Même lorsqu’une note provenant du ministère des Affaires étrangères a mis fin aux fonctions de Tamsir Faye, le Consul général accusé d’exhibitionnisme et d’ivresse publics manifestes, et que le Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’extérieur, Souleymane Jules Diop a dénoncé cet acte, le président de la République n’avait pipé mot sur cette affaire. Un mutisme qui avait étonné plus d’un. Mais, en réalité, le Chef de l’Etat attendait d’avoir toutes les cartes en main. Quinze (15) jours après l’éclatement du scandale, Macky Sall prend en main la gestion de l’affaire. Selon un membre de son Cabinet, souffle « l’Observateur », le président Sall avait ordonné l’ouverture d’une «information» aux fins de réunir tous les éléments d’appréciation à charge ou à décharge.
Des instructions du même ordre, ont été répercutés au Premier ministre afin qu’il centralise et coordonne les informations glanées par-ci et par-là. Les services de renseignements des autorités diplomatiques sénégalaises en France avaient été mis à contribution pour la confection diligente d’un rapport détaillé.
Le ministre conseiller Youssou Ndour est raconté par sa mère qui, dans un entretien paru dans ‘’l’Observateur’’ de ce jour, révèle les premiers pas de l’artiste dans la musique mais aussi ses rapports avec sa sœur Aby NDour. Selon Ndeye Sokhna Mboup cette déclaration de son fils « je ne bois pas d’alcool, je ne me drogue pas et je ne vole pas. Je chante pour pouvoir venir en aide à ma famille » ont été l’élément déclencheur qui l’a poussé à laisser son fils entrer dans la musique. Elle révèle en outre que la première paie de Youssou NDour était de 35000 francs CFA. Sur la relation entre Youssou NDour et sa frangine elle révèle « dans toutes les familles, il y a toujours certains membres qui ne s’entendent pas toujours. Cela ne veut pas dire qu’ils ne s’entendent pas ou se regardent en chien de faïence, tout ce qui se dit dans la presse ne doit pas être pris pour argent comptant. Jamais vous ne verrez Youssou NDour insulter Aby Ndour ou se battre avec elle ou vice versa» a-t-elle dit. Selon elle, les divergences entre Aby NDour et son frère sont normales puisque même dans sa propre famille cette dernière peut avoir des divergences avec ses enfants. « Le plus important, c’est qu’elle ne prenne pas parti pour des choses sans tête ni queue. Il peut y avoir divergences d’opinions politiques au sein d’une même famille », conclut-t-elle.
La Sénégalaise Sophie Saleh séjourne actuellement au pays de l’Oncle Sam où elle mène des activités cinématographiques, photographiques et autres cours de langues qui lui prennent d’ailleurs beaucoup de temps. Câblée depuis New-York, le mannequin nous annonce la sortie prochaine, en collaboration avec un photographe russe de son deuxième album photos-shooting. Elle dit être en contact aussi avec un autre photographe sénégalais, Mamadou Sylla. S’inscrivant en faux contre les mauvaises langues qui l’accusent d’être enceinte, Sophie est on ne peut plus clair: « Ce sont des mensonges. Je ne suis pas enceinte, ce sont des rumeurs. Cela n’a pas de sens. Il est bien vrai qu’à l’instar de toute femme, j’aime avoir un enfant que je ne cache pas. Et , en avoir aux Etats-Unis constitue un avantage considérable. Mais, il n’en est rien, ce sont des mensonges ». Mais, »pourquoi les gens attendent-ils mon arrivée aux Etats-Unis pour inventer une telle grossesse? Pourtant, j’ai bourlingué un peu partout à travers le monde sans qu’ils ne m’égratignent. Tout cela est bizarre », s’est-elle interrogée. Sur son séjour, Sophie révèle être en règle vis-à-vis de l’administration américaine, parce que détenant un visa de 10 ans. Très nostalgique du Sénégal, Sophie, avant qu’elle ne pose ses baluchons chez Obama, a rappelé avoir travaillé avec beaucoup de structures de la place pour la promotion de certains produits. Des vidéos sont également tournées avec des artistes comme Omar Pène, Pape Diouf, le rappeur Link’s…
l’actrice Binta Goudiaby, d’origine Casamançaise, commence bien son été avec cette superbe mode. Dans les rues, des USA, elle aime toujours imposer la mode Africains aux blancs. Good !
Lamine Samba invite Balla Gaye 2 dialoguer à nouveau avec Guédiawaye. Selon le chroniqueur de lutte sur la Tfm, l’ancien roi des arènes peut revenir au top grâce à un travail dur et acharné.
« Balla Gaye 2 doit renouer le fil du dialogue avec Guédiawaye. Il peut revenir, mais il lui faudra travailler dur. Il ne doit pas changer son staff car c’est avec son staff qu’il a fait son parcours de champion. La lutte a encore besoin de lui. On ne doit pas lui créer des ennemis », a dit Lamine Samba dans les colonnes de Sunu Lamb.
Depuis la création de son parti, Malick Gakou multiplie les visites de courtoisie à des chefs religieux et autres autorités coutumières et politiques. Selon L’As, c’est dans ce cadre que l’ex-progressiste a rendu visite, hier, vers 20 heures, à la responsable libérale, Aïda Ndiongue, récemment sortie de prison. Le président du Grand Parti a exprimé son soutien à l’ancienne édile des HLM. Malick Gakou s’est fortement réjoui de la décision de non-lieu prononcée par le Tribunal régional hors classe de Dakar en faveur d’Aïda Ndiongue.
