour preuve, il avait refusé de cautionner une liste de l’Apr dirigée par Mansour Faye, ministre et beau-frère du président à Saint-Louis. Pis encore, il a intégré le pool d’avocats qui défendent les intérêts de Karim Wade. 

Mais un vent de décrispation a soufflé lors de la 3ème édition de l’université républicaine, en octobre 2014. Le président Sall avait demandé à Alioune Badara Cissé et à l’ancien Premier ministre, Aminata Touré de rentrer dans les rangs. La joie se lisait chez nombre de jeunes de l’Apr qui ont toujours prôné des retrouvailles. Le leader de l’Apr a poursuivi la dynamique unitaire en nommant Mimi Touré, envoyée spéciale. D’aucuns attendaient une suite qui serait marquée par le retour aux affaires d’Abc. Mais ils déchanteront vite avec l’annonce du départ aux Etats-Unis du natif de Saint-Louis. Le séjour de l’ancien ministre des affaires étrangères a duré plus de trois mois. 

Il retourne au pays dans un contexte marqué par le retour des responsables qui avaient perdu dans leurs fiefs lors des élections locales. Après avoir été démis de ses fonctions de secrétaire du gouvernement au lendemain de sa défaite à la Médina, Seydou Guèye s’était contenté d’une petite « consolation » avec le poste de ministre directeur de cabinet politique adjoint. Lors du dernier réaménagement du gouvernement, il a fait un retour dans le gouvernement. M. Guèye est devenu ministre auprès du Premier ministre, Porte-parole du gouvernement. 

Thierno Alassane Sall a aussi fait son retour en force en devenant ministre de l’énergie, un poste stratégique et sensible dans le dispositif du gouvernement. Pourtant, il avait été démis de ses fonctions de ministre des infrastructures après avoir perdu devant Idrissa Seck à Thiès. La dignité en bandoulière, M. Sall avait annoncé juste après sa passation de service son retour à l’Asecna. Comme pour dire qu’il peut exister sans la politique. 

La realpolitik a semblé prévaloir dans ces retours. Le président Sall veut être réélu en 2017. Il fait face à une opposition qui compte de fortes personnalités. Il a besoin de personnalités capables de porter la réplique aux ténors de l’opposition avec surtout le réveil de l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck qui a intensifié récemment des activités politiques au sein de son parti, mais aussi la rébellion menée par une frange du parti socialiste qui clame haut et fort que le parti qui a dirigé le Sénégal entre 1960 et 2000 aura son candidat à la prochaine présidentielle. 

La dynamique qui a guidé le retour de Seydou Guèye, Thierno Alassane Sall, Aminata Touré va certainement prévaloir. L’ancien numéro deux savait porter la réplique à l’ex-Premier ministre, Idrissa Seck. Il jouit encore d’un grand élan de sympathie au sein des jeunesses républicaines et chez nombre de ténors de l’Apr. Mais son retour ne sera pas aisé. Dans son fief de Saint-Louis, les choses ont tourné sans lui et il traîne comme un le mystère entretenu à dessein autour des véritables raisons de sa disgrâce. 

 

Réponse au Professeur Ismaïla Madior Fall (par Thierno Bocoum)

thierno-bocoum

 

Le professeur Ismaïla Madior Fall s’éloigne de plus en plus de l’orthodoxie que lui exige sa posture d’intellectuel et de professeur d’université pour verser dans le raisonnement facile et l’argumentaire partisan et politicien. S’il a réussi à emballer les identités remarquables de la majorité présidentielle tenaillées par une paresse intellectuelle inconcevable qui les guide à répéter sans réfléchir, ce n’est pas le cas pour ceux qui fourniront le minimum d’efforts de réflexion et de recherche.

À travers les ondes de la radio sudfm le 23 juin 2015, le professeur Ismaïla Madior Fall venant à la rescousse des signataires de la proposition de loi scélérate avait voulu justifier le nombre requis de 1/10eme pour la constitution d’un groupe parlementaire en ces termes «pour constituer un groupe parlementaire au Sénégal, le nombre a toujours varié. Mais la règle, c’est qu’on a considéré pendant longtemps que, pour constituer un groupe parlementaire, il faut 1/10ème.»Revenant sur la genèse de sa réduction de ce nombre à 10, il déclare qu’ « en 2007, l’opposition avait boycotté les élections législatives. Ce qui a fait que les partis n’étaient suffisamment pas nombreux pour constituer un groupe parlementaire. Il fallait doncpermettre à cette opposition d’avoir un groupe parlementaire. Autrement dit, c’est une règle qu’on avait instauré parce qu’il y avait eu un boycott des élections législatives et parce que l’opposition était numériquement très faible.»
Cette déclaration reprise par le journal sud quotidien du 24 juin 2015 sonnait comme du déjà entendu puisque beaucoup de signataires de la proposition de loi avait déjà entonné la même chanson. Mais venant d’un professeur d’université cela nous avait semblé bizarre puisque très loin de la vérité. Nous avons à cet effet fait un démenti dans les colonnes du même journal en présumant que le professeur Ismaïla Madior Fall s’était trompé. Nous avions déclaré que ce n’est pas en 2007 qu’il a été convenu de retenir le nombre de 10 députés pour former un groupe parlementaire, mais plutôt en 2002.J’avais cité la loi 2002 du 15 mai 2002 en son article 20 qui dispose : «les députés peuvent s’organiser en groupes, par affinités politiques : aucun groupe ne peut comprendre moins de dix membres, non compris les députés apparentés, dans les conditions prévues à l’alinéa 2 de l’article 23. »
Il s’est rectifié dans son interview paru ce mercredi 08 juillet 2015 dans le journal l’observateur à la page 5. Maintenant l’argument ce n’est plus de parler de boycott de l’opposition puisque l’année 2002 ne coïncidera pas à l’événement. Il change de fusil d’épaule et nous sort une parade : » c’est vrai qu’à l’époque il était démocratiquement impensable qu’il y eût un seul et unique groupe parlementaire à l’assemblée. » Il décide donc d’adapter une autre version à la nouvelle date.

