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Présidentielle 2024 : Barthélémy Dias propose une nouvelle date

Barthélémy Dias
Barthélémy Dias

Pour l’organisation de la Présidentielle, le Conseil Constitutionnel, dans son communiqué, n’a pas donné une nouvelle date. L’instance parle seulement d’organiser le scrutin « dans les meilleurs délais ». Pour Barthélémy Dias, la date du 2 mars pourrait parfaitement correspondre. 
« Le Président Macky Sall ne peut plus être président au delà du 2 avril. L’article 31 dit que les élections doivent se tenir 30 jours avant la fin du mandat du Président. Maintenant, il faut voir comment faire pour organiser les élections le 2 mars prochain. Macky Sall doit tout faire pour organiser les élections à ce jour pour qu’on soit dans les délais », a déclaré le maire de Dakar sur Seneweb. 
Barthélémy Dias d’ajouter : « Si Macky Sall ne le fait pas (n’organise pas la Présidentielle le 2 mars), le président de l’Assemblée sera président de la République à partir du 2 avril et ce dernier devra organiser la Présidentielle dans 90 jours. S’il fait autre chose que ce que le Conseil constitutionnel lui demande, ce sera une haute trahison contre tout le peuple sénégalais ». 

Atépa : «J’ai dit à Sonko ce que Macky Sall m’a dit, et il m’a répondu…»

Dans un entretien avec RFI, Pierre Goudiaby Atépa affirme que le Président Macky Sall lui a demandé de faire son possible en vue d’une solution à la crise politique qui secoue le Sénégal depuis l’annonce du report de la présidentielle. L’architecte assure avoir ainsi rencontré Ousmane Sonko. Et lorsqu’il lui a transmis le message du chef de l’État, l’invitant notamment au dialogue, le président de Pastef a déclaré, selon le médiateur, qu’il souhaitait d’abord consulter ses partisans avant de donner sa position.

Atépa révèle que la libération du leader des Patriotes «est sur la table». Il ajoute que Macky Sall serait aussi disposé à faire libérer dans les prochains jours près d’un millier de «prisonniers politiques».

S’agissant de la tenue de la présidentielle, l’architecte semble écarter la date du 15 décembre, proposée par l’Assemblée nationale et rejetée par l’essentiel des membres de l’opposition, la société civile et une partie de la communauté internationale. Il considère également improbable l’organisation du scrutin le 25 février, initialement retenue. Une date située vers mai lui paraît «raisonnable».

Dans tous les cas, Atépa demande aux uns et aux autres de ne pas s’accrocher à des positions radicales, de faire preuve de souplesse et d’aller vers l’apaisement.

Place de la Nation: Le préfet de Dakar interdit la manif de ce vendredi

La manifestation du Front pour la défense de la démocratie (Fdd) n’aura pas lieu ce vendredi à la place de la Nation.

Le préfet de Dakar s’est opposé à la tenue de ce rassemblement initié par les trois journalistes Salma Fall, Mame Biram Wathie et Serigne Saliou Guèye.
Le préfet Chérif Mouhamadou Blondin Ndiaye a précisé que les trois initiateurs n’ont pas respecté les délais légaux.
« Messieurs,
J’accuse réception de votre lettre rappelée en référence, déposée au niveau de mes services le 13 février 2024 sous le numéro 721, par laquelle vous projetez d’organiser un rassemblement, le vendredi 16 février 2024 à partir de 15 h à la place de la Nation.
En retour, je vous rappelle que conformément aux dispositions de l’article 10 de la loi n°78-02 du 29 janvier 1978 relative aux réunions, la déclaration doit être faite à l’autorité responsable de l’ordre public, au moins trois jours francs avant la date de la manifestation.
Par conséquent, je vous informe que votre déclaration est irrecevable, pour non-respect des délais légaux […] », lit-on dans le document .

Avec Seneweb

Le C.C annule le décret Macky réaction Birahim«le Président doit accepter, il n’y aura pas de recours (Vidéo)

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Liberation m@ssiv€ des d€t£nus , Ces parents jubilent “ danio sonone legui li ci dess moy na Macky..(Vidéo)

Libération des détenus : Khalifa Sall soupçonne un deal secret – « Qu’on nous explique ce qui se cache »

Au cours d’une conférence de presse tenue le vendredi 16 février 2024, Khalifa Ababacar Sall de la coalition ‘Khalifa président,’ a abordé une série de sujets brûlants concernant la récente vague de libérations de personnes considérées comme des détenus politiques par une partie de l’opposition. Ces libérations interviennent dans un climat tendu, précédé par l’arrestation de plusieurs individus pour des motifs divers, tels que troubles à l’ordre public, complot contre l’autorité de l’État, ou appartenance à des groupes qualifiés de terroristes. Nombre de ces détenus étaient liés au soutien d’Ousmane Sonko (lui même en prison), leader du parti Pastef dissous par le gouvernement, que ce soit à travers des manifestations, des cortèges, ou des publications sur les réseaux sociaux.

