Communiqué – La Grande coalition Gueum Sa Bopp saisit les représentations diplomatiques ( France, Usa, Allemagne, l’ Union européenne et l’ Usaid.
La coalition est revenue sur les incongruités et incohérences de la Direction générale des élections (DGE) ayant abouti à l’invalidation de leurs listes de parrainage et le dépôt des recours au niveau du conseil constitutionnel. Les représentants diplomatiques de la France , de l’Allemagne , des États Unis , de l’Union Européenne ainsi que l’Usaid ont reçu les preuves qui attestent du complot pour écarter des candidatures sérieuses ayant fait leurs preuves lors des derniers locales.
Gueum Sa Bopp a rappelé aux ambassades l’objectif de Macky Sall qui est d’organiser une sélection législative avec des tocards et une opposition fragilisée et amputée comme en 2019 . Une démarche antidémocratique qui constitue un recul de la démocratie pour notre cher pays. La coalition Gueum Sa Bopp demande aux représentations diplomatiques d’user de leur influence pour rappeler à l’ordre le Président Macky Sall afin d’éviter les tensions électorales sources d’instabilité.
Par ailleurs nous rappelons au Conseil Constitutionnel qu’il est tenu de dire le droit sur tous les recours en annulation qui ont été introduits par les différentes coalitions. Et nous exigeons que le droit soit dit dans sa plénitude. Nous rappelons également notre attachement au respect de la loi dans la conduite du processus électoral. La loi est générale et impersonnelle. Aux acteurs politiques il leur est redit, que nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude.
La coalition Gueum Sa Bopp n’acceptera pas de compromissions (Pas de combine Beuré) sur le dos du peuple sénégalais. Dakar le 23 Mai 2022 La cellule de com.: +221 78 307 4989
Le parti Alliance pour la promotion du développement local (Aprodel) a décidé de cesser ses activités dans le Benno Bok Yakaar. L’annonce a été faite ce week-end par le Coordonnateur dudit parti. Le manque d’égard et la non implication de son leader sont les raisons soulevées par les anciens souteneurs du président Macky Sall.
» Notre leader, le Président Moussa Fall, doit avoir plus de considération et nous exigeons une audience avec le Président Macky Sall qui est désormais notre seul interlocuteur. Nous ne serons plus derrière les responsables politique de Kaolack « , a martelé Pape Samba Bessane, coordonnateur de l’Aprodel.
» La suspension des activités de l’Aprodel au sein de la Coalition Benno Bok Yaakaar est une décision de notre Président Moussa, approuvée à l’unanimité par toutes les instances de notre parti « , a ajouté M. Bessane, qui a cité la dernière sortie des femmes qui sont sur la même longueur d’onde.
« C’est avant 2012 que nous avons commencé à accompagner le Président Macky Sall et nous avons participé aux nombreuses élections qui se sont déroulées au Sénégal à savoir les législatives de 2017, les municipales de 2014, le référendum de 2016, la présidentielle de 2019 et récemment les locales de 2022. Hélas, nous ne sommes pas honorés pour tous les sacrifices que nous avons faits « , se désole le coordonnateur dudit parti.
Pour rappel, la coalition Benno Book Yakaar a essuyé son premier revers dans la commune et le département de Kaolack lors des élections locales du 23 Janvier passé. Une défaite qui a fini de semer les germes d’une discorde interne dans la mouvance présidentielle.
Lors de l’émission Jakarloo, le chroniqueur Malal Talla, plus connu sous le nom de Fou Malade, aurait tenu des propos injurieux. Ce qui a valu à la Télévisions Futurs Médias (Tfm) un rappel à l’ordre de la part du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra).
Le CNRA a parlé d’une « usage, par l’un des chroniqueurs (Malal Talla alias ‘Fou Malade‘, Ndlr) de propos inconvenants, injurieux et méprisants à l’encontre d’un des invités de l’émission ».
« La Tfm est responsable du contenu des émissions diffusées ; précise qu’il est attendu des journalistes, présentateurs, animateurs, chroniqueurs ou collaborateurs d’antenne de rappeler ou de ramener à l’ordre les intervenants qui versent dans des écarts par rapport à la réglementation et non de créer le désordre en tenant des propos désobligeants ou insultants, notamment contre leurs invités », écrit le CNRA, qui appelle également la chaîne à veiller à ce que de telles dérives ne se reproduisent plus.
Ainsi, un courrier d’observation a été adressé à la chaîne.
La liste majoritaire des suppléants de la coalition « Défar sa Gokh » de la commune de Gae qui avait été invalidée par le sous-préfet de l’arrondissement de Mbane agissant en qualité de Président de la commission de réception des dossiers de candidature, a finalement été réhabilitée par la cour d’appel de Saint-Louis.
