Escroquerie sur de faux billets : Doukouré et Bosco s’inspirent de l’affaire Thione Seck
Une affaire d’escroquerie sur fond de trafic de faux billets, portant sur une somme estimée à plus de 2,6 millions, vaut au duo L. Doukouré et J. Bosco d’être déféré au parquet. 3 paquets de faux billets ont été découverts chez eux. Le troisième larron, un nommé Alex, est en fuite.
C’est une affaire digne d’un scénario hollywoodien. Le navigateur camerounais J. Bosco, arrêté pour trafic de faux billets a soutenu avoir été inspiré par l’affaire Thione Seck. Lors de son audition, il a avoué que c’est lorsque le leader du Raam Daan a été arrêté avec tout le buzz que cela a suscité qu’il est allé dire au sieur Doukouré qu’il connaissait quelqu’un qui pourrait les aider à devenir riche grâce à la multiplication de billets de banque. Ainsi, après avoir bien mûri leur plan, ils sont parvenus à rouler dans la farine les frères Diallo, commerçants de leur état, qui exercent à Guédiawaye.
A en croire l’un des frères, c’est après avoir pris contact avec eux que les escrocs lui ont fait croire qu’ils pouvaient les aider à devenir riche en multipliant leur argent. « Mon frère leur a remis la première fois 600 000 FCfa et, lors de cette rencontre, ils nous ont donné un billet de 5 000 FCfa qui était noir. Ils l’ont trempé dans un liquide et, après, il est devenu un vrai billet. Il m’ont demandé d’aller vérifier son authenticité. En effet, c’est après cette rencontre qu’il ont commencé à réclamer des sommes d’argent à mon frère et à moi. Au total, ils nous ont soustrait plus de 2,6 millions », a dit l’une des victimes dans EnQuête.
Après avoir versé toutes ces sommes, les frères Diallo n’ont rien reçu en retour. Quelques jours après, le nommé Doukouré est revenu pour remettre un billet noir à l’un des frères et réclamer encore de l’argent. « Au vu de ce billet, j’ai su qu’on avait affaire à des escrocs », a déclaré l’aîné. C’est par la suite qu’il est allé déposer une plainte au commissariat de police de Pikine. Et ce sont les hommes du commissaire Moustapha Diouf qui ont mis hors d’état de nuire ce duo. Mais, l’un des complices, Alex, en fuite, est activement recherché. Lors de leur arrestation, 3 paquets de faux billets ont été découverts chez eux. Devant les limiers, les deux comparses ont reconnu les faits et, selon L. Doukouré, les sommes d’argent reçues des frères Diallo étaient destinées à l’achat du mercure pour le lavage des faux billets.
Tombong Oualy : “Ce que la prison a changé en moi”
Tombong Oualy est sorti de prison, hier, en même temps que son collègue, Saliou Ndao. Celui qui a été accusé du meurtre de l’étudiant Bassirou Faye avant d’être blanchi par le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf, a rejoint les siens, hier. Il s’est confié à la presse à sa sortie de prison. “J’ai été rendu tristement célèbre par ce dossier judiciaire (l’affaire du meurtre de l’étudiant Bassirou Faye : Ndlr). Je rends grâce à Dieu d’avoir pu recouvrer la liberté ? Je pense qu’il faut, à présent, savoir raison garder, faire preuve d’humilité et de retenue, car l’affaire n’a pas encore connu son épilogue”, dit-il d’emblée.
“Si j’ai rêvé de célébrité, c’était dans le bon sens. Je ne pensais aucunement friser la célébrité de cette manière. Mais, vu qu’on ne peut pas infléchir le destin, je trouve que cette expérience est une épreuve de foi. La prison a raffermi ma foi en Dieu. J’ai profité de mon séjour en prison pour apprendre l’arabe et raffermir ma pratique religieuse, soutenu par l’imam de la mosquée du Camp Pénal. Je ne sentais même pas que j’étais en prison. J’ai eu droit à des moments de spiritualité très intenses”, révèle-t-il.