Ce mardi 04 août 2015 restera une date inoubliable pour Farba Senghor et sa famille. Selon la Rfm, le chargé de la propagande du Parti démocratique sénégalais (Pds) a été expulsé de son domicile sis à la Cité Biagui, ce matin, pour défaut de paiement de loyer. Il avait été assigné en justice par son bailleur, une certaine Awa Sall, pour quatre mois d’arriérés. Aux abords de la maison où habitait jusqu’ici l’ancien tout puissant ministre de Me Wade, il y avait des éléments de la gendarmerie qui veillaient au grain. Tous les accès menant à cette villa ont été bloqués. La maison blanche avec une case en surplomb se vide de son contenu au fil des heures et Farba Senghor doit se trouver un nouveau logement pour éviter de passer la nuit à belle étoile.
Étudiants jeteurs de Pierres: Que Dieu vous bénisse !
Lors de sa visite à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, le président Macky Sall savait ce qui l’attendait d’après ses ministres et ses secrétaires d’Etat. Comme quoi on avait un visiteur dans le parc zoologique qui savait ce qui l’attend dans la cage aux lions, mais il y est entré quand même. Donc pourquoi en vouloir aux lions?
Prétextant que l’institution que représente le président de la République doit être respectée, une partie de la classe politique comme de la société civile (toutes favorables au régime en place) condamnent avec fermeté ce cocktail de huées et jets de pierres offert par de dignes et d’endurants étudiants à un président de la République qui son manque de popularité l’incite à prendre certains risques qui l’humilient.
Comme à son habitude depuis son élection, le président Macky Sall fait tout dans la politisation. Obnubilé par un second mandat dont il n’est même pas sûr qu’il le trouvera en vie, voici un président qui ne mise que sur la communication, les slogans et les mensonges distillés par ses dames de compagnies qu’il appelle « secrétaires d’Etat », le tout pour espérer redorer son blason terni en deux ans de présidence par ses tâtonnements et son manque de vision.
Pour avoir été un ancien étudiant de ladite université, le président de la République savait non seulement les désagréments qui l’attendaient pour cette visite mais en mémoire et expérience il sait et cerne parfaitement les revendications des étudiants qui datent depuis son cursus estudiantin.
En prêtant serment, le président de la République Macky Sall a accepté de briguer un mandat que les sénégalais dont parmi eux les étudiants, ont mis à sa disposition tous les pouvoirs pour satisfaire les préoccupations prioritaires des sénégalais. Et les revendications des étudiants qui représentent l’avenir intellectuel du pays en font partie.
Par ces jets de pierres, les étudiants réclamaient non seulement justice pour feu Bassirou Faye (paix à son âme) mais ils faisaient savoir au président de la République et à son gouvernement ce que veut dire briguer le mandat que les sénégalais lui ont donné. D’abord le manque de considération patent du président de la République est le fait de toujours maintenir le ministre Mary Teuw Niane à son poste, car ce dernier a perdu toute crédibilité devant les étudiants et syndicats qu’il est sensé gérer. Dans tous les pays du monde, le président de la République a l’obligation et la sagesse de se départir d’un membre de son gouvernement aussi proche puisse-t-il être, ceci pour faciliter le terrain d’entente, assurer la cohésion sociale et la satisfaction des citoyens.
Se permettant de faire la leçon aux étudiants, monsieur le ministre Mary Teuw Niane d’indiquer que « jeter des pierres et barrer les routes n’est pas la mission d’un étudiant », ce qui est vrai. Mais il doit savoir que « tenir des promesses qu’on ne respecte jamais et jouer à cache-cache avec les bourses des étudiants n’est pas la mission d’un homme d’Etat. Le respect est soit mutuel, soit il est mort et chacun prend ses armes.
Certes le président de la République a le plein pouvoir de faire des promesses et ne pas les tenir. Les étudiants ont aussi le pouvoir de noter les manquements du président et lui jeter des pierres si ce dernier est incapable de les satisfaire en plus de vouloir venir les narguer et profiter de leur politesse pour rebondir politiquement. Institution ou pas, le président a depuis fort longtemps les revendications des étudiants sur sa table. Qu’il s’en charge sans en faire sujet de politique et les étudiants seront satisfaits et reconnaissant, qu’il continue sa politique mensongère et la pluie de pierres s’abattra encore sur lui.