En effet, « statuant en assemblée générale, contradictoirement en matière électorale et en premier ressort », la cour a déclaré recevable le recours déposé par ladite coalition. Il a annulé l’arrêté n-40-AMB-SP du 5 Novembre 2021 du sous-préfet de Mbane et autorisé la coalition « Défar sa Gokh » à déposer sa liste majoritaire suppléants pour la commune de Gae.
La liste majoritaire suppléants de la coalition souffrait d’une entorse à la parité ce qui avait poussé le sous-préfet à l’invalider. Aussi l’autorité administrative après cette décision de la cour d’appel a décidé de poursuivre la bataille pour l’invalidation au niveau de la cour suprême. Et ainsi casser la décision des juges de la cour d’appel de Saint-Louis.
La coalition « Yewwi » est d’avis que sa liste proportionnelle est conforme aux dispositions du code électoral et sa recevabilité ne souffre d’aucune irrégularité. Il en est de même pour sa liste nationale dont l’anomalie constatée sera régularisée. Ce qui n’est pas le cas de la coalition Benno dont la liste est irrecevable pour cause de non-respect de la parité. Elle a demandé aux autorités de notifier ainsi sans délai au mandataire de la coalition de la majorité cette irrecevabilité.
Quelle jeunesse avons-nous aujourd’hui ? Comment en est-on arrivé à ce stade-là ?Telles sont les questions qui interpellent tout un chacun au Sénégal. L’absence de sécurité dans certaines zones a frappé plus d’un. C’est le cas avec le mouvement que dirige Pape Djibril Fall qui a lancé un cri du cœur contre le meurtre de la jeune Kiné Gaye qu’il a qualifié de lâche et de barbare, lors d’un point de presse.
« Nous avons constaté avec beaucoup de tristesse et d’angoisse des Sénégalais s’entretuer. Nous déplorons jusqu’à la moelle épinière ces meurtres et agressions qui se multiplient. Je suis atterré, sidéré et dévasté par la façon dont des Sénégalais sont tués. Et nous demandons que justice soit faite pour que cela s’arrête et ça doit s’arrêter » a clamé le journaliste.
Toujours, selon lui, l’insécurité est devenue générale pour avoir envahi tout le pays. À cela il s’ ajoute que l’État n’a pris ni conscience, ni la mesure, encore moins la gravité de la situation. Toutefois, Pape Djibril Fall a invité l’État à prendre systématiquement les mesures idoines afin de permettre aux populations de vaquer à leurs occupations…
En marge d’un entretien avec le Président de la République, le chancelier allemand Scholz a annoncé sa volonté de coopérer avec le Sénégal pour l’exploitation d’un gisement de gaz au large de la côte ouest-africaine.
A cet effet, le chef de l’État compte lui-aussi alimenter l’Europe en gaz. « Nous avons commencé à échanger des points de vue à ce sujet, et nous continuerons également à le faire de manière très intensive au niveau technique après ces entretiens », a déclaré Scholz, avant de préciser qu’il s’agit d’une « préoccupation commune ». Le Président de la République, Macky Sall, a, pour ce qui le concerne, exprimé son intérêt pour que son pays puisse envoyer du gaz en Europe. « Nous voulons fournir du gaz à l’Europe et nous voulons collaborer sur la question du gaz naturel liquéfié », a-t-il déclaré.
Pour rappel, le chancelier allemand est en visite de trois jours en Afrique. Après s’être entretenu avec son homologue Macky Sall, Scholz s’est rendu dimanche soir au Niger et fera ensuite cap sur l’Afrique du Sud.
L’international Sénégalais du Paris Saint-Germain Idrissa Gana GUEYE est au cœur des polémiques depuis qu’il a refusé de jouer, la semaine dernière à Montpellier dans le cadre d’une journée placée sous le signe de la lutte contre l’homophobie. Le Ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire Mme Zahra Iyane THIAM DIOP s’invite au débat. Invitée, ce dimanche à l’émission « Janno Bi » sur Sud Fm, elle a magnifié vigoureusement la position du Président de la République, Macky Sall dans cette affaire.En effet le chef de l’Etat à travers un tweet a apporté son soutien au joueur sénégalais. D’après Mme le Ministre, tous les Sénégalais, à l’unanimité, doivent saluer la position prise par le Chef de l’Etat dans cette affaire. Pour elle, le Président de la République Macky Sall, à travers son tweet de soutien à Gana GUEYE, a affiché la position claire du Sénégal sur l’homosexualité. D’après Zahra IyaneTHIAM DIOP, même ceux qui vivent à l’étranger affirment n’avoir jamais vu un président africain comme Macky SALL défendre avec courage la cause d’un de ses fils qui fait face à des difficultés ayant trait à l’homosexualité. Ce qui, aux yeux de Zahra Iyane THIAM DIOP, prouve davantage que le Chef de l’Etat joue pleinement son rôle de père de la Nation. Mieux, de l’avis de Mme le Ministre, le respect du Président de la République en direction de nos chartes et fondamentaux, doivent être mesuré à travers les actions qu’il pose.
