Accueil Blog Page 6673

Gouney Waly yé* ou l’ère des hommes efféminés !

Assiste-t-on à une évolution des prototypes conventionnels de l’habillement masculin ou était-ce une mode passagère ? Les commerçants rassurent, que cette mode est saisonnière et ne va pas durer.
C’est ignorer tout le maillage qui est tissé pour prendre aux pièges ces jeunes consommateurs de la mode libertine. Bien renseignés sur les tendances in, ils sont hypnotisés par le marketing lointain des séries télévisées étrangères. Après cette première stratégie, les défilés de mode enchaînent et les stars prennent le relais. La publicité par l’image est partout présente sur internet, à la télévision, les poursuivant jusque sur leurs cahiers et fournitures scolaires.

Assiste-t-on à une évolution des prototypes conventionnels de l’habillement masculin ou était-ce une mode passagère ? Les commerçants rassurent, que cette mode est saisonnière et ne va pas durer.  C’est ignorer tout le maillage qui est tissé pour prendre aux pièges ces jeunes consommateurs de la mode libertine. Bien renseignés sur les tendances in, ils sont hypnotisés par le marketing lointain des séries télévisées étrangères. Après cette première stratégie, les défilés de mode enchaînent et les stars prennent le relais. La publicité par l’image est partout présente sur internet, à la télévision, les poursuivant jusque sur leurs cahiers et fournitures scolaires.

Si en sus de ce matraquage de consciences, les commerçants facilitent l’accès aux artifices en vogue, en inondant le marché avec cette production industrielle, on peut dire que le tour est joué. Le dernier acte du tableau est posé par le jeune : trouver coûte que coûte l’argent pour avoir le chic de ressembler à sa star préférée. Quand il a enfin mordu à l’hameçon de la mode, c’est une manne financière qui tombe dans ce business aux multiples acteurs. La mode se renouvelle, les marques fusent, les créateurs conçoivent, les jeunes se mettent tout le temps à la page et les commerçants s’en frottent les mains.

A Sandaga, les jeunes qui consomment cette mode en mutation, ont entre 15 et 21 ans (des ados et des «à peine majeure»). Pour la plupart, ce sont des fans du chanteur Waly Seck, qu’ils copient dans ses moindres extravagances. Ils se font appeler les «gouney Waly yé» (les enfants de Waly). Le rôle des stars dans les mouvements de la mode est incontestable. Si l’on peut comprendre, mais non excuser le manque de discernement de cette génération, il est plus difficile de concevoir la complicité d’acteurs responsables et matures dans la dépravation des mœurs. Ces commerçants, sont des pères de famille et éducateurs pour la plupart. La motivation d’un tel commerce qui conduit insidieusement à la dépravation des mœurs, est purement commerciale. Pour se disculper, ils disent se plier, à l’exigence des jeunes.

Et si dans un sursaut de patriotisme économique et culturel, les créateurs et les commerçants optaient pour une industrie vestimentaire made in Sénégal ? Les médias serviraient de relais de sensibilisation des jeunes quant à leur véritable identité. On cesserait de jeter nos devises au-delà de l’Atlantique. En attendant, les bateaux accostent, les conteneurs déchargent et les arrivages de fringues se renouvellent, mettant sur le rivage nos vraies valeurs au profit des fausses valeurs monnayables. Le vêtement vaut ce qu’il vaut. Il sert à cacher la nature et à protéger l’homme des intempéries. Mais il révèle en même temps sa seconde nature : la personnalité, le caractère, l’image de soi que l’on veut véhiculer, la condition sociale. Le bon sens veut qu’en société, les hommes s’habillent d’une manière et les femmes d’une autre.

Les habits nous donnent aussi une identité sociale. Si la personne qui délibérément et en toute connaissance de cause, affiche un look qui dit son état et ses choix sexistes, il s’agit d’une question de liberté, d’affirmation de soi. Si a contrario, celle-ci n’est pas dans un système de communication non verbal et se laisse séduire par cette esthétique et ce style non conforme, sombre dans cette mode, il y a là, manque de personnalité et de discernement. Il risque fort d’être précipité dans le système dont il se fait, à son insu, le porte-étendard. Il risque ainsi de se faire aborder et entraîner d’autant plus facilement que ceux-là sont pour lui des héros et des modèles, donc l’objet de son admiration.

Que la mode tende de plus en plus à effacer le distinguo homme-femme en féminisant le look des hommes est certain. Mais derrière ce flou, il y a un message à décrypter, un piège à éviter : l’ignorance qui mène les jeunes à un péril certain.

*Les enfants de Waly

Sud Quotiden

[Clip] : « Li ngama diaral », le nouveau single de Momo, fils de Ndiouga Dieng

Les images exclusives de la visite de Serigne Sidy Makhtar Mbacké à Dakar

Serigne Cheikh Sidy Mactar Mbacké, Khalife général des mourides, est à Dakar depuis samedi. Pour une visite de quelques jours. Sa résidence aux Hlm ne désemplit pas. Chaque jour, de nombreux talibés s’y rendent pour faire leur ziar. Le Saint-Homme va aussi s’enquérir de l’état d’exécution des travaux de la Grande mosquée Massalikoul Djinane.

 

Amadou Tidiane Wone n’est plus le directeur de cabinet du Président Wade

amadou tidiane wone

A l’heure qu’il est, Abdoulaye Wade est sûrement en train de chercher un nouveau directeur de cabinet. Amadou Tidiane Wone qui occupait ce poste depuis quelques mois, a décidé, en accord avec l’ancien président de la République, de se libérer de cette charge. « Pour des raisons liées à un choix de réorientation de mes projets personnels, j’ai demandé au Président Abdoulaye Wade de me décharger de mes fonctions de Directeur de son Cabinet », renseigne l’ancien ministre de la Culture.

Il quitte le cabinet du Pape du Sopi, mais l’ancien ambassadeur du Sénégal au Canada réaffirme sa fidélité au père de Karim Wade. Wone assure que la décision de ne plus être le dircab de Wade « n’entame en rien le profond sentiment de gratitude et de reconnaissance que je nourris à son endroit. Je suis et reste de ceux sur qui il peut compter », dit-il dans un communiqué parvenu à Sans limites.

Image du président: Patricia Balme impose le régime à Macky

Image du président: Patricia Balme impose le régime à Macky

La nouvelle est tombée et n’a pas été officiellement démentie : le président Macky Sall a signé un contrat avec Pb Com International pour gérer son image à l’extérieur, plus qu’elle le fait pour le président camerounais Paul Bya. Patricia Balme, que Macky a connu avant d’être président, a exigé à son nouveau client de changer de physique : un président sahélien ne doit pas être obèse. Ce qui est son cas. C’est même mal vu en Europe. Ce qui a amené le président français François Hollande à se mettre au régime. La balle est donc dans le camp de la Première dame, qui devra veiller à ce qu’il ne prenne plus de graisses, lipides et autres « fondés ». Il devra également pratiquer beaucoup de sports. Cette condition remplie, Patricia pourra commencer son job.

XIBAR.NET

Faudrait-il désespérer de notre pauvre pays et définitivement ? (par Massaer Diallo)

Faudrait-il désespérer de notre pauvre pays et définitivement ? (par Massaer Diallo)

Peut-être faudrait-il désespérer de notre pauvre pays et définitivement ? Si l’on ne devait s’en tenir, tout au moins, qu’à Moubarack Lô ce serait mille fois oui : le Sénégal est foutu, pour le temps qu’il nous reste ! Ce n’est pas parce qu’il l’a dit pour autant mais bien parce que des gens comme lui existent et, mieux encore, y prospèrent tous les jours !

Voilà un homme qui a été conseiller technique au cabinet d’Habib Thiam en même temps que Mamadou Lamine Diallo qui en était le principal et de Lamine Loum, sous Diouf, puis après des offres de services maintes fois présentées et maintes fois refusées à Wade est finalement récupérer par  Macky Sall, après la deuxième  alternance et qui ne trouve rien de mieux à faire que de se répandre dans les journaux pour insulter, ostraciser et vilipender à peu près, tout le monde. C’est « Pouroukh » ou « Purux », comme on voudra l’écrire, qui, à chaque fois qu’on l’aura nourri, ne vous paiera jamais qu’en insultes et insanités en guise de remerciements.

Moubarack Lô serait-il, à ce point, mal-élevé, ou simplement irresponsable ? Je veux bien mettre une petite piécette sur le second terme de cette alternative : il a été bien éduqué certes mais, malheureusement, une case lui aura manqué, un jour ou tout au long de sa formation. D’où son irresponsabilité complète.

