Le président de la République, Macky Sall s’est rendu chez la famille du défunt Tambour-major, Doudou N’diaye Coumba Rose, pour présenter ses condoléances à la famille du disparu. A cette occasion, la voix de la famille du célèbre percussionniste s’est élevée pour rappeler au président de la République le souhait du disparu. C’est le fils aîné de Doudou N’diaye Rose, Thiouna Ndiaye qui a invité le chef de l’Etat à aider la famille pour la construction d’une école de percussion, comme l’avait souhaité le défunt de son vivant. « Mon père avait souhaité voir son école de percussion être érigée un jour au Sénégal. Mais, son rêve ne s’est pas réalisé. Pour pérenniser l’œuvre de notre regretté père, nous vous tendons la main. Aucun pays ne peut se développer sans la Culture », estimera Thiouna N’diaye.
Le fils aîné du disparu a demandé au chef de l’Etat de penser à la famille de feu Doudou N’diaye Rose. « Nous sommes les piliers du monument, parce que mon père était un monument. Aujourd’hui, nous avons perdu notre père, notre ami, un grand homme. Dieu nous l’a repris, nous l’acceptons avec beaucoup de tristesse. C’est une perte immense! Il nous a inculqués une bonne éducation et il a beaucoup fait pour nous», a déclaré le fils de Doudou N’diaye Rose. Ce dernier a fait savoir que son père, avant sa mort, avait à maintes reprises écrit des lettres à Macky Sall. « Nous demandons audience au président », sollicitera le porte parole de la famille de Doudou N’diaye Rose.
Le basketteur Mouhamed Faye a été définitivement exclu de l’Afrobasket 2015, décision prise par la fédération sénégalaise de basket suite aux propos qu’il a tenus hier contre le coach Cheikh Sarr. Il va ainsi rentrer sur Dakar.
En prenant la parole chez M’baye Dièye Faye, le chanteur et ministre-conseiller Youssou N’dour a tenu à remercier le président Macky Sall de s’être déplacé pour présenter ses condoléances. Après les remerciements, Youssou N’dour a déclaré : « je le dis et je le répète, celui qui veut avoir accès au président Macky Sall passe par moi. Je suis très touché et très honoré par cet acte que tu as fait aussi à mon endroit, car je suis très proche de la famille de M’baye Dièye Faye. Alors sachez, monsieur le Président, que je vous renouvelle ma confiance et ma loyauté à vous accompagner dans toutes vos entreprises. Je suis à vos côtés et j’y reste! » Témoignant sur son ami de percussionniste, le leader de Super Étoile déclare : » M’baye Dièye est mon ami depuis qu’on a 8 ans. Je le connais comme je me connais moi-même. C’est mon ami intime et je vous le dis ici monsieur le président, M’baye Dièye vous aime et vous soutient. Il œuvre pour les valeurs que vous incarnez. C’est une personne digne et honnête qui sait défendre ses idées. » Youssou N’dour a terminé en présentant ses condoléances à la famille éplorée…
Lors de la visite du président de la République au domicile de feu Doudou N’diaye Rose, on en était encore à supputer sur le projet de construction d’une école de percussion, comme l’avait souhaité le défunt, de son vivant. Moment choisi par le célèbre communicateur traditionnel, Khadim Samb, qui a bondi en hurlant et en levant les bras. La voix de l’animateur de Caxabaal sur la RTS1 s’est élevée pour, dit-il, « apporter quelques précisions ». « Doudou N’diaye Rose avait bel et bien été bénéficiaire d’un terrain contrairement à ce que veulent faire valoir certains. Mais l’ancien régime avait fait main basse sur le terrain de Doudou N’diaye Rose, pour des questions partisanes. C’est pour vous dire que Doudou N’diaye Rose n’était pas du côté de l’ancien régime. Il faut que ce soit clair! », a déclaré le communicateur traditionnel, devant le Chef de l’Etat. Si l’on en croit Khadim Samb, le maître Tambour-major avait acquis, de son vivant, un financement de l’Etat japonais et un terrain où devait être érigée son école de percussion. Le projet du défunt avait buté, selon lui, sur un obstacle « purement politique »…