Les Libérations : Un Acte Salué mais Questionné

Khalifa Sall a débuté son intervention en saluant la décision du gouvernement de libérer ces individus, les comparant à des « otages et prisonniers politiques » dont la libération massive constitue un geste significatif. « De la même manière que j’ai rendu hommage aux morts lors des manifestations, je salue la décision par laquelle de nombreux otages et prisonniers politiques sont actuellement libérés de manière massive, » a-t-il affirmé, soulignant néanmoins que cet acte soulevait plusieurs questions restées sans réponses.

Interrogations sur les Motivations

Le leader de l’opposition a exprimé ses doutes quant aux motivations réelles derrière ces libérations, interrogeant la base sur laquelle le Président Macky Sall s’est appuyé pour agir aussi soudainement. « Dans quel cadre, selon quelles conditions et quelles modalités cette libération s’effectue-t-elle ? Quels sont les véritables enjeux et motivations cachées derrière cette affaire ? » a-t-il demandé, mettant en lumière le besoin de transparence et de clarification de la part du gouvernement.

La Question du Dialogue avec Ousmane Sonko

Une partie significative de son discours a été consacrée aux spéculations entourant d’éventuelles négociations entre Ousmane Sonko et le pouvoir. « Je vous ai déjà dit précédemment qu’il est malheureusement préjudiciable d’avoir trop tôt raison dans ce pays. Qu’on nous le dise ou non, quelque chose se dissimule derrière l’action récente du président. Qu’on le veuille ou non, un dialogue est en cours. C’est là la vérité, » a-t-il déclaré, évoquant un dialogue qui, selon lui, pourrait expliquer ces libérations.

Khalifa Sall a insisté sur l’importance de la transparence, demandant au gouvernement de révéler les détails des éventuels accords ou discussions ayant mené à la libération des détenus. « Cependant, je demande une chose : qu’on nous explique ce qui se cache réellement derrière les actes posés par le gouvernement. Y a-t-il quelque chose en échange ? Le peuple veut savoir. Au nom du peuple, j’attends qu’on nous détaille ce qui se passe réellement, » a-t-il souligné, affirmant la nécessité pour le gouvernement de clarifier sa position et ses actions.

Conclusion : Un Acte Salué malgré les Interrogations

Malgré les questions et les demandes de clarification, Khalifa Sall a conclu sur une note positive, réitérant son approbation de la libération des détenus. « En fin de compte, nous saluons cet acte, » a-t-il dit, marquant son soutien à cette décision tout en restant vigilant et critique envers les motivations et les processus gouvernementaux.

Invalidation du report de la présidentielle : Le Sénégal suspendu à la réaction de Macky Sall

Le Sénégal est suspendu vendredi à la réaction du chef de l’Etat, Macky Sall, au lendemain de l’invalidation par le Conseil constitutionnel du report de la présidentielle qui plonge le pays dans l’inconnu.

L’annulation surprise, annoncée par M. Sall, de l’élection du 25 février puis la décision du Parlement de l’ajourner au 15 décembre, a provoqué l’une des plus graves crises politiques depuis des décennies dans le pays.

L’invalidation de ce report jeudi soir par le Conseil constitutionnel ouvre une nouvelle période de grande incertitude alors que de nouveaux appels à manifester ont été lancés pour vendredi et samedi.

M. Sall avait indiqué la semaine passée qu’il aviserait sur les conséquences qu’il tirerait d’une éventuelle invalidation du report par la juridiction. “Il est trop tôt pour moi de considérer cette perspective… Quand la décision sera prise, je pourrai dire ce que je ferai”, avait-il affirmé lors d’un entretien avec le média américain AP.

Le Conseil a constaté « l’impossibilité d’organiser l’élection présidentielle à la date initialement prévue » du 25 février, compte tenu du retard pris par le processus, et « invite les autorités compétentes à la tenir dans les meilleurs délais ».

Il a réaffirmé le principe d' »intangibilité » de la durée de cinq ans du mandat présidentiel.

Le mandat du président Macky Sall expire officiellement le 2 avril. Elu en 2012 et réélu en 2019, le chef de l’Etat a donné sa parole qu’il ne se représenterait pas pour un troisième mandat.

Pour justifier le report de l’élection, il avait invoqué le « différend entre l’Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel, en conflit ouvert sur fond d’une supposée affaire de corruption de juges ».

