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Youssou Ndour, initiateur du festival Salam : «J’ai été inspiré par les chants religieux qui ont bercé mon enfance et par Sidy Lamine Niasse…»

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iGFM –Dans cette interview express, enregistrée à partir de 4 heures 25 minutes du matin, dans son véhicule aussitôt après la clôture du Festival «Salam», samedi dernier, le Président directeur général du Groupe Futurs Médias (Gfm), Youssou Ndour, par ailleurs, ministre conseiller du chef de l’Etat Macky Sall, revient dans cet entretien sur les raisons profondes qui l’ont poussé à initier ce festival. Après cinq spectacles produits dans plusieurs localités du pays, la star planétaire se dit satisfait de la qualité de l’organisation. Dans détours, il livre les plus petits secrets de l’évènement et tire le bilan : le budget, le parrainage, la mobilisation, les perspectives…

Vous venez d’assister à la clôture de la premièreédition du Festival «Salam», quel sentiment vous anime?

Je suis comblé de joie, vu l’adhésion populaire autour de ce Festival. Je suis ravi du professionnalisme des chanteurs, de tous les participants et de l’engouement que cela a suscité, surtout en ce mois béni de Ramadan. Je suis comblé et je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens. En tout cas, je suis très content, Dieu merci.

Sur scène, beaucoup d’artistes ont témoigné que l’organisation de ce festival est une promesse que vous avez tenue. Mais qu’est-ce qui a véritablement poussé Monsieur Youssou Ndour à initier le Festival «Salam»?

C’est vrai, ils ont raison de témoigner que c’est une promesse que je leur avais faite, mais la matérialisation de ce Festival, c’est toute une histoire. D’abord, quand j’étais enfant, là où j’habitais à la Médina avec ma grand-mère, il y avait un lieu où se déroulaient énormément de chants religieux, avec des «Tabala» (gros tambours) et autres instruments. On trouvait du plaisir à y assister et j’ai grandi avec cette passion. La deuxième chose, c’est toute une histoire, la question qui, un jour, m’a poussé à créer l’album «Sant». «Youssou, pourquoi vous ne travaillez pas pendant le mois de Ramadan?» Je lui ai rétorqué que c’est naturel, sans pour autant vider cette question de Sidy dans mon esprit. Elle revenait tout temps avec le mois béni de Ramadan, sans que je ne trouve la réponse exacte. D’ailleurs, c’est ce qui m’a inspiré à sortir l’album «Sant» pour le mois de ramadan. C’était déjà un début de réponse à la question de Sidy Lamine. Mais, à la naissance de la Télévision futurs médias (Tfm), j’ai créé personnellement l’émission «Na Bir», avec Mamadou Mbaye Garmy. Cette émission devait donner la possibilité à ces grands chanteurs qui célèbrent en permanence le Prophète (Psl) et nos guides religieux, d’être vus, de bénéficier d’une plus grande visibilité à travers l’opinion, nationale et internationale. Ensuite, avant de devenir ministre de la Culture, je les ai rencontrés pour leur faire comprendre que je souhaitais valoriser le trésor qu’ils détenaient. Parce que c’est la foi, mais aussi, au plan professionnel, ce genre musical avait beaucoup de chances de prospérer sur le plan international. Quelque temps après, je suis devenu ministre de la Culture et à l’occasion d’une rencontre au Grand Théâtre, j’ai instruit la directrice, Youma, d’ouvrir ce joyau à tous les artistes. Puisque le Grand Théâtre n’était pas seulement destiné à promouvoir la musique philharmonique. C’est ainsi que c’est parti avec la Tfm, qui a commencé à dérouler l’initiative depuis longtemps. Mais cette année, les choses ont pris de l’ampleur et j’ai suggéré qu’on structure cela autour d’un Festival. C’est ainsi qu’est né le Festival «Salam», que nous comptons pérenniser.

Ce Festival est-il une réponse à ceux qui croient que l’Islam est une religion de terreur ?

Tous les musulmans, nous devons utiliser tous les moyens pour montrer et dire non à ces gens-là qui ont des idées arrêtées sur la religion et qui estiment que l’Islam est synonyme de terreur. Il faut qu’on communique par tous les moyens pour leur montrer le contraire et leur faire comprendre que la formule la plus connue en Islam : «As salamou Alleykoum» (que la paix soit avec vous) et que «Salam», signifie la paix, au-delà une paix qui transcende toute appartenance. Donc, nous devons travailler à montrer aux Occidentaux que l’Islam est loin des images négatives, comme ils le croient. Autre chose : aujourd’hui, le Sénégal peut compter sur la valorisation et la présentation de l’Islam. Puisque de ce point de vue, nous avons une originalité, avec les confréries religieuses, qui mènent toutes vers Dieu. C’est une diversité extraordinaire, qui mène sur la même voie et culturellement, c’est une chose importante qu’il faut valoriser. C’est dans ce cadre que le Sénégal peut participer à résoudre ce qui se passe à travers le monde, en mettant sur la table une chose concrète capable de prouver que l’Islam est une religion de paix et non le contraire, comme veulent nous le faire comprendre d’autres.

«Il s’agit essentiellement d’une action où je ne recherche aucune autre rétribution que la face de Dieu «Defal Yalla» et l’agrément du Sceau des prophètes»

Quelle est finalité du «Festival Salam» ?

Il y a une philosophie autour de ce festival. Il s’agit essentiellement d’une action où je ne recherche aucune autre rétribution que la face de Dieu «Defal Yalla» et l’agrément du Sceau des prophètes. En résumé, c’est une sorte de Festival d’action de grâce. C’est cela avant tout. Nous ne sommes dans aucune logique mercantile. Bien au contraire. Tout ce qu’on essaie de faire, c’est réussir le défi de la participation effective. Nous n’avons qu’un seul objectif : l’agrément de la Ummah, et la grâce de Dieu.

Parlons maintenant du budget ?