La coalition Yewwi Askan Wi indique, dans un communiqué, que « sa liste proportionnelle est conforme aux dispositions du Code électoral et sa recevabilité ne souffre d’aucune irrégularité. Conformément aux dispositions de l’article L.179 du Code électoral, l’anomalie décelée sur cette liste nationale sera régularisée ».
Toutefois, la coalition Yewwi Askan Wi assure sans frémir que « la liste nationale de la coalition Benno Bokk Yaakaar est irrecevable pour non-respect de la parité ainsi que l’ensemble de son dossier de déclaration de candidatures pour dépassement du nombre de parrains requis au moment du dépôt de candidatures ».
Ainsi donc, Ousmane Sonko et cie invitent Antoine Felix Diome et le président de la commission de réception des dossiers de candidature de notifier, sans délai, l’irrecevabilité du dossier au mandataire national de la mouvance présidentielle, Benoit Sambou.
YAW exige même « une pleine et entière application de la loi électorale quelle que soit le contrevenant ou la formation politique concernée ». Ladite coalition de préciser qu’elle « exige la tenue des élections législatives à date échue : le 31 juillet 2022 ».
AAR SÉNÉGAL est totalement réfractaire à un report des élections législatives. En conférence de presse, la coalition a d’emblée signifié que les listes de ses rivales, BBY et YAW, sont totalement irrecevables. Ainsi, les leaders de AAR invitent au respect de la loi. » Ceux qui parlentt de recommencement n’ont rien compris » ont-ils déclaré à l’unisson. Interpellé sur la possibilité d’un report, Thierno Alassane Sall s’est montré ironique : » La terre aurait-elle tremblé. Y aurait-il un désastre économique, ou des situations qui conduisent à un report? ». Pour l’ancien ministre de l’Energie, il est impensable que deux coalitions monopolisent le pays au point qu’on puisse penser que sans leur participation, il ne peut y avoir d’élections. « On ne peut pas repousser les élections du fait de leur incompétence. Ceux qui se voyaient déjà au trône de la République ont fait plusieurs faux départs. Ceux qui s’étripent le plus sur le ring politique le font parce qu’ils ne comprennent pas que la sagesse et l’intelligence gouvernent le monde. » Thierno Alassane Sall est convaincu « que le Sénégal se porterait mieux si les coalitions YAW et BBY ne participent pas aux élections. »
Pour Thierno Alassane Sall, le report d’élections à cause de l’incurie de deux coalitions serait un mauvais signal envoyé par la démocratie sénégalaise. Il a en ligne de mire l’appel de Alioune Tine à valider toutes les listes pour préserver la paix sociale : « Il est étonnant que des pseudos démocrates, qui veulent préserver la paix sociale, appuient sur le bouton qui risque d’entraîner le Sénégal sur une voie sans issue, parce que sans la loi on est dans la jungle ».
Ce dimanche 22 mai 2022, le Président de la République S.E. M. Macky SALL a inauguré en compagnie du Chancelier de la République fédérale d’Allemagne Olaf SCHOLZ la centrale photovoltaique de Diass. Ce fruit de la coopération sénégalo-allemande est la huitième (8ème) centrale solaire réceptionnée par notre pays qui, déjà est à plus de 32% d’énergie renouvelable dans le réseau de SENELEC. Toutes ces huit ( centrales solaires et la centrale éolienne de Taïba Ndiaye ont été réalisées sous le magistère du Chef de l’État S. E. M. Macky SALL qui fait du mixte énergétique une priorité nationale. En notre qualité de Maire de Diass, nous avons accueilli le Chef de l’État et son hôte en parfaite conformité avec la tradition d’hospitalité de notre terroir. Merci aux populations de Diass qui se sont mobilisées malgré la sobriété de la cérémonie due à l’agenda trop chargé des deux Chefs d’État.
Thierno Alassane Sall détruit Benno et Yewwi Askan Wi. Il estime que « si un pandore de loi est appliqué, ces deux entités ne vont pas participer à ces élections de juillet 2022 ».
D’après Thierno Alassane Sall, « il s’agit d’une porte ouverte au Président Sall pour réclamer un 3e mandat. Cette volonté de trouver un compromis risque de faire volet en éclat le pays. Tout le monde doit se battre pour les barrer la route ou de les forcer à respecter la loi ».
Aar Sénégal, réclame de la sécurité pour les populations sénégalaises. A retenir, depuis quelques jours, des meurtres et des agressions reviennent de manière inquiétante. Donc, Aar Sénégal interpelle le Ministre de l’Intérieur à assurer davantage la sécurité des populations.