“J’ai toujours cru en la justice de mon pays. J’étais convaincu que la vérité finirait par jaillir. Voir ma mère souffrir me déchirait le coeur. Sinon, j’étais persuadé que j’allais être, tôt ou tard, libéré et blanchi, car je n’ai jamais tiré sur l’étudiant Bassirou Faye”, dit-il.
Désormais, il se projette dans l’avenir et veut renforcer ses capacités intellectuelles pour mieux servir son pays. “Je rêve de servir ma Nation à des degrés très élevés. La première chose que je compte faire, c’est de renforcer mes capacités intellectuelles et professionnelles, en vue de contribuer au développement de mon pays”, soutient-il.
Daouda MINE-Seneweb.com
Retour de blessure : Momo Diamé à rejoué
Exclusivité : Les “Lions” n’ont toujours pas vu la couleur de leurs primes : ça commence à râler
Si ce n’est pas un manque de considération, ça y ressemble fort. Et sûr que le Président de la République s’électrifierait de nervosité, s’il apprenait cette grosse farce que va vous livrer en exclusivité Actusen.com.
En effet, en dépit de leur parcours sans faute, ponctué par trois victoires en autant de sorties et Dieu sait face à de grosses pointures du basket continental, les “Lions” du Sénégal n’ont toujours pas, selon des sources généralement bien informées, vu la couleur de leurs primes.
Ce, en dépit du fait qu’ils aient atteint le cap des quarts de finale, lors de l’Afrobasket en Tunisie. Ce n’est pas tout. Car selon toujours les sources de Actusen.com, “déjà, la prime de participation, qui dit être payée avant qu’ils ne quittent Dakar pour le tournoi de l’Espagne, leur est toujours due”. Qui l’aurait crû ?
“Les coéquipiers de Maleye Ndoye, qui se sont confiés à leur encadrement, sont sidérés du manque de considération, dont ils sont victimes“
Même s’ils n’en font pas une montagne, ajoutent nos mêmes sources, les coéquipiers de Maleye Ndoye, qui se sont confiés à leur encadrement, sont sidérés du manque de considération, dont ils sont victimes, pour paraphraser l’un d’eux.
Sous le couvert de l’anonymat, ce dernier de rager en ces termes : “vous imaginez une Can où on ne paie pas les primes durant la compétition ?”. Mais, glisse-t-il, “bon, comme c’est le basket, et qu’on ne nous respecte pas, ce n’est pas étonnant”.
Poursuivant, il ajoute : “avec ou sans primes, nous allons continuer à nous battre, même si les autres équipes, y compris celles qui sont éliminées, ont déjà touché leur dû”.
Coup de gueule d’un “Lion” : “bon, comme c’est le basket, et qu’on ne nous respecte pas, ce n’est pas étonnant ; les autres équipes, y compris celles éliminées, ont déjà touché leur dû”
Alors, il est temps que les autorités sénégalaises s’occupent, immédiatement, du paiement de ces primes, avant qu’il ne soit trop tard. D’autant que n’eussent été leur volonté inébranlable de mettre en avant leur patriotisme et de mériter la confiance que le peuple a placée en eux, ils auraient, peut-être, boycotté les entrainements.
Ce qui serait de nature à faire craqueler l’image du Sénégal, au moment où les médias sportifs du Monde ont établi leur Quartier général à Tunis, au tour de la balle orange.
Daouda THIAM (Actusen.com)
Libre, Tombon Oualy confesse : « J’ai toujours clamé mon innocence, c’est une délivrance! »
Le policier inculpé dans l’affaire Bassirou Faye, Tombon Oualy, a humé aujourd’hui l’air de la liberté, retrouvant sa famille et ses proches avec un grand ouf de soulagement.
Aussi, a –t-il déclaré : « j’ai toujours clamé mon innocence, c’est comme une délivrance! », avant de saluer l’ « excellent travail » abattu par son avocat…
Me Bamba Cissé après la libération de son client Tombong Oualy : « Satisfaction pour un travail bien fait surtout par le magistrat instructeur qui a rendu à un homme innocent sa liberté »
Me Bamba Cissé, avocat de Tombong Oualy, le policier mis en cause dans le meurtre de l’étudiant Bassirou Faye, a apprécié la décision du Doyen des juges, qui a délivré une ordonnance de non-lieu en faveur de son client. L’avocat se dit satisfait de la libération de Tombong Oualy, mais aussi indigné du non-respect de la présomption d’innocence. « Je suis partagé entre satisfaction et indignation. Je suis très heureux de la libération de mon client, car il est clair que le Doyen des juges a pris la bonne décision. Je suis satisfaction pour un travail bien fait surtout par le magistrat instructeur qui a rendu à un homme innocent sa liberté. Je suis aussi indigné pour qu’on puisse davantage respecter la présomption d’innocence et éviter d’arrêter systématiquement des honnêtes gens sur la base de simples suspicions », commente l’avocat de Tombong Oualy.