Nos confrère de Xibaaru avait prédit le départ de Djibo vers les prairies marron-beige de Macky Sall…Et 72h plus tard, le patron de l’URD (Union pour le Renouveau Démocratique) faisait ses adieux à l’opposition avec dédain. Et cette fois-ci, xibaaru revient avec le nouveau gouvernement de Macky Sall. Notre ARI très bien introduit nous a fait parvenir une liste du nouveau gouvernement que Macky compte mettre en place dès cette rentrée. Un gouvernement avec des surprises de taille. L’entrée en scène de plusieurs ténors de l’opposition et surtout des libéraux dont les départs étaient chuchotés : Ousmane Ngom, Modou Diagne dit Fada, Serigne Mbacké Ndiaye. Il y a aussi le retour d’un doyen comme Serigne Diop, l’ancien médiateur et l’arrivée de Sory Fantamady Kaba, Diégane Sène et son leader Djibo Leyti Ka. Et un seul départ a été noté, celui de Sidiki Kaba. Mais les surprises ne manquent pas avec l’éclatement de plusieurs ministères et la montée en grade du beau-frère de Macky qui devient ministre d’Etat, la chute de Abdoulaye Daouda Diallo…Et tout ceci en exclusivité sur 51.254.129.182
Nouveau gouvernement du Sénégal, le brouillon de Macky -Monsieur Mahammed Boun Abdallah DIONNE, Premier Ministre. -Monsieur Djibo Leyti KA, Ministre d’Etat, Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Supérieur. -Monsieur Ousmane NGOM, Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de l’Administration Territoriale. -Monsieur Serigne DIOP, Ministre d’Etat, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice. -Madame Awa Marie Coll SECK Ministre d’Etat, Ministre de la Santé et de l’Action sociale. -Monsieur Modou DIAGNE, Ministre d’Etat, Ministre du Tourisme. -Monsieur Mankeur NDIAYE, Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur. -Monsieur Amadou BA, Ministre d’Etat, Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan. -Monsieur Augustin TINE, Ministre d’Etat, Ministre des Forces armées. -Monsieur Abdoulaye Daouda DIALLO, Ministre d’Etat chargé de la Sécurité Publique. -Monsieur Papa Abdoulaye SECK, Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement Rural. -Madame Mariama SARR, Ministre d’Etat, Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance. -Monsieur Mansour FAYE, Ministre d’Etat, Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement. -Monsieur Mbagnick NDIAYE, Ministre d’Etat, Ministre de la Culture.
A suivre demain : le gouvernement complet de Macky Sall…Les plus grosses surprises…
Le jeune artiste Sidy Diallo a rendu l’âme, ce samedi 22 août à l’âge de 27 ans, a appris Actusen.com. Il a été lauréat du prix de l’organisation internationale de la francophonie, lors de la onzième Biennale de l’art africain contemporain Dak’Art Biennale 2014. Actusen.com présente à sa famille éplorée toutes ses condoléances.
Drame à la plage de Cambérène 1 ! Le corps sans vie d’un jeune vient d’y être découvert, il y a quelques minutes, précisément vers les coups de 14h40, ce 23 août 2015, a constaté le reporter de Actusen.com.
Les sapeurs pompiers, qui se sont transportés sur les lieux, ont récupéré le corps, qui avait commencé à se retrouver dans un état en voie de putréfaction. Mais pour beaucoup, le jeune, âgé d’à peine 25 ans, se serait, peut-être noyé, ailleurs, avant d’atterrir à la plage de Cambérène 1.
Dans tous les cas, il y a nécessité de faire davantage preuve de prudence de la part des compatriotes, qui, en cette période de vacances, adorent fréquenter la mer.
Encore Me Amadou Sall serait-on tenté de dire ! Dans son speech tenu à leur meeting de ce vendredi sur la place de l’obélisque, l’avocat, membre du pool des défenseurs de Karim Wade, a encore tiré à bout portant sur le Président de la République. Lisez la vidéo !
« Je me mets à pleurer au milieu de la journée ». C’est en ces termes que le président américain Barack Obama a expliqué son état d’esprit actuel. Et la raison de ces accès de tristesse n’est aucunement liée à sa fonction présidentielle…
Barack Obama a une nouvelle fois fait preuve de son humour. Lors d’un petit-déjeuner de prières mardi 7 avril, le président américain a confié qu’il pleurait plusieurs fois par jour.
Et les larmes de Barack Obama ne sont pas liées à son rôle de président mais à celui de père. Il a, en effet, confié ne pas supporter la perspective de voir ses deux filles grandir et quitter le nid familial pour leurs études universitaires.
« Pourquoi suis-je si triste ? »
« Je me mets à pleurer au milieu de la journée et je ne peux pas expliquer pourquoi. Pourquoi suis-je si triste ? », a-t-il expliqué, des sanglots dans la voix, mais non sans second degré.
Barack Obama a ainsi demandé à l’assistance, hilare, de l’aider à traverser cette épreuve. « Je veux remercier tout le monde pour vos prières, qui signifient tant pour moi et Michelle. Particulièrement à un moment où les filles commencent à grandir et à aller visiter des campus universitaires », a souligné le président américain.
Barack et Michelle Obama sont parents de deux filles, Malia âgée de 16 ans et Sasha qui aura 14 ans en juin.