Le Chef de l’Etat, SEM Macky Sall, a reçu, ce lundi 03 août, le Président de la Commission de l’UEMOA, M. Aguibou Soumaré. M. Aguibou Soumaré est venu rendre compte au Chef de l’Etat de l’avancement « la revue des politiques, programmes et projets des différents pays, ainsi que de l’ensemble des actions de l’UEMOA afin de recueillir ses avis et instructions. » Le Président de la Commission de l’UEMOA a aussi soulevé certaines questions concernant l’Institution : « l’UEMOA a 20 ans bientôt, nous devons réfléchir sur l’UEMOA de demain, et les ajustements à apporter ». Ainsi, M. Aguibou Soumaré a voulu, d’une part, « recevoir des « instructions sur certains dossiers en cours », et d’autre part, « échanger avec le Président Macky Sall à propos de la Conférence des Chefs d’Etat qui se tiendra bientôt en fonction des calendriers et disponibilités des Chefs d’Etat membres. » Abordant les instructions reçues du Président de la République, Monsieur Aguibou Soumaré à souligné: « Le Chef de l’Etat m’a demandé de beaucoup insister sur nos politiques de jeunesse, d’emplois des jeunes, mais également sur le problème de l’énergie qui ne peut être résolu par un seul pays », a-t-il lancé. Relativement à l’énergie, le Président de la Commission de l’UEMOA précise: « C’est à nos pays de créer des pôles de production afin de pouvoir partager l’énergie avec les autres pays. C’est un dossier qui demande beaucoup d’argent, beaucoup de moyens », a-t-il noté « Or, l’énergie est un facteur très important dans la compétitivité de nos Etats. Ce qui signifie que nous devons prendre le dossier très au sérieux, et le Président Sall a tenu à ce que nous travaillions sur la base des instructions qui ont été données », a jouté M. Soumaré.
Mamadou Diop Decroix et ses camarades du Front Patriotique pour la Défense de la République pensent que le président de la République en se rendant à l’université a provoqué les étudiants. Pour eux, les étudiants sénégalais qui sont dans la précarité et le dénouement total ne peuvent pas supporter que Macky Sall viennent avec son cortège se pavaner dans l’université comme si tout allait bien dans ce temple du savoir. Selon Mamadou Diop Decroix, c’est une provocation.
“S’en laver les mains et accuser l’opposition, c’est faire litière du fait que les étudiants, partie prenante du peuple Sénégalais paupérisé, ressentent comme ce peuple-là les terribles conditions dans lesquelles se trouve notre notre pays. C’est tout cela et le reste que les étudiants avaient dans le coeur. La visite de Macky Sall a été la goûte d’eau qui a débordé le vase, une véritable provocation”, soutiennent Decroix et Cie.
Jean Paul Dias et les responsables du Bloc des centristes gaindé (Bcg) estiment que le campus universitaire ne saurait être tenu pour un lieu de non-droit, un no man’s land exclusivement étudiant. Aussi, demandent-ils, selon le Populaire de ce mardi parcouru par senego.com, au Président Macky Sall de « retourner au Pavillon A, comme initialement prévu, pour parachever le travail, cela dès la rentrée prochaine afin de revoir sa chambre d’étudiant ».
Ils soutiennent que « tous les leaders des coalitions le soutenant devraient (d’ailleurs) l’y accompagner, en première position, et certains d’entre eux visiter leurs anciennes chambres d’étudiant ». « Ce serait (donc) une occasion pour un rétablissement de rapports sains entre les aînés et la jeunesse de l’Ucad, laquelle devrait saisir cette opportunité pour s’excuser, engager, via ses porte-paroles, le dialogue avec le chef de l’Exécutif et ouvrir ainsi une nouvelle page de relations pacifiées »
Le Directeur du Port autonome de Dakar, Dr Cheikh Kanté a loué hier la qualité du travail de l’entrepreneur portuaire d’origine portuaire, Bolloré.
Trois ans après son retour, l’heure est au bilan pour le groupe français, Bolloré Africa Logistics écarté par Me Wade au sein du Port de Dakar, pour incongruité dans son travail, au profit de Dubai Port World. A peine que le chef de l’Etat Macky Sall a été installé à la tête de l’Etat, Bolloré a signé son grand retour. Mais après, il a fait des bonds en avant au grand bonheur du gouvernement de Macky Sall. Recevant hier le Directeur de Bolloré, Christophe Pujalte et son staff, Dr Cheikh Kanté a chanté les louanges et les mérites particulières sur le ferme engagement du groupe. Cela dans le cadre des projets de développement engagés par le président de la République, Macky Sall. Selon toujours Dr Cheikh Kanté, Bolloré est en train de contribuer grandement au Plan Sénégal émergent(PSE). En neuf mois d’exercice, informe Cheikh Kanté, Bolloré a donné au(PAD) des dividendes évalués à 92 milliards FCFA, informe l’Observateur.
Adja Diallo, 27 ans, est un mannequin célébré dans la place dakaroise. Mais beaucoup de Sénégalais qui le jugent, de près ou de loin, ignorent les drames qui ont escorté et qui escortent encore sa tumultueuse vie.