Pour lui, c’était normal que la justice prenne conscience de son erreur et se ravise. L’avocat a félicité le magistrat Mahawa Sémou Diouf qui, selon lui, a eu le courage de désavouer le parquet.
Face à face Amsatou S.S. et Dircab Macky Sall : « Une réunion entre hommes d’Etat », selon son mouvement
Le parti Car Leneen s’est fendu, hier, d’une déclaration pour apporter des précisions à propos de la rencontre entre le Professeur Amsatou Sow Sidibé et le Directeur de cabinet de la Présidence de la République. Le parti renseigne que c’était «une réunion entre Hommes d’Etat au cours de laquelle des questions de fond ont été abordées au nom de l’intérêt supérieur de la nation». «Les aspects qui ont été relatés dans les médias constituent les points les moins importants de la discussion. Le véritable problème est que notre pays a besoin de la synergie de toutes les compétences pour répondre aux aspirations des Sénégalais », note le communiqué.
Abou Lô (PCA AIBD) : «Le chantier est à l’arrêt…»
Abou Lô se livre. Dans cet entretien accordé à L’Observateur sous forme de protocole d’interview, le responsable politique de l’Apr et ancien ministre de la Communication commente son passage à la tête de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) et étale ses différentes réalisations. Le Président du Conseil d’administration de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) revient, également, sur ses activités politiques, notamment au niveau de Matam où il milite, le compagnonnage entre le Président Macky Sall et ses alliés etc. Entretien.
Le président du Conseil d’administration de l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD) brise le silence. Et c’est pour donner sa part de vérité sur le différend qui oppose l’Etat du Sénégal au constructeur Saudi Bin Ladin Group (Sbg). Dans cet entretien accordé à EnQuête, Abou Lo estime que les réclamations du groupe saoudien ne sont pas fondées. Toutefois, il appelle aux négociations avec Sbg et refuse de se prononcer sur une date de livraison de l’ouvrage aéroportuaire. « L’Etat du Sénégal, à travers AIBD, a signé un contrat avec la société Saudi Bin Ladin Group. (…) Il y a eu quatre avenants jusqu’ici. Et je dois signaler que les trois avenants ont été signés respectivement au mois de décembre 2008, au mois de juillet 2010 et au mois de juin 2011, donc avant que le président Macky Sall n’arrive au pouvoir. Ces avenants ont été paraphés dans le but d’inclure certaines modifications des travaux. Après, il y a eu un quatrième avenant qui a été signé au mois de juillet 2013. C’est à dire un an après l’accession de l’actuel régime au pouvoir. Dans cet avenant, l’Etat du Sénégal ne devrait pas payer de l’argent. C’était un avenant qui avait été fait parce qu’on avait exclu des avenants précédents les travaux d’un village du nom de Mbadatt qui devrait être déplacé. Ces travaux devraient être intégrés dans un autre avenant qui ferait l’objet d’un cinquième avenant. Toutes les sommes qui ont été dépensées jusqu’au troisième avenant ont été faites avant le régime actuel. Il est important de préciser que depuis que Macky Sall est au pouvoir, l’Etat du Sénégal n’a encore payé aucun avenant, n’a décaissé aucun sou en dehors de ce qui a été signé dans le contrat initial et dans les trois derniers avenants. Les travaux du village de Mbadatt devraient être intégrés dans un cinquième avenant. Mais dans cet avenant, il est mentionné une réclamation de Saudi Bin Laden group. Le constructeur demande des pénalités de retard, des modifications de certaines dispositions du contrat. C’est une réclamation qui s’élève à 96 millions d’euros, environ 63,840 milliards de F Cfa», révèle-t-il.