Le député Farba Ngom, s’est attaqué, dimanche, au leader du parti Pastef / Les Patriotes. Selon le député, Ousmane Sonko est un homme de détails qui tire sur tout ce qui bouge.
« Ousmane Sonko est capable de tout dire. C’est un homme de détails. Un vrai homme d’Etat ne se comporte pas comme lui« , a-t-il déclaré, d’emblée, déclaré dans l’émission Face-2-Face.
Attaques
Très en verve, Farba Ngom ajoute : « Les journalistes n’ont plus le courage de dire ce qu’ils pensent, il (Ndlr : Ousmane Sonko) s’attaque à tous : les magistrats, la gendarmerie, la police nationale.«
Aspiration
Et dire que cela lui pose problème venant de quelqu’un qui aspire à diriger ce pays. « Il insulte tout le monde« , a-t-il notamment insisté.
Rappel du cadre juridique du processus Electoral et du Parrainage pour l’Election des députés.
Le contrôle juridictionnel du processus électoral s’étend de l’élaboration des lois électorales jusqu’aux contestations des résultats définitifs.
Un cadre normatif de nature constitutionnelle, législative et réglementaire fixe les conditions dans lesquelles doit se dérouler le processus électoral.
Le titre 3 de la Loi n°2021‐35 du 23 juillet 2021, portant code électoral, axé sur les dispositions relatives aux élections des députés à l’Assemblée Nationale, définit la composition, le mode d’élection et la durée du mandat des députés.
L’article L.149 du Code électoral dispose « que pour pouvoir présenter valablement une liste, les partis politiques et les coalitions de partis doivent obligatoirement respecter le nombre de parrains défini entre le seuil minimum de 0, 5% et un seuil maximum de 0,8%. Une partie de ces électeurs doit obligatoirement provenir de sept régions à raison de mille au moins par région ».
Par requête de la coalition GUEM SA BOPP auprès du Conseil Constitutionnel’ suite à l’invalidation de la liste de la coalition de GUEM SA BOPP, au stade du contrôle des parrainages, et après examen approfondi des éléments de fait, des pièces fournies, et des termes de la requête auprès du Conseil Constitutionnel; il apparait clairement que la décision de rejet de la liste de GUEM SA BOPP par le Ministre chargé des élections n’est pas fondée (décision insuffisamment motivée).
L’article 6 de de l’Arrêté n° 006527 du Ministre de l’Intérieur, portant mise en place d’un dispositif de contrôle du parrainage prévoit d’une part « de contrôler si les parrains sont identifiés dans le fichier général des électeurs, et d’autre part d’effectuer une recherche multicritère portant sur les prénoms et noms, le numéro de la carte d’électeur, et le numéro d’identification national ».
Il est spécifié dans l’article 6 dudit arrêté « qu’une erreur purement matérielle, portant sur la transcription ou la saisie d’un élément de contrôle, ne peut en aucun cas être un motif d’invalidation d’un acte de parrainage si la recherche multicritère ou la recours la fiche de collecte, permet son identification, comme électeur ». S’agissant de l’invalidation des parrainages de la coalition GUEM SA BOPP, les constats préliminaires font apparaître de nombreuses incohérences : Ø Sur le nombre de parrains : un écart a été relevé entre le nombre de parrains déposé par GUEM SA BOPP et le nombre de parrains mentionné dans le PV de contrôle des parrainages en date du 09 mai 2022,
Ø Des parrainages ont été attribués à tort à la coalition GUEM SA BOPP au niveau de la Diaspora (France, Espagne, GB, Mauritanie, etc.. ), alors qu’aucune liste de parrainage n’a été déposée,
Ø Un taux excessif (anormalement élevé) de rejet de parrains (36 686) pour autres motifs, sans que ces motifs soient précisés,
Ø De nombreux parrainages ont été invalidés au motif « que les parrains n’étaient pas identifiés comme électeurs », alors même que lesdits parrains disposaient d’une CNI délivrés en toute régularité, comportant un numéro d’identification national, un numéro de carte d’électeur, avec un lieu et un bureau de vote.
Les incohérences listées ci-dessous (loin d’être exhaustives), permettent à bon droit, à la coalition GUEM SA BOPP de douter de la fiabilité du logiciel utilisé et du sérieux des opérations de contrôle des parrainages.
La coalition GUEM SA BOPP ne dispose d’aucun élément relatif aux modalités d’authentification des signatures. Aucune précision n’a été fournie sur le paramétrage du logiciel qui permet des abus (des parrains sont rejetés de manière totalement aléatoire « pour taille non conforme ») et comporte de nombreuses zones grises (risques d’erreurs et d’inexactitudes très élevés).
Compte tenu des éléments précités, il est établi que les opérations de contrôle des parrainages ne se sont pas déroulées dans des conditions transparentes, de nature, à susciter la confiance de toutes les parties.
