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Vidéo – Éventuelle amnistie de Sonko ? Cheikh Bara Ndiaye lâche le morceau “ liniou beugu

Vidéo –  » Je ne pense pas au dialogue » Kilifeu raille Khalifa » loy wakh wa kogne ba, ya woxone n’a bok rek »

Vidéo –  » Amna candidat you diégué Sonko beug dialogue bi » Impressionnante révélation du juriste Pa Moussa

Liberation imminente de Sonko ? Cheikh Bara Doly confirme et lâche un scoop «dineu fi ak…» (Vidéo)

Moustapha Diakhaté : Si Macky Sall reste au pouvoir un jour de plus, « c’est une usurpation de fonction »

Moustapha Diakhaté a exprimé une opposition à la décision du président de la République, Macky Sall, concernant l’élection présidentielle. En effet, le président Sall a annulé le décret convoquant le corps électoral, reportant de facto l’élection initialement prévue pour le 25 février 2024. Par la suite, l’Assemblée nationale a légiféré pour organiser cette élection présidentielle au 15 décembre, un changement qui a suscité diverses réactions au sein du pays.

Lors d’une émission sur la chaîne ITV, Moustapha Diakhaté a formulé une critique sévère à l’encontre de cette décision, marquant un écart notable avec son soutien habituel aux décisions du président Sall. Il a évoqué la structure de la démocratie représentative au Sénégal pour souligner que la prolongation du mandat du président au-delà de ce qui est statué par la Constitution s’apparenterait à une « usurpation de fonction ». M. Diakhaté a précisé sa pensée de manière suivante : “Au Sénégal, nous avons opté pour ce qu’on appelle une démocratie représentative. C’est le peuple qui élit les conseils municipaux, c’est également le peuple qui élit les députés, et c’est encore le peuple qui élit un président. Ces mandats ne sont pas régis arbitrairement par des lois, mais ont été établis par ce que l’on nomme un principe électif. La Constitution a déterminé que le Président de la République est élu pour 5 ans, et une fois ces 5 ans écoulés, si l’on ajoute ne serait-ce qu’une journée de plus à ce mandat, on se retrouve dans une situation d’usurpation de fonction. C’est là le principe”, explique-t-il.

Pour renforcer son argumentation, Moustapha Diakhaté a utilisé une analogie religieuse, comparant le mandat présidentiel aux Rak’as dans la prière musulmane : “Je vous donne l’exemple du nombre de Rak’as dans la prière : vous n’avez pas le droit d’en rajouter un seul, sinon votre prière n’est pas considérée comme valide. De la même manière, le mandat n’appartient ni aux députés, ni aux conseils municipaux, ni au président de la République. Le mandat est donné par le peuple, et le peuple seul, à travers le vote. Si on devait ajouter quelque chose à ce principe, cela signifierait que nous nous écartons du principe électif, et par conséquent, que nous ne nous situons plus dans le cadre de la démocratie représentative”, a-dit M. Diakhaté, ex-président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakar.

Karim Wade impatient de se battre avec Ousmane Sonko

Depuis le Qatar où il est en exil, Karim Wade, candidat du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), exprime son souhait de voir Ousmane Sonko, le leader de Pastef, recouvrer la liberté pour en découdre avec lui.

Karim Wade trépigne d’impatience de se battre avec Ousmane Sonko. Et le mal qu’il lui souhaite aujourd’hui, avant la date fatidique, c’est d’être libéré de prison et d’avoir une santé de fer, dit-on trivialement chez nos amis lutteurs.

Karim Wade, sur X, exprime son impatience de voir Ousmane Sonko retrouver rapidement la liberté, rejoindre sa famille et ses partisans, et pouvoir passer le prochain Ramadan parmi les siens.

Wade souhaite que tous les candidats puissent s’affronter dans un climat serein lors de l’élection présidentielle prévue pour le 15 décembre prochain.

Le leader du Pds espère que le scrutin sera démocratique, ouvert, inclusif et transparent, permettant ainsi aux Sénégalais de choisir leur prochain leader en toute liberté.

Wade-fils félicite également les personnes qui œuvrent depuis huit mois pour la libération de Sonko, citant notamment Pierre Goudiaby Atepa, Alioune Tine, Seydi Gassama, Boubacar Camara, et d’autres, qui travaillent discrètement pour cette cause.

Possible Libération de Sonko : Me El Hadi Diouf prend la parole

Après la réaction de l’ex-masseuse Adji Sarr, celle de son avocat est attendue. Les Échos annonce que Me El Hadji Diouf fera face à la presse ce mercredi après midi. La robe noire a convoqué la presse chez lui, aux Almadies, à partir de 16 heures.