Une fée s’est penchée sur son corps pour bien dessiner les lignes et affiner la silhouette de cette nymphe au visage resplendissant. Mais Adja Diallo, il faut le savoir, n’a jamais eu l’honneur de porter la couronne de Miss Sénégal sur sa tête. Seulement, cette métisse, de mère mauritanienne et de père sénégalais, a vu sa beauté truster les auréoles : miss Thiès, miss Dounya en 2004, Miss Gongo en 2005. Ndèye Marie Diallo dans le civil ne fait pas ses 27 ans d’âge, qu’elle porte comme une grâce. Elle est la cadette d’une famille de 5 personnes, dont deux frères. Sa mère était ménagère, son père était un dévoué chauffeur, qui a toujours sué pour que ses enfants ne manquent de rien. Malheureusement, le pater est décédé quand Adja Diallo avait huit (8) ans. A l’âge de 16 ans et demi, la belle liane peaufine une véritable histoire pour faire partie des candidates de Miss Thiès en 2004. Sa mère n’étant pas d’accord, elle s’arrange pour fuguer, et revient avec fracas, en compagnie d’une horde de troubadours qui lui chantent sa gloire, la couronne de Miss Thiès juchée sur sa tête. Sa maman ne sourit pas de cet exploit. Et mettra un temps fou pour pardonner à sa truculente fille. Malgré tout, elle cautionne son voyage pour participer au concours national, où Adja Diallo se fait laminer à Dakar par des miss plus expérimentées, plus cultivées. Elle en gardera toujours un mauvais souvenir. Comme cette émotion vive qui l’étreint à chaque fois qu’elle évoque la mort, qui ne cesse de s’en prendre aux membres de sa famille. Avant de perdre sa mère, Adja Diallo en veut terriblement à la grande faucheuse, qui lui a pris fatalement son père, puis ses deux sœurs, en l’espace de deux ans. Une vie traversée par des drames, puisque la belle Adja vit actuellement des jours tristes, le regard avachi, les paupières lourdes, après le décès brutal de sa meilleure amie sur les podiums, la belle de Takhikao, Maty Mbodj. C’était déjà il y a… deux semaines ! Des drames qui ont couvert sa vie d’un voile noir de peine. Mais les tragédies la quittent dès qu’elle marche sur les podiums, où son succès fulgurant a longtemps aimanté les rumeurs les plus folles sur sa personne. A un moment donné, Thiès n’a bruit que de ça. Tout le Sénégal avec. «Adja Diallo a eu un enfant qu’elle n’a jamais assumé, parce qu’il est handicapé», vitupéraient les langues pendues. Cette rumeur outrancière qui a couru sur son compte, l’a brouillée pendant longtemps avec des journalistes. Mais Adja Diallo, fieffée orgueilleuse, n’en parle jamais. A chaque fois, elle sort la même rengaine, comme une ritournelle. «Je ne veux pas parler de ça, je ne veux pas retomber dans ces histoires, que j’ai dépassées, libre à chacun de croire ce qu’il veut croire», serine-t-elle dans toutes ses interviews. Comme pour fuir ce débat glauque colporté par des «ennemies tapies dans l’ombre qui lui font la guerre». Puis, une autre rumeur plus salace, court sur son compte. Au rythme cadencé et fréquent des virées de la star ivoirienne, Didier Drogba, l’on susurrait dans les clubs fermés dakarois que le footballeur, pensionnaire de Chelsea à l’époque, ne pouvait plus se passer de la belle Sénégalaise. Tant il multipliait les escapades pour venir passer du bon temps avec sa «préférée». Mais Adja Diallo a toujours refusé d’évoquer le sujet. Se contentant d’un fou rire et d’une langue de bois… massif : «C’est un ami». L’on ne savait pas encore à L’Observateur, que l’amitié existait, existe et existera toujours entre hommes et femmes. Bof passons… L’on accuse aussi la belle Ndèye Marie Diallo dite Adja, de s’éclater en boîtes, usant à satiété d’eau de feu (alcool) et d’héroïne pour toucher le Nirvana et ses paradis perdus dont les bouffées sourient aux langues pendues. Mais le mannequin attitré des mèches Darling, pendant des années, balaie ces «saletés» devant sa porte, d’une main, par une phrase qui tue : «Je me contentais dans les soirées, de boire juste un Red Bull, ce n’est pas méchant» Bien sûr ! Adja, il n’y a pas vraiment de quoi fouetter un chat avec ça.
Vaincu par Me Abdoulaye Wade en 2000, après dix-huit années passées au pouvoir, l’ancien président Abdou Diouf s’était écarté de la vie politique sénégalaise. C’était, disait-il, pour ne pas gêner son successeur. Après avoir par la suite fini son mandat à la tête de l’Organisation internationale de la francophonie cette année, le président Diouf avait annoncé sa « retraite politique ». Il a même publié ses « Mémoires » qui ont écorché plus d’un de ses anciens collaborateurs Le président Diouf a oublié sa promesse de se retirer de la vie politique, puisqu’on lui prête de dissuader les responsables du Parti socialiste, dont il fut le leader, à s’aligner derrière la candidature du président Macky Sall en 2017 ou 2019. Par devoir de reconnaissance à celui-ci d’avoir battu son tombeur Me Wade et d’avoir donné son nom au centre de conférences de Diamniadio ? C’est ce qui se dit.
Entourer par ses amies est la plus belle chose qu’une personne peut ressentir. C’est ce qu’a compris la reine du Djollof Bande. D’âpres cette photo prise par notre radar international la chanteuse préférée des Almadies Viviane croque la vie avec ses amies.
Fils de Mapenda Seck, Cheikh Bambaly Seck suit les traces de son père en se lançant dans la musique. Conscient des coups bas, il avoue, dans une interview accordée à Grand-Place, ne pas avoir peur. Il est aussi conscient que ceux qui veulent atteindre son père sont en train de s’acharner sur lui.