Ce sont des chiffres qui en disent long sur la situation sanitaire des pays en voie de développement et sur leur législation en termes d’avortement.
Dans une étude publiée ce 19 août dans An International Journal of Obstetrics & Gynaecology, des chercheurs américains se sont penchés sur le nombre d’hospitalisations et de complications liées à des avortements clandestins à risque.
Ils se sont focalisés sur 26 pays en voie de développement, en Afrique, en Amérique latine, en Asie et en Océanie.
Menée par l’institut Guttmacher (Etats-Unis), l’étude révèle qu’environ 7 millions de femmes ont été prises en charge dans des centres de soins de ces pays pour des complications liées à un avortement à risque. Et d’après les données obtenues, de nombreuses femmes ne sont même pas soignées, faute de système de soins suffisant. Ainsi, au Pakistan, sur 1 000 avortements, seules 14,6% de femmes reçoivent les soins qu’elles nécessitent. Au Brésil, ce chiffre tombe même à 2,4%.
« 22 millions d’avortement risqués sont pratiqués chaque année, entrainant la mort de 22 000 femmes. Cette étude est la preuve qu’il y a encore trop de femmes qui souffrent de complications dues à un avortement risqué et se retrouvent avec des séquelles physiques et psychologiques à vie », a commenté le Dr Susheela Singh, auteure principale de l’étude. « Ces statistiques ne reflètent qu’une partie du problème, de nombreuses femmes nécessitant des soins n’ayant pas accès aux centres médicaux et n’étant pas inclus dans les statistiques », a-t-elle tenu à préciser.
Pour les auteurs, offrir de meilleurs soins médicaux, notamment en facilitant l’accès aux plannings familiaux, à la contraception ou à l’avortement légal aurait des bénéfices considérables pour les femmes de ces pays en voie de développement. De plus, de telles mesures éviteraient la prise en charge en urgence des femmes ayant avorté clandestinement et touchées par de graves complications. Cette prise en charge coûterait chaque année 232 millions de dollars, selon les conclusions de l’étude.
A l’échelle mondiale, les dernières études scientifiques précisent que 8 à 18% des décès de femmes enceintes sont dus à des avortements clandestins.
En allant présenter les condoléances de l’Etat du Sénégal à la famille de Vieux Sing Faye rappelé à Dieu durant la semaine, le président de la République Macky Sall, accompagné de son envoyée spéciale Mimi Touré et de son ministre conseiller Youssou N’dour, a tenu à faire quelques témoignages. Selon le président Sall, Vieux Sing Faye a été un exemple en matière d’amitié fidèle, de gentillesse mais aussi de grandeur. Il a aussi témoigné sa reconnaissance à M’baye Dièye Faye à qui il dit : » j’ai beaucoup de respect pour toi et pour l’amour et le respect que tu me portes. A chaque fois qu’on se voit, même si tu es occupé, tu t’arranges toujours pour venir me montrer à quel point tu me respectes et que tu m’apprécies. Je te remercie pour ça, car je sais que tu es une bonne personne et que tu as reçu une bonne éducation ». Avant de terminer, le président Macky Sall a présenté ses condoléances à la famille de Vieux Sing, avant de prier pour le repos de son âme…
La directrice générale du MCC (Millenium challenge corporation), Dana Hyde, a souligné, samedi à Richard-Toll (Nord), la nécessité pour le gouvernement du Sénégal d’investir dans l’entretien routier après la clôture du programme MCC afin de permettre aux populations de continuer à profiter de ses retombées.
‘’Le travail ne s’arrêt pas à (l’inauguration de la nationale 2). Le gouvernement du Sénégal devra investir dans l’entretien routier après la clôture du compact de MCC afin de s’assurer que les gens puissent continuer à profiter des retombées du projet’’, a-t-elle notamment déclaré lors de la cérémonie d’inauguration de cette route.
La construction du tronçon de 122 kilomètres reliant Richard-Toll à la ville de Ndioum a été entièrement financée par le contribuable américain à hauteur de 30 milliards de francs à travers le programme MCA.
‘’Il est claire que la réhabilitation de la RN 2 affiche déjà un impact positif pour les populations. Nous espérons que la vie de beaucoup de personnes changera pour le mieux dans les mois et années à venir’’, a-t-elle indiqué.
‘’Cette route, maintenant plus grande et plus résistante, jouera un rôle crucial dans le Plan Sénégal émergent (PSE), le plan ambitieux de croissance économique du gouvernement du Sénégal’’, a fait valoir la directrice de MCC.