Dans l’interview accordé au journal l’Observateur, il est malheureux et désolant de constater que le professeur ne renonce pas à vouloir justifier l’injustifiable par des procédés indignes d’un intellectuel.Il essaie d’influencer la justice à travers un argumentaire qui n’est pas conforme à la vérité et qui est dénué de tout fondement juridique. Il déclare dans l’interview que : » Le nombre constant, structurel (pour ainsi dire) dans l’histoire parlementaire du Sénégal a toujours été le dixième du nombre de député (8/80, 10/100, 12/120, 14/140, et aujourd’hui 15/150 avec la parenthèse 2002-2015 où il a été de 10/150). »
Cet argumentaire est erroné puisque la loi 63/63 du 17 juillet 1963, portant règlement intérieur de l’assemblée nationale et publié dans le journal officiel du 31 août 1963 dispose en son article 20 qu’un groupe ne peut être constitué que s’il réuni au moins 20 membres alors que l’assemblée nationale comptait 80 membres à l’époque. Il s’y ajoute que la loi portant règlement intérieur publié dans le journal officiel de la république du Sénégal du 29 avril 1978 dispose qu’un groupe « ne peut être reconnu comme administrativement constitué que s’il réunit au moins 15 membre » alors que l’assemblée nationale en cette période ne comptait que 100 membres. Ces différentes dispositions révèlent que la démocratie sénégalais a évolué dans le sens de réduire le nombre de députés pour constituer un groupe parlementaire et ainsi faciliter une pluralité parlementaire.

C’est cette logique qui a guidé le législateur de 2002 mais notre constitutionnaliste préfère le qualifier de « parenthèse conjoncturelle ». Comment peut-on qualifier de parenthèse conjoncturelle une loi qui s’est appliquée à l’assemblée nationale pendant deux législatures et demi sans être touchée? (2002-2007/2007-2012/2012-2015). Il s’est plutôt agi d’un acquis démocratique qui a été sauvegardé durant tout ce temps et qu’on cherche à remettre en question avec la complicité du professeur Ismaïla Madior Fall. Une attitude qui relègue notre pays loin derrière des pays comme la côte d’Ivoire, par exemple, où il suffit simplement d’avoir 8 députés pour constituer son groupe parlementaire sur les 255 que compte l’assemblée nationale et 15 députés sur les 577 que compte l’assemblée nationale française.

Dans son interview accordé au Journal l’Observateur, le Professeur Ismaïla Madior Fall est allé jusqu’à entrer dans des considérations philosophiques pour traiter une question de droit et ainsi déclarer irrecevable le recours des 19 députés. Il déclare que « le règlement intérieur de l’assemblée même si certains articles de la constitution continuent à faire référence à lui comme Loi organique et même s’il porte encore la mention Loi organique, est juridiquement devenu un acte non législatif, une simple résolution pouvant être coutumièrement assimilée pour les commodités de la procédure législative à une loi, mais que les députés n’ont pas rigoureusement le droit d’attaquer en inconstitutionnalité »
Cette déclaration est inquiétante pour un juriste qui parle de simple résolution assimilée à une loi. C’est à se demander le régime juridique qui s’appliquera à une telle invention. En réalité il s’agit bien d’une loi votée par l’assemblée nationale soumise au contrôle à posteriori du conseil constitutionnel et promulguée par le Président de la république.
En tout état de cause, la loi organique sur le conseil constitutionnel (99-71) dispose clairement en son article 1er: « …Le conseil constitutionnel se prononce sur la constitutionnalité des règlements intérieurs des assemblées ». Cette disposition est très claire et n’est sujette à aucune interprétation. En l’espèce il s’agit bel et bien d’un recours qui porte sur une loi modifiant le règlement intérieur de l’assemblée nationale et introduit par 19 députés donc plus du dixième des députés de l’assemblée nationale tel que requis par la constitution en son article 74.

En réalité le zèle affiché par le professeur Ismaïla Madior Fall dans cette affaire de proposition de loi cache mal son désarroi.Il a piteusement contribué à produire une pilule difficile à avaler puisque consacrant un recul démocratique inacceptable et une logique éhontée de confiscation des libertés dans un pays comme le Sénégal.

Thierno Bocoum
Député à l’assemblée nationale sénégalaise
Signataire du recours pour l’inconstitutionnalité
De la première proposition de loi de la 12ème législature
Portant modification du règlement intérieur de l’assemblée nationale.

Kim Kardashian : avec et sans maquillage, différence épatante!

Kim Kardashian : avec et sans maquillage, différence épatante!

L’été est là ! L’occasion pour nos stars préférées de prendre un peu de repos et de décompresser après la rude année qu’elles ont passé. Qui dit repos, dit forcément vacances au bout du monde, farniente, soleil, téléphones sur off, et bye bye les tenues hyper habillées et le make up.
À force de voir ces célébrités sous les feux des projecteurs, on a tendance à les mettre sur un piedestal et à oublier qu’elles ne sont ni plus ni moins que des êtres humains avec leurs petits défauts, tout comme nous. Alors pour te rassurer TRACE a décidé de te faire une compilation de tes artistes favoris sans maquillage, et autant te dire qu’il n’y a pas que la chirurgie qui fait des miracles.
Source: Trace

Mme Ama : «Ndam rek» contre Gouye Gui

Mme Ama : «Ndam rek» contre Gouye Gui

Elle était toute heureuse de retrouver son mari, mardi dernier. l’épouse de Seulou Bou Ndaw a exprimé sa joie : «C’était une situation triste qu’on a très mal vécue. Mais on ne se prend pas la tête. On rend grâce à Dieu. Inch’Allah, ndam rek (on aura la victoire sur Gouye Gui).» 
 
sunu Lamb 

Pa Mamadou Mbaye Garmi alias « Na birr » très proches de Ngoné Ndiaye Guéweul

Pa Mamadou Mbaye Garmi alias « Na birr » très proches de Ngoné Ndiaye Guéweul

Le patron de GFM Mamadou Ibra Kane en compagnie d’une de ses épouses.