On ne comprendrait pas, sinon, qu’il ait pu se trouver, à chaque fois et sous 2 et ½  présidents différents, à des postes où, manifestement, il n’avait rien à faire. Dans une certaine mesure, tout au moins compte tenu de ses problèmes psychologiques. Car ceux-ci, ne se voyaient pas comme le nez au milieu de la figure et les CV ne le disaient pas qui étaient eux-mêmes, parfaits !

Le problème sénégalais, c’est cela. Nos grands décideurs, nos dirigeants ont toujours eu des œillères et elles sont de taille : ils ne cherchent jamais, ou alors très rarement, à voir au-delà des parchemins présentés ou des filières suivies. Et c’est ainsi que toujours ou le plus souvent en tout cas, le préjugé prend la place de la bonne vieille preuve. De ce très gros défaut de tout notre système d’évaluation, Moubarack Lô a tiré le plus grand profit. Et ainsi, au lieu d’aller, très utilement pour lui et pour la communauté, consulter à propos de ses probèmes psychologiques ou comportementaux, il est allé encombrer et boucher les allées du pouvoir  jusqu’à devenir directeur de cabinet adjoint du Président de la République ;

Vu la proximité qu’un tel poste induit ou suggère, Macky Sall peut vraiment remercier le ciel  de ne devoir déplorer que les nombreuses saillies que son ex-très-proche collaborateur ne cesse de lancer dans sa direction et à chaque fois qu’il le peut. Car ce dernier aurait bien pu l’agresser ou, peut-être, pire encore, qui sait ?

Pour arriver à remplir un CV comme celui de Moubarack Lô on doit bien avoir quelques qualités, quand même !  Et il en a, et c’est bien cela qui est assez terrifiant ! On m’a dit qu’il avait consulté et qu’il consultait encore. C’est bien là la preuve qu’il n’est pas si fou que cela ou alors que son analyste est, soit connivent, complaisant soit, alors, incompétent. C’est pourquoi, je ne suis pas étonné qu’il parle de Lamine Loum et de Diagna Ndiaye en même temps et avec tant d’insistance : il cherche pour l’un une écurie présidentielle en vue de la prochaine course.  Ce qui est d’ailleurs à n’y rien comprendre puis qu’il est déjà à Rewmi ! et s’agissant de Diagna pour  enfin sortir de l’exil médiatique où son narcissisme forcené avait fini par le confiner.

Et ça, ça lui était  plus que  tout insupportable. Etre vu et surtout être reconnu, c’est cela qu’il veut à tout prix. L’idée si haute qu’il se fait de lui-même, de ses capacités et de son importance, il veut la partager avec tous afin que tous la partagent enfin.

Dans son esprit troublé il croit pouvoir trouver des ressources dans ses propres fantasmes. Ainsi, encense-t-il Lamine Loum. Pourquoi Lamine Loum ? Parce que, suggère t’il, il l’avait pratiqué entre 1998 et 2000 lorsque celui ci était premier ministre. Mais tout le monde sait que Loum n’avait fait qu’hériter de lui : il ne l’avait ni appelé, ni promu. C’est d’autant plus vrai qu’en matière économique et financière Loum ne se fiait qu’à l’expertise de Lamrane Dème. Cela est  connu de tous et d’abord de Moubarack lui-même. Mais il ne veut rien voir dans son envie maladive de se voir jouer un rôle qui puisse le sortir enfin de l’anonymat dont le sort a voulu qu’il soit sa vraie place.

S’agissant de Diagna, nous osons espérer qu’il  ne répondra pas, au cas où il viendrait à nous lire, à ne pas se formaliser de ce que Moubarack a pu dire sur lui. Ce n’est et ne sera jamais que le reflet de l’envie.

Car, en fin de compte, vouloir noircir l’image de Diagna Ndiaye aujourd’hui c’est la seule manière qu’a trouvé Moubarack pour se mettre à  sa hauteur et profiter un peu de la lumière qu’il dégage et qui fascine. Comme il ne peut  pas et jamais ne pourra monter à sa hauteur il a trouvé un expédient : le faire descendre à la sienne !  C’est peine perdue évidemment. Mais là encore seul un homme normal peut comprendre cela et Moubarack Lo ne l’est pas complètement. C’est une tragédie pour lui et un vrai drame pour nous.

Massaer Diallo
Chargé d’enseignement à Bordeaux
[email protected]

Vidéo-Tueries à Grand Yoff: Les populations réagissent

PHOTOS: Lord Alajiman en pèlerinage à la Mecque

PHOTOS: Lord Alajiman en pèlerinage à la Mecque

Lord Alajiman est en ce moment en pélérinage à la Mecque. Un voyage dont il fait part sur sa page facebook en déclarant :

LABBAIKA LAHOUMA LABBAIKA
L’APPEL DE D’ALLAH (swt)
 
Le Miséricordieux l’infiniment SAGE m’a choisit cette année pour le pèlerinage à La Mecque Vers LUI Le très Haut Afin de Réitérer mon dépôt de Foi
 
AMANA BILAHI WA RASSOULIHI WA YAWMIL AHIRR
 
Je crois En Dieu, Au messager Seydina Mohamed (Asw) au jour du Jugement Dernier
 
Je sollicite votre Pardon pour tout acte Volontaire ou involontaire de ma part et sollicite Vos prières afin que ALLAH (Swt) accepte mon HAJJ
 
Recevez également mes prières pour Vous vos familles, 
mon Pays le Sénégal , l’Afrique et Tous les croyants du monde.
 
Merci Encore

Prières

PHOTOS: Lord Alajiman en pèlerinage à la Mecque

 

PHOTOS: Lord Alajiman en pèlerinage à la Mecque

 

Moustapha Cissé Lo a insulté…La réponse sur sa famille est une humiliation…Qui sont ses parents ?

Moustapha Cissé Lo a insulté…La réponse sur sa famille est une humiliation…Qui sont ses parents ?

C’est l’escalade de la violence verbale au Sénégal entre les tenants du pouvoir et les petits-fils de Serigne Touba. Pour la première fois dans l’histoire politico religieuse de notre cher, jamais des propos aussi durs et humiliants n’ont été tenus à l’encontre des membres d’une famille religieuse. Et surtout quand il s’agit de la grande famille religieuse de Touba…
A l’origine, était Macky Sall et ses « marabouts-citoyens ». Et depuis lors, ses lieutenants surtout Moustapha Cissé Lô qui a accusé des chefs religieux de Touba de « Porcs »…de « Chiens »…
Mais la réplique ne s’est pas fait attendre et elle est très dure. Dans sa récente sortie à Walfadjri, Serigne Modou Bousso Dieng, le président des jeunes chefs religieux du Sénégal et par ailleurs petits-fils de Serigne Touba, a attaqué Moustapha Cissé Lô et a ressorti des vieux dossiers concernant le père et la mère de Moustapha Cissé Lô.
Selon le jeune marabout, le père de Moustapha Cissé Lô « était soûlard, sa mère trempée dans des histoires de mœurs »
Serigne Modou Bousso Dieng va plus loin en se posant ces questions : « Quelle cause produit l’effet Moustapha Cissé Lô ? De quel milieu social vient-il ? »
Alors là, les réponses sont très dures : « Cissé Lô est le fils de Gorgui Aliou Lô, un soulards troublant qui s’occupait des sales boulot de Senghor et sa maman était une gérante de resto qui a été expulsée de Touba pour des affaires de mœurs…»
Et pour le président des jeunes chefs religieux du Sénégal, c’est « Macky et Marème Faye qui sont derrière Moustapha Cissé Lô » car « Quand Cissé Lo attaque Serigne Abdou Fatah et les autres chefs religieux, Macky ne dit rien et dès qu’il s’est mis à s’attaquer à Moustapha Niasse, Macky Sall a réagi ».
Ces échanges entre Moustapha Cissé Lô et Serigne Modou Bousso Dieng mettent en mal Macky Sall qui tente de recoller les morceaux avec la cité religieuse de Touba…Et cette fois, ça sent la déchirure entre Macky et les Mourides…Voir l’article suivant

Penda Sow pour xibaaru.com

Gorgui Sy Dieng – “«Siiw du jammi boromam» pour reprendre le lead vocal du Raam Daan, Thione Ballago Seck”

Gorgui Sy Dieng n’est pas seulement généreux envers ses partenaires de l’équipe nationale de basket. Mais aussi envers ses fans. En effet, nos capteurs l’ont filmé, hier aux environs de midi, à Sacré coeur 2 faire un acte de générosité. Deux énergumènes tenant difficilement sur leurs jambes, dès qu’ils l’ont vu, se sont dirigés vers lui en entonnant en choeur dans une voix traînante : «Dieng Saala Dieng Saala ca kanam kanam». Bon prince, Gorgui leur glissa un billet de banque avant que le chauffeur ne démarre. Satisfaits, ils continuèrent leur chemin. «Siiw du jammi boromam» pour reprendre le lead vocal du Raam Daan, Thione Ballago Seck.