Nous avons dépensé 58 millions 665 mille FCfa dans ce festival. Dans ce budget, il y a une partie technique très importante et une autre partie qui a été dégagée pour payer les artistes. En réalité, il ne s’agit pas de paiement des prestations, mais d’intéressement ou de contribution pour le transport. Mais dans l’avenir, nous comptons revoir cela à la hausse. Il faut aussi ajouter à cela la prise en charge des voyages. Il y a des gens qui sont venus de l’extérieur et nous avons aussi mobilisé beaucoup de monde pour les aspects techniques. Presque 120 personnes, des bénévoles et d’autres, payés par les différentes structures impliquées, ont travaillé sur l’évènement. C’est l’occasion de féliciter et de remercier le Directeur de la Télé futurs médias (Tfm) et toute son équipe. Je n’ai pas l’habitude de féliciter mes jeunes frères, mais Ndiaga Ndour s’est vraiment donné à fond pour assurer les spectacles et la retransmission. Je les remercie tous, ainsi que tous les animateurs religieux, avec à leur tête, Abdou Aziz Mbaye, le coordonnateur du festival. Ils ont fait un excellent travail.

Comment le budget pour le festival a-t-il été mobilisé ?

Cela me permet de revenir à la philosophie du festival. Je l’ai pris en charge et c’est une manière pour moi de rendre grâce à Dieu et de partager ce qu’Il m’a offert. J’ai entièrement pris en charge le budget, avec quelques soutiens, notamment le Crédit mutuel du Sénégal, qui a donné 2 millions FCfa et d’autres personnes qui ont fait des contributions, comprises entre 200 et 500 000 FCfa.

«J’ai entièrement pris en charge le budget, avec quelques soutiens. Nous avons dépensé 58 millions 665 mille FCfa»

Quel a été l’apport des parrains, Macky Sall et le roi Mohamed VI ?

D’abord, ils ont donné leurs noms (à titre symbolique et statutaire), c’est une chose extrêmement importante. Avant de choisir un parrain, je vais d’abord le voir, ensuite je lui écris pour demander sa permission. Le Président Macky Sall nous a répondu par écrit, pour dire qu’il était d’accord et heureux d’être notre parrain, de même que Sa majesté le Roi Mohamed VI. Maintenant, je dois leur prouver la réalité et l’importance de ce festival, tout en les maintenant comme parrains d’honneur de ce festival. A vie. Il y aura d’autres parrains, mais eux, seront les parrains d’honneur. Je leur demande d’appuyer cette culture (islamique) et ce festival, pour que ceux qui s’activent dans ce milieu bénéficient d’un peu plus de moyens. Mais les parrains n’ont pas été choisis pour supporter le financement du festival.

Pourquoi faire d’eux les parrains à vie du festival ?

Ce festival symbolise l’amitié entre le Maroc et le Sénégal, l’idée m’est venue de Fès. A l’époque, c’est Idrissa Seck qui était là. Il était très intéressé et a pu participer, d’une certaine manière, à la réussite du festival à Thiès. L’idée m’est venue à Fès (Maroc), et elle s’est concrétisée cette année. L’amitié entre les deux pays est symbolisée aujourd’hui par le Président Macky Sall et le roi Mohamed VI, voilà pourquoi j’ai choisi ces deux personnalités. Mais ça n’empêche pas qu’il y ait d’autres parrains pour les prochaines éditions.

Vous pensez déjà à quelles personnalités pour parrainer la prochaine édition ?

Nous allons d’abord évaluer cette première édition, faire le point, mettre en place un comité d’organisation et ensuite, commencer à travailler. Le choix va venir de ce comité.

Combien d’artistes se sont produits lors de ce festival ?

Chaque fois qu’un leader est sur scène, il est au moins accompagné de 25 personnes. Ce qui fait entre 300 et 400 accompagnants et une cinquantaine de vedettes. Cela veut dire qu’économiquement, le festival a fait bouger beaucoup choses, du vendeur d’eau au transporteur. Je trouve que c’est quelque chose de très important, qu’il ne faut pas négliger.

Vous voulez donner au Festival une dimension mondiale, est-ce qu’il y a un projet autour de ça ?

Nous avons la visite d’éminents professeurs venant des Etats-Unis, qui sont intéressés par ce Festival dans leurs travaux académiques. Ces Universités américaines sont prêtes à accueillir des festivaliers d’ici un ou deux ans, pour des échanges culturels. Donc ce festival suscite déjà un intérêt sur le plan international. A travers mon expérience et mes réseaux, je peux dire, sans risque de me tromper, que ce Festival ira très loin car ça intéresse beaucoup de gens, aussi bien pour son originalité musicale que pour les messages véhiculés, notamment à travers les poèmes panégyriques en l’honneur du Prophète (Psl) et des guides religieux sénégalais.

«Ces Universités américaines sont prêtes à accueillir des festivaliers d’ici un ou deux ans, pour des échanges culturels»

Est-ce qu’il y a déjà des partenaires qui se sont manifestés sur le plan international ?

Beaucoup de partenaires ont manifesté leur volonté de contribuer au Festival. L’engouement que cela a suscité nous a même surpris.

D’après vous, qu’est-ce qui explique la forte mobilisation et l’engouement autour du Festival, qui en est à sa première édition ?

C’est la foi. C’est également une philosophie que chacun a pour manifester son degré d’implication, mais aussi les appartenances confrériques. Je pense aussi que les gens avaient besoin de revivre ces moments de communion. La question de Sidy Lamine Niass est restée gravée dans mon esprit, elle m’a marquée. Physiquement, durant le ramadan, les gens sont fatigués et ont besoin de se libérer le soir et les week-ends. C’est pourquoi je pense que le moment est bien choisi pour permettre à tout le monde de continuer à vivre sa joie.

«Mon engament personnel, c’est de valoriser la culture sénégalaise sous toutes ses facettes et dans toute sa diversité»

Vous avez parlé des guides religieux, mais comment comptez-vous les impliquer pour les prochaines éditions ?

D’abord, je remercie les guides religieux et tous les marabouts qui m’ont manifesté leur sympathie pour la réussite de cette première édition. Nous avons aussi reçu les félicitations de l’ambassadeur du Sénégal, Abdou Lahat Mbacké. C’est vous dire qu’il y a une cohésion extraordinaire autour de ce Festival car la paix est une chose capitale dans le développement d’une nation. Maintenant, après le bilan, nous allons visiter les guides religieux pour les informer davantage du projet, recueillir leurs suggestions et solliciter leurs prières pour une meilleure organisation. Puisque nous voulons que le «Festival Salam» soit le miroir de la religion musulmane ici au Sénégal, avec ses réalités, sa diversité etc. Il y a un rôle qui m’incombe, c’est de faire en sorte que le pays vive un équilibre à travers la culture. Mon engament personnel, c’est de valoriser la culture sénégalaise sous toutes ses facettes et dans toute sa diversité. Car la culture doit être la base du développement.