Dans un entretien exclusif accordé à Seneweb lundi, Alioune Tine annonce que Ousmane Sonko devrait être libéré dans les prochains jours. Adji Sarr n’a pas tardé à manifester son opposition à cette éventualité. «Je ne pardonne pas, il (Sonko) doit purger sa peine. Un point, un trait. Je ferai face, peu importe les conséquences », a-t-elle vigoureusement réagi.

La source rappelle que Me El Hadji Diouf fait aussi partie des candidats recalés de la course présidentielle par le Conseil constitutionnel.

Abdou Diouf : « Le Conseil constitutionnel que j’ai créé reste le garant ultime de nos institutions et de notre démocratie »

Depuis qu’il a quitté le pouvoir, le 1er avril 2000, l’ancien président Abdou Diouf dit s’être « toujours abstenu de tout commentaire sur la vie politique sénégalaise, fidèle en cela à la ligne républicaine tracée par le président Léopold Sédar Senghor ».

Malheureusement, la situation qui prévaut au Sénégal le pousse à rompre son serment d’être à équidistance de la vie politique de son pays.

« J’ai décidé de rompre le serment que je m’étais fait, car notre pays vit une crise institutionnelle sans précédent. Je constate, avec regret et tristesse, que la lettre publiée avec ma signature et celle du président Abdoulaye Wade suscite beaucoup d’incompréhension. Je tiens à préciser afin qu’il n’y ait aucune équivoque, que le Conseil constitutionnel que j’ai créé en 1992, reste le garant ultime de nos institutions et de notre démocratie. C’est à lui et à lui seul de dire le droit et de prendre les décisions qui s’imposent à tous concernant le calendrier électoral et le respect de la durée du mandat présidentiel », écrit le président Abdou Diouf.

En ce sens, il demande au peuple sénégalais, à la classe politique et aux dirigeants de faire preuve « de retenue et d’intégrité en appliquant à la lettre les dispositions de notre Constitution tout en préservant les libertés publiques acquises de haute lutte dans la construction de notre démocratie ».

« Je renouvelle au peuple sénégalais ma sincère et indéfectible affection ainsi que ma reconnaissance pour les longues années de confiance à son service », conclut l’ancien chef d’Etat.

Report de la présidentielle : Le khalife des Tidianes exprime sa position

Le Khalife général des Tidiane des Tidianes Serigne Babacar Sy Mansour s’est prononcé sur le report de l’élection présidentielle au Sénégal.

Dans sa lettre publiée par Igfm, il invite l’opposition à accepter la main tendue du Chef de l’Etat. Et à ce dernier, il l’encourage à privilégier la concertation, le dialogue inclusif et constructif avec toutes les forces vives de la Nation, pour trouver une issue heureuse dans les meilleurs délais à cette impasse.

Enfin aux populations, le guide religieux les exhorte à faire preuve de retenue et éviter toute confrontation avec les forces de l’ordre ou destruction des biens publics.

Voici in extenso son communiqué

Au nom de Dieu, le Très Miséricordieux, le Tout-Miséricordieux.

Salut et prières sur le Meilleur des Hommes, l’Elu par qui Dieu a permis l’existence de tout ce qu’Il a voulu créer. Dieu l’a choisi parmi les hommes. Il est tendre et clément vis-à-vis de ceux qui le suivent (la Umma). Dieu l’a envoyé en tant que témoin, annonçant les bonnes nouvelles mais aussi en tant qu’avertisseur.

Il l’a en outre exhorté à renoncer aux intérêts partisans, à cultiver la paix et à privilégier le dialogue et le compromis lorsqu’ils peuvent conduire à préserver la vie humaine et à restaurer la paix civile. C’est ce que m’inspire l’attitude qu’il avait adoptée, à Houdaybiya, sur le chemin du Pèlerinage, refusant de marcher sur la Mecque et les Mecquois, contre l’avis de la plupart de ses compagnons. Cette trêve a été qualifiée de « victoire éclatante » par le Coran. (S48, verset 27)

La situation politique très tendue dans notre pays et les derniers évènements qui ont fini d’emporter trois de nos fils interpellent à la fois ma conscience en tant que citoyen et ma responsabilité en tant que chef de communauté religieuse.

Je voudrais m’associer à la douleur de leurs familles à qui je présente mes condoléances les plus attristées, tout en les assurant de mes prières afin qu’ils reposent éternellement en paix.

C’est à cette paix et à la retenue que j’invite tout le monde, acteurs politiques, membres de la société civile comme simples citoyens, pour préserver ce que nous avons de plus cher : notre volonté commune de vivre ensemble dans un Sénégal apaisé et réconcilié autour de tous ses enfants.