« Ce n’est pas parce que Mapenda est mon père que je dois chanter. Mais, c’est Dieu qui m’a donné la voix. La musique est en moi, c’est une passion. J’ai des frères qui ont d’autres occupations que la musique. Mais c’est Dieu qui l’a voulu en moi et je l’accepte. Je sens la musique, c’est un amour pour moi. J’aime trop la musique », tient à préciser Cheikh Bambaly Seck, fils du chanteur Mapenda Seck, qui vient de sortir un single. Bien qu’il n’ait pas duré dans le milieu, il dit être confiant. « Je suis jeune, cependant, je n’ai peur de rien. Je dis bien que je n’ai peur de rien. Je crois en Dieu et en mes capacités. Les prières de mes parents me suffisent largement. Le reste, je le laisse entre les mains du Tout Puissant », dit- il confiant, malgré le fait qu’il reconnaisse qu’il existe des coups bas dans le milieu de la musique. « C’est vrai que je n’ai pas encore duré dans ce milieu mais j’entends beaucoup de choses, surtout sur mon père. Ce dernier m’a même confié qu’il n’aimerait pas que je suive ses pas dans la musique. Mais, heureusement, pour moi, je fais de la musique par amour c’est ce qui fait que je ne vois pas les coups bas », a –t-il précisé avant d’avouer : « Les gens qui veulent atteindre mon père s’acharnent sur moi ».
En tournée nationale, Malick Gackou, qui continue d’enregistrer de nouveaux adhérents venus du Pds, du Ps mais aussi de l’Afp, est convaincu que les membres du parti de Moustapha Niasse des 45 régions du Sénégal vont rejoindre le Grand Parti.
Le leader du Grand Parti qui a effectué une visite de proximité à Foundiougne, s’est dit satisfait. « Je remercie tous les membres de l’Afp ainsi que leurs responsables qui ont démissionné pour rejoindre le Grand Parti », note Malick Gackou dans le journal La Tribune. Parmi ceux qui ont rejoint le Gp, il y a le responsable de l’Afp dans le département de Foundiougne, Abou Thiam, et le maire de Djirma, Badara Diom, qui était le seul maire progressiste dans tout le département. En plus de cette formation politique, Gackou certifie avoir reçu des membres de l’Alliance pour la République (Apr), du Parti démocratique sénégalais (Pds) et du Parti socialiste (Ps) qui désirent rallier son camp.
« Pour nous, l’Afp est une page tournée. Ce qui demeure évident, c’est que, dans l’ensemble des 45 départements où nous allons passer, il n’y aura plus d’Alliance des forces du progrès. A Nguékhokh, toute l’Afp est partie, à Foundiougne, il n’y a presque plus d’Afp. A Guédiawaye, il n’y a plus d’Afp. Notre objectif n’est pas de faire la razzia des militants et sympathisants de ce parti, c’est d’entendre là bas, les écouter et apporter des remèdes aux problèmes », indique l’ex-n° 2 de l’Afp.
Restées plusieurs mois sans payer le loyer de leur appartement qui se trouve à Ouest Foire, Esther Ndiaye plus connue sous le surnom de Eshoo, qui est aussi la copine de Waly Seck et son amie Coumba Dièye, ont failli se faire expulser par un Huissier. Eshoo Ndiaye, en froid avec son amie Bébé Basse,(Waly étant passé par là), ne sait plus à quel saint se vouer. Après un préavis de trois mois, les deux filles n’arrivent toujours pas à payer leurs arriérés de loyer.Ce qui a incité le propriétaire, la semaine dernière,à les priver d’eau et d’électricité. Aujourd’hui un huissier est allé les voir tôt le matin, pour leur donner l’ordre de quitter l’appartement qui se trouve à côté du marché Serigne Fallou à Ouest Foire.Sans l’intervention de quelques bonnes volontés, leurs bagages auraient dus se retrouver dans la rue,cependant c’est qui pourrait risquer de leur arriver, si elles ne libèrent pas l’appartement au plus tard vendredi…
Voilà ce qui peut nous arriver,si on veut vivre au delà de nos moyens.
L’ancien Premier ministre sous Wade en l’occurrence Souleymane Ndéné Ndiaye a tenu à être, hier, à l’Ucad. Histoire d’un pélérinage dans le temple du savoir. Jules Ndéné attendiat son ami Macky Sall au pavillon A, à la chambre 168 qu’il partageait avec lui. Mis au parfum, les étudiants ont empêché le président de la république et sa délégation de s’y rendre. C’est un Ndéné déçu qui a raté son retour aux sources. Mais la question qui mérite d’être posée est celle-ci: « que faisait Ndéné là-bas? »
Les jours de Mary Teuw Niane sont comptés à la tête du ministère de l’Enseignement supérieur. C’est du moins ce que l’on peut retenir après une réunion de crise tenue par le chef de l’Etat et quelques-uns de ses collaborateurs suite à l’incident qui s’est produit lors de la visite du Président à l’Ucad
La Tribune renseigne que le président de la République et un groupe restreint de ses collaborateurs ont tenu une réunion qui a tourné autour de la visite de Macky Sall a l’Ucad, en général, et du cas Mary Teuw Niane en particulier. Selon le journal, tous ceux qui étaient présents à la rencontre ont reconnu l’impopularité du ministre de l’Enseignement supérieur qu’ils accusent d’être la principale cause de ce qu’a vécu le Président Sall malgré le travail colossal abattu par les membres du Mouvement des élèves et étudiants Républicains (Meer) et de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer). Tous sont également d’accord pour le départ de Mary Teuw Niane de la tête du ministère qu’il dirige, ce dans les plus brefs délais. On signale que des noms ont même été proposés pour son remplacement. Ce qui augure un autre réaménagement dans les prochains jours.
Dérouté par la décision irréversible de Léa, Ibou Kara aurait accusé la presse de vouloir détruire son couple en mettant le focus sur cet événement. Mais après avoir procédé à des recoupements à la bonne source, fiables et sans équivoque, Gawlo.net est en mesure de prouver que ‘’Bèye weuyna mbouss !’’ ( les dés sont jetés ! ).