Est-ce que vous pensez mettre en place une structure permanente qui va gérer ce projet ?

Personnellement, c’est mon choix, mais comme il y a beaucoup de gens qui ont participé à l’organisation, il faut qu’on en discute pour trouver la meilleure formule. Ce Festival doit disposer de cette structure pour lui donner un cachet économique. Le Festival doit avoir un volet économique, comme cela se passe ailleurs dans le monde.

Comme développer le tourisme culturel…

Oui, c’est ça. Les Américains qui sont venus au Sénégal, ont effectué des visités dans les capitales religieuses, comme Touba, Ndiassane, Yoff, Medina Mbaye, Tivaouane, … Cela n’est pas à négliger.

Est-ce qu’on peut s’attendre à un jumelage entre le Festival «Salam» de Dakar et celui du Fez au Maroc ?

Il faut bien comprendre que le Festival des Musiques sacrées de Fez intègre d’autres religions et je trouve cela très original. Nous, au Sénégal, le Festival « Salam » est centré sur la religion musulmane : l’Islam. Il y a une possibilité de jumelage entre ces deux événements. Je connais bien les organisateurs du Festival de Fez, qui ont beaucoup apprécié le Festival « Salam » de Dakar. Pour des questions techniques et en termes d’expérience, nous aurons besoin de leur expertise et voir ce qu’on peut faire ensemble. Mais nous allons garder notre originalité, c’est la promotion de la diversité dans notre religion.

Pour la première édition, seule la ville de Thiès a accueilli un spectacle, peut-on s’attendre à une décentralisation dans les autres régions ?

Oui, nous l’envisageons. Nous avons reçu énormément d’appels de maires, de présidents de Conseil départemental, d’autorités…, qui souhaitent que le Festival se produise dans leur ville. Le Festival va se produire un peu partout dans le pays, mais nous voulons respecter une démarche basée sur l’équilibre. Donc, je demande à toutes ces autorités de se joindre à nous et qu’on s’organise pour que ce Festival ait d’abord un très grand succès national. Mais il faut que ces autorités soient aussi prêtes à accueillir le Festival, par leur capacité de mobilisation et d’organisation. Je rappelle que les valeurs portées par le Festival pourront aider le Sénégal sur la scène internationale.

Le Festival s’est déroulé dans différentes localités du pays, du 2 au 11 juillet, est-ce que l’organisation a répondu à vos attentes ?

Je suis très satisfait de l’organisation, je suis même impressionné des spectacles et des chanteurs qui se sont produits. C’est pourquoi je tiens à remercier les organisateurs, le coordonnateur et tous les participants. Je pense que la première édition a bien réussi, mais on attend de faire le bilan pour voir. D’ailleurs, on tiendra un point dans ce cadre et juste après, nous allons institutionnaliser le Festival, pour lui donner une dimension mondiale et l’inscrire dans l’agenda culturel du Sénégal. Nous mettrons en place un comité d’organisation, qui va déjà commencer à travailler pour la prochaine édition. Puisque nous avons beaucoup de contacts à l’étranger, de gens qui sont intéressés par le Festival. Donc on peut s’attendre, l’année prochaine, à une plus grande participation de pays de la sous région. C’est pourquoi j’invite tout le monde à apporter sa pierre à l’édifice.

Quel appel lancez-vous ?

Je veux que les artistes qui se sont spécialisés dans les chants panégyriques dédiés au Prophète (Psl) et les guides religieux, soient assistés et accompagnés. Car à travers eux, on peut faire passer énormément de messages et ces concerts le prouvent suffisamment. Durant ces moments de retrouvailles à Dakar et Thiès, il n’y a eu pas de casses, les gens sont restés polis et ont écouté religieusement les messages véhiculés. Maintenant, 2015 est derrière nous, vive 2016 ! Nous appelons à l’union des cœurs de tous les musulmans et prions pour que Allah (Swt) nous préserve de la trahison et nous protège contre les actions des ennemis et nous élève au-dessus de toute passion. Qu’Il renforce notre foi, toujours éclairée par la lumière du Prophète Mouhamed (Psl), par Sa grâce.

Bouba Ndour s’explique sur l’accusation d’escroquerie de Lamine Diatta.

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Bouba Ndour fait face à une accusation d’escroquerie de la part de Lamine Diatta à propos d’une voiture d’une valeur de 14 millions de FCfa. Très surpris par l’annonce de la plainte de l’international de football sénégalais qui l’a menacé de porter presse, le producteur de musique, qui semble s’en moquer, lui suggère d’aller sur Cnn si cela lui chante car il n’a rien à se reprocher dans cette affaire.

Bouba Ndour, donnant sa version des faits, indique qu’il y a un an, une de ses connaissances lui a demandé de lui vendre sa voiture qu’il avait garé au niveau de son bureau. Mais il lui avait rétorqué que le véhicule n’était pas à vendre. Mais, devant l’insistance du gars et le conseil de ses amis qui lui ont suggéré de vendre puisqu’il n’utilisait pas beaucoup la voiture, il a cédé. C’est ainsi qu’après quelques conciliabules à propos du prix, Bouba Ndour lui a demandé s’il achetait la voiture pour son propre compte. C’est là que le gars, qui se nomme Alpha, lui a dit que c’était Lamine Diatta qui voulait la voiture. Les deux se sont rendus donc à son bureau pour finaliser la transaction.
« C’était l’année dernière et nous sommes tombés d’accord sur le prix. Je lui ai dit de prendre la voiture pour l’essayer et je la lui ai laissé pendant deux jours. Il est revenu par la suite me dire que c’est bon. Je lui ai fait un acte de vente et il m’a dit qu’il va en France, qu’à son retour, il va me payer et je l’ai mis en rapport avec quelqu’un pour qu’il me récupère mon argent. Pendant tout le temps qu’il était en France, la voiture était avec son ami », a-t-il révélé. Le sieur Ndour de relever qu’au retour de Lamine Diatta de Paris, le même gars est venu solliciter une aide de sa part. « Il est venu me dire qu’il veut changer la couleur de la voiture qui était bleue, je l’ai mis en rapport avec mon peintre et il a peint la voiture en blanc. Et je vous dis que cette voiture, il n’y a pas un jour où je ne la croise dans Dakar. Et c’est Alpha qui est toujours à bord, je le taquinais même en lui disant ‘yangui noce’ », déballe-t-il. Au retour donc du footballeur, Alpha l’a contacté plusieurs fois avec insistance pour lui dire que le véhicule avait un problème.
« Je lui ai rétorqué que j’ai acheté la voiture en occasion aux Etats-Unis et que je ne l’ai jamais amené chez un mécanicien. Je lui ai fait savoir que je leur ai vendu la voiture il y a un an, que ce n’était donc pas mon problème. Car, si tu achètes une voiture d’occasion, tu roules avec pendant un an, s’il y a une panne, c’est à toi de la réparer », tonne-t-il avant d’ajouter : « C’est par la suite que Lamine m’a dit qu’il va aller dans la presse. Et je lui ai dit d’aller sur Cnn s’il veut. Car, je ne le comprends pas. Si je lui ai causé du tort, mais pourquoi il ne va pas en justice », s’interroge-t-il signalant que la voiture qu’il a vendu au footballeur vaut plus que 14 millions car il pouvait la vendre à 20 millions FCfa.