M’adressant au Président de la République, Macky SALL, je voudrais l’inviter et l’encourager à privilégier la concertation, le dialogue inclusif et constructif avec toutes les forces vives de la Nation, pour trouver une issue heureuse dans les meilleurs délais à cette impasse, qui, si elle n’est pas dépassée, pourrait plonger notre pays dans une nuit de regrets et de désolation.

M’adressant à la classe politique dans la diversité de ses courants et de ses positions, je l’exhorte à mettre le Sénégal au dessus de ses contingences partisanes et de ses revendications quelque légitimes qu’elles puissent être et à accepter toute main tendue du Président de la République, pour n’entrevoir que l’intérêt exclusif du peuple sénégalais et la préservation du climat social, afin d’aller vers des élections apaisées et inclusives.

La paix de notre pays et son avenir incombent à tous.

C’est pourquoi j’invite également les autorités religieuses du Sénégal, sans exclusive, à toujours jouer leur rôle de censeurs pour la réconciliation des cœurs et des esprits.

Enfin, j’invite les populations, surtout la jeunesse, dont je comprends les frustrations et les inquiétudes à garder la foi et à faire preuve de retenue. La destruction des biens publics et la confrontation avec les forces de défense et de sécurité n’ont jamais été la solution. Vous êtes la pierre angulaire à partir de laquelle l’avenir de cette nation devra se construire. Que votre voix soit donc entendue dans la concertation et le dialogue. Cela pourra servir d’exutoire à vos insatisfactions.

C’est donc confiant que chacun pourra tirer de mes propos ce qui pourra lui être utile et en faire usage profitable, que je me tourne vers Mon Seigneur pour lui tendre mes mains périssables et lui demander de préserver notre pays des démons de la division et de l’antagonisme.

Paix et bénédictions sur tous.

Serigne Babacar Sy Mansour Khalife Général des Tidianes
Fait à Tivaouane, le mardi 13 février 2024

Situations socio-politique au Sénégal: Les 4 recommandations de la délégation parlementaire de la CEDEAO

En mission depuis le 10 février au Sénégal, la délégation parlementaire de la CEDEAO a clôturé son dialogue avec Président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop. Ceci, sur les enjeux de la loi constitutionnelle portant décalage de la date du scrutin de l’élection présidentielle. 
«Au terme de des consultations, la mission de diplomatie parlementaire s’est félicitée d’avoir une meilleure compréhension de la situation sociopolitique prévalant au Sénégal ainsi qu’une bonne connaissance des actions et initiatives prises par la classe politique dans le cadre de l’organisation de lélection présidentielle de 2024 », a d’emblée fait savoir ladite délégation, ce mardi, à l’Assemblée, au cours d’un point de presse. 
Conduite par leur Mohamed Tunis Sidie, elle a fait des recommandations pour une sortie de crise. 
« La mission de diplomatie parlementaire lance un appel pressant au calme et à la retenue et invite tous les acteurs politiques à s’abstenir de toute forme d’expression qui incite à la violence et attise un climat de tension dans le pays. Elle invite toutes les parties prenantes à privilégier les intérêts fondamentaux de la Nation sénégalaise que sont la paix et la stabilité ainsi que le respect de la Constitution, la promotion de la démocratie, de l’état de droit et de la cohésion sociale », déclare-t-elle.
Avant de poursuivre : «Elle prie instamment tous les acteurs sociopolitiques d’entamer dans l’urgence un dialogue politique national inclusif et fraternel intégrant l’ensemble des acteurs politiques et sociaux pertinents et intéressés afin de parvenir à des solutions consensuelles et creer les conditions favorables à la tenue d’une élection présidentielle ouverte, crédible, inclusive et transparente ».
La mission a aussi demandé à la Commission de la CEDEAO l’envoi, dès la semaine prochaine, d’une mission conjointe de la Commission de la CEDEAO et du Parlement de la CEDEAO afin de faciliter, dans les plus brefs délais, la tenue du dialogue politique national.
Le président de l’Assemblée nationale a dit «prendre toutes les dispositions pour un dialogue entre les différentes parties ». «Les conclusions participeront à l’amélioration du climat social », souligne Amadou Mame Diop. 

Les États-Unis exhortent une fois de plus le gouvernement sénégalais à « organiser l’élection présidentielle dans les meilleurs délais »

L’ambassade des États-Unis au Sénégal exhorte le gouvernement sénégalais à organiser « une élection présidentielle, libre et équitable, dans les meilleurs délais, conformément à la constitution du pays ».
D’ailleurs ce 13 février, l’ambassadeur Raynor a rencontré Aminata Touré pour discuter de la crise politique qui mine le Sénégal. Il a rappelé le rôle essentiel du Sénégal en tant que « modèle démocratique pour la région ». 