A la demande de Karim Wade, dont la candidature a été invalidée, et qui a remis en cause l’intégrité de deux juges constitutionnels, une commission d’enquête parlementaire soutenue par le camp présidentiel a été créée sur les conditions de validation des candidatures.

Macky Sall a dit vouloir une élection incontestable, s’inquiétant du risque de nouveaux accès de violence après ceux de 2021 et 2023.
Libération d’opposants

Les manifestations contre le report de la présidentielle, interdites par les autorités, ont été réprimées et tout rassemblement a été empêché par des forces de sécurité déployées massivement et tirant du gaz lacrymogène. Trois jeunes hommes ont été tués et des dizaines d’autres ont été arrêtés depuis le début de la mobilisation.

Depuis l’annonce du report, l’opposition a crié au « coup d’Etat constitutionnel » et les partenaires occidentaux du pays ont affiché leur préoccupation. Macky Sall a affirmé sa volonté « d’apaisement et de réconciliation » et a proposé un dialogue au reste de la classe politique.

Jeudi, plusieurs opposants ont été libérés de prison. « La plupart de mes clients dans les dossiers montés pour des considérations politiques sont libérés », a indiqué Me Cheikh Koureissy Bâ, assurant que cela concernait plusieurs dizaines de détenus.

Selon une liste diffusée par un collectif de familles de détenus et un autre avocat qui suit ces dossiers, plusieurs figures du mouvement de contestation contre Macky Sall, également soutiens de la figure de l’opposition Ousmane Sonko, ont été relachés.

Parmi eux, Aliou Sané, coordinateur du mouvement « Y’en a marre », Djamil Sané, maire des Parcelles et plusieurs membres du parti d’opposition dissous Pastef.

En revanche, ni Ousmane Sonko, ni son second à la tête du parti Pastef, Bassirou Diomaye Faye, l’un des favoris du scrutin présidentiel, n’ont été libérés.

Plusieurs centaines de membres de l’opposition, plus d’un millier selon certaines organisations de défense des droits humains, ont été arrêtés depuis 2021 et la lutte de pouvoir qui oppose M. Sonko, mis en cause dans plusieurs procédures judiciaires, au chef de l’Etat.

« Le combat continue, pas d’amnistie » : les premiers mots de Pape Abdoulaye Touré

Pape Abdoulaye Touré a bénéficié d’une liberté provisoire. L’étudiant et activiste, qui était sous les liens de la détention depuis juin 2023, a été libéré ce 15 février 2024.

A sa sortie de prison, il s’est exprimé en restant droit dans ses bottes. « Le combat continue, pas d’amnistie », a-t-il déclaré.

L’homme qui a été incarcéré pour actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique, participation à un mouvement insurrectionnel et actions diverses, a remercié ses camarades de Pastef sans manquer de présenter ses condoléances aux familles des manifestants décédés lors des derniers affrontements, « même si Macky Sacky ne l’a pas fait lors du conseil des ministres », ironise-t-il.

Report de la présidentielle annulé : Réaction à chaud de Bougane Gueye Dany

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a pris une décision marquante en invalidant la loi numéro 4/2024, précédemment adoptée par l’Assemblée nationale. Cette loi avait pour effet de modifier les termes de l’article 31 de la Constitution, permettant ainsi le report de l’élection présidentielle initialement prévue, une mesure mise en avant par le Président Macky Sall. Cette annulation réinstaure le calendrier électoral tel que défini par la constitution du pays.

La réaction à cette décision ne s’est pas fait attendre, notamment de la part de Bougane Gueye Dany, un candidat non retenu par le Conseil constitutionnel lors des vérifications des parrainages pour l’élection présidentielle. Il a exprimé son point de vue : “Dans un pays de droit, la décision du Conseil constitutionnel n’est pas surprenante. Ce qui est important, c’est que le Conseil constitutionnel a relevé le niveau du Sénégal. Depuis quelques jours, nous étions la risée du monde. Aujourd’hui, le Conseil constitutionnel a décidé d’annuler la décision qui avait été prise par le président Macky Sall. Grâce à cette décision, nous sommes revenus dans le cercle restreint des pays considérés comme démocratiques. Cette décision confirme que le président Macky Sall devra céder le pouvoir à partir du 2 avril 2024. Maintenant, la prochaine étape consiste à faire en sorte de respecter la décision du Conseil constitutionnel, celui-ci ayant stipulé que l’exécutif est invité à organiser la présidentielle dans les plus brefs délais. Je prie Macky Sall d’organiser les élections de manière transparente et de libérer les détenus actuellement en prison considérés comme des détenus politiques, à l’image de Diomaye Faye, candidat à l’élection présidentielle. Il doit pouvoir concourir à égalité avec tous les autres candidats” a-t-il dit.