senepeople

On espére vraiment que lil wayne et birdman vont se calmer…

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Ça chauffe du côté de YMCMB, en effet après une salve de déclarations controversées à l’encontre de son ex « papa » Birdman, au cours des derniers mois Lil wayne a vivement exprimé son désir de quitter son label de toujours : Cash Money. Accusant tour à tour Birdman, d’escroquerie et de gestion hasardeuse de l’argent du label, Weezy a également menacé de s’en aller et d’emmener avec lui les superstars Nicki Minaj et Drake.
Ce climat plus que délétère qui règne au sein du label, s’est récemment aggravé et a franchit une nouvelle étape lorsque Birdman présent au showcase de Lil Wayne dans le célèbre club LIV de Miami à l’occasion de l’anniversaire du rappeur Jim Jones a délibérément jeté un verre de sa marque de Vodka GTV sur scène depuis le balcon de la boite. Lil Wayne qui était alors en train de chanter s’est arrêté après avoir été éclaboussé par le projectile et a ensuite jeté un regard vers son ex acolyte. La foule s’est alors empressée d’accuser le boss de cash money en criant « That’s Birdman ! »
On espère que la violence ne va pas escalader entre ces deux là !

Wally SECK et le Jet Setteur de Kaolack Mounzir NIASSE dans une position très louche!

Wally SECK et le Jet Setteur de Kaolack Mounzir NIASSE dans une position très louche!

Kaffrine : vers la « restructuration » des quartiers inondables (Ministre)

Kaffrine : vers la "restructuration" des quartiers inondables (Ministre)

 

La « restructuration » des quartiers inondables et le déplacement de leurs habitants sont la « solution à long terme » des inondations dans la commune de Kaffrine (centre), a suggéré samedi le ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie, Diène Farba Sarr.

« C’est cela la solution à long et nous allons nous y atteler dans les prochains jours, avec la collaboration de la mairie », a assuré M. Sarr à la fin d’une visite rendue aux victimes des inondations, à Kaffrine.

« Nous allons vers des solutions structurelles, qui résoudront définitivement le problème », a-t-il ajouté en présence du maire de Kaffrine, Abdoulaye Wilane, du gouverneur de la région, Moustapha Dieng, et d’autres autorités locales.

De fortes pluies (124 millimètres) tombées mardi et mercredi à Kaffrine ont engendré des inondations dans la commune de Kaffrine.

Les intempéries ont occasionné des dégâts matériels. Cent trente-quatre maisons sont sous les eaux, selon les autorités locales.

Selon Diène Farba Sarr, des « bassins de stockage » des eaux pluviales et des « ralentisseurs de crue » seront construits près des quartiers inondables (Diamaguène-Centre et Kaffrine 2), en attendant la mise en œuvre des mesures visant à parer aux inondations « dans le long terme ».

Il a salué « le travail remarquable » des agents du centre de secours de Kaffrine qui, selon lui, « ont limité les dégâts » en mettant en place « un dispositif d’évacuation » des eaux de pluie dès le début des inondations.

APS

Me El Hadji DIouf: « Moustapha Niasse appartient à l’ère Senghor c’est pour cela que l’Assemblée Nationale est en retard »

Me El Hadji Diouf

Revoilà Me El Hadji Diouf. Invité de l’émission sortie sur Walf, le célèbre député a parlé du fonctionnement de l’assemblée nationale évoquant surtout l’adoption du nouveau règlement intérieur, et à cet effet s’en est pris à Moustapha Niasse comme à son habitude. Selon Me Diouf si le parlement fonctionne aussi mal c’est à cause de son Président.
«Cette législature est la pire que le Sénégal n ait jamais connu. Même du temps de Wade l’assemblée fonctionnait normal il y’avait des débats d’idée», peste le député qui impute tous ces problèmes à l’assemblée au patron de l’Afp. Très virulent contre ce dernier, Me El Hadji Diouf estime que l’assemblée nationale est dirigé par un vieux de l’ancienne école qui n’est pas à la page. «Moustapha Niasse ne connait pas les priorités actuelles. L’assemblée nationale est en retard parce que Moustapaha Niasse appartient à l’ère Senghor. Il est en déphasage total», ironise t-il.

Amadou L MBAYE

Député Cheikh Oumar Sy de Bés du Niakk : » On ne reconnait plus le Pr Ismaila Madior Fall, il est devenu un politicien

Député Cheikh Oumar Sy de Bés du Niakk :  » On ne reconnait plus le Pr Ismaila Madior Fall, il est devenu un politicien