Aussi, la Direction de l’AIBD ne compte-t-elle pas donner une suite favorable à cette requête de Saudi Bin Laden, assure Abou Lô. « La direction de l’AIBD et son Conseil d’administration sont très clairs. Nous avons rejeté cette demande. Nous disons que tout ce qui a été réclamé par Saudi Bin Laden n’est pas fondé. La faute leur incombe. D’après les calculs de nos experts et techniciens, les seules réclamations que nous devons payer s’élèvent à l’ordre de 200 000 euros (environ 131 millions de F Cfa, Ndlr). Ceci est dû seulement aux pénalités de retard dans les paiements qu’AIBD devrait à Sbg. Lors de nos négociations avec Sbg au mois de décembre 2013, nous avons été très clairs. Nous avions dit que nous ne reconnaissions pas la réclamation. Nous avons donné notre avis et nous l’avons exposé à nos autorités ».
Naturellement Sbg persiste maintenant, pour ne pas bloquer les travaux, ajoute Abou Lo « nous avons fait une proposition concrète. Il s’agit de faire une démarcation entre les réclamations et les travaux. Nous avons demandé au constructeur de continuer l’exécution des travaux et après, nous allons discuter de la réclamation. Du point de vue technique, la position de l’AIBD est claire : cette réclamation ne peut pas être acceptée. Nous avons soumis notre avis aux autorités, c’est aux autorités de prendre leur décision. Voilà le fondement juridique de tout ce bruit que vous entendez ».
Sur le un taux d’exécution des travaux il est de 85% dira Abou Lo qui sur la livraison de l’AIBD annonce ne pas pouvoir donner de date « je ne peux pas avancer de date parce que avancer une date, c’est supposer avoir un état du chantier bien précis. Aujourd’hui, les travaux sont arrêtés. Quelle hypothèse pouvons-nous faire pour dire que les travaux seront terminés à telle date. Ce qui est plus important est qu’on trouve une solution pour continuer les travaux. Si aujourd’hui, les travaux sont arrêtés, nous sommes dans une impasse, comment peut-on avancer des dates dans ce cas de figure ? »
Matam : la colère des cadres « Apéristes » de 1ère heure
Bagarre de deux hôtesses sur un vol de Royal Air Maroc (photo)
Un avion de la compagnie marocaine Royal Air Maroc (RAM) s’est transformé en un ring de boxe. Pas de passagers alcoolisés à bord, il s’agit d’une bagarre entre … deux hôtesses de l’air.
Du matériel cassé, des verres qui volent et les chariots-repas qui tombent à terre, c’est la scène hallucinante qui se serait produite lors d’un vol de la RAM, rapporte le site crash-aerien.aero, qui explique que deux hôtesses en sont venues aux mains pour des motifs encore inconnus.
Paniqués, les voyageurs ont d’abord pensé à un problème technique de l’appareil qui reliait l’aéroport International de Lisbonne à Casablanca , avant de comprendre que c’est une dispute entre deux hôtesses.
« Le différend aurait été sur une formation qui a été accordée à l’une mais pas à l’autre. La compagnie aérienne a refusé de commenter. Les passagers se sont plaints d’un comportement non-professionnel »
Dans un communiqué, Royal Air Maroc explique qu’aucune dispute n’a eu lieu entre les deux hôtesses de l’air et que le « loquet du trolley s’est ouvert et les produits se sont éparpillés sur le sol. »
CONFIDENCE. Durant ma maladie mentale, j ai été engrossée deux fois
Le top de son calvaire a été donné durant les années qui ont suivi la naissance de son fils ainé. Du bonheur de tenir un bébé dans ses bras, elle est tombée dans une longue maladie mentale. Le teint d’une noirceur foncée, la taille petite, elle raconte : “J’ai eu des troubles mentaux après mon premier.” La folie se retraçant sur son destin, elle vit aux cotés de sa mère qui s’efforce de veiller sur sa fille.