Par conséquent, la coalition GUEM SA BOPP rejette fermement la sincérité des opérations de contrôle des parrainages et l’invalidation de sa liste; au stade du contrôle de ses parrainages qui sont réguliers et suffisants pour permettre que sa liste fasse l’objet d’une étude de recevabilité.
A la lumières des preuves irréfragables apportées par la Coalition Gueum sa bopp sur les erreurs manifestes des autorités chargées des élections, les défaillances de son système, il est commandé à juste titre de prononcer la recevabilité du dossier de la Coalition gueum sa bopp
Par ailleurs il convient de préciser que les dispositions de l’article 6 de l’arrêté ministériel n° 006527 autorisant un surplus de parrains au moment du dépôt mais qui n’est pas pris en compte au moment du contrôle, sont illégales car le nombre de parrainages ne doit pas dépasser le seuil maximal prévu par l’article L. 149 du code électoral, sous peine d’irrecevabilité absolue. Aucun arrêté ministériel ne peut fixer des normes contraires au code électoral (hiérarchie des normes) et modifier la loi.
Les éléments fournis au Conseil Constitutionnel devaient lui permettre de savoir que « les modalités techniques liés au dispositif de vérification des parrainages ne sont, ni connus, ni maitrisés et entrainent l’invalidation aléatoire de listes de candidature, en violation totale de la loi ».
Au titre de la prétention subsidiaire, la coalition GUEM SA BOPP a clairement rappelé, à bon droit, au Conseil Constitutionnel, la « Violation manifeste de l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021 » qui « ordonnait à l’état du Sénégal de lever tous les obstacles à une libre participation aux élections consécutifs à cette modification par la suppression du système de parrainage ».
Les décisions de la CDJ de la CEDEAO sont immédiatement exécutoires, ont force obligatoire à l’égard des Etats-membres et ne sont susceptibles d’aucun appel. L’autorité de la chose jugée, le principe de primauté et de l’effet direct font que l’exécution de l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021, ne peut faire l’objet d’aucune entrave au niveau national. Les normes communautaires ont une valeur supralegislative. Autrement dit, elles priment sur toutes normes internes de rang législatif ou réglementaire ( lois et arrêtés) dont l’abrogation est commandée sans réserves par le traité fondateur de la communauté des États membres
Le Préambule de la Constitution énonce clairement « la volonté du Sénégal d’être un Etat moderne qui fonctionne selon le jeu loyal et équitable entre une majorité qui gouverne et une opposition qui représente un pilier fondamental de la démocratie et un rouage indispensable au bon fonctionnement du mécanisme démocratique ».
En énonçant le principe de loyauté, comme base de la vie démocratique, le Pouvoir Constituant a voulu écarter toute manœuvre de la majorité, visant à changer les règles du jeu, en sa faveur. Parce qu’elle n’est pas le fruit d’un consensus entre la majorité et l’opposition, la loi sur le parrainage intégral est contraire à l’équité et revêt un caractère totalement déloyal.
Par conséquent, elle est définitivement frappée du sceau manifeste d’Inconstitutionnalité.
La double irrecevabilité de la liste de la coalition BENNO BOK YAKAAR qui entraine sa non-participation au scrutin du 31 juillet 2022, devrait en principe, conduire le Conseil Constitutionnel à acter la mort du parrainage.
Toutes les listes invalidées « au stade du contrôle des parrainages » doivent être réintégrées, pour permettre une libre participation aux élections.
Recommandations de GUEMP SA BPP Recommandation n°1 Supprimer le parrainage pour se conformer l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO du 28 avril 2021.
Recommandation n°2 : Le système électoral sénégalais ne doit plus reposer sur une élimination systématique de candidats ou de listes de candidatures. Les différends politiques doivent être tranchés, sauf cas exceptionnels, et autant que se peut, par la voie des urnes. Le pouvoir judiciaire voit veiller à ce que la limitation des candidatures aux joutes électorales fasse l’objet d’une interprétation restrictive. La libre participation aux élections doit être la norme.
Recommandation n°3 : Lancer une grande concertation (après les législatives) entre tous les acteurs pour dépoussiérer les aspérités du code électoral, et supprimer certaines dispositions totalement insensées qui entravent la libre participation aux élections ; Recommandation n°4 : Prévoir une plus grande souplesse après le dépôt des candidatures, pour permettre aux listes ou candidats de disposer de pouvoir régularisation leur dossier afin de se conformer aux dispositions légales et réglementaires. Fait à Dakar, le 22 Mai 2022
Samba Diouf Délégué National Gueum Sa Bopp aux affaires juridiques et des droits humains
Toubab Diop de l’Alliance Pour la République (APR Guédiawaye) est très remonté contre Farba Ngom. Lors d’une sortie dans une émission de la Télé, Farba Ngom s’est frontalement attaqué à Cheikh Ba qu’il accuse de ne pas s’engager dans la cause du Président Macky Sall alors que celui-ci a tout fait pour lui.La réplique de Toubab Diop ne s’est pas fait attendre.