Présidentielle : Le Conseil constitutionnel évoque l’impossibilité d’organiser le scrutin le 25 février

Dans sa décision rendue ce jeudi 15 février, le conseil constitutionnel évoque « l’impossibilité d’organiser l’élection présidentielle à la date initialement prévue » à savoir le 25 février.

Les juges « invitent, toutefois, les autorités compétentes à Ia tenir dans les meilleurs délais ».

Rappelons que le Conseil constitutionnel a déclaré illégal le décret portant report de la Présidentielle.

Conseil constitutionnel : Précisions importantes sur la date de la Présidentielle 2024

Macky Sall
Macky Sall

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a pris une décision historique en invalidant la loi numéro 4/2024 adoptée par l’Assemblée nationale, qui dérogeait aux dispositions de l’article 31 de la Constitution.

Cette décision a été annoncée lors de la séance du 5 février 2024, à la suite d’une délibération approfondie des 7 Sages. En ce qui concerne la date de l’élection présidentielle, le Conseil constitutionnel exhorte le gouvernement à l’organiser rapidement, mais souligne qu’il est impossible de la tenir le 25 février prochain. « Considérant que le conseil constitutionnel, constatant l’impossibilité d’organiser l’élection présidentielle à la date initialement prévue, invite les autorités compétentes à la tenir dans les meilleurs délais », écrivent les 7 sages.

Report de l’élection présidentielle : Le Conseil constitutionnel a tranché !

Les Sept sages du Conseil constitutionnel ont vidé, ce jeudi, les requêtes introduites par les candidats et députés du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi contre la loi reportant le scrutin présidentiel au 15 décembre prochain.

Dans sa décision, le Conseil, qui juge les requêtes recevables a, dans son article 2, indiqué que « la loi portant dérogation aux dispositions de l’article 31 de la Constitution, adoptée sous le n° 4/2024 par l’Assemblée nationale, en sa séance du 5 février 2024, est contraire à la Constitution ». Également, « le décret n°2024-106 du 03 février 2024 portant abrogation du décret convoquant le corps électoral pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 est annulé ».

Ont siégé, à cette séance, Monsieur Mamadou Badio CAMARA, Président, Madame Aminata Ly NDIAYE, Vice- président, Messieurs Mouhamadou DIAWARA, Youssoupha Diaw MBODJ, Madame Awa DIÈYE et Monsieur Cheikh Ahmed Tidiane COULIBALY, membres. Avec l’assistance de Maître Ousmane BA, Chef du greffe.

Guy Marius Sagna : « La date de l’élection présidentielle est toujours maintenue… »

Ce jeudi 15 février 2024, le député Guy Marius Sagna sera à Rufisque pour distribuer avec les patriotes du département les spécimens de DIOMAYE PRÉSIDENT à la population.

« En 2012 Macky avait déserté la place de l’indépendance pour aller en campagne. En 2024, nous devons, à la fois, lutter contre le coup d’État et dérouler notre campagne électorale », déclare Guy Marius Sagna.

« Refusons de suivre l’agenda de Macky Sall. Respectons et faisons respecter la constitution », demande le député. Selon M. Sagna, la date de l’élection est toujours maintenue. Mieux, le décret fixant la date de l’élection présidentielle au 25 février 2024 est toujours de vigueur.

D’après lui, la loi votée par l’Assemblée nationale a été déférée au Conseil constitutionnel par les députés de Yewwi Askan Wi. La saisine est suspensive. « Par conséquent, légalement, rien ne s’oppose à la tenue de l’élection au 25 février et donc la campagne électorale se poursuit. Le Président est tenue de convoquer le corps électoral », ajoute-t-il.

Loi d’amnistie : révélations sur la réunion de l’APR la nuit dernière en présence de Macky Sall

Lors d’une réunion tenue dans la nuit du mercredi à jeudi, le Secrétariat exécutif national de l’Alliance Pour la République (APR), sous la présidence de Macky Sall, a discuté d’une loi d’amnistie concernant Ousmane Sonko et plusieurs milliers de détenus politiques. Me Sidiki Kaba, responsable politique à Tambacounda, a été chargé d’expliquer les motifs de cette proposition législative. Selon le journal Les Échos, cette proposition a suscité un scepticisme parmi de nombreux membres de l’APR, qui préféreraient que cette loi ne soit pas adoptée. Toutefois, un autre groupe, convaincu par les arguments du ministre de l’Intérieur, a exprimé son soutien, soulignant l’importance de prendre des mesures pour apaiser et réconcilier le pays.

Le journal Point Actu rapporte diverses opinions exprimées lors de cette réunion.

Me Sidiki Kaba, porteur d’une initiative controversée

Le ministre de l’Intérieur, Me Sidiki Kaba, a été chargé d’expliquer les motivations de cette proposition. Son argumentaire, axé sur la nécessité de « décrisper l’atmosphère politique » et de « favoriser la réconciliation nationale », n’a pas convaincu tous ses camarades.