Le député de Bes du niak, Cheik Oumar Sy ne digère pas la sortie de Ismaila Madior Fall disant que le recours introduit par les 19 députés contre le décompte des voix lors du vote de la loi modifiant le règlement intérieur de l’Assemblée ne sera as validée par le Conseil constitutionnel. Dans un entretien avec dakaractu, le parlementaire soutient que le Professeur Ismaila Madior Fall est devenu méconnaissable, de juriste il est devenu un politicien.
» Ce qu’il a dit est extrêmement grave. Il est en train de dire au Conseil constitutionnel la réponse ou la démarche à donner à notre recours. Il est devenu un tailleur juridique, il n’est plus objectif, et cela n’est pas bon pour le Président qui doit avoir des avis indépendants et un panel de juristes qu’ils consultent pour avoir des avis différents sur la table. Aujourd’hui il a piloté, et très mal, l’acte 3 de la décentralisation que tout le monde décrie, mais il est aussi en train de déconsolider l’Assemblée en faveur de l’Exécutif. Et ce n’est pas la première fois, puisqu’en l’entendant parler de glissement de la majorité, cela veut dire que ce qui l’intéresse c’est de tout faire pour affaiblir l’Assemblée. Nous avons décidé de porter ce recours pour dire qu’il y a vice de forme, même le Président du groupe de la majorité Moustapha Diakhaté et mon ami Zator Mbaye, l’ont admis. Et je crois qu’il faut annuler le vote, ils auront certainement la majorité. Mais au moins, qu’ils aient la décence de ne pas aller au-delà des chiffres qui sont réels. Et pour Ismaïla Madior Fall, il faut qu’il sache raison garder. On ne le reconnait plus, il est devenu un politicien. Ce n’est pas à lui de dicter la validité ou non de ce recours-là « .

Macky Sall aux femmes de l’APR : « Je ne peux pas compter sur vous pour ma réélection »

macky sall

Le président Macky Sall est mécontent de la manière dont le mouvement des femmes de son parti est géré par Marième Badiane.

La querelle de borne fontaine à laquelle se sont livrées, la ministre déléguée, Fatou Tambédou et la député Awa Niang dans la banlieue a été la goute de trop. C’est pourquoi, renseigne « L’As », le président Macky Sall a appelé « ses femmes » au Palais pour les recadrer.

Bouillant de colère, Macky Sall a a savonné Fatou Tambédou dont le discours servi en guise d’explication de ses bisbilles n’était pas convaincant. Et ce fut une occasion pour Macky Sall de dire aux femmes ce qu’il pensait d’elles.

« Vous n’avez rien gagné au niveau de Dakar. Ce programme concerne toutes les femmes du pays, vous n’impliquez personnes dans vos activités. Je ne peux pas compter sur vous pour gagner », a laissé entendre le président de la République.

Etaient présentes à cette rencontre Aminata Tall, Aminata Touré, Sophie Ndiaye, Awa Ndiaye, Ndèye Binta Gassama.

Par ailleurs le président a sommé à la président du mouvement des femmes de l’APR d’interrompre son programme de distribution des 500 tonnes de riz. Courroucé par les nombreuses complaintes au sujet de Marième Badiane, Macky Sall s’est dit très déçu par ses femmes femmes sur lesquelles il ne pourra pas compter pour gagner la prochaine élection présidentielle.

 

Toussaint Manga, « détenu politique de Macky Sall » réclame de la viande de porc en prison

Toussaint-Manga

De sa prison du Cap Manuel où il se trouve, le secrétaire général de l’Union des jeunesses libérales et travaillistes, Toussaint Manga ne se considère pas comme un prisonnier.

« Je ne suis pas un prisonnier; je suis un détenu politique de Macky Sall », a dit Dr Toussaint Manga qui a s’est entretenu avec ses frères et sœurs libérales de Dakar Plateau qui organisaient un « ndogu ».

La jeunesse féminine, tendance Marie Sow a promis d’apporter un « ndogu » à Rebeuss et au Cap Manuel, mercredi.

Pour sa part, Toussaint Manga a proposé le menu qu’il souhaite recevoir. « Il ne faut pas oublier de la viande de porc, même un kilogramme suffit », a dit Toussaint Manga. « L’As qui livre l’information, informe qu’une forme somme d’argent a été dégagée pour faire de ce « ndogu » une réussite totale ».

Manœuvres pour éjecter Idrissa Seck à la tête de Rewmi

Idrissa Seck : “Macky Sall est un incapable notoire”

Des responsables de Rewmi avec à leur tête Oumar Sarr s’activent bec et ongle pour démettre Idrissa Seck de la présidence de Rewmi.

Des jeunes de Rewmi proches de Oumar Sarr en réunion de « refondation de leur formation politique », tenue le week-end à leur siège de Guedaiwaye sont en train manœuvrer pour changer leur parti. De quoi s’agit-il en effet ? Ces jeunes adoubés par Oumar Sarr n’écartent pas d’éjecter leur président Idrissa Seck. C’est en tout cas le nouveau projet que ces jeunes comptent dérouler. Selon eux, leur formation politique a participé à plusieurs élections, mais elle n’a jamais rien gagné depuis lors. Pour justifier davantage leur démarche, ces jeunes, sous la coupe de Oumar Gningue informent que c’est Oumar Sarr qui a créé le parti et que c’est lui qui détient la majorité dans Rewmi. Dans ce sillage d’ailleurs, ces jeunes annoncent un congrès. Et avertissent que sur les 45 départements que compte le pays, s’ils remportent les 30, ils forceront Idrissa Seck à aller en congrès afin de confier le parti à Oumar Sarr, informe le Populaire. Très en colères, ces jeunes semblent mécontents des lieutenenants de Idrissa Seck, à savoir Ndéthié Fall, Abdourahmanane Diouf et enfin, Thierno Bocoum qui selon eux, n’ont pas de base.
 

Les deux Sénégalaises de la Diaspora Satou Thierno et Mami Sopé

Les deux Sénégalaises de la Diaspora Satou Thierno et Mami Sopé

Entre Satou Thierno la Sénégalaise de Paris et Mami Sopé l’ex de Seydou Sow Sénégalaise aussi de Torino en Italie c’est une belle complicité.

 

Etoo toujours aussi proche de sa compagne.

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Penda Ly l’ex Miss du Sénégal à une tete bien faite

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Menaces électriques (Par Mame Gor Ngom)

Mame Gor Ngom
Mame Gor Ngom
Mame Gor Ngom
Mame Gor Ngom

Au rythme où vont les coupures d’électricité, il ne serait guère surprenant si la sourde colère des populations désemparées explose au grand jour. Plus de trois ans après le changement à la tête du pouvoir, les manquements graves de la Senelec qui étaient le goulot d’étranglement du régime précédent, sont encore tenaces. En lieu et place des délestages, dans certains quartiers de Dakar, c’est le «black out» permanent, une obscurité totale vécue par les pauvres clients qui paient chèrement les factures salées. Cette crise qui nécessitait une grande rigueur et la somme des talents, est gérée de façon approximative par les tenants du pouvoir actuel. Le choix de Pape Dieng a été controversé. Mais le président de la République avait préféré fermer les yeux et boucher les oreilles pour ne pas s’apercevoir de son «erreur». C’est trois ans après qu’il s’est rectifié. N’est-il pas trop tard ? Car même si Mactar Cissé traîne une bonne réputation, il lui faudra du temps pour tourner à plein régime. Et l’impatience grandissante des populations risque de perturber sa détermination.