Ire noire
L’apériste de Guédiawaye indique que « Farba Ngom doit se taire. S’il veut aider le président Macky Sall comme il le dit, il n’a qu’à descendre sur le terrain et s’approcher des populations au lieu de rester là à s’attaquer à nos leaders qui travaillent jour et nuit pour la victoire de la coalition Benno Bokk Yaakar. Mais on le connaît, il est toujours dans la manipulation et les menaces« , a déclaré Toubab Diop.
Il poursuit : « Farba Ngom s’attaque toujours à quiconque lui refuse de largesses ou des marchés. Ceux qui veulent travailler honnêtement sans faire de compromis, ne sont pas ses amis. Il veut toujours être au dessus de tout le monde. Il veut aller dans les bureaux pour essayer de maîtriser les ministres ou les Directeurs généraux afin que ceux-ci lui signent des contrats, des marchés des emplois ou qu’ils soient à ses bottes. Il ne faut que faire chanter les honnêtes citoyens méritants qui travaillent pour le président Macky Sall. Cheikh Ba est mille fois plus valeureux que Farba Ngom.«
La bataille entre Apériste…
Selon lui, ce que Cheikh Ba fait pour les populations dans le seul but de travailler pour le président Macky Sall, Farba Ngom ne le fait pas. « Il passe tout son temps à faire chanter les dirigeants de l’administration pour ses intérêts crypto-personnels dans l’emploi et les marchés de gré-à-gré. Farba Ngom n’est pas notre exemple nous les militants de l’APR. Ce qu’il fait, n’aide pas le président Macky Sall. C’est le seul responsable du parti qui va à la télé pour s’attaquer à d’autres responsables. On dirait qu’il travaille contre le président Macky Sall. Le linge sale se lave en famille. On lui connaît des choses qu’on se garde de dire mais s’il continue à s’attaquer aux honnêtes travailleurs, je ferais des révélations sur tous ses crimes… Je m’en arrête là.«
Le porte parole du leader de Taxawu Sénégal , Moussa Taye, n’a pas porté de gants pour assumer la responsabilité de Khalifa Sall, lors des investitures sur la liste de Yewwi Askan Wi. « Sur la liste nationale de Yewwi, Khalifa Sall est entièrement responsable. Il l’assume et il n’a pas tort. Simplement parce que cela découle d’un mandat qu’il avait reçu de ses pairs au niveau de la conférence des leaders. Dans le mandat qui était absolu et impératif, Yewwi l’avait demandé de réfléchir, de faire la liste nationale. Maintenant après la liste qui, je le rappelle n’est pas encore officielle, Khalifa a été attaqué, calomnié etc. Les leaders se sont désistés ou même démissionnés », fait savoir le conseiller de l’ancien Maire de Dakar qui déplore les attaques dont fait l’objet son leader. Dans l’émission Jury du Dimanche avec Mamadou Ibra Kane, Moussa Taye évoque l’ampleur de la difficulté de la tâche de Khalifa Sall durant cette procédure : « Je me suis dit que Khalifa Sall, au nom de l’unité et de l’équilibre allait sacrifier, Taxawu Sénégal. Et c’est le cas parce que Taxawu Sénégal est très frustré. Sur les 20 premiers investis, Taxawu n’a que trois positions à savoir la 4e, la 9e et la 19. Tous nos cadres sont relégués après la 25e place. Il a essayé de faire un jeu d’équilibre pour que les partis les plus importants soient présents. Mais aussi, il a fait un dosage pour que les autres leaders des autres partis puissent figurer sur la liste ».
De l’avis de Moussa Taye, porte-parole de Khalifa Sall, il n’y a aucun problème entre le maire de Dakar et le leader de Taxawu Sénégal, même si les rumeurs laissent penser à une tension née lors des investitures de la liste de Yewwi Askan Wi dans le département de Dakar.
« Il n’y a aucun nuage, aucun malaise entre Barthélémy Dias et Khalifa Sall. Je parle avec les deux hommes, je connais la profondeur de leur relation et la sincérité aussi de cette relation. Et je vous dis, il n’y a aucun problème, car Barthélémy Dias, est un gars tellement libre que s’il avait quelques contraintes ou quelques complaintes par rapport à Khalifa Sall, il l’aurait étayé publiquement. Barthelemy Dias, s’il devait un jour quitter Khalifa Sall, il ne mettrait pas de gants pour le faire, donc actuellement, à l’heure ou je vous parle il n’y a aucun problème entre Barth et Khalifa Sall », a-t-il indiqué lors du Jury du Dimanche sur I-radio.