Pour l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique au Sénégal, l’impact de cette route est évident pour tous les usagers de la région. ‘’La vallée du fleuve Sénégal est une région fertile, dynamique, et la RN2 est un moyen essentiel de relier les fermiers, les marchands et les commerçants qui se déplacent sur Dakar et les pays voisins’’, a fait valoir le diplomate. Le Premier ministre, Mahammed Boun Aballah Dionne, a pour sa part magnifié l’exemple de la coopération entre le Sénégal et les Etats-Unis d’Amérique, témoignant à ce propos toute la reconnaissance du peuple et du gouvernement sénégalais au peuple américain dont l’argent a permis la réalisation d’un tel projet.
‘’C’est une réalisation importante qui permettra de stimuler les potentiels agro-industriels de tout le long des localités qu’elle traverse et facilitera le transport des produits agricoles et des personnes’’, a-t-il souligné. Le Premier ministre a en outre invité les populations à œuvrer à la préservation de cette infrastructure vitale dans le développement socio économique de la zone.
Dans la maison Canal depuis 2013 (Foot+ et Canal+ Sport), Habib Beye se voit récompenser cette saison de ses performances à l’antenne et intègre dès ce dimanche soir (19h10) l’équipe du prestigieux Canal Football Club sur Canal+. Entretien avec l’ancien capitaine de l’OM qui n’a pas perdu son franc-parler.
Vous êtes l’unique recrue du Canal Football Club de ce mercato télé. C’est une belle marque de confiance… Une immense marque de confiance ! Surtout après deux petites années dans ce nouveau métier de consultant. Pour être très honnête, je ne m’y attendais pas, c’est une belle surprise… Même si je sentais qu’on me donnait de plus en plus de responsabilités sur les matches (il a notamment commenté la CAN 2015 et des rencontres de Premier League et de L1 la saison dernière, NDLR) et les émissions du groupe.Le CFC faisait-il partie de vos rendez-vous incontournables en tant que téléspectateur ? Bien sûr ! Le CFC, c’est une institution ! Et je ne dis pas cela parce que j’intègre l’équipe et que je travaille pour Canal. Même si j’ai déjà participé aux Spécialistes (Canal+ Sport), là on entre dans une autre dimension en terme de visibilité… On m’a prévenu que cela allait changer mais je suis prêt.
« Je ne suis pas là pour me faire des amis »
Justement, ce dimanche soir certains téléspectateurs vont vous découvrir en plateau. Quel type de consultant êtes-vous ? Je pense avoir un avis vraiment tranché sur les questions qu’on peut me poser. Je ne suis pas là pour me faire des amis donc je n’essaye pas de brosser les joueurs et les entraîneurs dans le sens du poil. Cependant, ce n’est que mon opinion, ma vision du football et j’ai conscience de ne pas avoir la science infuse. Mais surtout je ne critique jamais sans argumenter !C’est une volonté qui fait suite à certains mauvais souvenirs en tant que footballeur? Oui. J’ai été critiqué lorsque j’étais joueur. Je l’acceptais sans problème, sauf lorsque ce n’était pas argumenté. Dans ces cas-là, on a la sensation que la critique n’existe que pour faire mal. Et ce n’est pas mon objectif.
« Je ne suis pas devenu consultant télé pour être bankable, faire le buzz ou avoir des followers sur Twitter »
Vous étiez réputé pour votre franc-parler dans les vestiaires et face aux médias. Pensez-vous qu’il est essentiel d’être cash pour percer à la télé ? Je ne sais pas… Mais je ne fais pas ce métier pour percer à la télé. Pour être sincère, la notoriété je l’ai déjà connue en tant que joueur… Certes à mon échelle mais ça me convient très bien. Je ne suis pas devenu consultant télé pour être bankable, faire le buzz ou avoir des followers sur Twitter. Je le fais en toute sincérité, pour partager ma passion et revenir dans un milieu qui m’a animé pendant des années.Vous êtes aussi connu pour votre côté chambreur. Vous attendez-vous à un petit concours de vannes avec Pierre Ménès ? Avec Pierre on se connaît et j’apprécie sa sincérité. J’attends avant tout d’échanger et de débattre avec lui sur la Ligue 1 et le football en général. S’il y a des vannes, je blaguerai aussi parce que c’est dans ma nature… Mais on est d’abord là pour être sérieux et consciencieux. Consultant, cela reste un travail.