Habib Sy : « Ce que Wade m’a dit sur le magistrat Cheikh Tidiane Coulibaly »

Habib Sy
Habib Sy

« Ismaïla Madior Fall use toujours de subterfuges pour trouver des prétextes anticonstitutionnels au Chef de l’Etat. Il est toujours à l’origine de toutes les fois où le droit a été manipulé dans ce pays pour des privilèges électoraux pendant les douze ans de règne de Macky Sall » selon Habib Sy. Le candidat à l’élection présidentielle de 2024 estime que « cette affaire de corruption présumée de deux juges n’est qu’un complot ourdi de toutes pièces par la coalition Wallu et le Chef de l’Etat qui s’est empressé d’abroger le décret portant convocation du corps électoral alors qu’il n’y a aucune crise pour prétendre changer le calendrier électoral ».
Pour Habib Sy, les juges présumés coupables de corruption sont imperturbables. « Wade m’a dit que Cheikh Tidiane Coulibaly n’est pas un magistrat qu’on manipule. Je ne le connais pas personnellement mais si Wade le dit, c’est parce que c’est vrai. Je connais en revanche son frère Latif, ancien Secrétaire général du gouvernement.  Je connais aussi le juge Cheikh Ndiaye depuis le Lycée Faidherbe, Je ne peux croire qu’ils soient corrompus. Ce qui est en train de se jouer est grave.  On casse du sucre sur le dos de la magistrature » témoigne le candidat.
Par ailleurs, Habib Sy précise que « ces magistrats sont d’ailleurs ceux-là qui avaient dit que Macky Sall était dans l’impossibilité de réduire son mandat de 07 à 05 ans quand il a voulu le faire ». Sur le même volet, il invite, la presse à sanctionner Macky Sall.

UGB : L’étudiant Alpha Yoro Tounkara inhumé ce mercredi à Dindéfélo

Alpha Yoro Tounkara
Alpha Yoro Tounkara

L’étudiant Alpha Yoro Tounkara tué, lors des échauffourées à Saint-Louis, sera enterré ce mercredi à Dindéfélo, son village natal, situé dans région de Kédougou, selon nos informations.

Ce pensionnaire de l’université Gaston Berger de Saint-Louis a été atteint par balle au cours des violents affrontements entre manifestants et Forces de défense.

Négociation Macky-Sonko : Boubacar Camara dément Karim Wade

Boubacar Camara
Boubacar Camara

Sur son compte X (ex twitter), Karim Wade a parlé d’une négociation en cours entre le président de la République, Macky Sall et Ousmane Sonko. Il a cité Boubacar Camara parmi les médiateurs. Mais la réponse de ce dernier ne s’est pas fait attendre. « Dans un récent tweet, vous m’avez mis dans le lot de « ceux qui officient sans relâche et dans la plus grande discrétion » pour la libération du Président @SonkoOfficiel. Même si je ne comprends pas la motivation de cette sortie, j’ose espérer, vous connaissant relativement bien, que vous l’avez fait de bonne foi, sans aucune volonté de diffuser des informations infondées », a précisé Boubacar Camara.
Poursuivant, le candidat à la prochaine présidentielle nie toute implication. « Je souhaite affirmer sans ambages que je n’ai engagé aucune discussion ni négociation avec le Président @Macky_Sall ou son gouvernement en vue de la libération du Président Ousmane Sonko et des autres détenus politiques. J’ai, depuis ma lettre ouverte au Président de la République de février 2021 et de façon constante, sans aucune contrepartie, dénoncé toutes les manipulations des institutions pour écarter le Président Ousmane Sonko de l’élection présidentielle de 2024 », écrit-il. 

Les États-Unis exhortent une fois de plus le gouvernement sénégalais à « organiser l’élection présidentielle dans les meilleurs délais »

L’ambassade des États-Unis au Sénégal exhorte le gouvernement sénégalais à organiser « une élection présidentielle, libre et équitable, dans les meilleurs délais, conformément à la constitution du pays ».
D’ailleurs ce 13 février, l’ambassadeur Raynor a rencontré Aminata Touré pour discuter de la crise politique qui mine le Sénégal. Il a rappelé le rôle essentiel du Sénégal en tant que « modèle démocratique pour la région ». 