Kiné Gaye, tuée ce vendredi alors qu’elle est en état de grossesse très avancé, dont le présumé meurtrier serait son collègue qui avait fait un trou de 500.000 F CFA, sera inhumée ce dimanche dans la matinée à Tivaouane.En effet, la famille Gaye voulait procéder à l’inhumation de la défunte dès ce samedi, dans la soirée, mais les procédures liées aux papiers administratives ont retardé l’échéance.
La dépouille mortelle de Kiné Gaye qui avait été acheminée à l’Hôpital Le Dantec depuis vendredi, a fait l’objet d’une autopsie ce samedi, mais un retard concédé a fait retarder la livraison du corps.
« Le Procureur nous a dit de patienter jusqu’à ce dimanche pour qu’il puisse nous délivrer le papier manquant car on s’y est pris assez tardivement », a expliqué exclusivement à Leral un membre de la famille.
« Si tout se passe comme prévu, on aura le corps dans la matinée de ce dimanche, suivie de la levée du corps à l’Hôpital Le Dantec, avant l’inhumation le même jour à Tivaouane », poursuit notre source.
Kiné Gaye, sous le contrôle de son frère, a été tuée par des blessures au couteau au bras, à la cuisse et au ventre.
Le Sénégalais Demba Ka, PDG du Groupe « EDK », véritable Panafricaniste, est en train de marquer ses empreintes dans le monde du travail. Apres avoir ouvert des restaurants des stations services dans plusieurs régions du Sénégal, il est désormais en Gambie. Exclusif.net a appris que le premier restaurant Djolof Chicken Banjul (Gambie) a ouvert ses portes ce samedi 21 mai. L’ambassadeur du Sénégal en Gambie était présent lors de l’ouverture dudit restaurant.
Ces derniers jours, le sentiment d’insécurité a monté d’un cran. Les cas d’agression et de meurtre ont fini d’installer la psychose. Waly Seck est tout aussi inquiet.
«Je ne reconnais plus mon Sénégal. L’insécurité est à son paroxysme. C’est affreux ce qui se passe. Deux meurtres en 24 heures. Mon pays va au plus mal», a posté en statut le chanteur sur sa page Instagram.
En effet, ces derniers jours, la spectaculaire agression à la Zone de captage, le meurtre présumé de Fatou Kiné Gaye gérante de multiservices à Pikine, ont fait renaître un sentiment d’insécurité.
Comme l’ont reconnu par des leaders comme Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye, entre autres, le mandataire de la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby) a déclaré, ce samedi, que de la liste de Yewwi Askan Wi sera « irrecevable » parce qu' »incomplète ». « Quand j’ai vérifié la liste nationale de Yewwi Askan Wi, la dame Fama Mbengue était à la 26ème position. Et, j’ai vu qu’elle a été remplacée par une autre dame du nom de Anta Touré. Et, quand je suis allé sur la liste des suppléants de Yewwi, j’ai retouvé que Anta Touré était aussi investie sur la liste des suppléants à la 30ème position. Ce qui est problématique. J’ai vérifié si c’était la même personne, j’ai demandé le fond des dossiers et c’était effectivement la même personne », a révélé Benoît Sambou aux journalistes. Ce dernier indique ainsi que la même personne a été investie, deux fois sur les listes de Yewwi, ce que la loi ne permet pas.
A ce titre, le responsable de la majorité présidentielle dit avoir demandé au président de la commission de réception des dossiers de déclarer cette liste « irrecevable parce qu’incomplète ». Car, rappelle M. Sambou, « à ce niveau, il faut savoir qu’il n’est pas possible d’aller aux élections avec une liste incomplète. Toutes les listes doivent être complètes et aujourd’hui la liste nationale titulaire de Yewwi est incomplète parce qu’à la 26ème position aucune personne n’a été investie ». Mieux, rassure-t-il, « Yewwi Askan Wi n’ira pas aux élections avec une liste nationale parce que sa liste titulaire est invalidée et l’invalidation de la liste des titulaires entraine ipso facto l’invalidation de la liste des suppléants ».
Pape Ousmane Cissé change de télévision, il vient d’intégrer la 7tv, après un passage à la 2stv. Le chroniqueur intervenait dans l’émission « Tout est là » animée par Ndeye Arame Touré.
Il aura la lourde tâche de relever le site « AzActu » mais aussi d’apporter son savoir-faire à la rédaction centrale de 7tv. Pour rappel, Pape Ousmane Cissé est passé par Canal info, Africa7, Dtv, Senegal7 et plus tard Dakartv avant de poser ses baluchons chez Maimouna Ndour Faye.
Benno Bok Yakaar a fait face à la presse ce samedi. Benoit Sambou, son mandataire, a expliqué que la liste nationale de Yewwi Askan Wi comporte des anomalies qui doivent entrainer son invalidation.