Mame Gor Ngom, Rédacteur en chef « La Tribune »

Qu’est ce qu’elle ressemble à sa mère, Zeyna NDOUR ?

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MOUSSA TOURE A MACKY : « On ne peut demander aux Sénégalais d’être honnête alors qu’on n’est pas honnête soi-même »

MOUSSA TOURE A MACKY : "On ne peut demander aux Sénégalais d’être honnête alors qu’on n’est pas honnête soi-même"

L’ancien ministre des Finances Moussa Touré a donné son point de vue sur le code de bonne conduite proposé aux agents de la fonction publiques, aux fonctionnaires. Selon lui, l’exemple est la meilleure leçon. « Si on veut que les gens travaillent, il faut travailler. On ne peut demander aux Sénégalais d’être honnête alors qu’on n’est pas honnête soi-même » a-t-il soutenu. A son avis, ce code « c’est de l’enfantillage ».

Le « ndogou » royal du promoteur Aziz Ndiaye.

Dans ce mois béni de ramadan, certaines célébrités en profitent pour faire  »ndogou » avec leurs familles ou leurs amis proches. Dans ces images, on voit le grand promoteur de lutte Addou Aziz Ndiaye accompagné de ses amis pour un  »ndogou » royal.

Le "ndogou'' royal du promoteur Aziz Ndiaye.


Le "ndogou'' royal du promoteur Aziz Ndiaye.

 

Vidéo souvenir-Quand Macky s’engageait à réduire son mandat devant Sarkozy

Le président de la République a reçu mercredi 18 avril 2012 à 13h00 au Palais de l’Élysée, M. Macky SALL, président de la République du Sénégal, qui effectue en France son premier déplacement à l’étranger depuis son investiture le 2 avril dernier. A l’issue de cet entretien, les deux chefs d’Etat ont tenu une conférence de presse conjointe

 

 

Seydou Guèye : « Pourquoi je suis nommé ministre auprès du président de la République et porte-parole du gouvernement »

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L’émission « Point De Vue » sur la RTS a reçu aujourd’hui le nouveau ministre auprès du président de la République et porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye.
Sur la question de savoir s’il est revenu parce que c’est lui la solution au problème de communication du gouvernement, le fils de la Médina déclare : « ce serait un peu prétentieux et présomptueux de ma part de dire que je suis la solution, mais en tout cas étant une ressource engagée dans le dispositif de communication, d’abord du parti et parfois dans le gouvernement, si l’option a été de me confier cette mission, c’est de travailler à partir de ce que j’ai compris comme lettre de mission en terme de référence indiquée par le Chef de l’Etat, de travailler à organiser d’abord notre communication. L’organiser suppose augmenter notre niveau de coordination, de travailler avec beaucoup plus de soin dans l’harmonisation des messages, mais dans une perspective simple. C’est peut-être ça qui sera l’innovation. Ne plus se mettre dans la logique de dire il faut rendre public les actions du chef de l’Etat, mais régler la question du service public de l’information. On va faire en sorte que l’information accède à la population. Par rapport à l’efficacité ou non de la communication gouvernementale, le constat le plus unanime a été que le gouvernement fait beaucoup de choses, mais personne ne le sait. Cela indique qu’il y a un problème d’information à organiser. Il faut reprendre ce qui est l’une des bases de la communication, c’est à dire la mise à disposition de l’information à la population et aux travailleurs professionnels de l’information en temps et en heure pour que ceux-ci puissent faire leur travail et s’organiser pour avoir des énoncés très clairs et à la fin, organiser la fonction d’amplification des messages. Ce qui est la logique de communication. Je pense que c’est ce que je dois faire et vous avez compris que défini comme ça, il ne s’agit pas d’une affaire individuelle, mais d’une mobilisation collective et d’engager beaucoup de détenteurs d’enjeux dans la communication pour que tous ensemble, nous convergions vers un objectif de communication qui est de faire en sorte que chaque citoyen comprenne le sens de l’action publique et qu’il dispose l’information en temps et en heure. »

N’dèye et Assy Diallo : Les deux coépouses  » de Un café avec » réunies

Comme l’ont constaté les adeptes de la série Un café avec, il est rare de voir N’dèye Diallo et Assy, les deux co-épouses qui s’arrachent Bakayoko, réunies.
Elles apparaissent ici sous un autre jour, semblant avoir fumé le calumet de la paix…

Comme l'ont constaté les adeptes de la série Un café avec, il est rare de voir N'dèye Diallo et Assy, les deux co-épouses qui s'arrachent Bakayoko, réunies.  Elles apparaissent ici sous un autre jour, semblant avoir fumé le calumet de la paix...

Amina Poté en mode femme au foyer

Amina Poté ne sait pas que faire plaisir aux téléspectateurs de la TFM, la voici dans sa cuisine pour s’assurer des taches ménagères.

Amina Poté ne sait pas que faire plaisir aux téléspectateurs de la TFM, la voici dans sa cuisine pour s'assurer des taches ménagères.