Ce que Antony Blinken a dit à Macky Sall

Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a dit avoir parlé mardi au président Sall pour l’exhorter à tenir des élections « aussi vite que possible ».
Le Sénégal est en proie à l’une de ses plus graves crises politiques des dernières décennies depuis que le président Macky Sall a annoncé le report de la présidentielle le 3 février, à trois semaines de l’échéance.
L’Assemblée nationale a ensuite entériné le renvoi de l’élection au 15 décembre et le maintien du président Sall à son poste jusqu’à la prise de fonctions de son successeur, a priori donc début 2025.
Ce changement in extremis a provoqué des cris de « coup d’Etat constitutionnel ».

Abdou Diouf : « Le Conseil constitutionnel que j’ai créé reste le garant ultime de nos institutions et de notre démocratie »

Abdou Diouf
Abdou Diouf

Depuis qu’il a quitté le pouvoir, le 1er avril 2000, l’ancien président Abdou Diouf dit  s’être « toujours abstenu de tout commentaire sur la vie politique sénégalaise, fidèle en cela à la ligne républicaine tracée par le président Léopold Sédar Senghor ».
Malheureusement, la situation qui prévaut au Sénégal le pousse  à rompre son serment d’être à équidistance de la vie politique de son pays.
« J’ai décidé de rompre le serment que je m’étais fait, car notre pays vit une crise institutionnelle sans précédent. Je constate, avec regret et tristesse, que la lettre publiée avec ma signature et celle du président Abdoulaye Wade suscite beaucoup d’incompréhension. Je tiens à préciser afin qu’il n’y ait aucune équivoque, que le Conseil constitutionnel que j’ai créé en 1992, reste le garant ultime de nos institutions et de notre démocratie. C’est à lui et à lui seul de dire le droit et de prendre les décisions qui s’imposent à tous concernant le calendrier électoral et le respect de la durée du mandat présidentiel », écrit le président Abdou Diouf.
En ce sens, il demande au peuple sénégalais, à la classe politique et aux dirigeants de faire preuve « de retenue et d’intégrité en appliquant à la lettre les dispositions de notre Constitution tout en préservant les libertés publiques acquises de haute lutte dans la construction de notre démocratie ».
« Je renouvelle au peuple sénégalais ma sincère et indéfectible affection ainsi que ma reconnaissance pour les longues années de confiance à son service », conclut l’ancien chef d’Etat.

Négociation Macky-Sonko : Boubacar Camara dément Karim Wade

Macky-Sonko : Boubacar Camara
Macky-Sonko : Boubacar Camara

Sur son compte X (ex twitter), Karim Wade a parlé d’une négociation en cours entre le président de la République, Macky Sall et Ousmane Sonko. Il a cité Boubacar Camara parmi les médiateurs. Mais la réponse de ce dernier ne s’est pas fait attendre. « Dans un récent tweet, vous m’avez mis dans le lot de « ceux qui officient sans relâche et dans la plus grande discrétion » pour la libération du Président @SonkoOfficiel. Même si je ne comprends pas la motivation de cette sortie, j’ose espérer, vous connaissant relativement bien, que vous l’avez fait de bonne foi, sans aucune volonté de diffuser des informations infondées », a précisé Boubacar Camara.
Poursuivant, le candidat à la prochaine présidentielle nie toute implication. « Je souhaite affirmer sans ambages que je n’ai engagé aucune discussion ni négociation avec le Président @Macky_Sall ou son gouvernement en vue de la libération du Président Ousmane Sonko et des autres détenus politiques. J’ai, depuis ma lettre ouverte au Président de la République de février 2021 et de façon constante, sans aucune contrepartie, dénoncé toutes les manipulations des institutions pour écarter le Président Ousmane Sonko de l’élection présidentielle de 2024 », écrit-il. 

Exclusif -Remous de son mariage avec Badiene Sokhna Faye ,Thierno Ndom Ba perd son épouse Sarah Cissé …

Badiene Sokhna Faye ,Thierno Ndom Ba perd son épouse Sarah Cissé
Badiene Sokhna Faye ,Thierno Ndom Ba perd son épouse Sarah Cissé

C’est une information qui vient de tomber, Sarah Cissé la première épouse de Thierno Ndom Ba ,a pris la décision de quitter ce dernier après avoir appris son mariage avec la fille de Mbackiou Faye.Nos sources sont formelles, le couple est bel et bien divorcé ! La belle présentatrice de la Tfm est redevenue un cœur à prendre. Une nouvelle qui va faire plaisir à ses nombreux admirateurs secrets. L’union entre Thierno Ndom qui fut factotum de Pape Aly Gueye ancien mari de Badiene Faye,a été célébrée en marge du magal de Porokhane.
Sanslimitesn vous promet de revenir sur ce mariage qui avec d’autres éléments inconnus du grand public .
Wait and see…