« Quand j’ai vérifié la liste nationale de Yewwi Askan Wi, la dame Fama Mbengue était à la 26ème position. Et j’ai vu qu’elle a été remplacée par une autre dame du nom de Anta Touré.
Et quand je suis allé sur la liste des suppléants de Yewwi, j’ai trtouvé que Anta Touré était aussi investie sur la liste des suppléants à la 30 ème position. Ce qui est problématique. J’ai vérifié si c’était la même personne, j’ai demandé le fond des dossiers et c’était effectivement la même personne (…)
Donc la même personne a été investie deux fois sur les listes de Yewwi. Ce que la loi ne permet pas. Et j’ai demandé à ce que la liste de Yewwi soit irrecevable parce qu’incomplète. Et à ce niveau, il faut savoir qu’il n’est pas possible d’aller aux élections avec une liste incomplète. Toutes les listes (titulaires comme suppléants) doivent être complètes et aujourd’hui la liste nationale titulaire de Yewwi est incomplète parce qu’à la 26ème position aucune personne n’a été investie.
Et nous demandons au président de la commission de procéder à l’irrecevabilité de la liste nationale tiutulaire de la coalition Yewwi Askan Wi. Pour tout dire, Yewwi Askan Wi n’ira pas aux élections avec une liste nationale parce que sa liste titulaire est invalidée et l’invalidation de la liste des titulaires entraine ipso facto l’invalidation dela liste des suppléants. »
Ousmane Sonko a annoncé la terrible nouvelle quant à une erreur qui s’est glissée sur la liste nationale de Yewwi. Erreur qui risque de la rendre inéligible. Son camarade de parti, Bassirou Diomaye Faye, a donné de plus amples informations.
« Que s’est-il passé avec la liste nationale de la Coalition Yewwi Askan Wi ?? Dans le cadre de la régularisation des listes qui s’est opérée, hier, vendredi 20 mai 2020, Yewwi devait remplacer une titulaire investie par le PUR, mais frappée d’inéligibilité en raison de son âge (moins de 25 ans). Pour la remplacer, on a fait appel à son parti, qui a malencontreusement donné le dossier d’une dame qui était déjà investie suppléante », a expliqué Bassirou Diomaye Faye.
« Notre mandataire a remis le dossier sans vérifier si elle ne figurait pas déjà sur la liste des titulaires, ne s’imaginant certainement pas qu’on puisse lui remettre le dossier d’une personne déjà investie par le même parti. Du coup, cette dernière se retrouve sur les deux listes de la Coalition Yewwi Askan Wi, titulaire et suppléante à la fois », ajoute le cacique de Pastef dans un Post sur facebook.
Il a conclu sa publication par une interrogation : « Yewwi et Benni Out ? Qu’en dit la loi pour chaque cas ? Les autres listes ont-elles couvert tout le territoire pour compétir seules, si le juge considérait que les listes sont invalides ? La loi est dure mais elle doit être appliquée, dans toute sa rigueur, à tous, par le juge constitutionnel qui serait inspiré de regarder du côté de la jurisprudence de la cour suprême! »
Dans un court message sur sa page Facebook, le leader de Pastef, Ousmane Sonko a annoncé que la coalition Yewwi Askan Wi a commis une erreur, une « faute d’inattention », qui risque d’être fatale pour l’opposition.
Selon les informations de Libération online, il avait été signalé à Yaw qu’une personne investie était inéligible car n’ayant pas l’âge requis (Fama Mbengue née en 1997). Le mandataire a rectifié en mettant une autre personne, Anta Touré, qui était déjà…investie comme suppléant. La même personne s’est ainsi trouvée sur la liste nationale mais aussi sur la liste des suppléants.
« Dommage. Une dernière faute d’inattention vient compromettre notre liste nationale, tout le travail abattu par YEWWI et risque de remettre les compteurs à zéro avec l’autre coalition. Terrible et dommage« , lit-on dans le message de la tête de liste de la coalition YAW.
La liste nationale de Yewwi Askan Wi serait invalide. C’est du moins l’information à retenir du post Facebook de Ousmane Sonko. Plusieurs versions sont en train d’être évoquées.
Sur Facebook, deux leaders de Pastef : El Malick Ndiaye et Sonko ont assuré que la liste nationale de Yewwi Askan Wi a été compromise suite à une faute d’inattention. Quelle est la nature réelle de cette faute ? Rien de bien précis pour le moment.
En effet, d’aucuns soulignent qu’il avait été signalé à Yewwi Askan Wi qu’une personne investie (une dame du Pur) était inéligible car n’ayant pas l’âge requis. Le mandataire a rectifié en mettant une autre personne qui était déjà…investie comme suppléant. La même personne s’est ainsi trouvée sur la liste nationale mais aussi sur la liste des suppléants.
Avec cette erreur donc, la liste nationale de la coalition file vers une invalidation.
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