« L’OM est mon club de coeur, je ne m’en cache pas… Mais cela ne m’a jamais empêché de le critiquer »
Vous êtes très identifié à l’OM après en avoir été le capitaine et y avoir évolué pendant quatre ans (2003-2007). Pensez-vous être inconsciemment un peu plus tendre avec Marseille ? Pas du tout. C’est mon club de cœur, je ne m’en cache pas… Mais cela ne m’a jamais empêché de le critiquer quand j’estimais que c’était justifié. Si on prend l’exemple de Marcelo Bielsa, autant j’ai pu l’encenser à certains moments autant je n’ai pas hésité à le critiquer sur certains de ses choix tactiques. Ce sera pareil cette saison avec l’OM, sur le plateau du CFC ou ailleurs.Allez-vous continuer de commenter certains matches en parallèle ? Oui parce que c’est une autre partie du métier que j’apprécie et je ne me voyais pas arrêter. J’ai déjà commenté en Premier League cette saison, je suis également présent sur certains matches de Ligue des champions pour Canal+ Afrique puis quelques rencontres de Ligue 1 quand c’est possible. Cela me permet d’aller sur le terrain, de revoir d’anciens coéquipiers, de rester au contact du milieu du foot.
On vous a également vu intégrer l’équipe de l’After Foot sur RMC cette année. Allez-vous poursuivre cette saison ? L’After a été une belle aventure, j’y ai pris beaucoup de plaisir mais c’est terminé pour moi. Je remercie encore les équipes de RMC de m’avoir offert l’opportunité de m’exprimer sur leurs ondes mais désormais je suis en exclusivité pour Canal+. C’était la moindre des choses après la confiance que la chaîne m’a accordée.
INTRANSIGEANT : AMOUL YAKAR EST LE TERREUR DES TAXIMEN ET AUTRES AUTOMOBILISTES
Les chauffeurs de «clandos», taxis, «Ndiaga Ndiaye», bus Tata, véhicules particuliers… tressaillent rien qu’en entendant le nom d’Amoul Yakar. Ministres, célèbres artistes, chefs d’entreprises et autres personnalités qui l’ont croisé entre la Place de l’Indépendance, les alentours du lycée Seydou Nourou Tall et le rond point de Liberté 6 savent de quel bois il se chauffe. «L’As» perce le mystère qui entoure Mouhamadou Amoul Yakar Diouf, le policier qui n’encaisse jamais.
La main droite sur le volant et l’autre sur le clavier de son téléphone, un chauffeur d’un véhicule particulier roulant à vive allure sur la Corniche Ouest lance : « Amoul Yakar ? Le Policier ? Je le connais bien sûr. On le surnomme ainsi parce qu’il ne pardonne jamais. Fait rarissime, il n’accepte jamais l’argent». Ça donne une idée sur l’espèce rare que «L’As» a rencontrée quelques minutes plus tard dans un couloir, au 1er étage de la Compagnie de circulation de Dakar, qui fait face au Commissariat central. La tenue qu’il arbore fièrement lui va comme un gant.
En refermant la porte de son bureau, il tombe nez à nez sur nous. Respectueux de la hiérarchie, il préfère qu’on aille aviser d’abord son patron, au bout du couloir. Le lieutenant Djibril Fall, commandant de la Compagnie de circulation, ne cache pas sa satisfaction : «Vous êtes venus pour Amoul Yakar ?
C’est le meilleur, tout le monde le sait. Il m’a parlé de votre visite tout à l’heure… ». S’interrompant, il dit au téléphone : «Patron, les journalistes sont dans mon bureau. Oui. Très bien». Il raccroche et se tourne vers nous : «il faut rendre compte. Le patron me demande de lui envoyer un Sms pour qu’il transmette». Le commandant offre de céder son bureau, le temps de l’entretien. Pour plus de tranquillité, Amoul Yakar préfère le sien. Teint noir, la trentaine, silhouette longiligne, le corps sec, il traverse le couloir, ouvre la porte et s’installe.
Quelques paperasses sont rangées dans les trois bureaux que contient la pièce trop exiguë. Sur un lit, sont superposés dans un coin deux matelas sans drap. Sur le bureau de notre hôte, une bouteille de boisson gazeuse « petit modèle» presque vide, coupeongle, clé de moto… Il met un peu d’ordre, ôte des écouteurs de la poche gauche de sa tenue, les pose sur la table et se cale feutré sur sa chaise.
AMOUL YAKAR EST SON VRAI NOM
Contrairement à ce que beaucoup d’automobilistes qui ont croisé son chemin pensent, Amoul Yakar n’est pas un surnom. Il s’appelle Mouhamadou Amoul Yakar Diouf. Son père l’a nommé ainsi parce que ses aînés sont morts bébés. C’est pour conjurer le mauvais sort qu’on l’a baptisé « Amoul Yakar » (sans espoir en wolof). Seul garçon de sa famille, il a quatre soeurs, toutes enseignantes. Né à Tambacounda il y a une trentaine d’années, il a été confié, à deux ans, à une famille en Casamance, où il a vécu avec les us et coutume du Sud jusqu’à 10 ans. Là-bas, on lui avait donné le surnom de Yafaye Sagna…
De retour au bercail, il n’a pu s’abriter sous les épaules de son géniteur que 3 ans, puisque ce dernier est mort quand il avait 13 ans. Très jeune, l’orphelin s’est mis dans la tête de travailler tôt. Sa voie vers la police était toute tracée. Enfant, il se tenait droit comme un piquet quand il entendait l’hymne national, il jouait avec des pistolets en bout de papier. De temps en temps, l’entretien est interrompu par des automobilistes venus récupérer leurs permis de conduire. «Les gens disent que je ne pardonne pas.
