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L’importante note du CNRA à l’endroit des candidats à quelques semaines de la Présidentielle

Présidentielle 2024
Présidentielle 2024

A quelques jours du démarrage de la campagne électorale, le Cnra s’est fendu d’un communiqué à l’attention des candidats devant participer à la Présidentielle du 25 février prochain. Voici l’intégralité de la note ! · « COMMUNIQUÉ DU CNRA SUR LA DÉTERMINATION DU TEMPS D’ANTENNE A L’ATTENTION DES CANDIDATS A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DETERMINATION DU TEMPS D’ANTENNE QUOTIDIEN RESERVE AUX CANDIDATS A LA RTS ET TIRAGE AU SORT POUR L’ORDRE DE PASSAGE DES CANDIDATS A L’EMISSION CONSACREE A LA CAMPAGNE ELECTORALE La campagne électorale pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 commence le dimanche 4 février 2024 à 00 heure et prend fin le vendredi 23 février 2024 à minuit. Selon l’article 8 de la loi portant création du CNRA : « Le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel fixe les règles concernant les conditions de production, de programmation et de diffusion des émissions réglementées des médias audiovisuels pendant les campagnes électorales ».

Vidéo – Audience Des recales, Reports des élections : Fatou Abdou Sur les Différends Entre Mimi et Bougane

Éligibilité de Karim Wade : Les députés du PDS passent à l’action auprès de l’Assemblée nationale

Les députés du parti démocratique sénégalais (PDS), ont ce mercredi déposé une résolution auprès du président de l’Assemblée nationale. Cette initiative fait suite à l’annonce de l’irrecevabilité de la candidature de Karim Wade pour l’élection présidentielle du 25 février. Cette résolution a pour but d’enquêter sur les conditions d’élimination des candidats à cette élection, avec une attention particulière sur le cas de Karim Wade, candidat de la Coalition K24.

Le parti de l’ancien président Abdoulaye Wade, lors d’une conférence de presse, a exprimé sa désapprobation envers le conseil constitutionnel, allant jusqu’à réclamer sa dissolution. Ils ont également annoncé leur intention de développer des stratégies pour réintégrer Karim Wade dans la liste des candidats à la présidence.

Sur son compte X, Karim Wade a réagi sur la décision prise ce jour par les députés : « Aujourd’hui, des députés du Groupe Parlementaire Liberté, Démocratie et Changement ont franchi une étape décisive en déposant une demande pour l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire. Cette action vise à révéler la vérité sur le complot portant sur l’exclusion de candidats à l’élection présidentielle du Sénégal et le coup d’état électoral en cours. »

Abdoul Mbaye : «Un président de la République ne peut pas décider du report d’une élection présidentielle »

e débat sur un probable report de l’élection présidentielle est agité depuis quelque temps. Si certains leaders politiques sont en faveur d’une telle décision, d’autres sont foncièrement contre. C’est le cas du candidat recalé, par ailleurs leader de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT).

«Ayons tous clairement conscience qu’un président de la République ne peut absolument pas décider du report d’une élection présidentielle au cours de son mandat. Le terme de ce mandat est fixé par la Constitution (art.27) et le suffrage universel au moment où il est élu », a déclaré Abdoul Mbaye sur X, ce mercredi 24 janvier.

L’ancien Premier ministre de Macky Sall de faire remarquer que ce mandat peut être raccourci par une démission. «Il ne peut être allongé », a-t-il ajouté.

Rencontre avec Macky Sall : Bougane Gueye Dany attaque sévèrement Aminata Touré

Bougane Gueye Dany, l’un des candidats recalés à l’élection présidentielle sénégalaise de février, a exprimé des opinions tranchées lors d’une intervention sur Sen TV. Il a abordé la question de sa potentielle participation à une rencontre avec le président de la République en réponse aux irrégularités signalées dans le processus de parrainage. Par ailleurs, il a formulé des critiques envers Aminata Touré, également candidate recalée.

Position sur la Rencontre avec le Président de la République:
Bougane Gueye Dany a découvert la lettre adressée au président dans la salle où les candidats recalés étaient réunis. Il a indiqué : « Moi qui vous parle, j’ai découvert la lettre qui a été adressée au Président de la République dans la salle où nous étions. Mais je tiens à dire ceci à tous ceux qui s’expriment aujourd’hui dans les médias : soyez honnêtes, car nous étions tous ensemble. » Il a exprimé des doutes quant à la sincérité de l’invitation du président : « Je tiens quand même à préciser ma position personnelle sur ce sujet. Si le président avait vraiment voulu résoudre le problème des parrainages, il l’aurait fait avant même que le Conseil constitutionnel ne publie la liste définitive des candidats. Mais il ne l’a pas fait. » Concernant sa participation à la rencontre, il a déclaré : « Quant à cette rencontre, je ne sais pas encore si je vais y aller. Je n’ai pas encore pris ma décision. Nous sommes dans un groupe et la décision doit être prise collectivement, donc ma décision personnelle n’est pas encore arrêtée. Cependant, si c’était à moi seul de décider, je n’irais pas à cette invitation. »

Critiques envers Aminata Touré:
Dans ses attaques contre Aminata Touré, il l’a accusée de se concentrer sur ses intérêts personnels plutôt que sur l’intérêt général. Il a déclaré : “Concernant la personne qui parle partout aux médias, je tiens à vous informer qu’elle [Aminata Touré] fait partie de l’initiative de la lettre. Lorsque vous lirez le message qu’elle a posté sur les réseaux sociaux, vous comprendrez qu’à aucun moment elle n’a évoqué l’intérêt général. Ce qui l’intéressait dans cette affaire, c’était son cas personnel. Elle a clairement exprimé qu’elle ne pouvait pas rencontrer la personne qui l’avait injustement exclue de l’Assemblée nationale. Donc, elle ne parlait que de ses affaires personnelles. Pourtant, elle savait très bien qui était cette personne exclue de l’Assemblée nationale lorsqu’elle a signé la lettre.”