Des positions divergentes et des réactions fortes

Si certains membres du parti, comme Maodo Malick Mbaye, ont exprimé leur soutien à l’idée d’une amnistie, d’autres, à l’instar de Mansour Faye et Mamadou Mory Diaw, maire de Matam, se sont montrés farouchement opposés. Ce dernier a même menacé de démissionner si une telle loi était adoptée.

L’appel à la realpolitik et la position incertaine de Macky Sall

Des voix se sont élevées pour rappeler que l’emprisonnement des leaders de Pastef ne garantissait pas la victoire du parti aux prochaines élections présidentielles. L’accent a été mis sur l’importance d’investir les localités de l’intérieur du pays pour gagner le scrutin.

Le président Macky Sall, quant à lui, n’a pas encore dévoilé sa position définitive sur la question. Il a simplement déclaré que « ce n’est pas l’emprisonnement des leaders de Pastef qui nous fera gagner ».

Pierre Goudiaby Atepa : « Des gens veulent profiter d’une instabilité du Sénégal, nous ne sommes pas seuls »

Le Sénégal est à une période charnière de son histoire et les décisions qui devront être prises au sommet doivent être les bonnes. C’est ce que soutient Pierre Goudiaby Atepa, qui prévient que toute mauvaise décision pourrait avoir des conséquences désastreuses.

« Encore une fois, le temps est grave. Il y a des gens qui veulent profiter d’une instabilité du Sénégal pour faire de basses besognes », affirme Pierre Goudiaby Atepa lors de son entretien avec la Rfi.

Qui sont ces gens tapis dans l’ombre ? « Je ne peux pas vous le dire. Ils se reconnaîtront. Donc il faut que les Sénégalais comprennent qu’on n’est pas seuls. Le monde, il est ce qu’il est, il faut donc que nous fassions attention aux décisions que nous allons prendre ces jours-ci », a répondu Atepa.

Date de l’élection présidentielle : Atepa « facilitateur de Macky » annonce fin mai…

« La présidentielle devra se tenir fin mai, la décision finale revenant au dialogue national, en particulier aux participants convoqués par le chef de l’État. » L’information provient de Pierre Goudiaby Atepa, qui affirme œuvrer en tant que facilitateur à la demande du président Macky Sall, comme il l’a indiqué dans un entretien avec RFI.

« Il me semble que personne n’est d’accord pour le 15 décembre. À titre personnel, je pense que des délais nous amenant à fin mai pourraient être raisonnables. Cependant, le dialogue devrait effectivement nous permettre de trouver une date de consensus », a fait savoir le facilitateur, agissant à la demande du président Macky Sall, selon la source.

L’homme d’affaires informe également que Macky Sall « lui a demandé de voir ce que nous pouvons faire pour réunir les uns et les autres, afin de déterminer comment, en interne, nous pouvons trouver des solutions, qui devraient passer par des dates raisonnables pour la tenue des élections.

Dialogue avec Macky Sall: Ousmane Sonko consulte son parti pastef

« D’ici quelques jours, Sonko et un millier de prisonniers libérés », Atépa sur Rfi

Lors d’une entrevue sur RFI jeudi, Pierre Goudiaby Atépa, mandaté par le Président Macky Sall pour rencontrer Ousmane Sonko, a annoncé des développements significatifs dans la résolution de la crise politique au Sénégal. Atépa a indiqué que des décisions importantes avaient été prises lors de ses rencontres avec Ousmane Sonko.

Selon l’architecte, le Président Macky Sall souhaite un climat apaisé et que tous les Sénégalais, y compris Ousmane Sonko, puissent être candidats.
Ousmane Sonko, recevant le message, a exprimé la nécessité de consulter les membres de son parti avant de prendre des décisions.

Pour le leader de Pastef, il est impératif de donner des gages, notamment la libération des prisonniers politiques et des consultations internes au parti Pastef de Sonko.

Dans cet ordre d’idées, poursuit M. Goudiaby, le Président Macky Sall a décidé de libérer un maximum de personnes, estimant que d’ici quelques jours, environ un millier de prisonniers pourraient être libérés.

In fine, Atépa a souligné l’importance de la compréhension mutuelle et de la recherche de compromis sans compromission pour sortir de cette situation inédite.

Ces développements pourraient contribuer à apaiser la tension politique au Sénégal… !?

Communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi 14 février 2024

​ Concours général : les vérités de Macky Sall aux enseignants
​ Concours général : les vérités de Macky Sall aux enseignants

Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 14 février 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.