Sanslimitesn.com

Vidéo – Dialogue avec Macky Sall ? Guy Marius livre la réponse inattendue de Sonko“Gniko Seti c@sso danio beugon

Vidéo – Amnistie Sonko Dame Bodji charge Macky « na bayi Sonko mou gnibi keur am négocié wouniou »

Vidéo – Campagne Diomaye Président Guy,Mary Tew,Dame Mbodj haussent le ton «élection day am, dialoguou niou»

Vidéo – « kén waroul amnistié Sonko » Abdou Diallo défend Adji Sarr « si logique am la nék Sonko bés bou nango

Vidéo – Loi amnistie pour Sonko et Cie: le juriste Pa Moussa est catégorique » len rek moy problème bi »

Vidéo – Ousmane Sonko bientôt libéré?Aida mbodj donne une info de taille sur Diouf & Wade »beugon na niou wax

Vidéo – Le message émouvant de Habib Sy à Ousmane Sonko et révèle sur Abdoulaye Wade « Waxnama ni.. « 

Karim Wade : « Je viens d’apprendre qu’Ousmane Sonko est en négociation avec le Président Macky Sall »

La possibilité d’un dialogue entre le Président Macky Sall et l’opposant Ousmane Sonko, ainsi que l’éventualité d’une loi d’amnistie générale pour apaiser la situation politique, suscitent des réactions divergentes au Sénégal.

L’architecte Pierre Goudiaby Atepa et le défenseur des droits de l’homme Alioune Tine révèlent que Macky Sall et Ousmane Sonko seraient disposés à dialoguer, ouvrant la voie à une possible amnistie pour les détenus politiques, dont Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye.

Dans une déclaration récente, Karim Wade, ancien ministre sénégalais et potentiel candidat à la prochaine élection présidentielle, a exprimé son soutien à Ousmane Sonko, actuellement détenu, et a appelé à sa libération rapide.

Voici en intégralité le post de Karim Wade

Je viens d’apprendre qu’Ousmane Sonko est en négociation avec le Président Macky Sall en vue de sa prochaine libération et de celle des personnes emprisonnées avec lui.

Ayant moi-même connu les rigueurs de la détention pendant plus de trois ans et demi, je prie pour qu’Ousmane Sonko recouvre rapidement la liberté, qu’il retrouve sa famille, ses militants et qu’il puisse surtout passer le prochain Ramadan parmi les siens.

Je félicite toutes les personnes, qui depuis maintenant 8 mois qu’il est en prison, officient sans relâche et dans la plus grande discrétion pour sa libération: Pierre Goudiaby Atepa, Alioune Tine, Seydi Gassama, Boubacar Camara et d’autres.

Je suis impatient que nous puissions nous affronter dans la sérénité lors de l’élection présidentielle du 15 décembre prochain dans un scrutin démocratique, ouvert, inclusif et transparent afin que les Sénégalais puissent choisir le meilleur d’entre nous pour présider aux destinées du Sénégal.

Dialogue, loi d’amnistie : La réponse de Ousmane Sonko à l’émissaire du Palais…!

La possibilité d’un dialogue entre le Président Macky Sall et l’opposant Ousmane Sonko, ainsi que l’éventualité d’une loi d’amnistie générale pour apaiser la situation politique, suscitent des réactions divergentes au Sénégal.

L’architecte Pierre Goudiaby Atepa et le défenseur des droits de l’homme Alioune Tine révèlent que Macky Sall et Ousmane Sonko seraient disposés à dialoguer, ouvrant la voie à une possible amnistie pour les détenus politiques, dont Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye.

Selon ’’SourceA’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce mardi, Macky Sall a envoyé un de ses lieutenants rencontrer un proche collaborateur d’Ousmane Sonko. Mais, précise le journal, cette initiative remonte á la veille de l’examen des dossiers de parrainages par la Commission de validation du Conseil constitutionnel.

A en croire le journal, ce responsable de la Mouvance présidentielle est allé rencontrer un proche collaborateur du leader de Pastef pour lui dire de parler avec le maire de Ziguinchor en vue d’une discussion pour détendre l’atmosphère. Le proche collaborateur d’Ousmane Sonko a promis à l’émissaire du Palais qu’il allait voir son leader pour l’informer des intentions du président de la République. Mais d’après ‘’SourceA’’, le maire de Ziguinchor avait, jusque-là refusé la main tendue par le régime.

La marche contre le report de la présidentielle est repoussée

Les organisateurs d’une marche de la société civile sénégalaise prévue mardi contre le report de la présidentielle ont décidé de la repousser après son interdiction par les autorités.