Le patron de GFM Mamadou Ibra Kane en compagnie d'une de ses épouses.

Voici le DG du groupe futur médias Mamadou Ibra Kane bien accompagné avec l’une de ses épouses au grand théâtre.

Notre cher Président de la République est aussi et avant tout une modeste personne!

Notre chèr President de la République est aussi et avant tout une modeste personne!

Même emprisonner, Karim Meissa Wade aide ses prochains ! c’est de la politique en milieu carcéral ou bien ?

Karim Wade (C), son of Senegalese president Abdoulaye Wade and president of ANOCI (national agency for organizing of the Islamic conference) looks around upon arrival for the inauguration of the Soumbedioune tunnel in Dakar on March 8, 2008. The inauguration of the first tunnel in Senegal on the openning day of the 11th session of Islamic conference marks the end of construction works conducted as part of the Islamic conference summit. AFP PHOTO GEORGES GOBET (Photo credit should read GEORGES GOBET/AFP/Getty Images)

Karim Wade (C), son of Senegalese president Abdoulaye Wade and president of ANOCI (national agency for organizing of the Islamic conference) looks around upon arrival for the inauguration of the Soumbedioune tunnel in Dakar on March 8, 2008. The inauguration of the first tunnel in Senegal on the openning day of the 11th session of Islamic conference marks the end of construction works conducted as part of the Islamic conference summit. AFP PHOTO GEORGES GOBET (Photo credit should read GEORGES GOBET/AFP/Getty Images)

Walf Tv: Un “Petit dej” porte-bonheur pour ses présentatrices

Walf Tv: Un “Petit dej” porte-bonheur pour ses présentatrices

S’il y a une émission qui ne porte pas la poisse à ses présentatrices, c’est bien ‘Petit dej’ de Walf Tv. C’est le moins qu’on puisse dire. Les faits parlent d’eux-mêmes.

Matel Kane qui a ouvert le bal en se faisant capter en plein vol par l’ancien directeur de l’Agence de l’informatique de l’Etat, Khassimou Wone. L’aguichante Matel se voit dans l’obligation de mettre un terme à sa carrière prometteuse de présentatrice. Les désirs de monsieur sont des ordres ? Ce n’est pas Seynabou Ndiaye qui dirait le contraire. Vous allez savoir pourquoi.

Nous disions donc qu’après Matel, Seynabou Ndiaye prend les commandes et sert un un pain croustillant et un café fumant…Ce faisant, la présentatrice aux mouchoirs de tête enfume son “Romeo”. Sans perdre de temps, la date du mariage est fixée au mois de mai dernier. Et notre “Petit dej” ? Dorénavant, son mari en aura l’exclusivité.

Arrive la belle Maman Dièye qui le temps de prendre ses marques dans ses nouveaux habits-elle était tenancière d’une rubrique dans la même émission-, est vite appelée à d’autres fonctions. L’ancien président du Sénat, Pape Diop, était aux aguets. Le politicien, chef du parti Bokk Gis-Gis avait l’œil bien ouvert pour ne pas perdre de vue que Maman était sa promise. Il n’y réfléchira pas à deux fois pour faire de la présentatrice sa troisième épouse. La dot qu’il lui a offerte (15 millions FCFA) prouve combien il est épris de cette nymphe dont les téléspectateurs vont devoir se passer des services. Oui, elle aussi…Vous avez bien vu, elle s’en va.

Walftv: Un “Petit dej” porte-bonheur pour ses présentatrices
Walftv: Un “Petit dej” porte-bonheur pour ses présentatrices
La nouvelle mariée a fait ses “au revoir” à ses collègues et ses adieux aux inconditionnels de ‘Petit dej’ qui s’habituaient déjà à son faciès. Un visage qu’ils vont devoir oublier tout comme ils seraient bien inspirés de ne pas s’habituer à la tronche de la remplaçante de Maman Dièye car l’histoire risque de bégayer. Et comme toute séparation est dure, mieux vaut prendre les devants.

A TFM et SEN TV, l’approche est tout autre

Ailleurs, ce n’est pourtant pas le même scénario. Par exemple à la TFM, des animatrices ont convolé en justes noces mais pour autant, ne sont pas parties au lendemain. Khady Ndiaye Bijou, Mado Diaw (Yeewuleen) et Léa Soukeyna Ndiaye (journal télévisé) sont admises dans la cour des « grandes » mais continuent d’animer des émissions. A la SEN TV, on veut bien croire que télévision et ménage font bon…ménage. La présentatrice de « Door War » continue de s’acquitter de son “war” de femme mariée tout en honorant ses engagements avec son boss. Il en est de même pour les animatrices Safia Diatta et Alima Dione qui continuent d’assurer. Ainsi, la preuve est faite que le mariage n’est en rien incompatible avec la célébrité.

Buzz.sn

Boubacar Diallo en mode collé- serré!

Voici l’incontournable maestro du micro Boubacar Diallo l’époux de la discrète Diarra qui donne toujours l’occasion à ses fans de prendre une photo. Quelle modestie de sa part.