Il a également critiqué le comportement de ceux qui refusent de participer à la rencontre avec le président ou qui prennent la parole publiquement, les accusant de chercher à se mettre en avant : « En fin de compte, lorsqu’on parle, on a le choix entre dire la vérité ou mentir. Il ne faut donc pas diffamer les gens simplement pour se mettre en avant auprès des Sénégalais. Je leur signale que les Sénégalais ne sont pas dupes. »

Birahim Seck: « Toute personne qui travaille pour le report de l’élection présidentielle est un ennemi…»

Macky Sall devrait recevoir des membres du collectif des recalés au parrainage ce mercredi soir. Une délégation de 15 personnes dont Cheikh Tidiane Gadio, Assome Diatta et Cheikh Bamba Dieye. Depuis l’annonce de la nouvelle, certains candidats recalés dont Aminata Touré, Hadjibou Soumaré se sont démarqués de cette rencontre avec le Chef de l’Etat où le collectif devrait proposer le report des prochaines élections.

Une idée qui ne plait pas du tout à Birahim Seck. Le Coordonnateur du Forum Civil, section sénégalaise de Transparency International se veut clair. « L’élection présidentielle doit se tenir le 25 février 2024. Toute personne du pouvoir, de l’opposition ou de la société civile qui travaille pour son report est un ennemi de la démocratie et ne mérite aucune considération delà part du peuple », a-t-il posté sur son compte X (ex Twitter) visité par Senego.

Présidentielle : Voici la liste des 15 candidats ‘spoliés’ qui vont rencontrer le président Macky Sall

Plusieurs médias ont confirmé que le président de la République du Sénégal a décidé de rencontrer des candidats à l’élection présidentielle, qualifiés de ‘spoliés’. Ces candidats avaient adressé une lettre au président la semaine dernière pour signaler des irrégularités dans le processus de parrainage contrôlé par le Conseil constitutionnel. Selon eux, ces irrégularités justifieraient un échange avec le président.

D’autres candidats, dont les candidatures ont été validées par le Conseil constitutionnel, suspectent que le président pourrait utiliser cette lettre comme prétexte pour reporter l’élection présidentielle et prolonger son mandat. Certains de ces candidats, ayant initialement signé la lettre, ont depuis refusé de rencontrer le président.

Ousmane Sonko, dans un communiqué publié par ses partisans, a déclaré qu’il n’était pas lié à cette lettre et a insisté sur le fait que le président n’avait plus de prérogatives sur le processus électoral en cours. Il a demandé à ce que son nom ne soit plus associé à ce type de contenu.

Bougane Gueye Dany, Dr Abdourahmane Diouf, et le député Abdou Mbacké Bara Doly, ainsi que Aminata Touré et le professeur Amsatou Sow Sidibé, ont également exprimé leur désintérêt pour une rencontre avec le président. Ils se sont opposés à l’idée d’un report de l’élection présidentielle.

Cheikh Hadjibou Soumaré, ancien Premier ministre et candidat recalé, ne participera pas non plus à cette rencontre. Il a également mis en garde contre toute discussion concernant un report de l’élection présidentielle.

Selon le journal « L’Observateur », voici la liste des candidats qui participeront à la rencontre :

Amdy Diallo Fall
Amadou Aly Kane
Alioune Sarr
Aida Goudiaby
Alpha Thiam
Cheikh Tidiane Gadio
Cheikh Bamba Dieye
Mouhamet Ben Diop
Ibrahima Cissokho
Aliou Camara
Issa Sadio Kanoute
Mansour Ndiaye
M. Diop
Babacar Gueye
Samba Ndiaye
Il reste à déterminer l’influence que ces candidats pourraient avoir sur le président et la décision de reporter ou non l’élection, compte tenu de leur représentation dans l’électorat sénégalais.

Porokhane : Amadou Ba reçu par le Khalife des mourides

En prélude au Magal de Porokhane, prévu ce jeudi 25 janvier 2024, le Premier ministre, Amadou Ba, s’est rendu mardi à Porokhane avec une forte délégation pour une visite auprès du Khalife général des mourides.

Ainsi, après avoir fait son Ziar au mausolée de Sokhna Diarra Bousso et le khalife Serigne Mountakha Mbacké, Amadou Ba a rendu visite à plusieurs petits fils de Cheikh Ahmadou Bamba.

Ensuite, le chef du Gouvernement a fait des visites de courtoisie à différents chefs religieux de Touba qui séjournent actuellement à Porokhane.

A cet effet, Amadou Ba a fait ses Ziars aux marabouts Serigne Moussa Nawel, Serigne Fallou Bassirou et Serigne Issakha Mbacké.

Le Premier ministre a également déclaré : « Je suis accompagné de mes collègues, et c’est un grand honneur d’être reçu ici à Porokhane pour faire notre ziara auprès du Khalife général des Mourides. C’est une visite d’un talibé auprès de son guide à la quête du savoir, des bénédictions, mais surtout de conseils avisés ».

Lors de ces différentes visites, le Premier ministre a sollicité des prières pour un Sénégal de paix et de stabilité.

Urgent – Report des élections : L’ancien Pm Hadjibou Soumaré exige le respect du calendrier républicain interpelle Macky cas Sonko et Diomaye

Hadjibou Soumaré
Hadjibou Soumaré

Une information selon laquelle le collectif des candidats ‘’spoliés’’, qui conteste la décision du Conseil constitutionnel suite à la publication de la liste finale des 20 candidats à l’élection présidentielle, sera reçu en audience par le président de la République.

Les recalés exigent la suspension du processus électoral afin que certains candidats recalés puissent être inclus dans la course à la présidence.

Ce qui laisse présager un éventuel report de la Présidentielle de février 2024. L’ex-Premier ministre Hadjibou Soumaré, réagissant dans cette vidéo, met en garde contre tout report de la Présidentielle. « Il n’est pas question de repousser la Présidentielle. Ce serait un précédent très dangereux », a alerté Hadjibou Soumaré. Ainsi, interpelle-t-il la justice à prendre ses responsabilités. 

L’ex Premier Ministre invite le Chef de l’Etat à faire « respecter la date officielle de l’élection présidentielle du 25 février, d’organiser des élections libres et transparente et de libérer les milliers de prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons. Ecoutez !

Rencontre avec Macky Sall : Aminata Touré prend une décision de taille

Recalée à l’étape des parrainages, la candidate de la coalition MIMI 2024 Aminata Touré rejette toute possibilité de rencontrer le Président de la République, Macky Sall.

« Je ne suis en aucune manière intéressée par une rencontre avec Macky SALL qui m’a illegalement renvoyé de l’Assemblée et fait annuler mes dizaines de milliers de parrains pour m’éliminer de l’élection présidentielle » , a déclaré l’ancien Premier ministre.