Selon des sources proches de la famille de Léa, cette dernière aurait bu le calice jusqu’à la lie. Selon ces mêmes sources, le jeune épicurien n’a pas été le mari dont Léa attendait. Il aurait tout fait pour lui mettre la corde au coup afin de mieux se ‘’peopoliser’’, et être au devant de la scène et au top niveau des ‘’lookés people’’.
Une miss risque la peine de mort pour trafic de drogue ! Une miss colombienne accusée de trafic de drogue en Chine risque la peine de mort…. Juliana Lopez est une miss colombienne qui devait participer ce week-end à l’élection Miss Monde. En séjour en Chine depuis deux semaines, la jeune femme de 22 ans s’est fait arrêter à l’aéroport de Baiyun alors qu’elle rentrait à Medellin. Selon le journal colombien El Tiempo, les douanes chinoises ont retrouvé de la cocaïne dans son ordinateur. Et les autorités chinoises ne plaisantent pas du tout avec le trafic de drogue. Elle est donc poursuivie pour détention de produit psychoactif, un crime passible de la prison à perpétuité, voire de la peine de mort en Chine. Sunugal24.net
Après une carrière de footballeur bien remplie, El Hadji Diouf pourrait s’engager en politique. L’international sénégalais, attaquant de Al Shaba, n’exclut pas cette hypothèse. Déjà, l’ancien capitaine des Lions de la Téranga, qui se dit en phase avec la vision du Président Macky Sall, soutient les actions de ce dernier à la tête du pays. Et El Hadji Diouf plaide pour que le président de la République soit réélu pour un second mandat. « Un seul mandat ne suffit pas pour terminer toutes les réalisations », dit-il au micro de RFM.
Le ministre-conseiller Youssou Ndour a commenté l’attaque par les étudiants du cortège du présidentiel vendredi à l’université Cheikh Anta Diop. Selon lui, « le président Macky Sall a fait preuve de courage. « Je loue vraiment son courage. Macky Sall est très courageux », a-t-il insisté. Youssou Ndour s’exprimait avant-hier samedi, en marge du match de football qui a opposé les « Mbalakhmen » au Rappeurs, au stade Demba Diop. Pour le roi du Mbalakh, le courage de Macky Sall réside du fait qu’il était conscient des difficultés de l’Université qui ne l’ont pas empêché de faire son déplacement. Toutefois, le ministre-conseiller demande d’étudier cette réaction des étudiants pour comprendre la situation. « Maintenant, il faut faire un débriefing pour savoir « , a-t-il indiqué sans autant entrer dans les détails.
Le Directeur du Centre des œuvres universitaires (Coud), Cheikh Oumar Anne, profondément touché par l’attitude de certains étudiants qui avaient lancé des pierres au cortège de Macky Sall en visite à l’(UCAD), est très en colère.
Pour le Dg du (Coud), les Sénégalais ont vécu a un sabotage concernant la visite de Macky Sall à l’(UCAD). « Il ya eu la main invisible de l’opposition derrière. Les perturbateurs s’étaient cachés. Ce n’est qu’au dernier moment qu’ils se sont montrés, assène M Anne, maire de Ndioum. Très en colère, Cheikh Oumar Anne a promis qu’il va tout faire pour que les hommes politiciens manipulent les étudiants à partir du campus universitaire. « En tout cas, je prendrai toutes les dispositions. Je ne dais que je vais interdire la politique à l’Université, mais je ferai de telle sorte que les étudiants sachent comment faire leur politique dans l’espace universitaire », préconise t-il dans le Populaire.
Le double ballon d’or africain (2000-2001) El Hadji Diouf a fait une révélation de taille aujourd’hui sur ses ambitions après sa carrière en football.
La politique ! Le footballeur El Hadji ne l’écarte pas. Il l’a fait savoir à nos confrères de la RFM, depuis Kuala Lumpur(Malaisie), où notre compatriote, Diagna Ndiaye, vient d’être installé au Comité international olympique. Interrogé sur la politique, El Hadji Diouf rétorque : « Je n’écarte pas de faire de la politique. Je fais partie des Sénégalais les plus populaires. Je le dit avec modestie. En politique, je peux apporter beaucoup de choses sur le plan du sport et du football en particulier. Je pense que ce ne sont des choses à écarter, puisque, la politique, c’est quelque chose de noble », dit-il. Sur mandant du président de la République, El Hadji Diouf dit qu’il soutient Macky Sall. « Il faut que les Sénégalais l’accorde deux mandat. On ne peut rein faire avec un seul mandat », dit-il.
La sortie du Front patriotique pour la défense de la République, composée du(PDS) et alliés et menaçant le chef de l’Etat de lui mener la vie dur n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd.
Quelques jours après la sortie du(Fpdr) qui menace de réserver un été dur au président de la République à travers des manifestations et tournées politiques, les voix s’élèvent du côté des souteneurs de Macky Sall, la coalition « Macky 2012 ». Selon, Habib Ndao, le « Fpdr est à court d’argent et d’idées. Au moment où Macky Sall et son gouvernement sont en train de dérouler le plan Sénégal émergent(Pse) dans toutes ses composantes, que des politicien non inspirés déroulent un plan inutile de déstabilisation du pouvoir judiciaire qui ne fera que radicaliser les juges suprêmes sur l’affaire Karim Wade, oubliant que leur bailleur de fond, Aida Ndiongue a été libérée par cette même justice, alors que les présomptions qui pèsent sur elle sont lourdes », dit-il dans le Populaire.