Voici l'incontournable maestro du micro Boubacar Diallo l'époux de la discrète Diarra qui donne toujours l'occasion à ses fans de prendre une photo. Quelle modestie de sa part.

Baptême : Ndiogou Mbaye donne le nom de Serigne Saliou à son fils.

Dakarswagg

Sen tv : Awa Marrone et Pape Maguette pouponnent depuis hier.

Sen tv : Awa Marrone et Pape Maguette pouponnent depuis hier.

Dmedia a accueilli depuis hier un heureux événement. En effet, Awa Marrone et Pape Maguette ont eu un enfant hier.

spérons que tout comme ses parents, le nouveau-né intégrera l’équipe du groupe Dmédia… !
Que Dieu lui prête longue vie.

Dakarswagg.net

Victoria Beckham avoue que ses looks à l’époque des Spice Girl étaient « horribles »

Victoria Beckham avoue que ses looks à l’époque des Spice Girl étaient « horribles »

De son époque des Spice Girls, Victoria Beckham ne regrette rien SAUF ses tenues ! Selon elle, son pseudo de « Posh » (chic) n’était pas du tout justifié !

Au milieu des années 90, le monde entier faisait connaissance avec un girls band anglais : les Spice Girls. Cinq filles totalement déjantées qui avaient, chacune, un rôle bien défini dans le groupe. Entre Baby Spice (Emma Bunton) Sporty (Melanie Chisholm) et Ginger (Geri Halliwell), Victoria Beckham se faisait connaître sous le pseudo de « Posh » (chic en anglais), l’élégante du groupe, toujours tirée à quatre épingles. Devenue papesse de la mode mondiale aujourd’hui, l’épouse de David Beckham est revenue sur ses looks pop à l’époque des Spice Girls auprès du Vogue australien. Si elle garde d’assez bons souvenirs de cette période, elle avoue – toutefois – ne pas regretter ce qu’elle portait !

>>> Victo­ria Beck­ham pose avec son double période Spice Girls

« Je portais beaucoup de PVC à cette époque, a-t-elle déclaré. Beaucoup de hauts qui faisaient une poitrine généreuse et de combinaisons moulantes en PVC. Des talons hauts et des mini-jupes aussi… » Une dégaine et des matières à des années lumières de la sophistication qu’elle affiche quotidiennement de nos jours.« Je ne porterais plus cela aujourd’hui ! Ces tenus étaient horribles !!!, a-t-elle ajouté. On vieillit, on change […] J’avais 18 ans. J’en ai 41 aujourd’hui. Je m’habille complètement différemment ! » Tant mieux pour tout le monde. 
Source: Voici

N’della Madior Diouf : En toute complicité avec son fils

N'della Madior Diouf : En toute complicité avec son fils

Condoléances : Youssou Ndour chez Pacotille

Condoléances : Youssou Ndour chez Pacotille

Le roi du mbalakh, Youssou Ndour, a rendu visite aux proches de l’artiste Cheikh Sidaty Fall alias Pacotille décédé le week-end dernier. Le chanteur et ministre conseiller du Président Macky Sall a présenté ses condoléances à la famille à Yeumbeul Sud. Youssou Ndour a rappelé qu’il a, à tous points de vue, été marqué par Pacotille avec qui il a eu à travailler sur le plan musical, rapporte L’Observateur.

 

Gestion du PUDC par le PNUD : Le Congad, en colère, peste et recadre

amacodou-diouf

 

Les ONG sénégalaises regroupées au sein du CONGAD ne sont pas du tout content de voir le président de la République confier la gestion du Programme de développement communautaire (PUDC) au PNUD, une organisation onusienne.

Très catégorique, le CONGAD déclare dans un communiqué que l’Etat sénégalais déshabille ses agences pour habiller le PNUD. Ce qui va à l’encontre à la mission de cette organisation des NAtions-Unies. Selon ce conseil des ONG ajoute que le PNUD se met en porte-à-faux avec ses orientations.

« Le PNUD n’a pas vocation d’exécuter des programmes, à notre connaissance. Au même tire que les partenairees financiers et technique, le PNUD a une obligation de mobiliser des ressources pour le Sénégal mais aussi de renforcer lms capacités des acteurs de développement. Il ne pourrait jamais en aucun cas se substituer à des acteurs traditionnels qui sont sur le terrain et qui exécutent des programmes de développement économique et social sur notre pays… », a étalé Amacodou Diouf, président du conseil d’administration du CONGAD.

Selon lui, il y a des organisations dans ce pays qui ont de l’expérience et qui n’ont jamais failli dans l’exercice de mission. C’est pourquoi, il ne saurait être question de donner ce travail au PNUD dont la mission est tout autre, a ajouté Amacodou Diouf.

« Le deuxième aspect est que n’approuvons le fait de dire que compte tenu du fait que on doit observer une approche participative que le PNUD devra exécuter ce programme-là parce que doté d’une expérience de je ne sais quoi », a-t-il fait savoir avant d’indiquer : « de toutes les façons, dans ce pays aussi, il existe des structures de développement qui ont une forte expérience en matière d’exécution de projets; dans ce pays aussi il existe des structures de développement, des agences même créées par l’Etat du Sénégal et qui  n’ont pas connu de problème de délai ni de recyclage de financements destinés au Sénégal ou à des entités bien indiquées dans ce pays. Donc, nous n’avons pas vu pourquoi le PNUD devrait accepter de prendre en charge la mise en œuvre d’un programme qui est composé des ressources du contribuable sénégalais. Et c’est pourquoi nous avons que certainement l’administrateur du PNUD qui est à New-York va s’approprier de cette expérience sénégalaise pour la promouvoir dans d’autres pays au moment où les fonds deviennent de plus en plus rares pour le financement du développement ».