A l’entame de sa communication, le Président de la République, en ce mercredi des Cendres, a souhaité à la communauté chrétienne, un excellent mois de Carême : période de pénitence, de solidarité et de prières pour la paix et la stabilité du Sénégal.

Le Chef de l’Etat a ensuite adressé ses chaleureuses félicitations au Khalife général des Layènes, Serigne Mamadou Matar LAHI et à la Communauté Layène, suite au succès des célébrations de la 144ème édition de l’Appel de Seydina Limamou LAHI, qui s’est déroulée les 10 et 11 février 2024.

Revenant sur le développement de l’Enseignement supérieur et la transformation du système éducatif, le Président de la République a rappelé la priorité qu’il accorde au secteur de l’Education en général. A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement de veiller au bon fonctionnement des Universités publiques afin de consolider les performances de notre système d’Enseignement supérieur et la qualité du capital humain national.

Le Président de la République a notamment souligné l’impératif de promouvoir un climat scolaire et universitaire serein, ainsi que la nécessité d’une mutualisation des programmes, des ressources humaines et des fonctions support des universités en vue d’une optimisation des ressources financières mobilisées pour asseoir l’excellence universitaire dans le cadre du Plan Sénégal Emergent (PSE).

Le Chef de l’Etat a, dès lors, demandé, au Premier Ministre et aux Ministres concernés, de tenir une concertation-revue avec la communauté universitaire afin de trouver les voies et moyens rapides d’assurer le déroulement normal des enseignements et le déploiement adéquat des œuvres sociales.

Le Président de la République a, par ailleurs, rappelé l’importance primordiale qu’il accorde à la finalisation intégrale des infrastructures de l’Université du Sine-Saloum El Hadji Ibrahima NIASS (USSEIN) et au lancement des travaux de construction de l’Université Souleymane NIANG de Matam et de l’Université du Sénégal oriental.

Enfin, le Chef de l’Etat a demandé aux Ministres en charge de l’Education nationale, de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation de faire un point hebdomadaire, en Conseil des ministres, sur la situation pédagogique et sociale dans les écoles et universités.
Revenant sur les préparatifs de l’exploitation de nos ressources en hydrocarbures, le Président de la République a salué l’arrivée dans les eaux territoriales sénégalaises du navire FPSO (Floating Production Storage and Offloading ou FPSO) ou unité flottante de production, de stockage et de déchargement Léopold Sédar SENGHOR dans le cadre du projet Woodside SANGOMAR FPSO Sénégal.

Le Chef de l’Etat a félicité le Gouvernement, notamment les Ministres chargés des Finances et du Pétrole, PETROSEN HOLDING SA et toutes les parties impliquées, pour le pilotage réussi de cette opération de grande envergure, avec ce bâtiment qui lance le processus d’exploitation de nos ressources pétrolières et gazières.

Le Président a ainsi demandé au Premier Ministre de tenir une réunion d’évaluation avec tous les acteurs publics et privés concernés, notamment le Secrétariat du COS – PETROGAZ, en vue d’assurer la mise en opération optimale du FPSO Léopold Sédar SENGHOR.

Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur les sujets suivants :

• la modernisation de la liaison maritime Dakar-Gorée et les travaux du mémorial de Gorée : en félicitant le Ministre des Pêches et de l’Economie maritime et le Directeur général du Port autonome de Dakar pour le pragmatisme et les diligences accomplies en vue de la modernisation, dans la sécurité et la sûreté, des transports maritimes entre Dakar et l’île- mémoire.

Le Président de la République a, en outre, demandé aux Ministres en charge du Patrimoine historique, des Finances et de l’Economie de prendre toutes les dispositions pour accélérer les travaux d’édification du Mémorial de Gorée, qu’il a lancés le 06 janvier 2024 ;

• l’exécution des mesures de sécurité routière : en demandant au Premier Ministre, et aux Ministres chargés de l’Intérieur, des Forces armées et des Transports terrestres, d’une part, de faire l’évaluation de l’état d’application des mesures de prévention et de sécurité routières prises l’année dernière et, d’autre part, de renforcer le déploiement des forces de sécurité au niveau des axes routiers les plus concernés par les accidents.

Dans sa communication, le Premier Ministre est revenu sur le suivi de la coordination de l’activité gouvernementale en évoquant :

• la rencontre avec les représentants des centrales syndicales ;
• la réunion du Comité des Chefs d’Etat et de Gouvernement des Centres africains de contrôle
et de prévention des maladies ;
• le suivi des travaux du TER.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES

• le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire a fait une communication sur le suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide 2023/2024, la campagne de contre saison froide 2023/2024 et les exportations de produits horticoles ;
• le Ministre, auprès du Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, chargé des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur sa participation à la conférence ministérielle de Haut niveau sur les Pays à revenu intermédiaire (PRI) tenue à Rabat le 6 février 2024.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

• le projet de loi portant organisation de l’action de l’Etat en mer ;
• le projet de décret portant changement de dénomination de la commune de Darou Mousty qui porte désormais le nom de « Daroul Mouhty ».