« Tout ce qu’il reste à faire à Macky Sall c’est de respecter la date officielle de l’élection présidentielle du 25 février, d’organiser des élections libres et transparente et de libérer les milliers de prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons.
L’opposition devra s’unir pour battre son candidat Amadou Ba dès le 1er tour et engager notre pays sur le chemin du changement véritable. » , a-t-elle ajouté dans un post paru sur sa page Facebook.

Disparition en mer de 5 commandos de la marine nationale : Le chef suprême des armées exprime la gratitude de la république aux familles des disparus

marine nationale : Le chef suprême des armées
marine nationale : Le chef suprême des armées

Le président de la République du Sénégal, chef suprême des armées, à l’occasion de la cérémonie de baptême du bâtiment  de guerre lance missile le Niani, a exprimé la gratitude de la République aux familles de 5 commandos marins disparus en mer le 6 janvier dernier. Une gratitude de la République pour un si grand sacrifice qui ne sera pas vain car pour le président de la République, « le Sénégal ne baissera jamais pavillon face au trafic illicite ».

« J’ai une pensée toute particulière pour les cinq commandos marins qui, dans l’exercice de leur devoir, sont portés disparus en mer depuis deux semaines. Leur disparition au cours d’une mission d’interception d’un navire impliqué dans le trafic international de stupéfiants, rappelle l’exigence de rigueur du métier du marin et le risque inhérent au métier des armes, mais aussi la noblesse de l’engagement militaire fait de don de soi, de sacrifice suprême. Ces héros ont incarné jusqu’au bout les valeurs cardinales professées par les devises des Armées « On nous tue, on ne nous déshonore pas », et de la Marine nationale « En mer, pour la patrie » a déclaré le président Macky Sall lors de son discours en marge de l’inauguration du patrouilleur le « NIANI ».

Pour rappel, ces cinq commandos appartenant à la marine sénégalaise ont été portés disparus suite à une intervention anti-trafic de stupéfiants, menée vendredi 05 janvier dernier au Large de Dakar.

Lansana Gagny Sakho : « PASTEF n’a Jamais demandé à qui ce que soit d’être son Plan B »

Lansana Gagny Sakho : « PASTEF
Lansana Gagny Sakho : « PASTEF

Lansana Gagny Sakho, membre de PASTEF, a tenu à préciser sur X que le parti n’a jamais sollicité quiconque pour être son PLAN B.

« Les choix de PROS ont été faits sur la base de convergence sur un certain nombre de points mais également une probité irréprochable », explique Lansana Gagny Sakho.

Terminus, la victoire du prisonnier (Par Mary Teuw Niane)

C’est le terminus, tout le monde descend

Fini les violations de l’État de droit, fini kumba am ndey, kumba amul ndey, fini les confusions entre institutions, entre parti et État, entre domaine public et domaine privé, entre argent public et propriété individuelle, fini l’imiscion de la famille dans les affaires publiques, finis les emprisonnements à tort et à travers, fini la spoliation foncière, etc.

Fini, jéexna, gasi, abaana et c’est tout!

Le 25 février 2024, doit définitivement marquer un tournant, le tournant de la rupture, le tournant contre les inégalités sociales, le tournant contre le bradage des intérêts nationaux, le tournant de la reconquête de notre dignité, le tournant de la confiance en soi et de l’estime de soi retrouvées, le tournant de la soif insatiable de connaissances, d’innovations et de technologies au service du bien-être des populations.

Le 25 février 2024 sera le terminus, le jour du nettoyage des bus, des car rapides, des Ndiaga Ndiaye, le jour où monteront les nouveaux conducteurs, compétents, attentionnés, humbles, élégants, propres, toujours à l’heure, droits, honnêtes, le jour du changement véritable, le jour où démarrera la transformation nationale et rien de moins.

C’est pourquoi, pas de tergiversation, pas de paresse coupable, pas de lamentations inutiles, il faut aller retirer sa carte d’électeur, le seul vrai et unique billet pour embarquer dans le nouveau véhicule Sénégal débarrassé de ses écuries d’Augias.

Le 25 février 2024, notre vote pour la patrie, notre vote pour la liberté, notre vote pour la justice, notre vote pour la vérité, notre vote pour la renaissance du Sénégal, notre vote pour la dignité, notre vote pour l’espoir mettra fin définitivement à la course folle et meurtrière du car rapide ivre, déglingué, criminel qui transporte sans assurance et sécurité le peuple sénégalais déboussolé vers un horizon sans espoir.

Il faudra aller voter, accomplir son devoir citoyen.

Il faudra dégager le pouvoir en place et tous ses acolytes.

Il ne faudra surtout pas se laisser abuser jusqu’à confondre les diables transformés en père Noël, les sorcières devenues de douces donneuses de leçons, les anges de la mort revêtus de majestueuses tuniques d’apparat avec les anges de la rédemption.

Le vote devra être utile ! Il faudra aller directement au but !

Nous devons viser la victoire au premier tour car toute minute supplémentaire donnée à ce régime se traduira par des souffrances inutiles pour notre peuple. Les Sénégalais ont assez soufferts.

Ils savent que la fin est arrivée. C’est pourquoi ils ont peur ! Ils paniquent !

Ils veulent nous transférer leur frousse !

Ils nous disent : ne votez surtout pas pour un prisonnier car il sera destitué dès son élection.

À dire vrai, ils continuent à nous prendre pour des demeurés.

En fait, ils n’ont plus le choix !

Sortir dès maintenant le candidat de la prison où il est injustement embastillé ou bien le peuple sortira de prison, dès le premier tour, le prisonnier pour le conduire directement au Palais de la République.

Alors ce sera la honte mondiale consacrée !

Ndaw gacce !

Tout l’indique, le régime et ses acolytes sont arrivés au terminus !

Jéexna, gasi, abaana !

Vidéo – «8ème jour bi Momy d€cédé sila danou fébar, changé les tristes témoignages de la fille de Diaga… »

« Ma candidature, Sonko et moi, mes décisions », Cheikh Tidiane Dièye précise

Le Dr. Cheikh Tidiane Dièye, candidat à la Présidentielle de 2024, dément formellement les informations selon lesquelles il aurait refusé de retirer sa candidature pour permettre à la coalition Yewwi Askan Wi de présenter un candidat unique. Le chef de la coalition Président Bi Ñu Begg réfute ces allégations et assure être en bonne intelligence avec PROS pour toutes les actions liées à sa candidature.