Lors du lancement de ce programme, mardi dernier, le président Macky Sall a précisé que la totalité du budget a été financé entièrement sur fonds propres, avec un coût à terme de 422 milliards de Fcfa. «Cela permettra de réaliser 829.000km de pistes rurales, 730 forages et châteaux d’eau, en plus des volets électrification et équipements ruraux». Pour cette phase pilote 2015-2017, il est prévu la réalisation de 3.048km de pistes rurales, 5.000 équipements de transformation et/ou des décortiqueuses et batteuses. Sans oublier les 325 villages à électrifier, tout comme les 250 forages et châteaux d’eau à construire ou réhabiliter. Ce qui fait dire au président de la République «qu’en tant que projet-test, il (Pudc) cristallise les attentes et nous pourrions le reconduire après évaluation, suivant le degré de satisfaction et de l’obligation de résultats». Tout cela, selon le chef de l’Etat, «sous une plus forte implication aux initiatives à la base par une meilleure implication des acteurs et des bénéficiaires dans la formulation des stratégies de développement locales et leur mise en œuvre».

Elections en 2017…L’opposition est-elle prête ? Le cas Idrissa Seck : ses forces et ses faiblesses

idy-2017

 

Le Rewmi de Idrissa en proie à une grosse fronde sera-t-il prêt en 2017 ?

L’ancien premier ministre semble tirer les leçons du passé. Il a gâché son unique occasion de devenir le 4ème président du Sénégal en 2007 après avoir répondu à un appel de Wade au Palais. Si Idy n’avait pas accepté cette audience inutile avec le président Wade à l’époque, on ne parlerait pas de Macky en 2012. Il a vu sa côte de popularité chuter de manière vertigineuse dès sa sortie du palais. Wade l’avait piégé.
Et aujourd’hui en 2015, Idy a un autre problème : sa propre formation politique, le Rewmi. Une fronde au sein de son parti qu’il ne peut pas maîtriser. Si le leader de cette fronde, à lui tout seul, a empêché le grand parti qu’est le Rewmi de former un groupe parlementaire, alors c’est que ce monsieur, Oumar Sarr n°2, pèse lourd dans cette formation. Ce dernier a même planifié une tournée nationale pour réclamer sa part de militants du parti en tant que co-fondateur du Rewmi. Il n’entend pas laisser les structures du parti à la merci d’Idrissa Seck. Et il risque de faire mal. Et cette situation va diviser le parti de l’ex premier ministre qui risque de se retrouver en ballotage au sein de sa formation. Et on peut même envisager un scénario similaire à Aj /Pads où on a vu le patron du Parti Landing Savané se faire éjecter par son numéro 2 Mamadou Diop Decroix. Ce qui pourrait donner deux parti Rewmi pour la présidentielle de 2017, celui de Idrissa sec et celui de Omar Sarr n°2.
Les moyens
Idy a les moyens de sa politique. Au plan humain, il peut compter sur ses fidèles. Mais ils ne font pas le poids devant Oumar Sarr n°2. Thierno Bocoum est un bon communicant mais un mauvais rassembleur. Déthié Fall itou. Car la tournée d’Idrissa Seck à travers le Sénégal en dit long sur la mauvaise qualité de son entourage. Idy draine du monde. Mais cela ne suffit pas. Il n’a pas la carrure de Wade qui déplace des milliers de personnes. Wade en Casamance va remplir sans problème le stade Aline Sitoé Diatta. Mais la tournée d’Idy a été timide. C’est pour cela qu’il l’a transformé en visite de proximité sans faire de meeting.
Les moyens financiers ? Idy a des sous. Après sa chute à la Présidentielle de 2012, l’ex premier ministre s’est consacré à ses consultances pour renflouer les caisses de son parti. Sur ce plan, il est comme Wade : c’est le seul contributeur de son parti. Il a fait du Rewmi ce que Wade a fait du PDS…Il est le donateur et le propriétaire de tout. Même des chaises.
Mais cela suffirait-il pour faire de lui un candidat prêt à affronter Macky et ses milliards ?
A suivre pour vendredi : le cas Pape Diop de Bokk Gis Gis et le Cas Abdoulaye Baldé de l’UCS

Penda Sow pour xibaaru.com

 

Injure de borne fontaine entre apéristes : La députée Awa Niang et le ministre Fatou Tambédou s’invectivent en public

Querelle de borne fontaine entre apéristes : La députée Awa Niang et le ministre Fatou Tambédou s’invectivent en public

Les faits se sont passés le jeudi 2 juillet dernier, lors de l’installation de la Commission sociale communale à Keur Massar. En effet, sur initiative de la Première Dame Marième Faye Sall, le ministre-conseiller, Marième Badiane, Awa Niang, deuxième questeur de l’Assemblée nationale, et Sophie Ndiaye Cissokho ont été dépêchées pour superviser l’installation de ladite commission. Et cette délégation avait choisi la Permanence ouverte par Fatou Tambédou. Ce qui n’a pas plu au maire Moustapha Mbengue et ses partisans dont Oulimata Ndoye, la responsable des femmes Apr de Keur Massar. Seulement, ils ont reçu le soutien du deuxième questeur de l’Assemblée nationale qui a exigé leur présence afin que la commission soit installée dans la transparence. Ce qui n’a également pas plu à la ministre déléguée Fatou Tambédou qui tance le deuxième questeur en lui balançant à la figure des propos injurieux : « C’est vous qui installez la merde à Keur Massar. Je vais…, si tu ne me donnes pas le micro ». La réplique du deuxième questeur n’a pas tardé avec une virulence égale à celle de la ministre. Des insultes fusent de part et d’autre. Et la salle de se transformer en une foire d’empoignes sans compter les jets de pierres qui ont obligé la gendarmerie à intervenir pour permettre à Marième Badiane de quitter les lieux.