Depuis qu’elle a quitté Sen TV Ya Awa tarde à se signaler du coté de la 2stv

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Pape Diouf et la Génération consciente en tournée européenne du 1er au 30 Août 2015

Pape Diouf et la Génération consciente en tournée européenne du 1er au 30 Août 2015

Un « ndogou » de prières à Louga pour la libération de Karim Wade

Karim Wade (C), son of Senegalese president Abdoulaye Wade and president of ANOCI (national agency for organizing of the Islamic conference) looks around upon arrival for the inauguration of the Soumbedioune tunnel in Dakar on March 8, 2008. The inauguration of the first tunnel in Senegal on the openning day of the 11th session of Islamic conference marks the end of construction works conducted as part of the Islamic conference summit. AFP PHOTO GEORGES GOBET (Photo credit should read GEORGES GOBET/AFP/Getty Images)

La campagne du mouvement  « AGIR POUR LE CANDIDAT KARIM WADE »entreprise à travers tout le Sénégal par une série de «  ndogou » suivie de prières pour la libération de Karim Wade a été marquée dimanche à Louga par un ndogou de presse à l’immeuble Falou Mbodj en présence de nombreux invités.
L’initiateur de cette rencontre avec la presse locale, Mr Falou Mbodj, coordinateur de ce mouvement, a saisi l’opportunité  pour dénoncer les circonstances de l’incarcération de Mr Karim Wade qu’il a qualifiées d’injustes, avant de déplorer la restriction des libertés du détenu Karim Wade à l’intérieur de la prison de Rebeuss où, a-t-il révélé,  il n’a  plus le droit de recevoir plus de 20 visiteurs alors qu’en temps normal il recevait près de 200 visites .
Mr Mbodj qui a par ailleurs, dressé un bilan négatif des trois années de pouvoir du président Macky Sall, a saisi l’occasion pour exhorter tous les libéraux à l’unité, et à taire leurs querelles de positionnement pour se retrouver autour de l’idéal consistant à reconquérir le pouvoir à la prochaine présidentielle.
Le point de presse a été sanctionné par des prières à l’endroit de Karim Wade pour le sortir de prison…

Correspondance régionale de Mbargou DIOP

 

Me Wade à Dakar la semaine prochaine

abdoulaye wade

En France où il mène ses activités depuis près d’un mois, l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, devenu chef de l’opposition sera à Dakar la semaine prochaine.

Le chef de file qui a rencontré d’éminentes personnalités parmi lesquelles, l’ex-chef d’Etat français, Nicolas Sarkozy, a fini de faire ses valises pour passer les fêtes de Korité dans la capitale sénégalaise.

Ses petites filles, quant à elles, renseigne « La Tribune », sont déjà à Dakar. Ozia, Dielia et Imman sont arrivées mercredi dernier. Mais, elles n’ont pas encore rencontré leur père, en prison dans le cadre de la traque des biens mal acquis.

Le Ndogou Des Orphelins chez Human Appeal International Senegal en images.

 

Moustapha Cissé Lô : « Je n’ai jamais traité Dr Cheikh Kanté de transhumant… »

moustapha-cissé-lô-sénégal

Le député de l’(Apr), Moustapha Cissé Lô se voyant attribuer des propos qu’il dit ne avoir tenu à l’encontre du DG du Port autonome de Dakar(PAD), a tenu à recadrer le débat.

Reçu hier dans les locaux de l’Observateur qui a publié l’entretien du Dg du(PAD), Moustapha Cissé Lô a recadré le débat. « Je n’ai jamais traité Dr Cheikh Kanté de transhumant. C’est mon camarade de promotion, mais il dit des contre vérités dans l’entretien. Premièrement, il n’est pas venu à l’(Apr), un an après les élections de 2012. J’ai présidé son meeting à Fatick et je prends à témoin, le ministre Diène Farba Sarr et Me Bouba Diallo. Deuxièmes, arrivé au pouvoir, j’ai passé deux nuits chez lui à sa propre demande, mais il ne m’a jamais hébergé. Je logeais au « Café de Rome ». Il m’avait demandé de venir chez lui parce qu’il voulait que je l’aide et je l’ai fait. Je me suis battu pour qu’il soit nommé au (PAD). Mais aujourd’hui, je ne suis contre sa méthode, la façon dont il gère le port », dit-il, des propos recueillis par l’Observateur.

L’International démocratique centriste(Idc) : Abdoulaye Baldé dans la cour de grands

macky sall et abdoulaye balde

L’Union centriste du Sénégal(Ucs), du maire de Ziguinchor Abdoulaye Baldé vient d’entrer dans la cour des grands.

Une bonne nouvelle pour le président de l’Union des centristes du Sénégal(UCS), Abdoulaye Baldé et Cie. Crée le 28 juillet 2012, le parti d’Abdoulaye Baldé vient d’être accepté dans la grande famille de l’International démocratique centriste(Idc), organisation regroupant près de 100 partis politiques d’obédience démocrate-centriste à travers le monde, informe l’Observateur. C’est à Mexico, (Mexique), les 9 et 10 juillet 2015 que les leaders de 76 des plus grands partis politiques de cette obédience ont pris part à la rencontre entérinant ka rentrée officielle et définitive de l’(Ucs) dans cette grande famille, en présence du coordonnateur exécutif de Paris, Ile de France, Ibrahima Sonko, car Abdoulaye Baldé reste toujours frappée par l’interdiction de sortie du territoire nationale, pour présumé enrichissement illicite
 

Fonction publique : L’Etat impose aux fonctionnaires un Code de déontologie pour éviter les détournements de deniers publics

muhammed dionne

L’Etat du Sénégal a mis en place, hier, un code de déontologie qui vise à lutter contre les prévarications et à améliorer la bonne gouvernance dans la Fonction publique. Le comité de pilotage a été installé, hier, par le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne.

Le gouvernement du Sénégal tient à la procédure d’une gouvernance vertueuse, transparente et efficace. Hier, renseigne Le Quotidien, le Premier ministre a présidé la cérémonie d’installation du Comité de pilotage du processus d’élaboration du Code de déontologie générale des agents publics. Ce Comité, dont le secrétariat est assuré par Mintou Sidibé Fall, fonctionnaire au ministère de la Santé, est présidé par Lamine Diome, Inspecteur général d’Etat. Il est renforcé par d’autres profils issus de l’administration, de l’Ofnac, de la Cour des Comptes, de l’Ige et de la Médiature de la République.

Aujourd’hui, ce Code vise à renforcer l’éthique et la morale des agents de l’Etat dans la gestion des affaires publiques. Selon Mahammed Boun Abdallah Dionne, « l’adoption du Code viendra renforcer la panoplie d’organes, d’instruments et de mécanismes mis en place par le gouvernement pour améliorer la transparence et l’efficacité de la gestion des affaires publiques ».