Universités : L’importante décision de Macky Sall en conseil des ministres

Macky Sall
Macky Sall

Dans le cadre du développement de l’Enseignement supérieur et de la transformation du système éducatif, le Président de la République Macky Sall a réaffirmé l’importance qu’il accorde au secteur de l’Éducation en général.

Il a ainsi exhorté le Gouvernement à garantir le bon fonctionnement des Universités publiques pour renforcer les performances de notre système d’Enseignement supérieur et la qualité du capital humain national. Le Président a souligné la nécessité de favoriser un climat scolaire et universitaire paisible, ainsi que la mutualisation des programmes, des ressources humaines et des fonctions de soutien des universités pour une utilisation optimale des ressources financières dans le cadre du Plan Sénégal Emergent (PSE) afin de promouvoir l’excellence universitaire.

Par conséquent, le Chef de l’État a chargé le Premier Ministre et les Ministres concernés d’organiser une concertation avec la communauté universitaire pour trouver rapidement des solutions permettant d’assurer le bon déroulement des enseignements et la mise en place efficace des services sociaux. Le Chef de l’Etat a demandé aux Ministres en charge de l’Education nationale, de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation de faire un point hebdomadaire, en Conseil des ministres, sur la situation pédagogique et sociale dans les écoles et universités.

Conseil des ministres : Macky Sall acte une nouvelle nomination ce mercredi

Macky Sall
Macky Sall

Lors du conseil des ministres de ce mercredi, une décision importante a été prise par le Président de la République, Macky Sall, concernant la nomination au titre des mesures individuelles.

Le seul acte de nomination a été attribué au Docteur Cheikh Tacko DIOP, spécialiste en Santé publique et Économie de la Santé, qui se voit confier la fonction de Directeur Général de l’Agence de la Couverture Maladie Universelle (ACMU). Il remplace ainsi le Docteur Bocar Mamadou DAFF, qui a été admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.

La nomination du Dr Cheikh Tacko DIOP intervient dans un contexte où la question de l’accès aux soins de santé demeure un enjeu majeur pour le développement du pays.

Loi d’amnistie pour Sonko et les détenus politiques : Pas à l’ordre du jour du conseil des ministres

La montagne a finalement accouché d’une souris. Annoncé  en début de semaine, le projet de loi d’amnistie en faveur d’Ousmane Sonko et de tous les détenus politiques, qui fait débat, reste au stade de rumeur puisque la question n’était pas à l’ordre du jour de la réunion hebdomadaire du conseil des ministres. « Il n’a jamais été question de projet de loi d’amnistie », nous glisse même une source bien renseignée, qui évoque des manipulations.

Cette mesure d’amnistie générale devait conduire à la libération d’Ousmane Sonko et de toutes les personnes arrêtées depuis 2021 au cours des troubles politiques qui ont secoué le pays. Au-delà des personnes arrêtées en marge des manifestations, la mesure d’amnistie devait concerner les faits liés aux condamnations de Karim Wade et Khalifa Sall.

Une manière pour le Président Macky Sall, acculé de toute part, de donner à chaque acteur la chance de participer au dialogue national et aux prochaines joutes reportées au 15 décembre, soulignait la rumeur qui a finalement fait pschitt.

Dialogue entre Ousmane Sonko et Macky Sall ? Les révélations de Khoureychi Thiam

Ces derniers jours, une partie de l’actualité politique tourne autour du dialogue proposé par Macky Sall. Il est question de la présence ou non d’Ousmane Sonko, qui pourrait recouvrer la liberté incessamment. Invité de l’émission Tolluwaay ce mercredi 14 février sur Seneweb, Khoureychi Thiam, membre de l’ex-Pastef, a évoqué le sujet.
Selon ce proche d’Ousmane Sonko, le leader de l’opposition n’a jamais été contre le au dialogue. Mais il y a des préalables. Mieux, il a certifié que Ousmane Sonko est une personne qui ne prône pas la violence.  « Ousmane Sonko est un homme de paix, de dialogue. Le président Sonko n’a jamais dit qu’il ne discuterait pas. Mais dans certaines conditions, il a promis de ne jamais discuter avec un pistolet sur la tempe. Il est important de discuter parce que tout tourne autour de la discussion, mais il y a des préalables », a-t-il déclaré. 
Le « Patriote » a ensuite énuméré les préalables à un dialogue sincère. « Je précise d’abord que je parle à mon nom et pas au nom de Ousmane Sonko, qui fera prochainement une déclaration. Il y a des détenus politiques. Il faut les libérer. Il faut aussi libérer Ousmane Sonko. Avant de discuter avec Sonko, il faudrait d’abord qu’il soit libre. Ensuite, si Macky Sall souhaite dialoguer, il ne parlera pas avec Ousmane Sonko le citoyen, mais avec l’homme politique. Et Ousmane Sonko n’a plus d’appareil politique, qui a été dissous (le parti Pastef). Il faut donc rétablir cet appareil politique. Sinon l’appel ne sera pas seulement pour les hommes politiques, mais pour tous les Sénégalais », a-t-il argumenté. 
Pour M. Thiam, donc, la balle est plutôt dans le camp de Macky Sall que celui d’Ousmane Sonko. Si le chef de l’Etat respecte d’abord ces préalables, le climat sera propice pour que Sonko puisse accepter un possible dialogue avec lui.