« Nous allons reporter la marche car nous voulons rester dans la légalité. La marche a été interdite. C’est un problème d’itinéraire. Donc nous allons changer cela », a dit à l’AFP Malick Diop, un coordinateur du collectif qui a appelé à manifester.

Dialogue, loi d’amnistie : La surprenante réaction de Khalifa Sall

Selon plusieurs médias, le Président de la République, Macky Sall, prépare une loi d’amnistie générale pour l’apaisement du climat socio-politique. Une nouvelle qui rend sceptique Khalifa Ababacar Sall qui lance des piques au leader du parti ex-Pastef, Ousmane Sonko. Se prononçant sur l’amnistie agitée, lors de son point de presse, ce lundi, le leader de «Taxawu» a même évoqué l’existence de «dessous» de ces concertations en vue.

« Ce dont parle depuis ce matin (lundi) (l’amnistie Ndlr) relève de la spéculation. Puisque jusqu’à présent, ce n’est pas clair. Dans ce pays, malheureusement, il ne faut jamais avoir raison très tôt. Maintenant ce n’est pas seulement une question de loi d’amnistie. Il y a aussi les dessous. Nous, ça nous avait coûté un bashing pendant 3 mois, de juin à septembre. Tout le monde s’en souvient« , a déclaré Khalifa Sall.

Le candidat à la Présidentielle dit niet pour le moment et appelle au front. «Même quand j’étais en prison, nous avions toujours été au dialogue tant que l’intérêt de la nation est en jeu. Mais dans ce contexte, on doit d’abord parler de la question du report avant toute chose. On doit combattre jusqu’à mettre à terme l’idée de report de l’élection présidentielle. Ensuite on pourra dialoguer« , a fait savoir l’ancien maire de Dakar.

Exclusif – Beaucoup de patriotes doutent de la sincérité de Pierre Goudiaby Atepa envers Sonko

Pierre Goudiaby Atepa envers Sonko
Pierre Goudiaby Atepa envers Sonko

Dans les cercles du parti Pastef, la possible libération d’Ousmane Sonko par le biais d’une loi d’amnistie ne suscite pas d’euphorie Au contraire, les proches du leader maintiennent leur focalisation sur la lutte contre le report de l’élection présidentielle, gardant une confiance intacte en Ousmane Sonko.

El Malick Ndiaye, membre de la communication du Pastef semble prendre un autre chemin que celui de l’architecte Atepa qui a recemment confié que Sonko était prêt à dialoguer. Une sortie après que de nombreux patriotes ont dénoncé le fait que Pierre Goudiaby ,traité d’escroc et humilier en direct par le president de la république au palais souligne l’importance de rester concentrés sur le combat politique en cours. « Focus sur le combat contre le report et gardons intacte notre confiance au président Ousmane SONKO. Seul le projet et ses enjeux ont été sa boussole depuis toujours », écrit-il sur Facebook.

Cette déclaration réaffirme la détermination du parti Pastef à poursuivre son objectif malgré les développements concernant la situation légale de son leader. Alors que la possibilité d’une libération de Sonko pourrait sembler être un soulagement pour certains, d’aucuns doutent de la sincérité même de l’homme qui s’est auto-proclamé (intermédiaire direct entre le president Macky Sall) .Ansi donc, le parti Pastef reste résolu à maintenir la pression sur les enjeux politiques actuels.

(Exclusivité Sanslimitesn.com ) – Thierno Ndom Ba se tape la belle Badiéne Sokna Faye ,fille de l’homme d’affaire Mbakiyou Faye en « niaarel »

Thierno Ndom Ba se tape la belle Badiéne Sokna Faye fille
Thierno Ndom Ba se tape la belle Badiéne Sokna Faye fille

C’est une information exclusive de Sanslimitesn ,confirmée par les proches des deux familles. En effet le milliardaire pikinois, très proche du pouvoir surtout la famille présidentielle vient de prendre pour seconde épouse devant Dieu et les hommes, la bellissime Badiene Sokna Faye.

Qui sont ces deux tourteaux …?

Principal protagoniste un homme d’affaires du nom de Thierno Ba, était l’époux de l’ancienne Présidente du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) Aminata Tall avec qui il a divorcé après les remous de son second mariage avec la journaliste Sarah Cissé de la TFM. Nos confrères le décrivent comme le nouveau sherpa de Macky Sall en termes d’acquisition de matériels militaires. Ils le présentent comme un “homme inexpérimenté dans le domaine militaire”, mais qui a su tirer profit de sa proximité avec le pouvoir. Quant à Badiene Sokhna Faye , elle est la fille aînée du prospère homme d’affaires Mbackiyou Faye, représentant du Khalif Général des Mourides à Dakar. Badiene Sokhna Faye était l’épouse du défunt Papa Aly Guéye ,ancien d’homme et chef d’entreprise milliardaire .