Le Dr. Cheikh Tidiane Dièye, clarifiant le prétendu retrait de sa candidature, affirme n’avoir participé à aucune réunion discutant du retrait de sa candidature ou de celle d’un autre, tel que rapporté dans la presse.

« Je suis en bonne intelligence avec mon allié Ousmane Sonko sur tous les actes posés », déclare le Dr. Dièye pour éliminer toute suspicion. Il souligne que son seul et unique objectif est la poursuite inlassable de l’intérêt général et que toutes ses décisions futures seront guidées par cet idéal, avec le drapeau du Sénégal comme boussole.

L’unique ambition du Dr. Cheikh Tidiane Dièye demeure « la défaite du candidat Amadou Ba, la chute du régime Benno Bokk Yaakaar… ».

Il est à noter que Habib Sy, Cheikh Tidiane Dièye, Déthié Fall, membres de Yewwi et proches d’Ousmane Sonko, sont également candidats à l’élection présidentielle, dont les candidatures ont été officiellement validées. S’y ajoute le détenu Bassirou Diomaye Faye, le candidat désigné par le détenu Ousmane Sonko.

Dr. Cheikh Tidiane Dièye invite la presse à se référer dorénavant à son équipe de communication pour toute information le concernant.

Guinée – Sénégal: Enjeux, compos probables…, voici les dernières infos

Déjà qualifiés pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations, le Sénégal et la Guinée s’affrontent ce mardi pour le compte de la troisième et dernière journée de la phase de groupes.

Après avoir fait tomber la Gambie et le Cameroun (3-0 et 3-1), le Sénégal défie la Guinée ce mardi à 18 heures au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro.

Grâce à ses deux victoires, le Sénégal est leader du groupe C avec 6 points, devant la Guinée (4 points), le Cameroun (1 point) et la Gambie (0 point). Déjà qualifiés pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations, les Lions de la Teranga peuvent se permettre de faire tourner face au Syli National. Toutefois, la bande à Sadio Mané doit faire attention à ne pas perdre contre la Guinée, autrement elle perdrait la première place de sa poule.

Les compositions probables de Guinée – Sénégal

Le XI probable de Kaba Diawara, le sélectionneur de la Guinée : Ibrahima Koné – Antoine Conte, Mouctar Diakhaby, Julian Jeanvier, Issiaga Sylla – Ilaix Moriba, Mory Konate – François Kamano, Aguibou Camara, José Kante – Mohamed Bayo.

Le XI probable d’Aliou Cissé, le sélectionneur du Sénégal : Edouard Mendy – Ismail Jakobs, Kalidou Koulibaly, Moussa Niakhate, Krépin Diatta – Idrissa Gueye, Abdou Diallo, Pathé Ciss – Sadio Mané, Nicolas Jackson et Iliman Ndiaye.

Cheikh Mbacké Bara Dolly : « Karim mérite ce qui lui arrive »

L’ancien président du groupe parlementaire « Liberté et Démocratie », lors de la 13e législature, Cheikh Mbacké Bara Dolly réagit suite à l’élimination du candidat du Parti démocratique sénégalais (PDS), Karim Wade, de la course présidentielle. Il jubile.

En effet, dans un entretien accordé au journal Les Échos de ce mardi 23 janvier, il estime que ce dernier mérite bien ce qui lui arrive. « L’histoire m’a donné raison. Quand on veut diriger le Sénégal, on s’investit pleinement», exulte l’ancien responsable libéral.

Évoquant les raisons de sa démission du PDS, il ne manque pas de solder ses comptes avec Wade-fils, affirmant que « c’est pour avoir conseiller à Karim de se départir de sa nationalité française que ce dernier l’a humilié lors des investitures pour les législatives 2022. »

Il explique : « Après qu’il (Karim) a été éliminé de la présidentielle de 2019, on s’est dit qu’il fallait nous projeter à la présidentielle de 2024. C’est au cours de nos discussions que je me suis permis de lui donner certains conseils pour gagner le fauteuil présidentiel. »

Cheikh Mbacké Bara Dolly précise que le premier conseil qu’il a prodigué au candidat du PDS est qu’il « renonce définitivement à sa nationalité française, et qu’il publie les preuves de sa renonciation pour que les Sénégalais puissent avoir entièrement confiance en lui et lui accordent leurs votes. »

Pour le deuxième, détaille-t-il, « connaissant mieux que lui les réalités Sénégalaises, je lui avais aussi conseillé de prendre une épouse sénégalaise pour s’ancrer davantage dans la société ; de présence une femme de la famille Sy de Tivaouane qui lui permettait d’avoir une entrée dans cette ville sainte puisque son statut de mouride lui garantissait déjà l’adhésion de Touba à son projet. »

Concernant le troisième et dernier conseil, il confie : « Enfin, je lui avais demandé de s’entraîner à parler wolof pour que cela soit une habitude au moment de la compagne électorale. »

A l’en croire, Karim Wade s’est mis dans « tous ses états, allant même jusqu’à le traiter de raciste parce qu’il lui avait demandé de renoncer à sa nationalité française. »

Mais, souligne-t-il, « ce qui m’a fait le plus mal, c’est pendant qu’on était là à mener le combat pour sa candidature, en 2019, le monsieur était peinard au Qatar, gardant jalousement sa nationalité française. »

L’ancien parlementaire retient que « la vérité, c’est que Karim Wade n’a aucune considération pour quiconque. » Il prédit que le PDS « va voler en éclats » car il doute que « certains responsables puissent pardonner à Karim Wade sa trahison ».

La date et l’heure de l’arrivée de la dépouille de Diaga enfin connues

Le décès de Diaga continue d’attrister les Sénégalais. Sur les réseaux sociaux, les hommages sur la maman de Wally Seck se s’arrêtent toujours pas.

Outre, dans l’attente de la dépouille de Diaga, Kawtef.com est en mesure de vous donner la date et l’heure d’arrivée.

Selon notre source digne de foi, le corps de Diaga sera acheminé à Dakar ce mercredi 24 janvier à 14 heures. L’enterrement et les présentations des condoléances se feront certainement le même jour ou lendemain.