Tractations souterraines en vue d’un dialogue avec Macky Sall : Sonko aurait éconduit les médiateurs

Entre Ousmane Sonko et le Président Macky Sall, le rabibochage n’aura pas lieu de sitôt. Les informations faisant état de la disponibilité des deux leaders jusqu’au-boutistes à desserrer le nœud, ont vite été démenties. D’après les informations de Seneweb, le maire de Ziguinchor n’a pas varié d’un iota sur sa décision de ne jamais dialoguer avec Macky Sall.

D’ailleurs, nous confie une source , ‘’Ousmane Sonko a éconduit les médiateurs qui voulaient le rencontrer à la prison du Cap Manuel’’. Le farouche opposant qui déclarait il y a quelques années « il n’y a aucune pertinence à dialoguer avec Macky Sall », n’a visiblement pas changé de position.

Sanction de la CAF contre Krépin Diatta : La FSF n’a reçu aucune notification (communiqué)

Ce mercredi, la presse a annoncé que la CAF a sanctionné Krépin Diatta de quatre matchs, dont deux avec sursis, suite à ses propos tenus envers l’arbitrage, lors de la dernière CAN en Côte d’Ivoire. 
Cependant, dans un communiqué, la Fédération sénégalaise de football (FSF) déclare n’avoir reçu aucune notification de la Confédaration africaine de football à ce sujet. 
Voici le communiqué de la FSF.
« Suite à la parution, ce jour, d’un article de presse faisant état de sanctions prises par le jury de la CAF contre Mr Krépin Diatta, international sénégalais et à la sollicitation de confirmation de différents organes, la Fédération sénégalaise de football (FSF) informe le public que le joueur a fait effectivement l’objet d’une procédure d’enquête disciplinaire ouverte par la CAF sur des propos d’accusation de corruption de la CAF que lui ont prêtés des organes de la presse française qui l’ont enregistré à son insu et hors interview en zone mixte au moment où il échangeait avec une tierce personne.
Assisté par le Département juridique de la FSF, le joueur a d’abord répondu par écrit à la demande d’explications de la CAF sur les échanges qu’il a eus avec la personne en question (telles que relayées par la presse française) et qui ne figuraient d’ailleurs pas parmi les officiers média désignés pour ce site de compétitions ni ce match de Yamoussoukro.
Le joueur a par la suite fait l’objet d’une audition par le jury disciplinaire le lundi 5 février 2024 et a réfuté les allégations portées contre lui sur des accusations de corruption de la CAF.
Depuis lors, ni Krépin Diatta ni la FSF n’ont reçu de notification officielle d’une quelconque décision concernant cette affaire et n’ont pas eu connaissance d’une publication par la CAF d’une décision sur cette affaire par quelque moyen que ce soit.
En définitive, la FSF informe l’opinion qu’elle suit le dossier dans le strict respect des règles disciplinaires de la CAF et en étroite collaboration avec son joueur qui n’a jamais eu à connaître dans sa carrière des écarts de comportements sujets à sanctions.
Elle avisera de toute suite à donner une fois qu’une décision sera prise par les instances compétentes de la CAF. »

Thiès : Massaly convoqué au commissariat central

MOUHAMADOU LAMINE MASSALY
MOUHAMADOU LAMINE MASSALY

Mahamadou Lamine Massaly convoqué au commissariat central de Thiès. L’on ne sait pas encore les motifs de cette convocation, mais tout porte à croire que c’est lié à la plainte de Me Ousmane Diagne. Pour rappel, Ousmane Diagne membre de la coalition Diomaye 2024 , a porté plainte contre le PAC de l’infp qui avait dégainé un pistolet en pourchassant des jeunes lors de la manifestation de vendredi dernier.  Au moment où nous parlons Massaly est dans les locaux du commissariat central de Thiès. Nous y reviendrons…

Avec Emedia