Cependant, elle était loin de ses malheurs. Surement à la fleur de l’age en cette période, Rosalie qui ne se rappelle plus de ses débuts de maladie vit aujourd’hui avec les résultats de son inconscience involontaire. En cette période, elle a accouché à deux reprises. Elle dit, le visage tristement révélateur : “j’ai été engrossée à deux reprises durant ma maladie mentale. J’ai d’abord eu une fille puis des jumeaux, mais je ne connais pas les pères de ces enfants. Entourée de ses jumeaux, Rosalie interrompt son discours un moment. Elle est fixée des yeux par ses fils. Elle sourit parle à voix basse avec ses fils et reprend: “Mes enfants ne veulent pas être photographiés .
D’ailleurs, ils me disent qu’ils auraient préféré que moi aussi je ne le soi pas. Puisque, ce sont des élèves et ils ont peur que leurs camarades se moquent d’eux”.” C’est en étant lingère que je me suis trouvée une chambre où je vivais avec mes enfants. J’ai beaucoup travaillé pour au moins qu’ils se retrouvent avec le minimum” argue t-elle. N’ayant toujours pu compter que sur sa maman qui n’a pas vécu longtemps après sa guérison. Rosalie vit au quartier grand-yoff. A bout de ses forces, elle partit voir sa grande sœur. “Lorsque je n’ai plus eu les moyens de régler le loyer, je suis allée voir ma grande sœur de même père et de même mère, car on m’avait chassé de la maison”.
En location dans une quartier populeux sa grande sœur l’héberge…sur la terrasse. Après les travaux dans cette demeure, elle est recasée sur le perron et dormait sous une moustiquaire. Malgré tout son désarrois implorant la bonté des uns et des autres, Rosalie Mendy de manière inconsciente pointe du doigt ses potentiels bienfaiteurs. Le sourire aux lèvres, laissant voir ses tresses de nattes sur sa grosses téte, elle conclut: ” Je demande surtout de l’aide à Youssou Ndour, papa Thione et El Hadji Diouf. Je suis née à la médina Youssou Ndour aussi. Nous sommes tous parents donc
Youssou Ndour invité de l’Université d’été Medef 2015
Youssou Ndour est intervenu hier mercredi 25 août lors d’une plénière exceptionnelle organisée par le Medef, organisation des patrons d’entreprises de France. Ce fut l’occasion pour le Ministre conseiller auprès du président de la République de faire le point sur les grandes mutations en cours et de tracer les perspectives d’un monde en devenir. Ce fut l’occasion aussi pour l’artiste sénégalais de s’adresser aux jeunes sur leurs choix de vie
[Avis de recherche] Le jeune Alassane Sankharé disparu depuis…
Avis de recherche: Le jeune Alassane Sankharé disparu depuis mercredi dernier
Alassane Sankharé est un élève en classe de 5e au lycée Sergent Malamine Camara de Dakar et habite aux Parcelles assainies Unité 25, villa 394. Le gamin, âgé de 14 ans, a disparu depuis mercredi dernier. Aidez ses parents à le retrouver. Contacts: 77 451 15 86; 77 666 74 62; 77 438 57 19. Merci.
Les étapes à suivre pour réparer son smartphone quand il prend de l’eau
On est devenu tellement rattaché à nos téléphones portables qu’on a dés fois l’impression qu’ils constituent une partie de nous. Quand ils tombent dans la piscine, dans les toilettes ou pire : dans la machine à laver, c’est comme si on est sur le point de perdre une partie de nous et ça c’est le cauchemar de tout le monde. Mais Sachez qu’il y a différentes étapes pour ramener votre téléphone portable à la vie. Découvrez ce qu’il faut faire et aussi ne PAS faire pour le sauver
1. Première étape :
Dès que vous avez retiré votre téléphone portable de l’eau, éteignez-le sans faire aucune manipulation.
Ce qu’il ne faut pas faire : n’essayez pas de l’allumer pour voir si tout fonctionne encore. Effectuez une pression sur les touches peut faire circuler l’eau dans l’appareil.
2. Deuxième étape
Retirez tout ce qui peut se détacher du portable : la carte SD, la carte SIM, la batterie… Certains téléphones, comme les iPhone, ont malheureusement des batteries intégrées.