Quand on commet une infraction ou qu’on n’a pas des papiers en règle et qu’on tombe sur moi, c’est sans issue», s’enorgueillit-il. Sorti de l’école de Police le 17 avril 2004, Amoul Yakar a affûté ses armes au Groupement mobile d’intervention (Gmi) pendant deux ans avant de déposer ses baluchons à la Compagnie de circulation où il s’occupe du stationnement anarchique, du transport irrégulier (véhicules clandos), du contrôle des pièces des véhicules. Son prédécesseur, le brigadier chef Abdoulaye Gaye, parti à la retraite, a lui aussi marqué d’une pierre blanche le service.
C’est en 2006 qu’il a fait sa première descente sur le terrain en tant que régulateur de la circulation, mais déjà à l’école de Police en stage, il faisait des opérations au centre-ville. Ce qui lui a permis de tâter le pouls des automobilistes. A l’époque, l’accent n’était pas mis sur la répression. Les autorités insistaient plus sur la fluidité de la circulation. Ce qui fait que pour ne pas obstruer la circulation, il « fermait » les yeux…
LES ANECDOTES AVEC LE MINISTRE MENOTTE, LA CELEBRITE DU BARREAU
En 8 ans d’exercice dans la circulation, le qualificatif de «celui qui ne pardonne jamais» lui colle à la peau et il l’assume. Le permis, explique-t-il, ne se ramasse pas. Lorsqu’on commet une infraction exprès, il sort le carnet et le stylo. Amoul Yakar ne fait aucune fixation sur son poste. Ses seules préoccupations sont faire respecter la loi et agir selon sa conscience.
Un agent des forces de l’ordre n’est pas un agent de la Sagam. Il a juré devant la loi. Le respect, on l’impose. «Quand on agit selon sa conscience, on n’a pas peur. Au cas contraire, tôt ou tard, nos actions nous rattrapent. Quand je suis devant un citoyen, il faut qu’il sache qu’un policier est devant lui ».
Les Sénégalais pensent en général qu’avec des espèces sonnantes et trébuchantes, ils peuvent tout régler. S’il devait donner des détails sur les dizaines de ministres, de directeurs de sociétés, de célébrités qui ont tenté de lui tordre le bras dans la circulation, il y passerait la nuit. Prenant des précautions de chirurgien pour ne pas dire des noms ou révéler des éléments qui pourraient faire deviner de qui il s’agit, il concède, après beaucoup d’insistance, à sortir quelques anecdotes. L’autorité avait recommandé de mener des opérations sur les véhicules aux vitres teintées. Beaucoup de personnalités s’étaient fait prendre.
Alors qu’il s’adressait à son chauffeur, un célèbre ténor du barreau est intervenu pour lui dire qu’au lieu de s’occuper des vitres teintées, il aurait mieux fait de jeter son dévolu sur les camionneurs qui tuent chaque jour. Amoul Yakar lui a dit en le regardant dans le blanc des yeux de balayer devant sa porte avant de s’occuper de celle des autres.
Il ne connaît pas le rang mais l’infraction. Il ne lâche jamais le morceau, sauf si c’est son supérieur hiérarchique qui lui dit de le faire. Finalement, le véhicule est allé en fourrière. Heureusement, se réjouit-il, « mes patrons me font confiance et ne me mettent pas de bâtons dans les
roues. Ils me laissent travailler en toute liberté. Aussi bien le commandant que le Commissaire Central. Ils ne m’ont jamais convoqué dans leurs bureaux pour me faire des remontrances. Ce qui m’aurait fait vraiment honte ». Toujours dans le chapitre des insolites, un ancien ministre pris la main dans le sac lui a proposé 5.000 Fcfa pour passer l’éponge et s’est vu passer les menottes.
4O A 50 CAS DE MISE EN FOURRIERE PAR JOUR
Le brigadier chef enregistre 40 à 50 cas de mise en fourrière par jour. De son tiroir, il tire un lot d’une cinquantaine de faux permis de conduire. Amoul Yakar ne se contente pas de les appréhender sur la circulation. Il lui arrive de mener des investigations et de faire tomber des têtes qu’il «dépose» sur un plateau d’argent dans le bureau de ses collègues enquêteurs. Teigneux, il parvient parfois à débusquer le faussaire planqué au service des mines, avec la collaboration des automobilistes mis dos au mur. «Sans issue», il ne l’est pas à tous les coups. « On dit que je suis méchant, mais je n’ai pas le cœur fermé.