Selon L’Observateur, cette histoire a été rapportée au chef de l’Etat qui a convoqué la députée et la ministre au Palais. Mais des témoins confient que la rencontre ne s’est pas bien terminée en raison de l’incorrection d’une des protagonistes.

Réaction de (Ibrahima Sène PIT) suite à l’inculpation de Dadis Camara par la CPI

ibrahima sene

Ce qui est sûr, cette inculpation va entraîner la Guinée vers une partition ethnique, ce dont ont rêvé longtemps les multinationales US et Françaises pour se partager les richesses de ce pays. C’est notre pays, le Sénégal, qui est mis en danger. Dadis Camara ne peut pas subir le même sort que le Général Sanogo au Mali, sans que la Guinée ne s’embrase pour de bon. En joueant la carte de la CPI, le Président Alpha Condé a mis le feu dans sa baraque

SENELEC : Mouhamadou Makhtar Cissé réussit sa première mission

makhtar cisse

Quelqu’un qui ne perd pas de temps, alors pas du tout, c’est bien le nouveau Directeur général de la Senelec. Libération renseigne qu’au lendemain de sa prise de fonction, Makhtar Cissé a pris l’avion pour la Mauritanie. Et ce, dans le cadre de la mission que lui a assignée le président Macky Sall.
Et le moins que l’on puisse dire est que, pour sa première sortie en tant que Dg de Senelec, Makhtar Cissé a eu un succès retentissant d’autant que la Mauritanie va doubler le nombre de mégawatts qu’elle fournissait au Sénégal, grâce à son excédent.
Il faut dire que le Dg de Senelec a en main dix projets pour développer les capacités de production de la Senelec.
On peut citer les centrales d’énergie renouvelable qui verront le jour entre 2016 et 2018 (230 à 280 Mw), les centrales à charbon entre 2016 et 2019 (715 Mw), les centrales dual-fioul entre 2015 et 2016 (123 Mw) et les importations à partir de la Mauritanie à partir de 2015 (80 à 125 Mw). En 2016, au moins quatre centrales démarreront leur production. Il s’agit de la centrale dual-fioul de 70 Mw à Taïba N’diaye, de la centrale Contour Global (ex Gti) de 53 Mw, de la centrale à charbon de Sendou de 125 Mw et de la centrale solaire de Diass de 15 Mw. C’est dire que le nouveau DG est sur de bons rails…

Affaire Jaxaay : Aïda N’diongue entendue par le doyen des juges

aida ndiongue

Selon Libération, Aïda N’diongue a été interrogée dans le fond par le doyen des juges, hier, dans le cadre du troisième volet de l’affaire Jaxaay. Un dossier dans lequel l’ancienne Sénatrice libérale a été inculpée et placée sous contrôle judiciaire. Ce face-à-face intervient après l’audition de Massèye N’diongue, neveu d’Aida N’diongue, dont le nom a été utilisé dans la constitution de certaines sociétés concernées par l’instruction.
Contrairement aux autres dossiers, celui qui est instruit par le doyen des juges comporte une certaine curiosité : Aïda N’diongue est poursuivi pour un montant de 5 milliards de F Cfa qu’elle n’a jamais empoché.
D’ailleurs, on se souvient que le parquet avait fait appel de la décision du juge de la laisser libre, mais la Chambre d’accusation de la Cour d’appel avait tranché en faveur du magistrat du siège.
Au départ, trois dossiers visaient Aïda N’diongue. Celui qui a été à l’origine de son audition, hier, et l’affaire du détournement présumé de 22 milliards de F Cfa pour laquelle elle a été relaxée par le tribunal correctionnel. Ce, au moment où la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Ci-Crei) a récemment inculpé et placé sous contrôle judiciaire Aïda N’diongue. D’ailleurs, la Ci-Crei risque de prolonger encore l’instruction puisque l’expertise des comptes de l’ex Sénatrice est toujours en cours.

Le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne élevé à la digité de Grand Croix de l’ordre du Mérite

Le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne élevé à la digité de Grand Croix de l'ordre du Mérite

 

Le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne a été élevé aujourd’hui à la dignité de Grand-Croix de l’ordre du mérite par le président de la République Macky Sall. 
A travers une cérémonie symbolique, pour saluer et honorer les actions méritoires du Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah DIONNE, le chef de l’Etat a déclaré : « Comme le dispose l’article 11 du décret modifiant le règlement de l’Ordre du mérite, la dignité de Grand-Croix est conférée de plein droit au Premier Ministre après une année de fonction. Cette nouvelle disposition entre dans le cadre des mesures que j’ai prises il y a quelques mois et qui visent à rendre davantage cohérent le mode d’attribution de nos distinctions nationales à certaines hautes personnalités sénégalaises ». 
Parlant de la personne de Mahammed Boun Abdallah Dionne, le président Macky Sall lui déclare : « Monsieur le Premier ministre, à priori, votre formation d’ingénieur informaticien ne vous prédestinait peut-être pas à de hautes fonctions dans l’Exécutif sénégalais. Mais, c’est sans compter avec votre vision transversale des choses, soutenue par un professionnalisme, une rigueur dans l’analyse et un pragmatisme dans l’exécution du travail; autant de qualités qui vous sont propres, en plus de votre disponibilité constante et votre dévouement au service de la nation.
Ces qualités et vertus ont sans nul doute contribué à vous assurer un parcours remarquable à la Banque Centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), à la Direction nationale de l’Industrie et à l’Organisation des Nations Unies pour le Développement industriel (ONUDI).
Mais, au-delà de vos aptitudes professionnelles, il y a vos qualités humaines. Et c’est essentiel dans la vie en société, parce qu’elles exaltent l’humilité, le sens du devoir et du respect du prochain, indifféremment de son statut.
Qualités professionnelles et humaines, voilà le socle solide sur lequel reposent vos relations.
Voilà ce qui explique pourquoi je vous ai choisi comme Directeur de cabinet, très efficace, durant les trois années que j’ai passées à la Primature. J’en garde un souvenir vivace.
Puis le destin vous a conduit ailleurs.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, voilà que vous êtes, depuis un an et à ma grande satisfaction, mon Premier Ministre, après avoir eu en charge, avec le même succès, le suivi du Plan Sénégal Emergent, notre nouvelle stratégie de développement économique et social, dont vous avez aidé efficacement à la conception.
Je vous sais résolument engagé pour la satisfaction des besoins de nos populations, en étant, comme le dit un jargon populaire, au « four et moulin », dans un contexte où tout est à la fois important et urgent »
 