Gorgui Sy Dieng n’est pas seulement généreux envers ses partenaires de l’équipe nationale de basket. Mais aussi envers ses fans. En effet, nos capteurs l’ont filmé, hier aux environs de midi, à Sacré coeur 2 faire un acte de générosité. Deux énergumènes tenant difficilement sur leurs jambes, dès qu’ils l’ont vu, se sont dirigés vers lui en entonnant en choeur dans une voix traînante : «Dieng Saala Dieng Saala ca kanam kanam». Bon prince, Gorgui leur glissa un billet de banque avant que le chauffeur ne démarre. Satisfaits, ils continuèrent leur chemin. «Siiw du jammi boromam» pour reprendre le lead vocal du Raam Daan, Thione Ballago Seck.

Cambriolage du domicile de Babacar Gaye : Un Galaxy S6 Edge Gold, un ordinateur Sono Viao, une tablette… emportés

Babacar Gaye: «On ne peut pas faire du Pds sans Wade»

 

On en sait un peu plus sur le cambriolage du domicile du porte-parole du Parti démocratique sénégalais. D’après La Tribune, les malfrats, qui ont visité nuitamment la maison de Babacar Gaye, ont bien ciblé leur victime. En effet, ils n’ont pris que des objets « riches en information ». Il s’agit, renseigne le journal, d’un Galaxy S6 Edge Gold, d’un ordinateur Sony Viao, d’un Galaxy Grand Duos, d’une tablette 2, d’un Ipad Air, d’un ordinateur Macbook Pro, d’un porte-documents contenant un passeport et 2 chéquiers. Compte tenu du fait qu’il n’y a ni argent ni bijoux volés, nos confrères indiquent qu’ils sont nombreux à accréditer la « piste politique ».

Vidéo-L’habillement et le comportement des danseurs dans Info people de Petit dej Walf tv

Aliou Sall, maire de Guédiawaye : « S’il fallait renoncer à ma fonction de…

aliou sall

Aliou Sall, maire de Guédiawaye : « S’il fallait renoncer à ma fonction de maire pour que Macky Sall soit réélu, je le ferais »

Macky Sall peut compter sur son frère Aliou Sall pour assurer sa réélection. Ce dernier se dit même prêt à « renoncer à sa fonction de maire pour qu’il soit réélu ». Le maire de Guédiawaye a fait cette révélation, dimanche dernier, lors du lancement du mouvement dénommé Mobilisation autour du Président Macky Sall. « Les Sénégalais qui sont de bonne foi reconnaissent que Macky Sall pose, au quotidien, des actes allant dans le sens de l’intérêt général. Depuis le début de son magistère, il n’a pas encore été accusé de détournement de milliards. Tout le contraire de ceux qui étaient là et qui, après avoir été chassés du pouvoir, n’ont, aujourd’hui, que leur bile à déverser. Ils n’ont, pour seul et unique programme, que la libération d’un prisonnier dont le sort a déjà été scellé », a encore déclaré Aliou Sall dans L’Obs.
dakarposte.com

Lac de Guiers 2 : «je ne laisserai pas tranquille Eumeu Séne, tant qu’il n’aura pas accordé ma revanche »

Lac de Guiers 2 : «je ne laisserai pas tranquille Eumeu Séne, tant qu’il n’aura pas accordé ma revanche »

Lac de Guiers 2 a du mal à avaler comme une pilule amère sa première et seule défaite de sa carrière, face à Eumeu Sène, le 08 avril 2012. C’est le moins que l’on puisse dire, en se fondant sur l’entretien accordé par le lutteur à l’Observateur, ce mercredi. En tout cas, le lutteur du Walo a fait savoir qu’il n’aura pas la vie tranquille, tant qu’il n’aura pas pris sa revanche sur Eumeu Séne.
«Qu’il ne dorme plus tranquille. Je ne le laisserai jamais tranquille que quand il m’aura accordé ma revanche. Tant qu’il sera en activité, je vais la lui réclamer. Le jour où il me terrassera 2 fois, je saurai qu’il est plus fort que moi », a soutenu Lac 2, dont le dernier combat est sanctionné par une victoire face à Papa Sow.
Lac de Guiers 2 dit avoir tourné la page Gris Bordeaux. Parce que le lutteur du Walo dit avoir cherché en vain à croiser le 3e Tigre de Fass. Pis, un membre de l’encadrement de Fass à savoir Mbaye Guèye, souligne-t-il, l’a écarté parmi les potentiels adversaires du lutteur de Fass.
Alors que Lac de Guiers 2 estime que 3e Tigre de Fass n’est pas plus méritant que lui. « Depuis 2 ans, j’ai voulu affronter Gris Bordeaux. Mais c’en est fini !. Je ne veux plus de lui. Je tiens à dire que le palmarès de Gris Bordeaux n’est pas meilleur que le mien », a argumenté le lutteur du Walo.
Assane SY (Actusen.com)

Photo exclusive : l’accident du consul général sénégalais et son vice-consul à Milan… Regardez

Le consul général du Sénégal à Milan Rokhaya Bâ et son vice-consul Khady Sall, ont fait un accident de voiture lors du gamou annuel de Serigne Babacar Sy à Milan. En effet, la voiture du consul général est entrée en collision avec une autre voiture. Dans cette voiture se trouver le gendarme Mbaye Diouf… Regardez

Abdoulaye Mbaye PEKH a encore bénéficié des largesses de Me WADE : un 4X4 MERCEDES

11997317_1790251571201457_1838351591_n

L’amitié est quelque chose de confiance entre deux être qui s’aiment et qui se disent la vérité, et cela est prouvé par ces deux grandes figures du sénégalais, les deux Abdoulaye : WADE et Mbaye PEKH. En vérité, Abdoulaye Mbaye PEKH a reçu tout fraîchement un cadeau du Pape du SOPI, Me WADE. Il s’agit d’une voiture 4X4 MERCEDES. Une récompense méritée, car Mbaye PEKH est toujours fidèle à son leaders, même après le déclin

Double meurtre à Grand-yoff : de graves révélations sur les frères Bâ…

Double meurtre à Grand-yoff : de graves révélations sur les frères Bâ...

Ces éléments de l’enquête qui mettent à nu le vrai visage des défunts frères Ba et de leur bourreau

De nouveaux éléments se sont fait jour, hier, dans l’affaire du double meurtre de la Cité Millionnaire, à Grand-Yoff. En effet, selon des éléments de l’enquête bouclée ce mardi par les hommes du Commissaire Boubakar Wade de Grand Yoff, le meurtrier Bouba Sakho et les défunts frères Ba sont tous du milieu interlope.

On en sait un peu plus sur la mort des frères Ba Nassirou et Abdourahmane dit Mara, sauvagement poignardé par un «psychopathe» répondant au nom de Bouba Sakho à la Cité Millionnaire, à Grand-Yoff. En effet, des éléments de l’enquête ont révélé plusieurs zones d’ombre dans la vie antérieure des défunts frères et de leur bourreau. Lesquelles révélations vont certainement accabler la famille Ba qui réclame justice.
Toujours est-il que le meurtrier Bouba Sakho sera déféré au parquet aujourd’hui sous le chef d’un double homicide volontaire. Mais, d’après des éléments de l’enquête du Commissariat de Grand-Yoff qui a été bouclée ce mardi, les défunts frères Ba Nassirou et Abdourahmane dit Mara, ne sont pas des enfants de chœur.

Le meurtrier et ses victimes tous du milieu interlope
Dans ce quartier pauvre de la Cité Millionnaire, où règnent en maître la promiscuité, le chômage, le manque d’infrastructures sociales de base et l’absence d’éclairage, ils sont connus des services de police au même titre que leur meurtrier, Bouba Sakho. Cette zone étant par ailleurs réputée criminogène.
De source autorisée, il ressort que «Bouba Sakho et les défunts frères Ba sont tous du milieu interlope». «Ce sont des habitués des faits. Ils sont tous dans le même sac. La mère des frères Ba est venue à maintes reprises à la police déposer une plainte contre ses défunts fils. Ce ne sont pas des enfants de chœur. Ce sont tous des drogués», a révélé une source proche de l’enquête. La même source de renchérir en soulignant qu’«ils étaient tous ivres au moment des faits. Et le meurtrier a été formel qu’ils ont voulu l’agresser et qu’il les a bien identifiés. Et c’est pourquoi il s’est défendu».