Il m’arrive de laisser passer. Je sais reconnaître quand une personne est en détresse, qu’elle ne fait pas exprès. J’ai des parents et quand ils entendent dire que Amoul Yakar n’a pas de coeur, cela leur fait mal. Des chauffeurs me menacent de mort». Certaines forces de l’ordre, se désole-t-il, ont une part de responsabilité dans les infractions commises par les automobilistes. «Par exemple quand on intervient en faveur d’un proche qui grille un feu en se mettant en danger et en mettant les autres en danger, c’est inadmissible.
Lorsque je vois des charretiers venir jusqu’à la Rts, cela me fend le coeur et je me dis que quelque part, certains n’ont pas fait leur travail». Souvent en faction entre la Place de l’Indépendance et le rond point de Liberté 6, en passant par Seydou Nourou Tall, il est très mobile avec sa moto et en l’espace d’un quart d’heure, passe d’un point à un autre. «Les chauffeurs disent que je suis un sorcier», rigole-t-il. Débutants comme des laveurs de véhicules, souvent illettrés, adeptes du cocktail explosif de Bacchus et de «l’herbe qui tue», les jeunes sont les plus indisciplinés dans la circulation. Les femmes par contre, sont plus respectueuses des règles.
SON SOUVENIR LE PLUS ATROCE SUR LA CIRCULATION
Son souvenir le plus marquant dans la circulation ? Roulant un élastique autour de ses doigts, triste et hésitant, il s’ouvre : « Un jour, j’étais avec un collègue à Rebeuss. Un chauffeur de camion qui avait perdu le contrôle de sa voiture a foncé droit sur lui, l’a écrabouillé. Il est mort sur le coup. Sous mes yeux. Je ne pouvais rien faire. C’était le brigadier Abdoulaye Bâ». Refusant toujours de donner des détails, Diouf est conscient de gêner certains, de la pression qui pèse sur lui et des risques, surtout sur le plan mystique. Un jour, le voisin d’un de ses proches, qui s’active dans le transport clandestin l’a reconnu et confessé qu’il a plusieurs fois donné son nom à des marabouts pour que leur véhicule ne fasse plus l’objet de fourrière. Mais avec la grâce de Dieu, sa mère, son seul marabout veille au grain. Heureusement.
Le président de la République, Macky Sall s’est rendu, ce samedi 22 août, chez la famille de feu Doudou N’diaye Coumba Rose. Sur place, le chef de l’Etat a présenté les condoléances de la République, avant de rendre hommage au défunt tambour-major, qu’il qualifie «d’ambassadeur culturel à travers le monde.» Cependant, le président de la République n’a fait aucune promesse à la famille du disparu. Selon lui, le gouvernement est en train de voir comment rendre un hommage mérité au célèbre percussionniste. « Nous n’allons pas étaler ici ce que nous allons faire pour Doudou N’diaye Coumba Rose. Nous sommes dans un pays où le mauvais sort et le mauvais œil sont préjudiciables à toute ambition. C’est pourquoi, nous verrons, en concertation avec le ministre-conseiller Youssou N’dour, ce que nous allons faire pour honorer la volonté du regretté Doudou N’diaye Coumba Rose », a déclaré le chef de l’Etat, devant la famille du défunt, réunie à la maison mortuaire, sise aux Hlm. Pour le chef de l’Etat, l’enjeu est de ne « pas laisser s’effondrer l’œuvre du disparu. » « Le Sénégal, je dirais même le monde entier perd un de ses plus grands ambassadeurs culturels. C’est une figure sénégalaise et internationale respectée par tout le monde. J’ai moi-même reçu des messages de condoléances en provenance de l’étranger », a indiqué le président Macky Sall, qui a reconnu que c’est avec beaucoup de tristesse qu’il a appris le décès de Doudou N’diaye Rose. Selon le chef de l’Etat, le disparu était respecté par toutes les générations. « Toute la Nation, par ma voix, salue sa mémoire. Il a beaucoup fait pour la culture sénégalaise. Il a amené la culture sénégalaise loin. Quand on parle de sabar ou de tambour, c’est en grande partie à cause de lui. C’est une légende! », a ajouté Macky Sall, dressant ainsi un portrait limpide du percussionniste aujourd’hui disparu…
Le Front Patriotique pour la Défense de la république a tenu un grand rassemblement hier à la Place de l’Obélisque. Occasion saisie par l’ex-président du Conseil régional de Kolda, Fabouly Gaye pour déverser toute sa colère sur le régime de Macky Sall.