Avant de le féliciter devant l’assistance en ces termes : ‘ »Mesdames, Messieurs, vous le devinez aisément, je pourrais à souhait décliner nombre d’illustrations notoires qui justifieraient amplement le plaisir que j’éprouve à élever Mahammed Boun Abdallah DIONNE, à la dignité de Grand-croix de l’Ordre du Mérite.
Pour l’heure, Monsieur le Premier Ministre, je voudrais surtout, avec mes chaleureuses félicitations pour le travail déjà accompli, vous encourager à persévérer dans l’effort et à maintenir le cap dans le culte de l’excellence et du résultat. C’est ce qui fonde l’espérance de nos concitoyens dans la mise en œuvre de nos politiques publiques, pour un Sénégal prospère, dans la solidarité et la justice sociale.
Je vous redis toute ma satisfaction et ma confiance »
 

 

Le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne élevé à la digité de Grand Croix de l'ordre du Mérite
 
 

 

Le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne élevé à la digité de Grand Croix de l'ordre du Mérite

«Personne ne peut empêcher que cette loi passe» : Moustapha Cissé Lo

Le recours déposé par 19 de ses collègues n’empêchera pas la loi portant modification du règlement intérieur de l’Assemblée nationale de passer. C’est l’avis de Moustapha Cissé Lo. Selon ce dernier, le temps des contestations est dépassé

moustapha-cissé-lô-9

 « Le recours est un droit, mais en l’état actuel, le champ d’application de la loi ne permet pas à un groupe de députés de faire un recours sur une loi de la plénière. Aujourd’hui, la plénière a décidé, avec une écrasante majorité de faire passer cette loi». Ces propos sont Moustapha Cissé Lo qui se prononçait sur le recours porté par 19 parlementaires afin de faire annuler la loi portant modification du règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

Selon lui, les parlementaires ne devaient même pas penser à déposer un recours alors qu’ils s’étaient abstenus de protester le jour du vote : «Comment dire que le vote ne s’est pas passé dans les règles de l’art dans la mesure où le vote était un vote à main levée ? Le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse a demandé à ce que les députés qui n’ont pas accepté le vote puissent lever la main pour qu’on refasse le décompte, et tous les députés ont applaudi et ont accepté que le décompte fût bon. Je vois très mal aujourd’hui, qu’on puisse dire que le vote n’était pas bon»

Moustapha Cissé Lo est catégorique quant à l’issu de ce recours : «Il n’y aura pas d’issu. Cette loi sera appliquée. Cette loi entrera dans le champ d’application de la loi qui régit notre Assemblée nationale. C’est le règlement intérieur. Personne ne peut empêcher que cette loi passe. L’Assemblée ne sera pas convoquée pour examiner  une loi qui avait été examinée, amendée même et qui a connu des modifications substantielles et adoptée à une écrasante majorité. Donc, si les députés devaient contester, ils devaient le faire le même jour ».

A peine sorti de prison le fils de Falaye Baldé prépare son combat de « l’année » avec son ami et frère lutteur Ziza

A peine sorti de prison le fils de Falaye Baldé prépare son combat de « l’année » avec son ami et frère lutteur Ziza

Fatima Diack toute ravissante au Grand Théâtre

Fatima Diack toute ravissante au Grand Théâtre

Mounass de « Dinama Nékh » et Astou Mbaye de « Double Vie »

Mounass de "Dinama Nékh" et Astou Mbaye de "Double Vie"

Les nominations en Conseil des ministres du mercredi 8 juillet 2015

Les nominations en conseil des ministres du mercredi 17 juin 2015

Le Conseil des Ministres s’est réuni le mercredi 8 juillet 2015, au palais de la République, sous la présidence, de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République.

Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :

 Monsieur Momar DIOP, Docteur en Economie, matricule de solde n°659 250/M, Ambassadeur du Sénégal en Afrique du Sud, est nommé, cumulativement avec ses fonctions, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de sa Majesté MSWATI III, Roi du Swaziland, avec résidence à Pretoria ;

 Monsieur Sidy GUEYE, Ingénieur statisticien Démographe, matricule de solde n°503 835/B, est nommé Secrétaire général du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, en remplacement de Monsieur Adama Baye Racine NDIAYE, appelé à d’autres fonctions ;

 Monsieur Adama Mamadou SALL, Inspecteur principal des Impôts et des Domaines, matricule de solde n°600 003/C, est nommé Directeur des Services fiscaux spécialisés à la Direction générale des Impôts et des Domaines ;

 Monsieur Alioune LECOR, Professeur d’Enseignement moyen, titulaire d’un DESS en Management, Décentralisation et Développement territorial, matricule de solde n°516 604/Z, est nommé Directeur du Développement social et Communautaire au ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, en remplacement de Monsieur Sidy GUEYE, appelé à d’autres fonctions ;

 Monsieur Omar SAMB, Professeur d’Enseignement moyen principal, matricule de solde n°601 514/A, est nommé Directeur des Etudes et de l’Evaluation des projets au ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, en remplacement de Monsieur Alioune LECOR, appelé à d’autres fonctions ;

 Monsieur Ibrahima Bocar SOW, Ingénieur génie civil, est nommé Directeur des Stratégies de Désenclavement au ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.