Présidentielle 2024: Déthié Fall obtient le soutien d’un ancien maire…

Déthié Fall
Déthié Fall

Le président du parti républicain pour le progrès (PRP) a encore obtenu un soutien en perspective de l’élection présidentielle de 2024. Après celui de Malick Gueye, ancien parlementaire et candidat recalé, c’est au tour de l’ancien député maire Aliou Kebe, président de ANDe Dekkal Yaakaar. Ce dernier, dans une lettre d’adhésion, annonce avoir pris la décision de soutenir la candidature du Président Déthié Fall pour l’élection présidentielle du 25 février 2024. 

La décision a été prise à la suite de la rencontre tenue le dimanche 12 novembre dernier à Keur Madiabel entre le président de ANDe Dekkal Yaakaar, Aliou KEBE, ancien député maire de Keur Madiabel, et Déthié Fall, candidat retenu pour l’élection présidentielle de février prochain. 

ANDe Dekkal Yaakaar motive cette décision de porter Déthié Fall jusqu’à la magistrature par  « ses compétences, ses valeurs morales et éthiques, sa bonne conduite, son courage engagé et surtout son ambitieux programme d’un Sénégal bon à vivre et beau à voir durablement et écologiquement ».

Présidentielle 2024 : Ce que Serigne Mountakha a dit au PDS, après l’exclusion de Karim Wade

À moins de  96 heures du Magal dédié à Sokhna Mame Diarra Bousso, le ballet des hommes politiques se poursuit à Porokhane.
C’est dans ce contexte que Me Abdoulaye Wade a dépêché une forte délégation chez Serigne Mountakha Mbacké, après le rejet de la candidature de Karim Wade par le Conseil constitutionnel.
Le Secrétariat national du PDS a renouvelé son allégeance au khalife général des mourides.
Concernant la situation nationale du pays, le « Pape du Sopi » a déclaré qu’il est à l’écoute du patriarche de Darou Miname et va appliquer ses recommandations à la lettre, d’après le porte-parole de la délégation libérale.
Ce que Serigne Mountakha a dit à la délégation du PDS
Dans sa réponse, Serigne Mountakha Mbacké a réitéré qu’il est exclusivement au service de Khadim Rassoul. Le khalife a fait un beau témoignage sur Me Abdoulaye Wade avant d’adresser ses salutations à Karim Wade.
Plus de détails dans cette vidéo.

Bougane Gueye Dany sur Parrainage: « le conseil constitutionnel est un organe qui prône l’injustice »

Bougane Gueye Dany
Bougane Gueye Dany

Le collectif des 44 candidats spoliés ne digère toujours pas leur élimination de la liste définitive publiée par le conseil constitutionnel. Regroupés autour du « collectif des candidats spoliés », Ils exigent un processus électoral inclusif, équitable lors de leur conférence de presse tenue ce 21 janvier 2024 au siège de « Gueum Sa Bopp ».  

Tour à tour, les 44 candidats spoliés ainsi que quelques candidats validés ont tous manifesté leur envi de combattre fermement pour recouvrer à ce qu’ils considèrent leur droit absolu de participer à l’élection présidentielle à venir.

Le leader de « Gueum Sa Bopp » Bougane Guèye Dany s’interroge sur les fichiers électoraux. Il affirme que des fichiers électoraux traînent dans les rues. « J’ai toujours dit qu’il n’y a pas qu’un seul fichier, mais plusieurs et aujourd’hui, nous avons la confirmation qu’il (Conseil Constitutionnel) ne travaille pas avec un seul fichier, mais plusieurs, plus grave encore, des fichiers se sont retrouvés dans les rues.  Il y a des candidats qui sont passés et qui ont puisé dans ces fichiers-là. Récemment, le commissariat de Yeumbeul, a arrêté des gens sur l’affaire des parrainages et du fichier électoral. L’affaire a fini où ? » se questionne le leader « Gueum Sa Bopp ». 

Sans embuche, Bougane Guèye Dany conclut en chargeant le conseil constitutionnel : « le conseil constitutionnel est un organe qui prône l’injustice » et assure que « quand la Justice est au service de l’injustice, elle doit être combattue ».

« Nous n’allons pas accepter d’aller à des élections présidentielles sans que les 900 milles sénégalais ne soient rétablis …» (Aminata Touré)

Aminata Touré
Aminata Touré

Le réveil est brutal pour les candidats qui rêvaient de faire partie de la liste définitive publiée par le conseil constitutionnel. En conférence de presse, ce dimanche 21 janvier 2024 au siège de « Gueum Sa Bopp », les candidats éliminés regroupés autour du « collectif des candidats spoliés » ont tous contesté tour à tour la décision de la plus haute juridiction du pays.

Sans passer par quatre chemins, les candidats qui se disent spoliés ont tous jeté leur dévolu sur le conseil constitutionnel et Aminata Touré, l’une des candidates éliminées, n’a pas dérogé à la règle. « Ce qui s’est passé dans la plus haute juridiction du pays est un scandale accompagné de mensonge » s’indigne l’ancienne Première Ministre. Poursuivant son propos avec un ton cru, la leader de la coalition Mimi 2024 est convaincue que « le contrôle des parrainages est totalement biaisé ». 

Pour elle, le fait que des milliers d’électeurs soient absents dans le fichier pourrait provoquer une élection présidentielle très mouvementée. « Nous n’allons pas accepter d’aller à des élections présidentielles sans que les 900 milles sénégalais ne soient rétablis dans les fiches électorales, sinon il n’y aura pas d’élections paisibles dans ce pays », avance Aminata Touré. 

Contrôle des parrainages : Aly Ngouille Ndiaye démonte les arguments du Conseil Constitutionnel

Aly Ngouille Ndiaye
Aly Ngouille Ndiaye

Suite à la publication par le Conseil constitutionnel de la liste définitive des candidats qui doivent concourir à la magistrature suprême le 25 février prochain, les candidats éliminés, regroupés autour du « collectif des candidats spoliés » ont tenu une conférence de presse ce 21 janvier au siège de « Gueum Sa Bopp » pour contester la décision de cette haute juridiction. 

Et le moins que l’on puisse dire, ils n’ont toujours pas avalé la pilule de leur élimination actée définitivement par le Conseil constitutionnel.