Ibou Kara, le mari de Léa Soukeyna Ndiaye a publié sur son compte facebook cette photo en compagnie de sa ravissante épouse et a laissé ce petit message: « Rien N’est Trop Sensationnel Pour Ton anniversaire Ma Femme Ma Lionne Sama Kharit Sama Sokhna Ainsi La vie Est Faite De Plaisir À Savourer au Jour Le Jour Comme Nous Faisons D’ailleurs Happy Birthday Freezy »
Il peut s’enorgueillir d’avoir participé à l’avènement du Président Macky Sall. Il, c’est le jeune responsable de l’APR, Cheikh Mbacké Ndiaye. Lequel, réputé discret, est spontanément sorti de son mutisme pour réagir sur l’actualité brulante, c’est-à-dire l’attaque du véhicule Présidentiel. Entre autres sujets. Interview à batons rompus !
Dakarposte.com : Monsieur Ndiaye, comment vous présentez à nos lecteurs ? Cheikh Mbacké Ndiaye: Cheikh Mbacké Ndiaye est un jeune cadre, gestionnaire à l’Agence Sénégalaise de Promotion touristique (A.S.P.T) et responsable de la COJER de la Commune de Yeumbeul Nord. En m’engageant aux cotés du Président, j’ai surtout été inspiré par sa personnalité et son éducation. Dakarposte.com: Voulez-vous revenir sur votre parcours politique, votre compagnonnage avec le Président Macky Sall ? Cheikh Mbacké Ndiaye : Les milliers de kilomètres parcourus avec le Président SALL m’ont permis d’avoir un encrage réel dans le parti, et aussi de maitriser ce parti dans toutes ces composantes. C’est le lieu de rendre un hommage mérité à Pape Samba Diop chargé de protocole au niveau de la Présidence de la République, au cameraman Moustapha Sankhé, à Ngoné SOW chargée de la communication du PNUD et Arona DIA Conseiller du Président de la République. D’ailleurs le PUDC proposé aux Sénégalais constitue une réponse aux nombreuses préoccupations de nos compatriotes. Personnellement, j’étais chargé de renseigner les fiches techniques mentionnant le kilométrage parcouru, les intervenants, les différentes préoccupations soulevées dans les localités visitées, la date et l’heure de départ et d’arrivée. Membre actif de la COJER que nous avons mis en place depuis 2009, nous avons le mérite de penser une jeunesse politique dynamique qui nous permit d’être au pouvoir avec la manière. Au niveau local, grâce à Dieu et à une équipe dynamique, nous avons pu remporter les élections locales et installer notre camarade Daouda NDIAYE à la tête de la mairie de Yeumbeul Nord où il abat un travail extraordinaire. Je travaille de façon permanente à la massification du parti, à son renforcement et à l’unité des responsables. Dakarposte.com : Pour avoir vécu avec le chef de l’Etat, la période des vaches maigres, quelle image gardez-vous de lui? Cheikh Mbacké Ndiaye : Ce compagnonnage m’a permis de découvrir un homme ancré dans des valeurs et des principes, un homme qui croit au travail dans le respect de la loi et de la morale. J’ai surtout découvert un homme lucide, courageux, endurant et déterminé, qui, durant 3 longues années, a sillonné le pays et la diaspora afin de mieux connaitre les préoccupations des populations, et ajuster son offre politique en conséquence. Ni le défaut de moyens, ni les agressions physiques des responsables du Pds sur le terrain, encore moins les multiples autres obstacles et épreuves n’ont jamais pu installer le doute chez lui. C’est ainsi qu’en février 2012, à la veille du scrutin, de tous les candidats qui défiaient le Président sortant, il était, certes, le plus jeune et celui totalisant le moins d’années de présence dans l’espace politique, mais en même celui qui connaissait le mieux le pays, et qui était aussi le plus connu du pays pour avoir été en contact direct avec le Sénégal réel et profond. Ce qui est à la base de son éclatante victoire aux élections présidentielles de 2012. Dakarposte.com : Quel bilan faites-vous des trois ans du Président Sall ? Cheikh Mbacké Ndiaye: En trois ans, le Président est arrivé à donner un remarquable coup de redressement à un pays trouvé au bord de l’effondrement le 25 Mars 2012. Malgré le contexte défavorable, les réalisations sont faites à un rythme soutenu grâce à un volontarisme avéré par un dirigeant jeune et soucieux de vertus dans sa gouvernance. A mi-mandat, le bilan du Président révèle un souci majeur de répondre à la demande sociale, de contribuer à instaurer un Etat de droit et mettre le pays sur les rampes de l’émergence. De manière non exhaustive, on peut citer dans le domaine Social : – La baisse et l’homologation des prix des denrées de première nécessité ; – L’adoption de la loi sur la baisse du prix du loyer ; – Les travaux colossaux engagés dans la banlieue, avec le Plan décennal de lutte contre les inondations qui a fini d’éloigner le spectre de ce fléau des localités comme Pikine, Grand-Yoff ; Dalifort, Keur Massar, Yeumbeul… – L’initiative Tawfekh vient compléter l’initiative précédente avec plus de 2000 logements d’un montant de 14.7 milliards construits et octroyés à des sinistrés des inondations dans des conditions de transparence indiscutables. – La CMU, les Bourses Familiales, la gratuité de la césarienne, de la dialyse etc. sont aussi à inscrire dans