Bouba Sakho déféré au parquet aujourd’hui
Notre interlocuteur de regretter qu’on ait donné la parole à la famille du défunt sans écouter la version de l’accusé alors que c’est une affaire de voyous qui a mal tourné. De toute façon, annonce-t-il, l’enquête est bouclée et le meurtrier sera déféré au parquet aujourd’hui.

Diner d’Etat au Portugal : ce que les Présidents sénégalais et portugais se sont dits

Les trois (3) avocats, Mes Mbaye Sène, Mounirou Balane et Abdou Nging, commis d’office par le président de la Chambre Africaine Extraordinaire (Cae), ont déploré, ce mardi, les incidents notés lors de l’audience du 21 juillet, où l’accusé a été appelé à comparaître de force par le Président des Cae, Gustave Kam. Me Mbaye Sène de la partie civile a estimé que le dossier est défendable.

Ce Mardi 08 septembre 2015, le Président Macky Sall a pris part au diner d’Etat organisé en son honneur par Son Excellence, Anibal Cavaco Silva, Président du Portugal. 

A cette occasion, les Président Sall et Silva ont délivré un discours d’amitié et de fraternité aux autres invités composés par les délégations des deux pays. 

Le dîner d’Etat a en outre été marqué par la présence de la première dame du Portugal, celle de la Présidente de l’assemblée nationale ainsi que celle de hautes personnalités politiques et publiques. 

Côté sénégalais, le secteur privé a été fortement représenté avec la présence de Baidy Agne du CNP, Mbagnik Diop du MEDES, Serigne Mboup, de la chambre de Kaolack, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa, Amadou Diagne du FOGECA, Moustapha Cissé de la Chambre de commerce de Diourbel, Lamine Niang Président de la Chambre de commerce de Dakar. 

4E0A6075Nous vous proposons, in extenso, les discours du Président Macky Sall et de son homologue Cavaco Silva. 

TOAST PRONONCE PAR SON EXCELLENCE MONSIEUR MACKY SALL, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL, AU DINER OFFERT EN SON HONNEUR A L’OCCASION DE SA VISITE OFFICIELLE AU PORTUGAL 

Excellence, Monsieur le Président Anibal Antonio Cavaco Silva, 

Madame la Première Dame, Monsieur le Premier Ministre, 

Madame la Présidente de l’Assemblée nationale, 

Mesdames, Messieurs, 

Chers invités, 

Monsieur le Président, au nom de ma délégation et en mon nom personnel, je voudrais vous remercier pour votre aimable invitation et l’accueil chaleureux qui nous a été réservé. 

Par le fait de l’histoire, les liens entre le Sénégal et le Portugal sont anciens. 

Il y a plus de cinq siècles, en 1444, Denis Dias, le célèbre navigateur Portugais, débarquait sur nos côtes, marquant le début de la présence portugaise au Sénégal. De cette présence, est né le facteur humain. Des Sénégalais bon teint portent des noms à consonance portugaise : Silva, Pereira, Da Costa, Monteiro, Carvalho ou Dias ; comme Jean Paul Dias, ici parmi nous. 

Dans Elégies des Saudades, poème qu’il écrit en 1955 à Coimbra, notre premier Président, Léopold Sedar Senghor, réclame son métissage biologique et évoque sa «goutte de sang portugais », perdue dans sa mer de négritude. 

photo offiIl y a donc ce passé qui nous rapproche. Nos deux pays entretiennent aussi une coopération riche de plusieurs Accords, dont le premier remonte en janvier 1975. Nous travaillons ensemble dans des domaines aussi variés que les infrastructures, le secteur maritime, la construction, le commerce des produits halieutiques et industriels, entre autres. 

Mais nous voulons faire plus pour le renforcement de notre partenariat. C’est le sens de la Convention que nos deux pays ont conclue afin d’éviter la double imposition et prévenir l’évasion fiscale. C’est aussi le sens du Forum économique que nous tiendrons demain avec des entreprises portugaises dans le cadre ma visite. 

Nous partageons en même temps les valeurs universelles de paix, de liberté et de démocratie au sien de la Communauté des pays de Langue Portugaise, dont le Sénégal est Observateur associé. 

Voilà pourquoi nous-nous concertons régulièrement sur des questions d’intérêt commun, y compris le soutien au dialogue pour la paix et la stabilité en République sœur de Guinée Bissau. 

Monsieur le Président, je tiens à saluer ici le précieux apport de votre pays aux progrès de l’humanité. Terre de culture, d’ouverture et de créativité, le Portugal a su forger et entretenir dans la science, l’architecture, l’art et la production intellectuelle les fondements impérissables d’une vieille et riche civilisation. 

Parmi vos nombreux et brillants esprits, je veux rendre hommage au talentueux cinéaste Manoel d’Oliveira, doyen mondial du 7e art, récemment disparu à 106 ans, après une carrière inégalée de plus de 80 ans ; à Amalia Rodrigues, la reine du fado, et à Fernando Pessoa, qui a enchanté le monde avec sa merveilleuse œuvre, Le livre de l’intranquilité. 

Naturellement, on ne peut parler de talents portugais sans penser à feu Eusébio, « O pantera negra, la panthère noire », et à Cristiano Ronaldo ; n’est ce pas, chers amis ? 

Je me réjouis à présent de porter un toast en votre honneur, Monsieur le Président, et au succès des relations d’amitié cordiale et de coopération confiante entre nos deux pays. O brigado !

 

Malade : Serigne Mbacké Ndiaye victime d’une attaque mystique ?

serigne-mbacké-ndiaye-6

Serigne Mbacké Ndiaye est malade. Samedi dernier, il a été croisé à l’hôpital général de Grand-Yoff (ex-Cto), marchant difficilement avec des béquilles, informe “Le Populaire”. Il était accompagné de ses enfants, dont la journaliste de Walf, Thioro Mbar Ndiaye. Renseignement pris, le leader de la Convergence libérale patriotique (Clp), qui souffrait d’une grippe, s’est retrouvé mal en point avec les pieds enflés. “Le Populaire” soutient que sa famille prend très au sérieux cette situation, pensant qu’il fait l’objet d’une attaque mystique. Question : Qui en voudrait à l’ancien porte-parole de l’ex-Président de la République, Abdoulaye Wade ?

Viré de son émission, Francesca se confie : « Si c’était à refaire, je le ferais sans… »

Francesca Diafouné

L’animatrice de la RTS, Francesca Diafouné a finalement été viré de son émission, « Diég ak Kereum » suite au commentaire qu’elle avait faite sur l’ex PM, Mimi Touré. L’animatrice de la RTS, Francesca Diafouné a été viré de son émission. Cependant, la dame dit n’avoir rien regretté de ce qui s’était passé. « Je ne regrette rien de ce qui s’est passé et si c’était à refaire, je le ferais sans était d’âmes. Je pense sincèrement qu’il n’ya pas de mal à faire les éloges de quelqu’un encore que ce que j’ai dit sur Mimi Touré ne peut pas être assimilé à cela. Je me suis juste permis de faire un commentaire sur elle, c’est tout… », Dit-elle dans l’Observateur.

Oumar Sarr sur l’audience accordée à Aliou Sow et Cheikh Diallo : « S’ils veulent s’allier à Macky au détriment du peuple, cela n’engage qu’eux »

Oumar Sarr, Pds : “ J’ai honte du Président !”

L’audience que le chef de l’Etat a accordé au leader du Mouvement des patriotes pour le développement (Mpd/Liggeey), Aliou Sow, et à l’ancien chargé de Communication de Karim Wade, Cheikh Diallo, continue de faire des vagues. Le coordonnateur national du Parti démocratique sénégalais, Oumar Sarr, préfère jouer à l’indifférent d’autant plus que ces deux-là ne sont plus du Pds. « Ceux qui ont rencontré Macky Sall ne sont pas du Pds, donc je ne peux pas faire de jugement de valeur. Tout de même, s’ils ont eu à être nos collaborateurs et qu’ils veulent s’allier à Macky Sall au détriment du peuple, cela n’engage qu’eux. Si Macky Sall pense qu’ils peuvent lui apporter quelque chose, cela n’engage que lui », a tranché le maire de Dagana.

France : Une Sénégalaise tuée et jetée dans la Seine

C’est La Tribune qui file l’information. Une Sénégalaise du nom de Aminata Dia a été tuée et jetée dans La Seine, en France.

C'est La Tribune qui file l'information. Une Sénégalaise du nom de Aminata Dia a été tuée et jetée dans La Seine, en France.