 Monsieur Moussa DIARRA, Inspecteur de spécialité, titulaire d’un diplôme d’Ingénieur des travaux agricoles, matricule de solde n°507 947/Z, est nommé Directeur du Centre national de Formation des Maîtres d’Enseignement technique professionnel de Guérina au ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, poste vacant.

Photo-Mame Diarra Thiam alias Lissa au top de sa forme

Photo-Mame Diarra Thiam alias Lissa au top de sa forme

Baromètre du mois de juin 2015: le Mackymetre dévoile les notes de ses abonnés

Comme on le fait de façon périodique, voici un récapitulatif des votes des abonnés de Mackymetre.com. C’est un instrument de mesure que les gouvernants devraient explorer, car on ne peut pas diriger un pays sans prendre en compte l’opinion publique. De plus, les décisions prises dans les hautes sphères de l’Etat ont des répercussions directes sur le vécu du sénégalais ordinaire, donc son point de vue devrait être perçu comme un baromètre de l’efficacité du Gouvernement.

De façon synthétique, l’accent sera mis sur les votes concernant le gouvernement, (celui en place avant le dernier réaménagement ministériel) et sur ceux relatifs au « Yoonu Yokkuté ».

Répartition des votes reçus par les ministres

Les Tops
D’après les données recueillies sur un total de 34, seuls 2 ministres ont reçu des appréciations positives de la part des abonnés du Mackymetre : le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne et le ministre de la Santé, Eva Marie Coll Seck.

Les flops
Ils concernent 5 ministres, à savoir Monsieur Diéne Farba Sarr – Ministre du renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie, Monsieur Yaya Abdoul KANE – Ministre des Postes et des Télécommunications, Monsieur Mbagnick Ndiaye – Ministre de la Culture et de la Communication, Monsieur Mame Mbaye NIANG – Ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne et Madame Fatou TAMBEDOU – Ministre délégué auprès du Ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie, chargé de la Restructuration et de la Requalification des banlieues.
Le reste du gouvernement, soit 27 ministres, se trouve dans la catégorie « moyennement satisfait ». Le graphique ci après donne une image succincte de cette répartition.

Baromètre du mois de juin 2015: le Mackymetre dévoile les notes de ses abonnés

Répartition des votes sur le « Yoonu Yokkuté »

Ces votes concernent le « Yoonu Yokkuté », plus précisément le niveau de satisfaction des abonnés de Mackymetre, par rapport à l’état d’exécution des engagements pris par le gouvernement. C’est engagements ont été regroupés en différents thèmes pour faciliter l’analyse des résultats.
Baromètre du mois de juin 2015: le Mackymetre dévoile les notes de ses abonnés

 

Ces données reflètent des opinions, des points de vue sur la marche du pays, car la plateforme Mackymetre compte des milliers d’abonnés répartis sur l’ensemble du territoire national et dans la diaspora.

L’Equipe de Mackymetre suit de près la réalisation des engagements gouvernementaux. Ils sont dans leur totalité listés et détaillés sur le site, et différents statuts leurs sont conférés en fonction qu’ils soient réalisés, en cours,

ou pas du tout. Ce travail est fait de façon continue pour fournir aux abonnés des informations en temps réel sur lesquelles ils peuvent baser leurs votes. Le graphique ci-après représente les grands axes du « Yoonu Yokkuté » par rapport à leur niveau de réalisation.

Baromètre du mois de juin 2015: le Mackymetre dévoile les notes de ses abonnés

Financement de la Rta, immeuble Amsa : Ndongo Diaw mouille Me Wade

L'ex DG de l'ARTP bientôt fixé sur son sort: Le Doyen des juges boucle le dossier Ndongo Diaw

L’ancien Directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (Artp), Ndongo Diaw, a, selon nos confrères de Libération, mouillé l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, suite à l’interpellation de la Cour des comptes sur plusieurs dossiers douteux.

Sur financement douteux du projet de Radiotélévision africaine (Rta), l’ancien Directeur général de l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (Artp), Ndongo Daw, n’y est pas allé par quatre chemins pour dénoncer l’ancien président de la République. « La Cour a bien raison, c’est l’ancien président de la République qui m’a instruit par sa lettre n°000826 du 16 août 2010 de signer un contrat d’architecture avec l’architecte Pierre Goudiaby Atépa », a-t-il renseigné. Et en ce qui concerne l’acquisition d’un immeuble auprès d’Amsa, dans des conditions nébuleuses révélées par la Cour des Comptes, il charge : « Au moment du paiement d’acomptes d’un montant global de 2 milliards, l’Artp n’avait plus de conseil de régulation. Le mandat de l’équipe, dont le président était le professeur Sakho, avait expiré et aucune disposition transitoire n’a été prise. Et avec mon supérieur hiérarchique d’alors, Monsieur le président de la République, j’ai entamé la procédure d’acquisition ». Pour ses indemnités de plus de 30 millions, il explique : « Le montant des primes auxquelles vous faites référence correspond à une régularisation d’avantages dus que j’avais refusé de prendre sans que mon supérieur hiérarchique ne fût au courant, c’est-à-dire le président de la République Me Abdoulaye Wade ».