ce registre social. – Dans le secteur de la micro finance c’est l’occasion de féliciter le ministre en charge cette structure Monsieur Moustapha DIOP qui a pu matérialiser la vision du Président de la République en finançant les femmes sans discrimination. – Il y a aussi les formidables réalisations en matière de politique d’emploi et de lutte contre le chômage : recrutement de 1000 jeunes par l’A.S.P; recrutement de 5000 jeunes dans la fonction publique; la rationalisation des politiques de l’emploi avec la création de l’ANPEJ, à côté du FONGIP, du FONSIS et de la BNDE sont des outils efficaces pour appuyer les porteurs de projets. Les Domaines agricoles communautaire viennent compléter le dispositif de lutte contre le chômage des jeunes. Et les résultats ne se font pas attendre. Selon les statistiques du ministère du Travail, l’Etat à crée 165 000 emplois viables depuis 2012. Dans le secteur de l’éducation, on peut citer la mise en place des réformes pour l’enseignement supérieur afin de garantir aux étudiants un enseignement de qualité ; le lancement des travaux de construction de deux universités (Amadou Makhtar Mbow et Baye Niass) ; la mise en place des Instituts Supérieurs d’Enseignement Professionnel (ISEP) ; la réhabilitation en cours des universités Cheikh Anta Diop (Dakar), Gaston Berger (Saint-Louis) et Alioune Diop (Bambèye). Sur le plan économique, la rationalisation des dépenses de l’Etat avec son impact favorable ; le taux de croissance qui est passé de 1,5% en 2012 à 4,6% en 2015 ; l’amélioration de l’environnement des affaires avec la simplification des procédures saluée par l’Institut MO Ibrahim qui a classé notre pays parmi les meilleurs réformateurs… En matière de bonne gouvernance, la création de l’OFNAC est saluée par tous les observateurs, Transparency International lui-même mentionnant dans dernier rapport que le Sénégal s’est amélioré dans le domaine de la bonne gouvernance. Dakarposte.com: Venons-en à l’actualité brûlante: le Président de la République, en visite à l’Ucad, a essuyé des jets de pierre. Ce qui est une première sous nos cieux. Qu’est ce que cela vous inspire en toute objectivité ? Cheikh Mbacké Ndiaye : Ce qui s’est passé à l’UCAD je l’inscris dans le cadre de l’agitation d’une opposition qui peine à être crédible et qui dérive vers une sorte de terrorisme politicien. Mais c’est peine perdue car les étudiants sont conscients du travail titanesque que le président est entrain d’abattre pour un enseignement de qualité. Je parle évidemment des vrais étudiants, pas de ces notables de l’espace universitaire qui prennent leurs instructions dans les instances politiques pour venir les exécuter au campus. Dakarposte : M. Ndiaye, convenez avec nous, qu’un Président qui se fait huer puis caillasser, cela fait mauvaise presse ? Cheikh Mbacké Ndiaye: Je vous ai dit que c’est un groupuscule d’étudiants-politiciens-nervis commandité par une opposition stérile. Cela ne saurait nous ébranler, encore moins nous inquiéter. Nous aurions été alarmés si c’était une composante significative de l’univers des étudiants, mais il s’agit d’une bande d’agitateurs n’étant significative ni sur le plan quantitatif ni sur le plan qualitatif. Et on a constaté que les vrais étudiants se sont radicalement démarqués de cette initiative qui a prévalu à ses auteurs une désapprobation populaire, les expose également à des poursuites devant une juridiction de grande instance, car c’est la première institution de la République qui a été directement et matériellement visée par un attentat physique. Dakarposte : Que pronez vous pour résoudre l’équation de l’Ucad ? Cheikh Mbacké Ndiaye: Continuer toujours les concertations avec les acteurs concernés pour arriver à instaurer un enseignement de qualité qui se positionnerait à nouveau, au niveau régional et international comme une référence, et je suis persuadé que c’est bien possible avec les réformes entamées. J’en appelle au sens des responsabilités des uns et des autres, pour atteindre cet objectif. Dakarposte: Que vous inspire le cas « Karim Wade » ? Cheikh Mbacké Ndiaye : Rien de particulier. Je ne vois pas en quoi il constituerait un cas. Dakarposte : D’aucuns croient savoir que la traque des biens supposés mal acquis est une mascarade, une chasse aux sorcières et que la Crei a été réactivé juste pour Karim Wade… Cheikh Mbacké Ndiaye: La traque des biens mal acquis est une exigence populaire et un impératif de bonne gouvernance de conduire ce pays vers le développement. On ne peut pas continuer à banaliser les malversations et prévarications perpétrées par des dirigeants publics abusant de leur position et de leurs responsabilités. Nul ne saurait plaider avec succès une telle forfaiture. Cette traque doit continuer et elle continuera. Dakarposte : Vous avez un dernier mot ? Cheikh Mbacké Ndiaye: Prier pour un Sénégal de Paix et de prospérité, et que le Président ait un deuxième mandat pour au moins hisser le Pays vers l’émergence, dans le cadre d’un Etat de droit et de justice sociale.
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