Aminata Dia, fille d’un sous-officier de la gendarmerie nationale sénégalaise, a disparu depuis le 31 août dernier. Les recherches entreprises par sa famille n’avaient rien donné. Ce n’est que vendredi que le corps de la dame, âgée de 34 ans, a remonté à la surface de La Seine. La police criminelle françaises’est dépêché sur les lieux avant d’annoncer la mauvaise nouvelle à la famille. Le corps de la jeune femme a été déposé à l’Institut médico-légal de Paris pour autopsie. La victime laisse derrière elle un enfant de 2 ans. Ses proches exigent que la lumière soit faite sur cette mort. Le consul général du Sénégal à Paris, Amadou Diallo, qui confirme l’information a déclaré : « Nous attendons les résultats de l’enquête de la police criminelle française pour savoir la suite que nous allons donner à cette affaire ».

Révélation sur le double meurtre de Grand Yoff : Ces éléments de l’enquête qui montrent le vrai visage des défunts et de leur bourreau

Révélation sur le double meurtre de Grand Yoff : Ces éléments de l’enquête qui montrent le vrai visage des défunts et de leur bourreau

On en sait un peu plus sur la mort des frères Bâ, poignardés par le nommé Bouba Sakho, à la cité millionnaire de Grand Yoff. A en croire Le Populaire, des éléments de l’enquête ont révélé plusieurs zones d’ombre dans la vie antérieure des défunts frères et de leur bourreau. D’après des éléments de l’enquête du Commissariat de Grand Yoff, qui a été bouclée ce mardi, les défunts frères n’étaient pas des enfants de chœur. Dans ce quartier pauvre qu’est la cité millionnaire, où règnent en maître la promiscuité, le chômage, le manque d’infrastructures sociales de base et l’absence d’éclairage, les frères Bâ sont connus des services de police au même titre que leur meurtrier. Cette zone étant, par ailleurs, réputée criminogène.

De source autorisée, il ressort, selon le journal, que « Bouba Sakho et les frères Bâ sont tous du milieu interlope ». « Ce sont des habitués des faits. Ils sont tous dans le même sac. La mère des frères Bâ est venue, à maintes reprises, à la police déposer une plainte contre ses défunts fils. Ce ne sont pas des enfants de chœur, ce sont tous des drogués », révèle une source proche de l’enquête qui renchérit : « Ils étaient tous ivres au moment des faits. Et le meurtrier a été formel : ils ont voulu l’agresser et il les a identifiés, c’est pourquoi il s’est défendu ».

La source de regretter qu’on ait donné la parole à la famille des victimes sans écouter la version de l’accusé alors que c’est une affaire de voyous qui a mal tourné. De toutes les façons, annonce-t-il, l’enquête est bouclée et Bouba Sakho sera déféré au parquet aujourd’hui double homicide volontaire.

Révélations sur l’arrestation de Zoheir Wazni, l’une des premières fortunes libanaises à Dakar

La communauté libanaise au Sénégal est privée d’un de ses plus gros bonnets. Zoheir Wazni, présenté comme l’une des premières fortunes libanaises à Dakar, séjourne depuis une semaine, à la maison d’arrêt de Rebeuss.

8242795-12885603

Zoheir Wazni est un ressortissant libanais, installé à Dakar depuis plusieurs années, et patron de beaucoup de sociétés, a été écroué pour escroquerie et banqueroute frauduleuse. L’homme d’affaires est accusé d’avoir pompé près de neuf milliards de francs Cfa à la Société générale de banque au Sénégal (Sgbs) avant de faire le mort. Mais, informe Libération, cette affaire n’est que la face visible d’un vaste pillage de la Sgbs qui a connu des résultats négatifs cette année. En vérité, ce sont trois hommes d’affaires libanais qui ont réussi la prouesse de « s’asseoir » sur 100 milliards de francs Cfa de la Sgbs qui a déclenché des poursuites tous azimuts pour recouvrer ses fonds. Le journal renseigne ainsi que la Société industrielle de bois et d’acier (Siba) est dans le collimateur de la banque qui lui réclame une belle ardoise.

Administrateur des sociétés Atol Sa, Semco Sarl, Siparco Sa, Siplast Sa, Sci Nour, Zoheir Wazni a été placé sous mandat de dépôt par le doyen des juges d’instruction Mahawa Sémou Diouf. L’enquête suit son cours.

Procès Habré : Et si le Colonialisme refaisait surface !

Hissein Habré aux gardes pénitentiaires: «Dégagez, mercenaires!»

Devant les images du Roi du désert affaibli, fatigué par la clameur populaire que de gros bras de gaillards se passent comme un ballon de ping-pong, je ne puis me retenir de pondre cette modeste contribution. Comparaison n’est pas raison, me direz-vous. Mais comme, à mes yeux, il y a des similitudes, beaucoup de similitudes dans ces deux affaires que je tiens à partager avec vous, alors je plonge. Hissène Habré et Tidjani Thiam, « le héros » de Amadou Hampathé Bâ, ne seraient-ils pas deux hommes aux destins identiques ? Du moins, dans ce que nous en offre « le spectacle judiciaro-politique, qui se déroule au pays de la Téranga (?) », à la grande joie de l’activiste américain Reed Brody, « chasseur de dictateurs » pour certains, « gourou » pour d’autres, mais qui se veut «un défenseur des droits de l’Homme ou un militant pour la Justice sociale», de l’avocat Me Jacqueline Moudeina et Cie…

Si vous l’aviez lu, c’est tant mieux. Si ce n’est pas le cas, suivez avec moi, le procès de Tidjani Thiam que intitulé : «Justice imposée, justice négociée…», dans «Relire Amadou Hampâté Bâ pour une approche africaine du Droit… de Christophe EBERHARD et Aboubakri Sidi NDONGO».

«(…) Enfin, ce fut le jour du procès. Selon l’usage colonial, le tribunal, en tant que tribunal de deuxième degré, était présidé par le commandant lui-même – le tribunal du premier degré étant présidé par l’adjoint du commandant (Ndlr : Commandant de cercle qui équivaut au préfet d’aujourd’hui). Il était assisté de plusieurs assesseurs indigènes, tous originaires de Bandiagara, et de son interprète Bâbilen Touré qui répétait à haute voix toutes les paroles prononcées de part et d’autre. Tidjani Thiam et ses codétenus comparurent enchaînés à l’audience. On appela Tidjani Thiam à la barre.

Selon la formule consacrée, le commandant, en tant que président du tribunal, lui demanda, par le truchement de l’interprète : – Quels sont tes nom, prénom, profession et domicile ?

Abdallah, un ami de Tidjani qui assistait à l’audience, ne put contenir son indignation. Il s’exclama en peul d’une voix forte : – Vraiment, il est étonnant de voir comment Dieu, qui a tant donné aux Blancs en fait de science pour la fabrication de machines ou autres objets matériels, a par ailleurs affecté leur esprit d’une certaine imbécillité ! N’est-ce pas une preuve de bêtise de la part du commandant que de demander à Tidjani Thiam, ses nom, prénom, profession et domicile ? Qui ne connaît le fils d’Amadou Ali Thiam dans ce pays ?

A son tour Tidjani, offensé par la question, s’écria : – Le commandant m’a-t-il tellement oublié qu’il ne se rappelle même plus mon nom et mon titre ?… Eh bien, je suis Tidjani, fils d’Amadou Ali Thiam, chef de la province de Louta, arrêté pour avoir vengé son frère et ses hommes assassinés à Toïni alors qu’ils prélevaient l’impôt pour le compte de la France.

Sans paraître attacher d’importance à la déclaration de Tidjani, qui avait été traduite par l’interprète, le commandant, imperturbable, continua : – Accusé ! Lève la main droite et jure de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité !

Là, c’en était trop ! Comme piqué par un dard, Tidjani se dressa et secoua furieusement ses chaînes. Il tenta de lever sa main pour pointer son index vers le commandant afin de souligner ce qu’il allait dire, mais ne pouvant y parvenir, il se pencha par dessus la barre et cria d’une voix tremblante d’indignation : – Comment peut-on supposer à l’avance que je ne dirai pas la vérité, alors que je n’ai même pas encore ouvert la bouche pour exposer les faits ? La vérité, je ne la pratique pas pour plaire à un homme, fût-il roi ou toubab (européen). Je la pratique parce que Allâh, par la bouche de son envoyé Mohammad, a commandé de toujours dire la vérité. Mais puisqu’on insinue que je pourrais ne pas la dire, et qu’on veut me faire jurer pour être sûr que je ne mentirai pas, je refuse de jurer. Et à partir de maintenant, personne n’entendra plus de ma bouche ni mensonge ni vérité. Que l’on fasse de moi ce que l’on voudra. Je ne parlerai plus.(…)

  1. C’est par là que commence ma comparaison entre les deux hommes qui, bien que tous deux musulmans, habitants du désert (Niger et Tchad), aristocrates (Prince et Guerrier/ Président de la République et Chef de guerre), en effet si le mobile de leur procès n’est pas le même et ne se tient pas dans les mêmes circonstances, leurs époques également sont lointaines, même s’il y a des ressemblances dans leur espace et leur façon de vivre, quelques éléments comparatifs existent : le refus de parler…, quel que soit cela doit coûter.
  1. L’enfant de Faya-Largeau, en plus d’être un homme d’État est un membre de l’ethnie Gorane ou Toubou et du clan Anakaza, une population pratiquant le pastoralisme et le nomadisme dans le SaharaLeur territoire est centré sur le nord du Tchad mais s’étend au sud de la Libye et au nord-est duNiger, autre élément de comparaison.
  1. Hérodote, le père de l’Histoire les nommait « troglodytes éthiopiens » et (…) dit encore que, « de tous les peuples, ce sont les plus rapides à la course ». Mieux, c’est aussi un peuple courageux qui ne fuit jamais et ne renonce à ses déclarations exactement comme celui de Tidjani Thiam, ajoute un chef religieux sénégalais.
  2. Musulman et pratiquent, Premier ministre le 29 août 1978 du président de la République, le généralFélix Malloum jusqu’au début de la guerre qu’il a lui-même déclenchée le 12 février 1979, en tant que fondateur du Conseil de commandement des forces armées du Nord (CCFAN), lequel est devenu Forces armées du Nord (FAN), puis président de la République du Tchad, de 1982 à 1990 à la suite du coup d’État qui renverse Goukouni Oueddei, Hissène Habré est à ce niveau aussi, comparable à Tidjani Thiam, le Chef de la province de Louta.
  1. Comme Tidjani Thiam, « chef de la province de Louta, arrêté pour avoir vengé son frère et ses hommes assassinés à Toïni alors qu’ils prélevaient l’impôt pour le compte de la France», Habré aussi, a été condamné à mort par contumace pour crimes contre l’humanité par un tribunal de Ndjamena. Actuellement emprisonné au Cap Manuel à Dakar, il est en train d’être jugé par les CAE, depuis le 20 juillet 2015. Son jugement se poursuit encore après un répit de 45 jours. Il est inculpé pour «crimes contre l’humanité, crimes de guerre et actes de torture». Et quoi encore ? On me rétorquera certainement que ces reproches lui ont été faites par sa propre population, victime de sa cruauté, mais est-ce que vraiment la France, la Belgique, les USA… sont innocents ?

Devant les injonctions de la Cour internationale de justice qui avait décidé le 20 juillet 2012 « que le Sénégal avait manqué à ses obligations internationales et a ordonné aux autorités sénégalaises soit de juger Habré, soit de l’extrader vers la Belgique », l’ancien homme fort du Tcahd subit… Le procès s’est ouvert à Dakar, le 20 juillet 2015 et se poursuit encore, après un répit de 45 jours.

  1. Autre similitude dans ces retentissants procès contre le Colonialisme, Abdallah, l’ami de Tidjani n’a-t-il pas eu les mêmes réactions que les Béchir Hissein Habré, Guihini Moussa Habré, Salah Habré, Brahim Habré, Ouardougou Hamid Habré, Habré Rozi Oroley, Hissein Guihini,Abakar Wouagni, Hassan Koreï Togoï, Issa Barkaï Kogri, Abakar Bichara, Hissein Bichara, tous interpellés par les forces de l’ordre après avoir assimilé la comparution manu militari de Habré à de la brutalité et à de l’intimidation ?

Si l’histoire de Tidjani (qui puise sa naissance dans l’optique de comparer l’importance de la parole dans la société africaine traditionnelle à laquelle veut se substituer l’Occident qui impose l’écrit), est considérée comme une opposition du droit à «se faire justice soi-même, à se venger», celle de Habré ne serait-elle pas, elle aussi, «une vengeance de l’Occident (France, principalement) contre la prise d’otage et la détention de plusieurs ressortissants européens, dont l’ethnologue Françoise Claustre entre 1974 et 1977» ?

Et dans ce cas, n’y aurait-il pas dans cette affaire, comme on le dit bien au Sénégal, un parti-pris clair de l’Occident, supportant un camp contre un autre, alors que tous les deux ont fait les mêmes bêtises et atrocités. Bref, du «Kumba am Ndey contre Kumba Amul Ndey», pour ne pas dire du David (Habré) contre Goliath (Deby Itno) ?

  1. En effet, l’attitude de Tidjani Thiam qui ne voulut plus participer activement à son procès, mais décida de le subir en se murant dans le silence quoi qu’il advienne, est la méthode adoptée par Hissène Habré pour laver l’affront.

Qui disait : « mieux vaut vivre un jour comme un Lion que cent ans comme un mouton » ?

Vive l’Afrique debout et combattante !

A bas le colonialisme, comme disait feu Ahmed Sékou Touré, Président de la Guinée.

Par Hadramé Samba DIALLO, Citoyen du Monde ; Tel : 78 292 93 11

Contre une gestion « partisane » : Le FPDR annonce deux sit-in devant la RTS1 et…

Contre une gestion « partisane » : Le FPDR annonce deux sit-in devant la RTS1 et…

Le Front patriotique pour la défense de la République est en colère contre la gestion du régime du président Macky Sall dans certains dossiers. « C’est le cas dans le traitement de l’information pour tous à la radio télévision sénégalaise (RTS) », disent ces responsables.

Pour se faire entendre, le FPDR a annoncé mardi en conférence de presse deux marches. Une devant la RTS 1 et une autre devant le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique.

«On va tenir un sit-in devant la RTS pour exiger qu’elle devienne ce qu’elle n’aurait jamais du cessé d’être, un média de service public financé par des impôts des Sénégalais et qui doit refléter les points de vue, les sensibilités de cette population dans sa diversité», a déclaré le Coordonnateur national du Front patriotique pour la défense de la République, M. Mamadou Diop Decroix.

Dans ses récriminations, le leader d’And Jëf/PADS déclare : «on vient de boucler la campagne sur les inscriptions sur les listes électorales. Mais jusqu’au jour où nous vous parlons, aucune rencontre n’a eu lieu entre parti politiques sous l’égide du ministère de l’Intérieur pour évaluer cette campagne alors que nous récusons le ministre de l’Intérieur comme organisateur des prochaines élections».

Et de poursuivre : «nous allons montrer que nous sommes contre, en organisant une manifestation de protestation devant le ministère de l’Intérieur», a encore annoncé le coordonnateur du FPDR.

Agent De La Mairie Filmé En Plein Ébats: Les Présumés Diffuseurs De La Vidéo Jugés Lundi Prochain

Rebondissement dans le scandale sexuel à la mairie de Médina. Il s’agit de la vidéo diffusée en mars dernier, sur la toile, montrant le bras droit du maire Bamba Fall, D. C, 66 ans, en pleins ébats dans son bureau avec une jeune fille de 29 ans. L’affaire a atterri hier à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar.

Le dossier a été enrôlé pour être jugé hier, mais il a été finalement renvoyé pour comparution de la partie civile et des témoins.

Les suspects se nomment Amadou Sow et Soumanké Coulibaly, inculpés pour association de malfaiteurs, collecte illicite de données à caractère personnel et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs. Le premier, Sow, est socialiste et dirige une association pour la défense des intérêts de la Médina.

 

Il est un opposant à son camarade maire, Bamba Fall. Le second, Coulibaly, est présenté comme un apériste et il est vacataire pendant les périodes de campagne de vaccination.

Tous les deux ont été arrêtés par les éléments de la division des investigations criminelles (DIC). Sur les motifs de leur arrestation, les policiers ont été intrigués par le fait que tous les deux aient changé de téléphone portable après l’éclatement de cette affaire. Les policiers les soupçonnent de vouloir effacer toute traçabilité.

Vrai ou pas, Sow a confié avoir offert son téléphone à son épouse avant d’acheter un autre. Son coprévenu a argué avoir perdu le sien. Outre le changement de téléphones des prévenus, un témoin a mis la puce à l’oreille des policiers en leur révélant que Coulibaly disposait de la vidéo diffusée sur la toile le 17 mars 2015.