Ils étaient très nombreux à être présents au siège de « Gueum Sa Bopp » pour contester et mettre les points sur les « I » concernant leur élimination à l’élection présidentielle à venir. Cheikh Barra Dolli Mbacké, Aminata Touré, Cheikh Bamba Dieye,  Bougane Gueye Dani, Cheikh Tidiane Gadio, Aly Ngouille Ndiaye, Dr Abdourahmane Diouf, Mamadou Diop Decroix pour ne citer qu’eux, ont jeté leur dévolu et dit leurs quatre vérités au Conseil Constitutionnel. Parmi ce parterre de candidats éliminés, quelques candidats validés ont répondu présent. 

Prenant la parole, Aly Ngouille Ndiaye, un des rares candidats retenus et ancien ministre de l’Intérieur, n’a pas mis de gang pour démonter les arguments du conseil constitutionnel. Selon l’ancien ministre de l’Intérieur, « la décision du conseil constitutionnel se basant sur le considérant 35 pour invalider certaines candidatures, à mon avis, leurs explications les ont plus enfoncées ». Basant son argumentaire sur son expérience en tant qu’ancien ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye assure que la plus haute juridiction s’est basée sur des faits qui ne sont pas conformes au consensus que tous les acteurs politiques s’étaient mis d’accord lors des élections législatives en 2022. 

Égalité entre les candidats : Les avocats de Diomaye Faye entament les démarches pour sa libération

Bassirou Diomaye Diakhar Faye a été officiellement déclaré candidat à l’élection présidentielle, suite à la publication de la liste définitive par le Conseil Constitutionnel. Ancien secrétaire général du parti Pastef, aujourd’hui dissous, il est actuellement en détention depuis environ neuf mois. Cette situation pose des questions quant à sa capacité à mener une campagne électorale effective.

Les avocats de Diomaye, dirigés par Me Ciré Clédor Ly, ont déposé une requête pour obtenir sa liberté provisoire. Selon le média Bès Bi, cette demande est fondée sur une « rupture d’égalité entre candidats ». Cette démarche juridique vise à permettre à Bassirou Diomaye de participer pleinement à la campagne électorale et de solliciter le vote des citoyens.

Le sort de cette demande de liberté provisoire est actuellement entre les mains du juge d’instruction en charge du dossier de Faye. La situation rappelle celle de Khalifa Sall en 2017, qui avait été emprisonné avant les élections Législatives de la même année.

La décision du juge d’instruction est attendue, elle déterminera si Faye pourra mener sa campagne en liberté ou s’il restera en détention pendant la période électorale.

Détention Cheikh O. Diagne et Abdou Karim Gueye : « L’Etat sera tenu responsable… », prévient le parti RV

Cheikh O. Diagne et Abdou Karim Gueye
Cheikh O. Diagne et Abdou Karim Gueye

Le Parti Rassemblement pour la Vérité du professeur Cheikh Oumar Diagne dénonce le maintien en prison de son leader, mais aussi de l’activiste Abdou Karim Gueye. Dans un communiqué parvenu à Senego, ils préviennent l’Etat du Sénégal de tout ce qui arrivera à ces deux leaders d’opinion.

Voici l’intégralité du communiqué :

Suite à la saisine de la chambre d’accusation, effectuée par Maître Moussa SARR, conseil des sieurs Cheikh Oumar DIAGNE et Abdou Karim GUEYE, sur la nécessité de mise en liberté d’office des deux inculpés en vertu de l’article 187 alinéa 2 du code de procédure pénale, le Rassemblement pour la vérité/ And Ci Degg avait saisi plusieurs organisations et mouvements de défense des droits humains à titre
d’information.
Conscients de leur mission et affectés par cette situation déshumanisante, ces derniers ont communiqué, par correspondance et par voie de presse, sur la détention arbitraire avec son corollaire de violation des droits humains au Sénégal.

Cette réactivité témoigne à suffisance que la violation des droits humains des sieurs Cheikh Oumar DIAGNE et Abdou Karim GUEYE est évidemment établie.

Dans un Etat de droit, l’Etat a l’obligation d’appliquer et de faire respecter les lois qui garantissent une société juste et

Équitable où les droits de tous les citoyens sont respectés par tous.
Malheureusement, nous observons tout le contraire au Sénégal.

Cette violation des droits humains constitue un précédent dangereux, surtout venant de la part des autorités qui sont censées dire le droit et rétablir la justice. Juridiquement rien ne justifie, à ce jour, la détention des deux inculpés susnommés en prison. Les autorités judiciaires doivent immédiatement agir pour leur libération afin de restituer réellement au Sénégal son statut d’Etat de droit.

Le Rassemblement pour la Vérité/And Ci Degg tiendra pour responsable l’Etat du Sénégal, devant l’opinion nationale et internationale, de tout ce qui arrivera à son secrétaire général, Monsieur Cheikh Oumar DIAGNE, et à Monsieur Abdou Karim GUEYE pendant leur détention illégale et arbitraire.

Nous exigeons que le droit soit appliqué, rien que le droit

Le secrétariat exécutif national

Tenue élection: « Notre premier défis est celui de la préservation de la paix et de la sécurité… »,(Amadou Ba)

« Le 25 février, le combat aura bien lieu« , a assuré Amadou Ba qui répondait à ses détracteurs sur un éventuel report de la Présidentielle. Le candidat de la mouvance s’exprimait, ce samedi 20 janvier, lors de son investiture par l’Union des Centristes du Sénégal (UCS), dirigée par Abdoulaye Baldé.

« Nous avons la responsabilité historique de poursuivre, de consolider, de renforcer et d’accélérer…« , a soutenu Amadou Ba. Une « responsabilité » qu’il compte assumer avec « Abdoulaye Baldé et l’Ucs, Bby, et tous les républicains patriotes dans le pays. Ensemble, nous allons poursuivre la construction jamais accédée du Sénégal… »

« Grace à la vision du Président Macky Sall, nous avons de solides fondations. Il faut avouer qu’il a bien renforcé les fondations… il faut aussi admettre que nous avons toujours été avec lui, pour qu’ensemble, on puisse faire quelque chose. Ce travail sera poursuivi, accéléré, renforcé…« , a promis Amadou Ba.