Ce qu’il ne faut pas faire : les cartes SIM peuvent survivre à de l’eau, mais certainement pas à la chaleur. L’astuce de mettre son téléphone dans son four à basse température est une fausse bonne idée. La chaleur peut déformer les circuits du téléphone et faire fondre ses composants internes. C’est la même chose pour l’astuce du séchoir : c’est déconseillé. Un ventilateur peut éventuellement aider à sauver le téléphone, mais oubliez le micro-ondes et/ou le four.
3. Troisième étape
Aspirez le liquide par tous les ports du portable avec une paille ou autre, prenez un bol pour recracher dedans ce que vous aspirez par la paille. Vous éviterez ainsi d’avaler toutes sortes de produits chimiques venant du téléphone.
Ce qu’il ne faut pas faire : secouer votre téléphone pour faire sortir l’eau.
4. Quatrième étape
Utilisez du riz. Ce n’est pas parce que votre téléphone est à présent sec à l’extérieur qu’il l’est à l’intérieur. Remplissez ainsi un bol de riz sec et mettez-y votre téléphone. Le riz absorbera l’humidité de votre téléphone portable. Ainsi, il sera sec à l’intérieur et à l’extérieur. Laissez-le dans le bol pendant trois jours. Autre méthode : vous pouvez placer votre téléphone devant un climatiseur. L’eau s’évaporera rapidement.
5. Cinquième étape
Après avoir attendu minimum 24 heures, remettez votre carte SIM et votre batterie dans votre téléphone et rallumez-le. C’est le moment de vérité. Prenez un petit cure-pipe pour le passer dans tous les ports du téléphone et vérifiez s’il y a encore un peu d’eau. Si c’est le cas, remettez votre téléphone dans un bol de riz sec.
6. Sixième étape.
Si vous avez un iPhone, cherchez l’indicateur de contact liquide. Si la lumière qui s’affiche n’est pas rouge, vous pouvez faire marcher votre assurance. Si elle est rouge, c’est malheureusement trop tard…
Chez Qatar Airways, une grosse cabine féminin en cas de grossesse et aux salariés de se marier
Qatar Airways a mis fin à une clause controversée de ses contrats prévoyant le licenciement de son personnel de cabine féminin en cas de grossesse. Une autre clause dénoncée par l’OIT, qui interdisait aux salariés de se marier, a également été supprimée. Cette disposition sur les hôtesses enceintes « a été abandonnée au cours des derniers six mois », a indiqué une porte-parole de la compagnie aérienne qatarie. Selon les nouvelles dispositions en vigueur, les hôtesses enceintes se verront offrir un emploi de substitution temporaire au sol.
Qatar Airways avait été condamnée sur ce point par l’Organisation internationale du travail (OIT) pour discrimination. L’interdiction de se marier a également été supprimée, selon la même source. Le personnel de bord pourra convoler, mais en demandant l’autorisation de la direction de Qatar Airways.
« Nos politiques ont évolué en raison de la croissance de l’activité de notre compagnie », a expliqué la porte-parole. Et d’affirmer que ces changements n’étaient pas la conséquence de la condamnation pour discrimination par l’OIT en juin dernier.
L’agence de l’ONU pour le travail avait été saisie par la Confédération internationale des employés du transport. Elle avait jugé les pratiques de Qatar Airways discriminatoires et contraires à une convention internationale sur le travail, adoptée il y a 57 ans et ratifiée par 179 Etats. L’OIT avait sommé la compagnie de modifier ses contrats de travail.
En revanche, certaines dispositions contestées par le personnel devraient rester en place pour le moment. Il s’agit par exemple de l’obligation pour les femmes membres d’équipage d’être récupérées à la fin de leur journée de travail par leur père, leur frère ou leur mari. Qatar Airways emploie environ 9000 personnels de cabine. Environ trois-quarts sont des femmes.
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Hissène Habré éconduit ses avocats d’office
L’ancien président du Tchad, Hissène Habré ne compte pas faciliter le travail de la chambre africaine extraordinaire d’assises. Le Président de cette chambre, Gberdao G. Kam, avait commis trois avocats d’office pour assurer sa défense. Il s’agit de Maîtres Mbaye Sène, Mounirou Balane et Abdou Gning. L’ex chef d’Etat tchadien les a éconduits, refusant d’échanger avec eux.