Ce que le prévenu a nié. Sow lui, a été perdu par son commentaire fait sur la toile à propos de la vidéo. La personne qui a diffusé la vidéo a créé une page Facebook usant comme identifiant le nom de Astou Fall et avec comme profil la photo du maire Bamba Fall.

C’est sur cette page que la vidéo a été publiée avec l’intitulé ‘’dafma dig ligééy, tëdééma si biir buroom’’ (Il m’a promis du travail et a abusé de moi dans son bureau). Et Sow fait partie des premières personnes à commenter la vidéo, mais il a clamé son innocence. Idem pour Coulibaly accusé d’être l’auteur du film.

L’enquête a révélé que la vidéo a été prise à partir du service de vaccination où il y a une fenêtre menant dans le bureau de la partie civile. Il se trouve qu’à l’exception de Coulibaly, tous les agents de ce service sont des femmes et la moins âgée a 40 ans. Donc pour les enquêteurs, seul Coulibaly a pu monter sur le lavabo et filmer la victime.

Agent De La Mairie Filmé En Plein Ébats: Les Présumés Diffuseurs De La Vidéo Jugés Lundi Prochain

Ces anciennes choristes qui font danser les mélomanes

Ces anciennes choristes qui font danser les mélomanes
Elles ont toutes débuté en portant les chœurs d’artistes confirmés avant de se faire une place au soleil de la musique sénégalaise

 

Titi : Un talent confirmé

 

Ces anciennes choristes qui font danser les mélomanes

 

Ndéye Fatou Tine a réussi tant bien que mal à se frayer un chemin dans la galaxie musicale sénégalaise. Elle commence sa carrière par la danse en assurant les chorégraphies de la chanteuse Fanta Mbacké Kouyaté. Plus tard, elle assure les chœurs de nombreux artistes dont Souleymane Faye, Fallou Dieng et Demba Dia. C’est en Guinée que Youssou Ndour la repère et lui conseille de revenir au Sénégal afin de la produire. Depuis lors, le conte de fees se poursuit. Et ce même, elle a quitté Prince Arts le label qui l’a fait découvrir

 

Viviane Chidid : Une vraie Reine du Mbalakh

 

Ces anciennes choristes qui font danser les mélomanes

 

Elle fait partie des valeurs sûres de la musique sénégalaise. La native de Mbour a débuté par la variété. Son ami Mbacké Dioum le présente à Youssou Ndour qui cherchait une choriste en 1991. Un rôle qu’elle a merveilleusement joué en y alliant du professionnalisme. Celle qui deviendra par la suite l’épouse de Bouba Ndour fera par la suite une carrière solo. Et, elle ne cesse de truster les premières places du hit parade

 

Aïda Samb : A star is born

 

Ces anciennes choristes qui font danser les mélomanes

 

Meilleure artiste traditionnelle au cours des Koras Awards de décembre 2013 à Abidjan alors qu’elle venait de se faire connaitre du grand public, cette récompense confirmait l’immense talent de cette fille de la balle qui a commencé à chantonner à l’âge de 9 ans. Elle fait ses armes en assurant les chœurs pour de nombreux artistes. Paarmi lesquels, on peut citer Baaba Maal, Yoro Ndiaye, Kiné Lam, Mapenda Seck et Youssou Ndour. La sortie de son 1er album lui a permis de rattraper le temps perdu. Depuis, la magie ne cesse d’opérer

 

Maréma : Une ascension fulgurante

 

Ces anciennes choristes qui font danser les mélomanes

 

Maréma est la dernière à faire sensation dans le milieu de la musique. Juste après la sortie de son single titré « femmes d’affaires », elle remporte le Prix « Découverte RFI » l’année dernière. Une récompense qui lui a permis de sillonner le continent africain en assurant des concerts de plus de 20 dates. Jamais une ascension n’a été aussi fulgurante pour une jeune artiste. Avant d’en arriver là, elle a assuré les chœurs de nombreux artistes

Reportage à Pikine, Guédiawaye, Yeumbeul, Parcelles Assainies… – La banlieue sous les eaux

La journée d’hier a été cauchemardesque pour les habitants de la banlieue à cause des fortes pluies enregistrées à Dakar. À Pikine, Guédiawaye, Thiaroye, aux parcelles Assainies… les sinistrés crient au désarroi, pris en étau entre des habitations englouties et des routes condamnées.

 

La journée d’hier a été cauchemardesque pour les habitants de la banlieue à cause des fortes pluies enregistrées à Dakar. À Pikine, Guédiawaye, Thiaroye, aux parcelles Assainies… les sinistrés crient au désarroi, pris en étau entre des habitations englouties et des routes condamnées.

Les fortes pluies enregistrées dans la banlieue dakaroise ont causé beaucoup de dégâts. Pendant presque trois heures d’affilée, hier, le ciel a ouvert ses vannes, plongeant les populations de la banlieue dans un désarroi total. Plusieurs quartiers de Pikine et des Parcelles Assainies pataugent encore sous les eaux. A Thiaroye Tally Diallo, Guinaw Rail, de nombreux quartiers sont complétement inondés.

impossible d’emprunter la route qui va de Tally Diallo à Yeumbeul. Ici, la route est impraticable. Les automobilistes sont obligés de faire demi tour pour emprunter l’autoroute. Même scénario sur la route des Niayes à Pikine. Pourtant une station de pompage a été installée dans cette localité pour soulager les populations. La station n’ayant pas fonctionné, l’eau a fini par envahir la route. Du coup, les véhicules sont prisonniers des eaux et ne peuvent plus s’aventurer dans cette zone. Quant aux piétons, ils sont obligés de s’attacher les services des charretiers pour traverser la zone.
 
Le commissariat de police de Thiaroye situé sur le même tronçon n’a pas été épargné par les eaux de pluie. Ici, on n’a pas l’impression de se trouver dans un poste de police ; l’eau dicte sa loi. A Mousdalifa, Bagdad, dans la commune de Guédiawaye, la situation est la même. La préfecture de Guédiawaye est envahie par les eaux tout comme le stade Amadou Barry qui, pourtant, a récemment subi des travaux de reconstruction. Des familles, des mosquées de la banlieue sont également sous les eaux.
 
Autre lieu, même décor. Aux Parcelles assainies, les populations ne sont pas mieux loties. Au niveau du croisement menant au  cinéma des Parcelles Assainies, sur la route du lycée de Fadia, à l’Unité 4… les populations ne savent plus à quel Saint se vouer. Plusieurs quartiers, en effet, sont inondés. Les dégâts matériels sont innombrables. Les sinistrés n’ont plus que leurs yeux pour pleurer.
 
A Dakar, pluie rime avec embouteillage. A cause des fortes pluies enregistrées hier dans la banlieue dakaroise, l’autoroute à péage très empruntée par les automobilistes qui voulaient éviter l’autoroute principale inondée, a connu un embouteillage monstre. Du pont de Hann jusqu’à la descente à Pikine, au niveau du Technopole, l’autoroute à péage est restée bloquée. Des centaines de véhicules sont restés coincés dans cette zone pendant un bon moment.

L’As

Diourbel : Pour désigner un Imam, Ibadous, Mourides et Tidianes soldent leurs comptes par des coups de poings

Diourbel : Pour désigner un Imam, Ibadous, Mourides et Tidianes soldent leurs comptes par des coups de poings

Des fidèles musulmans se sont donnés en spectacle avant hier dans la commune de Diourbel. Cela s’est passé précisément au quartier de Grand-Diourbel. C’est le choix d’un imam pour diriger la prière de “Timis” qui a été à l’origine des problèmes. Mourides, Ibadou et Tidianes ont chacun voulu que celui dirige la prière soit issu de leur confrérie. N’ayant pas pu accorder leurs violons, ils s’en sont venus aux mains. Les coups de poings, les babouches et les insultes fusaient de partout à la mosquée. 

Le préfet de la localité Saer Ndao s’est saisi de cette affaire hyper sensible. D’ailleurs des sources dignes de foi et très proches du commissariat urbain de Diourbel, renseignent que la mosquée risque d’être fermée jusqu’à nouvel ordre au cas où le conflit devrait aboutir à des risques de troubles à l’ordre public.

Senego

Journal Direct-Info Direct info : Les travailleurs veulent mettre Cheikh Amar sur la ligne « Directe »

cheikh-amar-3

Après avoir mis à genou le journal Direct-Info avec des séries de licenciements abusifs, M. Pape Diogoye Faye, directeur général dudit journal n’arrive plus à payer les salaires du personnel. C’est ainsi que la section synpics de Direct-Info tire la sonnette d’alarme pour attirer l’attention de Cheikh Amar sur les pratiques peu orthodoxes de ce sieur Diogoye, sorti on ne sait d’où. Elle compte organiser un sit-in le vendredi devant les locaux de Direct-Info.