Le candidat de la Coalition Bby en a profité pour s’en prendre à l’opposition. « Nous ne devons pas accepter, pour des intérêts matériels, ou pour tes intérêts personnels, qu’on installe le chaos… Et notre premier défis est celui de la préservation de la paix et de la sécurité. Le 25 février, le combat aura bien lieu. Nous irons aux élections… Nous, à notre niveau, sommes prêts…« , prévient le premier ministre.

Vidéo – D*£cés Diaga: Sokhna Aida inconsolable« dafa wadial bop am,dimanche lagn moudie déganté dadon taggo

Les heureux gagnants du Sénégal se partagent 2,8 millions de francs CFA ! 1xBet félicite les gagnants de la promo “Golden Season”

Le meilleur site de paris sportifs en Afrique 1xBet a le plaisir d’annoncer les sept heureux gagnants des prix généreux de la promotion “Golden Season” au Sénégal.

Les vainqueurs de la promo ont empoché des prix agréables en espèces pour leur activité sur le site. Trois gagnants ont été récompensés par 121 050 francs CFA, deux participants ont reçu 302 650 francs CFA, un gagnant a remporté 605 250 francs CFA et le dernier chanceux a obtenu un chèque de 1 210 450 francs CFA.

Dans le cadre de la promotion “Golden Season”, chaque mise de 2 dollars ou plus permettait à un participant d’obtenir des tickets spéciaux, augmentant ainsi ses chances de gagner lors du tirage au sort. Les sept gagnants ont démontré que la participation aux promotions 1xBet n’est pas seulement une expérience amusante, mais aussi une chance de gagner gros.

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Révélations sur de possibles mensonges de Karim Wade concernant sa double nationalité

Karim Wade, impliqué dans la politique sénégalaise et fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a présenté des incohérences concernant sa nationalité française. Selon des informations récentes, il semble que des déclarations antérieures sur sa renonciation à la nationalité française ne soient pas conformes à la réalité des faits.

En 2019, Karim Wade était candidat à l’élection présidentielle sénégalaise. Pour se conformer aux exigences de la législation sénégalaise, il aurait dû renoncer à sa double nationalité avant cette candidature. Cependant, des informations révélées par les médias indiquent que la procédure de renonciation à sa nationalité française n’a été initiée qu’en octobre 2023. Ceci suggère que sa candidature en 2019 aurait pu être non conforme aux critères d’éligibilité, du fait de la conservation de sa nationalité française à cette époque.

Le journal Les Echos rapporte que la demande de renonciation à la nationalité française a été déposée par Karim Wade le 26 octobre 2023. Cette information contredit les affirmations antérieures selon lesquelles il aurait entamé cette procédure avant l’élection de 2019.

En outre, il est à noter que le décret confirmant la perte de la nationalité française de Karim Wade n’a été émis que le 16 janvier 2024. Ce fait confirme que jusqu’à cette date, il était toujours citoyen français.

Les informations sur le renouvellement de son passeport français en août 2020, obtenues par le journal Le Quotidien, renforcent ces incohérences. il est confirmé que Karim Wade possédait toujours la nationalité française en août 2020, en se basant sur le renouvellement de son passeport effectué à l’ambassade de France à Doha. Le numéro de ce passeport est le 20DF83. De plus, il est inscrit sur la liste électorale de la commune de Versailles en France, avec une attestation portant le numéro 160275. Son lieu de vote est l’école primaire de Bange à Versailles.

Ces informations révèlent des incohérences entre les affirmations de Karim Wade et les faits avérés au sujet de sa nationalité, soulevant ainsi des interrogations quant à la légitimité de sa candidature à la présidentielle sénégalaise même en 2019. Sa candidature avait été rejetée pour d’autres motifs : il avait été reconnu coupable d’enrichissement illicite par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), et condamné à six ans d’emprisonnement ferme ainsi qu’à une amende de plus de 138 milliards de Francs CFA, d’après le verdict prononcé le lundi 23 mars par le président de la CREI.

« Plan B » de Sonko : La réponse de Boubacar Camara…

« Je suis le plan A du Sénégal…« , a fait savoir Boubacar Camara. Le candidat à la présidentielle de 2024, face à la presse ce dimanche, a mis fin à la polémique selon laquelle il serait le plan B de Sonko.

« Je ne suis le plan B de personne, je suis le plan A du Sénégal…« , a précisé Boubacar Camara.

Qui poursuit : « Le Plan B est un candidat désigné par surprise. Depuis des années, je travaille sur un programme. J’ai démissionné de l’Inspection générale d’Etat (IGE), de l’ensemble des postes avant de créer un Parti. J’ai produit un livre programme. Mon parti compte un collectif des cadres qui regroupe 250 membres… Donc, je ne peut être le plan B de personne…« , a précisé Boubacar Camara.

Can 2023: Découvrez les potentiels adversaires du Sénégal en 8es de finale

Le Sénégal, champion d’Afrique en titre, a décroché son ticket pour les 8es de finale vendredi dernier après sa victoire sur le Cameroun (3-1). Un succès qui place les hommes de Aliou Cissé à la 1ère place du groupe C (6pts) après la 2e journée. Demain mardi, ils affronteront la Guinée, 2e du groupe (4pts).

Les Lions connaissent déjà leurs potentiels adversaires en 8es de finale. Mais l’affiche Guinée-Sénégal sera déterminante.

En cas de victoire ou de nul contre la Guinée, le Sénégal garde la 1ere place et affrontera le meilleur troisième entre les poules A/B/F.

En cas de défaite, le Sénégal passe 2e et croisera le 2e du groupe A (CIV, ou Nigeria ou Guinée Équatoriale), renseigne le journaliste Babacar Ndaw Faye.

Barthélémy Dias: “J’ai décidé de ne plus manger de riz”

En marge la cérémonie d’inauguration du centre municipal d’hemodialyse baptisé Khalifa Ababacar Sall

le maire de la Ville de Dakar, Barthélémy Dias a jugé important, qu’à côté de la mise en place d’infrastructures sanitaires pour la prise en charge curative, d’assurer un programme de prévention contre certaines pathologies comme l’insuffisance rénale.

En renforçant notamment la sensibilisation contre les facteurs à risques de cette maladie non transmissible qui gagne de plus en plus de terrain au Sénégal.

M. Dias invite les populations à mieux prendre soin de leur santé notamment en améliorant leur hygiène de vie. Cela commence, estime-t-il, par une bonne alimentation, la pratique régulière du sport et la lutte contre le stress.