«Je considère que cette manifestation doit consacrer le lancement officiel de la révolution. Il faut que Macky Sall comprenne que ce pays ne lui appartient pas. Je considère qu’à partir d’aujourd’hui, la jeunesse doit se tenir debout pour faire face à MackySall. Il a pris la résolution irréversible pour décrier l’opposition et nous n’avons pas le droit de lui donner cette occasion. Faisons face au Président, Il veut instaurer un régime policier au Sénégal, ces policiers doivent savoir que nous sommes leurs frères, nous sommes leurs sœurs. Si Macky Sall est en train de tirer sur nous, ou de continuer à jeter des gaz lacrymogènes sur nous, c’est leur problème mais cette marche ne s’arrêtera jamais», a soutenu le secrétaire général adjoint de l’Ujtl. «Si tous les anciens collaborateurs d’Abdoulaye Wade, si tous les ministres, si tous les anciens directeurs généraux sont comme Oumar Sarr Abdoulaye Wade tirerait tranquillement sa révérence…», a ajouté Fabouly Gaye devant une foule acquise à sa cause. Mamadou Salif DIENG
En vue du Magal des 2 rakaa Ndar le 5 septembre, l’équipe de reportage de Toubamajalis.com est allé à la trace de Cheikhul Khadim notamment son passage au quartier Balakoss (Ndar).
La révélation que nous a faite le responsable pour la sauvegarde de ce puit Serigne Abdoulaye Guene est que le joueur international saint-louisien, El hadj Ousseynou Diouf faisait parfois l’ adhan dans cette mosquée et ceci avant qu’il ne devient joueur professionnel.
Question : l’ origine du puit
Responsable de la mosquée balakoss : Serigne Abdoulaye Guene
« Voilà, je me présente, j’ai 24 ans je suis mariée depuis maintenant 5 ans et j’ai deux enfants de 2 et 3 ans.
J’écris ce message, car je culpabilise de la situation qui ce passe chez moi et s’empire :
J’ai un mari formidable, il fait tout à la maison, il s’occupe du ménage, fait les lessives, vaisselles, les repas tout, tout ce qu’une bonne mère au foyer fait habituellement pour sa maisonnée, il s’occupe tout le temps des enfants (qui l’adorent) et ce même la nuit (c’est lui qui se réveille) ; et tout ça il le fais en plus de son travail qui est très physique. C’est un mari très câlin également qui me prouve tout le temps son amour envers moi.
Moi je ne travaille plus depuis 2 mois. Quand mon mari est au travail, je m’occupe bien des enfants (enfin je fais de mon mieux même si je ne suis pas une maman formidable). Je m’occupe également des taches ménagères, je fais tout.
Mais voilà mon problème : Dès que mon mari rentre à la maison, je me transforme littéralement.
Je le laisse tout faire, assumer la maison seul jusqu’au coucher des enfants.
Je reste cloitrée sur le canapé à rien faire alors que lui est fatigué de sa journée.
En plus je trouve toujours à le critiquer alors qu’il fait tant pour nous. Quand il a un geste de tendresse envers moi je le rejette et quand il dit qu’il m’aime, je lui réponds qu’il ment.
Des fois je ne supporte plus sa présence.
Nous avons discuté plusieurs fois de ce qui ce passe, mais je n’arrive pas à faire des efforts.
Tout ça me semble insupportable; je me dis que je ne suis pas faite pour être une mère et une épouse. J’ai de moi l’image d’une mère et d’une épouse fainéante, qui ne mérite pas d’avoir un aussi bon mari et d’aussi beaux enfants. (Alors que je les aime tant au fond de moi)
Plus les jours passent et plus je me déteste.
J’ai vraiment besoin d’aide pour débloquer cette situation.
Je tiens à préciser que même quand je travaillais, c’était pareil à la maison. »
Il y a quelques jours, une information sur la création du viagra pour la femme, a été publiée. Ce produit qui était fait uniquement pour les hommes, a aujourd’hui une version pour les femmes. Voici un jeune comédien français qui a posté une vidéo très drôle sur page Facebook. En effet, il réagit contre ce nouveau produit qu’il trouve très dangereux pour les hommes pendant les rapports.
Regardez, il va vous couper le souffle…
LE VIAGRA POUR LES FEMMES ?!Les hommes il faut nous mobilisé! #LesFemmeVontPrendreLePOUVOIR#sagalove#sagaviagra#uneENVIEDEMONTESURSCÈNE
Voici Mya Gueye, la ravissante épouse du directeur de la TFM, NdiagaNdour. Cette femme très ravissante est une maquilleuse professionnelle aux différents styles très magnifiques. Avec sa main, elle arrive à transformer plusieurs faces afin de les rendre plus belles. Cette photo en dessous est l’une des œuvres qu’elle fait. Regardez…
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