La mise en place de ce Code de déontologie s’explique par plusieurs facteurs, selon le PM. « La récurrence des grèves dans certains secteurs de l’administration, des détournements de deniers publics, l’absentéisme, la partialité, l’inefficacité ou les lenteurs administratives, en général, ont conduit au besoin de fixer un cadre de référence », a-t-il indiqué. Le ministre de la Fonction publique, de la Rationalisation des effectifs et du Renouveau du service public, Viviane Laure Elizabeth Bampassy, de déclarer : « Ce Code va nous permettre de condenser et de recueillir, dans un même document, texte, décret ou l’ensemble des principes et des valeurs qui doivent guider l’action de l’agent public ».

Les deux complices de Prince Art.

Aida Samb et l’assistante du label Prince art Khady prouve leur complicité en dehors de nos frontières.
Les deux complices de Prince Art.

Didier Drogba : lumière sur sa fortune (180 milliards de FCFA)

Didier Drogba : lumière sur sa fortune (180 milliards de FCFA)

C’est un secret de polichinelle : Didier Drogba est très riche. L’ex attaquant de Chelsea a amassé sa fortune pendant sa magnifique carrière footballistique jonchée de trophées et de titres. Selon le Magazine économique Américain « People With Money » la fortune de l’Ivoirien des Blues est évaluée à 275 millions d’euros soit 180 milliards de FCFA.

En 2014, Didier Drogba aurait gagné une somme de 96 millions d’euros soit plus de 62 milliards de FCFA. En dehors de ses revenus sur la pelouse, il gagne également à partir des placements boursiers, de ses investissements dans l’immobilier, des contrats publicitaires, dans la restauration, dans la mode avec les caleçons « Drogba séduction » et dans la cosmétique avec son parfum « L’eau Didier ».

Didier Drogba reste un modèle de réussite à imiter !

Bravo Didier !

(Photos) Le Ndogou spécial de Modou Lo avec ses amis… Regardez

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[photos] : Prière du vendredi du président Sall à la Grande Mosquée de Liberté 6

 

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Photos – Quand la chanteuse GuiGui prend soin de son corps, voilà ce que ça donne

Photos - Quand la chanteuse GuiGui prend soin de son corps, voilà ce que ça donne

Photos - Quand la chanteuse GuiGui prend soin de son corps, voilà ce que ça donne

Photos - Quand la chanteuse GuiGui prend soin de son corps, voilà ce que ça donne

Photos - Quand la chanteuse GuiGui prend soin de son corps, voilà ce que ça donne

Khady Niang maquilleuse : Un talent discret

Khady Niang Diakhaté

La chef maquilleuse a fini de faire ses preuves dans les coulisses des grands événements comme Dakar Fashion Week, Sira Vision, le Fesman, en maquillant les adeptes du monde des strass et paillettes. Elle s’est projetée sous les feux de la rampe et vit pleinement ses rêves depuis qu’elle s’est lancée dans le cinéma. Polyvalente, la douce moitié de Khalifa  Diakhaté, journaliste à la Tfm, . Elle s’est lancée dans le cinéma il y a peu de temps. Depuis sa tendre enfance ayant l’amour et le don de la réalisation et de la cinématographie, Khady est sur le point de réaliser ses plus grandes œuvres dans le maquillage ciné. Parcours La fondatrice de la marque Red Lips Beauty Khady a été «Makeup artist» après avoir obtenu ses diplômes à Paris en 2006 et à Washington DC en 2009. Khady Niang s’installe au Sénégal en juillet 2009. Elle a été la maquilleuse officielle du FESMAN 2010, de la Dakar Fashion Week 2010, Khady Niang métier maquilleuse, talent discret , 2013, 2014, 2015, du Voyage sur le Fleuve Sénégal de Claire Kane et des défilés SERAKA  de Selly Raby Kane, entre autres. En 2010, Khady s’est ouverte à de nouveaux horizons comme la publicité, la vidéo, la télévision et le cinéma (maquillage sfx). En 2011, Khady crée Red Lips Beauty, une société de prestation de service dans laquelle se retrouvent plusieurs professionnelles (maquilleuses, coiffeuses et esthéticiennes). En 2013, Red Lips Beauty se lance dans la production audiovisuelle avec Flash Beauté, une capsule de 2mn sur la Tfm. En 2014 Khady confirme son talent dans le cinéma avec le 4e long métrage auquel elle participe. Elle est la chef maquilleuse de «Timbuktu» d’Abderahmane Sissako qui a remporté deux prix lors du festival de Cannes et 7 César cette année. Soucieuse de faire découvrir au grand public les techniques de maquillage professionnel, le studio RedLips Beauty ouvre ses portes en juin 2014. Des ateliers, des cours, des séances de coaching personnalisés et pleins d’autres surprises y sont au programme! Ambitieuse, hyperactive et passionnée Khady compte bien faire du maquillage professionnel un métier reconnu et respecté au Sénégal.  Du maquillage au cinéma Sur les traces de ses mentors Demba Dièye (1er assistant réalisateur), Alioune Mbow (ingénieur son) ainsi que Fabakary Assimby Coly (réalisateur-caméraman), Khady Niang vient juste de faire 4 ans de cinéma, un parcours certes court mais riche en expérience. « J’ai fait mon premier long métrage avec Mbeubeuss le terreau de l’espoir, ensuite j’ai fais Dakar trottoirs de Hubert Ndao avant de participer au film Timbuktu de Abderahmane Sissako. Je viens aussi juste de boucler une série qui s’intitule C’est la vie avec Moussa Sène Absa et Fabacary Assimby Coly qui doit être diffusée sur A+ en juin. Je sais que ce n’est pas un long parcours car je viens juste de faire 4 ans de cinéma mais je sais que j’ai eu de très riches expériences», livre-t-elle sur son cursus cinématographique. En ce qui concerne ses objectifs dans le métier, Khady Niang prône pour la professionnalisation  du maquillage. «J’ai comme ambition, à travers mon travail, de professionnaliser le métier du maquillage en Afrique de l’Ouest, car le maquillage  est beaucoup plus compliqué et technique que ce qu’on pense. Beaucoup de gens et même des professionnels de ce métier se contentent de prendre une amie ou la coiffeuse du coin en se disant que c’est juste mettre de la poudre. Le travail de maquilleuse est constitué aussi de recherches, de compréhension du scénario et des personnages et surtout de beaucoup de psychologie», confie-t-elle Nafissatou DIEYE

 

Le Geste d’indiscipline du Mannequin Khady Thiam .

Le Geste d’indispline du Mannequin Khady Thiam .

Avec Dakarswagg.net