« Depuis quelque temps, j’ai décidé de ne plus manger de riz parce que le riz est une des bases du diabète, à la place, j’ai décidé de manger du fonio. Il parait que c’est l’aliment des pauvres, mais les pauvres ils vivent longtemps », a-t-il déclaré sur une note d’humour.

« Donc, ceux qui veulent se comporter comme les riches, ils ont le choix. En tous cas, le fonio coûte moins cher que le riz », fait savoir l’édile de la ville de Dakar qui a réhabilité le centre d’hémodialyse sis à Liberté 6.

El Malick Ndiaye peste contre les six sages du CC et exige la libération de Diomaye Faye

Le secrétaire national à la communication de l’ex-Pastef, El Malick Ndiaye, ne finit pas de ruminer sa colère sur la décision des membres du Conseil constitutionnel d’écarter son leader Ousmane Sonko.

« Choisir un dossier de diffamation (imaginaire), entre deux acteurs politiques, pour éliminer le président Ousmane Sonko, s’inscrit dans votre ferme volonté de tourner le dos au vaillant peuple sénégalais. l’histoire vous jugera », peste El Malick Ndiaye.

Pour ce dernier, « l’histoire retiendra qu’en 2024, dans un pays qui fut une vitrine démocratique, sept magistrats ont confisqué la volonté populaire en écartant le chef de l’opposition, candidat favori de la course présidentielle pour un simple lapsus : avoir dit IGE à la place de IGF, car personne ne nie l’existence du rapport. Un motif aussi léger… Une condamnation à six mois avec sursis pour un lapsus ».

Il exige, par ailleurs, la libération de Diomaye Faye. « Maintenant, pour l’égalité des chances entre candidats, le président Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition véritable et de la rupture, doit être immédiatement libéré. Diomaye mooy Sonko ! », clame El Malick Ndiaye.

Bassirou Diomaye Faye : Les 4 jalons de Juan Branco pour exiger sa libération

Le Conseil constitutionnel acte la candidature de Bassirou Diomaye Faye, entre autres 19 candidats. Et l’avocat Juan Branco, au sein de nombreuses voix, exige sa libération immédiate pour battre campagne.

Bassirou Diomaye Faye est désormais candidat à la Présidentielle de février 2024. Une candidature portée par la coalition Bassirou Président 2024.

Le principe d’un jeu loyal et équitable entre majorité et opposition stipulé dans la constitution, selon ses partisans, dicterait la libération immédiate de Bassirou Diomaye Faye.

Me Branco, par ailleurs avocat de Ousmane Sonko, parmi eux, sur X, appelle d’abord à une « mobilisation juridique pour faire libérer Bassirou et contrôler les institutions », ensuite « une mobilisation partisane pour défendre sa candidature, une mobilisation électorale et une mobilisation citoyenne… »

La sèche réponse de Khafor Touré aux partisans du report

« Le processus électoral est irréversible… » !

Même si la remobilisation des troupes dans le département de Guédiawaye a sonné depuis un an, Abdou KhaforTouré croit fermement qu’il faut un travail de terrain pour redynamiser les instances et remporter ainsi la présidentielle du 25 février prochainEt le patron de la CGIS ne manquera pas, sans entrer dans une polémique, de barrer la route du report de la présidentielle. Car, à ses yeux, « le processus électoral est irréversible… ».

Dans le cadre des préparatifs pour la présidentielle, militants, amis et sympathisants d’Abdou Khafor Touré, ont tenu, samedi dernier, une Assemblée générale. Une occasion pour le Dg de la CGIS de leur livrer le mot d’ordre. Au milieu du vacarme, des chants et autres liesses en vigueur dans la salle, le Dg de la CGIS devra, supplier ses partisans, pourpoursuivre son argumentaire, insistant davantage sur la nécessité de se concerter pour la victoire. « Ce ne sera pas facile. Mais, il faut travailler ! Je lance un appel à tous les responsables de travailler dans l’unité même si ceux de Wakhinane Nimzatt sont connus pour leur solidarité, leur responsabilité, leur générosité. Si on veut gagner, on doit travailler dans l’unité et les Sénégalais éliront le meilleur candidat. L’ambition est d’aller vers un grand rassemblement, massifier davantage, pour l’avenir de la commune. Pour ce faire, il faut que dès la prochaine, nous mettions en mouvement les différentes parties qui composent la coalition pour la victoire de notre candidat, Amadou Ba, qui a le meilleur profil et qui dispose de plus d’expérience. »

Par ailleurs, Abdou Khafor Touré profitera de l’occasion pour appeler au respect du calendrier républicain, afin de tenir les échéances électorales à date échue. Non sans dire ses quatre vérités à ceux qui demandent le report de la présidentielle : « Des candidats qui passent tout leur temps à insulter Macky Sall sont revenus lui demander à travers une lettre de reporter l’élection. C’est insensé ! Il n’y pas de secret, il faut travailler pour participer à cette élection. Le processus électoral est irréversible. D’ailleurs, ce n’est pas dans l’intérêt du Sénégal qu’ils demandent le report de la présidentielle, mais dans leur intérêt propre. C’est pourquoi, je leur demande d’aller se préparer à nouveau », lancera-t-il.

La réponse ferme de Birahim Seck à El Malick Ndiaye : « C’est plutôt la politique politicienne.. »

Le 20 janvier, le Conseil constitutionnel a rendu publique la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, excluant l’opposant emprisonné Ousmane Sonko. Cette décision découle de sa condamnation à 6 mois de prison avec sursis dans l’affaire du Prodac l’opposant à Mame Mbaye Niang, ministre actuel du Tourisme.

Réagissant à cette exclusion, le secrétariat national de l’ex-Pastef, par le biais de son chargé de communication El Malick Ndiaye, a émis un communiqué qualifiant cela de « précédent dangereux » dans l’histoire politique du Sénégal. En réponse, Birahim Seck, coordinateur du Forum civil, a souligné que c’est « plutôt la politique politicienne qui a projeté le Sénégal dans cet abîme ».

Dans son message, Birahim Seck a déclaré : « Monsieur El Malick Ndiaye, c’est plutôt la politique politicienne qui a projeté le Sénégal dans cet abîme, de l’indépendance à nos jours. Le Sénégal mérite de se construire dans la vérité. Il n’y a rien d’incompréhensible dans le fait de demander que la Constitution soit respectée ».