Le couple a tout fait pour garder les paparazzis hors de leur jardin secret, mais c’était sans compter sur les rg du groupe Sanslimites.Le mariage a été célébrée à la maison familiale de Badiane Sokna Faye, précisément chez son père, à la cité du même nom.

Sanslimitesn vous promet de revenir très bientôt sur tous les détails de ce mariage qui risque de faire le buzz dans le milieu du showbiz sénégalais

Nous y reviendrons…

Sanslimitesn

El Malick Ndiaye sort du silence, après l’annonce d’une libération probable de Sonko

Dans les cercles du parti Pastef, la possible libération d’Ousmane Sonko par le biais d’une loi d’amnistie ne suscite pas d’euphorie Au contraire, les proches du leader maintiennent leur focalisation sur la lutte contre le report de l’élection présidentielle, gardant une confiance intacte en Ousmane Sonko.

El Malick Ndiaye, membre de la communication du Pastef, souligne l’importance de rester concentrés sur le combat politique en cours. « Focus sur le combat contre le report et gardons intacte notre confiance au président Ousmane SONKO. Seul le projet et ses enjeux ont été sa boussole depuis toujours », écrit-il sur Facebook.

Cette déclaration réaffirme la détermination du parti Pastef à poursuivre son objectif malgré les développements concernant la situation légale de son leader. Alors que la possibilité d’une libération de Sonko pourrait sembler être un soulagement pour certains, le parti Pastef reste résolu à maintenir la pression sur les enjeux politiques actuels.

La déclaration surprenante de Abdoul Mbaye : « Aucun dossier de candidat rejeté ou retenu n’est en règle »

Abdoul Mbaye
Abdoul Mbaye

Candidat recalé pour la Présidentielle, Abdoul Mbaye, par ailleurs ancien Premier ministre, s’est fendu, ce lundi 12 février, d’un post pour revenir sur la question du parrainage qui avait crée une grosse polémique poussant certains candidats dans la même posture à créer le Collectif des candidats spoliés pour dénoncer ces manquements.

« Pour l’établissement de la liste des candidats à l’élection présidentielle le Conseil constitutionnel n’a pas respecté la Constitution du Senegal (art 29) » , affirme Abdoul Mbaye. Ce dernier ajoute : « Nous l’avons dit avant l’introduction des parrainages dans la Constitution. Nous n’avons jamais cessé de le dire et de l’écrire. »

Selon le Leader de Act, « L’article 29 de la Constitution définit les parrainages comme des « signatures d’électeurs » devant accompagner un dossier de candidature. Le Conseil constitutionnel ne vérifie aucune signature de parrainage. Il lui est impossible en 10 jours de contrôler la conformité de 5 millions de signatures, d’autant qu’il ne dispose pas de la signature déposée sur la carte d’électeur pour la comparer à celle portée sur la fiche de parrainage. Donc aucun dossier de candidat rejeté ou retenu n’est en règle. La tromperie doit cesser. La justice et la paix sont à ce prix. A suivre… »

Dernière minute- Bonne nouvelle pour Sonko et l’ex-Pastef

Sonko
Sonko

Dernière minute- Bonne nouvelle pour Sonko et l’ex-Pastef

Enseignement moyen secondaire : Les syndicats vont paralyser le système pendant 48 heures à partir de ce mardi

Les syndicats d’enseignement de plusieurs sections et secteurs se sont engagés dans la plateforme Aar Sunu Élection. Face à la presse, leur porte-parole du jour, secrétaire général du Cadre unitaire des enseignants du moyen secondaire (CUSEMS) a annoncé un plan d’action pour exiger du gouvernement le respect du calendrier républicain et de la Constitution. 
Il s’agit aussi, dans le cadre de la lutte, de faire libérer les élèves et les enseignants détenus arbitrairement dans les prisons ou en garde à vue dans les commissariats de police ou brigades de gendarmerie.
De plus, un débrayage est annoncé suivi d’une assemblée générale demain mardi 13 février dans tous les établissements du pays. L’après-midi, ils vont participer à la marche silencieuse initiée par la plateforme Aar Sunu Élection  dont ils sont membres. Un autre débrayage est aussi prévu le lendemain mercredi  « C’est notre contribution à la synergie d’actions de la plateforme  Aar Sunu Élection », conclut le secrétaire général du CUSEMS.