« Réuni en urgence ce 7 septembre 2015, le bureau de la section Synpics de Direct-Info tire la sonnette d’alarme dans la situation dramatique que M. Pape Diogoye, directeur général de Direct-Info, a plongé le journal. Le personnel de Direct-Info est dans le désarroi total. A cette date, les travailleurs n’ont toujours pas perçu leur salaire du mois de juillet. Nous sommes aujourd’hui à deux mois d’arriérés de salaire. M. Faye paye à la tête du client et cible les agents qu’il rémunère, faisant ainsi croire qu’il s’est acquitté de ses obligations et devoirs alors qu’il n’est nullement en règle avec la loi », précise-t-on dans le communiqué de la section Synpics de Direct-Info.

D’après les travailleurs, la situation des correspondants est encore plus dramatique eu égard au fait que certains sont restés plus de dix mois sans percevoir leur salaire.
Ils ont célébré la fin du ramadan sans avoir perçu leur salaire et craignent de se retrouver dans la même situation en cette veille de Tabaski et de rentrée des classes.

Et le communiqué de préciser : « Après avoir mis à genoux le journal avec des licenciements abusifs, Pape Diogoye a maintenant fini d’asphyxier financièrement le personnel. La section fustige et dénonce la gestion catastrophique de directeur général, M. Pape Diogoye Faye. Le journal ne dispose aujourd’hui que de deux ordinateurs. Tout le reste du parc informatique est en panne ».
La section demande à Cheikh Amar de prendre toutes ses responsabilités parce que M. Faye soutient agir en son nom.
La section Synpics de Direct-Info estime qu’elle reste mobilisée pour défendre son outil de travail et suit attentivement la situation en étroite collaboration avec le Bureau Exécutif National du Synpics.

Aujourd’hui, elle demande le départ de Pape Diogoye Faye à la tête de Direct-Info parce qu’il a lamentablement échoué tout en étalant son incompétence. Et les travailleurs exigent, entre autres, un audit de l’entreprise pour que M. Amar puisse
être édifié sur certaines pratiques pas du tout orthodoxes.
Pour face à cette situation, la section compte organiser un sit-in le vendredi 11 septembre 2015 à 11 heures devant les locaux de Direct-Info pour exiger le payement de toutes les arriérés et le départ de M. Faye à la tête du journal.

 

Les derniers mots de Youssou Diédhiou à son frère : « mangui go Ouagadougou dém dieuli malade »

Selon nos confrères de dakaractu,Youssou Diédhiou plus connu sous le surnom de You, était un infirmier officiant à "SOS MEDECIN". Il était un des passagers avec deux autres sénégalais, une française, deux algériens et un congolais, à bord de l’avion sanitaire de la compagnie Sénégal Air qui a disparu depuis samedi dernier.

Selon nos confrères de dakaractu,Youssou Diédhiou plus connu sous le surnom de You, était un infirmier officiant à « SOS MEDECIN ». Il était un des passagers avec deux autres sénégalais, une française, deux algériens et un congolais, à bord de l’avion sanitaire de la compagnie Sénégal Air qui a disparu depuis samedi dernier.

Si depuis, les moyens sont mobilisés pour ramener les corps à leurs familles, son petit frère Cheikh Diédhiou se rappelle des derniers mots qu’il lui a prononcés.
Selon Cheikh, son frère lui a dit : « mangui go Ouagadougou dém dieuli malade », avant de partir pour ne plus jamais revenir…

Luc Sarr, conseiller du Président: « Nous avons trouvé dans les caisses de l’aéroport LSS 912 mille FCfa

Luc Sarr, conseiller du Président: "Nous avons trouvé dans les caisses de l'aéroport LSS 912 mille FCfa

La relance du tourisme sous Macky Sall est abordée par son conseiller Luc Sarr, dans un entretien au quotidien Walfadjri. Abordant l’instauration suivie de la suppression du visa touristique, « on abandonne pas le projet, mais on le suspend. C’est aussi simple que cela », répond d’emblée le conseiller du président, qui se contredit plus loin, tranchant cette fois-ci pour la suppression définitive: « Non. Nous avons déjà discuté et nous avons stabilisé », assène Luc Sarr à la question de savoir si le visa touristique peut être restauré demain.

« Le budget de l’aéroport est maintenant entre 27 et 30 milliards de francs »

Abordant la situation de l’aéroport Léopold Sédar Senghor dont il est le président, il rappelle qu’ « En janvier 2012, cet aéroport était officiellement mort. A partir du 31 décembre 2010, l’ancienne équipe avait décidé qu’il n’aurait plus d’investissement parce que son destin était destin était d’être détruit et transféré à Diass. Le projet était de faire une « Cité africaine des affaires » parce qu’on avait dit que Diass serait prêt en 2011 et tout serait transféré là-bas. Nous avons hérité de ça. Le premier acte pris par le président de la République a été de dire: « Non, je maintiens l’aéroport », explique Luc Sarr, non sans mettre l’accent sur les investissements consentis depuis lors.

« Nous avons trouvé dans les caisses 912 mille francs, le budget est maintenant entre 27 et 30 milliards de francs. Nous avons remis cet aéroport à flots et à quel prix? » s’est-il interrogé.

FC Nantes : Djilobodji, des retombées financières jusqu’au Sénégal ?

djilabodji

Si le club de Moissy-Cramayel devrait récupérer un joli pactole, après le transfert de Djilobodji de Nantes à Chelsea, il n’est pas le seul.
Interrogé par le site Sen360, Bounama Dièye, dirigeant de l’AS Saloum où a joué Djilobodji par le passé, en dit plus sur les fameuses indemnités de formation dont bénéfice le club francilien.
« D’abord, il y a un problème d’appellation et je comprends l’inquiétude de certains. En fait, à la place de «club formateur» il faut dire «club d’accueil». Et ce club d’accueil, c’est Moissy-Cramayel. C’est dans ce club, qui est en France, que Djilobodji a atterri avec un statut d’amateur après avoir quitté le Sénégal. Si les dirigeants de Moissy-Cramayel espèrent récupérer une certaine somme, c’est parce qu’au moment de céder le joueur sénégalais au Fc Nantes, ils ont inclus dans la transaction, cette clause financière, qui entre en compte au moment d’un transfert de Nantes vers un autre club (aujourd’hui c’est Chelsea). »

Néanmoins, les clubs sénégalais pourraient également avoir droit à une petite part du gâteau. « Cependant, les clubs sénégalais où Djilo est passé peuvent bénéficier de retombées de son transfert grâce à ce qu’on appelle le mécanisme de solidarité, prôné par la FIFA. C’est un mécanisme où le montant sera déterminé en fonction d’un calcul qui sera fait entre les différentes fédérations concernées. »

Auteur: Butfootballclub.fr

MAMADOU DIOP DECROIX : « Nous sommes choqués par le traitement subi par le président Hissène HABRE

mamadou diop decroix

En conférence de presse ce mardi, le Front de l’Opposition a abordé le dossier de l’ancien président du Tchad Hissène HABRE. Mamadou DIOP DECROIX, Coordinateur du Front a fustigé le traitement subi par le président HABRE: « Nous sommes choqués par le traitement subi par le président Hissène HABRE. Un ancien président africain qu’on maltraite comme ça, cela n’est pas sénégalais. Les européens vont rire des africains. Il faut que le président DEBY aussi, soit jugé. Une plainte a été déposée contre lui. Il ne faut pas qu’on fasse une justice sélective dans cette affaire. Pourquoi le président DEBY et les autres ne sont pas convoqués? Le président HABRE ne mérite pas ce traitement. Au Sénégal nous connaissons la téranga et le respect des personnes. HABRE a le droit de ne pas se présenter au procès. Il n’existe aucune loi dans le monde qui exige qu’on maltraite un accusé pour le faire comparaître de force » a déclaré Mamadou DIOP DECROIX…

A Grand-Yoff les agresseurs font la loi : Les habitants réclament un commissariat

Les multiples agressions notées à Grand-Yoff inquiètent  les habitants de la localité. Ces derniers estiment ainsi que la localité doit avoir un commissariat pour réduire les agressions, car le seul poste de police ne suffit plus pour faire reculer les malfaiteurs. les agresseurs font la loi et les habitants ne dorment plus de peur d’être pris au dépourvu par les agresseurs qui ne reculent devant rien. Le  quartier Arafat est le lieu le plus dangereux de cette localité, selon un habitant qui se prononçait sur les ondes de Sud Fm…