C’est hier vers les coups de 18 heures, à la prison du Cap Manuel à Dakar que ces derniers, dans l’exercice de leur fonction, se sont rendus, pour rencontrer l’ancien président tchadien qui y est incarcéré.
M. Habré a décidé donc de ne pas coopérer, donnant des instructions ferme aux avocats, que le juge avait commis, de ne pas l’assister.
L’avocat sénégalais Mbaye Sène, l’un d’entre eux, confirme l’information dans les colonnes de « L’Observateur » et explique que « Hissène Habré est constant dans sa position. Il ne reconnait pas les chambres africaines extraordinaires. Mais en tant qu’avocats désignés dans l’intérêt de la justice (…), nous avons le devoir de lui rendre visite. Maintenant, s’il ne coopère pas, c’est son droit le plus absolu. Mais cela n’enlève en rien à la mission qui nous a été confiée par les chambres africaines extraordinaires dans l’intérêt de la justice. Nous continuons le travail. »
Nigeria: 24 heures à peine après la visite officielle de Ban Ki-moon, un soldat tué dans un attentat suicide
Un attentat suicide a tué mardi soir un soldat nigérian près d’un barrage militaire à Maiduguri, capitale de l’Etat de Borno (nord-est), bastion du groupe Boko Haram, a-t-on appris mercredi de source militaire. Les deux kamikazes ont également perdu la vie. Ces attentat se sont produits 24 heures à peine après une visite officielle au Nigeria de Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations Unies.
Ceux-ci, deux hommes, semblaient flâner près du point de contrôle lors du couvre-feu. Quand des soldats ont cherché à les fouiller, ils ont fait exploser la charge qu’ils transportaient, a-t-on indiqué de même source.
Un peu plus tôt mardi, un autre homme s’est fait exploser faute d’avoir pu frapper sa cible dans le quartier de Pompomari à Damaturu, capitale de l’Etat voisin de Yobe, selon un porte-parole de la police locale, Toyin Gbadegesin. Dans la matinée, cinq personnes avaient été tuées par une kamikaze adolescente dans une gare routière de la même ville de Damaturu.
Il y a un peu plus d’une semaine, le président nigérian Muhammadu Buhari avait demandé aux chefs de l’armée de mettre fin d’ici trois mois aux actions de Boko Haram, un groupe qui fait régner la terreur dans le nord du pays depuis six ans.
Ndèye Aïssata Tall a tourné la page ‘Cheikh Yérim Seck’
Ndèye Aïssata Tall a trouvé chaussure à son pied. Pour ceux qui ont raté l’un des feuilletons judiciaires qui auront le plus tenu en haleine les Sénégalais, c’est la fille qui a envoyé le journaliste Cheikh Yérim Seck en prison pour viol.
A l’ébruitement de l’affaire qui remonte à septembre 2012, nombreux sont les Sénégalais qui prédisaient un avenir obscur pour Ndèye Aïssata Tall.
Mais c’est non sans subir de plein fouet les rebondissements qui se sont invités dans cette affaire. De quoi faire dire à certains que l’expérience qu’elle a vécue causera un traumatisme tel qu’elle verra constamment en la gent masculine un danger. Mais comme dans toute règle, il y a une exception, Ndèye Aïssata Tall n’a pas résumé sa vie à ce triste épisode. La jeune femme a mis une croix sur le passé. Mieux, elle a tourné la page. La preuve, la fille de Boubou Diouf Tall vient de se marier avec son petit-ami. Celui-là même qui l’avait quittée après que son nom a été cité dans cette affaire de viol. Mais, renseigne Senepeople, les deux tourtereaux se sont retrouvés et ont ravivé la flamme. De ce fait, rien ne s’opposait à ce qu’ils franchissent le palier supérieur. Et ils l’ont fait.
Buzz.sn
(Vidéo) Pape Cheikh Diallo abandonne les poursuites pour accusations homosexuelles ?
Pape Cheikh Diallo, qui pourtant avait annoncé des poursuites contre un site de la place pour diffamation, laisse supposer en direct sur le plateau de Yewuleen qu’il a cédé.